26 janvier 1867 - Bibliothèque de Toulouse

ABONNEMENTS
TU ULO',;SE : Un an _a0;tr.; ;6 mois, R4 fr.; 5 mois, 44
11 ie, 4
I Fl m l'a e dal
en ,, 50 fr.; 6 mois, 26 II.; 3 mine, 14 fr.
1 TRANGEII: Les frais supp6Smenliiros da poste en sus.
Toulouse, 26 Janvier.
ROIIRSE DE PARIS.
I tnHioli Le roinpleinrirl:.tre d,. coers des
principales eldomos.
ne 2M ras"..

I , a l 3 !
tàf
d'l I éuc
elles quo j'ai
le Qruit an-
le
dis.lors, L. Lunq,edo-
lue n touis c nstance
le Ilécm,, f nlo,
ralL t rail.
Thé". ,'est ru' pris en
inedor mo pe',illc
cils qui r at la c
,L plus surpris qu'une
s ,,t qui p,ot rutai-
-lesopp Letlilo-
Il i P
q,,,, J L
e Il
er les limites quai lui ira-
ent les luis sur la nessc, rait r,
gord' de Ics discmor, avait p,i ,d'au
,, la ils tu S le de les n-
Il, cela p t, rit lis tc bic,,
crveine:nett Pou
d+'clar e parlapement
ii,rablas let droits d'op asti dont il
ociy mois, ira fi- -r torr, a
la? vitmrtcnes, xistrnce
da cet nohstaole au Ilbec awulament de
leur.' Produit
point de ur5niii et afin
qu'il
(
soit ce hicv ,mi de c x qui
naitraieni, point Le Lmiguederien, que
s rattache
à la , latioa dus vins t diaméteale
eu use -
I,uposée h c:lle que co
t,
rêque je ai risse contre
p t
c n
n, et ans 'c i'me s ousstpoier de
q pi euF
'aitt peint qui,
q.sn tues
es
i
l
uat
ooar le ln; 'outpour ob1et,
s
,du[ rignWaw re,gv l'ut
'
uppronve, en n point
système dlmpd4indirect
Ircel.
radical de l industrie vi-
n qu'un de ses plus
Monsieur et cher Confrère ,
e de mes meilleurs sentiments ,
Il reotcur du Leeyoedocicn.
P. S. Il. iIicfiora a égalemant écru à
PI.'I th u uue let!ra se terminant pur ces
salami dont je aie plains es
, pas du l'a noilro la parfaite
G de s viii'sions et
tisse lequel cet article cet
,s faites, M. Théran é en,przsse
recoin
d e ,r i ire qu'en ell'et ce e est pus dans
' '
le 1.-my,ivdocisa q i l a lu l opiu n fan
lo
'
mien des octrois, mentionnée
dois . i Ictus du 18 janvier.
ü ia fs'ocgae letatoei mat ee qai préalia,
A. pnroc.
L'LSQU",Tll AGRICOLE.
s : 1
11 ll e L d d. I I 4
yr e i' Il , o po t,uco e terra ,é e n ti
.I PI tin e i attemlaet que es précieux
cuis ont livrés :1 la publicité,
s es loa o- ne qui
s'ol;
uo`
s de .ait" souslos ,eux du
public ter; luror nntiot s ioisiculiires qua
11,
cilir.
!I It k,
il, que le ces
t tel qu'I .t rjl dl
,an
-1.4 11 tq
g'7,1 nonbto de pôles dulilvznce,
V
uic re qui 'avait pus eu de maison sur
lu terre, emtdu moine ana tache en toute
prupriéld, 1 la place ri, elle devait ripa.
j il, ,
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pL'
Il l 1 t ..p 4
tc ,; II
.il p r,coin ( uni
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pro le n lira chère i'aedue.
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i ,'ace, l,résar.t 6 la 0,1s oirs u
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omrr de sa r, impes_
1 I. nu anser J. ris
passé, 1 I ai, ci, é; i l
l lis ,,g uts q, us ai blc,t ailla
",!,I ords.
Vil.
Le récit da lu t Iarq,sioa avait répandu
1 a 4 i'L
clus
t 'I'... I ÿ I I L ,ce
I'l t était l n omd e de
tant, sen ail, anchit le premier et conta de
ln
fla u po:.
vait muser à
morvailla a dev,mr le
i
t I I III, ,d - d t
fl_L entendre an pi'd de la triasse,
ûétoit un tambour de basque garui de pro-
lu,A filés, qua l'on, a 10ait à intervenus
légaux.
- Ah ! fit quelgti an de la société, voici
la Smoralda ilAroalli.
Ce coin de Smeralda, Il,... L à un tam-
bn Ir da lisejsr tira mou attention.
- lad 10v lioheeu une, demandai je,
r
n I l t l b o b s , ' , n'est
I tri l' y' I I tt
I - t il' 1 1 I I. S
' r M I
I N l U ,,d f. clic
rv :b surs u dix huit uns, t ,,,riait lus
anis
,al appoqu'Il
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s :1,111`1'I1
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t 1 mit g et de Pu C I ,
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L a
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dl ! i ii' t \ , i les p uprm-
p 1
l
la cl t d M 01 .
D p ( d, M. 0 g ff- i/ lu
JtliIr, r1c pa Il( et(suue dru colline,
1 le Cinq T.aLa ('P ) ) !
devao i lu nCemm ,,mn d enq chai/u
i
ailgsurt - Luoeuee te 20 e nnàre
t La cunl¢ctise du livra bute, repeinte
n e'nérel e plus de trante ans il sert
d'élGie out à la fixation et à Iv quotiL3 ,la
L cnl,.s ,, peracionsuci luoiealoo , p, f,,,ls
dès lorigine contiennent il'nrreus, tort
an point de site géométrique qu'eu
point de v e do classement. Atout". à
cela les transformations sbr+enues depuis
cette époq ne déjà lointaine par le evoetel-
ent de la propriété, les mutations, les
écho , es ! 4 I taos os des
nde stante nature, r e,ales v,evoles et
délia r Lemem,dvs , N,nesferréee
ew.; esidcreu vs qe endasue' cetoii
x portrait de laepropriété territoriale
'LU il ,est plus' r mbl,u,l. De là s'
pligne >ont u. répartition d'impôt
qui ai"stui cxaci-, ai juste, ai logique:
y u pis ii cil iii. - Après et ves
défoula combien n'en ieouve.4nuepas
d'antres ?
n Les renseignements statistiques qui
out aujourd'hui une grande fu-
Pu'nco dans les décisions législatives et
gouvernementales s'appuient smv des bu-
es précaires. - Le pcrceptioe os ts
d'enregistremem sur les
successidonsroi
d,
Ics
vo tes et les échanges
Il pouvant plus se
calculer d'après le classement et le revenu
c dsstial, orLi, administration âe t vue
bli,éc d'inventer le tableau des chiffres
de rnàaussement, commune par commune,
opération iés variable et très comestible,
ce de proues, d'embarras at de plaintes
qu'on pomre]t bleu éviter.
. llons un autre ordre d'idées, ce chsss
engendre ecce, voisins des difficultés qui
les ,émeut devant les tribunaux. t'est
si e simotiou intolérable; cela fait qu'il
n'y a presque pas de lites eu ré,le : or,
point de litre en régie, point de crédit fon-
.ic, lu agi ,cale- - La réfection du c
destre, devant amener néccssairemeut une
villa pIi équation de l'impôt fancir,
fou miroir encore ,Lion
de rectifier les
limites uu alcs acmclles qui sous très
bivueres,
uintnL
eoeapparentes, pnis-
qu'd y nu a Lduele L e t à brun,,,
champs au liai d'avoir des limites ne'u-
rolles, ruiou'eux, chemine, v es fars tes,
ote. Je ,ami. donc, dans e intérbt de
justice et ils bonne admiaistratio,e, à It
esoité d'une loi qui pessarire 'e réfec-
lieon,dan, m, temps plus os main, pro-
chain, du
cadastre.
Cette proposition
tic date pas d'hier pour moi; je l'a
'a
I
exposet
soutenue dans en travail ']ne j ai adressé
Il Sénat il y a déjà foulque temps, et
qui mu val d
r
Batteurs encan,'ngawcn'u,
D- députés de ce ICpart cet ont d
adresser lents Glogus
à égard,
.
= je Usais hier, dons le cet
a Jonraml du
Ta
'
Il' i
""
C"I bclgos tout être
es l 'Il pj t Je loi tcudant a
plus juste répartition de l'impôt loncieer.
Qu', le poun
s
ont frauçais, es plutôt,
pou. parlele tan d'un publiciste
célèbre, que l'horloge odes Tuileries, qui
est en avance soi celle de l'opinion pu-
blique se laisse pas dev celle
14 QII I tl dl 7
c
IL
I t I "
I LIL l
ecr, et an data lis suai ilne>
R,mr=an,,a
ohèvres parmi les rochers qui bordent le
. Elle était orphmlise et c vair seule
'une v ,,stère et étrange, s ompIui-
plu L p d t I A I
11 ,r o dm r blu t b.ll t
ce le ,G vc dateu vil des wBeta d cmc-
I
I
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a', 1 71
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1fll 1 J - -q I
I tl 1 1 t t f - plat 4 In
IIt: SId 4l, Ici est de
dcpuis. E l l e t I I
In, il,
1 in,t a.. le 1 d l .
giv,'lue aill u c IL iccpruehane. A la
in, le cuel
dde
sues vilMgcla détermina à>c
il p c I dans Sa ..."cllI
au LI il' ; et
l L s l l l t t M
l sysoi t morts Sous deun duezuni' tteni'
1 - C.I le novvc,u Lnav, la 1ftc à la
v e lisp me, et elle ça prophéi sont
11,01,' D f
j
11 t 1 Nc pl 1 l'
,s 'In Ir-
t: t I. f. i a
G 1 t f b t p
a
I I III t j lie
se
Il
'Saellle, ,tnfem de s, àa,,pt ,.,,
lit ec qui lui reste en uo ,ode. 1, est
rdin e01 eSi, petite t rature qui
1 r t p t
t 1
s"I ', Il t d 1 .que
Il il
pa tait uu la '.ne pense
Il. sniuilna
ti l ici i ,1 la nul iri, ,] aile
l'ho hititlon dn eoneadinu; a elles noue
cnt b La petto fille est la plus
sente miniature qû on puisse ,un., et
farg qu l , ic e ,Iris
j'unIl
murtart,
la ,.
est arc créoturo belle encuva et bleu sin-
gulidra.
- l'atbleu ! je vais les ,'oie, .,h,!.!-je
beeuquc enta n - ,e lovant
po premlrc mua chcgicau1.
T Qu'à cola ae Lirne, lit la duchesse
"i, i l t. Il 1s
t,
Et Il 1, . - A II .
L J I 11 S I 1 S 'es
j I L su le I .utn , appel, de sa
douce , toc :
q' If 1 r
N i j observations de St,
ci s
OI { ttc,ue.ut cv
p I le t II. t 1
[ , s g",.d non il'
1
lue,
II, .
Dautres questions : l'imrpôt sir les vins,
les bail, de transport pa Ics chemins de
fer, les droits d'cnrugistrese sue, lu
,le l'aprcultue, ln ailé d'on ao 1,
1 t ,,,,,i I [j t d'ohservaLons
t s i s da I d position de M.
Of l t t . _ me r xa
d
ta
la p,bl t d
s
e
aucuns de
q t J 'irl
(laurnal Pat t.gn7 de la sen.a,rc).
Fox, 24 ja
(Correspondance partisuli, )
COUR D'ASSISES DE L'ARII GE,
Présidence de M R , e Iler à te
Cour impériale de loulonse,
Audiences du 25 juerter.
meonnex n .L,l s
^ismn
ryo la
M. J...., notaire an Caria-Ia-comte, sr-
rondisse rient de l'amiers, comparait de-
vive la jury, so us
I'incvlpatiuu de com.
breux abus de conllanco c is dans
l'exercice de ses fonotivvs: otu'aceusô est
Il jeune homme dané d'une heureuse
physionanie. Voici les faits qui lui sont
epeochés, tels qu'ils résultent de l'acte
d'oc envLian :
,lutaine J...., nommé polaire au Cerla-
Io-Oonde, par décret impérial, en date du
4,1 septembre 18,I, était à cette époque
dénué de fortune; il av il a qms sa
charge eue prix do 11,000 te, 1 il dut ver-
ser te eaut,avvev,ent de 1,800 G et se
trouva dès la début de eu carrière, i,
présence d'une situation difficile. Avec de
l'ordre ot de l'cranomis, J....... au-
rait pu sans doute faire honneur à ses en-
gagements, mais loin de régler ses
pen es sur ses revend se livra à des
,,q,,,,,,", onéreuses, et augmenta rapi-
dement son priait'. Il acheta ana maison,
y fit (importantes réparations, la meubla
won certain luxe, et se 't bientôt
dans le plus grand earbarrus. Cet officier
public recourut lors aux expédients les
plus coupables; il o raignit pas d'em-
ployer pour ses besoins personesle Ics
es qui lui étaient rem ses pour ses
clients, et détourna et dissipa celles qui
lui lurent collées pour en opérer le
cement. l:accusé svo e q,' IL entra dans
cette voie dès l'u,eveo 1011, Il restituait
les sommes qu'il avait d'abord soustraites,
à l'aide de colles qu'il r avait des oa-
s clients, et ne c
e b[ait ne déficit
qu'à l'aide d'un entre détournement. Il a
aies, ,élu perdant neuf ms, au dépens
de tous qui avalant l'imprudence de
tous
lui accorder
dur
ar leur confiance.
Cependant; sa q',il ina devenait de plus
e ;
r an pren-
duo lus
u
aile
désespéré
qu'aIls é tois I son passe
evat i par s'élever à plus do
50,OOD fr.,
et il lui était impossible do tromper plus
Icngtempa s'es créanciers sur sa véritable
situation. Il sa dérida alors à prendre la
faite, et le 0 novembre dernier, il quitta
a résidence et disparut. Apres s'hsre
sou_
cessivranout réfugié à Genève et à AI,cr,
il an décide à faire convaitre le lieu ,la sa
retmoi,,, paie, cédant aux ivstunoes de se
lamille, il ,autre dans la pays. Le 2 dé«
il se présent, dcvnnt le proaurarc
arc
impéril de lamies, et fit l'aveu de di-
vers détournements dont il s'était r du
coupable. L'instruction a établi qua J,...
avait 1 n 21 abus de nuance, et
qu'il avuie dissipé eue préjudice de Ses
clients, des son,rnes e élesart en totalité à
prés de 25,000 lr. Sur ces 21 abus de
confiance, six sont couverts par le pres-
cription, En conséquence Antoine J.... est
acase :
1. D'avoir le -0 septembre 1865, au
Caria-le.Comte , détourné et dissipé au
préjudice du sieur Aubaine Blandmiéres,
qui en était propriCtaire, .ne somme de
1 000 f qui ne lue avait été e quà
lit d 1 j tt ou de mandat, 1 chargé
le les leudLe ou nep'éleutel, es d'an faire
an emploi déterminé.
- Smeralda !
Nous avions tous suivi la marquise, et
s perçdmes, e suint, à travers la
c t L le Laudiage dos orangers, une
u n. q mordrais touant uue enfant pou
la main.
A l'appel qui lui était adrese t, elle lava
la L,to, envoya du bout des doigts un ua[-
sc, et, sans lot'lire , fit de la main un
geste qui vantai', d -c
- Mandée r,o, jc suis à vous.
Et, lam,hme once las êtes du lieu,
la grille du tua'
elle ouvrit d'elle mLme
mn.
Je n'ai pas besoin de die que je ne crois
pus aux ,a .crs- Ces personnages de roba
longue et du bonnet pointu me sembla-
ient simplement ridicules si leurs or
'tus étaient gratuits. Comme ils les font
payer, c'est le public qui est ridicule. Mais
Je ne répugne point à admettre que l'es-
Prit l
dues d'a coedaone et 1" 1
d B données, pusse, a des de-
,gré t d Ics orles divers, aveu vi-
1 , r. En dépit du Nutum al'
g t de lu méthode expérimeutalo,
(.muai,,, pus m,mque lippue triom-
phante, il est ,.,main quo l'être r rut
[banalité s'en va flottant alternativement
L 1 , soepticismu de la rai IL las
Il tons de la roi, ante le relatif des
choses terrestres et labsulu des pma-
sious supermrt 11 1 dl
nq
ue les
',la
"ni
out chcruLaut le star et d, d' le
roclle dors l'obsurvaliou unulytique
des pbénommosi d'autres, brûlant cette
(lape de !'esprit, s'élèvent du premier va[
à b.i wuccptia, d'une synthèse. Et, Si la
plupart d'entre nous, absorbés par les né.
cités d'une existence ei mpliyuée de
détails et chargée da pré empotions , do-
cnt impuissants necntrer, sur tai
se tel point de la vérité l'utureju cet eRbrt
aut lié
v
cul
des lacultGe qui donne é l'us'
pout
q
nul
1 i 1
prituue intensité de pcnétrmion spéciale,
b^
l
lu
l- ' St l' , u
I I Ij. ,'1 p
Il ! (qu leu idt 4+
Sut etl vrai, ¢t L "St là un des anomoa de
2, Du,oie, dep,
te 4" janvier 1865,
au L tla I Lo t détourné dissipa au
ie j d d ur CN m ôB: pirate, qui
t tp p't
de 800
Ira n l lu,a 'St. qua ttrm
de pr@t ee de nourciat, a la haIge de la
représenter, ou d'eu faire un couplai déter-
miné.
Sa D'avoir, depuis le février 18'6, au
,.,,Ile Comte, d L L tin' pé eu
p éhs dise dcsusi
plus ét
hemeurd , et
bar s une sommed 200 fr nos q pi nelui
cté remue q,'à titre de dépôt ou de
aurai,
msndo
à
chai ge de Il rendre ou de la me-
présenter se dan rade un empl détel-
.
.il
4, D'avo r,depum les 5 017 lévnerLS65,
an
Caria la Coroee, déturné es dissipé au
p
"'fi'
étaréjudce da sieur Bordeoave losepe, si
it ,reprendra a
u
francs, qui ne lu, vert été emise qu'à
titre do dépit ou de mandat, à le dreige
de la rendre, ou de le représenter eu d'en
Ici re en emploi d'etcrseiel,
D'avoir, (envia le 5 seil 1803, al'
Caria-Ie'Comte, détourné ou dissipées pré-
judice de la nommée Colle Pascale, qui en
était propriétaire, me scmnne de 400 fr.,
qui ne lui avaIL'Lé remise qdà titra de dé-
pil ou de mandat, à la charge de la rendre,
ou de la représenter ee d'en faire en em-
ploi déterminé.
fia D'avoir, depuis le 17 novembre 1865,
se Caria-le-Comte, détourné eu dissipé au
préjudice du sieur Dcguilheol Dominigide
9ai en était propriétaire, et somme
,000 francs environ, qui ne lui avait été
rail e qu'à titre de mandat ou de dépôt, à
la charge de le rendre, es de la représen-
ter au l'en faire nu emploi déterminé.
7o D'avoir, depuis le mais de décembre
1865, au Caria-le-Comte, détourné ou dla'
ipé au préjudice de la dame veuve Pauly
peint, qui en était propriétaire, une somme
de 2,000 francs environ, qui ne lui avait
été remise qu'a titra de mandat es de dé-
pôt, à la charge de la rendre, ou de la re-
présenter ou d'en luire un emploi déter-
ra 8o D'avoir, depuis le 5 avril 1811, an
Ceeta'la Comte, détourné eu di,situé au
préjudice du sieur Beuffertigues Jean, qui
o ébat propriétaire, une somme de 500
feuncs, qui ne lai avait été remise qu'à et-
tre de dépit ou de mandat, à la charge de
le rendre, au de la représenter es d'en l'aire
ev emploi délerminé-
'J'Massue, depuis le 18 avril 1866, es
Carlade.Comte détourné eu dissipé au
1
aillé en préjudice de le dame Pereièe'Ville rial son maure qui, s'aemnnt d'un fusil ,
j
à t ee amais part, a
se drp
t
née Paris Louise, qui eu était pro
neuve?
d 200 f
priélaire, une sommeeronce, qui
ce lu, avait été remise qu'à titre de mnn-
dat ou de dépôt, à la charge do la rendre,
ou Je ta représeutar au 1", loue en em-
ploi déterminé.
v malere, P e
la If ue à sms,erso h aine,
lisse 4 biril entendu
détacher et ai
Lino
n
lonssade l ecurio.
a
(Le hera.)
f 5t D'avoir, depuis le b novembre 1866, _
au Caria-le-Comte, detour,S ou dissipé au Pou Cl jsnvier,
préjudice du tueur tau
Guinolas Pierre, dit
lin terrible ma; lieur, survenu dans la
Lasi n r, gai en é propr ié taire, soue
cuit de 16 te 47 J
1 t la sons
'annom de 1,050 francs, qai ne lui avait
ternatmn dans la son nou. d D dos.
été remisa qu'à titre de , vt ou dl de'
Deux
filles , d
astiques chez le,,
pMt, à te ehargo de la rendre, ou de la ra
dames Guietd, et nom,né,'s, Inec Jeanna-
présenter ou d'en faire un emploi détcr
5lar,e Ar t âgée d 24 s, née J
miné, avec celte ene,e sot tseseelépoque
I abestida uClavence,e l'acte; e, 'a
a
à Bordes,
de tous ces détournements Jousseril était
A
t he, figée de 20 ans, se.,
notoire au Cana te.Combo, etqûd avait
praet lu laitue pensée d'empo ries dune
u les ,moines détournées en sa dite qua.
leur chambre e coucher et réeha, ,d rein
I l01 It de charbons ardente, afin de eu ,(cran
M. le procureur impérial Pourod, Du
rr contre le frai, glacial de ces ,1-1111s
Ici
1
soutenu aberde,m, quia
été
com-
j cors ;elles déposérentce réchaud sur i,ne
battue ar
eepLor
L'abordete
un
.
verdict
table de unit pie use dans I mtorvalle qo'
I.ejaprv
a r
néga L M-
scparo Ictus lits, et ne tardèrent pas 'a
le président ordonne ,u mise en bbené de
'e dorn,fr.
l'accuse. me
ce
moment do n mbreux ap
s
Les malheureuses jeunes fillese
, victimes
rrct
plaudissements éclatent dans la salle,
de leur funeste impzudeno, pass n
J D. é d sminell à le .art, car
t
b
mm"tauhan, 24 janvier.
Un curieux personnage, qui e fait une
certaine sensation dans plusisoen villes de
province, vientd'étre arrêté à Poitiers et
dirigé, par la gendarmerie, sur Montau-
ban, où la justice a quelqu comptes à
régler avec lai. Parfait
gouttlhommees
dans
aniéres, élégant dans ea mise, dit le
Sas
journal de le, fisses, il se donnait le luxe
d'ajoutée à sa boumnniéee es salut mul-
ticolore. Quant à son nom, en l'ignore ; e1
se faisait appeler Boudin de Lorme et pre-
nait le titre de emto. Grand amateur
d'art, homme de lettres à ses moments
perdus, correspondant de plusieurs huer-
u., il était luttât Jean Rousseau, sec vil-
légiature, tantôt Adrien Marx en rupture.
de journalisme. Sa collection de cuetue da
visites était des plus variées. Les noms
des hauts personnages y figuraient et,
peur
mpléter le tant, sou album pho-
tographique contenait à la place d'honneur
les portraits il u comte de face
mbord, dont
il se disait le filleul, et des membres de la
famille de Bourbon,
De nombreux méfaits sont r ppeechés à
cet individu par des eummerrants de Poi-
tiers ; des accusations de faux sent portées
contra lui. Il venait d'être arrêté cuit peine
une instruction était elle ouverte qu'on
apprenait que l'inculpé était l'objet de
pactemtes de mime nature (mess plusieurs
oedissemette, et notamment à MeeLes-
ban, qui parait avoir été le centra de ses
opérations.
(Courrier de Tarn-et- Garait).
Auch, 24 janvier.
On deus assure que la halle de Vie-
Bi-garre s'est
affaissée sous le poids de la
neCe
tte halle, esnsIruite il y a peu d'an-
au.
nées, était fer, c'était en ovement
gracieux et digne d'être remarqué.
(JuseeuS du sera).
.
préjudice du sieur Prévost Joal., h, qui en
était propriétaire, une somme
1,005 In,
80 cent., ysi ne lui avait été remise qu'à
titre de dep3t o de mandat, à la charge
de la rendre, eu de la représenter eu d'eu
faire un emploi déterminé.
10" D'avoir, depuis le 11 juin 1800, zu
Caria-le-Coute, détourné ou diss,pésu pré-
judce du sieur Preyche Jean.Peel, qui cu
étaiit
propriétaire, ove somme de 500 fi'.,
qui na lui avait été remise qu'à titra de
,andet oa dépôt, à le charge de la ren-
dre, ou de la représenter ou d'an faire se
emploi déterwiné-
I1. Davoir, depuis la 8 octobre 1806,
aie Earla-Ie-Comte, détourné ea dissipé au
préjudice du sieur
pimente Paul
-Franpois,
qui c était proprétaire
étle nsv,e
ede
1,000 G., qai ne qu à
titre de mandat ou de dépôt, à la charge
de la r'.','.",, ou de la représenter, uu d'en
faire uoi déterminé.
12' D'avoir, depuis le 1u' janvier et le
18 octobre 1866, au Carhile-Comtm, dé-
tourné eu dissipé au préjudice du sieur
Catbala Jean, qai en était propriétaire,
ne somme de 600 francs environ, qui ne
lui avait été remise qu'à titre de mandat
ou de dépôt, à 1, eharge de la rendra, ou
de lu représenter ou d'en taire un emploi
déterminé.
13- D'avoir, depuis moins de deux ans,
au ndice
iee e-Comte, détourné
dissipé au
préjud du sien,
t]culte
ee
necmmJaeq
cques, e,,
était propriétaire, nue soe de
1,000
00 fr.,
qui ne lu, avait été mise qu'à titre de
mandez ou de dépôt, à la elmrge da la ren-
dre, ou do la représenter on d'eu foire un
emploi déterminé.
14. D'avoir, depuis le mois (octobre
1866, au Caria le-Comte, détourné ou ds-
la philosophie moderne, sil est vrai que
l'humanité marche par u o série de dé-
vertes
et de conquêtes su
cou
lesquelles ,finis, ce qu'on no me le
ruilés , et e à alap esnuaissaeec
fer" lois qui
dirigent ces forces, pourquoi certains es-
prels ne verraient.
d' pas plus clair et plus
,,le dans les déductions logiques de ce
mouvement; et, supprunaet les inlermé
die ves, n'atteindraient iii pas don bond
e la compréhensmn ('m, état de eboses
futur dont les germes Llémentaiees vivent
et se développent n mus t autour de
s? Este, que Cnnstaphe colemb, des
avant de s'embarquer, cavait pas decoL
vert l'Amérique ? Est-ce que le nouma
B,,an ri u pas marqué lavance le ii
loppemant des p ssanecs physiques et
entrevu nos procédés in lui Est ce
que tees ceux qai, par la force ou t'intel-
bgence, la science ou la foi, ont an 1,cm-
pna du mande n'étaient pas des rveura
qui net réalisé leur rêve s.
J'en étais la de mes méddations, lors-
que la Sn,etable et sa patte fille apparu
aug-
groupe
un vérité, et do ce g
n'avait liai qui ne
Idt
cligna du tour au-
quel s'élevais-L mes passées.
La mère était une grande femme de qua.
,acte à quarante deux ans, pôle, presque
verte, mars encore belle, ainsi que t'avait
dit la duchesse. Elle était pauvrement,
mis proprement vêtue, et rien dans son
costume ou sa tenue tu iudiqunit des hub]-
tudrs eu des prétentions cabalistiques. Sur
vans ove coutume lémrmne des temps en-
ris, que n
retrouvons figuré, dans
certains dessins des va es de l'Eseerie ou
de la Grande Grèce, elle avait relevé sa
jupe rouge ev capuchon pal'-dessus sa tète,
soit pour être plus libre dans te marche,
soit pave se ((fondre de la
felciteur
hu-
i Ses abondants cheveux
mide du soe
noirs, à demi dénoués, ferneeient autour
de son vise g a
comme ter ae onde zone
d'ombre. Dans es double encud rament, et
soi e I, r;e I., t, 4 qui srmbinit div,ira
antique v,ea,cnt,
da;!,
ru muuu emenG et d'une
lua,i,ee elrango, deux de ces s êtres . qui
Le 17janvier, en in udio considéra-
li e a eu lieu à Mirande. Le feu a prie dans
le magasin de AI- Fort (Prosper), mar-
ehend drapier; il a détruit ne grande par-
tie la marchandise qu'il consentit; dès las
premiers signes de l'incendie, les portes
du magasin, don sccLappait une fuma
très Ieeest csl'onoées pur un ffi
ciel
de la garnison ee ne gendarme qui,
,
domérent les PIS.
a ant aperçu le feu
rl'alarme.
L'autoritô municipale, judiciaire, mili-
taire, les sapeurs pompiers et la popu'a-
non portèrent des secours immédiats ; Is
Lurent leur efficacité, car quoique des le
début les propres da fou aient été ,apidés,
la perte éprouvée par M. Fort se réduit à
0,500 Il'. A1, Fort état assuré.
- Une tentative de vol d'une paire de
bolide a au lieu duos la nuit du 47 an 18
janvier, dues la commune de Çaeaux.d'Ae.
Blés, ohms le nomma Medlon (Mathieu),
p, ,priéen,re.
Due
dont le bruit inventé au-
tour de Lwurie évmlla l'attention, pré-
intéressaient Si fort te curiosité de la com-
tesse Argenia. Les pupilles, d'un noir vio-
let, se fendaient, es heu de s a. détacher,
avec le font[ bleuâtre de la .ocrée, et dans
vague chatoiement de colletas assoupis,
il était impossible de reeen.aitre [e loyer
central, le pomtde oenvergenw des rayons
suels- On ne pouvait i emsir, m mdme
rce
rencontrer le regard de ce pa
qu ils regardmem de partout. bleue d'ases
igulreremWU balles et qui ne par
tapent peint
les stigmates du
..'ai]' la
Smerelda, en outrant, envoya lit, lut à
fous, tauds que l'avant bras, hurlant, le
long de son serpe avec une roidcur seuil
buste étreignait de ses doigts serrés le pu,
guet de la petite fille.
Celle-ci, adorable petit ego bran avec
des yeux bleus, penchait de côté ea Juae
tête bouclé., et, Souriante et timide à la
fous, elle agitait ne avant de sa main libre
on tambour de basque. Il semblait qpi elle
voulét dire, en faisant résonner aine c
clmquaut et ces grelots vides. , ,Pool ceci
nell que crin Lé et (iotov 1 ri ayca pas
p d quedira mumire! n Cmtes,je
o j m retableau pcintou ce,'I, muvro
de la natu ou de l'art, qui réduit plus de
" e et de couleur, plus de sentiment et
dbr,g,nahté.
S'av
.tpra as le salut (entrée, la Svtoeaida
ea dans le salas ave autant d'si.
rque s'il entêté soc domuine habi-
tuel, vert jusqû auprès de la uchesse et
de la marquise, 1t toucha
leurds
ma,ns,lu
Lent de ses doigts, (lu' lle aisa ensmte.
C est
a
Naples un mode
dbe
salut
`Lots
chez les gens du peuple vis à vis.des p et-
la
sor
ries de condition supérieure Puis
eile
demeura debout, attendant qu'on lui par-
1:11, tandis que l'enfant, toujo es captive
dans sa moin, émit autour d'elle.
- Ballon, , sueda, lit la marquise.
nuor dees.cris de nos amis voudraiut sa-
si tu par-
uir detoi leur tonne aventure,
t
les aujourd'hui; car nous savons quo tu
aa des journées muettes.
- Aujourd'hui, éj I qua la Smeralda
d sac voix grave et j fonde, aujourd'hui
il y a juste trois eus qua pareille heure,
api s
le
les ouvertures de la chambre étant so,-
i'
s ou
gneasement fermées, à causa de la riguecr
du temps, toit conspira à leur parte. L'es-
pbyxie Ice surprit sans leur d,'nner lo
temps de faire un mouvement ni i,'e pous-
ser
cri.
Le
e l lendemain matin, leurs maltr,isses,
ne les voyant pas levées homme à l',sedi-
nairs, coururent à leur chambre. 0e pou,
e figurer l'm,peesson horrible quci Ion
éprouvèrent en dno
nsf
trouvant que des c a'
dan mus étendus ocurs ouches. Elle s
étaient entrées le 'i I' pleines de vie,
de santé et de jeunesse, sans prévoir hé-
las 1 qu'elles n'en sortiraient que pour être
mises au cercueil:
(Mémimtal des Pyrénées)
iteslie.
. (Ceresepandaser partiaulidre.)
Rome, 2U janvier.
Avant luter, le I ,int-Pére e assisté dans
e t
l'église de
b""
aux fméreiile mena r es
mort le cardinal de 'tiliecovet qui était
Cagiano de .1rzevedo ;
Il Il 'lu
lads depuis longtemps. C'était l'.noieu
le O omobrle 1787 o11et dans1lenf,onsosvec
ces
fut
.arc
smbr renonçaià eus
eiége pu :
qu'iI
ge pour
restr à Rome.
Le sacm-collége e perdu dan, le cardi-
nal de Tillwouét va homme très Pieux.
et savant. Lundi prochain auront lieu ses
funérailles.
En remplacement du cardinal Cagiano,
le Saint-'c'c a nommé grand pénitencier
ace
d
ine la fuels I l
test
'in
cet
sz-
de
l'ord
l'ordir e romaCo
es
de
ces
fort
,art théologien, très
t aussi en droit
canon.
Pour extrait : A. Prror.
- Ov lit dans le -""i""' i
On écrit de Florence que le commandeur
Tonello et le cardinal Secrétaire d'I:tat de
Sa Samtclé se sont mis d'accord sur Ire
diverses questions qu'ils ont
'u à dé-
battre, et que las concessions (e 111U1,11--
roulent italien, en ce qui touche le
naet et l'exequatur, ont fait disparabtrela
plupart des obstacles qui s éfeient ulepo sés
é
t à la nomination et à lit c -
iallatien des nouveaux évêques dans lia
dlocases vouants.
Le
P"' Nuancier de M. Sciabeja, ac-
cueilli en général avec faveur par l'opinion
punique ',,approbation
paraît devoir obtenir
également l'appevbntion des députés. La
omb,nason du ministre des finances rc
latine à le liquidation des biens ecclésies.-
tiques semble présenter, en effet, l'avan-
tage de fournir des ressoennstimportanles
ou trésor de l'Etat sans recourir à de nou-
eestengagements, et de laisser escler,é,
vont un secrilira imseédiat, une dru
l'iode de dix années environ pour yen
-t convertir en valeurs mebrhéres ses
propres Liens et eux des corporations re-
ligieuses supprimées.
ou me rapporta mon mrl i at mon lits,
morts taus doux, jetés para mer sur t é-
ueil des Sirènes. Au1osed'hei est eu jour
se je soie les choses tristes. Que ceux-là
m''eterrogent point, qui v ont pas
la
courage de leur destinée.
La soirée peussau obstinément aux tein-
tes noires. jl:u peine' L... tenta un, nuu-
elle diversion, et plantant devant la som-
bre prophétesse sa large figure, ouverte et
riante :
- Voyous, commençons par mot, ht-d-
II est in,poss,ble qû un Joyeux compagnon
comme moi.'aitpoint j p u
vit.
EL cmême iemps qu tendait ove
à ela Smeraldil de
l'a
autre il enleva
main
de terre le petilo Grovaenma, dort le
Jeune front plébém vent gracieusement
s'appuyer sur ses lèvres royales-
Je n'ai pas besoin de ta main, ré-
pandit la Smeeolda, familière et grave
me Ira sybilles antiques; Via, déjà lu
aillers Len histoire, l'a es un prmw qui
aime le peuple, eL qûaime lepeuple, et, à
ee de relu, parfois, pouf 34rq,1 [arriva
teudormir
sur,
tau oreiller de la Nitu-
un
, des orges uuronncs. Ales te as
fIcela
m quole peuple s'aime pas. Le nom,
e tu, c'est quelque chose dans la for-
tune d'un pence. P i, le Largo dal Pa-
laaee appartient au destin. La mort entre
toc partout à le Ville-Reale. Laisse
passer le llat de la Chiaja,
Le Largo del Palanse est la plu- r
laquelle est situé le pelas royal de N'a-
pl , I palais du prince L... o vrat sur
les Jurd,eo de In Villa Roule, et le 1lot do
Ghiuju, ce pouvait Gte aussi bleu le peu-
ple yue la nier
C'etaL, comma on voit, le langage C-
guré et amphibologique des aucuns .ra-
cles.
L prince, un peu plus impressionné,
je crois, eu il voulait le ant tourna
le dos à la prophétesse et .lie
se
e prome-
ner sur la terrasse, emportant l'enfant
celenanco et frsiounant autre ses
âcul :
L -ont m l'In, ...
La avili a d'lute,
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Ortext.
(Coivcs)1omd
Les Iiaree
t 1 1.1
pin d an r, tl:
,,a ail Lroi
jsvrtie .r uni 1 111 I
ri I est rt 1 t
E tl y n Il t le ei t t p 1
nes pa,
fb"Il u Utile 1 p
1 III
l lL .III.
-la. a m rsporh,s d nv leu, ea np ai
Il l", "Il, r
2,000 fusils à aiguilla de fabruation onc
glaise,
L'assemblée ..ristaie notre trouva à
J-urslegeramo a puhlré le oll décembre tin
décret qui ègle la velte adm n,stra-
lion do l'île et elle a fondé uu journal qui
est intitulé la Crélo Le comi4G d'Athènes
a fait dira aux
Crétois.de
se finir simple-
,ent sur la défensive et d'évite,autant
quo possible faut engagement avec tes
troupes ottomans. D'ouùc part Ira évé-
tenmatscommencentàse daseinar e.Grd.e
t en Th'aselle. On dit que des bandes
d'insurgé:; parc urons ces deux provinces
t
tr qt
r'les ont déjà eu un combat avec las
p s torques. Les (onrna, x de Grèce
P'ablient deus couseig.cmets tris détaillés
à ce sujet, et entr'autees tr e p oclamatiun
du gouvernement [roi ieoi,'e épinrte qui
appelle sous les amies la population chré-
tienne de ces provinces.
Ces nouvelles out mis ici Lotit te .tonde
n grand émoi, excepté à ce qu'il parait
ta
journal officiel la Y wguie qui ne s'émeut
pas ponr si pan. Eu ce qui teehe les si.
faires de Ccél., par oxomple, nous savons
{oe Mustapha paon, a tillé être pris par
les insurgés près de Jélimo et que par
excès de prudence il est retiré à Candie
, El bien la T'irrnil disait hier
hua ile rcor g
impérial n'était plus
ccupd que Il 111,g miser Ics dill'6rerts
s res aduv,nistmtils de l'île et que cétait
àr peina II prêtait quelque auotion à
quelrpr'ea faibles Laudes da volontaires
cernées a Séliro.
La forte cependant ne semble pus par.
lai t e .clic s mhfd. Le question d'eue
rupture . r.c lu Gréée. revient ,sérierrse-
ent sur le tapis , et cet Le on ut
t t,J été, est
i1
f llcuia1 it prévi
donner trie lavée élu 1101,0110 lioirites. li
a n-ois jours, l'rdre a été q,Sdié L tous
les 'Illerla
1. t t I,reuts et
wuno dr
s de lcueoc,iuvurm
a
, i
lar
,,11,. S
ié naue
donne l'ordre d'acheter 0,000 fsllsià
td qui -oot 1 i cassette
la t 11i I4'' t l' 1, ,tdtala,ula
3
16I''
. .u. lbelle'
I t l'
.
t{ i.Li. ,canrl val de AL Pacte, .lit ilai
L 'I.: lJ { 1
lice 4 Alt 11 o i 1 ui 41ri L, l et 11 la lem xso
tir Ifs o lucss 't les s1 filin eut hi.;lite
t
1 t u I
t L
gine. 11 I t
1i
: Pt "l'il-
terre po , It 1 reeon pa ta f,
Et cummot pet t'il en âtre otiamentt
Ou l'ai rmhc la vé,ilê sur luit ce lIII
Passe, tandis quu d'un en
bxolte devant loi la prétendue toute pnis-
e de 1. 'Turquie, à propos de I'aflèire
dola frégate russe qui a embarqué, mal-
gré Ics autorités turques à Klasomo, quel-
ques volontaires blessés; pour les ramener
o Grèce. Un lui a dit qu'AB pacha m
yroudd la mioisirs do llussie,au pain que
dernier est sorti fout tremblant du la
Perle, ont qu'il a immédiotomert retiré s
tolu, Cela peut vous paraitro extraoedi-
naira, mais rie ,test plus vrai,
On veut absolamen raeler. Mustapha
pacha, qui n'a fait
quet gltaepples
choses es
Crête a. Il,. de les arranger, m s eu
mémo temps, o tient à ae que es ,,ppel
te passe pas Peur un désaveu impliyne à
la ..duite do impérial
aussi a-t-il. avisé c moyen propre à
tout concilier, La Porte nomurera un gou-
vertese général de file, ,loi aura au l'ued
le m'mos pouvoirs civils et militaires que
Maille
In ^..pha pacha. Par cet s'fille. on aura
In
doublé avarage do remplacer ou der-
mien, par ne homme plus énergique et
m x entendu, et de laine aine d'a.
.tra.été que 1--a de
paotliruatio
de
l Crète est terminée, et Il c 'este
plus qu'a r6`nblir dans son état cultuel,
l'adm cedo l'île.
Décidément, levu replie]], las trou
pas e eo q qui se
se
boulent eu Crète
us Prétexte que le climat de cette île est
pornneux pour ailes. An fond lsnwtl a
] -- ,lis .e veut pas se rendra plus
.Ilidauo de l'insuccès de cette expédition,
et des Ilotes d Il t pli paella.
I.'allaire du
p
rintipc lhumaso out sur le
int d'être eéglcu. La Porto eaeutnai4 qni
Pas
tant. sont du coté des officiers turcs,
ont elle ollre une indemnité d 000 l'
pour le dommageépenaté parle navire ita-
lien, ainsi quo le Salsa demandé puer le
pavillon ; mais elle ..et
.le do dostituar
l'mniral aommandaot l'escadre du blocus.
On espéra quo le cabinet de Florance, sur
te de, cior pu,nl, finira par eédcr, pour non
,as laisser aller les choses Trop loin.
je
ce vans dirai rie dl ,,tains pla-
cards qui unc été affiflua il y a yuelyun
ours dans les rues de
o Pli a, et qui ne -
iu. pn massacra des ,tiré.
Liens pruae r les tares. .
Il
Il n'y avait rie. de s6-
ix dans
.as avis a ...à,c ,quo 1'..
attribue géné I tau parti Grce.
pour extrait : A. P aer,
Atténua, 17aitier.
Les journaux qui nous saut ar-
rivés parles denx derniers courriers, cor-
ti nteet des dépêches t515giaph{quea de
r Costantinople, sur ta fausseté. desquelles
te ne vox pas insister; il fuutespérnroe'
pendant qu i l'avenir la pressa curopéenra
'a plus la moindre confiance dans leu
fi
l',lrlnmes turcs.
5loustapla-Pacha se trouve plus éloigné
q ,, -dil l 'et de sa m,ssen i Cac,l o,
a. os
t l II I { 'f l k
I 1 1 I 1I't s L it
I I I 1 lia I c Ça 1
d c a ses prupreh destinas lui cet, d'a.
près la voluolé ioébranlühl' des habitants,
su réunion à la mtséepatrie. Nous aimons
n claire ce,dd t q I ,: til
cris ,mes, fé, de l
'f,Nl, ce 1 tp tais-
Il pt slo L ps I G,I,ioI, Il
i gà
Cuti I , et g elles ne tarde nt pas a
L r dipl 4 I 6 f d
Cew s, qn p' i ' in te or leur
r
L ,u L tl y lotie des pou
pl l'1 t f
ri,
I Ii t a1 y r .mots anglais et
` sil f"nobles è lâ
d Cr bois es que tout In monde
.silo Ici , ci:st do voir la I eanee, n
seulement s noir aux deux autres puissant
aie gauche elle mémo l{oitiative
y ' lut ppartie IL en laveur des "Lré-
tiens de l'Oneet ; ,lie t elle ne peut seoir
'ci d'autre intérêt quoécelui de l a eiuilisa-
lion et de Thumanit, tan dis que nous se-
ns petitaünw obligés de paver trop chère
m
-
es de l'Aogieterro et de la
Huseie; voilà pourquoi je vous dis quo les
[Crues ne désirent et .'espérots que la b ru-
tectius désintéressée de la France,
0. dit quo le général Fleury doit arri.
er prochainement dans notre ville avoe
une mission de l'Empereur Napoléon;
mais Je suis lui. de vues garantie cette
nouvelle.
Je n'ai pas de nouvelles importantes de
Camlie à vous signaler, Dans les environs
da 1"""""' aine qu'à Ochra dans lu dis-
trict de Selfo., il ya endeuxcoinbetsdans
lesquels les Turcs an[ 646 beltuse4 obligés
de s'anrermee dans les forteresses, D'après
lesdueuiers avis, Moustopha-Pacha se pré-
porait à Conduire Lente sen armée cotre les
Sphakiotea, qui l'attendent du pied ferme,
Il v a méma deux jours que le bruit s'est
répandu, par voie de Constantinople, que
eelie rencontre a eu lieu au grand désa-
vantage des'l'sees, et que hlousmpha lui-
néme est resté prisoomer entre ]es mains
des Sp,,,,,,es, mais ii est presque ce
tain que cette rouvelle es[ très exagérés
"inexacte, car rien, jusqu'à présent, n'est
,. la
ce.bercer,
même eu artie-
veLa
Chambre des députés a
pvoté,
s
diseussion, uneeédit l'un roilliendrdraehs
es peur achat de matériel de guerre, et
deux centeinquanto mille draohmos pour
les missions extraordinaires que le minés.
ire des affaires étrangères doit e uger
x puissances européennes et aux ELais-
Unis. I1 faut espérer que ces missions au-
ra t un heureux résultnt ponr l'avenir de
la Grecs.
Malgré tout ça qui a été dit à propos
d otes fulminantes de la 'l'ergme, nos
releli
nusu
avice cette paissance ort pas
eu de motif dêtre interrompues.
A l'occasion du jour de l'an, la ceps
diplomangne a présenté sas rélinitabane
ont 51, Photiades , ministre de la Tur-
quie, étant la doge, a pris la pueulo-
Cejour la, le roi a fait remesteo Lroie
mille drachm ité des dames, c.
faveur des réfugiés cois,
(Gazeua da nirdr.) Lientaud,
l cri., 24 Jutci r
(Correspondance parlée fière.)
Je vous perlais hier des bruits d'em-
prunt a xquelu a dons a ssaneu la eo-
traite de M. froid et que tl l France a o0
pouvci, démentir, ,
Il parait quo avait dt à la Bourse
que le hlumteur reproduirait ee démenti ;
enta assertion ne 'est pas vérifiée at les
camelles vont lour train sur les in
dilications que Il. Bouhcr doit introduire
dans notre système fiuaneior.
On prétend entre autres choses, c'est le
11...«yer de l'aria qui le dit, quo M. Hou
lier apporterait tout uu plan de réforme
dans l'assiette de i'stpél : Allégenrot con-
sidérable dos [axes ii mubibères ont bo.-
contre'aeorganisationr:ouvelle des
laéres
axe 'res et c otre com.pè eo oua
taxes ,
n
is
da cs pl ire lo
Ludget
rançais
.nié
dans
la
lo plus profond
de fo
ses e -
trittades,
Nous .a pouvons, dit le Ilessuger, quo
répéter ce que nous a o.s dit. Si M. Meu-
lier a ateapLI d'allier à sa grande situation
pnlita e la directi des lioaace' brout ai.
sas, sil a consenti à d- notre chaooe-
lier de IEchiquior, D'est lao PLil"'-
ue l'en chargé clone grande idée, d'une
puissete cm.biuaison à faire prévaloir et
. Si l'Empereur 'avait eu besoin
que sd'Ila trésorier ou d'un administra.
tour, les hommes, aptes à c noir, eus.
ont été mena soues ,ai., sans
gdil elle
eu
u
b
besoin de re nrieà la capa-
cité et à l'autorité de sai premier ,aallèle
. Oui, certainement, il doity avoir a.
ombnmson sous roche Mais , à
s
s
a ni aufGt qu'en homme tel qua àl.
Ilouhm lut petto sen, n o m pou {ue,
heu d'être une cause d'échec pool le crédit
publie, eite dan imite au cont aire la garan-
tie do sou développement. .
Je don sas pas davantage , mais je di
s
volontiers .,ce lo ifreauyer de Pa-
rie: il do t lavoir ana combisaisa. sous
,.clic,
A propos de combinaisons financ ères,
j ai des nouvelles a nous damer du peojIL
d'aliénation des Laos du clergé itolleu'
Ce projet concentre an sein de la Cham-
bre des députés u opposition qni va
grodisoout tous lot jours et qui d s ce
m ont pelait être en mutuelle.
Lu contrat signé,,cira M. Scialoja et à1.
Langrand-0autoceau a peu de charme
d'être accepté par la ChamLro et il lied
guère mi ux accueilli dans las cens du
clergé italien.
Voici eo effet ce que disait l'lTrtiln Car-
telles lu Ih a .. Ains, le ont
et le f a`g`io ont e uclojot malien
titrai. Mas
ICgl,se! Liais
l'Cpisoopat t
Mais les ordres religieunt La cornant o`
Soialoja-Dumonceau est I u point de vue
omique et a lego
'rd du clergé, ee quo
fat au point de vue politique et à l'éGard
du Sa rit siège la convenons du 1 i septum
lire. En approuvant lo march(- Lasteond
Dumonccau, la clergé italien ratifierait for-
mellanent la loi d'ineaméealle... l.u (;a.
cette de France train que le clergé italien
n'ait déjà donné un pareil eonsententcut,
mais sas ointes, une ce point, sont sans
rondement.
bol I;niléa Ca[toliea ont,pvenue le ln sur
'Jt t 't Ii 1 démontrer
I t{ I t 1
ren
1.1 et do lép I f ,t l' t la
tenu, mois obtenu mati ne uourratt n s
l'obtenir,
lI. s par l'égl se et tpr les dépotés
It
ud Du,
y I I s In grelot Lan-
era
on J sIqu'l t et s
tt
biens plus q 4 -
le si ttèmc Iln d I1 Scmloja se r
L e s d I t éi It casa) ove
I i i r i' , Ba f f 4. è . p
let pauramen I p Oib d I
etdelCtot L dIma une II
is ponr Tlt le et ses hua1es sen res
lentuüon
Sur cor, jo rentra en France par vous
d re que l'ouverture de la session législa
bine aura lieu, s lon tonte apparue, d.
Il au Ih fév r. On
c
-
ent Précis r la l0 1 't
df
"" conditions d'ext 1 I
presse, déjà cependant on anuoce que
cafte loi sera très énergiqucinent eombal-
tue par le grcupe de oo.seeuatcurs ultra
dont dl. Grenier de Cassagnac est le cham-
pion énergique. Ces messieurs tiendraient
beaucoup à ce que la grosso rosiàt soumise
â la
juetioe
administrative. Par contre out
re qua les h6 (le tiers parti) déten-
dront aveeaèlr une loi qui réalise l'uu des
u
is dans leurs amc dements il,,
l'undernier. Avec l'appoint de la garena
et le gros de la ntajoritn, on arrivera sûra-
i nt à taire penser la loi qui dépluit fiant
à M. Grenier de Cuunegnae,
La I» Chambre du tribunal civil a
rend. nier s.. jugement dans ralraire
Dente contre Mli, Lebigrn Duquesne, fille
décidé ,lae la commission mpériale do
l'expusibio. universelle avant traité avec
M. Doutu, celui-ci a seul le droitde publier
un catalogue de ladite exposition.
Dans plusiaura localités, Ics boulangera
ayant élevé le prix du pain hors de pro-
portions avec le cours du blé, les maires
ont rétabli le système de la taxe officielle.
C'est très birr ;mais il y a mieux b faire
e'ens de e,'éee des borlangeries
nicipales, l'ondées soit à fonda de sous-
eriptimis ou par voie de sociétés coopé-
ratiecs.
Da comité plei;a pour "Expeuita,, in-
teenalioale i1'hoebiolturo au Champ-dc-
Mars pendant l'Exposition vint d'être
installe au miistèro do l'intérieur. Le
programme etles conditions du eoeours
aoranl prochainement distribués.
Pour extrait : A. Peton.
Les funérailles de hl. Victor Cousin, an-
cie. ,nnister de l'instruction p bl 1 ,
rombre de l':1cad(nuo Fraliç e { f -
r
""r"" do phdoaophmh las-
eulté des Lettres de lans, commandeurldo
l'Ordre de la Légion-d'Honneur, ont été
céléhrées aujour8mti à enxe heures, en l'é-
glise paroissiale do. SaistEtioone'du-
Mon6
La oeecuml o rit t I stes mortels
de àl. Victor Cousin, ' rrivé il y a trois
.Il. , tapette de re
L té déposé du.
de 1 Du,bonne,
teansformde e. ,]et g;lo oedente.
Uno aliluenue oonsulérable de person-
nages appartenant à (Institut, aux Facul-
tés, a lettres, aux arts, nx d ifécns
corps do I euseiguament public,; des mi
iatres, des lunottonnamas, J mombres
du Sénat et du Corpa-LLgislut f, etc., otu,.,
se p cssmnteut dans l'app, rlecte, o de l'tllus
Ira défu, trop ébeo t ponr cnmcn r tons
las nunibés qat a(tendatot da os la cour de
la Sorb...e l'heure do la céréin nie.
La lovée du corps a eu lieu à unc' leu-
res précisas, Le eeroeii a Sté transporté
tir le chu, fuoèbro magniliqueniont orné
et bradé d'argent; traité F,ara{uaile.[ e.
vaux, et le curtégo s'est dirigé vers l'é-
glisc Saint litienne-du-Mont par leboule-
ard Saint-éliehet et la rue Soufllot, dons
l'ordre suivant :
14 Le char, sur lequel était placé le costume
de membre de l'Institut ;
lies cordons ée puéle étaient tenus par
àlàl. àlufior, vice'cectcar de l'Académie
de Paris ;
Da Sacy, de l'Académie [cannaise;
De Parieu, 'iel-président du Conseil
d'État, membre do l'Académie des Sciences
mrades et pnlaiquea ;
Pafin, doyen de lu Faculté dos Lettres
deParis ;
'ritiers, ancien ministre des airs ires étrau-
gères, membre de l'Académie Françoise,
député do la Saine ;
Comte Duru, ancic poil de Fruste,
ambre libre de I Académie dos Sciences
tirorales et politiques.
Von en e.satte:
Le porteur do l'Ordre de commandeur
de la Légiou-d'iloooeur, seul insigne i{ui,
d'aprbs la vclon45 du défont, aH liguré à
sait wnvo, ;
Les exécuteurs testamentair ' MI M
grief, membre du l'.4cadémt. ! c ,
Barth(lemy Sa t Ill mb,e de 1A.
adém,cdcoSc 'I etpolmquas;
Ft Gnyn, notaire, ea
sien énl lo deuil,
61.Duruy, niais `de l'iii t pu
bhq.e aeaam] do M, c 1 n
isba de l' t bu, puLliyuu ei do
Il. de tinter, uoee.ptéstdant du Sénat, pre-
mier président de m Cour des comptes ;
Une députas d I1 4 4 t ;
1.a faculté ul L u tl l r s en .'rps;
Une eulation de la l' lié de Uro t ;
lino députation de m ineulté de Méde
m
Une députation de la Faculté des Scie
ea
Uim députallou de l'Ecola superieurc do
Phurmacia.
Toutes ces députations et les .,ombres
de la lracult5 purLaicnt le costuma ofii-
cicl,
'Fous les peoressems de philosophie des
lycées de Paris, eu costume ;
Des délauhomens d'élèves appartenant
]lrëls t,mx étolmI nncmats d'ensei
g t Public, te.
Le corli10 ,mpasmt c, outre des
provisams, profeasems n enuplnyés clos'
lyeues, des clefs d'institution, des ,lireo-
senne, présidents ont mmobres dos cures
saAu
milieu de acte fm.neose assmbance
r uà111,
la maréchal Iaullant, sénateur,a.-
nisLro, nibre de t lrustiut; I.e-
Iru natr,lr ; lee,ngénéral
chi,ngarnier;
Glzdstoue, aoclen clance'lier de l'l:e;hignier
1 4 gl terra, and d 1 fuit, cvso
g l l'Acad J S tenus o,alps et
politiques; pumas, sénateur, , mitre de
[l Lt u Uu unc, a i e, L d
4 . i l lies, n emlro d l I u
ami. s. ,,.a .. ... ,,. .. ,. ,.. 1.1
prince de Dee llie, Nlsse 1, Cuvillier-Flcnry,
Dnfanrc, le due 1 N ll is, Pr ` P'
1111 3 l de 1,b 1 1
S L I rit 1] l k
lu a
1, j t H dE 1 1
RI t d lied. IsS o
t p fb I 11 I, loull'b,
tall,
13 l 11 I Il l ] d l 1 o d
i S lloll tl N] t l
I 1 I l ( f ll }
ti li le d l It t li ll
L tl s, Balte, B'Làbonnc, eeen , ebe
etc
I.e cher et 1, cor tégo entier étaient es-
urié loir n détaehen,c.L du 1J- balai)
Ion de la çardc aatiuaala, a iaedu' par
M. Lemaue, m unbre de 1 l.atilut, et deux
capl Lames.
L'i_lis Se Sa,nl CWenncdu Muu` était
enLiérement d,apée de noir; le joL6 Liait
ve tsd'une grande tenture de drap
brodée d'uegens.
Le catafalque SLait magningeement dé-
ocré.
pouvait à peine se tenir
dons l'enceinte de l'église,
I.a grand'messo a été célébrée par l'abbé
Local., vicaire,
M. Moral, évêque de Sera, doyen de
la Fouille de Tnéologie, a donné l'ob-
so te.
Après la oérém.rim le convoi s'est dirigé
rs le cimetière do fêle La Chaise.
vent le boulevard Saint.Michel
,,
les
cs de [Club, Saiul-Antoine et de la Hu-
queue.
Ms i illourieq d,,Sacye de Parieu et
Patin del'prononcer des disooars sur
la
tombebe
de l'éminent défunt
P. David.
- Un décret du 17 janvier poet, :
. Art. L'DEuvre fonde, à Gueb-
vciller (Danblthin), none la dénomination
de Diblianc,que et c rs populaires de
Gs'ternler. est déclarée établissement d'u-
tilité publique.
x Sont approuvés les statuts de l'OEvro
tels qui ils .sont anrexéa eu présent décret.
e Art. 2. La Société de l'OEvrc de la
bibliothèque et des cours populaires de
Gueb,viLLar, nec noue eom o étoblisse-
ent d'utilité publique par l'article préoé-
dot, est autorisée à aceapler, auz ohuegos,
clauses et cooditioss imposées, la donati..
fuite à cette rouvre ar le sieur Jean-Jac-
q ues pourrait et ladama Anna-Elise
da 55
a?gor, , son épouse, suivant acte notarié
de ,0 al 1866.
. Art. 5. Le cota té de direction sera
tenu de transmettre, au commercenlent d.
chaque lunée, au ml istèro de l'ageicul-
fere, de commerce et des travaux publies,
extrait de l'état da situation do
,ce, arrêté a` 51 décembre précédent.
Le dtuniiear contient uucerapport à
I Empereur sur diverses modifLions dans
les services maritimes.
Ou II t dan le Journal dt D bats
il {:11 t. {. t
I
s
t I P é' d. t
I 1 t Lêt t. par le Cau-
Nt I
t
1 t
uI
lo q
e
oter. par le
1 1 l L l l ée par toux
i I L 1 n oquce. D'un aune
,
la I.0,sl.., e de I i Viigi uo,qui ,m bit
lié
teillé 1'anndnianL colutibutionmel, va le
d
ennuvnau
roi c,msiulératior, s'il
fort en croire ut , autre déry?cLe purlma
la miauc Mate et de la mémesourcu.
Il .u,rnblcrait dam; quo Ira tir rus de Piési
Jen eut ses uilvices.,ires sont ,eetsi,se l'ai,
do nuduelleu conaessione. S'il an est ainsi,
..etoeiie iii i «lent n it;,û l
Attendons cependant dois rcmaei mots
plus nunibruIl et plus
u,rLai.....
e
P. David.
On lit dans IcCourrioe dos jtads-Oflin
du :i 'a mien :
pro. v ion de l:, havane, nous avons
des n ,voiles directes de Mesieo x,117
déceunbee, et de Ocea-Crux du Y0. Voici
le tenue du moil'csto du i cistre des
l'flai,u étrangères du l'empereur Muxinti-
lieu, dort le Idécrapbe uuus avait trans-
es résu,tié bics n noniplut :
M(màlère des ef/anses dtranferer.
Mosica, le 10 déeembro 1866,
. On accent le ti,lne du Mexique,
S. M.
l'emperepteur
Maxin,ilio ira voulut le
l ; I t , 1 l 1 L
'f I cru 1 u. 1 {
L t I
L le
tr Il { L
1
lt
t inudal { l'ai d {y t
J è' d
}tl 1, 1 }l' l I
I duw,.;
I la i t1 { sali pour le trotte, Il t
U I f 1 1 t d l 4 t
tendu
d tl è tt
C .111 f 1{ 1 Ils
un, .boité, n lassant albanc, pour
I {t L I
1 I
.art
L d. 1 I I .
Il, 1
rs Indu I 1 f ,pciu 1 ssidi tics.
Ee même romps, d'une part, Ics of-
ferts du Gouvernemon` pour lever l'armée
nalionolo renconti'aieu, de gronda .bste-
oies tés de circonstances particulières ; do
l'autre, les ressources obtenues étaient
orsumées par les allaires militaires et le
I;auventemmri se vol ait obligé de eooou.
rie à il'onéee000v combinaisons de crédit à
l'SLrearll, qui upmentalont las lourdes
ohlig.tious du Trésor. Dans rat,état de
ors s on relut avis que S. M, l'empareant,
Napoli al ne pouvait, pour des ra
politiques, eo`tinunr à prétcr ', l'en,p re
Iappoi de troupes et dutgonf, et que ies
troupes h'anraises se reLircraicut avart le
temps fixé dans les traités ; à cet elle`,
cites emme.cèeent auss-ittt ion ae c nte
filer. Cote cunoanration entraînait
cteiomme
`
,le
uv n lévacuation de velus ef e.
oit,i
villages à
la
la défense desquels la Gumerr.
nimion, "'
suite du manqueo totalido iiforces
lion, pa,
a
ars a an disposeinn. La plupart des points
bandonnés Jerent occupés par las dissi-
dents, et, dans t ambre de cas aussi, par
des bondes do maliaitc..a.
L t J s alliées, s
L I i t { l ts qucllao ne-
p t cxel einc,t ; It u uvella do
li ue 1 ro.,hLi. d.paet du puys; l'avis que
celui-cl ne culait plus secouru parla Finale
cent ont .aie,,i smi+nl la c ee des
dissidents, et ,l , .uéeent da5Lant celui
des anus cI ies défoseure g,u dr.o.
c 't i l
Irit ion dévc-
.,nls, i.a st let bisas lefcosatdanséla-
q I d . ,t les populations cf a le
f
p'e an-e, butin da tordue
de choses actuel, par la coniietian qu Is
t{ I s à eumbalnro 1 faciles
f L
lu
.les Ifntu -t
la jnera unit , arqua sa trac ge
I
nss.ntiwd, 0e, , e,
la I,neenue ti
la destruction
des
des
Iuit
ges. 1u la lieu de
cette se latatmai t binplo,4ait l'a4Li
mdr dos Cs I1 L 1. entrames à
la fer,na monarchique et à ne Irtenen
`en européenne; o. faisait savoir à S. M.
l'Empereur que des négociations Staffent
oLamces entre lu gouvernement français
e4 calai des Etuts-[mis pot, assrr une
médiation frenca-an,éricmne, Oumoyen
de laquelle on sa promettait de mettre uu
banni" à la guerre civile qni a décelé le
pays; on cloutait que, pourr atteindre ce
bat, on considérait comma rdispetsable
quo le nerieurent établi us cette
6diafiou eûtla farine républiaaiue et
l'esprit libéral.
. Les espérances da Gouvernemaot,
basées en partie sur une ferme et sincère
alliance avec la France pour consolider
l'ordre de choses remet, se voyaient ainsi
frustrées. Loin d'avoir achevé la pacifica-
tion, on avait prolongé la guerre civile; Ics
populations sans défense sa trouvaient à la
arc des dissidents, le sang des Mexicains
seeépandait sans fruit, las dépenses mili-
taires avaient épuisé toutes' les ressources;
leu nébaciatios qua l'on disait entamées
pour une médiation franco-américaine pre.
ient pour base une condition ineompasi
blé avec l'existence de l'empire et l'inté-
grité d. territoire national.
. Après avoir examiné avec une atten-
tion impartial. la Gravité d'une situation
e traordinanc, S. M, l'empereur crut de
s.. devalr de rendre à la nation le pan.
air que celle-ci lui avait conféré, puis-
que la combinaison projetée peur roil-
dre la paix au Mexique excluait m
orchis, Ne voulant par Btre ou cls-
Luoln à la 'éalisalion de cette m
e bnégation plus grande eic
quocelle dont il avait lait preuve en ac-
ceplent le boire, il peusa à le qudter, eu
faisant ce sacrtuce sur I Itutel de la patrie,
Ne voulant pas cependant agio, dans une
alloue d unc si veste mrporm.ca , ,eus
l'avis de son Conseil des ministres et de
on Conseil d'État, il Ics convoqua dans
la ville d'Urisna, oû il se trouve depuis
ill
il voûtait à l'exaileno de ecaodoux scops
toutes les grilles dqr t p s
c-dessus; fousd d d. t q
abdication, dans I aonstances p,eseu
tas, loti de mettra un terme maux
que l'un d(plormt, avait mfaillmblement
lin eatuo totale du pays, ce q.' 1ll a t
pour eonséuenees lu porte de 'in d ,,port-
danse et deqla natmnahté, la ,l truetiou
amplctc de notre race.
Uans le c.nsulmLioo, on fit aLSan er
sauvera n que le rosponsabilibé du sang
a
rctomh.i a ,L cxduaillaient sur ceux
dontl'nbstinatimt prolongerait u e lutte
dans Isquelle on ,emballait pour soutenir
Ion mtérels da la sociém et, avec les luté-
rela, l'exismuee de la nation; qu ponr dé-
fondre des irtérdts si chars, endevait ax-
ploiter toutes les ressources du pays, or.
ganiser l'armée mexicaine d'une manière
indépendante, réduire les ex urbitantes
dépensas militaires que l'on a faites jus-
quiui, déployer colin les ell'orls suprêmes
que le il,unir enta pour le salut de la pa-
trio, Bans se laissce déleurmc de l'adop-
tion des nesures quo réclame 1. défense
naturelle, par les considérations de la po-
litique extérieure, relativement à la ferate
de gueserremcrt que la nation seule doit
elélerminer. A rè celle déclaration de ces
sils, le souverain voulut encore enfeu.
ru loue u ,mien sur la sIlutian ,nabi ue
a
dos dilférmifes questions vitnlos de poliiti-
u ne et d'admitistiabo, pour qne le useri-
lice auquel il se résignait en conservant la
pouvoir feu fructueux et susceptible de
produira lu résultat désiré.
i ent r t pro-
Pari rluestioi s fin'
u lige h, ante, : cation
fYun Cmlgrw mileel, sur lu buse la plue
lihérule, auquel prendront part Ions les
citoyens iIi tous lus partis et de Louées les
aidons polidynes, peur déclarer ai l'eeo.
pire. doit ronbinucr, atd6oidce quelle terme
I S e t t 1{ t ;
I I 1 .t flot f I'
Il,
ll I L {It ld[
L `lIll II 1 1I t
c l p 1 t i. If
t 1 I 1 û I d I t
I I{ i npo utays
L 1 I i 1 d. I
'lant, ., l "L 1 1 1
I L t'ens ,' } L: d
moue
i,o,rno 'i
b L I , lo cotise I ll u l --
citât peut de les ex.r amer et de pi opuset lu
l hocon
1 S 1 I I 1, ',I
S àf l t I L le p oil
u qte la luit ,lao ae iferc.Lllcvnc-
opcdc. puursu re a, ec cuuruge ef ect -
tarcu l'muvrc de régbnéraliuu a laquelle
elle s'ose ennsal ,écu
P,ur taire courait . à lâ nation s
décision de convoquer un Congrès nationnla
S. M. l'Empereur lui a adressé ces jours
dcr
c
es le niinifcste quo votre Exccllenuo
rada.s lu Diariu dal b.perio de aco-
cer t. 11'autrc part, il a éu'1l signé quelques
ro des lois les I la, urgentes 1, proe-
erdes ressources eu Trésor, et denté tous
les ordres c...onables peur organiser la
corp,,
de l'armé,, d'une n an i Ié ,
.ce
doute. Ces corps, aides pari s ennes
françaises sur los lignes que
colles'0ti
1 o ce-
pero.t perdant lo Lumps qu'allas ont entes-
rerà ] aspaeitcuLiun
.a adésiréie par tous les
,Il r
Mexicains honorables.
S. M. l'Empereur a reç ce
u s jours-ci,
de S. E- M. te maréchal l;ondine, cun-
formémont aux ordres ,le sen
les a serai as les plus explcites gdt'l
r
contribuera a la corsolidrtiau de l'ordre
et de, 1
.
de Sa Ma
râ l sLéLeront
is,ob u n les brole, nu. ,
c o' fiian-
sur 1u tcrritniI. naiio-
Loi,
e Jai Plia euà ; 1, cor An quel tout
ce qui prétede Vo 'a
x,ucellelen
par
ordre de naira auguste sauvo*uie, afin et-,
ta le pornea à la connu ssauee du ,ou
meut auprès duquel vous ésCe ace cé-
di4é. Vou et,. autorisé à do, ter lecture
de cette Note au raimava des
es
étrangères, et à lui an laisser cop c sit le
des ru-
Le sous secféLm,e des'I'm", être
h:la N. mu ilion , .
L'Empereur Maximilien, lo 10 dé-
enibro, était à Chalela, eu noria pour
J oubaya. .
L- G7 be d 1 d . { bl I do-
pé I
vante ale Mex lv o date du s
'chant :
1) I . I lift 11j a
''LLeP p 11'I tl>le, Ilo
Sa lu' 1 litant J
dat u
oc t de \leziou ,1 L,sieue avec
a guerre
IL,
arides sc
acharnsr-nient. Orliiga a de cambrants J,ar-
tisun duos Ics pro n s du Nord.
Les riciné lea\I eiteeeey st, pro
no'ACnt poul
.1
pcrcurr 3Coti
i'liml.
p
r l:iiiteétc. du
u
l ,'urilignc
lesta
tin cals
ts le Continrnmd at le Pararna,
pa ee ,lue leur propriétaire b;nait loue
n00sstmt du g.uvcrnan,ent imporml.
Peirat,
- L'Académie français, 'rat réunie,
comice elle le lait chaque jeudi, mais elle
média`ement levé la séance par dél'é-
rénoe pour la mémoire de M. Cousin. Ou
r Droit pas u l'Académie praeorle u
emplacement$u défunt avant Ics dertims
jours du mois afavril, 1,'élention pour la
o placement de M. de Baratte est r
volée à la n étes date, et les der. scru-
Li..s purot lieu le mêmajaur.
- Ou annonce de Munich le mariage die
ol I.oul.s Il ils Bavière m'ec sa euosiutc,
Sophia-CharluSLe, fille do Maximilien, u
en Brviérc,
A.a prirceaso Sep à -Charlotte esl saur
le l'impératrice d'Artricbe.
- O. écrit de Varsovie à la Gonelle
de Dresdan que, parmi les divers services
que m Bossue vent d'organiser dans le
royaumeas dees Pologner, à la suite des
mers
uk, on a pis soin de cr'
i
direction spéciale pour le transport des
prisonniers politiques. 'f'ort il est vrai
gdon suppose à Saint-Pétersbourg que
cette branche de
l'administrationmoscovllil
dent pas près de s'éteindre.
(P t ) J. P I
La ll 1 Paris ,hacha t d'poil
quelurye temps uu cnreprencur qui n -
1111 sc oLargcr ile lire channe Jour, pan
dans l'Evpos.n,quatio cent mille dlion,
à bon marché. 0n ne trouvait personne. Il
otoî
pataina,t gnmi t , il I J _ iii
aurait i
{ tl rpita;,cctil trmsplat,
a.
p J iEu( f, ainsi uts
ac 1 td I d fer :
l' H
t j s
"' en"
s
t d ,s un nu t-
qi 1 f t l S 1 nlu,Ofa)I-
t 1 . rit ait l'en
L le t i ' 'l' é 1u titi.,
lu Il .
-I1.1 ,Il 111-Il
iIl reb.nfs est si net
ait ,
''L j l 1. I I .r
1 lac
S
t
l
ué sa
L t L [l nallicu I tir le I off es ,
ait lé,
eI , i p la Campagnie de l Esl , qui.
..lrprubl:ihlonont , wutl,oursor leu
,
leu ,
1S,m. à État.
- 0. écrit de Clermont-Ferrand, ]e 22
janvier :
Nous appmnes que M. MSga, maure,
a réuni cor matin dans sen cabinet un grand
nombre de bonlargars de ocra villa, et
exint
qu'après leur avoir manifesté son étarme.
i
exista
ment de la dlll'érence énorme qui
outre
la taxe officieuse et les prix mainte-
"" par eux, dill'érence qui varia de 1 à
0 ucnunes par kilogramme, il les a préve-
la nécessité de
nue ddil s verrait dans
Prendre
dees
mesures pour tre cesser ode
s tuebon prdjediciabin
auax
intérêts do
o ncitmeuueu
. Ces
sures sot de trois natures
dill'érenles : la le retoue à la taxe; 2v
l'affiche et la publication des noms des
boulangers vadaut au-dessus de la taxe
officieuse ; Sla création de boulangeries
communales fondées soit à l'aida de sons-
criptioos, soit par la création d'une Société
coopéra, a. ll les a prendre
es Ics mesures mcessai,. pour
x-nldm
apporter des modilicatitus à l'état de choses
actuel si regrettable.
. Les boulangers, nous sommes heu-
ux do le dire, out compris cette situation
si tans souri s bleu informé, nous
lit
ris l'espoir qu'ils ont promptement
r uper des moyens de remédier au mal
qui leur e élé signalé..
(léestbenr du Puy-de-Ddpt N
Variétés.
INGDES.
(fuit, ont 6, )
i)a.a celle rapide .ubac, ob je dais men
borner à indiquer les titres 8ingros à l'ad-
iration, il m est impassible de maeeétar
aux ombrais tableaux do genre qu'il lit
alors, et qui sont eomaryuabies soit pse
l'exécution, unit par une rechercha aruhm-
o véeot5 listarlquo q0,1 fut d'antanc
yue u. pou
-utiles.
etpu5rilo peul.être
plus remarquer que par ce ciué Ingres est
nodcrne, la me boeserm donc à signaler
parmi les principaux: Praeçeise de If -
( 1 1 r n et l 7 t net d d .lin
11.11, Quant, l Lpee dlleni i' ll Pàilippe
d,
F et L'ereiclc, Rapheul os la Ueesueine,
dan Pelea rie 7'elède le duc d'.111e llenri
1V jonaril .-C ses ce fans, Plantule I'' ont
f r d d P(n,. hi l e et ,1 (l gae, da
J it Od lisquç
fi
- le Chapa i a(ino.
Ce dernier tableau, qu'ingree a répété ru
le variant, .st un citeGd'muvre, C'est ait
portrait, et douant la n tare l'artiste était
tir sa. terrain. L. coulent, gdingres .p-
pelait . l'idô1o ., est admirable. il e sacri-
le une lois à la divinité malfaisante, et
u garderons de la lut tepen
il"' non
lNI;,s ne d ons pas oubler do mapb elle
'd. d it ln,res lit u.é d
lira .eu seulement a Home, mais pondent
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

'
toute sa carrière, - portraits à la mine de
pi
.nos 1
L colline, ét d. d p
4 Ir, de tic
naterc
eonteatablos
vans de la pastel ité. Iw It n'y e pue
f lie d possible. Je daine pas
Ihye
.ritc est lo mail
1 le tya er q I
1` 1 ,ge { j I .sa r mdreà un
setsto de cr talent; mais u n'hésne pas a
di . que quelques unsns de nos dessins sont
des elra-sdmuvre da tout' l'acception
du u ou, et eomparubles' a tout ou que les
Iù t1 os ont prolo t de plu pal I`i t. Seul
d'aune la mitera, ingres oublie ilapha,51 a4
l'hidus. sans le ruppmt de le e igncnr, de
Indu, de la précis on et du de
l'aucun tin, de l'ardeur de l' np je
ne ssoin pas môme s'ils ne sont pas sapé -
1 tout ça que on
NoDeart moderne a certaines qualitiés que
'sait pas ]'art ancien. C'est dans
Jsel'usine gnIngras a mis tout son savon
nt toues laie. 11 disait, se étendant,
est v roi, 'anl'acception
du mot Le desil
sol u'estla probité.
C t attestes ouvrages, ces des.
{
1
201
1hui, û
dos plomb, qu fa t
t qan l'on s a r lie an
f a nul il t o partie lent
a In «r, ba ,_il Crlm,res
l, 0 é 181 t it rencontre
f d l d Ileation, de
. 1
t
i
't
I. baogo Lion Lest elle qui
t `t ciel a,4 dans ses moments
{ lieu 1 t. 3 1EeonragemenG, et, ou ]'.et
Il,
l' 1 désespoir. Le fortune le
t niai contre l'artiste a belle a.
Q elquole s le pain maoq tait; c'est à la
leu e. lugera refusait les prapaenioos les
r t os Pluté5 que de renoncer
il I
l es but Se fainmr accepta
tout et fmbht panne ,anlune, et, en
par lant d !I'.'gres,
en oe dot pas ouilier le
en, xcellente qui l'a aidé 'a travcr-
}'ri l naavais,jonrs.
le En 182 I re profondément décno-
i p i t I' t'eaver ét:. Les o pins elk, on
1 'I t ea ni, do f'Sen éG iront da plus en
s Se_
lé arués; mais libd 1là rrm
I nio as mentpait
d'abàrem
{ I - t ..t g0 d lvait ui a d'abord té
e. parcouru les journaux du
touille. Les 'ai app é eil 4 d.passent en
i justice et re tninlell genre toue es qu'on
plut imaginer, et les artistes étaiestà l'e-
,n des ceitigert de profession. Ingre
t ait très saosible à attaques,
qui n étira dmont pourtant itas
1 j tI t ditbs , il y av tt mu pi itre
et tt o ttuée; mais elles
le me li nt s de lui. Mons soadr)oos
le iloisir
de le suivre da plus prés
pondant cette période douloureuse de sa
e. ltndiés sommaire4nent, son caractère
et sen tarant sont indefioisssbles. C'est en
I eotûi. Son talent parait simple, parle
go il est dominé de très haut par o trait
sullluut, par no guinde idée; mais duos
les détails, il écbopp à tract instant, il est
plein du n s, de contradictions et
d'imprévu. Res caractère si entier, si ferai
haro quo cet t.et de mémo. Avec
'et t I t l Ccqui se raidit contre li
d t 1 57 à l Iqg
ns s'ait
`I 11 II d p t e i
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d t d'en'
suwn, de., inlès de flous
oui, nallocla
fouuna .,e.
g elle' colères su novaient dans
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se Rut de larmes.
q t l t ,c 1 c l 1 le
111 erg rageas fitgnal l t e
.4 t I1; I
lui
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rit I bl Clearles P ( nt a calta ginoocu, es l a 1 s t 0il yu
e c àl ares, une no tante dala chapelle ne Iw a pas épurgn(.v. Je c iv s fu'on
Surin, Ct le lien de /In, Clff. 11 Ira- y rumarquu don erreurs de fi, ci et
I.OUPAGNIE. l l llltI LISC
laie s rt ANi)NY311.
i or 1Paris.
A I - - ' t e
b ul. ilt 6 `tr
lent HSA> E TOF La1 SE
LO , rue 11.1 et ,
Ferre ( e
l'R masii1. TES
nos ou
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lalaslla%Frh', eh. soi
e i oalean pour rai btain,
l frac .
Pastilles digeslj 'es
de O'Is Iiy,
fonte de 000 me,. ü fr.
Surie d'orme,
.nboite,:s Or. 01)5) mr.l
'f ,,,e Ic.e 1. t' I?(atli..
tl. rmnt dn Viles 5' a
acue [a e (tnrna et
CONTFOI,F Dl1 L'ÉTAT.
0990C'ES-EXPllESSIFS, PIANOS
Al o'
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( C. 1 u 1 t ,x 9 ,
sua, 61010 , er tau 120
I) I, 5,x000, il PW
1] I . 2,2W f rl f , 00'
roi I P, RICHARD e t 1.011 EI., ce-
I I L I I la 11l:,Ime, i
AI sic p0c al
I
N, ,r las pris. Cl a l ps , 8U (Eni
Voéar i^,la (fris-aouranle.)
vaille plus de trois ans à en dernier euvragr.
fl avait eu usquelà tant de mEomptes,
qu'il lion espérait pas grand'
chose, San camarade d'atelier, N. Delé
cluze, passant par Florenoe, le trouva très
abattu il le remonta, loua, en c paie.
ue qd était, le tableau ébauché, oiengagea
vivement à le terminer et à l'envoyer
ee prochain Salon. ingres nuisit so Icul
sil, et le tableau lot exposé onn98R4.
liais il cempl,1 si peu sui un succès gril
vint sein à l'ans, n'a ours 4{dvn porta'
Le tableau fit une vive sensation. Le public
resta assez Indilléront; mal 1 c
cas et les amateurs errent part La.avre
auyelle ne fat Pas acclamée, tant s'en
faut. Mais si les anal'e critiquèrent vertuneqt,
las autres l'admirèrent hautemi
rageas était sorti de l'obscurité. Il lut décaré
àla suite de I Eapesilion, os, btentét
après, If il remplaça Denon a l'Institut.
vint établ Pacis. Il
t t als
d' 't t l f 1 1 y td L t
It I1 t lE 1 f tt dtd 1
t e r t efforts. C'est ou troc I, 11
danlt
,i uP t 7' le 9824
tt1Si { Lfc t ai, 11 del
Ap[hd tH L S ne
ilu lP r td Il Drt
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r Jtl E1 pp t t1 1t6.
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loulo fiel I, [ d Il l'on il
cul si
q I critique t 1
1 in t' P dans i-'d l I
1 f ` t l L t I It ,hala,
de peindre. le plafond d l'an, dos salles
d d CI l 'C II' { éoccupa pot
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Sàulres,erà M. liST sWfes Leu n-Napoléon, I., et
s 1I. CANUELSI, r000 Temponnidees, 10, taus dons syndics do
l'
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EAU 3- EXTRAIT
ÉCARLATE ECARLATE
SPICIME An1 OflAPS eESrINe ANA SmENIESUFW
O[ tDUTES nnaN C69 c Ions lis i IBaS,cAtlrs.
LE FLAGap I Ye. IaCON
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F.^ M"DI S.11 01 et°,"'PATATI; OAJSUSIAAF.
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POITRINE
Rl t I 't 1 1 'q Fncl,ler
celo, he . eeti vtol Aep rte[
e rial 4 t v n , I . ]'lai dus I I .t 'al anglais
r. f . l' b t c. li I 1"l t lit]A1Nl ICIL CENTRALE i ao
,inn-Pwaalém,, ',, é'Poooloesc.
,lira I
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nnw.- l',\'Cli l'EC'r01011.1? 5111,1AAIIQI I. .11 mo,un
s c
NTE de COKE
Ancienne Maison SOL.
CiLes
liagasins sont transférés rue au Ruai, :. aux d u
-"-P aux rours^eao COKE, ers 1 heclolllre, 1 le 10,
rends à domlmle, par 10 hectolitres su monts , 1 le. 90,
de dessin qui étonnant chez nu dcssine-
Son de l' t td dL - t
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que l'on t liens b' d'nulles de sc
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t000 plilereaq
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ianteau pour Legage, yut laissant
re sa femme et tout son atelier.
,cage qui court , à lu t
nG , I os I 1
ait 'il, la liis
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Le portrait de ;M. Harem est coin{
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quia été oxposéan boulevard des Italiens;
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LIMPERIALE D ardetîï'assoi
compagnie, ayme a ASSUra,,Ces sur la vie. lce L,elll éd la rail 61,é II sent 1 h gripp . l als® las
RESTES à1AGIRFS. Capital anal ..... x.000.0(10f Ir,q 1 ll a die gorge a lao P%
face ce 11 L C IE,9 Art5-
/0.400.000 t.VEilarch6-6t-Ilavori, et Mica toue loepaarmnciene raja Vramo e4 dal fitrengor. _ -
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ImmcublesdansParis Ierit tl d la D itrino, OP vOeee UBtNAeBES
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ASSURANCES, seihrZu àpl
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ta1 u.11"II ul'ut ,tl u diuv. 10uluu I IW ut.
ration de l'héritage). 1,:loiVl0 ' r0 0, ' ï^ INN'E- ar,osera 00, liltL(à'I}F'p} VI1 1 Cul',1 I t,', 1
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Ilaab, r II ee lui 1,. s tie.:ui i. eeeld+,I
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t l'r. e4tu a0,:ecc al 10, Ir '.i fo ie4 ,.c.,
Il,n
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M Lti " , le, Alin
rie l',n coi, loi
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In. quntrc uns, suint troc lcnr,
5,1.0 : dou1,1, ce'ellokir,
niloalla, eudu,. r gai ail ,ooa.On ee-
b cher. 5111, HOI7SSL'AQnij 11 bL1:T, rue Fayard, à Toulouse'
E TAPIOCA DE GROULT JNr
EST L'OLIE'1 11: N11111110;I;SLS I'. 1)0111vT,`u,011',
SSrlnatnae.
Exiger 1.
liépét d ta.a Il, l
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CONSTIPATION DtTIIUITC .Ir rées°rloen
per les RONUON' II111,11d11SSA'Le DU\RÇAD L 1
Plos,u 0. Il,.1 1'c, r. fart t,onx II
u Cil' 45e'sl, ,P, ..ieru .e dus sb,b ,ail.. Ode
L cb,leltl visa Eo iere notre cnel a e SUVI( YAO
i chaque tint e. D,,ét aToulouse, chat 11 VIDAL'AMIl 41IE, 010
glas, du Cepllolc.
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BOIS A BRILLER.
B 00 1 g0aldc, 23 fr,
Divers immeubles
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lois, 100, de 1
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]clou d'0dwsa, 121{121, Ionnc ea' février, ù
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Ih ,eloucs vanta, col été fartas h 40 00 il. les
500 sil s.
a.s.
P".edep0tillo,a h 111.
Ltt { é, ail. 11 W Il. à
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àl 11,0 à130.
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Pi. 15 'OaLut.
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lté1 ueallon de cet aluuoutO
Cacaos de Nr 1 t l " . n
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pont, toocs
raglacL
dol, u V s'Il N ,1 u NIV-
urs hydrt:lgl;s et n
d', f -o do 200 't +nx, tri
I d6 I.d 1 b y. de
POI, 1:1 t Le , t t 1 t.
daa, les Ilc-p s'
At où 1es M hotsds et
tri, . f p 8 1 soin,
I I, hcout est
caf d I kl d ah'.
CI de Sec ou t1 '1 s ateliers
d'edlners clos Pe IlMiuer1, irslum
I d Il 1 Olé ers, hum
4 r. }é (roi,' des
o et à leur torcol e , I royag`
et ua pas edo pliage des
lahlettea oi a Ii n chaque
jour, de 8 a 10,000 k 1 i
Comme le t en,
po q le C àl 't '{ é
dans dos coud rois ze , fnn lies 01000 Il
permettent d'offrir aa consomauteur, à I
peiz modéré , un Plantait esralbsa que
personne ne peut faire meilleur.
Par ocellé pré%ctm n1 du -1 m ,
TIRAGE
1 lot de
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5 lute de 9011, 1 907 20,000 G.
15 boss de 100, 1 500
Le billet 21
t m
Crue lot , caillant an eue ésaeié an
Pour mas ran gtements, s'adresser
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IPA6E 1 E MILI]
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chez .9 N DuYPRCU.
SALLE, DES ILEUSTRES
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