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Brave Battalion : The Remarkable Saga of the 16th Battalion ...

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Comme l’auteur se concentre sur les exploits du bataillon, il évite les pièges de beaucoup<br />

d’auteurs qui prétendent, des années plus tard, critiquer les décisions des commandants<br />

de division, de corps ou d’armée sur des questions de stratégie et de tactique. Il n’insiste<br />

<br />

sauf lorsque cela est nécessaire pour situer un événement dans son contexte. Finalement,<br />

il laisse de côté (Dieu merci) les grands débats politiques de l’époque, la conscription pour<br />

<br />

Cette histoire pourrait aussi servir de guide pratique à un commandant. Elle illustre<br />

avec force les avantages de la reconnaissance ainsi que la nécessité absolue que le<br />

commandant soit présent auprès de ses subordonnés et qu’il partage leurs épreuves; et<br />

l’atout que constituent des communications et des attentes claires entre les éléments d’une<br />

attaque interarmes — dans le cas qui nous occupe, l’infanterie et l’artillerie — pour atteindre<br />

l’objectif. Lors de la percée à travers la ligne Drocourt-Quéant, le 2 septembre 1918, le<br />

commandant du 16 e , Cyrus Peck (qui a reçu la Croix de Victoria pour ses actions ce jour-là)<br />

a mené son bataillon au combat, dirigé une troupe de chars durant la bataille et engagé puis<br />

<br />

pas, il doit être mérité; les commandants du 16 e , les frères Leckie — Robert et Jack, Peck,<br />

Scroggie et Urquhart — ont mérité ce respect de nombreuses fois pour leur dévouement<br />

sans bornes envers leurs tâches et leurs soldats.<br />

Il reste quelques bataillons canadiens dont l’histoire n’a pas encore été écrite, même<br />

après tant d’années. Cette situation est malheureuse, car c’est au niveau du bataillon que<br />

les traditions de l’Armée de terre canadienne se trouvent et doivent être préservées. Avec<br />

<strong>Brave</strong> <strong>Battalion</strong>, Zuehlke a effectué un travail magistral. D’autres lui emboîteront peut-être<br />

le pas.<br />

Notes<br />

1. Farley Mowat, <strong>The</strong> Regiment, Toronto, McLelland & Stewart, 1955; C.Sydney Frost, Once A<br />

Patricia, St. Catharine’s & Venwell Publishing, 1988; Simon Falconer, Canada’s Black Watch, Frederiction,<br />

Goose Lane Editions, 2008; G.L. Cassidy, Warpath : Story <strong>of</strong> <strong>the</strong> Algonquin Regiment, Cobalt,<br />

Highway Book Shop, 1990; G.W.L. Nicholson, Seventy Years <strong>of</strong> Service, Ottawa, Borealis Press,<br />

1977.<br />

2. Terrible Victory, First Canadian Army and <strong>the</strong> Scheldt Estuary Campaign : September 13 —<br />

November 6, 1944; Vancouver, Douglas & McIntyre, 2007; <strong>The</strong> Gothic Line : Canada’s Month <strong>of</strong> Hell<br />

In World War II Italy, Vancouver, Douglas & McIntyre, 2003; <strong>The</strong> Liri Valley : World War II Breakthrough<br />

to Rome, Vancouver, Douglas & McIntyre, 2001.<br />

3. Tim Cook, At <strong>The</strong> Sharp End : Canadian Fighting <strong>the</strong> Great War, 1914-1916, Toronto, Viking<br />

Canada, 2007; Tim Cook, Shock Troops, Toronto, Penguin Group <strong>of</strong> Canada, 2008; Desmond Morton<br />

et J. L. Granatstein, Marching to Armageddon : Canadians and <strong>the</strong> Great War, Toronto, Lester &<br />

Orpen Dennys, 1992; Kenneth Radley, We Lead, O<strong>the</strong>rs Follow : First Canadian Division (1914-<br />

1918), St. Catharines, Vancouver Publishing, 2006.<br />

Le Journal de l’Armée du Canada Vol. 12.1 printemps 2009 161

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