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801 - Bugey-Cotiere.fr

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Beynost<br />

Taxe locale sur la publicité extérieure<br />

Les commerçants révoltés<br />

La taxe locale sur la publicité<br />

extérieure (TLPE), instaurée<br />

par la loi de modernisation<br />

de l'économie de 2008,<br />

serait appliquée sur la commune<br />

de Beynost fin 2011.<br />

n fait, l’article 171 de cette nou-<br />

Evelle loi remplace la Taxe Sur les<br />

Affiches (TSA) et la Taxe Sur les<br />

Emplacements Publicitaires (TSE)<br />

par une taxe unique : la Taxe Locale<br />

sur la Publicité Extérieure<br />

(TLPE). Elle élargit le champ de la<br />

taxation à tous les supports publicitaires<br />

fixes : les enseignes, les préenseignes<br />

et les dispositifs publicitaires.<br />

La municipalité de Beynost a<br />

délibéré en faveur de cette taxe en<br />

octobre 2010 par 23 voix pour et 3<br />

abstentions. Au cours des derniers<br />

mois, une société mandatée par les<br />

élus locaux a effectué des mesures<br />

et les factures 2011 ont été présentées<br />

aux commerces locaux en juin.<br />

En fait, la TLPE touche tous les supports<br />

publicitaires fixes : les<br />

enseignes (lettrage, drapeau, logo,<br />

affiche, store-banne, totem, bandeau,<br />

panneau), les pré-enseignes<br />

indiquant la proximité d'un<br />

immeuble où s'exerce une activité<br />

professionnelle ou les panneaux<br />

publicitaires sur le domaine privé<br />

et public. Elle s'applique par mètre<br />

carré et par an à la superficie utile<br />

des supports suivant un barème.<br />

Celui-ci est fixé à 15€ par mètre<br />

carré pour les enseignes supérieures<br />

Que ce soit sur la D1084…<br />

à 7m 2 et inférieures ou égales à<br />

12m 2 , à 30€ par mètre carré pour<br />

les enseignes supérieures à 12m 2 et<br />

inférieures ou égales à 50m 2 , à 60€<br />

par mètre carré pour les enseignes<br />

supérieures à 50m 2 . Les préenseignes<br />

et panneaux publicitaires<br />

seront taxés à un barème encore<br />

plus élevé allant jusqu’à 90€ par<br />

mètre carré. Seules les enseignes<br />

dont la somme des superficies est<br />

inférieure ou égale à 7m 2 , ainsi que<br />

l’affichage non commercial et culturel,<br />

bénéficieront d'une exonération<br />

totale.<br />

Même pour les petits<br />

commerçants,<br />

la facture est salée<br />

La municipalité explique que cette<br />

taxe prend sa source dans le code<br />

de l'environnement et constitue un<br />

moyen de réguler l'affichage publicitaire<br />

sur une commune : “Le but<br />

est d'améliorer le cadre de vie. Il<br />

s'agit de lutter contre la pollution<br />

visuelle en <strong>fr</strong>einant la prolifération<br />

des panneaux et en réduisant la<br />

dimension des enseignes”. Mais<br />

pour les commerçants, les enjeux<br />

sont purement financiers. Les dirigeants<br />

d’une petite entreprise locale<br />

constatent : “C’est inadmissible.<br />

Même pour une petite société<br />

comme la nôtre, la facture est salée<br />

! Pour une surface publicitaire<br />

d’environ 23 m 2 , nous devons 700<br />

euros à la commune ! En plus, les<br />

calculs ne nous paraissent pas très<br />

clairs. Nous ne savons pas quelle<br />

publicité ou enseigne correspond<br />

exactement au chif<strong>fr</strong>e annoncé en<br />

face de la surface mesurée par les<br />

experts. Notre commune est plutôt<br />

riche. Faut-il vraiment casser ainsi<br />

le commerce ? Ce sont surtout les<br />

petits qui en souf<strong>fr</strong>iront. Nous<br />

avons entendu que certaines des<br />

grandes surfaces du centre commercial<br />

ont également du mal à<br />

avaler la facture. Mais eux, ils ont<br />

au moins les moyens de se<br />

défendre”.<br />

Leclerc envisage de<br />

supprimer des panneaux<br />

Pourtant le directeur du centre<br />

commercial E.Leclerc, Michel Serre,<br />

est plutôt résigné : “Nous ne pourrons<br />

pas éviter de nous soumettre à<br />

cette taxe. Nous avons juste la possibilité<br />

de négocier les tarifs appliqués<br />

par la commune ou encore la<br />

définition des supports publicitaires<br />

pour mieux cibler les surfaces<br />

imposées. D’ailleurs, nos<br />

démarches actuelles vont dans ce<br />

sens. Nous avons décidé de supprimer<br />

un certain nombre de panneaux<br />

afin d’alléger la facture qui<br />

s’élève pour nous à plusieurs<br />

dizaines de milliers d’euros”.<br />

En attendant l’envoi des titres de<br />

recettes, prévu au quatrième trimestre<br />

2011, les commerçants<br />

locaux aimeraient se regrouper<br />

pour mieux faire face à cette nouvelle<br />

mesure fiscale. E.B.<br />

…ou dans la zone commerciale, le but de cette taxe est de réguler l’affichage<br />

publicitaire<br />

Saint-Maurice-de-Beynost<br />

Pôle animation jeunesse<br />

Un espace de<br />

loisirs pour<br />

jeunes adultes<br />

xistant depuis dix ans, le pôle<br />

Eanimation jeunesse a été transféré<br />

au stade Level depuis l'été dernier,<br />

jouissant ainsi d'un nouveau<br />

terrain aux dispositions favorisant<br />

bien des loisirs. Ouvert tous les<br />

après-midi du lundi au samedi jusqu'au<br />

3 septembre, le centre est un<br />

espace libre d'accès et gratuit.<br />

Il suffit de se présenter à l'accueil<br />

auprès d’Alain Jacques, très<br />

accueillant directeur du centre<br />

depuis sa création, et de respecter les<br />

règles de vie en communauté pour<br />

profiter de tous les emplacements<br />

de loisirs : présentant en extérieur<br />

un city stade,un skate park et un terrain<br />

de foot, on trouve également<br />

en intérieur un baby-foot, un pingpong<br />

et des jeux de sociétés. Il y en a<br />

donc pour tous les goûts, avec des<br />

possibilités de jeux quel que soit le<br />

temps.<br />

Dans l'objectif d'informer, il y a également<br />

la possibilité de se renseigner<br />

sur des questions comme celles<br />

de l'emploi, de la formation ou<br />

encore de la santé.<br />

Le but est de créer un espace de rencontres,<br />

de respects et de liberté. À<br />

travers la gratuité d'une part, mais<br />

aussi grâce au fait qu'il n'y a aucune<br />

Ain Sud Foot<br />

Le club reprend le chemin des terrains<br />

Le club de football Ain Sud<br />

Foot affiche toujours de<br />

l'ambition et une volonté de<br />

progression pour la nouvelle<br />

saison qui vient de débuter,<br />

malgré les problèmes qu'ils<br />

rencontrent.<br />

epuis un peu plus d'une semai-<br />

Dne, les trente-sept équipes<br />

d’Ain Sud Foot ont repris l'entraînement<br />

avec des objectifs bien définis<br />

et une volonté intacte.<br />

Évoluant dans la ligue Rhône-<br />

Alpes, Ain Sud Foot, du haut de ses<br />

douze années d'existence, peut se<br />

targuer d'être le premier club du<br />

département en nombre de licenciés,<br />

avec 600 personnes dont les<br />

trois quarts sont des jeunes. Le club<br />

bénéficie également du label quali-<br />

té de la Fédération Française de<br />

Football.<br />

Fort de la bonne image et du<br />

sérieux dégagés par le club, la Fédération<br />

témoigne une autre marque<br />

de confiance envers le staff et les<br />

joueurs depuis quatre ans en faisant<br />

d'Ain Sud Foot un club pilote pour<br />

tester des thèses sur le comportement,<br />

l'éducation, l'écologie et<br />

d'autres thèmes civiques au sein du<br />

foot.<br />

Dès le début de cette nouvelle saison,<br />

les objectifs sont connus : viser<br />

la montée pour l'équipe une, et au<br />

moins le maintien pour les autres.<br />

Cependant, deux gros problèmes se<br />

posent. Tout d'abord, la situation<br />

économique très délicate. Souf<strong>fr</strong>ant<br />

de grosses difficultés à ce niveau, les<br />

fonds perçus actuellement ne par-<br />

viennent que péniblement à satisfaire<br />

les besoins du club et il est<br />

donc difficile d'envisager une progression<br />

dans ces conditions.<br />

Maurice Bourgeon, le président,<br />

rappelle d'ailleurs que “si l'on veut<br />

maintenir les acquis et poursuivre<br />

la progression du club, cela ne passera<br />

que par l'arrivée de nouveaux<br />

sponsors”. Ce dernier, toujours plein<br />

d'initiatives, essaie par ailleurs de<br />

créer une commission de sponsorings<br />

innovante, envisageant<br />

notamment des partenariats avec<br />

des entreprises du secteur de la<br />

Côtière.<br />

Second problème qui vient obscurcir<br />

le début de saison, les travaux de<br />

transformation du gazon en synthétique,<br />

sur le terrain de foot qui se<br />

situe dans le forum des Sports à<br />

Situé sur le chemin du Château<br />

du Soleil, ce centre of<strong>fr</strong>e<br />

un espace convivial, libre et<br />

dynamique aux jeunes<br />

adultes âgés de 11 à 25 ans<br />

mais souf<strong>fr</strong>e pourtant d'un<br />

certain manque de notoriété<br />

à cause de divers facteurs.<br />

Saint-Maurice de Beynost.<br />

Initialement prévus pour le mois de<br />

mai dernier et pour une durée de<br />

trois mois, les travaux n'ont débuté<br />

que le 18 juillet et devraient être terminés<br />

début novembre, alors que<br />

l'entraînement a repris depuis plus<br />

d'une semaine. Dans cette situation<br />

extrêmement délicate, le club voit le<br />

nombre de ses entraînements réduit<br />

à deux par semaine, contre trois en<br />

temps normal.<br />

Le président remercie les communes<br />

de Miribel et Beynost de<br />

leur compréhension et de leur<br />

aide pendant ces trois mois difficiles,<br />

avec l'espoir qu'elles partagent<br />

leur terrain pour cette durée.<br />

Malgré les points négatifs évoqués,<br />

l'enthousiasme reste intact.<br />

Et le début prochain de la<br />

obligation de durée de présence<br />

dans les locaux.<br />

Le centre se divise en différents<br />

temps afin de répondre aux besoins<br />

de tous : par exemple, le skate parc<br />

se transforme en un espace réservé<br />

aux trottinettes et BMX les mercredis<br />

et samedis ; ce qui a permis d'accroître<br />

l'intérêt des 11-14 ans qui<br />

sont bien plus nombreux que l'an<br />

dernier.<br />

Et le centre ne manque pas de projets<br />

! Sur la tranche 2012-2014 est<br />

prévu un aménagement paysager<br />

dans ce pôle animation jeunesse,<br />

avec l'ajout de bancs, tables de<br />

pique-nique, boisements… Ainsi<br />

que l'aménagement du passage souterrain,<br />

permettant de traverser les<br />

voies ferrées. Celui-ci accessible aux<br />

piétons et deux roues of<strong>fr</strong>ira un<br />

accès plus rapide et sécurisant.<br />

Concernant le mois de juillet, la <strong>fr</strong>équentation<br />

du centre est en baisse<br />

de 25 % comparée à l'an passé,<br />

notamment à cause d'une forte<br />

diminution dans la tranche 16-25<br />

ans. Et s'il est un peu prématuré de<br />

faire un bilan, il semble acquis que<br />

cette diminution demeurera forte à<br />

l'issue de l'été.<br />

Cependant, le manque de communication<br />

à propos de cet espace de<br />

loisirs et la difficulté à le trouver<br />

lorsqu'on est extérieur à la commune,<br />

expliquent en grande partie que<br />

ce centre ne bénéficie pas d'une<br />

meilleure popularité.<br />

Le président Bourgeon<br />

Kevin Plagnat<br />

construction du stade de foot en<br />

salle, qui sera à côté des terrains<br />

d'Ain Sud Foot, donne des idées<br />

aux responsables du club ; avec<br />

peut-être d'ici quelques années la<br />

création d'une équipe dans ce<br />

genre de discipline. K.P.<br />

Tramoyes<br />

Il y a 48 ans…<br />

Un avion de ligne s’écrasait<br />

Le 12 août 1963, le village de<br />

Tramoyes a connu l’une des<br />

pires catastrophes de son<br />

histoire avec le crash du Viscount<br />

Lille-Lyon-Nice au lieudit<br />

Le Melon. Récit.<br />

e jour-là, le ciel est noir, un<br />

Cterrible orage s’abat depuis le<br />

début de l’après-midi sur toute la<br />

Côtière. Puis soudain, un bruit à<br />

la fois étrange et inquiétant, et<br />

surtout bien plus fort qu’un coup<br />

de tonnerre, se fait entendre. De<br />

Rillieux aux Échets, les habitants<br />

sortent de leurs maisons : tous<br />

savent qu’il vient de se passer<br />

quelque chose de grave, mais sans<br />

vraiment savoir quoi. Et pourtant,<br />

la commune de Tramoyes<br />

est en train de vivre l’une des<br />

journées les plus marquantes de<br />

son histoire. Ce 12 août 1963,<br />

vers quatorze heures environ,<br />

l’avion de ligne Vickers 708 Viscount<br />

d’Air Inter - immatriculé<br />

F-BGNV - qui effectue la liaison<br />

Lille-Lyon-Nice, vient de s’écraser<br />

sur l’un des champs du village,<br />

au lieu-dit Le Melon, à proximité<br />

de la route du Mas Rillier.<br />

Une vingtaine de morts,<br />

une seule survivante<br />

Avant de se crasher, l’appareil<br />

émet un dernier message à la<br />

tour de contrôle de Bron, sa zone<br />

d’atterrissage programmée :<br />

“Sommes en approche, amor-<br />

çons notre descente”. Mais<br />

l’avion n’arrive jamais à destination.<br />

Foudroyé en plein vol, le<br />

Viscount heurte la cime d’un<br />

chêne puis le toit des habitations<br />

alentours et un poteau téléphonique<br />

avant de s’écraser et d’éclater<br />

en mille morceaux sur plus<br />

d’un hectare dans le champ d’à<br />

côté. L’appareil transportait vingt<br />

passagers, dont quatre membres<br />

d’équipage. Une dizaine de corps<br />

à peine identifiables sont sortis<br />

des décombres, quatre survivants<br />

sont rapidement transportés à<br />

l’hôpital Édouard Herriot mais<br />

seule une fillette, Elsa Simon,<br />

survit à l’accident. Daniel Grand<br />

et l’un de ses quatre petitsenfants,<br />

qui jouaient dans le hangar<br />

au moment où l’avion a touché<br />

les habitations, perdent également<br />

la vie ce jour-là. “Encore<br />

aujourd’hui, j’ai cette vision horrible<br />

d’une femme, une hôtesse<br />

de l’air, plaquée au sol, la robe<br />

relevée et d’un homme, mutilé”<br />

confie Joseph Richard, propriétaire<br />

du champ dans lequel s’est<br />

écrasé le Viscount et dont la<br />

ferme est située juste à côté. “J’ai<br />

accueilli quatre blessés dans ma<br />

cuisine, les gardes mobiles de<br />

Lyon ont gardé le terrain et la<br />

porte de ma maison durant huit<br />

jours pendant que les familles<br />

venaient reconnaître les corps et<br />

que d’autres personnes venaient<br />

piller la carcasse de l’avion. Ce<br />

sont des souvenirs douloureux,<br />

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encore aujourd’hui. Je n’oublierai<br />

jamais, ça nous a tous marqués<br />

à vie” ajoute-t-il. Pour faire<br />

face à la catastrophe, le maire de<br />

l’époque François Girard a aménagé<br />

la salle du conseil municipal<br />

en chapelle ardente. Une<br />

cérémonie religieuse et un dernier<br />

hommage aux morts sont<br />

réalisés sous le préau de l’école.<br />

Les festivités du 15 août sont également<br />

annulées. Après une<br />

enquête menée par le général<br />

Bonte, il est conclu que le crash<br />

n’est pas dû à une déficience<br />

mécanique de l’appareil mais bel<br />

et bien au mauvais temps. Cependant,<br />

les causes exactes de l’accident<br />

n’ont, semble-t-il, pas vraiment<br />

été trouvées. Le 12 août<br />

1963 représente ainsi un jour<br />

noir gravé à tout jamais dans<br />

l’histoire et dans l’esprit des habitants<br />

de la commune de<br />

Tramoyes.<br />

A.L.<br />

Une<br />

malédiction ?<br />

Elsa Simon est décédée dix ans<br />

seulement après le crash du<br />

Viscount Lilles-Lyon-Nice, dans<br />

un accident de voiture. Selon<br />

nos sources, alors âgée de seize<br />

ans, elle était en route vers Tramoyes<br />

afin de retourner sur le<br />

lieu de l’accident.<br />

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Anciennes coupures de presse sur l'accident<br />

Notez-le Notez-le<br />

> Samedi 10 septembre, forum des associations de 10h à 15h à la<br />

salle des fêtes.<br />

Promenades commentées<br />

en bateau, petit<br />

et grand circuit<br />

Rens : 06 79 42 93 61<br />

(8 km de Poncin)<br />

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Location de pédalos<br />

et de canoës<br />

06 85 83 53 56<br />

10 Journal de la Côtière - N˚<strong>801</strong> du 18 au 24 août 2011<br />

Journal de la Côtière - N˚<strong>801</strong> du 18 au 24 août 2011 11<br />

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