Lectures | Spectacles - La voix des mots

A plusieurs facettes
Ateliers Expositions Conférences
Qui aurait la prétention de pouvoir
Samedi 24 se définir ? De savoir ce qu’est l’autre
janvier au-delà du squelette qu’il habite ?
Dijon
De penser que ce que l’on voit est
ce qui est ? De soutenir que ce qu’il
18h00-23h00 devient ne dépend pas du regard de
Hôtel Bouchu l’autre ?
dit d’Esterno Qui serait suffisamment déraisonné
rue Monge pour imaginer maîtriser le temps et
ainsi prédire la transformation qu’il
Soirée Agora opère ?
Pas nous et pour preuve la traversée
poétique en images de notre
questionnement.
Peu de lettres, mais de l’écriture graphique et picturale,
adoucie parfois avec un peu d’eau parce que l’exercice
nous a demandé d’arrondir quelquefois les angles
avec nous-mêmes… notre voyage dans le monde de la
subjectivité de la pensée et du regard.
Les productions que nous vous donnons à voir, sous
forme de photomaton géant (1,80/2m et 0,50/1,80m)
pourraient raconter l’histoire de l’identité d’un seul
individu ou de deux autres, pris dans un jeu de miroirs,
ou encore de plusieurs autres qui ne savent pas que,
peut être, ils ne font qu’un.
La sculpture/peinture que nous vous présentons s’inspire
de l’œuvre de Ming, Les 108 brigands. Elle a été réalisée
par un groupe d’adolescents accompagné par Isabelle
Tchang Tchong et le Pôle d’insertion de la Protection
Judiciaire de la Jeunesse de Dijon.
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