Les songes dHippocrate torrefié - henry-galy-carles.eu

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Les Songes
d’Hippocrate torréfié

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du mÊme auteur :
LES TEMPS PA R A LLÈLES
ensemble des écrits publiés depuis 1952, sur les arts plastiques,
réunis dans les fonds des arCHIVeS d’art et consultables sur
internet :
http://www.uhb.fr/alc/aca:welcome:html
http://www.uhbfr/alc/aca/rica/critica.html
ROBERT TATIN
1966
editions Charpentier
LE C A PITA L DU NÉA NT
POÉSIE :
L’OmBre deS aBYSSeS
RES NULLIUS
1936-1948
editions du Lanquenet-France
L’IMPOSSIBLE INFINI
1981
tirage limité à 35 exemplaires numérotés, ornés de deux gravures
d’annibal, éditions Lacourière-Frelaut
auX ÉdItIONS SaINt-GermaIN-deS-PrÉS
VOYAGE AUX ENFERS I
1949-1951
VOYAGE AUX ENFERS II
1981-1984
SPARTACUS OU LE SOUFRE DES VOLCANS
1988-1994
auX ÉdItIONS LIBraIrIe-GaLerIe raCINe
LE KAOS OU LA PRÉDICTION DE CASSANDRE
1994-1996
LE CRI DE LA MÉDUSE
1995-1997
THÉÂ TRE :
LES NUITS DE CENDRE
Le mur de l’impossible (Opéra/ballet)
a) LeS FarCeS I & II
La Marche nubile / Le roy aume d’Idada
Les Cimmériens (farce III)
Les Songes d’Hippocrate Torréfié (Sotie)
B) LeS HuIS-CLOS (I & II)
Jour noir / Les Pieuv res
LeS HuIS-CLOS (III, IV & V)
Saag / Le Rendez-v ous / Les Cauchemardesques

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Henri Galy-Carles
Les Songes
d’Hippocrate torréfié
Librairie-Galerie racine

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édition originale
dépôt légal : 2005
I.S.B.N. : 2-243-04221-5

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LeS SONGeS d'HIPPOCrate tOrrÉFIÉ
Le langage devant un monde absurde où
rien n'est logique ne peut, lui aussi, que rester
dans cette zone floue. Où, seules sensations et
visions coexistent, en apparence, sans lien.
Si l'espace de Lautréamont est tragique,
celui des SONGeS d'HIPPOCrate
tOrrÉFIÉ, à première lecture incohérent, transgresse
ce tragique pour le comique. et se veut tel.
reflet d'une planète dont il vaut mieux rire que
pleurer.
Son héros : HIPPOCrate, farfelu personnage,
sera tour à tour : Lampiste. Fonctionnaire.
Premier clown du pays. Homme politique.
maréchal. mais en butte à l'astuce oppositionnelle
de SÉraPHINe. Sa bonne. Sa femme. Son
"faire-valoir".
et toujours entouré d'une "foule en délire".
H. G.–C.

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LeS SONGeS d’HIPPOCrate
tOrrÉFIÉ
Note : Si par hasard il venait à l’esprit d’un metteur
en scène de vouloir faire un spectacle en une ou plusieurs
phases de cet “HIPPOCrate tOrrÉFIÉ”,
tout loisir est laissé à son imagination.
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PREMIER SONGE
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Lorsque Hippocrate pénètra dans le
tablier de sa bonne, il n'y trouva qu'une
vieille ardoise roussie, sur laquelle s'étalaient
en lettres d'or massif des mots incompréhensibles
qu'il essaya tout de go de déchiffrer.
mais, comme il s'obstinait à lire l'ardoise le
devant derrière il ne comprit rien si ce n'est,
que le roi devait sur son pot, manger une
salade cuite. Cela l'étonna fort. et il se
demanda comment il se pouvait que sur une
salade cuite le roi mangeât son pot. Il tourna
et retourna dans sa vieille cervelle délabrée
tous les syllogismes crapuleux du rêve royal.
Il ne put y parvenir. alors de guerre lasse, il
se mit à manger son piano, ce qui pour lui, du
reste, était une habitude ancestrale. en effet,
son père, son grand-père, son arrièregrand–père
et toute la lignée des HIPPO-
Crate tOrrÉFIÉ, étaient mangeurs de
piano. Il commença par les demi-tons.
Chaque fois qu'une touche descendait dans
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son estomac, on entendait dehors la pluie
s'arrêter de tomber. d'une bien curieuse
façon, du reste : en sifflant sur l'hectare de
l'intelligence d'Hippocrate, laquelle pourtant
était soigneusement cultivée comme le sont
généralement les cerveaux des bons bourgeois.
avec des sillons bien faits, bien labourés,
dans lesquels poussaient à l'envi les
melons les plus dodus, les plus grassouillets,
que dame la papesse noire aurait pu découvrir
dans les cumulus de dieu. Cependant
que l'éternité portait entre ses mains les caniveaux
exotiques des particulières standardistes
du roi des bicyclettes qui, étendues sur
son char, poussaient à l’envi les melons les
plus dodus, les plus grassouillets, que dame
la papesse noire aurait pu découvrir dans les
cumulus de dieu. Cependant que l’éternité
portait entre ses mains les caniveaux exotiques
des particulières standardistes du roi
des bicyclettes qui, étendues sur son char,
poussait à qui voulait les entendre des vociférations
invertébrées. Vociférations qu'une
chatte à poils bleus soutenait de ses pattes,
avec un air de reine offensée, et qu'une bible
noire, posée sur une table, contresignait bêtement.
— Par le sang bleu, s'écria Hippocrate
tout d'un coup, qu'ai-je fait de mon aiguille à
tricoter ?
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aussitôt la foule en délire se mit à sa
recherche et ne trouva rien. toute la cour
poussa alors les lamentations d'usage. Les
pleureuses étaient déjà à pied d'œuvre,
lorsqu'on retrouva l'aiguille perchée, la tête en
bas, sur le panier du petit chaperon rouge qui
venait d'entrer, brandissant bien haut sa très
chère grand-mère. Ce fut une fête incroyable.
Les chevaux montèrent les uns sur les autres.
Les lions miaulèrent en courant sus au pape,
les femmes se mirent en devoir de se donner
de grands coups sur les fesses ; et les hommes,
prenant chacun un manche à balai, se mirent à
sauter à la corde. L'étendue du carnage
remonta jusqu'à l'antiquité où les pharaons,
laissant soigneusement de côté leurs manies
individuelles, au son de la danse macabre,
commencèrent une petite sauterie qui n'eut
d'égale que celle que fit pour sa mort Séraphin
arquebuse, ce jour où une carriole de femmes
enceintes venait de l'écraser de la tête aux
pieds, passé au laminoir du temps, tel un
grand cercle d'or cramoisi qu'une main pompeuse
étouffait de sa langue fourchue.
Nécessité prodigieuse ! Quand on pense
qu'albert Camus, traînant la peste derrière lui,
souriait à entendre jouer sur un air de banjo,
le chanteur spécialiste de la "Canne à sucre"
qui dégoisait sur le dos gracieux de bacchantes
nues, qu'une tenture d'ébène cacherait
bientôt dans son dépotoir sacré.
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Prodigieuse mission que le grand prêtre
préconisait déjà. Il y aura plusieurs siècles,
demain midi, jour de la décroissance des
biceps, achevée par un enfant rondouillard et
surmené qui porte allègrement un vieux tricycle,
telle une églantine repassée au fer électrique.
L'ennui. Le seul, venant de ces sacrés
portemanteaux qui ne s'arrêtaient pas de rire à
gorge déployée, sur des champs de drapeaux,
qu'une circonférence assise à la droite de
dieu, le père giflait à coups mesurés.
tout le jour, il tenta vainement de les arrêter.
À la fin, ils lui donnèrent la nausée et l'obligèrent
à déglutir tous les rayons de bicyclettes
qu'il avait avalés la veille en guise de spaghetti,
jour de sa première communion. au
moment même où un pâtre allait se promener
dans les champs, portant fièrement, sur ses
épaules, antoine en personne, que César,
venait de livrer aux légions romaines. À l'instant
unique. merveilleux. Où la terre serrait la
main du soleil, Shake hand qui fut d'une telle
force, que la main du soleil s'en trouva toute
meurtrie, tellement même, qu'il dut partir à la
recherche de la lune pour se la faire masser.
au fond ce n'était qu'un prétexte car chacun
sait que le soleil court après la lune. C'est là un
flirt qui dure depuis si longtemps que les
hommes, ces carnivores étonnés de femmes
saoules, se demandent s'il la prendra jamais.
Certains y ont vu là un symbole de l'humain.
C'est bien possible. et c'est ce que Bergson
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déclara ne pas avoir compris un jour où
montaigne lui en demandait l'explication.
enfin, l'affaire serait assez amusante si cette
vieille sorcière du travail n'exigeait pas de ces
fols. Chaque matin. une fiole pleine de poudre
d'encens volée au vieux curé de campagne
de Bernanos qui l'aurait, dit–on, découvert
dans le creux de sa cervelle, un soir qu'il se
promenait avec un ancien soudard qui, le
tenant par la taille, lui racontait ses mésaventures
royales. disant combien il en était
enchanté. Béatifiant au passage des crapules
dérégléeset des saucissons – cuits par le feu
liquéfiant des écrivains patentés, entamés par
l'énorme trompette de la célébrité – que des
mains écarlates brassaient largement, comme
de faux billets de banque.
C'est bien ce que se disait Hippocrate au
moment où sa bonne arrive droit sur lui.
Comme un tank sur un arbre. S'écriant :
– tudieu, Hippocrate ! Que veut dire cette
attitude méprisante vis-à-vis de mon ardoise
sacrée ?
Il ne sut que répondre. et devant
Séraphine, pour se faire pardonner, il entonna
le chant de la victoire qui consiste, comme
chacun peut le penser, en une sérénade à trois
qu'un pied d'ivoire rythmait sartriennement
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au-dessus d'un canapé sur lequel, confortablement,
s'étalait le gigot de mouton que tous les
ducs et les paires des halles devaient, le lendemain,
porter en chœur à l'extrême pointe de la
tour eiffel. ayant à leur côté une garde toute
neuve de stylos à bille. Ce serait d'ailleurs
l'occasion d'une fameuse cuite que l'on prendrait
ce jour-là. et sans doute le défilé seraitil
aussi gratiné que celui de l'année prochaine.
Ce que chacun pensait dans son for intérieur.
aussi bardé de fer qu'une armée de mirlitons
accompagnés de leur maître bacchique.
Probablement serait-il possible d'escalader les
arrières, et qu'on pourrait porter un serrement
de poche à la reine bienfaisante – celle qui
garde dans son sac l'intelligence fermée à triple
tour, afin qu'elle ne puisse en sortir qu'en
crevant les portes de l'enfer, assise à cheval, sur
l'éternité diabolique de patenôtres, récités par
des chemises de luxe qu'un trottoir délavé de
miasmes continentaux aurait transportées dans
sa gibecière ou sa culotte, comme il se doit
pour cette dernière, et pour ne pas faillir à la
tradition : à l'envers.
Il en était là de ses réflexions, quand le
balai de Séraphine lui tomba sur le nez. S'y brisant,
avec un bruit de tambour majeur, déconnant
à cent sous de l'heure sur le chat du pavé
Saint-Germain-des-Prairies, à l'angle de la rue
Grégoire de tours et de la rue du Chat qui
pêche. Il n'en fut pas autrement surpris. Sachant

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fort bien que c'était là la manière la plus délicieuse
de recevoir des caresses. aussi, buvant
d'un trait la lie écarlate des roses trémières, il
descendit dans l'arène se mettre en devoir de
réparer la patte du lion de david, qui venait de
se la fouler, en voulant écrire une réclamation
au Président de la république, et à celui des
Jeux Floraux. Ce dernier n’ayant pas voulu, en
raison de sa douceur, le couronner d’épines. Il
en était tellement morfondu, que maintenant, la
patte lui faisait un mal de chien.
Il en devenait incapable de suivre dans la
rue la moindre petite fille – comme celle de la
Comédie Française – quand elles n’étalaient
pas leurs stupres dans le marché couvert de la
rue Saint-Honoré, ou celui de la comédie et de
la tragédie réunies en un conclave d’élite où
seuls, de max ou Sacha Guitry pouvaient prendre
la parole. À la seulecondition qu’il ne la
lâchât plus. devant la tenir aussi fermement
que l’étalon d’or des égéries ivres devant des
rois en rupture de ban, chaque soir de cuite.
Le travail fut long. Il ne parvenait pas à
scier la patte du lion pour lui en revisser une
nouvelle. de grosses gouttes de sueur perlaient
sur son front, littéralement confondues
avec les cartes de visite, que des chiens
tenaient en laisse, devant la gare de Lyon.
attendant, sans doute, l’arrivée inopinée d’un
flic à roulettes qui tirerait de sa chaussette un
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sifflet à bille pour diriger le départ des trains
du quai de l’horloge. tout en visant sur la
tête afin que raskolnikov vît la plus grosse
des aiguilles en duralumin fait main. dont
l’une avait été arrachée le matin même, quai
aux fleurs, par la toute petite femme à barbe
au moment où, giflant un églantier qui passait
par là, elle allait percuter sur une bouche
d’égout. d’une main ferme, un super flic
l’avait retenue et, en l’enlaçant sur place telle
une girouette, il l’avait baisée aussi sec.
déboutonnant seulement son froc. Qu’une
averse de petits pois soutenait, afin que personne
ne vît l’œil torve qu’il avait chipé au
râtelier de la femme à barbe. La patte, enfin,
fut remplacée par un tuteur venu du Val
d’aran. en sourdine. Pour que nul ne l’aperçoive.
Il s’en servit comme d’un tire-jus,
avec bonté et délicatesse, lors de la générale
d’un de ses amis. un jour qu’il avait pu
l’emmener manger des escargots, le long de
la voix d’amour. À l’angle du tiroir de la fée
Carpaccio, dans lequel il découvrit Zola,
attendant l’heure de la célébrité, des dossiers
noirs de monde sous le bras. Pris et repris.
Par le contact sournois des vespasiennes en
rupture de ban. Le long de la côte dorée des
ventres saint-Gris, qu’une femme à la face
rubiconde, tirait lentement en brûlant les
eaux de la Seine. en même temps qu’elle sifflait
un vieil air de banjo tout en se tapant le
derrière par terre au son de la clarinette pour
montrer la joie évidente d’une telle erreur. Ce
lui fit un mal de chameau. Il voulut s’en écarter.
mais les ombres chinoises le retinrent
ferme. alors qu’il parvenait à s’évader du
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manoir d’Hébreu-le-Grand, il fut poursuivi
par un esquimau verdâtre, emmitouflé dans
sa jambe de bois, qu’un aveugle lui avait
refilée pour quelques radis.
Libéré enfin, il se dit qu’il pourrait aller
faire un tour sur les chevaux de bois. C’est
précisément à ce moment qu’il entrevit sa
bonne Séraphine, cognant et paraphrasant sa
sainte face, d’où en son milieu coulait une
grande rigole de sang dans laquelle un Jeanfoutre
pissait à tire-larigot. Pétant outrageusement.
tout comme un buvard d’argent l’aurait
fait. alors même qu’un vieux tiroir édenté
poursuivait, en s’étirant, une femme à barbe
rugissante, parlementant avec un avocat
époustouflé, qui faisait de vains efforts pour
calmer une rage de dents menaçante qui lui
coupait le bas-ventre en lamelles. Cet excentrique
se trouvait à cheval sur le pont du
Carrousel et face à la statue de la république
qu’il avait si longtemps défendue, quand il se
trouvait avec Barrès et l’homme nouveau. a
moins que ce ne soit l’homme quelconque du
gracieux et pétulant Giannini, sur les bords de
la tamise, attendant qu’Éden veuille bien les
recevoir, pour déguster le haricot national des
bédouins.
Non loin, anéanti par une fatigue aussi
vieille que les cascades putrides du Colorado.
Informé par un majestueux élan, un enfant
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riant et jacassant banda comme un arc par-dessus
le cinéma Lux, pour retomber sur la statue de
la Liberté, ennoblie d’éternelles erreurs par des
nuages solaires. Poursuivi d’une haine salubre
de crayons pissenlit.
Voilà qui l’étonna fort. Il n’en revenait pas et se
demandait avec angoisse quelle inévitable profession
de foie il serait obligé de faire. Quand il
se trouverait en face de la culture maraîchère
que son ami Jouffu-des-faillots, lui avait présentée
dernièrement. Il y aura bientôt soixantedix
ans, le vingt-cinq thermidor de l’an III.
alors que Napoléon, sur son trône, haletait et
racontait tout ce qu’il savait, afin de faire
s’évanouir Joséphine, qui semblait concentrer
son attention sur une petite mouche lutinant
agréablement sa cuisse. elle l’en avait sortie de
sa poche secrète, tenue spécialement tout près
de sa jarretelle. défendue par les inévitables
ragots de tous les courtisans. Parsemée de
tulipes. Craquelée par des étincelles catapultantées
de tous les rêves, réunis en bastion, le
long des quais, tout en attendant l’arrivée
secrète de richelieu et de madame de
maintenon. À moins que ce ne soit madame de
Sévigné. Cette vieille garce. C’est ce que tout
le monde pensait. Quand on vit arriver George
Sand et madame de Staël, portant sur leurs
épaules le marquis de Sade. remplaçant du
reste avantageusement richelieu.
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La fête fut grandiose. tout le peuple se
tapa sur les cuisses et poussa des hurlements
invertébrés en faveur des pare-brise et des
calendes royales. Le roi lui-même se mit à
genoux afin de recevoir la bénédiction, tout
en continuant à jouer au chemin de fer électrique.
C’est alors qu’éclata une bombe infernale
qu’un imprudent avait oubliée dans sa
poche. Comme il allait à Saint-Germain
l’auxerrois, rendre visite au bailleur de
fonds des raz-de-marée syndiqués. Comme il
se doit. et empaquetés en ligne droite sur une
étagère de Félix Potin. un bruit incroyable
d’ours mal léché se fit entendre aux quatre
coins du monde. Seul le roi et Hippocrate
ne furent pas émus. alors le roi demanda à sa
femme ce qu’elle avait fait de l’Étendue
Inerte.
– Comment, dit-il, en prenant l’accent du
texas, tu ne sais pas ce qu’est l’etendue Inerte
?
– Non !
– moi non plus ! et v’lan que dit l’gars.
– Vache que t’es ! ah ! mon pote royal t’as
tout l’air, j’te dis, d’un roi de comédie. mais
va, j’sais ben qu’ta cuisse elle est pas faite
pour les cochons ! que dit la reine.
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— Les cochons! qu’il dit, qu’est-ce c’ety ça,
des cochons?
– Les croquemitaines affublés de reine
blanche par-dessus les étals des bouchers.
– C’est bien c’que j’pensais. une fesse
ramollie sur une grille à s’faire repasser.
– Ouais, c’est bien ça !
– J’savais bien que t’étais complètement
cinoque.
– Va donc, eh, face d’intelligent !
– t’as pas fini de m’injurier, des fois ? Sinon
je vais te faire des choses dans les oreilles
d’âne que t’as en guise de paluches…
– dis, mon roi ! c’est le moment de faire ton
discours à la foule en délire. t’as bien retenu
les phrases qu’il faut que tu dégoises le long
du quai ? À l’assemblée générale des bas
nylon que la révérende doit t’apporter pour la
première périssoire ?
– t’en fais pas, bobonne. Je vais t’faire un
discours aux pommes. t’auras plus qu’à te lais-
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ser aller en sifflant comme un canari sur les
ardoises vernies de cette vieille tante ursule
qu’est pas si cinglée que ça. À preuve, le bisness
tonitruant qu’on lui a fourré sous la cheville. et
sa paire de sabots à faveur rose. J’étale !
Comme dirait Yan, c’vieux ministre tubard du
travail harnaché en chambre à gaz ! méphisto
du diable au corps ! admirant un chemin de rail
foutralement entretenu par les choux raves des
Cléopâtres endormies, et réunies à l’ombre des
jeunes filles en fleur, comme des madones de
sleeping, que le sieur Kessel paresseusement
poursuivait de ses assiduités. défendu tout juste
par sa femme en robe à pois et en écailles
de crocodiles.
– trêve de plaisanteries, c’est à toi le
laïusser.
dans un fracas d'automobiles déchirées
de crachats parthénontiques, le rex s'éleva de
sa chaise curule, faisant un geste aussi large
qu'un grand vol d'oiseaux déchaussés. Comme
les moines du même nom. Il mit un genou à
terre, serrant contre sa poitrine mille objets
indochinois qu'un malraux tonkinois lui avait
apportés la veille de son décès. tout encombré
de panoplies vivantes du Yang-tsé-Kiang,
saupoudré de farine fraîche. descendu en vilebrequin
et étendu sur le front occipital de la
déesse faisane. Laquelle portait, en guise de
casque à pointe, un magnifique revolver, que
l'arithmétique séraphique avait projeté sur
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l'écran de son imaginaire. Soutenu joyeusement
par la chambre syndicale des voleurs à
pieds, contre lesquels Chateaubriand, aidé de
maurice denis, luttait avec la future camériste
en pieds-de-veau, accrochés au portemanteau
du rêve. Qu'une femme défigurée par la vertu
trop forcenée détruisait lentement à coups de
marteau sulfureux. Car, évidemment, sa
force était nulle et ses coups ressemblaient à
un monstre indéterminé. mûrie dans un
silence de cloportes. Prise dans les rapides
chicaguiens des races inférieures.
Le rex étendit le bras en signe de profonde
reconnaissance et s'administra une
vigoureuse paire de claques, avant de baiser
l'anneau épiscopal du père ubu. Que ce dernier
lui tendait au bout d'une perche platéiforme
et qu'un contact, dépourvu de sel,
embrayait largement pour aller du touquet à
Nice. a la fois réunis en spectateurs bienveillants.
dans une morose sérénade épandue de
rêve bleu et d'épagneuls fourrés que retenait,
fébrilement, l'éminence grise d'un prince hindou
que le comte Préopal venait de cribler de
balles avec son colt de poche. minuscule objet
déraciné par des bavures chaotiques de parapluies,
démesurément ouverts sur des visages
pâles. et que l'éternelle description génésiaque
enveloppait de son chaud manteau d'astrakan
rajeuni – il y a juste un instant – par le
premier acrobate du bal Bullier qu'un péki-
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nois, doublé d'un caniche foudroyant trimballait
nonchalamment tout en haut d'une page
parcheminée de hiéroglyphes égyptiens, dont
les Papous énervées poursuivaient la lecture
en riant à gorge déployée. Fondus dans une
ronde frénétique d'hippopotames bleuissants.Hippocrate,
fatigué de son souci ésotérique,
frappa dans ses mains d'argile pour rappeler
au roi que la vox populi réclamaitun son
sorti de sa bouche dans le seul but de les charmer.
Le roi baissa ses yeux d'albâtre sur
Hippocrate. Le regarda profondément. tel un
vautour affamé de chair fraîche. ayant
l'extrême désir de rompre d'avec ce tambourmajor
de l'ignorance crasse qu'il entretenait
malgré lui. Puis enfin commença son discours.
Prenant pour cette occasion le seul accent qui
lui convenait. Celui du texas.
Il dit ...
"mes très chers frères en peau de lion !
Souvenez–vous que la belle Sémiramis,
juteuse comme une orange, de soie, aussi
verte qu'un glaviot de tubard, à la Saint–Jean,
le soir, a péri dans un bal frénétique où le jazz
et le be–bop, pour chasser les vierges folles, se
mirent aux genoux des cataplasmes beurrés,
de cotons hydrophiles. Qu'un pasteur anglican
portait en bandoulière de terrasse en terrasse,
soutenu par les souteneurs de la charité
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décrassée. ennobli par des marrons d’Inde
qu'un étudiant bruxellois traînait dans la laine.
au bout d'un bâton de réglisse. Parsemé de
gruyère. et que soutenait d'une main torve son
amie habituelle. délirante maîtresse des lieux
faisandés de la littérature cramoisie. Celle de
miller et de Vian. À l'ombre même de J'irai
cracher sur vos tombes. La Croix du Sud sous
le bras. un binocle de vieil académicien rangé
sur le tard à la bonne littérature des freluquets
patraques, plaqué sur le nez, mais qu'une
ancestrale cirrhose du foie tenait éveillé
chaque matin, à l'heure de l'angélus, par la
seule encre sympathique d'un marin titubant
sur ses échasses. entendez cesrhapsodies écrasées
sur des marches roses parsemées de crapulerie
générale et de mathématiques spéciales.
et musicales. défigurés par de grands capitaines
à l'œil parcheminé. Portés vers le haut
des montagnes cadavériques, avec une morgue
soutenue. tous défigurés au travers des fils de
fer barbelés par des poteries picassiennes.
Voyez dans une porte Kant qui soutient majestueusement
sa foi. définie par la raison pure
de son oreille cassée. Comme edmond about
qui lui disait que la vie des fourmis n'était que
d'un pote à lui. Que même ce crapuleux
maeterlinck aurait mieux fait de bouffer sa
pédale que de ligoter l'enfant sépulcral des
contes bleus. afin que l'émir de la faïence
puisse se projeter de toutes ses forces sur un
serpent à sonnettes, constrictor mangeant à
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petit feu le long du remblai de la Voie lactée.
Émerveillé par les roses parfumées d'une
vieille locomotive tonitruante se laissant
caresser douloureusement par ces enfants
bleus qui défendent les éternelles crapuleries
scolaires. et n'oubliez pas l'appel bien entendu
qui s'épanouit derrière un Cicéron et un Pline
parfaitement imbécile, enlacés autour d'un
Catilina déplorable et un Suétone qui commence
déjà à ramasser à la petite cuillère,
chaque matin, son lunch à la poudre de riz
chauffée à blanc, le tout sous les harmonies
méticuleuses de l'orchestre Lutter. très déterminé.
dans l'antre du Vieux Colombier, à
l'ombre d'un Copeau de bois, bien entendu.
N'oubliez pas non plus un pape devant l'étendue
du désastre. Parsemé de pertes blanches,
bouffant l'ail cynique des prélats prestigieux
portant des coups avortés aux portes des prêtresses.
Porteuses de germes intellectuels
anéantissants, chaque jour que fait le jour.
Hideuses calamités ! Putrides calfeutrements !
métamorphoses glacées de vin poudreux !
méchante inversion de riches invertis !
Pressez dans le bol de ma vie l'étendue des
forces crématoires qu'un pauvre moïse transporte
à bout de bras devant le silence d'un
Hercule paradisiaque. Spécialiste des vertiges
accumulés par les clapiers géants. ricanant de
fureur démoniaque. Oh, mes moinetons sur de
beaux chevaux glacés dans l'attente respectueuse
de l'arrivée des pyramides, restez des
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cascadeurs d'ambre. etonnés et numéraires.
recensez les montagnes soufrées d'éternité
culbutée, prises, bien entendu, entre la poire et
le fromage. et crachez spécialement fourbus
des travaux herculéens, sur l'immense cochon
bienfaisant et tubulaire.
– amici ! paraphrases bienheureuses!
Pénultièmes racornis de lave de coccinelles
marquées du fer rouge de la mort ! antidates
scrupuleuses de fausses couches spécialement
venues des grands ateliers de couture royaux!
mirifique perturbation de l'ONu!
dénaturalisé par des savants flegmatiques à
l'œil de chacal ! epoustouflante rigolade de
crimes vertueux ! mais désabusés par de
longues paroles venues d'assassins pétulants
de grâces léonines ! amour de vivre bleu sur
un cheval d'arçon! aventures des grands combats
d'araignées désossées par la créature
divine ! Imbéciles intelligents des souffrances
avortées – dès le soir de la naissance.
Pourritures diaboliques ! miasmes cérébraux à
l'heure vaginante ! Scorpions étendus sur le
laminoir de la pensée! défendez et illustrez la
démoniaque langue française dépouillée de sa
sainte vengeance tout le long de canons en
voie d'assèchement ! détendez-vous à l'ombre
des rasoirs mécaniques ! et regardez ce grand
singe les avaler gloutonnement avec des gargouillis
divinatoires ! amoureux décrépits de
temples paranoïaques ! détruisez le soir des
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crépusculaires tombeaux ! Souvenez-vous des
scribes défectueux et des crapules définies.
mesurez-vous rapidement à la fleur de
laurier teint par l'alambic du désir que de
grands hommes, passibles d'amendes nerveuses,
décapent amoureusement lorsque
vient la nuit de leurs rêves délirants ! eclatez
produits sulfurés de sombres mortes à l'heure
des crépuscules maoïstes ! et laissez-nous
boire l'ivresse des hommes patibulaires en
écoutant à genoux les grivoiseries caractérielles
des enfants tabous. "
Ce discours était d'une longueur inhabituelle.
et Hippocrate commençait à être sérieusement
fatigué par les basques de son habit qui
portait un habitacle de d.C. 4. rivé là. Par
l'araignée parfumée de rêves interdits et l'éclat
de voiture faisant des arabesques géantes.
aussi étendait-il son esprit sur de grands piédestaux
védiques parsemés de clous. dérobés
dans l'antique chambre du roi des aulnes,
qu'un immense Wagner poursuivait de sa haine
tragique au son des catapultes de l'étrange.
d'une naine dépourvue de charme, souveraine,
et qu'un brasier de lances neuves lentement,
avec son catafalque de plomb, détruit.
Irrigation merveilleuse de l'herbe flamboyante.
dénoncée dès l'arrivée de l'astre pérénistique
qu'un démon souriant mâchait à petites lances
avec un carnivore en or à ses côtés.
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Le mur de la salle craquait d'étincelles sur
la foule en délire qui dormait justement sur les
cimes héraldiques des monts Oriol, que Pierre
Loti trifouille de sa dextre fouilleuse, cherchant
à tous échos l'élément naturaliste qu'il pourrait
bien combattre de son oreille la plus sourde.
mais, crépusculairement, l'idiot du village
transperce, lui, Hamlet. et se met à rire aux
éclats. Poursuivant aussi de son manteau les
écumeurs du roi. une cravache à la main. Pliée
en quatre pour introduire dans cet Éden dieu le
père en personne.
– arrête ! s'écria-t-il en persan et en versant
du vin sur le coccyx de la reine.
– Qu'est-ce ? dit le roi.
– mur ! fit Hippocrate.
et ils tombèrent dans les bras l'un de
l'autre. emmitouflés dans leur égoïsme.
Spécialement fondu et construit à cet effet.
entrelardés de gongorisme que Pantagruel
soutenait de sa senestre. Fendue. Partagée par
le chien d'Hippocrate lui–même.
enfin, la foule en délire dans sa caserne
fermée se mit à défiler devant son roi armée
de piedestals d'or ennoblis par les cratères
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rougeoyants de vouloir enfin être un soir. et
que les typographes venus spécialement pourfendaient
de leur épée, avec un splendide
sans-gêne que d'autres auraient pris pour de
l'illusion comique.
Pendant qu'au-dessus de dalles multiformisées,
bourbeuses, de l'éclat des misérables,
Sainte-Beuve, jaloux comme un porc, déménage
sournoisement avec sa richesse.
Catulle apparut au bord du précipice et
secoua vertement la foule en délire qui continuait
à défiler, ayant perdu le chemin de la
carotte. atomisée par l'éternelle défense de la
culture bovine. Qu'un ogre déforme le matinmême
de sa découverte, étendu qu'il est, par
l'escarpolette de l'hivernale foutaise.
déclenchée il y a des siècles. Lorsqu'enfin,
l'homme devenu singe put s'asseoir sur son
pouce afin de sucer sa jambe droite, en commençant
par le petit orteil. Qu'un ouvrier dentiste
soutenait d'une main diaphane enveloppée
de micheline en retard d'une demi-heure
comme il se doit, lorsqu'un trolleybus repasse
le derrière d'une femme de ménage.
Pour une fois rassemblé par l'estragon
des tables d'opération. Le défilé toujours poursuivait
sa marche triomphale vers les rizières
veloutées ou l'ivresse embaumée. décimètres
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paresseux. elles débandaient verticalement en
soufflant dans leurs doigts gourds. tenus par
la taille des maîtres de la peinture à l'eau de
source. et le grand cacique des invertébrés
protocolaires. a l'imagination récalcitrante.
mis au point le lendemain de sa mort par l'astuce
insinuante du grand massier. Qu'une paire
de gifles monumentales venait d'endormir sur
ses lauriers.
Hippocrate alors, n'y tenant plus, brandit
l'emblème des fous de Saint-Lizier et, retirant
sa cagoule, se fit reconnaître de la foule. Ce
fut de nouveau un délire indescriptible. aussi
fort que l'incertitude d'être des vaches à lait,
qu'un mouton de panurge s'efforce de fortifier
de sa langue maternelle. dérivée de la hiératique
puissance des navets invertis, par accident,
alors qu'ils allaient se promener brasdessus,
bras-dessous sur les bords de la Seine.
un enfant sur le cou. une girouette à la main.
un élastique de cuivre à la patte. Infini.
Comme une pourriture d'escargots voltigeurs.
rivés à la fermeture du plus beau des tremplins
de cirque : celui de la vie écarlate. Fondé
par un dieu rhumatisant, enclin à l'étourderie
chronique, à cause d'un mal de foie qui le
tourmentait fort. Il ne parvenait à croire en luimême.
Ce qui était un comble pour un dieu.
Surtout de cet acabit. Quand les fidèles en
peau de luzerne lui souriaient avec la grâce de
l'éléphant orphéonique, qu'un derviche au port
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de beurre, substitué à celui du lait de vache, et
au néon des boutiques d'irrigation du sel
gemme, regardait bizarrement.
La foule, de plus en plus, dansait au tour
d'Hippocrate avec des gestes lascifs qu'un pierrot
montreur d'ours rythmait d'un équilibre fort
instable. alors que l'imagination verbeuse.
epoustouflée. déterminée par les migraines
cramoisies. dépourvues d'un robuste montreur
d'orgies, dépassé avec sa motocyclette sur le
dos d'une femme. dépouillé des féeriques
émotions descriptives. Habité par l'inouï
désir de manger à la fois l'Himalaya et la tour
eiffel.
Il est vrai que c'était une véritable nécropole
de tahiti. et que dans ce cas, l'invraisemblable
bluffeur de Lépante avait le droit de
percuter un tank en caoutchouc sur le chemin
de croix. Où l'irrésistible pathé-baby tombait
toutes les femmes les unes après les autres.
ecarlate grisaille d'une pauvre souris qui les
empêchait d'encaisser leurs bénéfices.
Lesquels étaient aussi grands que ceux d'un
sultan d'Ivoire lorsqu'il les emportait sous le
bras, aussi fièrement qu'un chien de garde
s'honore de ronger ses vertus.
La valse cependant devenait de plus en
plus lente. Les règles d'affermissement se tré-
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moussaient vertueusement. ecartelées par
l'églantine d'or d'un paso-doble d'une mercuriale
désaffectée, reprise en solde par
l'archevêque de Paris. alors qu'il fallait poser
son réverbère sur le lit de l'empereur fortement
agrippé par une limace dépourvue de
charme signifiant et de protéines disjonctives
ensablées. du reste, le soir de ses noces d'argent,
par le tour de main héroïque dithyrambique.
Normal. Crépusculaire des rhododendrons
écaillés que l'autobus apportait chaque
matin du côté de la Bastille. et que l'hirondelle
des faubourgs chantait en s'ennuyant du
fond de la comète des tuiles en papier cristal.
Ce qui lui demandait beaucoup de réflexions
et de calculs. Parce que ses reins, comme chacun
sait, fonctionnent foutrement mal et que,
pour cette raison, la girafe du Jardin des
Plantes s'échappe de son nid dans le but inavoué
de demander une explication circonstanciée
à son gendre. L'alligator de Californie.
et puis, ils arrivèrent. Portés par des
gazelles peinturlurées à la sauce tomate. audessus
de l'Himalaya de leur bêtise.
Saupoudrées de farine par l'objectif premier
des pertes sanguines. Que des volailles en fer
à cheval étendaient brutalement sur les cendres
raffermies de la narquoise personnalité
des cynodromes désenchantés. et les vers fulmineux
des apatrides délaissés par l'iroquoise
envie de soûler la gueule du premier ministre
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de Chine qui avait, la nuit dernière, assassiné
très sagement la téraraque du moyen-âge. À
peine dévoré par une souris blanche, et qu'un
léger cerf-volant de papier mâché à la gomme
entendait réduire à son maximum vital.
Pavoisé de l'irréversible ennui des léthargies
parcimonieusement rétribuées sur l'ordre
éternel des Parents terribles. À cheval sur
Cocteau. Lequel, de son steak enchanté,
appelait de toutes ses forces l'anarchie vengeresse.
réclamant les tombes célèbres des
vieux renards d'argent. emerveillé sans doute
par l'article funéraire de Fontenelle le père.
Premier d'une série d'enfants bâtards.
descendus sur la planète un jour de banquet.
À l'instant même où l'on apportait
sur la table du supplice, une bombe glacée.
Parcheminée radicalement, d'une
survivance récréative. décantée fièrement par
l'atomisation dégénérée des portes de l'enfer
ouvertes à qui de droit. et prises de fureur d'aim
e r .
alors Hippocrate les arrêta et leur versa
dans l'oreille le philtre essentiel des thérapeutes
privilégiés. Sédentaires du reste.
Nourris à l’œil-de-bœuf. a genoux devant
l'étable royale. Carnivores défendus à l'étalage
des chefs de rayons du paradis perdu. Qu'une
vieille horloge de nacre écrabouillée par son
orfèvrerie surfaite et désenchantée. Bien que le
roi Farouk l'ait mise dans sa poche, comme il
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finissait de manger l'érable tentaculaire des
germinations artificielles. Calfeutré au
milieu–même de l'évêché musulman des carabiniers
italiens. derniers procureurs des chemises
vertes. dissimulés lors de la prise de
Québec, sur le dernier nuage, à droite de l'ombre
de mercure. Fort emmerdé du reste de se
trouver en pareille compagnie autour d'un
large portefeuille grand ouvert sur la porte de
la vie. Pris au vol par un sectaire enfant et les
hécatombes secondes du divorce sporadique
des veaux et moutons accouplés, affiliés. au
dernier syndicat des chrétiens terroristes.
Parfumés déjà de bique communiste que l'armée
lointaine des portillons tenait à distance
respectueuse des stations de métro et des boulevards
extérieurs à leurs crimes ancestraux.
Habitude prise à un valétudinaire irascible,
dépourvu de l'intelligence spécifique des
Bédouins. aveuglé de sulfate de cuivre. enivré
de l'étendue même du désert de son désir.
découvert par le dernier filon du Far-West et
distribué par hectares. avec tous les cailloux
de l'assemblée générale des vachers ariégeois
extradés par omission et réunis sur la buick
difforme d'un général d'un corps d'armée, luimême
écrasé par sa mécanique stomacale.
enveloppée pour l'occasion de vices cérébraux.
Serrés à l'unanimité par la colonne
trajane. La Piazza del Popolo et Bernard de
rubempré en personne, libéré de sa vergogne
natale, monté sur ses patins à roulettes. Que
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d'étranges filles de joie apportaient incontinent
sur un canapé bordé de stupre et d'éruptions
vaginales.
Le délire parut alors à son comble et
Hippocrate put commencer à admirer son
œuvre par la racine. Ce qu'il entendait suffisait
déjà à emplir sa bouche d'évasions fortifiées.
C'était une véritable cacophonie passagère
mais vibrante. détendue et crépusculaire.
Il s'écria pour donner le ton mineur
d'epoate et l'ordre fortifarfelu des rêves séraphiques.
Hua KINe rOdaINa
– rodaina Kararipa ! répondit la foule
soulevée d'enthousiasme par de grands marrons
d'Inde. et les conversations d'anges déchus
commencèrent leur ouverture glacée.
– Patarita musa na.
– Phi la nova bina pata.
– mesi rada mira rono.
– Kivi nivo pavo cano.
– Nora misa rata puta.
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– maira rapi tovo nabo ! C'était absolu-
ment indescriptible. et brusquement, au
milieu de cette agape monumentale, on enten
dit beugler dans l'étalage – personnifié par le
grand eunuque du roi – la voix d'or d'un pein
tre lettriste du royaume d'Idada, qui lançait à
la foule muette le grand chant du départ de la
secte papiste. Hippocrate reccueilli, comme la
foule, absorba une poignée de vin radical et
ouvrit enfin la bouche pour accompagner la
mélopée.
to
ta meta rodoto
Ito
Ito moto palabezi
Kata rata metato
Ito
Ito
Ito
Ito rade fala
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radefala mézi rakapaba
Ito – Ito – Ito –
Noto.
La foule reprit en chœur ce refrain nominalement
éperdu de forces virginantes.
etendu. Superviellement. Sous des cariatides
ingénues aux vers solitaires mélancoliquement
assis auprès d'un bois vermifugé.
ItO ItO ItO NOtO
et la danse reprit. Vengeresse.
Superfétatoire. Infernalement supervisée par
des manches à balai d'avions démontés.
exposés sur l'ivresse teinte d'un marchand
drapier. Cadavériquement boursouflé par un
morceau de citron mal avalé le jour de sa première
communion. alors qu'il n'était que dans
du vulgaire papier de journal, que même les
mendiants n'avaient osé le barboter parce qu'il
était tout secoué d'eau bénite versée subrepticement
un soir de folie, par le prêtre misérable
du Bol d'ordinaire. extradé de folies mécaniques.
dévolu aux parsementiers tricheurs
venus du Japon de malaria. défunt souvenir
d'une midinette invertébrée qui faisait son
marché sur la place du Porc epique en tunisie
Zanie avant de prendre la première barque en
partance pour les îles Gynécées afin d’aller
au-delà des sources délicieuses en misères
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fécondes que Bernadotte avait apportées
d'Italie par triporteurs de flûtes, pensant pouvoir
démontrer au préalable, dans la grotte
d'argent de nitrate racorni, ce qu'un vieux
bronze poursuivi peut porter sur son dos.
Comme un palétuvier décadant enfermé de
lianes et de fleurs étouffées d'encens.
un éclatement sourd de catapultes
géantes grandit brusquement dans l'ombre
vengeresse des trétarques. eperdus de plaisirs.
de désirs. et accablés par la vie cadavériquement
entortillée, vipérine. d'un catafalque
verdâtre que portaient deux Catarcalla.
Vigoureusement, sur leurs tresses d'argile,
plongées chaque matin dans l'huile et le benjoin,
au son du Cantique des cantiques.
Parachevés par le dernier romancier des bordels
glacés, isolé tout là-haut sur une montagne
de marronniers temporels. au son d'unvibraphone
tintinnabulant pantagruellement
sur les orbes infinis des définis infinis des
éclatements luminescents des aurores
boréales. Prises en leur milieu par une chevauchée
fantastique de princes barbares, envoûtés
par l'ombre dominicale d'un cactus en état de
croissance tuberculeuse et qu'un portier de
l'enfer traînait par la queue comme un étendard,
fendu d'une lance ivrognesse, criblée de
balles d'orinsceaux nationalisés.
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C'est alors que Séraphine se précipita.
Comme la vérole sur le bas clergé sur
Hippocrate. Lequel venait précisément, à cette
heure matinale, percer de toutes les montagnes
de la joie, pour tenter d'exorciser l'orgueil
putride qui courait derrière lui. Poussant
des cris d'Orfraie et d'inattention spectaculaire.
elle le prit par le coin de son œil et le
montra à nouveau à la foule en délire qui l'acclama
longuement de ses dents creuses et de
ses joues de homard à l'armoricaine.
Hippocrate se mit alors à pleurer des larmes
de vitres, profondément convaincu de sa
popularité. Quand un bras étendu comme une
corde à l'âge de pierre voulut le prendre par la
gorge, cherchant à l'étrangler, lui frappant la
tête sur l'espagnolette de la pyramide mutiforme
de Nabuchodonosor, 1er tyran de
Hongrie. ecornifleur de cheval. Qu'un garçon
épicier bandait tous les soirs pour l'empêcher
de démolir son empire. Coup de matraque.
Lance-pierre. Pétrifié, bien entendu, par le
dernier, par le dernier loup-garou qui passait à
cet endroit. rivé. Pour personnifier les majestueuses
cataractes verdâtres posées sur la table
du premier président de la chambre des raves
et des porte-feuilles dégarnis de matière grise.
Cependant nécessaire pour faire mâcher le
polyglotte tyrolien de la kermesse héroïque
parfumé d'or-du-rai et armé d'une épée de
bois, pour flamber enfin mélodieusement. en
attendant celle de durandal qui devait la rem-
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placer. Cependant que le roi maure conversait
fort aimablement avec tristan et Iseult dans
les bras l'un de l'autre.
alors brusquement, Hippocrate se fendit
la poche d'un coup de rasoir électrique afin
que la foule en délire puisse boire son sang né
à la gloire des trains parlementaires et des
sources vides, qu'une vidange de première
classe avait étendu sur l'agréable verdeur
d'un disque usé jusqu'au trognon. Qu'un grand
diable de marin de Gronstad portait dans ses
vieilles mains aussi calleuses qu'une pantoufle
de vair. Sachant que seule Cendrillon l'avait
perdue, un soir où la mousse au chocolat frelatée,
l'attendait pour une nuit de passe-droit.
alors un gramusarien éleva la voix. Poussé
par l'étendue verte des citronniers du plaisir en
peau de vache et d'éléphant, tannée par le
venin crépusculaire d'une lune surfaite. elle
s'éleva, formidablement idéalisée par un
groupe d'hommes des bois qui n'avaient rien
d'autre à faire qu'à laisser pourrir de faim les
pneumatiques crevés d'un tricycle éperdu de
joies féroces et dynamitées par un violon en
rupture de chef-d'orchestre. dans toute la
foire du trône, ce soir même des levriers blanchis
à la chaux d'hier.
Séraphine prenant Hippocrate à bras le
corps, lui fit danser une splendide rumba sur le
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rebord d'une fenêtre, ramassée à l'instant
même par un silex aplati d'ivoire rose, et tuméfiée
à l'arrivée par la présence incongrue d'un
appareil de vol à voile complètement éclaboussé
par l'archiprêtre des étalages sonores
du grand duc Frédéric, de passage à Paris.
Puis Sylla sortit à son tour, se dirigeant tout
droit. Vertugadin de l'émancipation ubuesque.
Vers Jarymelle. C'était époustouflant de
conneries tordues et flamboyantes, embrasées
par l'épicéa Nacubus Paréo. Lui–même
enclavé dans un papou à l'accent circonflexe.
une main d'acier portant aux nues une jambe
en porte-à-faux. Pénardement appuyée sur le
guidon de la bicyclette de Pie XII, le récidiviste
écarté pour avoir voulu poursuivre
Staline. Lequel, étendu sur le dos, jouait aux
dominos avec tous les cardinaux étendus en
petite culotte pour l'occasion et lézardant au
soleil comme des lézards d'argent. Couronnés
radicalement à l'ombre des pêchers de la
rosière de l'isthme de Panama.
miraculeusement coupé en morceaux et
devenu l'irrévérentieuse enluminure du comte
d'abraham Paconimos. Le joueur de flûte
célèbre, à la peau rouge, sous laquelle coulaient
mélancoliquement la rivière du point du
jour et l'astra de tarigny-sur-Orge.
enfin une dentelière d'airain se présenta
bardée de fer pour continuer la Samba avec
Hippocrate. mais Séraphine, jalouse, lui cria un
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retentissant ParaPOPaZaBOum ! La dentelière
ne l'entendit pas de son oreille d'écaille et
répliqua vertement : Kata rIKa La Va
raCHe ! Ce fut une étincelle inimitable! une
projection des cieux en fureur devant la foule en
délire, muette tout-à-coup. Séraphine fit avertir
l'orchestre de duke ellington de prendre un
Sénégalais. Précisément celui qui passait par là
hasardeusement et à cheval sur un fort des
halles. Il ouvrit la patte arrière de son nez en
trompette d'acier, fit un tour de hanche à la place
d'un discours. Car il était aussi littrinisé que le
roi. et de sa voix puissante, cria à ces enferrés de
la charité chrétienne :
marIKa PaVe La maru rIta
BOtu mIK Se ra rarO
BIZu
PIBO teStu KaPu datu dIVu
Il leva alors sa trompette et la foule en délire
se dispersa comme des feuilles de loto tout
autour de la place. mais Hippocrate, nullement
ému, fit revenir d'une main ferme la
foule en délire qui campait astucieusement sur
un arbre généalogique. Celui justement de
Séraphine qui s'abîma sur le sol avec un bruit
de castagnettes étranglées. définitivement
claquemurées de bêtises incendiaires.
d'Iroquois agitateurs. de crânes d'anchois et
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d'hypothénuses clarifiées. Couverts de lampes
à souder, de bouts rimés, d'espaliers en cavale
d'infanterie coloniale, éperdument amoureux
de cigognes innocentes qu'un ogre malin
tenait en sa main pour le violer. Lentement.
en farcissant sa tronche de morceaux de son
dab qu'il venait de découper en tranches de
saucisson sous les regard hagard d'un martinpêcheur
écroulé sous une avalanche de lacets
de chaussettes. Classé bibliothécairement par
l'arioste en bras de chemise. etouffant.
Jacassant autant qu'un caméléon directement
tué par un irréductible marchand d'esquimaux,
d'ivresses supra-terrestres, à la madeleine de
La Boétie maeght. ratatiné sur le Port-royal
de la Comédie française en chasse de sa propre
compagnie. Si désirable du reste qu'un
canon à longue portée était allé chercher spécialement
à Londres pour lui faire une cour
discrète.
et puis voilà que, dans un enivrement de
toutes ses forces, Hippocrate se sentit projeté
dans l'air opaque de ce petit matin de janvier,
qu'un acrobate dernier modèle transportait
ingénument sur ses phares d'hydrothérapie
vaginale, juste à l'angle de la rue de
Bellechasse et de la Piazza Venezia. Sur
laquelle grouillait une autre foule en élire
dont, par contre, il ne comprenait un traître
mot. Seule dans un coin. renfermée. une
reconduction de baisers fétides, qu'un œuf de
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gigot soutenait verbalement d'une main
ferme et tordue, attendait, dans un grand
éclat de rire secouant fortement les fibres
dithyrambiques des Capulets et des
montaigus. Pour une fois réunis dans un
vaste lunapar. tous endormis de rêves criminels.
alors que roméo et Juliette faisaient
l'amour dans le Sacré-Chœur du comte
Offenbach. Ce vieil imbécile. Que des monstres
superfétatoires bousillaient péniblement
avec les nombreuses avanies des professeurs
d'anglais. Éblouis de lueurs verdâtres qui
leur mangeaient doucement le visage,
comme une caresse de pneumatique vérolée
jusqu'au trognon de pipe. Calumet de la paix
courant derrière une bicyclette de marrons
dinde.
Plus loin un capitaine de corsaires
giflait à coups redoublés les fesses d'une
matelotte, maladroitement embriguée dans
une sale affaire de boîte de sardines, qu'un
compère loriot avait subrepticement apportée
un soir d'orage, et qu'elle n'avait pas eu le
temps de dissimuler dans la fenêtre vissée du
bastingage à l'avant néo-romantique de son
cargo en larges pièces de verre boursouflé
lourd d’une énorme cravate indigo, qu'un percepteur,
ahuri, tenait encore par le pan de sa
chemise. Lorsque Charles trenet s'efforçait de
recueillir des fraises des bois, avec son chapeau
mou, catapulté brutalement, chaque fois
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qu"'il avançait son nez rond et fureteur à travers
une aiguille pour biceps, longue comme
une bouteille à l'encre, interdite pour usage
maléfique au tramway astucieux qui voulait
transporter Charles sur la place de la
Concorde. Véritable effet méride. autour de
lui, ce ne fut qu'anges radieux au milieu desquels
un roi Soleil, qui ressemblait à s'y
méprendre à dieu le Père en personne, était
en train de déguster entre la poire et le fromage
et une carte à jouer posée sur un jeu
d'échecs.
Il fit un signe discret à Hippocrate et lui
demanda s'il voulait bien jouer avec lui.
Hippocrate devant un tel honneur secoua
vigoureusement sa main afin d'en faire sortir
les compliments d'usage dont il pourrait
ensuite se servir pour porter sur le plateau
des fiacres du coin de la rue de Seine et du
placier déconfit des tribunaux paritaires et
minoritaires, la déception des avoués avec
leur tranche de citron. tous qu'ils étaient à
picorer du pain dur sur une motte de beurre
perchée en haut d'un mât de Cocagne qu'un
diable au corps s'amusait à tenir en équilibre
sur son coude, tout en faisant des pieds de
nez avec son gros orteil abîmé de cors et de
cris percutants, à un diplodocus dernier
modèle. et ce fut le silence. Le roi acquieça
et ils se mirent à jouer. À côté d'eux, un seigneur
de village caressait tendrement l'ab-
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sence de sa femme, laquelle avait disparu
avec le dernier serpent mirliton qu'ils avaient
recueilli. Bigrement joyeux. un soir de
tonnerre de haricots verts sulfamidés par un
aéropage tout cramoisi et baignés dans de
sensationnelles ivresses d'iode marine.
troués de temps à autre par un rhinocéros
volant qui ruait dans les brancards en adoration
muette pour un grand singe violet que le
ministre de l'education nationale dressait,
avec un bâton saupoudré d'essences maléfiques
à hygiène alimentaire, calculée sur
une base assonante par des cacahuètes enrobées
de mélasse hivernale. Criblées de
pétards à ressort et dissimulées sous la poitrine
vengeresse d'une Cérès endiablée, que
mercure lutinait majestueusement en lui chatouillant
la pointe des seins avec son trident.
mais avant de lui faire subir les derniers
outrages, il la plongea dans une eau bouillante
d'écume verdâtre et d'idolâtries
consommées, disjointes de l'héroïne des
Nimbus. une porte suppliante regardait béatement
ce phénomène d'agitation populaire,
pourrie.
dès l'entrée de la maison, où la première
nageoire de l'éternelle enclavée d'amours
enjolivées d'invectives, étendues surnaturellement
chaque midi à l'heure du déjeuner que
des calfeutrements spéciaux attendaient
avant d'être entièrement conspués par la
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bijouterie de la femme du maître.
À ce moment-là, le jeu d'échecs put commencer.
dieu le Père et Hippocrate jouaient avec
les âmes comme des poussins authentiques
vagissants de caresses. Nénupharesques.
Poursuivis par l'aversion spontanée d'idiots
serrés dans une gaine de fer au Neri d'arty
Zan. et de guerre lasse, étendus sur une
civière parcheminée de Zébus gominés et
saupoudrés de poudre à éternuer, ils attendaient
des angéliques hyperboles et des
injures diurétiques.
Non loin, emmitouflé dans un canard
sauvage, un père ibsénien transportait dans
sa cagoule tout en haut du Pincio, afin de
mieux dominer rome, son superbe dialogue
écrit avec un crayon du style caran d'ache,
en fuseau épointé. en proie à d'impubères
sclérosées par leurs ingénuités pantagruéliques.
Juste ce soir, où ces patagons de
l'Indre parvenaient à surnager, délicieusement,
dans un marc de café, spécimen unique
de Warwin, recouvert de clémentines
juteuses et savourées par un éléphant du
cirque Barnum. alors le père ibsénien s'enfuit
comme un revenant.
devant dieu le Père complètement
ahuri, Hippocrate avait poussé un NOm de
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dIeu retentissant. Il venait d'apercevoir sa
bonne Séraphine qui, entourée de la foule en
délire, les bras croisés, était en train de se
payer sa fiole. Il ne fut pas content du tout, et
demanda alors à dieu le Père la permission
pyramidale de leur faire goûter un peu d'enfer.
dieu le Père acquiesça et leur lança des laitues
pourries, italiennes et mal lavées, qu'un
croque–mort dévorait à pleines dents juste à
côté sur l'espalier du business, tout en vagissant
écarlate. La ruée fut magnifique. une des
plus belles qu'il avait vues depuis celle de la
ruée vers l'or que son copain Charlot lui avait
racontée dans le creux de l'oreille, enluminée
et spécifiquement modelée pour cet unique
usage. mais le problème était si problématique
que la marine royale ne croyait plus pouvoir
distinguer l'orbe lumineux de la pétulante
lune. un glaçon, héréditairement rendu à l'âge
de bronze par un enfant homme, l'ayant bouché.
au loin, une mère traînait sur les chevaux
du temple d'angkor-Vat, le sort agglutiné des
machines à outils, jusqu'à l'élevage caracalesque
de l'hypertension générale des surjets,
analysablement conspués par toute la faculté.
À cheval sur Pelletier et Caventou. tout en
haut du boulevard masséna, à l'angle de la rue
Syon-du-Bois et Caraca-le-Pendu. C'est à cet
endroit dureste qu'Hippocrate était né, un
matin de septembre. À la renverse déjà, d'une
foi monumentale. Clairsemée de crachatoirs et
divulagatoirement crépusculée par l'âme d'un
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sorcier jaloux. Sorcier qu'un mannequin de
cire poussait de ses deux mains vers l'automobile
sacrilège de la racine carrée des vierges
mortes. mortes à l'heure du sacrifice des
cariatides et des mélopées vengeresses qu'un
Cary Grant éphémère s'amusait à peindre sur
le porte-manteau de sa chemine arrière.
douloureusement soutenu par Gary davis qui
pensait, lui, à son homme du monde, écartelé
par la peur vagissante des troènes malfiques et
divins.Puis, dieu le Père mit dans les mains
d'Hippocrate le livre de la Genèse. et
demanda au torréfié de lire à haute voix le
sixième sermon du dixième dimanche après
la lune rousse. Hippocrate s'assit confortablement
sur un tonneau de dynamite. racla
sa gorge de coléoptère. Cracha sept fois par
terre avant de commencer.
Il lut enfin ces mots pleins d'absconsité,
mais qui paraissaient lumineux à dieu le
Père :
"en ce jour de cratère défini par des
sources virginesques, ramassées le long des
vignes séraphiques – Hippocrate leva la tête
– et de nouèmes disjoncteurs paraphant
conjointement l'égalité des sexes et l'arbre
généalogique de mirlitons exacerbés d'italotes,
spécialisés dans l'art de coudre des
boutons de culotte sur les revers de la
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médaille. misérablement soporifié par l'attitude
des produits pharmaceutiques en mal
d'amour. Joufleusement écartelés à l'ombre
des volcans patibulaires. Sombrement accouplés
à la terre inéluctable de géraniums quadrilatèrement
accouplés afin de rendre la joie
à la barbe rousse de Charlemagne le récropathe.
dernier descendant de l'âme survolée
par l'étendue mécanique des perturbations
atmosphériques. enlevées le lendemain de la
création du monde par l'avant Sérail des
capricornes bleus. Nordiquement parfumés
de bizarreries sulfamidées, et par là, crachotant
éperdument sur l'herbe fine des marionnettes,
à cheval sur l'ombre du vide. Qu'une
mercuriale porte négligemment sur le basventre
d'Orphée, qui pour l'occasion n'était
plus aux enfers, mais simplement dans sa
baignoire à prendre un bain de mousse au
chocolat, que sa bonne Églantine venait de
lui apporter sur le plateau de l'imbécillité
cramoisie de honte pour avoir frappé avec la
dernière catin de l'adriatique. mirifiquement
portraituré par l'hagiographe spécial des
races canines et bovines. accouplée pour les
besoins de la cause avec les récitatifs particuliers
que seules les ombres chinoises pouvaient
surprendre. Fastueusement, à l'envers
de sa chemise, qu'un unique étudiant portait
en guise de banière, vers le vent sépulcrant
des chouettes pneumatisées, trouvées sur le
Pont du Gard. descendues pour la peine, de
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leur tour d'ivoire, avec la permission spécialement
accordée des derniers romains constructeurs
de girouettes, particulièrement destinées
à l'éternité transcendantée par la mort bienheureuse
de Cléopâtre et de César. Ce qui est
un comble pour l'ivresse charnelle des Cahiers
du Sud ouverts sur la table du vent, accrochés
au nuage de la raison par l'atrabilaire alceste
en marge de la cavalerie du comte de
dampierre. enervé par une Jument verte qui
ne cessait de lui rire au nez avec son sabot
d'enfant de marie en ce jour de perturbations.
eclatements lumineux. disjonctions des
marines sédentaires. Invariabilité des cadavres
ennoblis. Protubérance de l'intelligence spécifique.
miraculeuses protéïnes protéïsées par
l'anarchie secrète. etendue amoniacale des
ombres vertigineuses. Prenez à son de trompe
l'horrible son du monde et écrasez-lui la tête,
avec un plateau de métal jauni dans la bouche
morfondue. Intarissable génie de la vérité
poursuivi crépusculairement par l'édifiante
fantaisie de l'aristarque pertinisé par dieu le
Père. tout ramolli par un verset du talmud
qu'une femme mélusienne portait dans son
dos à la manière des lapons, et assise sur la
barque sans fin qui la transporte chaque
matin, avec sûreté professionnelle, sur le
mont Sérano.en ce jour donc, le cacique de
l'hypertension. Inconnu de sa femme et de sa
fille, l'Hypocampe d'arioste. Cratère de feu
julienne. antichambre de l'éclat dénaturé par

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des profils parnassiens. Cratères paranoïaques
des locomotives éventrées. Brisez
vos chaînes dans le conclave prématuré des
personnifications démesurées au-delà des
antres montagneux. et que le petit portier du
paradis transporte, nonchalamment, sur sa
pince monseigneur. Portez cavalièrement la
chambre des tortures sur l'amie fortunée de la
rivière protubéaire. egalisez l'aveyron dominical
sur les rails soupçonneux de l'envie.
teinturé des médailles d'or du rhin. Calculé
sur la base économique des performances
aériennes, qu'un perce-oreille de premier
ordre transfigure à chaque tour de phare et à
chaque passage d'enclume. Identité cramoisie
des herbes folles. Soufflez sur l'ordre
étouffant des règles divines. et mourez sur le
cadre béant des éclairs nébuleux! Qu'enfin la
Voie lactée des ivrognes indéfinis soulève la
tiare sulfureuse des ivoires blanchis, suspendus
au-dessus de la fenêtre de la cave d'un
rapide international. Porté sur des dessous de
soie malignement parfumés de crépuscules et
d'idoles enfermés subitement dans l'armoire
génétique des mâles, sélectionnés par le
furoncle distendu d'une merveilleuse souris
en terre cuite. Inestimable défaut d'un enfant
saupoudré de clémentines sarrazines.
embarqué sur un navire de guerre, un
ogre anglo-saxon se mit à poursuivre vigoureusement
de son arc tendu, les flèches à res-
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sort. État datant du monde de la création
avant que la dextre de dieu ne vînt assembler
les injonctions monacales des sirènes mugissantes
devant des blés murs à pointe d'asperges.
Invraisemblables infirmités démonétisées
par les fièvres aphteuses, véritables
des chevaux de bois; personnifiés par l'album
d'un potard envoûté par l'ivresse
sous–jacente des hypoténus safranés.
distendus. Saouls de leurs serpentins définitifs.
L'heure venait de poindre à l'aube de la
vie, et les cigales faisaient une ronde infernale
et fermière sur le dé incongru de la
baronne. Seule héritière de la bande. du
reste, elle joignait les pieds en signe de joie
chaque fois que l'arabesque d'or passait audessus
de sa tête. et pour l'occasion, elle
s'était enrubannée de désirs voluptueux qu'un
grand chien en vacances portait amoureusement
en équilibre sur son museau. Seul
emploi qu'il pouvait occuper, endiablé qu'il
était de caresses somptuaires. Ce que lui procurait
chaque jour le caniche perturbé du
baron de la Canichette du rhin, le souffreteux
baron de l'excroissance dénaturée, pris
sous le joug d'une femme honteuse, berçant
ses vices dans l'arrière-boutique. Pendant que
Phébus soulevait ses jupes d'astrakan, nuagement
glorifiées par les cascades d'amour des
vilebrequins clarifiés, juste le lendemain
dans la cadillac du sous–préfet. Infernale trahison
des clercs qu'un Julien Sorel anacréon-
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tique soufflait à l'oreille de son maître juste
au portillon d'entré de la station Port-Salut,
là-bas, tout au bout de la ligne d'Icare-ledoux.
Premier roi de France. Inestimable
joyau des sulfureuses angoisses aux germes
incendiaires, qu'un capitaine d'industrie soufflait
à chaque coup de pédale, la raquette à la
main. L'indignation des fidèles doit être à
son comble lorsque l'épine dorsale du grand
montreur d'ours prendra la poudre d'escampette
afin de faire une niche à son maître qui
trouve que la plaisanterie est de mauvais goût
parce que OraCLaIr s'était dégonflé
comme une baudruche porteuse d'eau, obligeant
ainsi l'ours à raccoler les passants pour
le soutenir d'une main ferme. au grand
déplaisir de la foule en délire. Laquelle ne
cessait de passer et de repasser sur le trottoir
du purgatoire, enflammée qu'elle était de l'invraisemblable
chimère des enfers matrimoniaux.
Prise entre un calaçon du pape et une
culotte de zouave.
L'air devint oblique. et l'agencement
directoire des salles parfumées soutint alors
le regard dépareillé d'une série de rois et de
princes qui allaient à reculons vers le volumineux
tapis des larmes altières. dépourvus
de scrupules, entichés de l'imagination chevaleresque
de la dame du logis : Serpinette
de dinosaure, longue et belle dans ses souliers
cloutés de broches d'or, que tous ses
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galants lui apportaient avant de tirer leur
coup. C'était là le marché des épices, discrédité
par cet aNaBaSe de premier ordre
qu'était la vierge en état de léthargie plombéenne.
de riantes pensées, toutes accrochées
à son personnage populaire, assises
devant Barbès-rochechouart, arrondies
jusqu'à l'Étoile et Picpus, la regardait intransigeante
comme un bouclier à quatre faces,
soulevant de sa mesure pornographique l'angle
caché des ménagères et des lavandières,
devant l'œil impassible d'un Victor Hugo
allongé sur le pavé.
Prosper, dit les dents blanches, de derrière
les fagots, toujours souriant. Importe
chaque jour sur des charrettes privées de
roues et de calibre ombilical, assité d'un porteur
de pain d'épice et de croissants chauds,
dirige, dans le même temps, prestement, les
cyclistes attardés à démolir leurs articulations
extravaguées séculairement par un
monumental anchois. anchois que l'olibrius
du camp Panule fait gicler, impétrant sur
l'impétrant impossible, pénétrant pétrant du
pédicule précieux. Source rare et spécifique.
des valeureuses souffrances d'hirondelles
découpées en quartier-maître par
l'équipage assemblé d'un cargo gothique,
goélandesquement gouverné grossièrement
par l'agnostique gargarisme de Gargantua,
grand, des gares à rismes putréfiants, puni-
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quement puniques. Giiroscopes éclatants des
rivières diamantées des personnifications
détendues de caravansérails démunis.
détruits. Sérieusement parracidé par l'appui
pétulant du volant prédicateur des pêchers
pécaristes. Soufflante démonstration de
démolisseurs dominicaux. détruits.
durement. davantage encore. dérisoirement
doré, décati déca-syllabairement dans des
détritus duralumiquement déportés.
disputés. discutés.
La lecture se poursuivait toujours. mais
la voix ordinaire d'Hippocrate commençait à
se fatiguer. durement. À l'ombre de ce sycomore
mordoré, décoré dignement par l'édification
mitoyenne des murs sulfureux, décati,
décuplairement déracinés de la vérité.
duralumairant sur un cif de corail
d'ataxercès, lourd des mélodies pétrifiées sur
l'enclume méphistophélique d'un géant
hypertendu, poussait lentement sur l'atrabilaire
diapason des chances inespérées. Prises
à l'improviste par l'archétype miraculeux des
bergères maigrissantes, à l'heure extravagante
des protocolaires pestiférés. alors que
soumis par l'éclat vertigineux des préambules
agnostiques. Par la richesse particulièrement
finie des maures, déterminateurs de rêves
sporadiques qu'un chantre de porte–plume
mange, lui, audacieusemnt, accouplé à la
Fontaine d'un désir, qu'Orphée porte large-
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ment sur son pouce. Longitudinalement
accroché l'enclume d'un rapide qui file son
train d'enfer, sur les rails de la connaissance.
distribuée régulièrement le lendemain de la
victoire sur le pickpocket de la ligne d'horizon,
qu'une orange asservit victorieusement,
par l'antre valétudinaire des sérums vipérins.
un enfant malade de la peste grignote à
son tour un bout de zan acheté au bistro du
coin sur le tablier de marc-antoine de
Padoue, premier proconsul du romain arbitrage
qu'une gifle, régulièrement entretenue,
entretient toujours dans sa forme la meilleure.
Parce qu'ainsi les protubérances des
criminels de guerre peuvent poursuivre. d'un
geste autonome. L'arrière-garde des finances
enivrée d'une factice surabondance d'agravations
primaires, qu'un bonhomme amphigourique
distribue à l'envi comme une machine
rétroactive, renversé sur le coin du canapé,
telle une femme tenant essentiellement à se
faire baiser. afin naturellement de retrouver
son équilibre de verre sur une rage de dents.
et qu'un grand cambrioleur de la cambriole
défend, tête rabattue, sur le plancher des
vaches, avec une console d'or dit Naire.
Le roi des Patagons et l'ancêtre gaulois
des nègres racornis d'invraisemblables
paluches, regardaient cette exubérante partie
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d'échecs, les mains en forme de poire, toutes
semblables aux seins suspendus de la
Valérienne de marchette. Cette grande catin
des boulevards extérieurs du paradis chloroïdrique.
Inestimable joyau d'une vraie bizeautée
anachroniquement rattachée à l'ambre
solaire par des cygnes portugais, environnés
d'hermaphrodites de première classe.
déchiquetée de part en part, par Perlette, la
chatte de ma cousine, riant à gorge déployée,
soutenue d'un destin arrogant comme une
flûte enchantée de parterre d'osier, juridiquement
assommée par la crapulerie blasphématoire
de l'avocat marron des surprises égrillardes.
dépourvues d'ailleurs du charme
séraphique de Carthage envahie d'ombres
chinoises. Sulfureusement départies de leurs
calmes lendemains lors du déraillement de
dieu le Père qui, pour soutenir la foule en
délire, livrait à tous les anges noirs un
négrier enfantin. moustachu bagnard engendré
par une patte de faisan, jetant tout derrière
la veuve anadomène, gravement
endommagée par un affront, aussi subtil que
tragique, répudiant d'un seul coup prolongé
la masse inerte des enfants de salauds de la
république d'andorre, et le grand ex-capitaine
de la garde du roi Chaussette the third.
marié tout dernièrement à l'assemblée générale
des boutons de culottes et des jarretières
d'hippopotames que suçait en vain
l'arménien des passages à tabac, le soir de la
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prise de Berg-om-zom. entravé directement
par l'acacia rajeuni des protubérances giroscopiques,
particularisées dans la nuit des
martyrs de Biska. dévirginisées par l'assommoir
acrobatique de l’insecte créateur et des
furies mérovingiennes, idéalement spécifiées
par d'invraisemblables tenues de giroflées
poudreuses, accompagnées d'arrachements
personnifiés rageusement par des agriculteurs
méticuleux et des bandes successives, artistiquement
périmées lors de l'ascension au trône
d'Hubert Ier, Prince des Cravates et véritable
acrobate des Prix uniques de Paris-Banlieue,
desservis du reste, chaque matin, par l'irrespect
notoire des femmes du peuple rejetées,
menu militari du cirque amar.
alors, d'un geste péremptoire, dieu
interrompit Hippocrate et le remercia chaleureusement
en lui donnant une grande tape
dans le dos qui souleva une poussière monstrueuse
d'insectes racornis, de race chevaline.
derniers sortis des forges de l'enfer, des
anges noirs en cercle se levèrent et vinrent
embrasser Hippocrate sur le nez en signe de
joie. Si bien qu'après une heure de cette
démonstration, celui-ci n'avait plus de nez.
mangé. Boulotté. Bouffé, qu'il était. mais
aussitôt, de toute sa puissance, dieu dit des
paroles kabalistiques et un nouveau nez orna
la face camuse du vieil amiral des lacs striés.
Se regardant dans la glace, il trouva que ce
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nouveau nez ne manquait pas d'élégance. et,
afin de remercier dieu le Père, l'entraîna au
premier bistrot pour lui offrir un pot. Le Père
bon dieu accepta illico, et se tapa, au grand
ennui d'Hippocrate, dont la bourse était plate,
une demi-douzaine de pastis. Hélas! Le Père
bon dieu avait oublié son ardoise sur la table
de nuit, juste derrière le cumulus 37. aussi
fut–il vite complètement ivre. Comme on
l'avait reconnu dans le bistro et que les mecs
et les pépées étaient pas très chauds pour
chanter des cantiques, il s'entendit sussurer
quelques coliberts maouss. Le plus drôle,
c'est qu'il essayait de prouver aux autres
qu'ils avaient tout intérêt à croire en lui,
parce qu'au Paradis il y avait des bistros du
tonnerre de dieu! Comme, de sa voix de
stentor, il hurlait cette digne affirmation, il
perdit son auréole. Ce fut alors une jolie
bagarre, car ce fut à celui qui la retrouverait.
Quel truc! On pourrait envendre un bout,
comme on le fit avec la croix! et tout aussitôt,
une ribouldingue formidable cracha sa
faux sur l'entrée primordiale de tous ces parasites
fortunés de rêves syphilitiques, qu'un
Iroquois patagon dessinait sur les bords du
Gange, sous les conseils inéclairés de
Cézanne qui venait d'entrer en conversation
avec Praxitel. Lequel transportait dans le
fond de sa poche le pétard éjaculatoire des
œuvres parfaites qu'il voulait distribuer aux
enfants du chef de gare le plus cocu du terri-
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toire d'outre-atlantique, en déperdition forcenée.
Crépusculairement ratifié par l'ambassadeur
de Bolivie qu'un mécréant apache pilotait
au travers des nuages et des bourrasques ordurières.
À côté, sifflait sur un air de banjo, un
capitaine d'industrie, ironiquement accaparé,
acoquiné par l'archiprêtre de l'arc-en-ciel. Ce
singe aquatique, défendu par un gabaroche en
tête de pipe en calcaire du rhin Sceau du
Carpe diem, vieil ami des girouettes.
entretenu chaque matin de farine sèche et de
concombres à l'huile de ricin, très surveillé par
le syndicat général des maquereaux patentés à
l'ombre révolutionnaire des vases communicants
et des paraphines distributives. Jouet
inattendu d'un grand enfant à l'aval qu'un fifre
jaloux aurait bien voulu manger seul et goulûm
e n t . G a s t r o n o m i q u e m e n t .
Gargantuesquement. Gardé, guerrièrement.
Seul et unique parapluie d'un rêve chimérique,
soutenu invertébralement par le Parthénon du
siècle futur, à cheval sur l'éternité étranglée
sulfureusement par l'arrière-garde des autobus
sulfamidés, l'année dernière, à l'heure
héroïque des rassemblements généraux des
pierres précieuses et à l'heure ironique de celle
des courriers comminatoirement entendus par
le juge suprême des marionnettes, soutenues
seulement et moralement, par la plus grande
des courtisanes. Il but à la bouteille d'encre,
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comme Icare. À la gorge serrée de Sérès à la
ceinture blanche afin de fêter l'invraisemblable
arrivée d'un sous-off de dernière classe
qu'un pétulent raskolnikov venait de trouver
sur trois marches de marbres roses, complètement
endolori par l'âge nécropolesque du fils
de l'âge. Patibulairement confondu avec le
reste de l'humanité, prise, dans sa configuration
essentielle, qui voulait mettre en lotissement
ses biens, si bien que tous les croisés,
saltimbanques et figuratifs, qui jouaient le
principal rôle de l'arabesque volante, se révoltèrent.
mais, ce numéro sensationnel, à la Peter
CHeNeY, amoindri par l'increvable sentiment
d'un amateur d'art chinois de la haute
époque ming, qui sculptait l'invraisemblable
particularisme des enfants de marie.
radicalement surchauffé d'inestimables jaillissements
de portraits fantastiques, qu'un
renard à la jambe de bois portait sur son dos,
comme l'aveugle du coin, son chien, l'étrangeté
superfétatoire confondue avec la terrasse
du Sélect, au coin du boulevard
montparnasse et de la rue de rennes.
ennobli tout dernièrement par le bal des
quat'z'arts, radicalement emmitoufflés dans
la chambre infernale des giroscopes introuvables
ce jour de tant de richesses pardonnées.
alors que dans un rapide de troisième
classe, un Italien bien élevé portait dans sa
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poche, en guise de sandwich patronymiquement
rapporté sur l'arioste crépusculaire aux
lèvres mangées par les mites, les rats de
bibliothèques en mal de fromages et soigneusement
découpés dans des revues pornographiques,
qu'un éditeur pédéraste soulevait
d’un doigt mouillé, afin de décoller l'arrivée
des vents de remmes, l'irascible étudiant de
la poésie angélique, agacé par un criminel de
bas étage, avec un hochet crochu frappant sur
sa tête comme sur le génie de la Bastille, et
un Victor Hugo encore impubère, et ce, d'une
seule main gorgée de musc.
mais personne ne trouvait l'auréole de
dieu le Père. On pensa que, peut-être, elle
était derrière le comptoir. Lorsqu'on s'aperçut
que dieu le Père avait disparu. et qu'à sa
place, il avait laissé une carte de visite sur
laquelle était écrit son nom, dIeu Le Pere,
et ces mots fort explicites : L'ombre enfin
départie de son calme foudroyant, doit gifler
courtoisement l'irrecevable envie de souffler
dans un manche à balai car l'ivraie sulfureuse
craint de ne pouvoir rien raturer. en
effet, c'était fort explicite. tellement, que le
bistro se vida en un quart de seconde et que le
taulier fit descendre dans la rue toutes les
putains, munies de leur bidet sous le bras, afin
qu'elles allassent se faire purifier à l'ombre des
cacatoès géants et des foudres policières.
Quelle ruée! L'état bourbeux du paternel à
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tous, mais miraculeux, n'en avait jamais vu de
semblables durant son règne d'enfant mal
élevé. Car toujours poursuivi de la regrettable
envie de se moucher dans les doigts de Joseph,
tristement accouplé à l'âne de Buridan, rasséréné
cependant par l'autre chantre musicologue
de la porte des enfers, qu'un rodin dernier
cri, venait de sculpter sur un bout de chewing-gum
pour un soldat américain qui lui
hurlait de laisser tomber le bout de son pied.
Incroyable d'irreligion orthodoxe, tout comme
une crapule inassouvie de vengeances éclatantes.
emmerdé pleinement par des gâteaux
de miel et des bonbons cadavériques.
ratification surfaite, s'écrie Hippocrate.
ramadan dantesque ! détournements de
mineurs frelatés d'éclatements lubriques sur
l'âge prédominant des enfants, revenus hier de
la compagnie de l'astuce arriérée d'un canular
japonais sur le moulin d'alphonse daudet et,
radicalement transformé en prison de Sing-
Sing sur l'antre béant des radieuses beautés de
Bicêtre. tous accroupis devant les sculptures
memphiques de l'art caraïbe, qu'un accent circonflexe
dépourvu transportait agréablement
sur le harnachement patibulaire des
Cléopâtres endormies à l'ombre des glaïeuls
ensemencés de rictus sardoniques, accentués
par l'arrivée à l'âge de raison d'edgar Poe et de
Charles Beaudelaire, directement transformés
en bronzes, assis commodément sur le cadre
de la bicyclette d'HaSdruBaL, le roi
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punique de la république espagnolisante à
laquelle s'attache crépusculairement le défini,
dans l'indéfini fini du fini fini. Il y eut un
grand coup de pistolet à amorce, et tout se
transforma en un Cirque d'hiver où
Hippocrate retrouva conjointement la foule
en délire qui l'admirait dans son nouveau
costume de clown, sa bonne Séraphine, et
tout au loin, là-bas, dieu le Père. La foule en
délire joignait les mains en signe de profonde
satisfaction dans une attitude aphrodisiaque
qu'un mouton à plumes blanches soutenait
d'une patte où la torvité le disputait à l'extraordinaire
cri d’une jeep républicaine et d'une
dictatorialement cramoisie jusqu'à la roue et
la calandre, de honte monumentale, volée à
l'arrière décadent de bicyclette aromatisée
d'infini bleuté. Supérieurement attendrie par
la quadrature du cercle, que l'enfant de
l'amour essayait de résoudre en commençant
par la fin, étalé sur le guide alpestre du haricot
doré de la finance véreuse, sulfamidée l'an
dernier à la penicilline glycérinée, par l'artiste
ordurier de l'araignée de Luna Park, arrièrearrière-petite-fille
de la grande araignée
d'ajax qu'il avait subtilisée alors qu'elle dormait
sur les genoux de PHèdre, avec ce
vieux satyre d'aBSaLON.
un crampe d'estomac tint brusquement
accrochés Castor et Pollux, juste en face
d'atHÉNa, belle guerrière à la casaque
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pirandellienne, bourrée de subjonctifs et
d'imparfaits de l'indicatif avec un seul verbe
transitif pour la solde d'un algérien sumatrien.
arriviste notoire de l'âge héroïque des
contributions directes à l'heure allemande du
berger Gaspard des montagnes. tonitruant.
Céramiste à la barbe d'argent, qu'Homère en
personne, cette joyeuse abstraction, avait
transformé en catapulte génissienne, aristotélicienne,
cartésienne, sartrienne, bergsonnienne,
kantienne et dégustative de l'amour
déçu en forme de poisson d'avril torturé
lâchement à chaque noce de CaNa par des
polytechniciens en mal de pantalons et d 'ouvertures
d'opérettes chinoises, coiffés de chapeaux
melon, comme il se doit. mais, dénaturalisés
la nuit du plus grand cataclysme où
Hippocrate et Salomon eurent trouvé le
moyen d'avoir sur un pot de colle collé
HIPHIGÉNIe eN auLIde, avec pour gardienne,
comble d'ironie, les papyrus anciens
des gracieuses mélopées de thalie et de
Perpsicore, toutes en diable au corps ratatinées
sur la tête de radIGuet. Par un COCteau
en mal de GIde et de
mONtHerLaNt l'unique. Identifiée du
reste par le crépuscule des dieux, comme
étant l'heure fatidique de la mort de la reine
morte et de l'infant de Castille.
Ce fut, assis sur son pot, en train de
manger des mandarines en guise d'apéritif,
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avant sa cuite mémorable, que l'aristarque
des pompiers assista à toute cette scène, en
pensant mettre sur l'anarchement de ses chevaux
de course, une poire, afin de partir pour
la chasse à la baleine, tout en regardant la
vidange de l'armée solitaire de la Grande
russie, à moitié dévorée par l'agneau
mystique. L'arrière–ban de tous les Vermeer
de deLFt était, du reste, réuni pour
la circonstance, joyeux drilles aux attitudes
surnaquoises et riches de probabilités,
reprises à l'angle de la Nef des fous.
rituellement contrebalancés par la fête au
village de ce vieil imbécile de BreuGHeL,
rationnellement destitué par un conseil de
vieilles barbes en quête de démolitions et de
critiques. Créateur à larges manches vigoureusement
poursuivi par un trident de chien,
que lui avait donné, il n'y a pas si longtemps
encore, le vieux père rOOSeVeLt, dernier
prétendant des pénétrations crâniennes et de
villebrequins paradisiaques, surgissant béatement
à l'angle des pieds, sur la table matelassée
du plus glorieux des visages pâles. À
l'ombre fleurie des oliviers d'encre de Chine,
ce sera au choix d'une pirouette acrobatique.
La foule en délire était en train d'applaudir
l'âge d'airain du dompteur de lions, qui
faisait son entrée au son de l'orphéon du
Biscuit-de-la-Ville. dernier village, en perte
sensible de crétinisme, organisé au profit de
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cette vieille putain d'intelligence qui venait
de s'intituler par un coup de force. maître de
la situation. maire. Conseiller général et dictateur
de Biscuit-de-la-Ville. Cadenassé par
les pinces monseigneur de l'ange gardien du
territoire international des nécrophiles évacués
sur l'ordre fondamental et radical des
chevriers réunis en un syndicat de la connerie
gouvernementale de l'aILLOLIt et de la
gerbe des fleurs. entouré, tout autour d'eux,
par des rages de dents habillées en Prince de
Galles. résolues. Irrévolues. Joufflues.
Parturflues. mirtuflues. Caraflues. Pujues.
Serues et apus bien entendu, commençant à
rire d'un rire gaulois qui leur mettait le visage
de biais, comme une asymptôte de rigolades
barbares que d'anciens commis voyageurs,
giflaient à coups redoublés grâce au mistral
venu d'avignon. en mal d'argent à cause de
pissenlits patibulaires non enregistrés.
diamétralement opposés à la riche héritière
du trône percé de la reine Blanche de l'art
décoratif du tif organisé. découpé en quatre
et surtout en trente-six.
Il y eut un rugissement. Le lion venait
d'avaler, avec un glouglou de surprise, la
botte de son dompteur, lequel fut obligé d'aller
chercher une échelle de corde pour la
reprendre avant que le lion ne l'ait entièrement
transformée en descente de lit. Ou bien
encore, en constructeur d'élevage gratuit de
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mécanos giboyeux dans une immersion
imminente d'artistes radicaux et perturbés.
Cléoptériquement. Scarfacement.
Bizouarment. ratatinés sur le coin de la
gueule du dernier lion en fil de fer que l'accessoiriste
démontait tout juste avec attention
et qu'il se proposait de mettre dans sa
poche, selon les désirs de son gilet. Il s'assit,
pour ce faire, sur la patte de la lionne, sa voisine,
qui ne se fit pas faute de lui lécher le
creux de l'oreille. Ce qui chatouillait désagréablement
le soiriste. cependant il lui était
impossible de faire autrement s'il voulait se
maintenir dans les bonnes grâces de la
femelle du directeur qui, lui, cherchait inlassablement
à vivre sa vie, aussi pleinement
que César au-dessus des alpes jouant du
pipeau sur la garde affaissée de ses crinolines
parasistiques. diffusiques. Pleines d'attaches
moelleuses et de réverbères distendus d'articles
de la mort. Sauvagement caressé en
manque de potes et de soldats d'argile.
Cependant directement fournis par des giclées
joyeuses et musardisées de plombailles au
moment même de l'entrée girouettante des
acrobates caractériellement demeurés.
Ce pauvre soiriste, cardinal de l'archevéché
du diocèse de la galanterie immoraliste.
Vulgairement atrophié par d'ignobles
individus en salopette bleue. tremblant de
tous ses membres sur la roue de secours du

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Picrate d'argent, assommé le lendemain de
son absorption, par un estomac récalcitrant
dénué de sentiments et d'impartialité vis-àvis
de la plus belle danseuse importée de
l'alhambra de Grenade. Véritable déesse qui
venait de prendre par le bras un Hippocrate
torréfié, fier, et que la foule en délire applaudissait
à se rompre les os. et plein d'un mâle
orgueil, racontait à qui voulait l'entendre que
c'était là sa vraie Julie, la plus belle danseuse
de l’al venue directement après un détour
par Grenade, du ciel, envoyée par dieu le
Père en personne. Laquelle danseuse savait le
rendre heureux comme un berlingot sur l'astéroïde
de la foi.
enfin, verticalement reconstitué, devant
le public haletant, un ménestrier en support
chaussettes assomma à coups de raquettes et
de chaises longues, arrachées à l'est de la
botte du capitaine de la riclette du Portillon.
Ce capitaine à dos d'âne sur l'ère
raspouténienne et Léninienne. Jugulé fièrement
dans sa sangle de sanglier. Singulier et
vénérable artiste ! Jouissivement cratérisé
par l'âge héroïque des derniers Seigneurs et
des J3, assemblés en caractères d'imprimerie
sur la gamme classique du La bémol et du
bistouri à clochette. Patronisés par l'érable
gersanien du gongorisme stellaire, la première
antichambre de la feuille de papier
pliée en huit.
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Subitement éclata dans les airs l'éclair
au chocolat que dégustait hâtivement
Séraphine, la bonne d'Hippocrate, dans un
mélange perpendicualire de cieux mercantiles
et de spéroïdes déterminants. dernier
exemple détonant d'un atavique professeur
d'amour en mal de leçon, qui faisait les cent
pas sur la berge de la halle aux vin, attendant
qu'un poisson veuille bien sortir de sa baignoire
pour lui passer le mot d'ordre lui permettant
à lui aussi de passer la rive à la nage
et tout cela, afin de subjuguer les tricheurs et
d'arriver le premier à l'acheteuse, avant
les minutes règlementaires de l'apparition
d'un passeur de Panthéon criblé de fleurs
lancées du balcon de Stève. Bien entendu. un
malabar de boxeur s'amusait silencieusement
à taquiner de son auriculaire vertueux, insonorisé,
miraculeusement accroché aux étendards
gigantesques, des assommeurs particuliers.
mais voilà que surgissait à tour, le valet
de pied de madame la duchesse de la ripette
sur la piste cendrée du Vésuve. ecroulé par
le rire du citoyen robespierre de la
république troisième. enfant gâté des
Princes et des rois qu'un trajan Hippopotame
tenait d'une main ferme au-dessus du pont du
Gard, alors, hypertentiellement suspendu au
père dupanlou. dernier vestige de la chrétienté.
analysé pleinement par l'héroïque
défenseur de la midinette et du prolo gouvernemental.
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apostrophe jaillissante du reste. mais
brutalement arrêtée par une vieille toupie,
qu'un yoyo zazou s'obstinait à regarder avec
des dents aussi acérées que mercurialisées.
Par l'attentisme personnifié devant le plus
grand des tsars de l'emmagasinage identitaire
des pauvres. Galvanisés subitement par
un courant d'air surnaturel qui croyait de
toutes ses forces à la logique et à la bonté
humaine. Cette vaste fumisterie qui n'avait
pour égale que la loterie nationale du bonheur
en trompette glacée. Suffoquée.
magistralement par l'arrivée titanesque d'une
troupe de Wagner qui voulait réviser en un
seul jour toute la musique du monde, pour lui
donner le ton. elle aurait été même jusqu'à
chasser l'Hydre de l'airne, si la plus grande
menteuse de la littérature n'était plus entourée
de suppots de Satan. Lesquels étaient
soutenus le long des quais par des grues au
long cou qui faisaient les cent quatre-vingts
pas de Jazz-band nécessaires à la bonne compréhension
de la connaissance du monde.
etalée spécialement sur une table divine par
un Jéricho manutentionnaire. mais d'invraisemblable
manière. en faisant ses besoins
sur le chantier des Italiennes sacrées.
derniersvestiges d'une race hypertrophiée
par un artiste mercurien de l'étable despotique,
que des villageois descendus de
l'Olympe, décrivent rapidement, en véritables
génériastes de la république rabelai-
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sienne. Hypertendus par tous les avatars de la
vie et de la mort réunis afin de chanter
l'hymne à la vie des gracieux troubadours du
roi rené. Gentiment offert par l'écurie royale
de la miraculeuse opportunité arbitraire.
transformée en sucre de canne et irrémédiablement
consommé comme des giroscopes
élisabethains.
alors la syncope irrationnelle des ménageries
de verre, que le duc de la Chaussette-
Percée avait réglé de sa citrouille particulière,
fut ennoblie et rendue détentrice d'une étendue
extraordinaire d'arrivisme vénusien et
parabélumesque. Inattendus du reste. Grand
héritage de la reine que l'enfant de la balle
transportait amoureusement dans la piscine
aux vipères et au boa-constrictor. derniers
païens retenus en liberté provisoire, aussi
importants qu'une forteresse volante qui
aurait bombardé et découpé en morceaux
l'ange et l'enfant. et les aurait démultipliés en
séraphins d'amour à la noix. Comme il est
sûr, par ce même courrier, que la richesse
infinie des poursuites populaires embrase
d'un seul coup devant l'imagination enfiévrée
des étudiants masochistes et des filles
tatouées par leurs généreux amants. et tout
cela, à cause de la perte sensible du fric dévalué
et des jetons de présence.
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Subitement confondu avec l'éclair du
père Zen, l'ami des clercs emporta dans l'armoire
qui suivait pour lui les déplacements de
l'homme de Néanderthal. Le seul et représentant
de la race chevaline des protozoaires
camelots du roi et de l'irascible chatte amante
du même roi. Souffleuse de variétés dans sa
dernière profession avant de devenir maître
de la goujaterie édentée d'ivraie mal assortie
au crépuscule des idoles idiosyncrétisées du
goût. mane divine. Que la porteuse de pain
du théâtre de la Porte Saint-martin réclame
pour ses chevaux, brandissant un grand bâton
de maréchal-ferrant, climatisé et reverdy
chaque année aux frais de la princesse de la
Couille-molle. Impubèrement conditionnée
depuis sa présence dans les lois sociales et
républicaines de l'artiste. mais qu'elle
raconte prébantiquement devant des malingres
passionnés, encouragés, chaque heure
qui passe lentement à cause de l'archevêque
de Liège qu'accompagne assez brutalement
un anglais rebelle, à l'inversion étrangère et
à la coupure de cheveux en cent quatrevingts,
car il trouvait que c'était trop et qu'il
était difficile de compter ce chiffre comme
test d'attention et ne pouvait véritablement
pas aller jusque-là. C'est là qu'il coupa ainsi
tout effet à venir.
La séance semblait bien terminée. mais
non! La foule en délire se dressa d'un bloc et
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délégua l'un d'eux pour faire un discours à
Hippocrate qui essuyait sa figure pleine de
fond de teint.
Le délégué descendit sur la piste, tourna
trois fois autour d'Hippocrate, se mit à
genoux derrière son dos, puis à plat ventre.
revint vers lui en poussant des cris de rage et
d'amabilité. enfin, après un geste court et vif,
commença son discours d'une voix aux différents
régistres, toute parsemée d'hyperboles
volantes.
"Ô criminel notoire des catapultes bleuies
sous le harnais! misanthrope balbutionnaire
des trompes sous-marines ! Grand récalcitrant
des musaraignes sordides Crépusculaire
de la diaphanité des amoureux transis ! Égal
radiologue de la gent sulfureuse ! Inimitable
luron des forces focéennes ! mirliton de première
classe sous la lune, étendu et criblé de
l'art disjonctif des forces malignées!
Invraisemblable étranger à la vie méditative!
ah ! Viens à nous ! Gyroscope de la vie naturelle
! Prends-nous dans ton tablier d'or ! Que
la rive lointaine des caméléons endormis s'approche
de nos moustaches et que l'algèbre
impartiale devienne l'élément premier de ton
sceptre d'argent, coulé dans la bière indéfinie
! merci du fond du talon de ton ogive
méditative et de ton éclatement mercenaire!
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a vous, foule en délire ! reprenez avec moi
le chœur du chantre final à la gloire
d'Hippocrate torréfié. Le plus grand toréador
et conquistador de l'arrière-plan écrasé :
KaLa BOtu BatI taBO BeNat raCI
eKe Neru BarI Fare raCa meLa
et la foule en délire reprit trois fois ce
cri de gloire à l'adresse d'Hippocrate. le plus
grand des torréadors et des conquistadors de
l'arrière-train écrasé. Puis, joignant le geste à
la parole, la foule descendit dans l'arène.
dans une clameur indescriptible, celle-ci se
mit à marcher sur la tête en signe de joie, tandis
que l'orphéon prenait un bain dans la cage
aux rossignols, et que le directeur se faisait
serrer la patte par la main ferme de Léopard
tu dieu. Le seul être mort du camp Péador,
monstrueusement bigle, il faut bien l'avouer,
qui ne connaissaient rien aux varices, ni à
l'enterrement castricien des batraciens
bafoués. Battus. Butés. Bénignement baristarqués
et misérablement ensemencés de
variole d'argent et de penicilline hypodermique.
Opération pratiquée ce matin-même,
à l'encontre des désirs et de la poubelle
d'ivoire, que Séraphine, la bonne
d'Hippocrate, tenait au-dessus du gouffre de
Padirac. et que l'étalon général du Pape des
lampistes, transportait lentement dans une
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procession païenne et joyeuse.
alors, dans cette cacophonie muette,
Hippocrate se réveilla. Il était dans sa baignoire,
prenant son bain de mousse au chocolat.
Santaraille, juin 1949.
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DEUXIÈME SONGE
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Quand Hippocrate sentit derrière ses lunettes
frigides l'étendue inerte, propriété exclusive
de sa majesté Boris 1er, roi des Patagons, il
se dit qu'il était temps d'aller rendre visite à
ses amis les fonctionnaires. Il ouvrit toute
grande la porte du rêve et laissa venir à lui
les petits enfants qui paraissaient avoir une
envie démoniaque de manger le plus grand
des haricots de l'orbe noir. C'est alors que
l'événement se produisit. Pour son malheur,
Hippocrate avait oublié d'enfiler son pantalon,
coupé au gabarit d'un joueur de flûte et
d'un rocking-chair de saltimbanque à la
manque. Évidemment il resta confondu de
cette belle inattention, de sa langue fourchue
et se mit en devoir, illico, de substituer à l'arrondissement
de Paris-les-aubrais, l'homme
de Néandertal le plus grand des Iroquois, vu
à ce jour. Ce fut alors une mêlée fantastique
durant laquelle l'unique prétendant au trône
de la pissotière de Clochemerle, commença à
s'enquiquiner comme Nabukodonosor lui
tenait son phallus d'une main aussi ferme que
l'arabesque géante de la gent fonctionnariale
du monde entier réunie en conclave d'élection.
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– ah ! ah ! s'écria Hippocrate. Où est
donc cette hypoténuse géniale que mon cerveau,
non moins génial, a richement défendue
l'année dernière ? alors que les
Patagones crépusculaires gênaient considérablement
l'édification des génies embourbés.
Nul ne répondit. alors Hippocrate se mit en
devoir de rapiécer son pantalon avec l'essence
de thérébentine. Celle qu'il avait fauchée
directement au Pape. maintenant, il est
excellent de dire qu'Hippocrate, le seul,
l'unique torréfié, était un véritable croquant,
que seuls les hommes de bonne volonté pouvaient
regarder sans frémir. Car son tibia lui
tenait lieu de nez et d'auriculaire, comme de
bras. N'exagérons pas cependant, et avouons
que, tous comptes faits, Hippocrate était loin
d'être un imbécile. en effet, il avait inventé
la lune et le fil à couper le beurre. Ce qui
pour un homme de cet acabit est plutôt la
preuve d'un esprit particulièrement ouvert,
compréhensif et à l'abri de toutes les impuissances
invertébrées et faméliques.
Non ! s'écria-t-il encore. J'ai enfin
retrouvé mon froc et nous allons partir sur le
char des cariatides réunies poursuivre notre
travail herculéen de poisse. déguisés en mitre
éléphantesque. La foule en délire va me suivre
comme un chien nébuleux. et enfin je
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pourrai réaliser mon œuvre dernière et définitive.
Celle de l'agitation des fonctionnaires
réunis. Il en était là du début de son discours
crépusculaire quand apparut à ses yeux
d'améthystes, la plus belle des belles, sa
bonne Séraphine. alors son nez s'allongea
aussi curieusement qu'une bille de loto. et sa
mensuration artérielle s'incurva dans sa
jambe. dangereusement. de loin, Séraphine
le regardait farouchement. Comme étant le
seul bien qu'il lui était possible de tenir en
laisse. du reste il faut bien dire que la plus
grande peur d'Hippocrate était cette laisse en
bout de zan dont Séraphine le menaçait
chaque fois qu'il essayait de faire un mouvement
giratoire et de reprendre sa liberté. Il
l'aperçut. Prit ses jambes à son cou. tenta un
mouvement aussi détendu qu'imparfait du
subjonctif. Hélas ! Il pivota sur le mauvais
pied. Se prit dans une éclaboussure de révoltés
et alla s'affaisser sur le trône de Boris Ier,
le seul prétendant au royaume des Iroquois.
Quel tintamarre n'entendit-on pas alors.
Les fonctionnaires qui attendaient impatiemment
le seul d'entre eux qui ait jamais essayé
de manger l'herbe par la racine, se mirent à
hurler et à pousser des cris orphrés. Si
bruyamment, si généreusement que le lieutenant
général du roi accourut. monté sur la
plus grande girafe qu'il avait pu trouver au
parc zoologique de l'artistarque dévoyé. Ce
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fut un mélange indescriptible où les sons des
trompettes bouchées se mêlaient aux génuflexions
des pèlerins, le soir de leur arrivée
dans le champ de l'expérience. et pourtant,
voilà qui aurait dû être salutaire. mais non !
Le gag se transmettait de père en fils et de
fils en petit-fils jusqu'à remonter aux ancêtres.
Les seuls révolutionnaires qu'il était
possible de détruire et qu'il fallait admettre.
même qu'on avait dû construire un mausolée
génital avec un nombre incalculable de
bustes en or dural. Ce qui n'était pas spécialement
pour plaire à Hippocrate, ni à
Séraphine. Pour une fois tous deux réunis
par un baise-main crépusculaire réduit à l'état
de fesse mathieu.
Séraphine, enfin parvenue à briser l'encolure
de cellophane qui protégeait
Hippocrate, se mit à le tondre entièrement
pour l'empêcher de sortir du temple. mal lui
en prit. Sa popularité devint alors éclatante
comme un billard russe qu'une nécropole
génoise aurait catapultée bêtement. Celui que
l'on croyait. Hippocrate. mais dieu le Père en
personne. Ce qui ne faisait pas l'affaire non
plus de Boris Ier qui, lui faisait bien l'affaire
des Iroquois qui l'aimaient bien. Boris Ier,
roi des Iroquois. mais aussi des Patagons en
mal d'amour. Cependant là n'était pas la
question. Si mes souvenirs sont exacts,
Hippocrate était maintenant en mesure d'en-
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filer son grimpant. Non par le devant. mais
par le derrière. et il fallait pouvoir se défendre
ferme à la ferme aux oies afin de louer
une quinzaine de tambours majors, pour battre
l'association des fonctionnaires directoirement
éperdus de forces aussi magiques que
relatives.
eh bien! Lorsqu'il arriva devant le
représentant de l'ordre, un rubicond agent de
police, plié en quatre par une crise d'appendicite
aiguë. Il faillit tomber à la renverse parce
qu'un éléphant-moustique essaya de le bousculer
avec tout le culot qui sied aux moustiques
les plus risibles de la terre. Il fit un
effort désespéré pour bousculer cette espèce
de Simca des familles. Ce fut avec un mal de
chien. tel qu'un enfant écarlate lui marcha sur
le pied, comme une giroflée tendue, comme
une arbalète pouvait regarder dans les yeux
une girouette morte. Pauvre Hippocrate. ainsi
écrasé par un autobus magique ! C'est à ce
moment précis que le miracle se produisit.
Hippocrate sortit de sa poche une boîte d'épinards
qu'il avala d'un seul trait. alors, il
redressa le sergent de ville plié en quatre par
sa crise d'appendicite aiguë. Souleva l'autobus
à bras le corps pour délicatement le poser
en équilibre sur l'extrême pointe du paratonnerre
de l'église Saint-Germain-des-Prairies.
et il eut le temps d'apercevoir Jean-Paul
Sartre qui de son balcon le regardait d'un œil

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narquois, un jour qu'il n'était précisément pas
au Flore. Il étendit le bras, le saisit par le
cou. et lui fit boire à deux genoux la coupe
jusqu'à la lie.
ainsi fut fait. Hippocrate sortait vainqueur
de ce combat singulier et majeur. mais il
avait compté sans Séraphine. Sa bonne qui,
fendant la foule en délire, vint lui arracher
d'un coup sec sa boîte d'épinards, sans
laquelle Hippocrate n'était plus rien ; qu'un
vulgaire morceau de bois allant lentement à
la dérive, tel un vieux mégot crépusculaire.
Qu'un imbécile de premier ordre aurait laissé
tomber du haut de sa superbe enregistrée la
veille par un masson de la Gare de Lyon qui
ne pensait plus du tout que le flic avait oublié
son sifflet à roulettes sur les marches de
Notre-dame. Celle de Paris. Pour plus de
précision. Séraphine, donc, s'assit sur le pavé
et attendit. Ce qu'elle attendait, nul ne le sut
sur le moment. Car le temps passait et il ne se
passait rien. rien. Lamentablement rien.
Qu'une légère excroissance de pétunias sur le
nose d'Hippocrate. Le pétunia poussait.
Poussait? avec la rapidité de l'arioste.
Poussait même de plus en plus. Se développait
à l'envi, avec une jouissance extrême que
seul dieu le Père pouvait apprécier.
Puisqu'en fin de compte, c'était lui qui l'avait
voulu ainsi. Le pétunia grandit. S'élargit.
S'engouffra dans les richesses inouïes et
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incultes du roi des malabars et s'en alla tel un
feu follet à travers les maisons du quartier.
Puis au-dessus des toits pour rejoindre enfin
la boîte à malice de dieu le Père.
La foule en délire attendait toujours.
Séraphine, bras croisés et jambes écartées,
aussi. Quant à Hippocrate, il semblait regarder
aveuglément un point dans les airs, qu'il
ne voyait certainement pas, puisque depuis
cinq minutes il était devenu aveugle. mais
absolument aveugle. autant qu'un kangourou
butinant une rose trémière.
– ah! pensa Hippocrate, quel ennui! Je vais
arriver en retard à cette assemblée de fontionnaires
réunis. Voici qui est bien cadavériquement
ennuyeux. Puisque je déconne à
cent sous de l'heure afin que la foule en
délire ne pige que pouic à mes adorables
divagations d'ange déchu. déchu? Pas si
déchu que ça. Car l'autre jour, dieu le Père
m'a offert un pastis du tonnerre de dieu! au
fait non! erreur. C'étaient des boules de billard
enfermées dans un étui d'idiosyncrasie
généralisée par la crapulerie dévergondée des
adéquates forces majeures de l'embrochement
général.
Les vertueuses congénères d'aristide le
Grand, pompaient. À ce moment précis éga-
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lement, tous les plus grands vocabulaires de
la rage encéphalétargique donneraient à tous
ceux qui en feraient la demande. Force
majeure irradiante comme un manche à balai
qu'un hydroplane vengeur faisait hurler dans
la plus grande oreille d'un bien entendu sourdingue.
Les rapaces gueulaient à qui voulait
les entendre, que le roi des cornichons prendrait
bientôt le seul et unique crépuscule des
oiseaux migrateurs. C'est pourquoi l'animateur
du Père Noël donnait à tout le monde
l'ordre séraphique des magiciens. etonnant
de superbes chantées. La grue coulait rapidement
dans la gorge gargantuesque
d'Hippocrate torréfié, lorsque repris en
chœur par la foule en délire qui ne cessait de
l'acclamer et de lui demander si l'ordre nénupharesque
allait lui être attribué. Hippocrate
s'empressa. tarissant ainsi la source heureuse.
de dénigrer totalement une telle assertion,
et affirma que, bien au contraire, il ne
s'agissait simplement que de la Légion
d'Honneur. Ordre plus médiocre. et qu'à
l'heure présente, seuls tous les Iroquois qui
se respectaient, portaient dignement à leur
oreille, en guise de bouche assermentée. La
foule en délire se rebella violemment et faillit
déclencher une émeute en s'écriant :
"Comment on ne se donne plus au grand
imbécile. Le seul. L'unique Hippocrate
Torréfié et on ne lui donne pas l'ordre du
nénuphar pendu! Mais c'est un crime de lèse-
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majesté ! La plus grande insolence du siècle!
Nous, Iroquois, Patagons dévergondés et
crépusculairement accouplés, nous réclamons
vigoureusement que les sources taries
se remettent en marche vers le plus petit des
alligators, et nous voulons absolument que
notre bien-aimé représentant soit enfin couronné
du Nénuphar Géant. Nous voulons
aussi l'ordre du Crépuscule Rouge et que ce
dernier ravage d'un seul coup d'un seul, la
marque éphémère des machines que ce grand
diable d'agitateur communiste distribue à
tout la monde par le pan de sa chemise de
Cow-Boy".
Hippocrate, lourdement affublé de cette
popularité, ne sut comment remercier cette
foule en délire qui lui manifestait un tel accablement
génial. Il chercha longtemps comment
ils e pourrait qu'il puisse détendre les
liens sacramentaux qui le réunissaient ainsi à
la basilique Saint-martin-des-Chausse-Pieds,
le plus grand des pantalons de soie qu'une
femme ait jamais porté sur son cul. C'était
pour lui un véritable tourment. Il faillit faire
appel à sa bonne Séraphine. mais son air
rébarbatif de fesses-mathieu l'en empêcha
tout de go. Non! Il ne parvenait pas à trouver
le biais qui le livrerait à la liberté transcendantale.
et cela lui faisait un véritable mal de
chien. aussi cria-t-il à la foule en délire qu'il
allait faire un discours, complètement impro-
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visé.
"Foule en délire ! Crépuscule des dieux !
L'ogre monumental va manger présentement
tous les lendemains inassouvis et toutes les
carottes qui sont sur le feu, chose rarissime,
cuites. Car l'heure des premiers volontaires,
traités lentement d'agitateurs forcenés sont
devenus les premiers arracheurs de dents de
sa majesté l'empereur des vivants crétins de
l'âge héroïque ! Parfaitement ! Scanda-t-il.
Hiéronimus, mon cousin, est en ce moment à
pied d'œuvre pour régulariser le cours des
monstres humains, mes très chers frères. ah !
Que l'âge héroïque abandonne à jamais l'astre
ostentatoire ! Que l'immense bourse du plus
grand des alligators s'énerve un peu et que
nous puissions voir son membre gigantesque
en plein mouvement de reproduction sacrée !
Giroflée merveilleuse ! apaise ma foule en
délire. Que l'arche de Noé se plie en quatre et
que le génie de la Bastille poursuive mélodieusement
l'arabesque virginale des forces
supérieures ! Les seules qui représentent
encore, en ce moment de logique affreuse,
l'ardeur formidable de l'ange crépusculairement
réduit à l'état de pile atomique".
alors la foule en délire se mit en rang
complet derrière Hippocrate, en reléguant à
la dernière place Séraphine. Puis elle l'en-
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traîna rapidement vers les bords de la Seine
et elle lui fit prendre un bain de siège.
d'abord pour le détendre, ensuite pour lui
faire circuler dans ses veines le sang qu'il
avait perdu par suite de son discours imbécile.
digne absolument de démosthène l'angélique
à la ceinture blanche. Les rues aux
alentours déversaient et redéversaient les
branches animales du plus grand des
conquistadors de l'ordre du bain de soleil.
affalé sur des montagnes de neige, un grand
chevalier de l'ordre teutonique battait à coups
redoublés tout ce qui passait avec sa large
ceinture d'intestins grêles. Curieuse
ambiance. les chevaux giflaient les femmes
ensabotées à coups de sabots redoublés et les
femmes maintenaient sous leurs croupes les
hommes pervertis jusqu'à la taille. Les trottoirs
faisaient les belles et non plus les belles
le trottoir. Les ménagères broutaient les
pavés pendant que les vaches faisaient la cuisine.
et l'assassin du roi de Yougoslavie
buvait tranquillement un bol de sang de
Lacenaire, dont la tête venait de tomber dans
son panier à linge. La foule continuait inlassablement
à maintenir les deux pieds
d'Hippocrate à l'arbre royal, et la femme du
dernier des proconsuls romains tenait au
milieu de sa lèvre proconsulaire un amour
bleu en habit de titan. tableau du reste fort
émouvant que cette femme en chemise de
nuit, ayant délaissé pour un instant sa cami-
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sole de force, tenant entre ses lèvres
d'écailles, un poisson famélique dont l'intelligence
avait été réduite à l'état sauvage par
des sauterelles fermentées. Inévitable enfer
des anges valeureux que l'âge mitoyen avait
blanchi sous les harnais.
et puis, il y eut de nouveau un grand
silence.
Le silence des raclées monumentales
que les présidents de la république des cons
donnaient à un enfant encore en nourrice qui
avait osé se montrer trop intelligent. trop
clairvoyant en matière de politique intérieure
et en matière de politique étrangère. donc en
matière de politique intégrale. Ce que tous
les pubis ne pouvaient admettre. On entendait
l'enfant se défendre. mordre à qui mieux
mieux l'imbécillité et la crapulerie. C'était
pour lui presque insurmontable, mais il avait
manifesté soncontentement du bout de sa
lèvre supérieure en arabesque première.
maintenant, il criait. Hurlait des flammes nauséabondes,
afin de faire lâcher prise au
Président de la république des cons. et à son
président du Conseil qui venait de se joindre à
son chef hiérarchique.
Hippocrate regardait cette scène.
toujours assis dans le creux de son fleuve,
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criant à haute voix la prière lettriste la plus
connue du monde biblique : Ce cara sera rara
beni nitra d'argent rara mena. Il demanda à la
foule en délire de reprendre avec lui cette
prière afin d'adoucir les derniers moments de
l'intelligence naissante. mais qui, hélas, allait
faire un faux pas et ne jamais parvenir à maturité.
Car l'aigle mort faisait son entrée dans la
danse et l'imagination thérapeutique commença
à s'infiltrer vaginalement dans la force
vibratoire des cariatides flexibles. adroitement
construites sur une montagne de radiesthésies
faites de pourritures consenties. Puis
Hippocrate essuya sa figure pleine de sueur et
de boue que cette intervention lui avait
envoyée en guise de profonde reconnaissance.
et que la vierge, enfin revenue d'un long sommeil,
lui avait apporté elle-même pour qu'il n'y
ait aucune méprise tentaculairement tentée
pour la dépouiller devant la foule en délire.
d'un ex-voto en forme de poire qui voulait à
tout prix profaner le saint nom des écritures et
qu'Hippocrate ne manquerait pas de protéger.
La vierge ne s'était du reste pas trompée. Car
Hippocrate se leva brusquement comme un
diable de sa boîte, et déchirant sa tunique
humide cracha trois fois par terre. ce qui eut
pour effet immédiat de circonscrire l'ex-voto
en forme de poire, qui de ce fait tomba à la renverse
et se fit écraser par la foule en délire.
Incident qui fut vite clos, la foule en délire se
mettant en devoir de ne darder ses yeux de
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lynx que sur le seul Hippocrate.
elle cherchait cependant sa bonne Séraphine.
mais celle-ci avait disparu. Ce qui l'inquiéta.
elle pensa que cette dernière allait encore
préparer un mauvais coup à son idole.
Hippocrate lui-même semblait très inquiet et
la foule en délire se demanda ce qu'il avait.
Lorsqu'il fit annoncer par son premier héraut
qu'il venait de perdre ses fixe-chaussettes.
Ce fut une consternation générale. Si
bien que la foule en délire en resta raide,
assise sur la place des Vosges : hormis les
pleureuses qui commencèrent à émettre leurs
joyeuses complaintes. La mélopée gagna les
abords, puis les bords. et enfin on put entrer
et hurler l'hymne général des bouts de zan, en
éclair au chocolat, qu'un ivrogne bien-aimé
dégueulait chaque matin pour faire honneur à
son omelette préférée, celle des gynécées
démoniaques.
Certes. et même funambulesques. Parce
que la femme du roi des Iroquois,
Cunégonde-la-belle-jambe, avait partagé en
tranches de gâteaux rôtis, tous les pêchés
réunis en conclave, lors de la grande noyade
des gommes arabiques.
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mais la foule en délire s'obstinait à rester
muette. tant et si bien que l'Iroquois de
service fut obligé de battre la mesure des
silences énervés, que dieu le Père regardait
d'un œil bourru, où l'imperméable le disputait
au misérable. tout cela se passait à l'époque
glacière, alors que les crépuscules étaient
éclairés à giorno, comme il se doit, pour que
les ruines du monde ancien puissent mieux se
voir et se comprendre. amusante époque que
cette époque où l'éléphant servait de chien à
l'homme et celui-ci d'expérience aux bombes
atomiques, afin de creuser le roc de
l'Hindoustan. La plus haute montagne du
Pacifique 234. Cette espèce de morceau à la
noix qu'un musicien, du nom de Belfébure
avait essentiellement composé un jour de
coliques néphrétiques. raison pour laquelle
il fut repris et commenté le lendemain de sa
transmission de pensée, lorsque les boueux
eurent terminé leur service. L'arme au dos et
le sac au poing. Curieuse ambiance!
L'éléphant des forces malignes soufflait dans
un tuyau d'orgue pour faire plus de bruit
encore, comme il se devait pour un éléphant
de grande classe. merveilleuse musique, qui
rallia sur le chant, les forces répandues de la
foule en délire, ce qui permit à Hippocrate de
retrouver ses fixe-chaussettes.
et comme un bonheur ne vient jamais
tout seul, par la même occasion, Séraphine,

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sa bonne ; laquelle tout le monde le savait
bien, semblait tourmentée par quelque chose
qu'elle ne parvenait pas à définir, pendant
qu'on lui posait tant et tant de questions auxquelles
elle s'efforçait de ne pas répondre. Ce
qui était tout à fait dans son genre. Laissant
ainsi chacun très perplexe. Lorsqu'on découvrit
qu'elle était en train de se gratter furieusement
les fesses. elle s'en aperçut. alors,
lourde et rouge de colère, elle se mit à
s'écrier vertement à ceux qui la mangeaient
des yeux, que le lac des forces striées était en
train de lui dévorer le train arrière. Ce fut instantané.
La foule en délire se retira comme un
raz-de-marée à rebours. et tous les imbéciles
crièrent de joie en assistant ainsi à la plus
grande méprise du siècle. Celle de l'onomatopée
préjudiciable, emmitouflée autour d'un
réverbère, et qu'une force majeure triait, lentement,
en détournant joyeusement l'ombre
pélicanesque des pleureuses réunies qui
avaient cessé leur mélopée. mais qui n'en
cherchaient pas moins à se faire mousser, ce
qui était bien le moins pour des pleureuses
patentées, que seul le roi avait blâmées,
encore que ce ne fut qu'un jour férié. Comme
il fallait s'y attendre, rené Char le savait fort
bien, lui tout au moins. L'invraisemblable
désidérata des pleureuses patentées qui était
la honte de tous les poètes réunis. C'est ce
qu'il fit comprendre au plus grand d'entre
eux, lorsqu'elles voulurent outrager la force
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magique par le derrière de la poupée géante,
tout en haut de la tour eiffel. Ce véritable
phallus des forces occultes, que personne ne
se décidait à descendre comme cela devait
être.
enfin, il faut revenir à Hippocrate
torréfié en quête de l'assemblée générale
des fonctionnaires qu'il ne parvenait pas à
trouver et souligner pour expliquer cette
momentanée incapacité ou impossibilité, que
les chroniques du moyen Âge situaient cette
assemblée au pied du trocadéro, alors que
celle du XVIIIe la plaçait aux pieds du Palais
de Chaillot. Il est évident que dans ce cas scabreux
d'alternative, Hippocrate ne parvenait
pas à dénicher cette source de jouvence qu'il
espérait tant cependant remettre à flot comme
un gouvernement non-euclydien, qu'une
femme en passe-montagne dirige d'un doigt
torve comme il se doit mouillé. mais
Hippocrate était un penseur. un vrai. Il s'efforçait
de croire que l'amabilité génuflexionnaire
prendrait à sa charge l'aristarque
dérangé de l'asile de Sainte-anne, devenue
pour l'occasion le siège de la présidence du
Conseil, puisque le palais de la Pompadour
venait d'être incinéré et que les cuisiniers particuliers
de Louis XV avaient péri dans la
catastrophe et s'étaient retrouvés siégeant à la
Chambre de Commerce.
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Ce qui bien entendu paraissait fort étrange.
mais comment faire pour comprendre l'incompréhensible
des forces surdouées ?
Hippocrate se cassait la têrte pour résoudre
ce syllogisme. Peine perdue. de vieux impudiques
venaient troubler sa vue acérée en se
montrant tous nus et en dansant la danse du
scalp ; mémorable infantilisme que la cruauté
de certains plats avait complètement estomaqué.
tout à coup, la marche reprit à l'ombre
des chalumeaux oxydriques qu'un éléphant
nain portait dans sa narine en forme de rut de
biche. La foule en délire, muette et imbécile,
attendait l'ordre suprême pour entrer en
transe et suivre le plus grand de ses prophètes
: Hippocrate torréfié. un roi dans la foule
poussa un énorme gémissement, car un diabolique
coléoptère de premier ordre venait de
lui marcher sur les pieds, ce qui n'était pas
fait pour l'amadouer ni lui faire prendre des
vessies pour des lanternes magiques. Ce à
quoi tout le monde s'employait. cependant
qu'un encrier funambulesquement trituré
jouait de la flûte avec le derrière de la princesse
margaret, l'innocente dame pipi de
l'âge hystérique cléopâtriennement défendu.
Foire curieuse ! Où le lion de Belfort donnait
sa place toute chaude à celui de Caïn qui se
trouvait il y a encore quelques instants sur la
partie nord-ouest du Luxembourg, le jardin,
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bien entendu. Comment du reste aurait-il pu
en être autrement lorsque les giroflées faisaient
un tel tintamarre de misricorde accordée,
ce qui est un comble, à la seule et unique
demanderesse. devinez qui, mes amis en
peau de lapin ? Naturellement Séraphine, la
bonne d'Hippocrate. Cette belle déclaration
eut le don de l'abasourdir un peu. La foule en
délire qui, devant un tel sacrilège ne trouva
plus rien à dire, qu'à se mettre à genoux, à
quatre pattes, et à prier Boris Ier, roi des
Iroquois, de les prendre sur le champ. ce qu'il
ne fit pas du reste. Car il avait trop besoin
d'une si belle foule en délire, de même que
son leader, Hippocrate torréfié, qu'il avait
choisi pour se rendre à la réunion des fonctionnaires
manchots, maudits, parce que la
réflexion de certains d'entre eux avait amené
le genre dans l'irrespect le plus complet, pour
les âmes sereines, comme l'âge mitoyen du
roi des Fainéants. roi fainéant lui-même
énervé par la brusque détention des armes
illégales, ce jour de bombance, et de valétudinaires
embaumés ? C'était là une des raisons
de cette gigantesque misanthropie qui
prenait le pauvre peuple à la gorge comme un
chat sa victime préférée. en l'occurrence, le
plus beau des léopards de la Sierra madre.
arrivé à cet instant de la lutte,
Hippocrate s'entretint avec un membre de la
foule en délire. mais il était fort angoissé.
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Car il se demandait quel devait être ce membre,
s'il ne voulait pas faire de jalousie. Il
devait savoir. Il hésita un long moment entre
le nez, la bouche ou l'avant-bras de la foule
en délire. et il conclut en son incompétence
juste au moment où passait rapidement une
belle vache de braie devant le slarge majordome
des temples écrasés aux soirs de pleine
lune, pliés en de curieuses génuflexions,
qu'une troupe de papiers d'éléphant rythmait
à tue-tête. Las, Hippocrate se dit que l'âge
avait glacé ses veines, et derechef, appela de
toute urgence ses forces génitales : l'agent du
Pont de Change qu'une fusée mécanique était
en train de baiser sur le coin d'une table.
avec une telle force que l'âge avait rompu sa
digue et débordait à pleins tubes, ce qui
n'était pas pour étonner le képi du flic qui
cherchait vainement une voie de passage,
afin de se défiler de ce défilé des
thermophiles. Véritable amphore minable
qu'un Crépuscule des dieux semblait vouloir
maintenir haut la tête.
mystère ! Charges invertébrées!
Crocodiles bizarrement taillés dans des
coupes sifflantes, où les Barbiers de Séville
et les don Juan du même nom ! dites-moi et
dans quel pays est Flora, la belle romaine,
qu'un piédestal attend fermement, pour lui
lancer son poing dans la figure, afin d'en
faire éclater tous les rakmaninova de toutes
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les républiques Soviétiques réunies, pour
une fois, dans le but de galvauder l'hymne
marxiste dans le tuyau de l'oreille de
Cléopâtre endormie dans le plus noir des
manoirs de la belle au bois. dites-moi enfin!
Où se trouve l'âge rêvé des fortunes du pot et
des cataractes japonaises. dites-moi où est le
plus grand des empereurs romains que je lui
mette la main à la braguette pour en faire
sauter tous les boutons à la fois, et les divers
moments des plus belles années de sa vie,
lorsque les formidables accouplements des
tigres et des femelles auront donné l'invraisemblable
moiteur à l'intelligence vipérine.
ah, vous, nénuphars gigantesques à l'ombre
des montagnes ! Poursuivez l'âcre vomissement
des impudiques pudeurs et qu'un surtout
de table actionne fortement ses protubérances
médicinales enfiévrées et majeures.
À cet instant-même, Séraphine ayant
retrouvé sa force supérieure, se mit à accabler
Hippocrate de reproches sanglants. Si
bien qu'un dialogue épique commença à ouvrir
ses écluses juste à l'heure précise de prendre
son Berger.
– moi, Séraphine, la bonne d'Hippocrate, que
le dieu Général a confondue avec l'aristarque
du coin, je réclame l'aveugle et le paralytique
pour fonder l'âme souveraine des Iroquois. Je
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réclame donc, tout de suite, présentement et
sur l'heure, agamemnon le grand et Virgile le
bucolique pour tenir conseil devant la foule
en délire de cet imbécile d'Hippocrate
torréfié. mais, cependant, je m'active quand
même béatement devant l'âge vertical.
– L'âge vertical ! s'écria Hippocrate.
Voyelle d'hippocampe ! déambule sur tous
les trottoirs, que la vierge te frappe au bon
endroit et que l'astre mort décroche sur ton
nose le pli galeux des gynécées infortunés.
– Gynécée toi-même, face de rat!
– Crépuscule des dieux ! Bandez votre
arc et rendez–moi ma Guadeloupe, que je
puisse enchaîner cette femme en spirales.
– misérable vengeur d'une injuste
rigueur ! défends toi-même tes catacractes
époustouflées et qu'un voyou de première
classe te lance à coups redoublés sur ton astre
brillant de formidables quenouilles de
chastes référés.
– Non, brisez les référés ! tordez le cou
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aux crépuscules inclinés et voyez l'astre mort
chérir l'arabesque détendu des montagnes!
enfants du malheur en mal de pissotière
Chevalier ! Face camuse ! Inventez lentement
pour faire chanter la marseillaise de surnaturelles
protubérances cléopâtriennes!
– achevez ! L'homme s'avance avec sa
faux néronienne et les mastaflus jouent du
plus grand des tubas mis au jour de la sauce
mayonnaise.
– Non, la sauce blanche!
– La sauce piquante!
– La sauce à la merde ! hurla
Hippocrate.
Il y eut un grand silence. Puis la voix de
Séraphine reprit, seule.
– mange!
– Quoi?
– La merdre ! Puisque tu l'aimes tant,
toi, Hippocrate, le roi des cons.
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Le silence devint de plus en plus dense et
l'on n'entendait plus dans les champs que les
éléphants se battre à coups de braquemart. Ce
qui du reste fut un vaste scandale.
– ah ! ah ! s'écria de nouveau
Hippocrate. avec l'accent slave. La merde rit
en ce moment de te voir si belle en ce miroir.
moi je réclame de la foule en délire qui en ce
moment boit mes paroles, de fermer à tout
jamais l'âpre gain des microbiennes enfances
de l'art à cheval sur les montagnes prolétariennes
qu'un genevrier en forme de baobab
suce lentement.
– Genevriers ! Scandale de scandale!
mélanger l'amas putride de cet ignoble individu
avec la race des glaciers importants!
détendez-moi l'âge héroïque et que les
femmes soufflent toutes ensemble dans leur
banjo l'aïlloli de ce roi des Patagons.
– Oyez ! elle vient de se méfier béatement
du roi des Patagons. regardez, l'astre
mort se réveille et donne à la lune la plus
grande claque qu'elle ait jamais reçue.
– Non!
– Si!
– elle ment!
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– Non! Parce que je sais, moi, que la fièvre
première de l'âge héroïque est morte,
faute de combattants, un soir de feu bengal et
l'anarchie continentale conjuguée dans le
puits d'amour, que toute la Faisanderie réunie
a retrouvé, un soir, de bombe sur l'étal d'un
boucher en mal de pote.
– en mal de pot ! L'entendez–vous,
foule en délire?
– Nous entendons ! s'écria la foule en
délire en chœur. mais elle continue à montrer
ses stupres inouïs. allons, Séraphine, toi, la
bonne d'Hippocrate, notre grand Leader,
donne-toi dans ce discours mérovingien qui
te tintinabule l'esprit, comme un astre écarlate,
qui transporte dans sa besace l'ogre mal
léché d'un ours en petit chaperon rouge. tu
sais que c'est l'heure vaginale où les vaginantes
s'endorment lentement sur les
Crépuscules des dieux. tu sais que c'est
l'heure machiavélique où lesrétroviseurs vont
lentement à force de regarder le soleil de
leurs deux yeux en face de leurs deux orbites
radicales.
– arrête ! arrête, foule en délire ! Je te
pardonne. et je vais commencer mon discours.
Le plus grand. Le plus fameux qu'il te
103

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sera donné d'entendre de toute ta vie de pistache
enfumée. ecoute ! Ô toi, Crépuscule
des dieux. Que les nénuphars géants brandissent
la foi génuflexionnaire, et que l'archiprêtre
des diplodocus rentrent dans leurs
gynécées, l'ordre farfelu du monde en marche
vers sa transcendance. L'amour vide. Les
Séraphines écarlates. et l'amour défini rétribue
doucement les premières des primevères
répandues sur l'arabesque d'or des catapultes
géantes. regardez, foule en délire, s'avancer
vers vous l'orage crépusculaire des dieux en
rut, et souvenez-vous du monstre inconnu qui
a bravé l'ordre nouveau ! un monde qui rit
dans sa barbe quand il voit s'évanouir le plus
grand des chaudronniers du pape. L'enfant
écarlate qui regarde d'un œil mouillé l'amour
bizarrement tenu en laisse par par un éléphant
nain qu'un cyclope monstrueux zieute
de ses deux mains emmitouflées. La lune qui
souffle sur l'herbe folle et la mer immense
qui s'ennuie tristement enfermée dans un étui
d'or que la rage violente, brutalement, sur les
forces supérieures des métaphysiques réunies
! Sacrebleu ! Hypertension gênante!
Crépuscules des démons ! L'or safrané
s'échoue lamentablement sur la table d'opération
des Cléopâtres assorties, brusquement
rejetées de l'ordre syndical de la C.G.t. C'est
l'heure vengeresse des moutons de Panurge
que la grand méphisto rejette violemment,
loin de ses pompes et des ravages nocturnes.
104

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regardez ! Cette ombre ombilicale qui prend
sa source à tout Iroquois et en supporte le
regard. ah ! misérables vengeurs ! L'astre
mort regarde la femme à barbe qui lui lance
un regard aussi torve que que le plus grand
des ramses II et de son hypogée tristement
flagorné sur l'ordre des vaginales tueries d'un
voyou en bicyclette et en forme d'aéroplane!
Soufflez, foule en délire qui me regardez
prendre le cow-boy devant l'astre régulateur
des misères enfermées ! Je jette à la tête du
plus grand des nénuphars tout l'arôme
détendu sur un magnifique fil de joie qu'un
parapet démantibule peinardement. moi!
Fille de la merde et de la chèvre réunies j'encule
potablement la radicale enfournée des
pédérastes notoires et je déclare
qu'Hippocrate torréfié, ici présent, regarde à
travers sa braguette, l'or vengeur des sortilèges
partaflus. Je réclame votre attention
pour que nous puissions préciser avec rage,
l'acharnement joyeux des forces imaginaires.
et je réclame encore plus fortement l'inanition
magique de toutes les mères réunies en
forme de poire sur le réchaud électrique des
batailles déformées. Cet homme mort qui en
face de moi regarde une lumière épaisse jaillie
suavrement de la plus grande des merdes
que l'homme ait jamais imaginée. et d'un
mouvement de rage, j'estomaque le seul et
unique parapluie qui viendrait sur sa face
camuse rire de douleur. elle est aussi grande
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qu'un drapeau en loques et regarde incertaine,
l'amour cannibale, bouffant de tout son
saoul l'âge révolutionnaire des enfants martyrs.
et je proclame à qui veut l'entendre que
la ferme aux oies est la plus immense et la
plus régulière des joies universelles.
regardez ! Souffrez de retenir contre moi
l'enclume génitale qu'un immense et sulfureux
animal proclame sur la tombe des
crayons indochinois, qu'un joyeux rabelais
porte d'une main souillée sur l'étendue inerte
du plus grand des aristocrates. Ce nuage ici,
miroitant sur l’âgecanonique des vieilles
dagues, un instant rafraîchi par mon nez
mérovingien, sillonné par un doigt pompeux,
retarde l'occupation maudite des rois sans
pantalons qui soupirent, goûlument attablés,
l'irréelle gaudriole de la race des invertébrés
portés crépusculairement. etonnées.
etourdies. Sonnez l'interdit sur un feu
démantibulé ! Inconscientes génuflexions
assises sur des tranches de melons glacées!
maintenant, je vais ouvrir, péniblement, l'astre
rayonnant des fanfreluches pourries et
j'assurerai vertement le cadavre chaleureux
des mortes saisons. Je suis même prête à
avouer que le royal ennemi de la femme iroquoise
est Hippocrate torréfié. Ici présent.
et que dans votre esprit, je veux tuer proprement,
pour le regarder par devers moi, sur le
pantalon gyroscopique des militaires endormis.
allez zou ! Ne m'interrogez plus avant!
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Je proclame que la plus fameuse femme du
roi Boris 1er, Prince des Iroquois et des
Patagons réunis, est la plus grande des imbéciles,
parce qu'elle n'a pas compris que je
suis là. Là pour défaire promptement l'amour
que l'âne de Buridan cache à son frère aîné,
celui de Saint-Germain-des-Prairies. et je
proclame encore plus violemment de ma dextre
énervée que les tropiques du Cancer sont
quasiment inviolables comme la femme à
barbe, car alors les vagues passeraient sur
l'herbe molle et le plus grand des cadavres se
dresserait sur ses pattes de derrière, afin
d'étendre raide morte, l'ouvreuse du cinéma
Lux. attendez ! je dis encore, plus tonitruandement,
que l'apogée du roi des mayonnaises
se fera sans la présence d'Hippocrate. Car,
étendu sur son char, il regarde un peu trop
l'assommante femme de l'archiprêtre de
l'existentialisme ; l'universel enfant du siècle
en mal d'amour. et vous ! mes amis, souvenez-vous
que l'antre crépusculaire est le plus
formidable canot à moteur, que les phallus
guerriers transportent lentement sur leurs
épaules de mauviettes, ainsi que l'étalon or
des crapuleux sortilèges des rois telets. Car
seuls ces derniers peuvent induire la foule en
délire quand celle-ci trépigne afin de voir si
le grand mausolée détruit lors du dernier
bombardement des devoirs de vacances, ne
va pas se prémunir contre des hommes
qu'une sainte race s'amuse, brutalement, à
107

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regarder pondre, tout crapouillot qui se respecte,
et qu'un enfant de chœur répand sur sa
face camuse comme des giroflées sur l'herbe
molle. À moi ! racine de la Fontaine
molière ! Poursuis l'ombre chevaleresque de
l'étendue inerte qu'une mousse au chocolat
transporte dans un nid de vipères, et qu'un
super–intendant des catapultes choisies
regarde d'un air mouillé, afin de détruire béatement
les revolvers lentement ingurgités des
soirs d'orgie à l'heure radicale des formes
diverses. L'âme noire, je contemple ce
monde absurde que les Iroquois invertébrés
ont été incapables de terminer dans leur dernière
journée crépusculaire. Oui, je sais,
j'emploie souvent le mot crépusculaire. mais
il convient bien à ce monde inconnu qui est
en moi et que je transporte en ce moment sur
les canivaux de mon doux cervelet. Ô moi!
Séraphine ! La bonne d'Hippocrate, énorme et
farfelue, je porte en moi la contradiction
vivante. et j'assure que je suis le paradoxe en
personne. Capable de néantiser l'orage éperdu
d'un soir où l'âme cléopâtrique jouit simplement
de l'amitié perdue, à cause de ce grand
imbécile que je dois servir, puisque je suis son
second lui-même.
et maintenant, dans ma respiration
accouplée au désir de vivre, j'étends pudiquement
mes mains d'invertébrée, afin de transmettre
à celui qui le désire, le flambeau de

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l'intelligence et l'orage de l'esprit. mais il est
hélas vrai que j'aime déborder sur l'étendue
magique et que l'âme des cavaliers antiques
ne pourra jamais m'arracher de cette herbe
que j'ai moi-même consenti à défricher avec
mes dents, pour prouver que ma force est
égale à celle des dieux. regardez, foule en
délire ! Le monstre tertiaire dévore mes pantoufles
de chèvre et ma bonbonne d'argent
que je brandis d'une main ferme sur l'aveuglement
général. Je contredis et recontredis.
mais je parviens aussi à démantibuler fortement
l'arabesque formidable qui me porte sur
ses épaules invisibles, au vu de tous qui sont
ici, en train d'admirer ma bobine supérieure.
L'archange qui m'a descendu de son manchon
d'été, portait dans sa mante fleurie la succession
invertébrée des gynécées, parodiquement
nationalisée, dont une femme jouit pleinement
sur la mer vaguemestrielle qu'un dictateur
fessu admire placidement, monté sur le dos
d'une mite, qu'un éléphant en bas âge cherche
vainement à bercer de sa malice héroïque.
C'est pourquoi, zieutant avec emphase l'or des
formes vulgaires, j'admets, tristement, l'accaparement
des foules par l'orchestre séraphiquement
entretenu, comme il se doit, par
l'apport invertébré de la race des Iroquois.
C'est pourquoi, succombant à l'envie de la
régularité des berceaux civilisés, j'affirme et
redis que la mangue marine est la plus belle
des femmes amoureuses. et c'est pourquoi,

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jouant à cache-cache sur un dos routinier,
nous pouvons affirmer que l'astre brillant
joyeusement, à la mine insoupçonnable des
forces majeures, est la raison pour laquelle,
en rassemblant les grandes cruches de la vie,
j'étends devant moi les stupidités les plus
ignobles qu'un enfant de marie serait capable
d'avancer sur sa dextre énervée, qu'une
rakmaninova porte sur sa bouche en guise de
poire. Il est également vrai que j'admire fortement
les grands discours des rois. Car ils
ne veulent absolument rien dire, et que
cependant, j'en retire toujours le fruit du
labeur inconstant et des révoltes manquées.
C'est pourquoi j'arrive lentement mais sûrement
à la fin de mon discours, que pourtant je
voudrais clair et ordonné, sur la richesse
écartelée de la mort vengeresse. Je dis enfin
que les crayons innombrables bénissent trop
rapidement sa figure en guise de lion, sur
l'astre régulateur des immolations forcenées.
C'est encore pourquoi je peux facilement
admettre que l'encrier géant des immaculées
conceptions peuvent enrichir rapidement les
rêves incroyables des bidons d'essence et que
la première boîte de cachous du royaume
devrait se tenir à carreau si elle ne veut s'entretenir
pauvrement, avec la plus grande
putain de la vie : l'accablante ouvreuse du
cinéma raspoutine qu'un cyclope échoué
transporte dans sa besace, pour enlever les
livres sterling d'un anglais porteur de rues,
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qu'il distribue généreusement à toute la foule
qui en ce moment avale mes paroles, comme
étant le seul évangile qui puisse compter à
l'ombre des catapultes géantes et des nénuphars
mortifiés.
Or donc, ici se termine mon discours et
le jette en pâture à vous, "Ô foule en délire"!
Il y eut un silence mortel. Séraphine ne
se rendit pas tout de suite compte que l'âge
avait glacé ses veines. aussi fut-elle obligée
de rompre d'un seul coup avec l'entourage
hostile qui l'entourait présentement sur le
rebord de la seine, avec son unique uniforme.
Que le roi des rave, qui avait fait transporter
rapidement, sur sa giroflée majeure-Club des
produits cybo, bien entendu. et que Jacques
Chardonne, accouplé avec une femme inconnue,
troublait d'un air grave. La foule en
délire s'arrêta d'écouter l'orgue de barbarie du
rêve qui avait soutenu le discours de
Séraphine et, levant les yeux au ciel, entonna
l'air fartifarfelu des républiques soviétiques
et des prières directement issues pour ce faire
du Lettrisme.
ItO
NOtO
VOta
111

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CaPO
LauBO
dO
merO
VarI
era
taVa
rIVO
rIVO
rIVO
La foule en délire chantait toujours
accompagnée à l'accordéon et regardait avec
emphase la voie céleste des Cléopâtres volontairement
hagardes, qu'un enfant du péché
poursuivait d'une main ferme où la fatuité le
disputaitau génial produit de la calvitie précoce.
C'est la raison du reste pour laquelle il
fut tenu en échec, alors que la vie mirobolante
venait de le soulager de son invertébré
enfant de marie, accompagné pour l'occasion
par le diable en personne. et une femme
étrange, portant ses seins nus dans sa poche,
regardant tout d'un air mouillé. Cependant, la
foule en délire soufflait toujours, maintenant
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haut, son air préféré, demandant au roi des
Lions de lui lire le second évangile avant la fin
du monde. mais le roi des Lions, se référant
par thélépathie au roi Boris Ier, Prince des
Iroquois, se récusa, donnant pour prétexte que
la femme de Napoléon le lui interdisait. Ce
qui ne fut pas pour surprendre cette immense
et insondable confrérie d'imbéciles. mais les
rois quels qu'ils soient ont parfois leurs idées
et il semble bien qu'il faille les laisser faire
dans leur culotte quand ils en manifestent le
désir. Ou mieux, quand ils songent qu'ils doivent
regarder en face l'assurance la plus grossière,
contre laquelle il n'y a rien à faire.
maintenant, la foule ruminait en délire.
et c'était vraiment le plus beau tableau qui se
puisse voir, puisque l'archange déchu portait
dans son nez l'affabulation grossière des
moines, en guise de pain et de vin. Bizarre
chose d'ailleurs, où l'éternité regarde à sa
façon, d'un œil torve, un animal plaqué de
mica, soufflant dans les jambes camuses du
plus royal des livres de la connerie universelle
: celui de l'astre républicain transformé
en diable et pourrissant sur l'ordre moral des
étendues métaphysiques.
et puis, une grande nouba s'amorça au
sein de la foule en délire. Il semblait même
qu'Hippocrate avait complètement oublié
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qu'il devait se rendre définitivement à
l'assemblée Générale des fonctionnaires réunis.
Cependant, il ne l'oubliait nullement,
mais il pensait qu'une petite fête ne lui ferait
pas de mal, de même qu'à sa rose trémière,
celle qu'il portait toujours sur sa vieille face
d'onanistée crépusculaire.
La foule en délire l'entoura et commença
à se battre les fesses en signe de joie
sur le plus grand des cataplasmes, valeureusement
réunis, ce soir de chapardement valéryen.
alors que l'os à ronger était devenu
aussi fortement charnu qu'un sanglier
décrépi, et qu'une face plane mangeant des
boîtes de loto répugnait sans doute à regarder
en face. Ce qui était troublant quand on
pense que le plus grand des assassins jouissait
simplement de l'immortel rejeton des
joutes mécaniques. et que l'homme de larve
était dans l'incapacité mineure de bouffer, à
lui tout seul, toute la philosophie définitive
enfournée par la porte du Claridge, où des
crétins en habit donnaient leur soirée d'adieu
à toutes les légumes dispersées à travers les
monts jolis qu'un grand capitaine de corsaires,
venu tout exprès des Caraïbes, battait
à coups redoublés de sa canne à sucre.
Puis la foule se mit à décrire un large
cercle et renifla subrepticement l'assemblée
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des mites mitoyennes que, chose curieuse,
elle n'avait pas reconnue à des kilomètres à la
ronde. Curieux, pensa-t-elle, je crois que l'âge
s'efface toujours tristement sur la mélopée
gratuite des infrastructures impavides et
négligées sur l'âme monisquienne des catapultes
géantes. Curieuse manière de manger
le morceau. et qu'un arrangement de duke
ellington ramasse tendrement sur la chair
bouffie et détendue détendue des enfants
rapiécés mètre après mètre par le Pape en personne,
ce qui lui prit beaucoup de temps. Car
chacun sait que le Pape a beaucoup de mal à
se passer le caleçon qui, chaque fois, lui colle
entre les jambes. Ce qui l'ennuie fort.
maintenant, il faut ajouter que sans doute ils
étaient mal amidonnés et que l'avalanche des
Cardinaux n'était aussi incongrue qu'on
puisse le croire. Car ils savaient se servir à
merveille des blanchisseuses, lorsque cellesci
se mêlaient de faire un écart de mot et que
leurs formes exquises se mettaient à redoubler
d'emphase, afin de pouvoir mieux en
extraire la carie de leurs dents. Ce qui était
pour elles une nécessité première, étant donné
qu'elles savaient fort bien que l'âme la plus
noble porte à travers elles la rigolade la plus
franche, et que leurs amours sont capables de
les renverser sur les genoux. Que des prêtres
fortement étendus sont capables de faire descendre
dans les profondeurs des églantines de
la vie. Chose curieuse. Qui permet de croire
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qu'un onaniste lubrique n'est pas plus qu'un
révérend père qui serait joyeusement détrôné
par un plat de marmiton, calotte au coin des
lèvres mangeant tout ce qu'il pouvait en guise
de fromage. et comme il fallait s'y attendre,
en guise de pain d'épice ramolli et définitivement
bouffé lors de la première communion
de l'enfant-roi radicalement soigné par l'avalanche
supérieure du plus grand des dominicains,
déclenchée pour asdrubal, le Général
romain.
– arrêtez ! s'écria Hippocrate. arrêtez
votre chant sonore ! Vous oubliez que l'astre
a surgi de l'oracle et que cette enclume
joyeuse commande ce nouveau chant. alors
il se mit à glapir le plus beau chant que l'on
eut entendu. Car la foule en délire l'avait
déjà oublié. et elle ne put que reprendre en
chœur Gynécées crépusculaire
miroir magique des forces
Oyez, oyez, oyez
C'est l'heure vagissante
L'heure infinie des gâteaux
et l'heure infinie des crucifix.
L'arche meurt étendue sur ses bras écarlates
L'amour revient à cheval sur le présent
L'avalanche se meurt aux pieds des ténèbres
et l'écorce fuit l'astre fatal
Gynécées crépusculaires
miroir magique des forces
C'est l'heure vaginante
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L'heure infinie des gateaux
et l'heure infinie des crucifix
Les cataractes s'égarent d'ivres étendues
Les chevaux morts enfourchent les bicyclettes
Les rapaces dévorent les fureurs héroïques
et les vagins s'écartent sur les bombes
Gynécées crépusculaires
miroir magique des forces
Oyez, oyez, oyez
C'est l'heure vaginante
et l'heure enfin des gâteaux crucifiés
La foule hurlait de joie. et les crépuscules
descendaient, déroutés, sur un cul
infernal. aussi la rumeur était-elle à son
comble. et l'arabesque étendue, prise la main
dans le sac, mesurait rapidement le nombre
de pieds, afin de transformer la foule en
délire, ces morts définis, ces soirs de bombes
glacées.
miracles ! L'or ronge les cyclamens et s'étend
bruyamment sur les couleurs des feux changeants
de la mort violente, violentées à coups
de haches étrangères par l'artère fémorale.
Ivresse inconnue de la foule en délire qui,
poussée par une force incoercible, montre à
tout venant son immense phallus, alors que
des gamines en mal d'amour poursuivent
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dans les rues des enfants délicieusement
étendus à l'oombre des saturnales, envahis de
cacatoès pétaradants.
Hippocrate nageait en plein bonheur. et
sa bonne Séraphine, qui avait disparu sous le
silence méprisant de la foule en délire, semblait
vivre un rêve auquel elle ne comprenait
que pouic. Si ce n'est que l'âge royal des fantômes
énervés du tibia, devant le plus grand
des cénacles, et l'enfant de l'amour, semblaient
tergiverser devant cette funambulesque
envie de sauter à pieds joints sur l'os
formidablement éclos que leur tendait un
imbécile juché tout en haut d'un pot de fleurs
vacillant. tellement même que sa plus jeune
couvée en pâtissait quelque peu et que son
ardoise volante se demandait avec humour
comment il serait possible d'enfanter le plus
grand des gyroscopes et le plus petit des
nubiens. Seul Hippocrate tenait sa cuiller à
l'envers, pour bien montrer à la foule en
délire que son ombilical désir surchauffait
toujours son calfeutrement général, synthétique
et retardataire, qui pouvait cependant, à
tout moment, le contraindre à la béatitude
première, ce qui l'ennuierait fort. Car il se
sentait peu fait pour enfiler des perles
fausses, évidemment, le gouvernement et le
président du Conseil étant dans l'absolue
impossibilité de contraindre sa forme d'hydrocéphale
en nénuphar géant. Ordre dont

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pourtant il aurait bien voulu être décoré, ainsi
que le désirait d’ailleurs la foule en
délire qui l'accompagnait en cet instant
unique de sa vie de poissard. Chose curieuse.
Quand il regardait l'agent de la Bastille,
celui-ci portait alors une oreille discrète à
tous les enchanteurs du coin qu'il devait porter
au violon sur ses larges épaules, afin de
ne pas se faire avoir.
et puis. et puis il y eut la bombe.
d'abord personne ne l'entendit venir. mais
elle fut là, aussi rapide qu'un fushia devant
une tonnelle, devant laquelle précisément
Octave buvait un lacrimae-christi du tonnerre
de dieu. C'était presque comme si le souvenir
du défunt allait lui remonter à la
mémoire. Pourtant Coelio n'était pas encore
mort. et marianne pas encore une vieille
taupe dévergondée, faisant le trottoir sur la bastoche.
marianne ! lança-t-il. Puis il la revit
jouant du tuba, un jour que sur la place du
marché il montrait à la foule en délire un ours
mal léché en train de faire le beau, à cheval sur
une cannette de bière, laquelle venait en droite
ligne de la jurisprudence de l'etat mineur de
Saint-Cyprien-les-Caves. Cette formule, pour
élégante qu'elle fut, ne lui seyait pas du tout, et
elle se demanda si Coelio n'aurait
pas mieux fait d'éculer la vache du père

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antoine, plutôt que celle de l'Odéon. Perplexe,
il se renversa en guise d'incompréhension, une
barrique sur le nose, et se retourna contre le
mur pour dormir. Ce qui lui était assez facile
puisqu'il pouvait à loisir asphyxier les morts
patentés et les femmes enceintes. Ce qui n'était
quand même pas une mince affaire !
La foule en délire s'arrêta tout à coup, et
la bombe lui tomba alors sur le pif, ce qui fit
un bruit de sotre rabattu sur une bouche de
métro. Peut-être bien celle de Barbès. À
moins que ce ne fut celle de Saint–michel.
Bref.
Personne ne le sut. mais chacun sentit la froideur
de ce vent étrange. Les rages brusquement
s'élevèrent avec une force si accrue,
que dieu le Père ne put en aucune manière
les enrayer. difficulté extrême en effet
puisque l'imagination préférentielle des
Cléopâtres torturées était d'entendre la
joyeuse marche de l'infanterie coloniale en
surnombre de puissance et d'impuissance
devant la race apocryphe de l'étendue inerte.
Pauvres de nous ! s'écria Séraphine, la bonne
d'Hippocrate, qui à l'occasion ne pouvait
faire mieux que de réapparaître, aussi en
forme qu'un cheval de course bondissant au
galop sur sa paire de lunettes, brisée par l'horoscope
défectueux du roi des Iroquois, en
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mal de protubérance gyroscopique.
en somme, cette bombe avait eu un effet
assez bizarre sur la foule en délire, qui se mit à
lancer dans l'air opaque toute une série de phrases
aussi sympathiques les unes que les autres, que
seul Hippocrate était capable de comprendre.
d'ailleurs voici ce que les sténographes patentés
du roi Boris Ier, Prince des Iroquois, purent
ramasser :
– Cadavres généralisés en mal de croupions!
– ItO–ItO–ItO–NOtO!
– mu!
- défense d'afficher des forces crépusculaires!
– L'essence s'égare sur les blancs joyaux!
- Les forces vives s'éclaboussent dans la nuit!
– Les porcs-épics givrent torvement l'étendue grisâtre
des merles moqueurs!
–
– L’espérance surenchérit les imaginations
- L’étendue Kapa défi lance un amour de trognon
vidé !
frelatées !
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- L'avenir brille la nuit de pelotes graisseuses!
- L'arabesque file un mauvais coton hydrophile!
– Les boueux s'ébrouent dans le givre
chaud, et les femmes prétendent tenir la coquille
Saint-Jacques, compostèlement à deux pieds!
– Les pieds. Ils sont au rebut!
– Zori, Zebo!
– Le roi apparaît!
– Non, il s'en va!
– La merde échoit sur l'herbe folle!
- La vie se campe et déclare forfait les crapuleries !
– attention, les masques à gaz s'esclaffent!
– Prenez vos masques à gaz!
– C'est une erreur!
– Je vous assure que les pieds nickelés sont là!
– Non!
– Si!
– Imbéciles!
– La mort file le train à l'arrière-plan!
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– defi gita patu ritu tizu!
– Nivo la traîne s'efface!
– Kapa, l'air opaque s'arrange avec la truffe!
– mais non, l'érable fuit la force centrifuge et
l'ordinateur des pompes funèbres indique un
doigt mouillé, l'infini dérèglement des
comptes métaphoriques!
– Oyez, Hippocrate parle ! engourdons-le.
Le silence s'établit au sein de la foule en
délire qui venait de recevoir une autre bombe
sur le coin de l'œil. Hippocrate se leva, fit
admirer sa vieille face camuse. regarda
s'étendre à ses pieds la foule en délire. alors,
dressant au–dessus des nuages un doigt
mouillé, il s'écria "merdre" ! Ce fut un véritable
délire. La foule du même nom ne parvenait
plus à rester en place et l'on entendit
alors, sorti de mille poitrines, un cri unique
"Il a dit merdre ! Il a dit merdre ! Le plus
grand de nous tous, Hippocrate le bien aimé
a dit merdre ! Gloire lui soit rendue ! merdre,
merdre et remerdre !"
Vexée, Séraphine se leva, aussi furieuse,
et rejetant son cactus sur sa perruque, voulut
reprendre la parole. mais ce fut un brouhaha
formidable. tout le monde se fit un devoir,
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pour l'en empêcher, de crier par-dessus les toits
la force imaginative du roi des animaux. et
quelqu’un prit même les devants en poussant le
cri de guerre qu’unsirocco étendu allait reprendre
dans sa forme la plus fière. Puis le délire
reprit de plus belle.
– raccrochez les pensules infernales!
– L'escargot mange des orties!
- Les races vengeresses poursuivent l'invitable!
– L'attaque va se déclencher sur les crépuscules
des dieux et les ménagères vont aller pisser
dans les trains!
– Halte-là ! Qui vive?
– La garde!
– Quelle garde?
– Celle des cons!
– Parfait ! Laissez passer.
- À nous les rois. L'ombre se glisse, éperdue!
– Songez à baiser vos femmes!
– L'aristarque s'élance dans le lointain!
– Imaginez ! Imaginez !
- Quoi?
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- La sauce mayonnaise qui flotte sur le drapeau!
– Hourra ! Hourra ! Hourra!
– Parfait!
– une, deux, partez!
- C'est l'arrivée du cent mètres grenouilles!
– Génuflexions, d'abord!
– allons, tous en chœur!
– Non!
ItO
tOta meta rOdOtO
et la foule en délire poursuivit sa mélopée
préférée
tOta meta rOdOtO
KaLa rate mIKatO
ItO
ItO NOta Pata BeZI
KaLa rate mIKatO
125
ItO
ItO
ItO

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ItO rade FaLa
ra de FaLa NerI KataPaBa
ItO ItO ItO
NOtO
Puis, la foule en délire reprit lentement ses
esprits et l'irrégulière formation des rois
mages, s'avança lancinante, orgueilleuse et
péremptoire, afin de déplacet le traversin des
rois qu'un gamin imprudent avait soigneusement
mis à mal, alors qu'il allait à l'école
pour apprendre le baise-pied. Formule de
politesse très à la mode en ce moment, dans
le royaume des Iroquois les plus pistacheurs
de tous les pharmaciens de première, qu'un
chirurgien écrabouilleur venait de détendre
comme un arc.
en somme le fait aurait été inexplicable,
si la formulation de la reine avait été plus
fortement comprise. et si l'amalgame des
historiens néroniens avait pu étendre sa
morale élastique sur l'amphore giratoire de
l'axe nécrocéphaliquement, qui, en ce
moment de forces occultes, était capable
d'embrasser à pleine bouche, l'homme supérieur
étendu sur le dos, attendant sous doute,
qu'un éléphant serviteur lui apporte son dépit
amoureux sur un plateau d'argent.
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La fanfare, ensuite, entonna son hymne
valeureux et les Iroquois se mirent à danser
la valse faramineuse des amphores métalliques,
aussi robustement que l'arabesque
d'or du plus grand des aristocrates. Le seul et
unique diamantaire de la reine Cléopâtre,
admirablement défendue, le soir d'un hiéroglyphe
majeur, par une éternité plombée,
qu'une russe criminelle penchait doucement
sur son œil encore enjolivé de crapuleries
métaphysiques. Seul animal humain qui pouvait
comprendre le toréador particulièrement
attaché à l'antre royal. Ce bizarre amalgame,
fatigué de la récupération des métaux et de
l'astre soporifique, donne à penser que
Séraphine n'était peut-êtrepas aussi bonne à
tout faire qu'on aurait tendance à le croire.
Croissance adorable. un esprit ouvert peut se
demander s'il ne vaut pas mieux donner à
l'astre le plus beau, le plus magnifique,
importé de son calme souverain, les fanfares
étendues, parcheminées dans l'étendue maritale
des enfants racornis ce soir de bombe.
Évidemment, ceux du quartier du quatorze
juillet, jour où l'amour brosse ses habits pour
aller se faire voir à l'Impératrice eugénie,
mère du plus grand des haricots verts, inévitablement
enfermé dans la soie métaphorisée,
qu'un Le Corbusier, doublé d'un faucon,
rédige à coups de balai sur la forme la plus
honteuse de l'astre prévaricateur. Jouissance
suprême qui lui permet de penser que l'orage
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revalorisé est capable de soutenir l'orbite
démesurée de la république des Patagons et
des andalous, pour une fois blasphématoirement
assis sur l'âge microscopique des génuflexions
immergées. arabesques pantagruéliques
où la femme à barbe se montre tout à
fait capable de récupérer l'enfance de l'art sur
un caniveau régénérateur fait de pistache glacée,
et dévolue, à son comble, aux femelles
expresses de l'ogre vaticinant et vaginant.
Sérieusement, il faut bien le dire.
L'éclatement sourd des miroitements générateurs,
siffle à coup redoublés la magie des
étendues inertes qu'un grand vent du soir
trouble profondément en menaçant d'amollir
les plantes surnaturelles de la réaction, formulairement
démontrée, gaillardement, les
soirs de bamboches, quand le grand épagneul
de l'armée s'étire crapuleusement sur les
formes alanguies d'un canapé viennois aux
génuflexions ancillaires.
C'est pourquoi, écoutant sa voix intérieure,
Hippocrate ne bougeait plus, laissant
faire la foule en délire. Il était tout à son
cheminement intérieur en effet, lorsque
brusquement il s'aperçut que bien trop occupée
d'elle–même, la foule en délire ne s'occupait
plus de lui.
Il ramena sa jambe torse sous son ventre
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et ouvrit les écluses de son intériorité gommée,
comme une créature de petite vertu,
dont un enfant maladif grifferait sournoisement
les fesses génératrices de première
classe, capables de le réduire en poudre à
éternuer, afin de faire peur à la plus importante
des délégations hivernales. amusement
granguignolesque, en forme parachevée, de
soirées de crépusculaires, dans le but de
chercher quelle sera la réplique la plus
éblouissante envoyée à la rapidité côtière de
ce jour. Car il est exact qu'il est absolument
impossible de jurer que l'astre mort soulèvera
les poids et haltères du rêve. difficulté
majeure quand on pense que l'amour trouble
toujours les mêmes cervelles, et que l'aristarque
bien connu de tous, regarde toujours
en premier les graves déformations des étendues
crépusculaires.
C'est alors que le roi ouvrit ses
esgourdes et que sa femme commença à l'engueuler
de verte façon. dans le seul langage
qui convenait.
– dis donc, vieux français, qu'as–tu fait,
espèce de bicyclette glacée de l'ordre nouveau
? Je vais te dire ce que je pense de ta
gueule de vieux schnoque ! Chat crevé!
andouille frite par une marchande des quatre
saisons ! J'sais ben moi, que t'es un vieux
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con, et je t'assure que le bistroquet est pas
assez loin de toi. tu fais faire à tout le
monde, comprends–tu ? tu m'emmerdres, et
tout ce que je puis dire c'est que t'es qu'un
vieux j'ton!
– Ô, dis enfance, de l'art sublime ! répondit
le roi, Crépuscule de démons sales ! Viens ici
que j'te baise sur le bras du canapé. ecarte tes
jambes que j't'y foute mon zob.
– Salaud ! t'es qu'un vieux cochon!
– allez, grouille!
– tu m'les casses!
– Ça va, tu l'as déjà dit!
– et j'le redis!
- Si t’es pas contente, je vais te faire mettre
par mon cheval!
– Ce sera toujours mieux que de bouffer des
briques. C'est moi qui t'le dis!
- Ça va, ça va. Cause toujours. tu m'fais
marrer.
- Oh! eh!Fous-moi la paix, ou j'te rentre dans
l’chou.
– Non ! mais entendez-moi cette gonzesselà
! m'entrer dans le chou ! tu vas voir qui
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va y rentrer!
– Pas toi, mais ton bizness en tous cas!
– Si j'veux!
– mon œil!
– ton œil me court sur le haricot, et tout à
l'heure je vas te bouffer d'un seul coup !
– C'est encore à voir!
– C'est tout vu!
– Ben, essaye!
– tu vas zieuter!
– Ben alors, quoi ? t'y vas ou t'y vas pas?
– attends...
– attends quoi?
– attends que j'me débine?
et le roi se jeta sur la reine. Il s'ensuivit
une bataille mémorable, que seuls les éléphants
du Jardin des Plantes purent entendre,
tellement leurs barissements étaient faramineux.
Cependant, il est à noter que dans cette
bagarre, la femme à barbe avait évidemment
son mot à dire. alors, dans le même temps,
l'agacement princier allait précipiter brutale-
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ment une désastreuse ruée sur les génuflexions
évaporées des troncs renversés.
mélange sensationnel, mais immoral. Il faut
bien l'avouer. Car il n'y avait aucune raison
pour laisser montrer ainsi un crime jusque
sur l'échafaud. Ce qui eut été là, un crime
encore plus mémorable de sa lèse–majesté.
Cependant que fortement amendé par l'aristarque
de service dépendu de son rêve sacerdotal.
Inimaginable affaire où le premier
archer du roi compris immédiatement qu'il
était temps pour lui de se défendre, s'il ne
voulait pas se voir confondu avec l'assurance
première des génuflexions évaporées.
Ce fut alors que par un brusque subterfuge
Hippocrate se trouva face à la prison qui servait
de salle de réunion à l'assemblée des
Fonctionnaires.
d'abord il lit sur la porte que
l'assemblée était ouverte et que le premier
rond de cuir du royaume finissait un haletant
discours. Hippocrate pénétra dans le monastère
et, essuyant la sueur qui coulait dans son
cou, s'apprêtait à frapper discrètement à la
porte, lorsque celle-ci s'ouvrit d'elle-même
toute grande, à son odeur, face à l'étrange
assemblée qu'il devait présider.
À sa droite, il trouva les premiers ronds

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de cuir du royaume d'Idada. Sur sa gauche,
les derniers. Ce qui faisait un brouhaha
étrange et sinistre. Si grand même que les
femmes se tirèrent et que les hommes observant
cette fuite majeure, hurlèrent alors à qui
les entendrait le plus. mais le silence se rétablit
subitement et le premier rond de cuire du
royaume put enfin terminer sa farfelue
harangue.
Ce nécropolitique occupait généralement
tous les cabinets de travail et ressemblait
au premier chef de bureau qu'il fut
donné de voir. Celui-ci du reste, étendu sur sa
grande capuche de lustrine, semblait capable
d'anéantir d'un seul coup les giroflées les
plus solides et les mieux ennoblies. C'est
pourquoi, luttant fort avec le pur accent gascon
qui était le sien, Hippocrate attribua la
force majeure aux plus grands des armuriers
qu'il connaissait : Flaubert, non pas le célèbre
écrivain de l'education et de la quéquette,
mais celui du boulevard Saint-michel, à l'angle
de la rue du Chat-qui-pêche ; là-même où
l'ordre monumental détruit les arabesques
syphilitiques en les transformant en une prodigieuse
féerie d'impuissantes génuflexions
et tonitruantes qu'un éléphant, épuisé, regardait
d'un œil profond et torve. " Enfin nous,
fonctionnaires bureaucrates et crétins de
naissance, dédions la palme du souvenir à
notre roi Boris Ier, Prince des Iroquois,

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Amen".
un délire indescriptible termina ce discours.
et l'on peut être assuré que l'ange
déchu du crépuscule des dieux, put être le
seul à pouvoir alors démolir subitement le
nénuphar qu'il portait à sa boutonnière.
et puis et puis. On s'aperçut de la présence
d'Hippocrate. Ce fut une traînée de
poudre. tous les fonctionnaires se levèrent
gravement et entonnèrent l'hymne de l'arrivée
que l'un des leurs avait composé comme
il se doit, les doigts dans le nez et le cul sur
un fauteuil de cuir.
mera mera mera
mera
BIeN BIeN BIeNVeNu
Cata rIPa
CatarIPaPa
Pa BetHa Pa
mIZu mIZu mIZu
BIZu meZu
BIZu meZu ! reprit la foule en délire des
fonctionnaires réunis. L'âge moyen étendit
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alors sa dextre car Hippocrate avait donné
l'ordre des conversations particulières, afin
de pouvoir prendre possession de cette rangée
d'imbéciles qu'il supportait devant lui. Il
ferma les yeux en guise de recueillement.
Chacun crut qu'il se concentrait de tomate,
pour son discours, et les conversations devinrent
tout-à-fait libres. mais Hippocrate, qui
avait appris son discours par cœur et l'avait
souvent récité devant sa glace fêlée, prêtait
au contraire une grande attention à ces
confessions impénitentes. Pour son édification,
voici ce qui vint tintinnabuler à ses
esgourdes.
– dezi ruto puta!
– Puta?
– mono sila besi cadu sera.
– miro flo!
– mira fla!
– Cupa.
– Cupa lambda.
– miro sero phale bezi cad mera veda creva!
– L'essence éblouit les yeux, et la foudre
cara retient les génitrix cedra.
– Bezi cade fala l'or gicle sur le faucon
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étendu.
– muni aou l'homme fuit!
– J'affirme que non.
– ra ca cachi, les femmes donnent la vie.
– mais l'estropité génial éclate sa main étendue
sur l'herbe folle et l'écorce mal léchée
d'un ours brille devant les forges monumentales
des érections conjuguées.
– Impossibles érections.
– rada fala pitu vire mite dira cade
fale mira!
– aaaaaaaaaaaaaa!
– L'idiot du village emballe sa béquille.
– et la morsure détrône les enfants et les
vierges radicales redonnent à ceux-ci l'âge
assoiffé.
– L'étonnement des pleurs étonne l'air
opaque.
– Cadavres!
– Vivants morts!
– L'étonnement s'enfuit, terriblement
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rassasié.
– regardez donc, l'oare coléoptérique des
bébés en bas âge..
– ete mIZa!
– Vengo vengo!
– accusé.
– excuse-me my dear.
– Folish, folish !– Quoi?
– L'étendue crève le plancher des dieux et
les femmes oiseaux grimpent jusqu'au nid
des miraculeuses découvertes.
– un bicchiere di vino, per piaccere!
– No, no, no!
– What?
– Les génuflexions s'étonnent.
– Les roues aussi dévorent l'étendue et l'ortie
super étendue donne à qui veut l'entendre
l'enfantement majeur. ainsi les haricots
pousseront-ils sur la pierre fraîche.
– amen!
– amen!
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– attention ! L'éclosion monstrueuse
détourne de son arc le sphalanges municipales,
et les pompes à incendie prennent,
péniblement, en retour de flemme, l'artiste
crapuleux des énergies souveraines.
– entendu!
– À tout de suite!
– L'âge s'égare ! Ito mezi cade à l'ogre qui
doit s'effacer devant la force publique, ainsi
que devant les chroniques des temps perdus.
– amusement particulier.
– Vie interne.
– Incroyable imbécile de roi qui traîne derrière
lui les plus sots de ses ministres, qu'un
démon déchu déchire comme deux discophiles.
– Invertébrés chéris des nonces du Pape!
– L'infini méritoire des enfants de marie.
– Génuflexions de par...
– Hippocrate se lève ! Silence!
– Chut!
– Il va parler!
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– Il va jacter!
– approchons–nous!
– Faisons cercle!
en effet, Hippocrate en avait assez d'entendre
ces perpétuelles considérations,
recommandations, incorrections et plaintes
de toutes sortes. Il en avait sa claque et pensait
qu'il était temps de regarder au loin agir
ces criminels endurcis des temps libres.
aussi se leva–t–il, en effet, pour les faire
taire. et puisqu'il était prévu qu'il devait faire
une jactance, il se dit que c'était sans doute le
moment, et qu'il avait tout intérêt à le faire,
maintenant que la foule en délire des fonctionnaires
réunis l'était précisément. afin,
par la suite, d'éviter de se faire tenir la jambe
par une bande de mécréants.
Voici le discours in extenso, selon les
sténographes particulières, sous le titre de :
dISCOurS d'HIPPOCrate tOrrÉFIÉ
PrONONCÉ LOrS de L'aSSemBLÉe
GÉNÉraLe deS FONCtIONNaIreS
rÉuNIS.
"Or donc, l'état rageur des forces herculéennes
distribue à la foule en délire les prétentions
mitoyennes, défenderesses, du roi
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des conclaves invertébrés, et l'âge spécifique
détient sourdement l'âge canularesque des
fonctionnaires réunis (applaudissements
nombreux). L'architrave étend aujourd'hui
mollement sa jambe en folie devant le temple
obscur de l'inévitable catapulte qui détruit
mémorablement un ange déchu de ses crapuleries
phénoménales et invertébrées, juste à
l'heure joyeuse des amphores antiques, où
l'ordre nouveau du scalp aux doigts des
rapaces fatigués se dit (mouvements divers),
se dit que l'astre rémunérateur doit largement
diffuser par les postes de t.S.F. la marche de
la ramification. C'est pourquoi... C'est pourquoi,
dis-je, croyant apercevoir l'âge moyen
des astres lunaires, je proclame, je proclame
que l'avortement des forces magiques doit
inévitablement suffire à une vie mordante.
Parce que... parce que l'or du rhin s'est vu
incroyablement défendu par l'aristarque en
flammes de gynécées, substantiellement et
particulièrement reconnu d'utilité publique.
(Silence de mort). aussi je proclame que
l'âge moyen des sémaphores sera la plus
étendue des protubérances lointaines. et je
pense. et-Je-PeN-Se que devant un tel
plan, les femmes enceintes devront tenir,
pour plus de prudence, leurs plus joyeux fermoirs
automatiques, ceux en forme de poire,
au frais. donc, l'esclavage doit tenir lieu de
métaphore, et l'irrespect des ministres du
culte doit trouver sa seule joie dans les cada-
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vres épris de jeunes enfants en bas-âge,
même lorsqu'ils étaient encore dans le ventre
de leur mère, en train de bouffer l'os fémoral
des envies supérieures. C'est encore pourquoi,
cependant, prétendant pourrir à l'ombre
des républiques socialistes soviétiques
marxistes et léninistes, je réclame la mort
subalterne des créatures impossibles, quand
l'orage inconnu transportera sa tombe d'explications
foudroyantes (nombreux cris d'assentiment,
la foule en délire des fonctionnaires
réunis buvant littéralement les paroles
qui sortent comme des pétards de la bouche
d'Hippocrate), le masque de la vérité sur son
dos ! (vifs applaudissements). mais... mais!
Il faut cependant attendre l'irrespect incalculable
des protubérances invertébrées et alors
nous soupèserons, longuement, cet ordre,
pour savoir s'il est aussi efficace qu'un marteau–pilon
battant à coups redoublés sur la
vérité. C'est pourquoi nous voulons, nous,
Hippocrate torréfié, envoyé spécial de roi
Boris Ier des Iroquois, et des funambules, le
racolement immédiat des putains encartées ;
(Bruits divers). Je sais que la joie impavide
de détruire cet ordre nouveau des monumentales
ratifications géniales en cette conjoncture
est telle que nous devons royalement
admettre que la forme supérieure des invertébrés
inconnus supportera péremptoirement et
incroyablement bien l'imagination des amusements
royaux. Nous savons ! et nous vou-
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lons croire que dans cet antre improvisé,
l'âge aura glacé l'inévitable forme de son
orgueil, et que l'âge venu et revenu même
subitement, il emploiera à jamais son sort
machiavélique. C'est pourquoi ! Soufflant
dans un tuba, la femme assise regarde lentement
son royal Haussmann, qu'un prévaricateur
sulfureux va démonter lentement quand
l'orage sera passé (hourras nombreux) et que
les morts héroïques rejoindront nos morts
vivants pour faire la récolte des souvenirs
amusés, agacés cependant, par un patriarche
en forme de ver inluisant. La vie crépusculairement
détruira le souffle dans une bombarde
inconnue. L'amour joignant le geste à la
parole soupèsera avec lenteur son glacial
souvenir, et croyant percevoir la forme
royale, détournera de son sang l'arien chancelant
et moustachu. C'est pourquoi! Croyant
que la récolte sera bonne, nous disposerons à
tous ceux qui viennent, des catapultes vides
de pêches, et des palétuviers-navires lors de
leurs premières armes. (Vivas nombreux).
C'est pourquoi, croyant avoir l'âge canonique
de tous les seins de glace, nous allons rapporter
ici les paroles étranges, échangées entre
Pluton et descartes, lors de leur manifestation
majeure. Oyez!
Hippocrate un instant retint son souffle
comme celui de l'assemblée de tous les fonctionnaires
réunis. Il prit une large inspiration
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et dit :
– La formule algébrique, demande Pluton,
est-elle para- chevée, mon cher descartes?
– Non, cher Pluton, l'étendue croyant revenir
sous son fait reprendra seulement haleine
quand l'homme sera inconnu aux yeux des
autres hommes.
– ainsi donc, l'orage s'acharne sur la
Faisanderie!
– Sans aucun doute.
– mais dites-moi, l'image, elle, sourit-elle
toujours au royal interné?
– toujours... cependant...
– Cependant?
– Cependant, beaucoup de cadavres flottent
sur les berges invertébrées.
– Parfait, parfait, mon cher descartes. alors
les écrivains mentent un soir d'automne?
Inoubliable!
– Incontestable, mais triste, finit descartes.
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Voilà, chers amis, le rapport fidèle et
général de la conversation qui eut lieu au
temple des enfers, entre Pluton l'unique et
descartes, le non moins unique
(applaudissements variés). C'est la raison
pour laquelle je dis et affirme que l'ange
déchu souffle depuis ce matin sur la porte des
dieux, et c'est également la raison pour
laquelle, voulant à tout prix fermer son hangar
à idées, l'homme soulève sa cafetière et
se met en devoir d'en faire cadeau au plus
monstrueux des amuseurs publics ! Le président
de la chaîne des escargots en personne.
mais ! mais. L'inimitable fanfreluche
détourne son regard d'une enfance maladive,
et je porte ici les clés qui lui ouvriront les
portes de l'amusement final. Proportions gardées,
bien entendu. Car la forme nonchalante
des crépuscules des dieux que ma bonne,
Séraphine, transporte chaque fois que cela lui
est possible, dans la vaste mémoire de cul-delampe
qui lui sert de canal infernal. (Il y eut
un silence attentif durant lequel Hippocrate
reprit son souffle avant de s'écrier :)
Criminels assortis ! (Le silence se fit grave et
mécontent) Oyez ! l'ombre rapide des joueurs
de banjo, et croyez bien que l'ordre radical
détruira l'amour viscéral, parce que l'ange
détruit, sillonne à grand renfort d'aristarques
les murs enjolivés qu'un garçon de course
brandit de sa dextre assombrie. L'assurance
des gynécées enflammées susurre à l'oreille

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du gaz d'éclairage la venue génitrixement
venue de pompiers endormis, si bien que l'argent
crache sa force majeure à l'ennemie de
dieu. C'est pourquoi, joignant pour enculer
sa bonne et sa fille en même temps. mais...
mais. mais l'ardoise sacrée va enfin démontrer
à tout l'entourage de l'homme que l'archet
joyeux soupèsera lentement les femes
enceintes, et je puis affirmer que les génuflexions
premières garderont dans le temps,
l'épanouissement ectoplastique, qu'un géant à
quatre queues basses pèsera pesamment.
enfin ! Je proclame que l'enfant malheureux
qui souffre d'un furoncle agité, que l'ordre
des catapultes géantes à son chevet
regarde fuir subrepticement l'assurance formelle
d'un ange disgracieux, lors de la pendaison,
mirifique, des billets de loto, rangés
en forme de poire, et gaillardement retrouvés
le soir des noces de Canna. Ce soir où la
noce revint phénoménalement sur les gynécées
cléopâtriquement infinies. et miracle!
L'ordre chante la sulfureuse envie combinée.
Le mistral souffle sur l'auréole bondée, et la
jardinière détruit brusquement l'ensemble
génial des volumineuses infrastructures de la
définition invertébrée des mangeurs inconnus.
C'est pourquoi, voulant affirmer une fois
de plus (applaudissements longs et variés)
l'inévitable contrefort desjoyaux minéraux, je
transporte le bec bonzaine sur un genévrier

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tondu de frais, qu'un définissable enlumineur
porte de porte en porte. et c'est pourquoi je
tords le cou aux menaces sidérurgiques de la
fosse aux lions pour sa première définition
des enfantillages vaginaux. ainsi, poursuivant
la carrière bénéfique des jupons entravés,
vous, fonctionnaires réunis ici en
conclave, transmettez à l'ordre cervical la
promesse de votre foi en notre bon roi Boris
Ier, prince des Iroquois et des Patagons, que
masson représente lentement, les poings sur
les hanches et le verre à la boutonnière (Ici,
fin du discours d'Hippocrate Torréfié).
Hippocrate voulut descendre de la tribune,
mais il en fut empêché par les ovations
sans cesse répétées que les fonctionnaires
réunis ne manquaient pas de lui prodiguer
après ces paroles si claires et si fameuses,
sans doute, qu'il avait dû composer, au
moment où il attendait sa douche et prenait
un verre de lait. Chose assez difficile pour
lui, car il devait enjamber les nombreux
numéros d'ordre, qu'une crapule ahurie tenait
dans ses mains, juste quand il devait répondre
à l'attachement incalculable de ses nombreux
sujets, qu'il lui était impossible de
négliger puisqu'ils le prenaient pour un
enfant prodige.
L'air était enfin devenu plus respirable.
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Le joyeux babillage des femmes enceintes et
des mères de famille coulait, tendrement
enlacé sur la terre énervée de luxure rajeunie.
C'est donc le moment qu'Hippocrate
torréfié choisit pour écarter la foule en délire
des fonctionnaires réunis, afin de descendre
dans la première automobile à pompe qui
serait, du moins le pensait-il, capable de le
joyaux minéraux, je transporte le bec bonzaine
sur un genévrier tondu de frais, qu'un
définissable enlumineur porte de porte en
porte. et c'est pourquoi je tords le cou aux
menaces sidérurgiques de la fosse aux lions
pour sa première définition des enfantillages
vaginaux. ainsi, poursuivant la carrière
bénéfique des jupons entravés, vous, fonctionnaires
réunis ici en conclave, transmettez
à l'ordre cervical la promesse de votre foi en
notre bon roi Boris Ier, prince des Iroquois et
des Patagons, que masson représente lentement,
les poings sur les hanches et le verre à
la boutonnière (Ici, fin du discours
d'Hippocrate Torréfié).
Hippocrate voulut descendre de la tribune,
mais il en fut empêché par les ovations
sans cesse répétées que les fonctionnaires
réunis ne manquaient pas de lui prodiguer
après ces paroles si claires et si fameuses,
sans doute, qu'il avait dû composer, au
moment où il attendait sa douche et prenait
un verre de lait. Chose assez difficile pour
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lui, car il devait enjamber les nombreux
numéros d'ordre, qu'une crapule ahurie tenait
dans ses mains, juste quand il devait répondre
à l'attachement incalculable de ses nombreux
sujets, qu'il lui était impossible de
négliger puisqu'ils le prenaient pour un
enfant prodige.
L'air était enfin devenu plus respirable.
Le joyeux babillage des femmes enceintes et
des mères de famille coulait, tendrement
enlacé sur la terre énervée de luxure rajeunie.
C'est donc le moment qu'Hippocrate
torréfié choisit pour écarter la foule en délire
des fonctionnaires réunis, afin de descendre
dans la première automobile à pompe qui
serait, du moins le pensait-il, capable de le
soustraire à cette foule en délire, car il ne
soupçonnait pas ce qui allait lui arriver
quelques instants plus tard. Il se précipita
donc dehors, entouré de la foule en délire de
tous les fonctionnaires réunis qui ne cessaient
de l'ovationner. Il se demandait, du
reste, combien de temps cette comédie allait
durer, quand il aperçut subitement son plus
vieux copain, le duc de la Sourdaingue.
– Bonjour, amigo!
– Bonjour, fleur de rave!
– as–tu vu l'quin?
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– Non, le pape simplement.
– Comme c'est curieux ze ment!
– adios!
– adios!
et le duc de la Sourdaingue disparut
aussi rapidement qu'il était apparu.
Hippocrate, lui, cherchait toujours comment
il allait dégager sa voiture, quand il se trouva
entouré par la foule en délire, que sa bonne,
un gourdin à la main, menait amplement relié
sur son bras d'or massif – C'est ce qui en faisait
sa valeur –, le nose en l'air, humaznt l'air
frais, et auquel venait se joindre sa future
fille, la grande cantatrice chauve de l'hirondelle
farceuse.
Hippocrate régarda, médusé, la vague
jaillissante, et se demanda, perplexe, comment
il allait pouvoir reconnaître les deux
espèces de foule en délire dans cette
invraisemblable cohue. Il se posait toujours
la question, lorsque l'ange descendit sur sa
tête et se mit à le becqueter d'importance.
alors Hippocrate, étendant une main
derrière son cou, sentit une sueur froide l'en-
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vahir et il constata qu'il venait de se réveiller.
Sentaraille, avril 1950.
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TROISIÈME SONGE
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ah ! ah ! s'écria la première femme à
barbe du cirque Barnum. Voici l'instant
suprême où le plus grand de nos clowns, le
grand Hippocrate torréfié, va monter sur la
piste pour détrôner les nuages multicolores
des enclumes rafraîchissantes. moi, la
femme à barbe, attablée devant un gigot
monstrueux, je sonne l'éclatement lunatique
des ricochets, le soir, quand ils passent à
tabac la flamme vengeresse des Cléopâtres
étendues sur une ribambelle jalouse de
femmes enceintes. Qu'un coléoptère hypocondriaque
a filmée généreusement comme
la filmologie soufflant dans un grand verre
de Perrier, que l'astre détournant une mineure
stimule lentement. Comme moi, la grande
femme à barbe gifle généreusement l'amour.
C'est pourquoi, lorsque les bicéphales
génuflexions entreront dans le premier
prieuré du roi des cataplasmes, je m'arrêterai
un instant, sachant parfaitement que l'ogre
saugrenu saura mieux que moi pénétrer un
enfant en bas âge par sa vulve, sensationnel-

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lement retournée sur l'astre générateur des
comédies brûlantes, et lymphatiquement
grillé sur le haricot vengeur des forces surprenantes
d'un garçonnet ivre de colère qui le
menace du doigt. Je sais que la vie s'efface
tranquillement sur les générateurs forcenés et
que les déménageurs des grandes maisons
doivent un jour prochain royalement capturer
toutes les femmes à barbe qui entreront dans
leur sillage enfantin. mais regardez un peu
pour voir cette étendue magnifique que la
génuflexion première a lentement défaite,
alors que la première bouse de vache du
royaume soumet l'aristarque infini à des brutalités
léonines. Croyant pouvoir affirmer
que l'astre des cloportes sera le premier à
savoir aimer et troubler la fenaison aristotélicienne.
ainsi commençait à se détruire la forme
sidérale de l'arabesque et des forces clownesques
de cette fête ini-mitable, durant
laquelle le Grand Hippocrate torréfié allait
se produire, comme il se devait, muni de sa
très célèbre Séraphine, sa bonne, qu'il avait à
son service depuis de nombreuses années, et
dont la férocité n'était plus à contempler.
Pour l'instant, la foule en délire se préparait.
et en fermant les yeux on pouvait
l'entendre frémir dans sa sainte culotte d'offi-

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cier maraîcher qui, la première, avait eu la
complaisance de la ratifier tout bonnement,
afin d'empêcher les petits morveux de la
place publique de baiser sur le tas la cargaison
blanche qui venait d'arriver par le dernier
train en partance pour les Philippines. et
qu'un chef de gare, pour une fois pas cocu,
regardait béatement en se tapant le derrière
par terre au son de la clarinette bouchée,
aussi rageusement qu'une grande foulée de
champions cyclistes lors d'une tournée de
propagnade à travers l'assurance et
l'amérique du Sud. Laquelle chialait dans
son pot tout ce qu'elle savait. mais pas pour
s'appesantir sur sa maladresse envers les
femmes enceintes et les nénuphars géants,
véritables citrouilles d'un garde-manger
enragé, et envers un enfant en bas âge qu'il
regardait doucement comme si une pince à
linge lui avait pris le nez entre deux coups de
rouge fauchés sur un comptoir d'ébène,
qu'une main creuse tentait sournoisement de
lui faire déglutir ses plus épouvantables
excréments que sa faim vengeresse avait
péniblement trouvés le soir de sa première
communion. et qu'un parchemin géant observait
nonchalamment assis en face de
l'Iroquoise envie de surchauffer des dieux
morts.
C'est pour cette raison que la foule en
délire parlementait vertueusement, afin d'ob-
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tenir les entrées sacrées. ecoutez ce dialogue
étonnant de la foule en délire ce soir de fête
idadaïste.
– Vous, que le grand page écrase, dites-moi si
les voyoux seront capables de baiser éternellement
les chastes oreilles?
– Je crois que les chastes oreilles mettant
leur argot dans la poche de leur veston peuvent
très bien emballer ces pattes de mouche.
– elles le peuvent vraiment à condition que
leur pantalon de flanelle se brise sur l'échelle
du désir.
– Pardon, qu'est en réalité l'échelle du désir?
– L'astre flottant qu'un grand berger flagelle
à coups redoublés, mais parfumés, le soir
d'une coupe gargantuesque.– La béquille
première doit-elle vivre sa forme élancée?
– Parfaitement, lorsque l'âge gyroscopique
détournera son brin de coquille, qu'un enfant
mal élevé a regardé volontairement retomber
sur ses pieds.
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– regardez ! L'astre rouge bouge et vacille. Il va tomber.
attention ! Il tombe!
– Il est fou, ce n'est qu'un feu de Bengale!
– attachez les lions!
– L'étendue du désastre est merveilleusement pourrie.
– L'attachement essuie tristement le verre de l'arrachement
insultant.
– Les récoltes s'affirment très lentement.
– Les sommations forcenées atteignent vertement les
rhododendrons forcenés.
– L'âge pue la vache malade.
– et le haricot détruit les marmelades anglaises.
– Les gynécées souffrent des mélancoliques reproductions
sur des réverbères glacés.
– La vidange est terminée.
– Bravo!
– Viva il duce!
– La guerre commence!
– Les ricochets s'étalent crapuleusement. envahissent
le fleuve. ménagent les portes. rançon inimitable
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d'enfants forts des forces défendues. C'est
pourquoi, broyant la vie caractérielle, l’identité
nationale trouve les génuflexions raccommodées
par des raskolnikov infinis.
– Idoine ! (La femme à barbe s'avance
majestueusement, et péremptoirement s'étend
sur les définitions amoureuses des infinis
soupesés)
– Idiot ! Infernale pourriture des polices méditerranéennes.
La garce écarte son ventre pour
le faire admirer.
– Choix inestimable de joyaux emperlés.
– Créature de choix défunt.
– miracle sans cesse renouvelé, la femme
s'endort au pied de l’infini, et l'avantage des
désagréments soupçonne fort les mitrailleuses
joyeuses de défendre l'astuce toujours
renouvelée des forces imbéciles. et l'inévitable
papier d'emballage essaye d'empêcher
notre clown désiré d'entrer dans sa vareuse
étronesque. Ce que pourtant l'armée cosmopolite
réclame à grands cris.
– Imagination forcenée prise en flagrant délit
de conscience énervée.
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– Incroyable certitude de la vie rémunératrice.
– Inévitables variations des forces dévoreuses.
– Non!
– Si!
– L'astre vert...
– L'astre est mort!
– Silence. La queue du chat balance et celui qui
rira vendredi, dimanche chialera.
– ainsi soit–il.
– ah, que le regard éperdu des dieux admire chez
cet homme des fredaines assouplies, et que l'ombre
diamétrale ouvre tout grand son gousset pour
qu'en sorte la lune empesée.
– Volonté de bien faire, l'anatolie souffre de sa
première génuflexion et sa vérité cherche encore
la souffrance éternelle sans lendemain.
– Les hommes sont morts.
– dieu est mort.
– Que l'on amène Gabriel marcel à pied d'œuvre!
– Que l'on rive son clou à Sartre.
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– Que l'existentialisme et le surréalisme et le
dadaïsme et le lettrisme se donnent la main
pour faire la nique à dieu le Père.
– Que le souffrisme apparaisse et le nouveau
transcendantalisme et le personnalisme.
– Qu'éclatent les foudres désordonnées et
que se retourne l'épicéphale de la race
blanche.
– attention, voici les pompiers!
– Qu'ils partent!
– amen. Ils sont partis.
– mais la variété aussi oblongue qu'une
pêche assure que le péché n'est plus l’invariabilité
des forces neuves. aussi peut-on
croire que l'étendue spécifique se donnera à
tous, lors de la première communion des
gynécées invertis.
– (a+B) = a 2 + b 2 = + 2ab.
– Parfait. Que l'astre appelle la mathématique
permise.
– Non!
– Pourquoi?
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– Parce que dieu vient de se fouler le pied et
le doigt. Chose incroyable. ainsi que son
imagination. Chose admirable.
– amen.
– ainsi soit–il.
– Ite missa est.
– rosa la rose.
– Kefale, kefale.
– L'idiot du village se réveille.
– Les forces magiques entourent le grand
prêtre du cirque et de l'hypogée, tristement,
lors de l'aménagement vertueux des formules
magiques, ce que pensent brusquement les
enfants de la radioactivité fécondairement
retransmise chaque soir de putréfactions
insoumises détenues par l'os fémoral.
Joyeuses sources de l'anarchie spécifique.
– royal ! Le démon s'approche et l'infini
tangue sur sa barque vers les bons enfants
troublés par ces soirs de richesses exsangues.
– enfin, les rationalisations de ces enfants
font qu'ils soufflent dans l'arrière-train d'un
phénomène astral, et d'un invraisemblable
amusement de pertes sanguines qui donnent
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la becquée aux oiseaux invertébrés.
– La classe va commencer. Préparez vos porte-plume.
– dictée.
– L'éternel jaillissant de son panier, éclate joyeusement,
devant un métronome reçu supérieurement par
les femmes enceintes et par l'héritage du grand roi, audessus
du vent qui passe par l'arabesque violacée.
– Fin de la dictée.
– Les fautes d'orthographe ne seront pas corrigées.
– Les lanternes non plus.
– Le professeur est mort.
– dieu ait son âme.
– L'enfant de chœur tient les cordons du poële.
– C'est ainsi. rendons grâce au plus haut des grands
derricks de sa paupière morte.
– Joyeusement la vie s'estompe.
– Les cadavres remuent leurs pieds dans les cercueils
et se les croisent en signe de grève.
– attention, la C.G.t.
– Qu'on la bouffe.
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– C'est fait.
– Qu'on la chie.
– C'est fait.
– Bien. Que les lions passent.
– ah mais ! Pourquoi faut-il donc que l'on
accuse de violences inouïes le premier
homme qui a eu le courage de transfigurer
l'asssemblage spécifique des grandes corvées
de luxe?
– Parce que l'assemblage des Italiens a
donné la formule nouvelle de l'arrivage de
l'or.
– Parfait ! Qu'on la bouffe!
– C'est fait.
– Parfait, qu'on la chie.
– C'est fait.
– Passez la monnaie!
– amis, dites-moi, ô grand valétudinaire des
forces muettes ! Pourquoi les enfants souffrent-ils
tant d'apprendre la transition finale?
– Parce que l'homme découpe les cheveux en
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quatre au lieu de le faire en trente-six. Ou en
deux. au choix.
– mais enfin ! Que veut dire cette inconnue
qui hante les châteaux forts, lorsque s'évadent
par la plante des pieds, les fournitures
infinies des génuflexions pathogènes?
– Parce que l'arabesque ne vagit que le soir.
– L'Italie mange son pô, et l'âtre rêve d'un
incendie monumental qui redonnerait à sa gracieuseté
l'astre verdurin.
– ah ! ah!
– Vive l'absurde!
– Ouvrons un ban pour l'absurde.
– Fermons le ban.
– Voilà, je crois, le plus formidable spectacle
qu’il va nous être donné de voir.
– Sans doute.
– Il faut le penser, l'homme ne fait rien sans
vouloir voir à l'avance ce qu'il peut voir.
– très bien. Faites passer les monstres.
– Ils pissent en ce moment.
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– Laissons-les pisser.
– mais les voilà!
– en effet, voilà les monstres. des hommes
très forts en liquette bleue, portant gentiment
sur leurs épaules giralduciennes l'astre
immobile zieutant d'un œil torve le Paul
Valery du claudélisme vaginal poursuivant
d'une main ferme l'astuce première des
copains de Jules romain. Pas l'écrivassier
qui a pour nom Farigoule. drôle de plaisantin,
entre nous. mais le véritable porteur du
nom, le peintre, celui qui étend ses toiles à
matelas à sécher sur des tringles de l'enfer,
pendant que s'excusent les giroflées écrasées.
Ici, dit simplement la femme à barbe, se termine
le dialogue de la foule en délire. et
nous mettrons alors au bout de ce passage
classique, en très gros titre : FIN.
La foule en délire, maintenant qu'elle
avait passé son besoin de discourir sur les
sujets les plus farfelus, regardait avidement
son grand clown préféré. Hippocrate torréfié
qui s'avançait vers elle, vêtu des habits sacerdotaux.
Communs à tous les clowns en mal
de chevelure dorée les soirs de grande comédie
safranée et de grains de folie pernicieuse,
qu'un enfant en bas âge, cherchait timide-
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ment à engloutir périodiquement dans sa
grande méchanceté native. elle savait cependant
que l'astre bienveillant des enfants de
marie saupoudrerait gentiment son nénuphar
géant, dont elle venait de recevoir la croix de
grand officier. Chose faramineuse quand on
pense que le roi des troïkas saupoudrait
aussi ses enfants avec du talc de Luzenac.
Curieuse façon, du reste, de les ranger en
panoplie sur les marches irrégulières des tribunaux
paritaires d'où l'homme revient toujours
lentement accablé, sous un voile d'enfant
déchiré ; et qu'un grand prêtre complètement
abscons défend vigoureusement de ses
mains puissantes, afin de faire jaillir la
source féconde des introversions vaginales.
Hippocrate regarda la foule en délire s'assembler
à ses pieds avec un plaisir ardent. en
effet, il pensait que l'imbécile qui l'avait mis au
monde devait probablement savoir la Bible par
cœur. Car il croyait pouvoir annoncer à la
foule en délire que l'acte sanguinaire serait
pour le lendemain matin. Source prodigieuse
de métaphores gratuites, de vagissements éclatants
dans les sources valeureuses des
grandes forces crépusculaires, et de mélopées
vengeresses qu'un crime impuni réduit
lentement à l'information maladroite des
grandes périodes fantomatiques. mais
Joseph, le roi des Prussiens, tenant lieu de
commandant, demandait partout autour de lui
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quel était le grade de l'assemblée Générale
de la foule en délire. Il lui fut répondu que la
giroflée particulière du roi des Hébreux était
en train de répandre le bruit qu'une automobile
géante allait bientôt venir s'asseoir sur la
dernière dent de l'enfant prodigue, afin de
vérifier si les canulars étaient bien toujours
les mêmes. et si l'arabesque cervicale serait
bientôt l'astre mort des ténébreuses infinies.
C'est alors que la pluie se mit à tomber
comme un paquet de perles sur l'astre fémoral
de l'arabesque d'or, le grand vengeur des
cataplasmes, réunis sur l'ordre des arrivées,
nonchalamment revues et corrigées par l'acte
infini des vilebrequins patentés. doucement
reconnus les soirs de grandes fatigues amoureuses.
C'est pourquoi, regardant avec
empressement les astres furieux, l'homme
étendant son bras secoua sa clavicule pédestre,
et laissant tomber son froc, courut se
faire panser par les Italiens généreux des bastions
avancés, les soirs de force majeure et de
république espagnole. ce qui était peu fait en
vérité pour tromper les formes obliques des
grandes manœuvres retardées, diamétralement
assemblées, pour vérifier l'endroit écarlate
des bassesses en forme de proue.
minuit sonnait lorsque la voix éraillée
du plus fort des athlètes devança l'appel
166

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granguignolesque des perturbations atmosphériques
qu'un enfant, devenu grand,
d’unœil las, envieux mais confiant, pour
retrouver l'oubli vengeur des étendues mortes
ce soir de vilebrequins sacrés. Chose bizarre.
L'enfant regarda son père. Oublia complètement
le lait sur le feu qui s'enflait comme une
citrouille. et bien entendu fila à l'anglaise
par-dessus le réchaud à fromage. Ce qui fit
un grand bruit que l'on entendit jusque dans
les combles des salles à manger infernales.
La vieille toupie, alors, ouvrit le feu, et
les quatre– cents coups fusèrent à la fois,
profondément étouffés par les traversins
dénaturés qui s'effacèrent alors pour laisser
passer la fumée grandissante des éternels
canulars en mal d'amour et d'imbéciles. C'est
pourquoi, regardant joyeusement l'absurde se
promenant lentement sur le bord du lac,
Napoléon ouvrit son manteau afin d'y faire
disparaître sa logique. en effet, il avait peur
que si une bagarre écaltait entre sa logique et
l'absurde, il n'était pas sûr que la logique
viendrait à bout de son adversaire. Il en était
tellement convaincu qu'il chercha à fuir au
grand galop. mais l'absurde, avec ses
antennes infaillibles, l'avait déjà repéré et se
lançait à sa poursuite avec toute la rapidité de
ses grandes jambes de caoutchouc verni. Ce
fut une bagarre mémorable. Napoléon fut
jeté à terre et piétiné vertueusement avec

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méthode, dans son infrastructure de base.
même de son intelligence reconduite aisément
sur l'alambic d'or d'un démagogue,
choisi par cette ruée vertigineuse qui voyait
soudainement jaillir ses forces vives.
Napoléon essuya sa face camuse et, oubliant
l'arrivée des amours tremblants, regarda vertement
et lentement cet assassin de ses nuits
imaginairement troublées. Nuit des bagarres
safranées et des admonestations inconnues.
alors l'absurde saisissant la logique à bras le
corps lui tordit le cou sans autre forme de
procès. mais la logique qui avait quand
même quelque force s'élança gaillardement
sur l'absurde et lui fit une passe de karaté que
l'absurde eut bien du mal à parer. mais
comme elle était très habituée, cette vieille
catin, à tous les tours de passe-passe, elle
n'eut aucun mal à faire croire qu'elle possédait
une force redoublée et qu'elle comptait
bien entendre siffler ce soir, ses noces d'organdi.
troublante chose que l'homme qui
regarde sa fiancée fatale mourant d'intoxication
après avoir déposé sur ses lèvres un
banjo. Comme tout cela était curieux et bien
fait pour démolir les remplacements méritoires
des protubérances choisies des
malades, dont un enfant gravissait le calvaire,
qu'un vieil imbécile, aux marrons glacés
sans mains, regardait péniblement du
haut de sa gigantesque motobécane qui passait
justement alors, irréfléchi et l'amitié

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désolée.
La bagarre enfin arriva à son comble,
lorsque l'absurde ayant terrassé la logique,
Napoléon fut obligé d'appeler sa vieille garde
pour se dégager. La vie fut enfin rendue à la
logique infernale par un enfant malade de la
peste, ce qui fit plutôt plaisir à l'ivresse cadavérique
des impressions, verbalement étendues
sur l'artiste défini des gynécées infernaux.
L'absurde avait triomphé. C'était là, en
somme, la seule chose qui importait. et il est
à remarquer que cet archétype prodige, étendant
alors sa main pour faire cesser ce bruit
infernal, mit sans le vouloir sa figure, précisément,
dans le lac strié des formes infernales.
Ce qui fit un boucan de tous les diables,
tellement infâme, que le Pape en personne
se demanda si le volcan n'avait pas
commencé sa prière du matin, auquel cas il
devrait rapidement se lever pour aller prendre
sa douche à l'orchestre du Panthéon. Ce
qu'il fut bien obligé de faire, puisque
l'homme de Néanderthal voulait analyser les
besoins comateux des intelligences frelatées.
Ce que la république des forts regardait d'un
œil morne rendant impossible à toute l'intelligence
forcenée d'étendre sur l'astre bénévole
ses ingrédients authentiques.
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enfin, Hippocrate torréfié, le Grand
Clown de la foule en délire, fit un signe amical
à celle-ci et l'invita à rentrer sous le chapiteau
du cirque où aurait lieu tout à l'heure
la surprise qu'il leur réservait. Car la foule en
délire ne savait pas du tout quelle représentation
aurait lieu. Cependant, elle faisait toujours
confiance à Hippocrate et à sa bonne
Séraphine qui l'avait régulièrement distraite
d'une façon extraordinaire. et aujourd'hui
elle s'attendait à une de ces anciennetés
notoires qui donnaient tant de prix au spectacle
de son grand Clown.
Péremptoirement, la femme à barbe fit
entrer la foule, tout en faisant son boniment.
"L'attaque prématurée, dit–elle, sera la
plus longue et la plus sensationnelle que vous
aurez jamais entendue. Car les glaces de la
république doivent se battre devant vous.
avancez, messieurs-dames ! L'heure solennelle
du sacrifice invertébré et de l'homme
irrationnel va commencer dans sa chambre
radioguidée, pour prendre dans ses jambes
l'arabesque circulaire des enfants de marie,
qu'un abbé mitonné regarde grandir comme
des métaphores de rêve. L'attaque de la diligence
est retardée pour quelque temps
encore, les bandits ayant laissé leur chef entre
les mains d'une jolie fille qu'ils avaient captu-
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rée dernièrement. mais l'âge moyen –
entrez, messieurs dames!– des Pompadours
invertébrées est plus fort que toutes les illusions
des raccourcis géniaux ; et l'amusement
départi de son calme, dit à tous ceux qui veulent
bien l'entendre la force du fleuve vaginal
du crépuscule des dieux. anniversaire.
Galant mirage enflammé des étudiants chinois.
un orage magnifique étend dans son
entourage la vie particulière des mirlitons
gracieux – entrez, messieurs-dames!
demandez les soirs de première les confitures
enflammées de l'éternel mandigo des excavateurs
étrangers et des microcéphales, impudiquement
généralisés les matins globuleux des
cadavres épris. Soufflez enfin, foule en délire,
que le colimaçon géant porte dans sa bouche
les glanes tyroïdes des écrevisses invertébrées
– entrez m'sieurs-dames, entrez !
en silence, la foule en délire s'assit, puis
un grand remue-ménage se produisit.
Hippocrate torréfié entra sur la piste. Ce fut
une grandiose ovation qu'il accueillit avec
son petit orteil. après ce geste monumental,
la foule en délire devint complètement dingo,
et en signe de folie collective tous les
hommes retirèrent leurs pantalons et les
femmes soutiens-gorge et jarretelles un
léger temps passa et Hippocrate, mettant la
tête en bas et les mains, entonna le chant des
partisans de la foule en délire. Celle-ci aussi-
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tôt se leva et d'une seule voix, après s'être mise dos à
dos, entonna la suite du chant :
Ito moto Voto
Le chant s'ébranle dans la nuit
L'éclat gifle l'arabesque
et l'héritage croît toujours
Sur l'heure présente des grands nénuphars
Ito moto Voto
Voto moto Ito
enfin, sur un geste péremptoire d'Hippocrate, la
foule en délire se rassit et l'homme-clown se rapprocha
du prétoire où, avant de parler, il prêta un serment figuratif,
obligatoirement attendu, seul rite, il est vrai, que la
foule en délire avait voulu conserver. Cependant qu'elle
attachait une certaine importance au nom des acteurs
allant entendre, Hippocrate balança la main et s'écria :
La BISBILLe du CadaVre
(Féerie en 3 actes)
Il y eut un roulement de tambour donné par le garde
champêtre du coin, aussi moustachu qu'un sergent de
ville. et le grand clown reprit :
172

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dIStrIButION
L'œil de verre
La bille de loto
Pape en personne se demanda si le volcan
n'avait pas commencé sa prière du matin,
auquel cas il devrait rapidement se lever pour
aller prendre sa douche à l'orchestre du
Panthéon. Ce qu'il fut bien obligé de faire,
puisque l'homme de Néanderthal voulait analyser
les besoins comateux des intelligences
frelatées. Ce que la république des forts
regardait d'un œil morne rendant impossible
à toute l'intelligence forcenée d'étendre sur
l'astre bénévole ses ingrédients authentiques.
enfin, Hippocrate torréfié, le Grand
Clown de la foule en délire, fit un signe amical
à celle-ci et l'invita à rentrer sous le chapiteau
du cirque où aurait lieu tout à l'heure
la surprise qu'il leur réservait. Car la foule en
délire ne savait pas du tout quelle représentation
aurait lieu. Cependant, elle faisait toujours
confiance à Hippocrate et à sa bonne
Séraphine qui l'avait régulièrement distraite
d'une façon extraordinaire. et aujourd'hui
elle s'attendait à une de ces anciennetés
notoires qui donnaient tant de prix au spectacle
de son grand Clown.
173

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Péremptoirement, la femme à barbe fit
entrer la foule, tout en faisant son boniment.
"L'attaque prématurée, dit–elle, sera la
plus longue et la plus sensationnelle que vous
aurez jamais entendue. Car les glaces de la
république doivent se battre devant vous.
avancez, messieurs-dames ! L'heure solennelle
du sacrifice invertébré et de l'homme
irrationnel va commencer dans sa chambre
radioguidée, pour prendre dans ses jambes
l'arabesque circulaire des enfants de marie,
qu'un abbé mitonné regarde grandir comme
des métaphores de rêve. L'attaque de la diligence
est retardée pour quelque temps
encore, les bandits ayant laissé leur chef entre
les mains d'une jolie fille qu'ils avaient capturée
dernièrement. mais l'âge moyen –
entrez, messieurs dames!– des Pompadours
invertébrées est plus fort que toutes les illusions
des raccourcis géniaux ; et l'amusement
départi de son calme, dit à tous ceux qui veulent
bien l'entendre la force du fleuve vaginal
du crépuscule des dieux. anniversaire.
Galant mirage enflammé des étudiants chinois.
un orage magnifique étend dans son
entourage la vie particulière des mirlitons
gracieux – entrez, messieurs-dames!
demandez les soirs de première les confitures
enflammées de l'éternel mandigo des excavateurs
étrangers et des microcéphales, impudiquement
généralisés les matins globuleux des

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cadavres épris. Soufflez enfin, foule en délire,
que le colimaçon géant porte dans sa bouche
les glanes tyroïdes des écrevisses invertébrées
– entrez m'sieurs-dames, entrez !
en silence, la foule en délire s'assit, puis
un grand remue-ménage se produisit.
Hippocrate torréfié entra sur la piste. Ce fut
une grandiose ovation qu'il accueillit avec
son petit orteil. après ce geste monumental,
la foule en délire devint complètement dingo,
et en signe de folie collective tous les
hommes retirèrent leurs pantalons et les
femmes soutiens-gorge et jarretelles un
léger temps passa et Hippocrate, mettant la
tête en bas et les mains, entonna le chant des
partisans de la foule en délire. Celle-ci aussitôt
se leva et d'une seule voix, après s'être
mise dos à dos, entonna la suite du chant :
Le dentier
Le petit orteil
et
Ito moto Voto
Le chœur des nénuphars
aCte PremIer

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Scène I
Le chœur des nénuphars est seul en
scène comme vous pouvez zieuter et lentement
sort de sa masure une épine du pied.
Le CHŒur deS NÉNuPHarS : L'ivresse
tord l'amour poissard, et l'irrationnel enfant
de la mélancolie revient au bord du joug
paternel. L'invraisemblable envie des joies
pléthoriques retient au loin l'amour salique
que sonne irrévocablement le criminel ennui
des vastes étendues. Ô prisons vénérées!
Inestimables joyaux ! L'or sépulcral étend
radicalement son linge sale sur une porte
bouchée. Ô gracieuses arabesques des étendues
glacées! La cravache angélique détonne
lentement sur la vie départie de son calme.
mais voilà qu'enlacés, s'approchent de nous
la Bille de loto et l'Œil de verre.
retirons–nous sagement pour laisser ces
cœurs tendres se dire qu'ils n'ont rien à se
dire. (Et sort le chœur, clama Hippocrate qui
ajouta de sa voix éraillée.)
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Scène II
L'ŒIL de Verre – La BILLe de LOtO
L'ŒIL de Verre : Ô moi, le grand, l'œil de
verre des attaques mémorables, je baise tes
mains qu'un gramophone surnaturel étend
pudiquement sur tes pieds ailés.
La BILLe de LOtO : Ô mon amour ! Ô toi,
mon bel œil de verre ! J'embrasse tes genoux
et souffre déjà de ton futur départ.
L'ŒIL de Verre : mais je ne pars pas,
amphibie de mon cœur!
La BILLe de LOtO :
Si, tu pars. (Bouche fermée et pincée)
L'ŒIL de Verre :
Qui t'a dit que je partais?
La BILLe de LOtO : tu n'as pas embrassé
ma rigole enfantine pleine de sufrages universels,
et ma bague infernale giflera incontinent
ta vitre bleuie.
L'ŒIL de Verre : ma douce et très belle
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bille de loto, j'embrasse passionnément ta rigole
enfantine et je supplie incontinent l'astre volumineux
qui porte ta tête sur une arabesque d'or,
de me pardonner. et encore, j'ouvre ici le ban
pléthorique des injustes souçons.
La BILLe de LOtO : ah bon ! (un silence)
L'ŒIL de Verre : Comment, ah bon?
La BILLe de LOtO : regarde, ô bien-aimé de
mon clitoris, la gifle monumentale que m'a donnée
l'oncle blague à tabac ! elle noircit encore
mon cul enfermé dans un astre béant.
L'ŒIL de Verre : Ne comprends que dalle!
La BILLe de LOtO : Que ne comprends-tu
pas, ô mon cul adoré ! Voilà qui ne m'étonne
pas, fils intelligent des sources mortes par les
grands et faramineux soirs où l'ange héroïque a
lentement détruit le maintien gyroscopique des
enfants de marie.
L'ŒIL de Verre : Gracieuse beauté ! Inouïe
sentimentale de l'ordre vaginal ! dis-moi quelles
sont les rapacités ingénues de tous les bistroquets
dépourvus de charme. et dis-moi quel
enfant de marie détourné de son acte doit regarder
lentement avec la face à main de la vieille
femme. et dis-moi encore, mon adorée, quelles
forces surhumaines détendent tes poignets.
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La BILLe de LOtO : Non!
L'ŒIL de Verre : Non?
La BILLe de LOtO : Oui.
L'ŒIL de Verre : Oui?
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Scène III
Le PetIt OrteIL, PuIS La BILLe de
LOtO et L'ŒIL de Verre
Le PetIt OrteIL : On me fait mal. On me
tire par la plante du pied et je dois rester là,
aussi pitoyable qu'un gosse de quatre-vingtdix
ans auquel on vient d’enlever une dent de
sagesse. Ô pauvre de moi ! Les rayons de
bicyclette, bruyamment funambulesques, me
donnent envie de m'asseoir sur le derrière
pour reprendre haleine. et je crois bien que
l'âge avait glacé dans mes veines lors du
départ des enfants, longtemps maintenus sur
les forces nécropolitiques des tubéreuses
maladives. Je proclame, moi, malheureux
petit orteil, le sacrifié. Le presque mort. Que
la reine des Pays-Bas sommeille.
La BILLe de LOtO : Le voilà!
L'ŒIL de Verre : Le voilà!
Le PetIt OrteIL : refait. merdre!
L'ŒIL de Verre : Ô mon gracieux petit
orteil, pourquoi étais–tu parti ? Faisant ainsi
à ma chair supérieure une fente gigantesque
qu'une femme enceinte a lentement écrasée
de son pléthotique dénuement. Ne parle pas
180

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encore. Ô mon adoré PetIt OrteIL, et
laisse-moi te contempler.
La BILLe de LOtO : Laisse-moi aussi,
moi, La BILLe de LOtO, te contempler. tu
sais que, moi aussi, j'aime les mains enhardies
par la foule volumineuse des Cléopâtres
endormies, les soirs de grands carnavals, sur
un piédestal envenimé chaque matin, afin de
détendre l'atmosphère iroquoise des particulières
standardistes du roi des bicyclettes.
Le PetIt OrteIL : ris !
L'ŒIL de Verre : Gracieux trouvère de ma
jambe élevée, trouble-moi un instant cet
ordre vengeur de vérités édentées. et ditesmoi
si l'ordre nénupharesque doit maintenir
dans sa paix, l'âge faramineux des hiéroglyphes,
soucieux de reproduire dans sa
variation vengeresse de terribles embuscades.
Le PetIt OrteIL : Pris!
La BILLe de LOtO : Ô mon très imbécile
ami des formes valeureuses ! dis-moi, ta
fuite serait-elle à cause de l'âge héroïque des
génuflexions édentées ? et ton acte évangélique,
était-il la suprême acceptation d'une
liberté comprise lentement un soir de fantastique
baroud ? ou bien un véritable enfant à
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la mamelle, édente-t-il doucement les formes ébouissantes
et gracieuses des vautours?
Le PetIt OrteIL : Hélas ! Partir ou fuir?
L'ŒIL de Verre : Que vient–il de dire?
Le PetIt OrteIL : Que l'astre rémunérateur doit un
jour prendre sur sa cheminée l'étrange fortune des dieux
vengeurs et retenir par la main la décrépitude pourrie de l'astre
le plus mort et le plus maîtrisé qui, soit, chaque lendemain
matin, des coupes enfantines, quand le plus grand des
Iroquois est l'âme choisie des amours ancillaires.
La BILLe de LOtO : Gloire au PetIt OrteIL, le plus
parfait et le plus délicat des amis.
La BILLe de LOtO et L'ŒIL de Verre : Gloire à lui!
Le PetIt OrteIL : amen ! (Et voyez, foule en délire, il
se tire)
L'ŒIL de Verre : Il a filé par là!
La BILLe de LOtO : Non, par là!
L'ŒIL de Verre : Que les giroflées s'étendent mollement
sur la crapulerie générale.
La BILLe de LOtO : Il est là ! (LE PETIT ORTEIL
repassant sur la scène) attention, les voilà!
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Le CHŒur deS NÉNuPHarS (Qui sont
rentrés incognito, commente Hippocrate) : et
ainsi, longtemps la vocifération des rêves leur
fit chercher Le PetIt OrteIL. mais celui-ci
avait fui et bien fui, afin d'établir entre lui et ses
amis la plus grande des distractions fleuries.
C'est pourquoi, troublant l'ordre nouveau qui
régnait sur le monde insoumis, les femmes
s'élancèrent sur le plus rapide enfant du plus
grand des Iroquois à lunettes. Le seul et
l'unique poison des récalcitrants dépourvus de
calme magique.
183

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Scène 4
Le deNtIer ( Seul en scène) : ah, ah ! C'est
à moi l'ogre volumineux, qu'est rapportée
l'imagination forcenée, et c'est pourquoi voulant
grossir le lot des pendus, je prends mon
courage à deux mains afin de sauver ma crinière
de cette impavidité moyenâgeuse,
regardée par l'arabesque volante des imaginations
sulfureuses. C'est pourquoi, à l’âge
vaginal des impressions volantes, s'éloigne
dans le lointain l'astre écorné de fleurs en
flammes, imparties de leur calme séraphique.
amusement certain d'une giroflée en état de
pondre ses œufs sur l'aramide inconnu des
forces créatrices.
La BILLe de LOtO (entrant) : Où est mon
œil de verre dur ? Le plus grand des toréadors
du siècle. Le plus magnifique ennemi des
sources magiques. Le plus joyeux sacripant
que la terre ait porté?
Le deNtIer : Bonjour, petite madame.
La BILLe de LOtO : mais, c'est mon ami
Le deNtIer ! Comment se porte mon ami
Le deNtIer?
184

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Le deNtIer : Fort bien. Fort bien, en
vérité.
La BILLe de LOtO : Fort bien?
Le deNtIer : Fort bien!
La BILLe de LOtO : mais, dites–moi, mon
ami Le deNtIer, n'avez–vous pas vu l'arbre
monumental de la force magique ? et son
invraisemblable enfant ne pourra-t-il un jour
détruire ce gigantesque mont-Cenis qui
détourne de sa course lointaine les imaginations
chantées des amours cadavériques ? Cet
enfant surnaturel qui regarde de plus près
tomber l'astre vengeur des éclatements lumineux,
comme des forces magiquement étendues
sur la vitre bleuie de la régularité,
pleine et entière, des amours maladroitement
informées des criminels endurcis. Qui,
cependant, devraient les premiers bondir sur
les vaginales et surnaturelles envies des
morts.
Le deNtIer : mais parfaitement ! L'idiot
du village doit bientôt regarder par le trou de
la serrure si l'enfant gigantesque des forces
ennemies ne va pas faire fondre brutalement
les grandes espérances des imaginations
invertébrées. et il est bien possible que,
revenant tendrement sur la régularité des voisins,
l'ordre fortifarfelu donne à cet enfant,
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encore en nourrice, le plus magnifique et le plus beau
des prévaricateurs endurcis.
La BILLe de LOtO : Ô merci mon ami Le deNtIer
! Que vos paroles sont un baume sur mon cœur
flétri. Que l'arabesque d'or regarde enfin, brutalement
inondées, vagissant, toutes les grandes pitiés résolument
enfermées le soir des grands crimes, par la passion
éclatante de l'ignoble crime, qu'un enfant remarquable
ramasse toujours à la petite cuillère le soir des grands
voyages exotiques étalés sur la sauce piquante, qu'un
rigolo à lunettes menace de son pétard, détendu par sa
formation crétinisante et reconstruite.
Le deNtIer : Chère, chère amygdale. L'amour à profusion
doit courir pour venger son frère.
La BILLe de LOtO : amour gracieux de l'amitié.
Le deNtIer : Virulence de l'âge canonique.
La BILLe de LOtO : monsieur Le deNtIer!
Le deNtIer : Chère, chère petite âme!
La BILLe de LOtO : Gros salaud!
Le deNtIer : Ô petite madame!
La BILLe de LOtO : me mettre ainsi la main au panier!
Le deNtIer : C'est pour croire les miriflores étendus
de peines premières, le soir de rêves bleus ! et je pense
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que L'ŒIL de Verre, revenu de sa méprise, prendra
volontiers l'ogre acropolitique pour retrouver cette
force supérieure, que les règles doivent apercevoir le
devant derrière, quand l'ordre sculptural retrouve tardivement
les imaginations tortueuses des rêves incandescents.
La BILLe de LOtO : Non ! laissez–moi!
Laissez–moi!
Le deNtIer : Là, petite madame, amour de
mon cœur.
La BILLe de LOtO : Comme c'est bon ! Jamais ŒIL
de Verre ne m'a fait ça!
Le deNtIer : tu vois, hein, ma petite ! Y a pas
que lui.
Le deNtIer : ah!
La BILLe de LOtO : ah!
Le deNtIer : arabesques d'or ! Inimitables génuflexions
de criminels endurcis ! L'arbre regarde sa
fenêtre ouverte, et la maison du bon dieu admire les
confessions inattendues des recommandations pléthoriques
et des grandes formations défuntes de l'astre
moqueur qu'un ignoble en-haut regarde d'un œil torve.
La BILLe de LOtO : Ne me parlez pas d'œil torve,
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ô mon amour!
Le deNtIer : Viens ! Partons.
La BILLe de LOtO : Partons ! (Et daredare
arrive le chœur des Nénuphars, s'écrie
Hippocrate)
Le CHŒur deS NÉNuPHarS : ainsi se
fait l'histoire. L'arabesque vaginale poursuit
son ordre épique et la raison meurt lentement,
alors que se poursuit honteusement
l'ordre établi. Que les graves soupirs amusent
d'un brûle-gueule les épatements criminels
des poursuites, qu'un enfant bleui par l'amour
rétrospectif regarde puissamment afin d'en
extraire toute la source amoureuse pour son
plat de résistance. Brutal enfant qui regrette
tant et tant qu'une mouche soit capable de
déglutir son orgueil pour reprendre l'astre
mort entre ses cuisses renversées.
L'ŒIL de Verre (il entre) : Où est BILLe
de LOtO ? Je la cherche partout. miracles
enfantins, où est ma BILLe de LOtO?
Le CHŒur deS NÉNuPHarS : L'âge
avait glacé ses veines, et l'aristarque éperdu
prestement déversa son lait dans le grand
verre des bienheureuses mélopées purement
établies le soir des périgrinations épouvanta-
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bles. Quand l'agora regardait au-dessus de
son bien, l'astre vengeur poursuivant péniblement
son devoir accompli.
L'ŒIL de Verre : Je ne comprends pas.
Le CHŒur deS NÉNuPHarS : Il ne
comprend pas.
Le CHŒur deS NÉNuPHarS : Il ne comprend
pas que sa mousmé est partie avec un
autre. un vieux. un salaud. un con.
L'ŒIL de Verre : Partie ? avec un autre?
Le CHŒur deS NÉNuPHarS : Oui.
envolée. débinée. Foutu le camp. trissée.
mis les voiles. tu piges maintenant ? (Il est
sombre, le bougre)
L'ŒIL de Verre : et avec qui, cette coupable
enfant, digne d'être une femme assise sur
le rebord de la fenêtre, a-t-elle commis ce
crime étourdissant?
Le CHŒur deS NÉNuPHarS : avec le
deNtIer.
L'ŒIL de Verre : malheur à moi ! (Et il
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fout le camp en vitesse! affirma Hippocrate.
Qui poursuivit imperturbable : Et voici LE
CHŒUR DES NÉNUPHARS qui arrive.)
Le CHŒur deS NÉNuPHarS :
Critiquage véhément d'intentions invertébrées
! L'âge séraphique redonne à ces
enfants super-intelligents des leçons de
morale que le problème de la fidélité pour
qu'il serve gracieusement le monde, étendu
sur une momie de verre pour tuer l'ogre criminellement
jaloux, qui a supérieurement
regardé la sagesse des tribunaux religieux.
(Et Hippocrate, élevant encore la voix, clama
à la foule en délire : Acte deuxième !)
190

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aCte deuXIème
Scène I
Le petit orteil (seul)
ah, mais ! Les génuflexions des enfants troublent
mon âge respectable et je crois pouvoir
affirmer que l'astre indifférent devra suivre
les sourires épanouis des gracieuses vérandas,
de l'alambic du désir. et je maintiens que
l'amour fallacieux sera le premier à descendre
sur la colline inspirée, seule capable de
produire avec véhémence les superficiels
cadeaux de la gent féminine.
Scène II
Le PetIt OrteIL – L'ŒIL de Verre
L'ŒIL de Verre (Pleurant hurle
Hippocrate) : Ô épouvantable malheur!
Invectives profondes à mon cœur d'amant!
L'arbre brillant a oublié ses culottes d'argent
sur l'étendue nationale des obligations numéraires,
et dans ce moment critique, la vie vengeresse
va occuper les formes allongées des
catapultes géantes. Ô pauvre de moi!
Infernal oubli des gynécées malades de la
peste, étendus sur le plus grand des tumulus
191

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politiques ! C'est pourquoi, sachant maintenant
que la vie s'écoule à l'envers, ai-je rencontré
le fol ennui des bombardes dantesques.
Le PetIt OrteIL (qui rentre) : mais, c'est
l'ŒIL de Verre ! et seul ! Où est donc
BILLe de LOtO ? Interrogeons-le.
Bonjour, ŒIL de Verre, mon grand ami.
Serais-tu seul, par hasard?
L'ŒIL de Verre : aussi seul qu'un inimaginable
crépuscule un soir de grands combats.
aussi seul qu'un enfant devant la porte
de sa mère qui pisse sur son lit. et qu'une
giroflée regarde joyeusement devant l'étendue
verte de son argent. Je suis interdit
devant l'astre terni de l'excavation intérieure
des phénoménales vexations des interruptions
cadavériques.
Le PetIt OrteIL : ami, je suis avec toi
dans ce malheur extrême, et brandis (tu
parles si je m'en fous), l'irréprochable désir
de tromper l'ogre particulier de l'âge acropolis,
invertébré et génitalement confondu par
astre inviolé des envies cérébrales.
L'ŒIL de Verre : ah ! ricochets invertis!
Le PetIt OrteIL : L'âge qui vient remue
192

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les sangsues.
L'ŒIL de Verre : La chance écarlate vire
vite au rouge.
Le PetIt OrteIL : et les crapauds se saoulent
lentement sur un diadème creux.
L'ŒIL de Verre : et l'iroquoise envie
regarde l'enfant trouer sa culotte et la remettre
à l'envers, pour en garder l'endroit.
Le PetIt OrteIL : L'agacement varie sournoisement.
L'ŒIL de Verre : L'éclatement sourd des
bombes détale brutalement.
Le PetIt OrteIL : Voyez–vous Jo?
L'ŒIL de Verre : Non. La force centrifuge
détonne des bruits de haricots verts,
qu'une misérable face de rat poursuit méphistophélétiquement.
Le PetIt OrteIL : Justement ! en grandissant
l'astre démonstrateur, l'affaire se corse
d'un désir inimitable où l'enfant récolte ce
193

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qu'il a semé pour redevenir le grand écolier
des natures mortes.
L'ŒIL de Verre : Hélas!
Le PetIt OrteIL : Hélas!
L'ŒIL de Verre et Le PetIt OrteIL :
Hélas ! Hélas!
Le PetIt OrteIL : ripa Kapadina rade
Vale Fala!
L'ŒIL de Verre : Hein?
Le PetIt OrteIL : ripa Kapadina rade
Vale Fala.
L'ŒIL de Verre : ah oui?
Le PetIt OrteIL : Oui!
L'ŒIL de Verre : C'est pourquoi la femme
à barbe a jeté le feu vengeur sur les criminels
endurcis, qu'une petite fille regarde d'un air
troublé. Oui ! afin de vomir plus commodément
sur une patinette à vapeur qu'un trouf-
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fion cadavérique zieute méchamment par le
trou de la serrure.
Le PetIt OrteIL : C'est cela!
L'ŒIL de Verre : ainsi, joignant le geste
à la parole. Il déambule magistralement pour
gronder l'infini désir des troupes malheureuses
qui, les premières, sont capables d'enfanter
l'ordre virginal des derrières plombés.
un soir de richesse et d'amabilité répandues
brusquement sur la terre naturellement.
(Exit L'ŒIL DE VERRE comme vous voyez!
commenta Hippocrate. Et maintenant commence
la scène III avec le PETIT ORTEIL et
ensuite LE CHŒUR DES NÉNUPHARS)
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L'ŒIL de Verre : ah oui?
Le PetIt OrteIL : Oui!
L'ŒIL de Verre : C'est pourquoi la femme
à barbe a jeté le feu vengeur sur les criminels
endurcis, qu'une petite fille regarde d'un air
troublé. Oui ! afin de vomir plus commodément
sur une patinette à vapeur qu'un trouffion
cadavérique zieute méchamment par le
trou de la serrure.
Le PetIt OrteIL : C'est cela!
L'ŒIL de Verre : ainsi, joignant le geste
à la parole. Il déambule magistralement pour
gronder l'infini désir des troupes malheureuses
qui, les premières, sont capables d'enfanter
l'ordre virginal des derrières plombés.
un soir de richesse et d'amabilité répandues
brusquement sur la terre naturellement.
(Exit L'ŒIL DE VERRE comme vous voyez!
commenta Hippocrate. Et maintenant commence
la scène III avec le PETIT ORTEIL et
ensuite LE CHŒUR DES NÉNUPHARS)de
perturbations atmosphériques, alors que
s'épuise l'idiosyncrasie des mélanges détonnants,
d'invertébrés, sur l'avancement crépus-
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culaire des plus grands vertébrés, qu'une
femme à genoux prie à deux mains ouvertes
sur l'astre faramineux des excavations brutales.
Le CHŒur deS NÉNuPHarS :
Vagissements entendus ! L'ordre fuit sa république,
prémonitoirement répandue.
Le PetIt OrteIL : L'âge revient lentement
parfumer l'iroquoise envie de rapidité créatrice.
Le CHŒur deS NÉNuPHarS :
L'éternelle histoire du cocu et de sa maîtresse
royalement étendue les soirs de méchantes
humeurs, où l'inconsolable enfant regarde
tristement s'enfermer l'affreux désordre des
saltimbanques réunis.
Le PetIt OrteIL : Génuflexions !
Le CHŒur deS NÉNuPHarS :
Génuflexions !
Le PetIt OrteIL : L'ours mal léché mange
la citrouille royale, et l'ange décrépit retient
fermement les femmes en deuil.
Le CHŒur deS NÉNuPHarS : et voici
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l'ordre limité grandissant pied à pied sur
l'origine envolée. et l'estomac revient en
grandissant sur l'arabesque partuflue.
Le PetIt OrteIL : Chantons en chœur l'arrivage
cruel des imaginations frelatées, et la
forme éblouissante qui répond par la vérité
angoissée.
Le CHŒur deS NÉNuPHarS :
Chantons ! Chantons ! Chantons!
Le PetIt OrteIL : Imagination dorée
repue et reprise / etendue mollement sur une
fraise / et ris, et donne, la règle morte / et ris,
et donne, la règle morte / Pour transporter /
Pour transporter / La richesse éternelle sur un
arbre vaginé / règle, règle absolue des monstres
criminels.
Le CHŒur deS NÉNuPHarS : ItO
NOtO VOtO / Claque le fouet dans les
champs / Brise la glace dans les vents / et
sonne la vie sur les charrues . Ito Noto Voto.
Le PetIt OrteIL : admiration scrupuleuse
et mortelle / Criminelle invention d'homme
rationnel / et ris, et donne la règle morte / et
ris, et donne la règle morte / pour transporter
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/ Pour transporter / L'égout génital des dantesques
aventures / Les soirs géniaux des italiennes
envies.
Le CHŒur deS NÉNuPHarS : Ito Noto
Voto / Claque le fouer dans les champs / Brise
la glace dans les vents / et traîne la vie sur les
charrues / Ito Noto Voto. (Et voici! s'exclame
Hippocrate, alors qu'apparaît dans le lointain
L'ŒIL DE VERRE, ramenant la BILLE DE
LOTO)
Scène 4
L'ŒIL de Verre, La BILLe de LOtO,
puis le CHŒur deS NÉNuPHarS
L'ŒIL de Verre : arrive enfin, génital
enfant ! Que fondent tentaculairement les
formes saoudiennes des enfants en vacances.
regarde ton crime sur les lunettes époustouflées.
et baise mon nez rond de ta culotte
intérieure.
La BILLe de LOtO : Je regarde ton nez
rond et ne vois rien du tout.
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L'ŒIL de Verre : Serais-je myope ? Que
le feu écarlate n'ait pas retenu ta parole incertaine
sur la vie clairvoyante des imaginations
forcenées, prises comme cataplasme, sur l'irrégulière
maison des fortunes dorées,
m'étonne naturellement!
La BILLe de LOtO : Non, je ne vois rien
que la face convexe du roi des haricots qui
promène sa vigilance sur l'histoire du roi des
calumets de la paix. alors qu'un curieux bisness,
auquel je ne pige que dalle, trifouille ce
moment par l'oreille réévaluée de l'amour
enfermé.
L'ŒIL de Verre : assez de discours.
Venons-en au fait!La BILLe de LOtO :
Quel fait?
L'ŒIL de Verre : tu m'as trompé.
Le BILLe de LOtO : moi?
L'ŒIL de Verre : toi!
La BILLe de LOtO : moi?
L'ŒIL de Verre : toi!
La BILLe de LOtO : ah?
L'ŒIL de Verre : Comment, ah?
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La BILLe de LOtO : L'imagination tortille brutalement
tes méninges farcies de romans. et ton
prostatique républicain regarde d'un œil sombre
l'envie méchante et régulière de pisser sur un matelas
de fourrures qu'un enfant mal élevé laisse lourdement
tomber sur les vaccinations remarquées des
créatures invertébrées, qu'un valeureux flic à roulettes
suit, dubitatif, par la portière des...
L'ŒIL de Verre : Ça va, ça va ! assez de discours
! Car l'avantage intime de l'or du rhin souffle
comme une bombarde sur l'immortel enfant des
créatures dorées, joyeusement étendues sur la
mémoire funambulesque de l'âge héroïque, superficiellement
regardé par le village frileux des
migraines enfermées.
La BILLe de LOtO : attention, tu perds ta barbe!
L'ŒIL de Verre : ah ? mais je n'ai pas de barbe!
La BILLe de LOtO : raison de plus.
L'ŒIL de Verre : Iroquoise invraisemblable!
La BILLe de LOtO : as-tu fini de me singer?
La BILLe de LOtO : arrière ! enfant de trouille
et de couilles molles ! Créature à peine défendue, et
regarde d'un œil mouillé les valeureuses bouteilles
d'encre, qu'un genévrier porte rapidement sur sa
catapulte infinie, juste quand passe l'idiot du village
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accouplé au désir de l'âge réparateur.
L'ŒIL de Verre : assez ! Je te pardonne et te veux!
La BILLe de LOtO : allons! allons faire l'amour
sur la troublante envie des imaginations forcenées,
et regardons d'un œil sec ma récolte de reines.
L'ŒIL de Verre : allons ! allons ! (Et ils sortent
tout joyeux, s'écrie Hippocrate. Mais voici :)
Le CHŒur deS NÉNuPHarS : Voilà pourquoi,
jaillissant sur la première vertèbre, l'astre flamboyant
et régulateur des ruts invertis souffle dans les
doigts pour démantibuler l'âge nécropolitique des
séraphins cathodiques. (Exit, dit simplement
Hippocrate, qui poursuivit en hurlant : Et maintenant...)
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aCte trOISIème
Scène I
Le CHŒur deS NÉNuPHarS : artistes,
regardez la chambre fatale ! Le drame va
bientôt parvenir à son point culminant.
L'architrave des hiéroglyphes parfumés
détient son orbite glacée et l'or crépusculaire
étend ses tentacules sur la charité dépareillée.
C'est alors que l'orbite funambulesque
des imaginations troublées va, reprenant son
ancienne comète, regarder des panthères
indomptées qui brutalement vont séjourner
sur l'inimitable lion en peau de chamois,
remarquablement défendu, pour réciter un
chapelet dans l'astre épiscopal, inévitablement
et surréalistement suspendu, et qui
rejailleront ensuite sur la ferme d'un pendu
récalcitrant, qu'une amphore pleine de vin,
doit regarder par dessus l’inviolabilité des
regards séraphiques. L’amour devant regarder
les furies nageuses va soupeser maintenant
les grantitudes inimitables à l'heure où
sonne la vérité impartie dans son calme.
rejoignant le vide par la base. du coup le
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sémaphore céleste manque de tomber sur la pointe du
raz. (Et entre le Petit Orteil)
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Scène 2
Le CHŒur deS NÉNuPHarS, Le PetIt OrteIL
Le CHŒur deS NÉNuPHarS : Le petit orteil!
Le PetIt OrteIL : Salut!
Le PetIt OrteIL : La fourche est-elle mangée?
Le CHŒur deS NÉNuPHarS : La fourche t'attend.
Le PetIt OrteIL : enchevalons la fourche!
Le CHŒur deS NÉNuPHarS : et le PetIt
OrteIL enchevala la fourche afin de déjeuner. Car sa
vivante élucubration, soutient mordicus, en ce
moment–même, que l'incalculable enfant des
croyances nordiques est en train de se noyer dans le
devenir. C'est pourquoi, joignant le geste à la parole, il
détient culturellement la vaginale envie de détruire
dieu le père, face aux arrivées grotesques et aux sorties
vengeresses des soirs de premières communions. alors
que s'élance dans le noir l'arabesque du détournement
des mineures abruties d'amour le plus profond pour les
gâteaux cyanurés, poursuivies par la vérité sanglante,
effacées par l'amour gratuit des impostures remerciées
ce soir d'enfants morts.
Le PetIt OrteIL : Fini?
Le CHŒur deS NÉNuPHarS : Il a fini.
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Le PetIt OrteIL : J'ai fini?
Le CHŒur deS NÉNuPHarS : ainsi débute l'histoire.
Le PetIt OrteIL : La grâce méphistophélique revient
à la surface.
Le CHŒur deS NÉNuPHarS : ainsi se fait l'histoire.
Le PetIt OrteIL : Commençons pas le commencement.
Le CHŒur deS NÉNuPHarS : Commençons par le
commencement.
Le PetIt OrteIL : L'arabesque commençait à nous
courir sur le bout de zan, lorsque les enfants troublés par
les grandes personnes lancèrent le cri de guerre.
Le CHŒur deS NÉNuPHarS : Leurs cris de guerre!
Le PetIt OrGueIL : Non ! Leurs cris vaginaux de
forces centrifuges avec un grand émoi que regardait tristement
passer sur la vitrine bleue de leur sang-froid, en
l'admirant, la femme du patron, lequel à ce moment précis,
tirait des cartouches de confettis dans l'œil d'une
poupée rétribuée en sous-main le soir-même de ses
noces. Parle!
Le CHŒur deS NÉNuPHarS : Parle!
Le PetIt OrteIL : Parle ! Fantastique microcéphale de
pelure d'oignons enflammés, déterminés par la plus
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ancienne des peaux de bique.
Le CHŒur deS NÉNuPHarS : ah ! de peau de
bique!
Le PetIt OrteIL : Bien sûr. Si bien qu'un mélange
de melons, de formidables graminées, s'étendirent nonchalamment
sur l'or bleu des impavides vérités en mal
de concubinage royal.
Le CHŒur deS NÉNuPHarS : ainsi l'aristarque
regardant fumer sa femme oublia-t-il complètement
sur le feu et sa culotte et sa fille et l'enfant-mère qui
troublaient l'ordre fartifarfelu devenu lui aussi écarlate,
autant qu'un microcéphale détendu et qu'un ogre
vagabond donnant à recoudre les morts surnaturels.
Le PetIt OrteIL : Justement ! microcéphale répondit
au bruit vaginal et l'imbécile en perdit son vol.
Le CHŒur deS NÉNuPHarS : et l'ogre fut valétudinairement
repris par la famine.
Le PetIt OrteIL : Il mangea sa femme!
Le CHŒur deS NÉNuPHarS : troublante histoire.
Le PetIt OrteIL : troublante histoire, en effet.
Le CHŒur deS NÉNuPHarS : eh !... mais voici
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apparaître au loin, semblant discutailler fortement,
Le deNtIer, La BILLe de LOtO et L'ŒIL de
Verre.
Le PetIt OrteIL : Je m'éclipse.
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Scène 3
Le deNtIer, La BILLe de LOtO et
L'ŒIL d e Verre
L'ŒIL de Verre : Vermifuges lugubrement
éclatés.
Le deNtIer : réclames mortellement éduquées
devant des ardoises roussies.
L'ŒIL de Verre : mais enfin!
Le deNtIer : mais enfin, quoi?
L'ŒIL de Verre : Quel fantastique besoin
que celui de troubler dangereusement l'âge
canonique des plumes d'autruche, où la
réflexion première prend incontinent la
forme vengeresse d'une liquidation chamfleury.
Le deNtIer : L'enfant prodige écarte royalement
les forces centrifuges.
L'ŒIL de Verre : Comment?
Le deNtIer : en poursuivant les formes
extravagantes par des caterpilars sur une
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montagne de révolutions poudrées.
L'ŒIL de Verre : Criminelles ostentations
! Imbécile coléoptérique qui mange à
tous les rateliers des infinis volontaires.
La BILLe de LOtO : Crépuscule imbibé
d'alcool ! Souvenez-vous que l'arbre métaphorique
s'enfuit lentement.
L'ŒIL de Verre : La ferme, toi!
Le deNtIer : Créature vagabonde!
Immersions prolongées!
L'ŒIL de Verre : Infernales pendaisons!
Le deNtIer : À moi, l'ogre valeureux!
L'ŒIL de Verre : tenez bon!
Le deNtIer : Il me tue.
L'ŒIL de Verre : au secours!
La BILLe de LOtO : À l'assassin!
L'ŒIL de Verre : À mort!
Le deNtIer : Ouf!
La BILLe de LOtO : ameN.
Le deNtIer : enfin ! Vitriol morveux d'une
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première musique sulfurisée par un mignon en mal de
copie.
L'ŒIL de Verre : ah ! ah ! dit–il.
Le deNtIer : C'est pourquoi l'astre rigole un tantinet.
L'ŒIL de Verre : Symphonisant les perce-murailles
des grottes qui s'informent.
Le deNtIer : et sera saoul quand viendra le moteur
glacé.
L'ŒIL de Verre : C'est-à-dire?
Le deNtIer : Voici l'arrivée magique des amis des
demis de bière énervés.
L'ŒIL de Verre : Ouvrez le ban!
Le deNtIer : Saluez!
L'ŒIL de Verre : Pleurez!
Le deNtIer : Souriez.
L'ŒIL de Verre : fermez le ban.
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Le deNtIer : donnez la sonnerie des morts.
Parfait!
L'ŒIL de Verre : miracle ! Les formes s'évasent
lentement.
Le deNtIer : L'éternel s'engouffre sous la pluie.
La BILLe de LOtO : et l'octroi rigole tout son
saoul en regardant passer les trains.
L'ŒIL de Verre : Bravo!
La BILLe de LOtO : regardez ! L'étendue inerte
suffit à déménager l'arabesque d'or et le rhinocéros
royal allonge ses pattes de derrière pour que puisse
se venger un essaim de jolies filles, et qu'un miracle
puisse se procurer l'astre fastueux des impavidités
retenues. Ô soirs des grands combats de lutte
morte assassinée par le grand sémaphore des antichambres
du roi des bicyclettes ! un enfant malade
vous regarde pauvrement l'écarter de sa route radicale
alors que se retournent paisiblement des
redoutes plus pernicieuses que les arrières des chemins
de barre!
Le deNtIer : elle a fort bien parlé.
L'ŒIL de Verre : Silence!
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La BILLe de LOtO : La Queue du chat
balance.
Le deNtIer : ainsi les carapaces d'or éclatent
funambulesquement sur les hiéroglyphes
vertigineux des forces coléoptériques.
La BILLe de LOtO : Qu'on me passe l'assassin!
L'ŒIL de Verre : et moi, la victime!
Le CHŒur deS NÉNuPHarS (chantant,
dit Hippocrate) : Ils emportent les victimes
/Ils donnent des coups à l'assassin / Ils détrônent
les canons/ Ils brutalisent les avalanches
/ Ils bouffent les hirondelles / Ils dégottent
les plombières / Ils regardent les lieux empesés
/lls s'infiltrent dans la nuit. / ah ! ah!
ah ! ah!
Le deNtIer : rions, amis!
L'ŒIL de Verre : Non.
La BILLe de LOtO : Pourquoi?
Le deNtIer : Oui, pourquoi?
L'ŒIL de Verre : tu m'as trompé.
Le deNtIer : Qui?
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L'ŒIL de Verre : toi.
Le deNtIer : moi?
L'ŒIL de Verre : toi.
Le deNtIer : moi?
La BILLe de LOtO : encore!
Le CHŒur deS NÉNuPHarS : et ainsi la
bagarre reprend, farouche et mauvaise,
comme un sucre d'orge épanoui qui regarde
s'extraverser les forces herculéennes des pistaches
faméliques. C'est pourquoi, regardant
l'ordre rémunérateur, l'imbécile du village
soutient mordicus l'assassin crémonaire de
l'agitateur chrétien qui enfante, solitaire, l'assurance
infinie des musées infernaux, comme
une gamme de première instance peut regarder
par la maison, s'enfuir béatement sur des
patins à roulettes, gentiment demandées à
l'astucieux porte-manteau du rêve, un jour où
ce dernier visait à l'astre faramineux des
métaphores incroyables, qu'un ami des invertébrés
lui avait données par le canal des races
vengeresses et des amabilités furieuses.
miracle de cours béatement racornis!
addonc!
Le deNtIer : Vaginations invertébrées!
L'ŒIL de Verre : Criminels endurcis!
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Le deNtIer : arabes volants!
L'ŒIL de Verre : trou de vessie!
Le deNtIer : ravagez les vertèbres!
L'ŒIL de Verre : et les miraculés ambulants!
Le deNtIer : L'arostarque vengera ma foi dégarnie!
Le deNtIer : et surveillera ton imagination fertile.
L'ŒIL de Verre : et grillera d'importance ton or
mécréantique.
Le deNtIer : de même que l'orge vermoulu.
L'ŒIL de Verre : et l'assassin prématuré.
Le deNtIer : et l'arabesque d'or.
FIN
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