Diapositive 1 - les amis de skikda
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Dans se Sommaire<br />
Appel<br />
Editorial<br />
A-propos D’environnement<br />
Santé a Skikda<br />
Météo Urbaine<br />
Devoir <strong>de</strong> memoire<br />
Patrimoine et Histoire<br />
Sondage d’opinion<br />
Fiche D’adhesion<br />
Juin 2013<br />
visiter notre site web www.<strong>les</strong><strong>amis</strong><strong>de</strong><strong>skikda</strong>.org
Citoyennes, Citoyens !<br />
Appel Civique<br />
-Pour votre bien-être et celui <strong>de</strong> vos enfants, respectez et faites<br />
respectez par autrui, l’environnement dans lequel vous vivez.<br />
-Organisez votre quartier, unissez vous, faites bouger <strong>les</strong> choses,<br />
faites preuve <strong>de</strong> civisme.<br />
-Créez un cadre <strong>de</strong> vie à votre convenance, il n’y a que vous<br />
pour le faire, pensez-y.<br />
-Ne jetez pas vos ordures ménagères anarchiquement, respectez<br />
<strong>les</strong> horaires d’enlèvement.<br />
-Faites un geste pour la nature qui doit rester une source <strong>de</strong> joie<br />
et non un spectacle <strong>de</strong> désolation.<br />
-Respectez votre voisin en vous consultant mutuellement, pour<br />
une vie meilleure.
Dans notre <strong>de</strong>rnier numéro et dans un article sur l’état <strong>de</strong> notre ville, nous<br />
avons interpellé <strong>les</strong> autorités loca<strong>les</strong> et certains organismes publics,<br />
prestataires <strong>de</strong> services.<br />
Cette fois-ci, c’est vers vous, chers concitoyens, chères concitoyennes, que<br />
nous allons nous tourner ; c’est avec vous que nous allons essayer <strong>de</strong><br />
dialoguer.<br />
D’emblée, nous voudrions que <strong>les</strong> choses soient claires : nous ne sommes ni<br />
<strong>de</strong>s donneurs <strong>de</strong> leçons, ni <strong>de</strong>s candidats battant campagne électorale !<br />
Notre seul et unique objectif est d’éveiller <strong>de</strong>s consciences et essayer<br />
d’amener, tous <strong>les</strong> skikdis, à réfléchir, avec nous, aux voies et moyens<br />
susceptib<strong>les</strong> <strong>de</strong> nous faire sortir <strong>de</strong> notre confort d’attentistes, <strong>de</strong> changer nos<br />
mentalités d’éternels assistés en quête d’actions ou <strong>de</strong> gestes, venant<br />
d’ailleurs. Ne sommes-nous pas assez grands pour prendre en charge certains<br />
problèmes et <strong>les</strong> solutionner nous même. Restaurer et badigeonner <strong>les</strong><br />
faça<strong>de</strong>s <strong>de</strong> nos habitations, assainir nos cités, protéger nos rares espaces verts,<br />
sortir nos ordures ménagères aux heures prévues, c’est la quelques petits<br />
gestes qui pourraient générer <strong>de</strong> grands bienfaits ! Que <strong>les</strong> automobilistes<br />
arrêtent <strong>de</strong> jouer aux champions <strong>de</strong> rallyes, qu’ils fassent fonctionner leurs<br />
clignotants, qu’ils ne stationnent plus n’importe ou et n’importe comment,<br />
gênant souvent une circulation déjà bien difficile ! Que l’on réapprenne à<br />
vivre en personnes civilisées, en évitant <strong>de</strong> proférer <strong>de</strong>s jurons, en arrêtant <strong>de</strong><br />
cracher, en respectant <strong>les</strong> personnes âgées, en bannissant enfin toute forme<br />
d’agressivité !<br />
Et si nous décidions, tous, <strong>de</strong> jouer à tous ces petits jeux ?....le jeu en vaudra<br />
surement la chan<strong>de</strong>lle !!!
Environnement<br />
Urbain<br />
L’immensité <strong>de</strong> la tache qui attend nos élus vaut par sa complexité et ses<br />
différents aspects stratifiés. La volonté affichée par ces mêmes élus augure une<br />
prise en charge réelle tellement attendue par la population. Nous voudrions par<br />
notre part porter un éclairage particulier sur <strong>les</strong> aspects suivants : Le Centre<br />
d’emmagasinement et <strong>de</strong> carburants (ex BP) véritable bombe à retar<strong>de</strong>ment eu<br />
égard à sa nature et la dangerosité <strong>de</strong>s produits traités, ce centre <strong>de</strong>vait, en fait<br />
faire l’objet <strong>de</strong> délocalisation <strong>de</strong>puis bien longtemps. L’urbanisation complète <strong>de</strong> tous<br />
<strong>les</strong> alentours <strong>de</strong> ce centre accroît proportionnellement la nécessité <strong>de</strong> sa délocalisation.<br />
a) un moment ou <strong>les</strong> risques industriels font l’objet d’un examen exhaustif et <strong>les</strong><br />
solutions par moment extrêmes. Il convient à notre sens que le problème <strong>de</strong> ce centre<br />
soit réglé dans <strong>les</strong> meilleurs délais.<br />
Dossier aux sentiers battus, il fait couler beaucoup d’encre et <strong>de</strong> salive en<br />
suppositions, propositions, Etc.…<br />
Nous ne voulons en aucun cas nous substituer à l’association créée à cet effet<br />
comme nous ne portons aucun jugement sur la valeur et la portée <strong>de</strong>s décisions<br />
déjà prises, nous nous estimons non nantis d’informations fiab<strong>les</strong> pour le faire.<br />
Pourtant nous ne pouvons occulter l’observation sur le terrain <strong>de</strong>puis plus <strong>de</strong> vingt<br />
ans la situation <strong>de</strong>meure en l’état et constitue une véritable lèpre installée en plein<br />
centre urbain. Il faut croire que Skikda qui étouffe, qui a mal <strong>de</strong> l’absence <strong>de</strong><br />
terrains d’assiette pour ses nombreux projets, peut se passer d’une assiette aussi<br />
conséquente, d’accès facile. La question est posée ; son acuité est à souligner.
Environnement<br />
Urbain<br />
Il ne se passe une journée sans que la presse ne se fasse l’écho <strong>de</strong> mesures prises dans<br />
différentes wilayas qui se réapproprient légalement <strong>les</strong> terrains nus, <strong>les</strong> locaux inoccupés<br />
pour <strong>les</strong> besoins <strong>de</strong> leur développement. A Skikda, <strong>les</strong> opportunités dans ce cadre ne<br />
manquent pas. En effet comment expliquer que tout un pâté <strong>de</strong> maisons, d’hôtels, <strong>de</strong><br />
locaux <strong>de</strong> terrains nus attenants (rue d’Arcole)<br />
<strong>de</strong>meurent en l’état, alors que leur superficie, et leur situation géographique constituent<br />
un atout majeur pour toute forme d’utilisation, quelle soit d’équipement collectifs,<br />
culturels, et même touristique. Nous estimons que n’importe quelle inscription recevrait<br />
immédiatement le budget adéquat. A l’instar <strong>de</strong> cette évocation ; le portefeuille <strong>de</strong>s<br />
locaux fermés sur territoire <strong>de</strong> la commune est consistant. Les besoins immenses en la<br />
matière, ne créent-ils pas la nécessité d’utiliser <strong>les</strong> locaux tels que (Air France<br />
COMAMO) Avenue Zighoud Youcef, CIBA, BEA ; SAA rue Didouche Mourad et tant<br />
d’autres éparpillés aux quatre coins <strong>de</strong> la ville.<br />
L’autorité légalement conférée à Mr le Wali <strong>de</strong>vrait être exercée en fonction <strong>de</strong><br />
propositions judicieuses. Notre association n’oubliera pas <strong>de</strong> mettre en évi<strong>de</strong>nce<br />
<strong>les</strong> nombreux chantiers qui trainent en longueur et ceux non entamés au niveau<br />
<strong>de</strong>s cités dans le cadre <strong>de</strong> l’embellissement <strong>de</strong> la ville. Peut-on passer sans<br />
silence le véritable scandale que constitue la corniche <strong>de</strong> Stora (sou- éclairée,<br />
hôtel restaurant en ruine auxquels s’ajoute le non sens <strong>de</strong> l’aménagement <strong>de</strong><br />
l’hôtel paradis plage. Les dossiers suscités même, traités <strong>de</strong> manière très<br />
schématique sont une réalité qui nous agresse au quotidien. Ce quotidien dont on<br />
ne peut exclure le recensement <strong>de</strong> problèmes directement liés à la qualité <strong>de</strong> vie<br />
du citoyen.
Environnement<br />
Urbain<br />
Plan <strong>de</strong> circulation <strong>de</strong> la ville à l’intérieur du tissu urbain non pris en charge par la<br />
mise en œuvre <strong>de</strong> moyens adéquats (trémies, autopont etc.…) et autres moyens<br />
techniques actuellement existants dans toutes <strong>les</strong> vil<strong>les</strong> d’Algérie. -Non remise à<br />
l’état <strong>de</strong>s routes périphériques et secondaires susceptib<strong>les</strong> <strong>de</strong> fluidifier la<br />
circulation au centre ville. -Arrêts <strong>de</strong> bus et <strong>de</strong> taxis non conformes aux règ<strong>les</strong><br />
admises <strong>de</strong>venant ainsi générateurs d’anarchie insupportab<strong>les</strong>. -Aménagement<br />
urbain et espaces verts un effort est à noter dans ce compartiment mais il<br />
<strong>de</strong>meure largement insuffisant compte tenu <strong>de</strong>s retards accumu<strong>les</strong> en la matière.<br />
Il s’agit <strong>de</strong> mettre <strong>les</strong> bouchées doub<strong>les</strong> pour mettre notre cité au diapason <strong>de</strong>s<br />
wilayas avoisinantes surtout au plan <strong>de</strong> la qualité <strong>de</strong>s aménagements préconisés.<br />
Il serait certes très facile <strong>de</strong> continuer cette énumération <strong>de</strong> déficits patents, tel<br />
n’est pas notre souci. Nous estimons que l’opportunité offerte par l’Etat à<br />
l’ensemble <strong>de</strong>s wilayas <strong>de</strong> bénéficier <strong>de</strong> budgets conséquents constitue une<br />
chance inouïe <strong>de</strong> combler rapi<strong>de</strong>ment <strong>les</strong> déficits constatés. Pour notre part nous<br />
réitérons notre disponibilité à participer à toutes activités allant dans ce sens.
Nuisances<br />
Urbaines<br />
Nous ne pouvons plus nous promener en ville sans éprouver un sentiment <strong>de</strong> pénibilité<br />
dû au magma <strong>de</strong> nuisances dans laquelle nage notre cité. Tout d’abord que font ces<br />
ateliers <strong>de</strong> mécanique, <strong>de</strong> menuiserie (bois et aluminium), ces commerces <strong>de</strong> matériaux<br />
polluants (ciments, fer, sable...), en pleines zones d’habitation, avec leurs cortèges <strong>de</strong><br />
bruits, <strong>de</strong> poussières, d’hui<strong>les</strong> <strong>de</strong> vidanges extrêmement incommodants ? On pourrait a<br />
tout le moins, et la règlementation le précise et l’exige même, <strong>les</strong> repousser vers <strong>les</strong><br />
confins <strong>de</strong> la ville, en leur créant <strong>de</strong>s secteurs spécialisés. De même, le pain et certaines<br />
<strong>de</strong>nrées alimentaires périssab<strong>les</strong>, sont-ils vendus dans <strong>les</strong> boulangeries et <strong>les</strong><br />
commerces <strong>de</strong> détails ? Certainement pas, si l’on considère, pour le pain par exemple, le<br />
nombre considérab<strong>les</strong> <strong>de</strong> corbeil<strong>les</strong> posées à même le sol, à côté <strong>de</strong>s bouches d’égout,<br />
en pleine circulation automobile, dans un manque total d’hygiène (« le client ›› est même<br />
autorisé à manipuler <strong>les</strong> baguettes pour faire son choix, sans aucune gène). La solution<br />
au problème : interdire à certains boulangers, et ils sont connus, <strong>de</strong> fournir le pain aux<br />
ven<strong>de</strong>urs informels. Les trottoirs <strong>de</strong> la ville sont aussi <strong>de</strong>venus infréquentab<strong>les</strong> car, d’une<br />
part, ils sont totalement livrés aux marchands illicites et, d’autre part, ils sont en très<br />
mauvais état. Et dire qu’il v a quelques années, à peine, le
Les toxi-infections<br />
alimentaires collectives<br />
Les toxi-infections alimentaires collectives (TIAC) et <strong>les</strong> métho<strong>de</strong>s <strong>de</strong> prévention<br />
généra<strong>les</strong>.<br />
Hygiène <strong>de</strong>s esprits ? Alors que <strong>les</strong> âmes sont déjà si stérilisées ?<br />
Les risques d’intoxications alimentaires existent tout au long <strong>de</strong> l’année à Skikda. Mais<br />
durant la pério<strong>de</strong> estivale, el<strong>les</strong> <strong>de</strong>viennent plus importantes. Dues généralement, à la<br />
chaleur qui favorise le développement <strong>de</strong>s microbes, à la consommation d’aliments non<br />
contrôlés par <strong>les</strong> estivants et aux repas collectifs que <strong>les</strong> personnes prennent lors <strong>de</strong><br />
fêtes (mariages, etc.). Il est souvent également rapporté que la rupture <strong>de</strong> la chaîne <strong>de</strong><br />
froid et le non-respect <strong>de</strong>s règ<strong>les</strong> d’hygiène dans la préparation <strong>de</strong>s repas sont<br />
directement responsab<strong>les</strong> <strong>de</strong> cette intoxication favorisée, par ailleurs, par une chaleur<br />
propice à la prolifération bactérienne. Définition :<br />
« Apparition d’au moins 2 cas d’une symptomatologie, en général digestive, dont on peut<br />
rapporter la cause à une même origine alimentaire » Elle inclut <strong>les</strong> causes infectieuses et<br />
chimiques L’existence d’une TIAC sera suspectée sur <strong>les</strong> éléments suivants :<br />
Tableau clinique similaire chez au moins 2 individus<br />
Même facteur d’exposition alimentaire retrouvé chez <strong>les</strong> patients atteints El<strong>les</strong><br />
surviennent en milieu collectif ou familial. Les collectivités en général concernées sont <strong>les</strong><br />
crèches, <strong>les</strong> hôpitaux et <strong>les</strong> restaurants <strong>de</strong> collectivité ; restauration à l’occasion <strong>de</strong>s fêtes<br />
<strong>de</strong> mariage ou autres. La surveillance, le contrôle et la prévention <strong>de</strong>s TIAC nécessitent<br />
une collaboration étroite entre <strong>les</strong> mé<strong>de</strong>cins, <strong>les</strong> vétérinaires, <strong>les</strong> épidémiologistes et <strong>les</strong><br />
professionnels <strong>de</strong> la restauration collective et du secteur agro-alimentaire. La gravité <strong>de</strong>s<br />
cas est estimée à partir du taux d’hospitalisation <strong>de</strong>s mala<strong>de</strong>s qui est d’environ 10 % et<br />
du taux <strong>de</strong> mortalité <strong>de</strong> 0,5 ‰.
Prévention, règ<strong>les</strong> d’hygiène<br />
Les toxi-infections<br />
alimentaires collectives<br />
Plusieurs facteurs <strong>de</strong> risque sont à maîtriser dans la chaîne alimentaire, <strong>de</strong> la production<br />
jusqu’à la consommation.<br />
1) Maîtrise <strong>de</strong> la qualité sanitaire et marchan<strong>de</strong> <strong>de</strong>s aliments. Il convient d’abord que soit<br />
respecté le co<strong>de</strong> <strong>de</strong> bonnes pratiques <strong>de</strong> fabrication puis <strong>de</strong>s contrô<strong>les</strong> microbiologiques<br />
du produit fini sont réalisés. Avant tout, <strong>les</strong> matières premières doivent être sélectionnées<br />
<strong>de</strong> bonne qualité. Plusieurs procédés <strong>de</strong> traitements <strong>de</strong> décontamination sont utilisés :<br />
thermiques, salaisons, filtrations, ….<br />
Il est très important qu’au cours du stockage et <strong>de</strong> la distribution, la température soit<br />
maîtrisée Pour éviter toute contamination le long <strong>de</strong> la chaîne, il convient <strong>de</strong> respecter<br />
<strong>de</strong>s règ<strong>les</strong> d’hygiène strictes. Le personnel doit être formé et sensibilisé : la recherche <strong>de</strong><br />
portage <strong>de</strong> Salmonelle chez <strong>les</strong> manipulateurs d’aliments s’impose.<br />
En règle générale, la chaîne du froid doit être bien respectée.<br />
2) Analyse microbiologique <strong>de</strong>s aliments A l’abattoir un contrôle <strong>de</strong>s vian<strong>de</strong>s est réalisé<br />
par <strong>les</strong> services vétérinaires, <strong>les</strong> produits importés et <strong>les</strong> produits laitiers sont également<br />
particulièrement surveillés.<br />
3) Règ<strong>les</strong> d’hygiène pour le consommateur ou le cuisinier. Une réfrigération correcte <strong>de</strong>s<br />
aliments conservés est nécessaire. L’hygiène régulière du réfrigérateur s’impose. Les<br />
cuisiniers en collectivité doivent être formés à l’hygiène.<br />
L’hygiène en cuisine . L’hygiène est l’ensemble <strong>de</strong>s mesures propres à la conservation<br />
<strong>de</strong> la santé.<br />
Accepter l’idée que l’on est responsable <strong>de</strong> la santé d’autrui.<br />
Comprendre que la moindre négligence peut avoir <strong>de</strong>s conséquences graves.
Les toxi-infections<br />
alimentaires collectives<br />
Connaître et respecter <strong>les</strong> recommandations, <strong>les</strong> techniques <strong>de</strong> préparation, <strong>les</strong><br />
métho<strong>de</strong>s d’entretien et toutes <strong>les</strong> consignes dont l’application permet <strong>de</strong> garantir la<br />
salubrité <strong>de</strong>s prestations fournies à la clientèle. En restauration, le risque essentiel est<br />
celui <strong>de</strong> toxi-infection alimentaire. Certains aliments sont naturellement toxiques : Les<br />
champignons toxiques. Autres aliments pouvant être toxiques : <strong>les</strong> pommes <strong>de</strong> terre,<br />
tomates et aubergines contiennent dans leur partie verte <strong>de</strong> la solanine ; <strong>les</strong> laitances <strong>de</strong><br />
certains poissons ne doivent pas être consommées.<br />
Substances toxiques diverses : <strong>les</strong> sels <strong>de</strong> cuivre, le plomb, l’arsenic.<br />
<strong>les</strong> cas d’allergie ou « choc anaphylactique » : la plupart <strong>de</strong>s intoxications alimentaires<br />
sont dues à <strong>de</strong>s aliments sains mais altérés acci<strong>de</strong>ntellement : par une contamination<br />
microbienne, par une contamination parasitaire, endogène ou exogène, par la<br />
dégradation chimique.<br />
Les mesures à prendre concernant le personnel :<br />
-le contrôle médical : visite médicale d’embauche, visite médicale<br />
annuelle, visite médicale <strong>de</strong> reprise du travail.<br />
obligation <strong>de</strong> propreté : hygiène corporelle, propreté <strong>de</strong>s vêtements, mains propres,<br />
lavage <strong>de</strong>s mains…gants stéri<strong>les</strong> et masques pour certains travaux, port <strong>de</strong> la coiffe.<br />
<strong>les</strong> interdictions : le vernis à ong<strong>les</strong>, la cigarette, bagues, montres, bracelets, défense <strong>de</strong><br />
toucher à mains nues la charcuterie…<br />
Par /M.T Aissani<br />
Mé<strong>de</strong>cin pathologiste.<br />
aissanimedt@yahoo.fr
Origines <strong>de</strong> la population <strong>de</strong> Skikda et <strong>de</strong> sa région<br />
Rapport <strong>de</strong>scriptif<br />
<strong>de</strong>s différentes tribus<br />
D’après Char<strong>les</strong> Féraud<br />
Par Mahieddine Chebli<br />
Pour mieux faire connaître Skikda et sa région, présente d'après un texte<br />
<strong>de</strong> L.Char<strong>les</strong> Féraud, un recensement aussi exhaustif que possible <strong>de</strong>s<br />
différentes tribus qui constituent la souche principale <strong>de</strong> la population<br />
Skikdie, <strong>de</strong>s origines à nos jours. Certaines populations, soit par oubli,<br />
soit par méconnaissance, n'ont pu être citées. Nous nous en excusons<br />
auprès <strong>de</strong> leur <strong>de</strong>scendance. D'autre part, nous ne pouvons que nous<br />
réjouir <strong>de</strong> la richesse <strong>de</strong> la composante humaine <strong>de</strong> Skikda, dont la<br />
population actuelle vient <strong>de</strong> différents horizons du pays.
S'étendant jadis <strong>de</strong> la pointe du FlLFlLA aux approches du lac FEZZARA entre,<br />
au nord et à l'est, <strong>les</strong> GUERBES et <strong>les</strong> SENHADJA, au sud <strong>les</strong> ZERDAZA, le<br />
territoire <strong>de</strong>s RADJATA comprenait à l'ouest tout le bassin du FENDEK.<br />
Les OUICHAOUA, originaires <strong>de</strong>s montagnes <strong>de</strong> Collo, s’installèrent au XVll e<br />
siècle dans L’EDOUGH (1°' groupe), autour du lac FEZZARA (2éme groupe) et<br />
au Fil-Fila (3éme groupe), portant atteinte aux possessions <strong>de</strong>s RADJATA.<br />
60 à 80 ans plus tard, <strong>les</strong> BENI MEHENNA <strong>de</strong> Collo envahirent le territoire <strong>de</strong><br />
Skikda et s'y implantèrent, après avoir chassé <strong>les</strong> populations qui l'occupaient,<br />
qui arrivèrent à Fen<strong>de</strong>k et s'y installèrent parle droit <strong>de</strong>s armes.<br />
Ce fut le principe <strong>de</strong> l'établissement <strong>de</strong>s ARB SKIKDA sur <strong>les</strong> ruines <strong>de</strong> l'antique<br />
RUSICADA (1) entre le port <strong>de</strong> Stora et le Ras Skikda jusqu'à Ras-el- Madj (2)<br />
dans la vallée du Safsaf. Refoulés par <strong>les</strong> BENI MEHENNA, <strong>les</strong> ARB Skikda<br />
s'installent aussi dans la plaine <strong>de</strong> l'oued Fen<strong>de</strong>k.Chez <strong>les</strong> RADJATA existe la<br />
Zaouia <strong>de</strong>s <strong>de</strong>scendants du marabout Sidi Ahmed ben ali, qui se préten<strong>de</strong>nt<br />
originaires <strong>de</strong>s Chérifs <strong>de</strong> Fez (Maroc). La population <strong>de</strong>s RADJATA est<br />
d'environ un millier d'âmes. Sur son territoire furent crées <strong>les</strong> centres <strong>de</strong><br />
Jemmapes, Ahmed Ben Ali, Sidi Nacer et Gastu .
Pour <strong>les</strong> habitants du pays, un certain MEHENNA, natif <strong>de</strong>s montagnes aux<br />
environs <strong>de</strong> Bougie , vint s'établir dans la région <strong>de</strong> Collo, qui porte encore le<br />
nom <strong>de</strong> Bled Beni Mehenna. Ses quatre fils : Bechiri , El KHEZERI , NAÎMI et<br />
MASSELAOUI ; guerriers redoutés, étendirent rapi<strong>de</strong>ment leur influence dans<br />
la montagne. Leurs famil<strong>les</strong> <strong>de</strong>vinrent puissantes et nombreuses et après avoir<br />
refoulé <strong>les</strong> BENI TOUFOUT, <strong>les</strong> BENI SALAH, <strong>les</strong> BENI lSHAK et <strong>les</strong> BENI<br />
OULBAN, s'établirent soli<strong>de</strong>ment entre Collo, l'oued GUEBLI, le djebel BOU<br />
MEJOUT, le SAFSAF et la mer.<br />
Les quatre fractions composant <strong>les</strong> BENI MEHENNA portent le nom <strong>de</strong> leurs<br />
anciens chefs, fils <strong>de</strong> Mehenna: BENI BECHIR, OULED KHEZER, OULED NAIM<br />
et MESSELAOUI.<br />
Sous le règne <strong>de</strong> Salah-bey , <strong>les</strong> BENI MEHENNA, érigés en tribu Makhezen , à<br />
la suite <strong>de</strong> razzias qu'ils exécutèrent sur <strong>les</strong> Arb Skikda et autres populations du<br />
bord <strong>de</strong> la mer, agrandirent leur territoire. Le bey <strong>de</strong> Constantine ratifia cette<br />
prise <strong>de</strong> possession. Dès l'arrivée <strong>de</strong>s Français, <strong>les</strong> Beni Mehenna se divisèrent<br />
en <strong>de</strong>ux camps : <strong>les</strong> SOUHALIA , habitants <strong>de</strong> la plaine et disposés à la<br />
soumission et <strong>les</strong> DJEBAÎLIA qui, forts <strong>de</strong> leurs montagnes se préparaient avec<br />
énergie à la résistance.<br />
Quelques personnes font <strong>de</strong>s Beni Mehenna <strong>de</strong> Skikda, <strong>les</strong> <strong>de</strong>scendants <strong>de</strong><br />
Mehenna dont il est question dans Ibn Khaldoun.
MISE EN GARDE<br />
(1)<br />
Le texte qui suit contient, à n'en pas douter, <strong>de</strong>s propos tendancieux,<br />
outrageants, pernicieux et b<strong>les</strong>sants, que beaucoup <strong>de</strong> nos lecteurs<br />
pourront ne pas admettre. Ce sont <strong>les</strong> propos réducteurs, par conséquent<br />
peu empreints <strong>de</strong> vérité, d'un colonisateur, L.Ch. Féraud, à l'égard <strong>de</strong><br />
sujets, difficilement soumis. Nous <strong>les</strong> avons publiés par honnêteté<br />
intellectuelle.<br />
Tribu située à 40 km environ à l'ouest <strong>de</strong> Collo. Son sol est très tourmenté, peu<br />
propre à la culture, si ce n'est dans quelques bas-fonds et dans le voisinage <strong>de</strong><br />
la mer, vers l’embouchure <strong>de</strong> l'Oued Zhor: quelques vergers plantés <strong>de</strong> vignes,<br />
<strong>de</strong> noyers et <strong>de</strong> figuiers, oliviers en nombre assez considérable. De vastes forêts<br />
concédées couvrent la majeure partie du territoire. La population s'élevait au<br />
chiffre d'environ 2500 habitants ; elle était divisée en trois fractions: OULAD<br />
DJAMÀ, DJEZIA et ZIABRA. Ressources importantes dans <strong>les</strong> travaux <strong>de</strong><br />
démasclage et autres exécutés pour <strong>les</strong> concessionnaires <strong>de</strong> ces forêts. Les<br />
OULAD ATTIA, installés d'abord du côté du MAROC, vinrent s'établir dans<br />
le pays désert <strong>de</strong> l'Oued Zhor à l'époque <strong>de</strong>s gran<strong>de</strong>s luttes <strong>de</strong>s dynasties<br />
berbères contre <strong>les</strong> conquérants arabes. Ils ont même conservé à ce sujet une<br />
légen<strong>de</strong> assez curieuse. Les émirs <strong>de</strong> cette époque s'étaient crée <strong>de</strong>s<br />
prérogatives excessives et entre autres, celle qu'au moyen âge on nommait droit<br />
<strong>de</strong> jambage ou prélibations(52) La population indigène était fort mécontente et<br />
un événement imprévu vint mettre le comble à la mesure. Un <strong>de</strong>s émirs se<br />
présenta un jour dans la boutique d'un cordonnier pour y faire quelques achats.<br />
Au moment où il allait se retirer, entra la fille du cordonnier portant le repas <strong>de</strong><br />
son père. Sa vue excita la passion <strong>de</strong> I ‘émir qui donna l'ordre, au cordonnier, <strong>de</strong><br />
lui préparer, à |'instant, un lit dans la boutique même [...]. Indigné d'une pareille<br />
conduite, ce <strong>de</strong>rnier se saisit d'un tranchet et tua l'émir. La population entraînée<br />
par cet exemple, massacra [<strong>les</strong> émirs] et brûla leurs habitations. Le cordonnier<br />
fut proclamé souverain du pays (il se nommait Ibrahim ben ATTIA [et était]<br />
converti <strong>de</strong>puis peu à l'islam).
MISE EN GARDE<br />
(2)<br />
Mais <strong>les</strong> Arabes, revenant en force, massacrèrent la plupart <strong>de</strong>s rebel<strong>les</strong>;<br />
cependant Ibrahim ben ATTIA réussit à se sauver avec quelques compagnons et<br />
vint se réfugier dans <strong>les</strong> montagnes <strong>de</strong> l'oued Zhor où habitent <strong>les</strong> <strong>de</strong>scendants<br />
<strong>de</strong> sa tribu. Dans la secon<strong>de</strong> moitié du siècle <strong>de</strong>rnier, à la suite <strong>de</strong> discussions,<br />
une partie <strong>de</strong> la tribu quitta <strong>les</strong> montagnes <strong>de</strong> Collo et s'implanta près <strong>de</strong>s<br />
TOUMIETTES, entre Skikda et Constantine et constitua la petite tribu dont nous<br />
avons parlé<br />
plus haut. Les Oulad Attia étaient perpétuellement en guerre contre leurs voisins,<br />
<strong>les</strong> Beni Fergan [...]<br />
Depuis le commencement <strong>de</strong> ce siècle, ils ne firent que <strong>de</strong>ux fois la trêve : la<br />
première, lors <strong>de</strong> Fexpédition malheureuse du Bey Osman en 1804, et la<br />
secon<strong>de</strong>, lorsque <strong>les</strong> troupes françaises investirent en 1843, l'Oued ZADRA [...].<br />
Signalons, en terminant, une <strong>de</strong>rnière particularité à propos <strong>de</strong>s Oulad Attia :<br />
c'est que l'Oued Zhor, qui arrose leur pays, est le seul cours d'eau <strong>de</strong> l'Algérie,<br />
dans lequel, jusqu'ici, on trouve la truite <strong>de</strong>s rivières d'Europe.<br />
L. Char<strong>les</strong> FERAUD<br />
interprète principal <strong>de</strong> l'Armée (53)<br />
au gouvernement général et Vice- prési<strong>de</strong>nt <strong>de</strong> la Société historique algérienne.<br />
Texte publié dans la Revue africaine<br />
(n° 110 -19° année - mars 1875)<br />
(52) - Allusion à l’instauration d'un ordre féodal malgré <strong>les</strong> conversions à I'lslam,<br />
<strong>les</strong> privilégiés<br />
étant d'origine arabe, (53) - interprète <strong>de</strong> l'armée coloniale française.
Ce sont six fractions sans importance sur le versant <strong>de</strong>s montagnes coupant la<br />
route <strong>de</strong> Skikda à Constantine, au lieu dit <strong>les</strong> TOUMlETTES, <strong>les</strong> <strong>de</strong>ux mamelons<br />
jumeaux, près du col El Kantour: <strong>les</strong> OULAD MSAOUD, HAZABRA et KENDEK<br />
ASLA composent le groupe principal ; un autre groupe<br />
comprend <strong>les</strong> KHERFAN et <strong>les</strong> RERAZLA (21).<br />
Enfin <strong>les</strong> SOUADEK, plus rapprochés <strong>de</strong> SMENDOU (22)<br />
C'est un ensemble <strong>de</strong> 4500 individus. Les origines <strong>de</strong>s OULAD ATTIA sont<br />
diverses : TUNlSlE, HODNA et environs <strong>de</strong> SETIF. D'autres se sont détachés<br />
<strong>de</strong>s gran<strong>de</strong>s tribus montagnar<strong>de</strong>s <strong>de</strong> COLLO.<br />
Leur territoire était habité autrefois par <strong>les</strong> 0ULAD BOUKHQDRA du Sud [Venus<br />
<strong>de</strong>s l'invasion arabe]. Le pays était [alors] occupé par <strong>les</strong> BENI R'ALBOUN (23).<br />
Ne se croyant pas en force pour en faire la conquête, <strong>les</strong> OULAD BOUKHODRA<br />
se déguisèrent en femmes, dit la tradition, <strong>de</strong>scendirent jusqu'à la rivière qui, en<br />
souvenir s'appela OUED NCA (la rivière <strong>de</strong>s femmes) et s'emparèrent par ruse<br />
<strong>de</strong>s femmes <strong>de</strong> leurs ennemis occupés à la moisson. Puis <strong>les</strong> BENI R'ALBOUN<br />
furent expulsés.<br />
[Plus tard], <strong>les</strong> BOUKHODRA se mirent au service <strong>de</strong>s Turcs. Avec cent<br />
cavaliers, ils faisaient la police <strong>de</strong>s routes. lls vécurent ainsi jusqu'au moment où<br />
une guerre éclata dans la vallée <strong>de</strong> l'OUED ZHOR, entre <strong>les</strong> OULAD DJAMÂ et<br />
<strong>les</strong> BOU LEDJENAH.
Les RERAZLA préten<strong>de</strong>nt <strong>de</strong>scendre <strong>de</strong> HERDJ ROUMANl qui commandait<br />
SETIF et le pays environnant lors <strong>de</strong> l'invasion musulmane. Les BENI SOUÎSSI,<br />
[pour la plupart] à la peau blanche, aux yeux bleus, aux cheveux blonds et même<br />
roux, ont un emplacement appelé BERKOUM, où ils placent leurs tentes en<br />
cercle, avec la tente <strong>de</strong>s musiciens au centre, pour former le champ <strong>de</strong> course.<br />
Grands amateurs <strong>de</strong> chevaux, ils se ren<strong>de</strong>nt au BERKQUM chaque année, au<br />
printemps pendant quelques jours. Sidi Amar, ancêtre [<strong>de</strong>s KHERFAN] était un<br />
marabout vénéré, venu <strong>de</strong> la province d'ORAN.<br />
Ce Mehenna, allié à la tribu <strong>de</strong>s Beni Tai, a une<br />
généalogie qui remonte à Semia, nièce du khalifa<br />
Haroun -el-Rachid (14), dans ce cas son origine<br />
serait <strong>de</strong>s plus illustres parmi le peuple arabe.<br />
Cependant nous savons par tradition locale que<br />
<strong>les</strong> Mehenna <strong>de</strong> Skikda, frères <strong>de</strong> la famille <strong>de</strong>s<br />
OU RABAH <strong>de</strong> la vallée <strong>de</strong> l'oued Sahel prés <strong>de</strong><br />
Bougie, sont <strong>de</strong>s purs BERBERES, originaires<br />
<strong>de</strong> la tribu kabyle <strong>de</strong>s AIT MELLOUL. Chez <strong>les</strong><br />
Beni Mehenna, la fraction dite <strong>les</strong> OULED SANDAL dit<br />
<strong>de</strong>scendre d'une émigration <strong>de</strong>s Maures chassés d'Espagne et débarqués à<br />
Collo vers le XV e siècle.<br />
On trouve, dans le territoire <strong>de</strong>s Beni Mehenna, aux environs <strong>de</strong> Tamelous (15),<br />
<strong>de</strong> nombreux dolmens I...) <strong>les</strong> tombeaux <strong>de</strong> marabout sont également nombreux<br />
; je citerai entre autres celui <strong>de</strong> Bou ARGOBA (16) où allaient se prêter <strong>les</strong><br />
serments [...] D'après une tradition très accréditée, tout -<br />
individu, qui se parjurait sur la tombe du marabout, était puni <strong>de</strong> cécité ou par<br />
quelque autre châtiment cé<strong>les</strong>te dans l'intervalle <strong>de</strong> huit jours. Sur le territoire<br />
<strong>de</strong>s Beni Mehenna ont été successivement crées <strong>les</strong> centres <strong>de</strong> Skikda, <strong>de</strong><br />
VALEE (17), <strong>de</strong> DAMREMONT (18), <strong>de</strong> SAINT-CHARLES (19), <strong>de</strong><br />
GASTONVILLE(20), avec <strong>les</strong> vastes et nombreuses concessions qui en<br />
dépen<strong>de</strong>nt .<br />
là population est <strong>de</strong> 3000 habitants environ.
* Cette estimation et cel<strong>les</strong> qui vont suivre remontent à 1875.<br />
(1) RUSICADE - (2) RAS EL MERDJ(?) - (3a) AZZABA - (3b) SIDI NACER ou FOY<br />
pendant la colonisation et actuellement : MENZEL EL ABTAL - (Sc) BEKKOUCHE<br />
LAKHDAR, (4) - Béjaia (5) - Bachir (6) - Knazer (7) _ Naïm (8) - Mssaua (9) _ Bem<br />
Bou Naim. (10) - fm du XVIII e siècle (11) - Tribu Makhzen. chargée <strong>de</strong> la collecte<br />
<strong>de</strong>s impôts. (12) - Ceux <strong>de</strong> Ia plaine (13) - Soumyya (14) - Haroun-ar-Rachid (15) -<br />
Tamalous 16) - Ben Arqaba ?, (17) - Hamrouche Hamoudi, (18) - Hamadi Krouma,<br />
(19) - Ramdhane Djamel, (20) - Salah Bouchaour<br />
(21) - Rerazla ou Gherazla, (22) Zighoud Youcef<br />
(23) - Beni R’aIboun ou Beni Ghalboun.
Fondateur <strong>de</strong> la tribu, EL EULMl, originaire <strong>de</strong>s EULMA <strong>de</strong> la plaine <strong>de</strong> Sétif, venu,<br />
au commencement du XVI e siècle, s'installer dans le pays Mâasseia, près <strong>de</strong><br />
l'oued SMENDOU.<br />
Constitués en Makhzen sous <strong>les</strong> Turcs, leur territoire s'étend dans trois bassins:<br />
celui du SAFSAF, <strong>de</strong> l'oued GUEBLI et <strong>de</strong> l'oued SMENDOU. Les terres sont<br />
d'excellente qualité.<br />
La tribu se divise en quatre fractions: REFRAF, SFERDJELA, SEBIKHA et OULAD<br />
BRAHAM.<br />
(Sa population est d'environ 6000 âmes).<br />
Les Eulma Mâassela avaient à Constantine<br />
une maison, Dar ben Arbàa, sanctuaire en<br />
l'honneur du marabout Sidi Hammadi [...].<br />
Le bey <strong>de</strong> Constantine [leur donnait lors du<br />
pèlerinage annuel] une charge <strong>de</strong> dattes,<br />
une mule et un drapeau (25). Cette Ziara a<br />
été suspendue <strong>de</strong>puis la prise <strong>de</strong> Constantine<br />
(26). Elle a été remplacée chez <strong>les</strong> Eulma par ZlARA EL ÃASSEL qui a quelque<br />
analogie avec la fête <strong>de</strong>s Aîssaoua : Sacrifice <strong>de</strong> moutons, danse frénétique à la<br />
vue <strong>de</strong>s plats <strong>de</strong> miel qu'on apporte en abondanœ. Dans cet état, ils mangent une<br />
quantité prodigieuse <strong>de</strong> ce miel.<br />
Des Khouan <strong>de</strong>s trois ordres: MOULEY TEÎB, ANSALI et SlDl ABDERRAHMAN ,<br />
s'y ren<strong>de</strong>nt en foule [...] en mangeant le miel, en dansant, on récite sur [<strong>les</strong> enfants<br />
mala<strong>de</strong>s ou b<strong>les</strong>sés), <strong>de</strong>s prières qui doivent infailliblement leur rendre la santé.<br />
C'est <strong>de</strong> cet usage que vient le nom <strong>de</strong> Mâassela (endroits frottés <strong>de</strong> miel) que<br />
portent <strong>les</strong> EULMA.
Ce territoire, situé à 25 km environ au Sud-Est <strong>de</strong> Skikda, occupe le versant nord<br />
du Djebel Sidi Driss.<br />
Il se compose <strong>de</strong> plusieurs petits bassins dont <strong>les</strong> eaux se réunissent à l'oued<br />
GUEBLI. Les terres du nord, situées en plaine (agriculture <strong>de</strong>s céréa<strong>les</strong>) sont<br />
habitées en hiver; au printemps, la population <strong>de</strong> 3000 âmes, émigre dans la partie<br />
montagneuse : eaux abondantes, jardins.<br />
La tribu se divise en cinq fractions : OULAD SAAD, OULAD AMAR, ZERADA ,<br />
BEGHERICH. Les quatre premiers sont <strong>de</strong> race kabyle. Quant aux BAGHERICH,<br />
ils s'attribuent une origine illustre. Leur aïeul, disent-ils, n'était rien moins que SlDl<br />
EMBAREK, fils <strong>de</strong> MOULEY YACOUB EL-MANSOUR, empereur du MAROC [...]<br />
au temps <strong>de</strong>s Turcs, la Zaouaîa <strong>de</strong>s Ben Beghrich jouissait <strong>de</strong> droit d'asile [...] on<br />
s'y livra aussi à <strong>de</strong>s intrigues politiques, notamment lors <strong>de</strong> la gran<strong>de</strong> révolution <strong>de</strong><br />
1804, qui avait pour but <strong>de</strong> renverser la domination turque. Une autre famille, <strong>de</strong><br />
caractère religieux également, est établie à Sidi Driss, dans le SEGAOU. Elle fait<br />
remonter son origine à Sidi Driss (ldriss), <strong>de</strong>scendant du prophète. AZIZA bey,<br />
femme <strong>de</strong> Redjeb bey <strong>de</strong> Constantine en 1666, fit bâtir une mosquée en l'honneur<br />
<strong>de</strong> Sidi Driss, afin d'accomplir un vœu formé par elle. Salah bey fit réparer, un siècle<br />
plus tard, cet édifice qui renferme <strong>les</strong> corps <strong>de</strong> plusieurs saints personnages, entre<br />
autres un Sidi Bou Hamman (27), <strong>de</strong> la famille <strong>de</strong>s marabouts <strong>de</strong> Sidi Okba du<br />
Sahara.
Tribu située à 50 km au Sud-Est <strong>de</strong> Collo. Sol excessivement tourmenté, sauf<br />
quelques plateaux propres à la culture, presque entièrement couvert <strong>de</strong> forêts où<br />
domine le chêne-liège. Sources assez abondantes se déversant par <strong>de</strong>s ravins<br />
dans l'Oued Guebli. Seuls moyens <strong>de</strong> communication, <strong>les</strong> ravins. Population <strong>de</strong><br />
2500 âmes. Commerce actuel portant sur <strong>les</strong> bestiaux, laines, peaux, cires(28),<br />
miels(29), hui<strong>les</strong>(30), liège. ll pourra prendre plus d'importance, lorsque <strong>les</strong> routes<br />
auront relié <strong>les</strong> centres d'activité, ce pays possédant <strong>de</strong>s gisements <strong>de</strong> fer,<br />
d'antimoine, <strong>de</strong> plomb argentifère, et plus <strong>de</strong> 8000 hectares <strong>de</strong> forêts Les OULAD<br />
EL HADJ sont dorigine arabe, et se disent <strong>de</strong>scendre d'un<br />
marabout venu du Maroc s'installer dans ces montagnes à une époque fort<br />
ancienne. Comme presque toutes <strong>les</strong> tribus <strong>de</strong> la région, ils traversèrent la pério<strong>de</strong><br />
Turque dans une indépendance qu'ils surent conserver durant <strong>les</strong> premières<br />
années <strong>de</strong> notre occupation (31). lls se divisent en huit fractions:<br />
ARB GUILÀA; OULAD KHALIFA REDADSA; DULAD KHALIFA DENAÎRA;<br />
SEKHARA. ZOUABRA; ARB EL KOL; MEGADLA et OULAD SELIMAN. Ils se<br />
disent d'orlgine CHORFA (32), et viennent <strong>de</strong>s BENI KAÎD <strong>de</strong> GIG ELLl (33). (24) -<br />
Mâassela (<strong>de</strong> miel), (25) - Sandjaq ou étendard, (26) - 1837, (27) - Sidi Bou<br />
Hammam (28), (29), (30) : “Cires", "Miels", "Hui<strong>les</strong>" au pluriel dans le texte <strong>de</strong><br />
Féraud. (31) - L'occupation française <strong>de</strong> l'Algérie et <strong>de</strong> la région. (32) - Chérif,<br />
pluriel Chorfa : <strong>de</strong>scendants du Prophète. (33) - Gigelli ou Djidjelli : Jijel.
La suite <strong>de</strong>s Tribus au prochain numéro…
Météo Urbaine<br />
Beau temps Mauvais temps<br />
1-Enfin, Enfin, Enfin<br />
La bâtisse <strong>de</strong> la nouvelle BADR en chantier<br />
Depuis plus <strong>de</strong> 02 décennies et érigée au<br />
Niveau <strong>de</strong> l’entrée <strong>de</strong> l’avenue B.Boukadoum<br />
A été récemment démolies, ce qui a suscité une<br />
Joie immense auprès <strong>de</strong>s citoyens <strong>de</strong> Skikda.<br />
+ + + + + + + + + + + +<br />
2-Bonne initiative pour <strong>les</strong> jeunes<br />
Le terrain situé au niveau <strong>de</strong>s allées du 20<br />
Août 55, initialement prévu pour la construction<br />
Du nouveau siège <strong>de</strong> l’APW, a finalement été<br />
Alloué à la direction <strong>de</strong> la culture pour la<br />
Construction d’une gran<strong>de</strong> bibliothèque.<br />
Très bonne action!!!<br />
+ + + + + + + + + + + +<br />
3-La nouvelle maison <strong>de</strong> la culture<br />
Située au niveau <strong>de</strong> la cité Amar chetaibi en voie<br />
D’achèvement. Encore un espace culturel<br />
Supplémentaire pour <strong>les</strong> jeunes talents cachés.<br />
Un Bon point<br />
+ + + + + + + + + + + + +<br />
4-Cette année l’ouverture <strong>de</strong> la saison estivale<br />
A été fixée pour le 16 juin et c’est Stora qui a été<br />
Choisie pour fêter l’évènement….Bravo<br />
+ + + + + + + + + + + + +<br />
5-Tourisme, bonne nouvelle, la wilaya <strong>de</strong> Skikda<br />
Dispose <strong>de</strong> 10 grands projets qui verront le jour.<br />
………..!<br />
1-RHP. Dégourbatisation, a quand le taureau<br />
Par <strong>les</strong> cornes…….Merci<br />
+ + + + + + + + + + + +<br />
2- éclairage public, la pénombre bat son plein.<br />
+ + + + + + + + + + + +<br />
3- Espaces verts, la nature a horreur du vi<strong>de</strong>.<br />
+ + + + + + + + + + + +<br />
4- Fête <strong>de</strong> la fraise 2013, peut mieux faire.<br />
+ + + + + + + + + + + +<br />
5- Assainissement, le Bricolage perdure.<br />
+ + + + + + + + + + + +<br />
6- Distribution <strong>de</strong> l’eau potable, un don <strong>de</strong> Dieu<br />
Mal géré par <strong>les</strong> hommes.<br />
+ + + + + + + + + + + +<br />
7- Vieux bâti, une affaire très sérieuse à<br />
Prendre au sérieux.<br />
+ + + + + + + + + + + +<br />
8- La pseudo stèle commémorative situé sur<br />
Les hauteurs <strong>de</strong> la ville.<br />
Une atteinte à la mémoire <strong>de</strong> nos valeureux<br />
Martyrs.<br />
+ + + + + + + + + + + +<br />
9- Aménagement du théâtre romain, même <strong>les</strong><br />
Les travaux <strong>de</strong>s pyrami<strong>de</strong>s d’egypte, n’ont pas<br />
Pris aussi <strong>de</strong> temps.
Beau temps Mauvais temps<br />
6- Bonne nouvelle, nos élus se décarcassent<br />
À Suivre……!<br />
+ + + + + + + + + + + +<br />
7- Bonne nouvelle, la Gare routière Mohamed<br />
Boudiaf sera délocalisée très bientôt.<br />
+ + + + + + + + + + + +<br />
8- Proposition: L’ex. SEMPAC située au niveau<br />
<strong>de</strong>s allées, un grand centre commercial ferait la<br />
Joie <strong>de</strong>s citoyens <strong>de</strong> Skikda…….Merci<br />
+ + + + + + + + + + + +<br />
9- Proposition: La Gare routière M.Boudiaf, un<br />
Parking à étages serait l’idéal……..Merci<br />
+ + + + + + + + + + + +<br />
10- Proposition: Radio-Skikda à l’emplacement<br />
<strong>de</strong> l’ex. secteur militaire et pourquoi pas !!!!<br />
+ + + + + + + + + + + +<br />
11- Proposition: Un parc végétal à l’emplacement<br />
De la place <strong>de</strong> la liberté (Cour).<br />
Un grand moyen d’oxygénation à étudier !<br />
10- Rappel, Rappel, Rappel<br />
Que <strong>de</strong>viennent <strong>les</strong> trémies prévues pour<br />
Skikda.<br />
+ + + + + + + + + + + +<br />
11- Des routes SVP <strong>de</strong>s routes SVP, <strong>de</strong>s<br />
Routes SVP…………….Merci
Hommage à<br />
Si Ali-Hocine Kafi<br />
DEVOIR DE MEMOIRE<br />
Ali Kafi, (يفاك نيسح يلعné le 17 octobre 1928 à El Harrouch et mort le 16 avril 2013<br />
à Genève en Suisse, est un colonel <strong>de</strong> l’ALN et homme d'État algérien.<br />
Militaire <strong>de</strong> carrière, militant du FLN durant la guerre d'Algérie, il exerce comme<br />
ambassa<strong>de</strong>ur d'Algérie dans plusieurs pays, après l'indépendance. Il succè<strong>de</strong> à<br />
Mohamed Boudiaf en <strong>de</strong>venant du 2 juillet 1992 au 30 avril 1994, le second<br />
prési<strong>de</strong>nt du Haut Comité d'État, organe transitoire <strong>de</strong> la gestion <strong>de</strong> l'État.<br />
Formation religieuse<br />
Il est né le 17 octobre 1928 à M'Souna, localité près <strong>de</strong> la ville d'El Harrouch dans<br />
l'actuelle wilaya <strong>de</strong> Skikda, dans une famille <strong>de</strong> petits paysans affiliée à la célèbre<br />
confrérie musulmane Rahmaniya. Le père d'Ali Kafi, Cheikh El Hocine, qui se<br />
chargea <strong>de</strong> son éducation, lui dispensa lui-même l'enseignement religieux3. En<br />
1946, il est envoyé dans une école coranique réputée <strong>de</strong> Constantine, l'Institut<br />
Kettenia. Marqué par <strong>les</strong> massacres <strong>de</strong> Sétif <strong>de</strong> 1945, adhérant rapi<strong>de</strong>ment aux<br />
idées nationalistes du Parti du peuple algérien (PPA), il y forme avec d'autres<br />
étudiants une cellule militante. Diplômé « El Ahlia » en 1950, il part en Tunisie<br />
renforcer sa formation dans la gran<strong>de</strong> université islamique <strong>de</strong> la Mosquée Zitouna.<br />
Il y côtoie <strong>les</strong> milieux nationalistes tunisiens et participe à plusieurs actions<br />
militantes. Expulsé <strong>de</strong> Tunisie en 1952, il purge alors une peine <strong>de</strong> six mois <strong>de</strong><br />
prison pour ses activités
Militant nationaliste<br />
DEVOIR DE MEMOIRE<br />
Libéré, il reprend ses activités nationalistes, et est nommé enseignant dans une<br />
école libre <strong>de</strong> Skikda tenue par le Mouvement pour le triomphe <strong>de</strong>s libertés<br />
démocratiques en Algérie (MTLD). Le 1er novembre 1954, au déclenchement <strong>de</strong><br />
la guerre d'Algérie, Ali Kafi est contacté par Didouche Mourad, responsable FLN<br />
<strong>de</strong> la zone II (Nord Constantinois). Il intensifie alors son action militante à Skikda<br />
et rejoint l'Armée <strong>de</strong> libération nationale (ALN). Sous <strong>les</strong> ordres <strong>de</strong> Zighoud<br />
Youcef, à la tête <strong>de</strong> la wilaya II après la mort <strong>de</strong> Didouche Mourad, il participe aux<br />
massacres du Constantinois en 1955 entrant dans la lutte armée. En août 1956, il<br />
fait partie <strong>de</strong> la délégation <strong>de</strong> la wilaya II du congrès <strong>de</strong> La Soummam, qui met en<br />
place <strong>les</strong> structures administratives et militaires du mouvement indépendantiste. Il<br />
<strong>de</strong>vient alors représentant militaire, puis colonel, et enfin commandant <strong>de</strong> la wilaya<br />
II historique <strong>de</strong> 1957 à 1959. En mai 1959, il fait partie <strong>de</strong>s dix colonels chargés <strong>de</strong><br />
l’organisation <strong>de</strong>s opérations militaires <strong>de</strong> l’ALN à Tunis, où il s'installe jusqu'à<br />
l'indépendance algérienne. Durant la crise <strong>de</strong> l’été 1962, il soutient le<br />
Gouvernement provisoire <strong>de</strong> la République algérienne (GPRA) <strong>de</strong> Benyoucef<br />
Benkhedda face au bureau politique du FLN <strong>de</strong> Ben Bella.
Homme politique<br />
DEVOIR DE MEMOIRE<br />
Après l'indépendance, il est nommé ambassa<strong>de</strong>ur d'Algérie dans plusieurs pays,<br />
au Liban en 1963, en Syrie en 1966, en Tunisie en 1975 et représentant algérien<br />
la même année <strong>de</strong> Ligue arabe alors installée à Tunis, et également en Égypte, en<br />
Irak et en Italie. En 1990, il <strong>de</strong>vient secrétaire général <strong>de</strong> l'Organisation nationale<br />
<strong>de</strong>s Moudjahidines (combattants algériens durant la guerre d'Algérie). Le 11<br />
janvier 1992, après la <strong>de</strong>stitution du prési<strong>de</strong>nt Chadli Bendjedid, l'armée met en<br />
place un Haut comité d'État (HCE), organe provisoire <strong>de</strong> la gestion <strong>de</strong> l'État, et Ali<br />
Kafi en est nommé membre. En pleine « décennie noire », le 2 juillet 1992, il<br />
succè<strong>de</strong> à Mohamed Boudiaf, assassiné, à la prési<strong>de</strong>nce du HCE. Devenant <strong>de</strong><br />
plus en plus entreprenant, il entame notamment sans concertation un dialogue<br />
avec <strong>les</strong> partis politiques, une conférence du HCE déci<strong>de</strong> alors <strong>de</strong> le remplacer. Il<br />
remet ses pouvoirs <strong>de</strong> chef <strong>de</strong> l'État à Liamine Zéroual le 30 juin 1994. Ali Kafi<br />
publie ses mémoires en 2002 dans un ouvrage intitulé Du militant politique au<br />
dirigeant militaire où il revient notamment sur <strong>de</strong> nombreuses zones d'ombres <strong>de</strong><br />
la « révolution algérienne », ouvrage pour lequel il sera lour<strong>de</strong>ment critiqué<br />
notamment pour ses révélations, jugées offensantes, entre autres sur Abane<br />
Ramdane.
Sondage d’opinion<br />
ASSOCIATION LES AMIS DE SKIKDA<br />
La lettre “Amis <strong>de</strong> Skikda” repond-elle a votre attente ?<br />
Entierement . . . . . . . . . . .Partiellement. . . . . . . . . . . . .Pas du tout. . . . . . . . . . . . . .<br />
La conception vous satisfait-elle ?<br />
Oui. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Non. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .<br />
Quel<strong>les</strong> rubriques avez-vous trouve interessantes ?<br />
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .<br />
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .<br />
Quel<strong>les</strong> nouvel<strong>les</strong> rubrique aimeriez vous voir ajouter ?<br />
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .<br />
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .<br />
Quels autres themes aimeriez vous voir <strong>de</strong>veloppes ?<br />
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .<br />
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .<br />
Avez vous collabore a ce numero ?<br />
Oui. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Non. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .<br />
Aimeriez vous collaborer a l’avenir ?<br />
Oui. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Non. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .<br />
____________________________________________________________________<br />
Nom et Prenom. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Telephone:. . . . . . . . .
ASSOCIATION LES AMIS DE SKIKDA<br />
FICHE D’ADHESION<br />
o Nom: . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .<br />
o Prenom: . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .<br />
o Date <strong>de</strong> Naissance: . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .<br />
o Profession: . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .<br />
o Niveau d’etu<strong>de</strong>s atteint: . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .<br />
o Adresse personnelle: . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .<br />
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Telephone:. . . . . . . .<br />
Joindre <strong>de</strong>ux [02] photos d’i<strong>de</strong>ntite et six cents DA [600DA] pour 1 AN <strong>de</strong> cotisation<br />
Pour toutes adhesion se presenter au siege <strong>de</strong> l’association<br />
Sis au 12 Rue Mahmoud Nafir – Skikda<br />
Tous <strong>les</strong> jours <strong>de</strong> 09H00 a 11H00 et <strong>de</strong> 14H00 a 19H00.