quiz sur l'histoire du lac - Lac Stukely

Le lac Stukely
Lac Stukely
Un héritage à préserver
Un peu
d’histoire 1

20 questions et réponses
• Les premiers arrivants
• L’organisation civile
• Les voies de communication
• Le lac avant 1958
• Le lac après 1958
• Une association
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les premiers arrivants
• les loyalistes;
En 1783, le traité de Versailles met fin à la guerre entre les
colonies américaines et l’Angleterre. Certains américains
préfèrent demeurer fidèles à la couronne britannique et
quittent les USA. Certains viennent s’installer au Québec,
tous dans notre région qui est inhabitée.
Le seul lieu fréquenté est alors un poste de traite au lieu dit
des Grandes Fourches, qui correspond à Sherbrooke.
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les premiers arrivants
• les loyalistes;
Question; Combien de loyalistes s’établissent au Québec?
‐ 2000, 7000, 20 000 ou 50 000.
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les premiers arrivants
• les loyalistes;
On estime à 50 000 le nombre de loyalistes qui quittent
les USA à cette époque. Cependant environ 7000 s’établissent
au Québec, tous dans les cantons de l’est et près de la
frontière américaine. Ils sont les premiers habitants de la
région.
Leur arrivée fera augmenter le pourcentage de la
population anglophone du Québec à 15 % en 1790.
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les premiers arrivants
• les loyalistes;
En 1812, la population de la région est de 20 000
habitants, presque tous anglophones.
En 1840 on estime que 66% de la population des cantons
est d’origine américaine. La langue d’usage est donc presque
exclusivement l’anglais
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les premiers arrivants
• les loyalistes;
question; Qu’ont en commun les noms de municipalités de
Eastman, Lawrenceville, Austin, Mansonville...
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les premiers arrivants
• les loyalistes;
question; Qu’ont en commun les noms de municipalités de
Eastman, Lawrenceville, Austin, Mansonville...
réponse; Évidemment, il s’agit de noms de loyalistes qui se
sont installés dans la région.
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les premiers arrivants
• d’autres immigrants;
La Couronne britannique fait de grands efforts pour
attirer une immigration anglophone. Des terres sont offertes
gratuitement aux soldats démobilisés suite à la fin de deux
guerres;
‐ 1814; la guerre en Europe contre Napoléon
‐ 1812‐14; guerre contre les colonies américaines qui
cherchaient à envahir le Canada.
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les premiers arrivants
• les francophones;
À compter de 1840, des canadiens français commencent
à arriver dans la région pour cultiver des terres encore
inoccupées.
Ils s’installeront surtout dans le nord du territoire.
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les premiers arrivants
• les francophones;
question; En quelle année la proportion d’anglophones
a‐t‐elle été réduite à 50% ?
‐ 1844, 1875, 1910 ou 1940
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les premiers arrivants
• les francophones;
C’est en 1875 que les deux groupes linguistiques
deviennent à égalité.
En 1910 les francophones représentent 66% de la
populatiion et 90% en 2000.
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l’organisation civile
• les cantons;
Sous le régime français, le développement s’effectuait en
vertu du régime seigneurial. Un seigneur recevait un territoire
et en échange de redevances, devait offrir les services de
routes, de moulins et autres utilités publiques.
Après la conquête, les britanniques implantèrent le
régime des Township dans les endroits non‐concédés. Au fil
des ans, ils créèrent 95 cantons de 10 milles par 10 milles. Il
n’y avait ni redevance ni responsable, si ce n’est qu’une partie
devait être réservée à la Couronne et une autre à l’Église
Anglicane.
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l’organisation civile
• les cantons; Stukely
Le canton de Stukely fut créé en 1795. On y attribua 152
lots de 200 acres dont 42 réservés au clergé anglican et à la
Couronne.
Question; Combien d’habitants compte le canton en 1830?
‐213, 388, 1267 ou 3421
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l’organisation civile
• les cantons; Stukely
En 1830 le canton de Stukely compte 388 habitants.
En 1845 il est divisé en deux municipalités, North Stukely
et South Stukely.
North Stukely sera à son tour divisé en deux
municipalités; Ste‐Anne de Stukely et Stukely nord, partie est.
En 1951, Ste‐Anne de Stukely devient Ste‐Anne de La
Rochelle.
Stukely nord, partie est, deviendra plus tard Bonsecours.
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l’organisation civile
• les cantons; Orford
Le canton fut créé en 1801 et était presque inhabité, le
territoire étant peu propice à l’agriculture.
La principale activité y fut la coupe de bois. La région
était célèbre pour ses pins, ses mélèzes et ses noyers.
En 1860 débute l’exploitation forestière du versant est du
mont Orford. Le bois est amené vers Newport via la rivière
aux cerises et le lac Memphrémagog.
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l’organisation civile
• les cantons; Orford
Vers les années 1900, M. SHM Miner, propriétaire de la
compagnie Miner Rubber, acquiert un immense terrain du
côté nord du lac Stukely.
question; De quelle ville du québec M.Miner a‐t‐il été maire?
‐ Montréal, Sherbrooke, Waterloo ou Granby.
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l’organisation civile
• les cantons; Orford
M. Miner a été maire de la ville de Granby, et ce pendant
24 ans.
En 1938 le parc du mont Orford est constitué. Il occupera
au départ 48 km carrés. Il est agrandi une première fois en
1975 et est porté à 64 km carrés en 1979.
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l’organisation civile
• les cantons; Bolton
En 1797, à la demande de Nicholas Austin, se forme le
canton de Bolton. Un de ses associés s’appelle John Eastman.
question; ‐ quel fut le premier nom donné à ce qu’on
appelle aujourd’hui Eastman?
question; ‐ comment s’appelait le lac d’argent à cette
époque?
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l’organisation civile
• les cantons; Bolton
En 1797, à la demande de Nicholas Austin, se forme le
canton de Bolton. Un de ses associés s’appelle John Eastman.
question; ‐ quel fut le premier nom donné à ce qu’on
appelle aujourd’hui Eastman?
Bolton Forest
question; ‐ comment s’appelait le lac d’argent à cette
époque?
le lac Silver
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l’organisation civile
• les municipalités;
Le système des cantons ne prévoit aucun modèle
d’organisation civile. Il n’y a pas d’autorité sur le territoire, ni
élection ni taxes. Il n’y a donc pas de services communs ni
routes.
En 1845 et 1855 les lois créent des municipalités à
l’échelle régionale et cantonale de même que des
municipalités de village, de paroisse, de cité ou de ville.
Les propriétaires doivent dont élire leurs représentants et
payer des taxes. La municipalité prend en charge le
développement de leur territoire.
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l’organisation civile
• les municipalités; Bonsecours
C’est en 1825 qu’on signale l’arrivée des premiers colons
à ce qui deviendra Bonsecours. Ce sont des francophones. La
paroisse Notre‐Dame de Bonsecours est fondée en 1840.
La première route Montréal‐Sherbrooke, construite en
1834, traverse la municipalité et le chemin de fer
Mansonville‐Windsor également.
question; En quelle année la municipalité de Stukely Nord,
partie est, prend‐elle le nom de Bonsecours?
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l’organisation civile
• les municipalités; Bonsecours
C’est en 1961 que la municipalité prend officiellement le
nom de Bonsecours. Il faut préciser que la paroisse catholique
Notre‐Dame de Bonsecours existait depuis 1840.
La partie sud du canton est également divisée en deux
municipalités; Stukely sud et Stukely s.d., pour sans
dénomination.
Stukely s.d. se fusionnera avec Eastman mais Stukely sud
restera indépendant.
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L’organisation civile
• les municipalités; Eastman
C’est environ en 1800 que les premiers colons s’installent
sur le bord du lac Silver. Vers 1840 un moulin à scie est
construit à la décharge du lac d’argent.
La route pour Magog et Sherbrooke passe au nord du lac
d’argent à compter de 1840 et les voyageurs s’arrêtent à
l’hôtel des diligences.
En 1870 le train se rend jusqu’à Magog. Il y a une gare à
Eastman. En 1892 une nouvelle ligne de chemin de fer relie
Mansonville à Windsor et passe par Eastman.
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L’organisation civile
• les municipalités; Eastman
question; En quelle année est créée officiellement la
municipalité d’Eastman?
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L’organisation civile
• les municipalités; Eastman
question; En quelle année est créée officiellement la
municipalité d’Eastman?
La municipalité est officiellement crée le 28 décembre
1888 par détachement de la municipalité de Bolton‐est.
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l’organisation civile
• les municipalités; Eastman
question; En quelle année les municipalités de Eastman et de
Stukely s.d. Se sont‐elles officiellement fusionnées?
‐ 1986, 1994, 1998 ou 2001
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l’organisation civile
• les municipalités; Eastman
C’est en 2001 que les deux municipalités ont été
officiellement fusionnées. Il faut dire qu’une première
tentative avait échouée en 1986.
Question; Combien d’habitants compte alors la nouvelle
ville fusionnée?
986, 1326, 2546 ou 3396
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l’organisation civile
• les municipalités; Eastman
Eastman compte à l’époque 828 habitants et Stukely en
compte 498, donc un total de 1326 personnes. En 2005, la
ville en compte 200 de plus.
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l’organisation civile
• les municipalités; Canton d’Orford
La municipalité du Canton d’Orford est officiellement
créée en1855.
Au fil des ans les municipalités de Sherbrooke, de Rock
Forest, de Dauville, de St‐Élie d’Orford grugeront les deux tiers
du territoire.
En 2005, la population de la municipalité du canton
d’Orford est de 3400 personnes.
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les voies de communication
• les routes;
La première route Montréal‐Sherbrooke fut construite
en 1834.
Question; quel tracé suivait cette route?
‐ la route 220 actuelle
‐ la route 112 actuelle
‐ le chemin de la diligence actuel
‐ l’autoroute 10 actuelle
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les voies de communication
• les routes;
Il semble que la première route suivait le tracé actuel de
la 220. Elle passait donc par Bonsecours mais pas par
Eastman.
En 1840, quand on construisit une route Montréal‐
Magog‐Sherbrooke, on adopta un tracé passant par l’actuel
chemin de la diligence et donc au nord des lacs d’Argent et
Orford. C’est en 1890 qu’elle prit le tracé de la 112.
Quant à l’autoroute 10, elle fut terminée en décembre
1964.
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les voies de communication
• le train;
Le premier train relie Montréal à Sherbrooke en 1852
mais passe par St‐Hyacinthe et Richmond. Un autre relie
Montréal à Waterloo à compter de 1860.
Il sera prolongé à Magog en 1870 et Sherbrooke en 1885.
Il passe alors par Eastman.
On construit une autre ligne entre Mansonville‐Eastman‐
Bonsecours‐Racine et Windsor entre 1892 et 1910.
La construction de routes entraîne leur déclin. La ligne
vers Magog ferme en 1936. Le tronçon Mansonville‐Eastman
ferme en 1930 et celui Eastman‐Valcourt en 1960.
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le lac Stukely avant 1958
• ‐ L’environnement du lac est peu propice à l’agriculture.
L’absence de routes empêche le développement de d’autres
activités.
• En 1905 un embranchement de la ligne de train Eastman‐
Valcourt est ouverte jusqu’au lac. C’est le début d’une intense
période de coupe de bois tout le tour du lac. La coupe et la
drave durera de 1905 à 1920.
• Après cette période le lac redevient presque exclusivement un
site de chasse et de pêche.
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le lac Stukely avant 1958
• Les installations connues;
‐ Bonnallie Mills; moulin à scie et à farine et relais de
diligences situé à la décharge du lac près de la route 220..
‐ Club House du Granby Fish and Game Club situé à
l’emplacement actuel de Jouvence. Il est acheté en 1944 par
le diocèse de Sherbrooke qui en fait une colonie de vacances
surtout pour la JEC.
‐ Windsor Lunch qui logeait les cheminots et situé à
l’extrémité est du secteur Normand
‐ camp de pêche de Lord William Shaughnessy près de la
plage du domaine Monbel
‐ terrain et maison de M. Miner à l’emplacement actuel.
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le lac Stukely avant 1958
• Les installations connues;
Une auberge s’établit sur le bord du lac, près de la voie
ferrée et le train y amène de nombreux visiteurs durant l’été.
question; comment s’appelait cette auberge?
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le lac Stukely avant 1958
• Les installations connues;
Une auberge s’établit sur le bord du lac, près de la voie
ferrée et le train y amène de nombreux visiteurs durant l’été.
question; comment s’appelait cette auberge?
Il s’agit du Château Foster. Elle cessa ses activités lorsque
le train fut démantelé vers 1930.
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le lac Stukely après 1958.
• Parc national du mont Orford;
Créé en 1938, les activités récréatives se concentraient
sur le golf, le ski et la pêche. La première descente en ski a
lieu en 1941 et un premier câble de remontée est installé en
1942.
Question; En quelle année est installé le premier télésiège
double sur le mont Orford?
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le lac Stukely après 1958.
• Parc national du mont Orford;
C’est en 1961 qu’est installé le premier télésiège
double, long de 1700 mètres, sur le mont Orford. C’est le
plus long au Canada à cette époque.
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le lac après 1958.
• Parc national du Mont Orford;
C’est en 1951 que se tiendra le premier camp des
jeunesses musicales du Canada. En 1964 ils signent un bail de
30 ans pour 222 acres de terrain. Ils construisent un pavillon
central et une salle de spectacle de 600 places. En 1976 la
corporation du Centre des Arts se détache des Jeunesses
musicales du Canada.
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le lac après 1958.
• Parc national du Mont Orford;
Le terrain de camping est la première activité à s’établir
dans le bassin versant du lac.
question; en quelle année est construit le terrain de camping
du parc du Mont Orford?
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Le lac après 1958.
• Parc national du Mont Orford;
Le camping est construit en 1967. On y importe des
centaines de camions de sable afin de créer une plage.
En 1969 on y aménage des sentiers de randonnée
pédestre et en 1970 des pistes de ski de fond.
En 1975 le parc est agrandi par notamment l’achat des
terrains de Jouvence qui appartenaient à l’archevêché. La
corporation de Jouvence poursuit toutefois ses activités mais
élargit sa clientèle aux familles et aux adultes.
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Le lac après 1958.
• Parc national du Mont Orford;
En 2001 la principale mission du parc, comme tous les
autres parcs du Québec, devient la conservation.
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Le lac après 1958.
• Base de plein air Jouvence;
Au départ ces terrains appartiennent à Georges
Bonnallie. Un moulin à farine et un moulin à scie y sont
construits.
En 1944 les terrains sur le bord du lac sont achetés par le
diocèse de Sherbrooke pour créer le camp d’été Jouvence. On
y reçoit la clientèle des mouvements JEC, JOC, Scouts…
En 1970, la « corporation du camp de Jouvence » prend
la relève du diocèse pour opérer les activités.
En 1976 le centre devient une base de plein air.
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Le lac après 1958.
• Base de plein air Jouvence;
En 2010 sera lancé un nouveau projet d’envergure axé
sur la sensibilisation des jeunes aux enjeux planétaires et les
gestes concrets à poser pour l’améliorer. Les nouvelles
installations pourront accueillir 160 jeunes à la fois.
question; Quel est le nom de ce nouveau projet?
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Le lac après 1958.
• Base de plein air Jouvence;
Ce nouveau projet s’appelle D’Jouv. Il vise à former
des chefs de file en développement durable.
Aujourd’hui Jouvence c’est;
‐ 60 employés réguliers
‐ 125 saisonniers ou temps partiels
‐ une masse salariale de 2$ millions
‐ 43 000 nuitées par année
‐ centre de vacances classé 5 étoiles
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Le lac après 1958.
• Secteur Normand;
La voie ferrée qui y menait est démantelée en 1930. Ne
subsiste qu’une résidence appartenant à madame Crandall.
Le 24 juillet 1958, M Henri‐Georges Normand, un
menuisier‐charpentier et exploitant forestier d’Eastman,
achète 400 acres. Il en revend le jour même une partie aux
Oblats de Marie‐Immaculée.
Avec son épouse Fernande bolduc et ses 8 enfants, ils
développeront le secteur.
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Le lac après 1958.
• Secteur Normand;
‐1958; construction du chemin des Normand sur le tracé
de l’ancien chemin de fer. Il se construit aussi un chalet sur
place.
Aussitôt les habitants d’Eastman y viennent pêcher et se
baigner.
‐1959; vente des 3 premiers terrains et construction de 5
chalets à louer. Les habitants de la région y dressent leurs
tentes un peu partout ce qui donne l’idée d’ouvrir un
camping.
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Le lac après 1958.
• Secteur Normand;
‐1963; il vend à la corporation du Camp Michel deux
terrains dont un riverain à l’ouest de la baie des mésanges. Un
grand chalet et une chapelle seront construits. Le camp reçoit
des jeunes filles à la santé déficiente. La chapelle est
fréquentée par les campeurs jusqu’en 1978. En 1979 la
corporation cesse ses activités et vend les terrains. L’acheteur
divise le terrain en 15 lots.
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Le lac après 1958.
• Secteur Normand;
‐ 1965; il vend à l’Association conservation Yamaska un
grand terrain. Le club de pêche y aménagera 11 sites de
camping et une salle communautaire.
Le club compte 250 membres et pratique de
l’ensemencement dans le lac. En 2009, c’est une somme de
$5000. qui a été consacrée à l’ensemencement de truites arc‐
en‐ciel de 14 à 16 pouces.
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Le lac après 1958.
• Secteur Normand;
Aujourd’hui le secteur Normand c’est;
‐ plus de 150 résidences
‐ un camping de 164 emplacements dont 114 pour des
saisonniers
‐ encore des terrains à vendre dans la montagne
‐ un club de pêche avec camping et salle commune
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Le lac après 1958.
• Secteur Monbel;
En 1964, à l’initiative de M. Rodney Cleary, qui détenait
les droits de coupe sur le territoire, quatre associés créent
Monbel et achètent des terrains d’une superficie de 350 acres
entre 1964 et 1966.
La partie sur le lac appartenait à l’origine à Lord William
Shaughnessy qui y avait un chalet de chasse, et la partie
arrière était connue sous le nom de ferme Georges Lemay.
Tout le territoire est alors boisé, même celui de l’ancienne
ferme.
Vingt lots sont créés en bordure du lac et un chemin
d’accès est construit.
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Le lac après 1958.
• Secteur Monbel;
Progressivement, un des associés, M. Maurice Vézina
achète les parts de ses partenaires et poursuit les activités de
la corporation.
Le domaine est développé de manière totalement privée
et les chemins et les services communs appartiennent à
Monbel. Les frais d’entretien sont répartis entre les
propriétaires.
Aujourd’hui Monbel comporte 42 lots construits. Il reste
encore plusieurs terrains à vendre mais qui ne comportent
pas de vue sur le lac. Tous les lots ont un accès au lac.
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Le lac après 1958.
• Domaine des étoiles;
En 1939, le Dr Graham Ross, Ken et Arthur Patterson ont
acheté les terrains qui deviendront Monbel et le domaine des
étoiles.
question; combien ont‐ils payé ces terrains ?
54

Le lac après 1958.
• Domaine des étoiles;
En 1939, le Dr Graham Ross, Ken et Arthur Patterson ont
acheté les terrains qui deviendront Monbel et le domaine des
étoiles.
question; combien ont‐ils payé ces terrains ?
$1 500.00
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Le lac après 1958.
• Domaine des étoiles;
En 1970, Rodney Cleary achète les terrains du domaine
des étoiles. Il y poursuit son exploitation forestière.
Il construit un chemin et fait transporter des milliers de
tonnes de sable afin de créer la plage actuelle et rendre
habitables les terrains humides au bord du lac.
Il élabore des projets de développement incluant un golf
et une marina mais ne peut les actualiser car le territoire est
zoné agricole.
En 1993, un développeur de Sherbrooke, M. Migneault
acquiert les terrains et crée le domaine des étoiles.
Le domaine compte aujourd’hui près de 50 résidences.
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Une association pour le protéger.
• La fondation;
question; En quelle année a été fondée l’association pour
la protection de l’environnement du lac Stukely inc?
1969, 1976 ou 1998
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Une association pour le protéger.
• La fondation;
La réponse à la question, tel que posée, est 1998 car
antérieurement l’association ne portait pas ce nom.
Au début il s’agissait d’une association des propriétaires
(1969).
C’est en 1976 que le nom fit référence à la protection de
l’environnement.
58

Une association pour le protéger.
• La fondation;
Avant 1998, le nom de l’association faisait référence au
nom du lac qui ne s’appelait pas Stukely à l’époque.
question; Quel autre nom le lac Stukely a‐t‐il déjà porté?
Bonnallie, Bonnalay ou Bonneta
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Une association pour le protéger.
• La fondation;
Toutes ces réponses sont bonnes car le lac a porté tous
ces noms. Au moment de la création de l’association, il portait
le nom de Bonnalay.
Tous ces noms font référence à la même personne
George Bonnallie.
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Une association pour le protéger.
• La fondation;
question; Georges Bonnallie était originaire de quel
pays?
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Une association pour le protéger.
• La fondation;
La famille de George Bonnallie a quitté la France lors de
l’inquisition espagnole. Il est né en Écosse en 1811. Il émigre
ensuite aux États‐Unis en 1830.
Il arrive à Sherbrooke en 1836. Ils déménagent dans le
rang A. En 1837 il inaugure un service de diligence reliant
Sherbrooke à Montréal et qui passe par la North Way Road,
soit la 220 actuelle. S’y greffe une scierie, une meunerie un
magasin et une pension.
En 1865 il retourne vivre aux États‐Unis.
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Le lac Stukely
• Nous vous invitons fortement à lire le
document complet qui se trouve aussi sur le
site WEB de l’Association, dans la rubrique
Notre association, afin de connaître la réponse
à une foule d’autres questions.
» Merci de votre collaboration