Lectures | Spectacles - La voix des mots
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Rencontre avec David Dumortier<br />
dans le cadre de TemPoésie <strong>Lectures</strong> | <strong>Spectacles</strong><br />
Jeudi 29<br />
janvier<br />
Quétigny<br />
14h00<br />
Ecole les<br />
Huches<br />
François<br />
Mitterrand<br />
1, rue de l’Espace<br />
Dijon<br />
18h00<br />
Bibliothèque<br />
universitaire<br />
Droit-Lettres<br />
4, Allée<br />
Alain Savary<br />
Dijon<br />
20h00<br />
Maison de<br />
Rhénanie-<br />
Palatinat<br />
29, Rue Buffon<br />
Le Premier Homme<br />
d’Albert Camus par le Muséâtre.<br />
Adaptation et réalisation : Jean-<br />
Paul Schintu / Musique : Philippe<br />
Hersant.<br />
Le Premier Homme, c’est d’abord une<br />
<strong>voix</strong> qui arrive jusqu’à nous, sans masque,<br />
sans artifice, spontanée, naturelle,<br />
tour à tour grave et enjouée.<br />
En écoutant ce récit, on est frappé par<br />
l’authenticité éclatante de cette <strong>voix</strong>,<br />
la <strong>voix</strong> de Camus, chaleureuse, profonde,<br />
primitive.<br />
Ce roman, retrouvé dans sa serviette<br />
sur les lieux de l’accident qui lui coûta la vie, Camus y travaillait<br />
depuis quelques années déjà, voulant entreprendre<br />
cette histoire d’immigration à travers la figure du père qu’il<br />
n’a pas connu, mais aussi comme un hommage à cette population<br />
d’Algérie, chrétienne, juive et arabe, qui au moment<br />
où il le raconte, se déchire.<br />
Récit autobiographique qui nous fait découvrir l’enfance et<br />
l’adolescence de l’auteur en Algérie au début du XXe Vendredi 30<br />
janvier<br />
Villeblevin<br />
20h30<br />
Foyer communal<br />
Espace<br />
Heidenburg<br />
Bibliothèque<br />
départementale de<br />
l’Yonne<br />
siècle,<br />
la fraternité <strong>des</strong> pauvres, les premiers dégâts du colonialisme,<br />
l’école de la République, l’éveil à la sensualité devant la nature,<br />
mais aussi ce moment d’écriture de l’œuvre avec en toile de<br />
fond la guerre d’Algérie à la fin <strong>des</strong> années 1950.<br />
Jean-Paul Schintu a été l’élève d’Antoine Vitez au Conservatoire<br />
National Supérieur de Paris, puis co-directeur du éâtre de<br />
l’Escalier d’Or pendant huit ans.<br />
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