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Dossier Dossier de de Presse<br />
Presse
Résumé<br />
Tocante<br />
Un Cadeau Empoisonné<br />
Théâtre Solo<br />
Comédie suicidaire, Humour Noir<br />
Tout Public<br />
Durée : 1h15<br />
Hier, je suis allé chercher mes parents à l'aéroport... dans un sac.<br />
Deux urnes. Des cendres.<br />
Vous allez rire : il y a pire.<br />
Avant de se supprimer, ils m’ont légué une machine à suicide.<br />
Une montre.<br />
Avec un mécanisme spécial qui, si je le déclenche, enfoncera une<br />
aiguille empoisonnée dans mes veines.<br />
Ma mère a sans doute voulu se venger du collier de nouilles vert et<br />
rose qu’on m’a forcé à lui faire quand j’étais en centre aéré...<br />
Oscar Némo,<br />
personnage principal de Tocante – Un Cadeau Empoisonné.<br />
Contact : Christophe Lafon<br />
06.61.99.66.61<br />
tocante-compagnie@orange.fr
La montre à quatre aiguilles et le bulot qui tue<br />
(Suicide watch)<br />
Une Critique Critique Empoisonnée<br />
Tocante<br />
"Sweet dreams are made of this<br />
Who am I to disagree<br />
I travel the world and the seven s eas<br />
Everobody's looking for s omethi ng"<br />
Eurythmics - Sweet Dreams (Are Made Of This)<br />
On ne le dira jamais assez : il faut se défier des aiguilles des montres, oignons, horloges, pendules, cartels,<br />
coucous suisses et autres carillons. Leur rotation impavide mesure le cours inexorable de ce temps qui flingue,<br />
bute, zigouille toute chose, le vicieux, seconde par seconde. Elles cachent parfois une autre sorte d'aiguille,<br />
à l'effet tout aussi certain et plus rapide encore. Mais ce mouvement circulaire et létal ne recèle-t-il<br />
pas le secret du bonheur ? Telle est en tout cas la leçon de "Tocante, un cadeau empoisonné", création<br />
pour le moins piquante que propose le théâtre de Poche jusqu'à la fin de la semaine prochaine.<br />
"Je viens d'enterrer mes parents, c'est pas la mort."<br />
Il a l'air bien gentil, Oscar, avec son nom de statuette cinématographique, sa coiffure droite, ses lunettes,<br />
se s dehors de jeune homme propre sur lui. Et poli avec ça, sachant par coeur toute les formules canoniques<br />
qui marquent l'intérêt attendu pour la vie quelconque de son prochain et mettent du douillet dans les<br />
relations sociales.<br />
L'ennui, c'est qu'Oscar n'est pas Oscar, mais le reflet de ce jeune homme qui fait tout pour paraître normal<br />
en regardant son image l'étudier. Pour comble de bonheur, il vient de prendre livraison des cendres de ses<br />
parents. A l'aéroport. Dans deux urnes aux formes de shakers géants. Foutus parents, partis aux Philippines<br />
se suicider au venin de cône purpurescent (conus geographus, Linné 1758), alors qu'ils n'étaient ni malheureux,<br />
ni malades en phase terminale. Et qui n'ont rien trouvé de mieux qu'offrir à leur fils, en guise de<br />
cadeau d'adieu, l'instrument de leur mort reproduit à l'identique, aiguille surnuméraire et poison compris :<br />
une montre.<br />
Quelle tentation que cette montre... Partir, les fuir tous, amis, compagne, voisins, collègues, échapper à la<br />
vue de ce reflet qui ne cesse de questionner, ne plus s'interroger sur le sens de la vie puisque de vie, il n'y<br />
aurait plus. Quelle frustration aussi, quand il devient impossible de se plaindre, déprimer, broyer du noir -<br />
eh oui, la solution est là, hélas, pas tant à bout de bras qu'à portée de main.<br />
Il finira par l'apprivoiser, Oscar, cette menaçante tocante, de biture en conversation obsessionnelle, avec<br />
elle le deuil de ses parents, de ses (dés)e spoirs et de ses questions. Et, convaincu par l'expérience de son<br />
efficacité morale et philosophique, finira gourou du tic-tac et martyr consentant de la cause suicidaire.<br />
(Suite page suivante)<br />
Le meilleur moyen de présenter la pièce est de vous<br />
donner à lire cette critique, minutieusement écrite par<br />
Jacques-Olivier Badia, à l’occasion de la Première.<br />
Contact : Christophe Lafon<br />
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tocante-compagnie@orange.fr
Une Critique Critique Empoisonnée<br />
La montre à quatre aiguilles et le bulot qui tue (suite)<br />
"Ce qu'il y a de rassurant quand on touche le fond,<br />
c'est qu'on peut commencer à creuser"<br />
Tocante<br />
Voici bien un de ces spectacles comme seul Didier Albert, maître du théâtre de Poche, sait en dégoter :<br />
sujet difficile, sinon carrément scabreux (le suicide sans autre cause que le choix qu'on en fait), traitement<br />
fin dont l'humour un poil grinçant ne dépare en rien l'intelligence et le sérieux, et un ton mi-figue mi-raisin à<br />
nul autre pareil, où l'amer le dispute au rigolard à petits coups de quenottes discrètement affûtées.<br />
Il faut dire que Pouhiou, auteur et interprète de la pièce, n'est pas vraiment un novice. Venu de la rue - je<br />
veux dire du spectacle de rue - il a derrière lui plus de dix ans de contes, farces et jongleries avec la troupe<br />
des Farfadets, autant dire une expérience précieuse de l'espace, du rythme, du rire et de l'interaction avec<br />
le <strong>pub</strong>lic. D'un autre côté, celui de l'écriture, c'est une table rase que sont venues couvrir ses questionnements<br />
personnels sur la vie, son sens et cette fichue logique qui s'obstine à pousser l'homme sur les traverses<br />
d'une compréhension inatteignable.<br />
Tout cela a l'air bien sérieux ? Sans doute, mais dans le bon sens puisque parti d'une foule de "pourquoi"<br />
chamailleurs et de "comment" bousculards, Pouhiou en est arrivé à un carpe diem* du meilleur aloi. Rien de<br />
si noir, donc, dans tout ça. Au contraire, une énergie, une solidité de construction et un rythme qui emportent<br />
l'adhésion, un jeu sans faille, un texte soigné au service d'un humour quelque peu cynique, preuve qu'il<br />
vise juste et tire droit.<br />
C'est une création, une vraie, toute neuve et encore fumante de la chaleur du four. On n'y trouvera pourtant<br />
aucun de ces petits accidents de naissance si fréquents, pas d'accroc, pas d'approximation, aucun défaut<br />
de rythme. Si critique il y avait à porter, ce serait à l'inverse : Pouhiou a si bien préparé son affaire qu'on en<br />
perçoit tous les appuis - structure en tableaux, déplacements, changements de lumière, de costume, clin<br />
d'oeil musical etc. Il ne lui manque donc que de jouer, jouer et jouer encore, jusqu'à pouvoir prendre dans<br />
son oeuvre les petites libertés que confèrent l'aisance et la familiarité. En attendant la suite, puisque deux<br />
autres textes traitant respectivement du sexe et de la communication (attention, déjà-vu en embuscade),<br />
viendront prochainement compléter ce triptyque en devenir.<br />
Jacques-Olivier Badia<br />
* Profite du jour présent<br />
(critique parue dans le Blog « Le Clou dans la Planche », le 20/09/2008)<br />
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Note de l’Auteur :<br />
Un Auteur Auteur Empoisonné<br />
J'ai de la chance : Quand il est gêné, l'être humain a tendance à rire.<br />
Tocante<br />
Un rire jaune, exutoire, face aux questions qu'on lui pose.<br />
La question que pose Tocante, c'est celle de notre finitude. Que faire quand<br />
on a conscience que chaque seconde peut être la dernière ? Oscar, lui, fait le<br />
deuil de lui même. Il traverse les étapes du deuil, face à ses proches désemparés.<br />
Ses parents lui apprennent à mourir, comme un rite de passage pour<br />
se sentir vivant. Car si l'on considère le suicide comme un choix, raisonnable ;<br />
ne pas le choisir revient à choisir la vie.<br />
J'ai de la chance : le suicide est une question qui gêne.<br />
Qui provoque le rire. Rire jaune pour un humour forcément noir. Et cet humour<br />
vient briser le pathos, pour nous amener vers la réflexion. Car quand les<br />
spasmes abdominaux se calment, le Reflet d'Oscar est là pour décortiquer notre<br />
rire. Nous renvoyer au visage ce qui nous gêne, que l'on puisse s'y pencher<br />
dessus. Un rire-réflexion agissant comme une douce provocation, incitant<br />
ceux et celles qui y sont prêts à une joyeuse introspection.<br />
J'ai de la chance : quand je joue mon texte, les gens rient.<br />
Pouhiou<br />
Auteur, Pouhiou est partagé entre l’amour du mot (qu’il doit à Cyrano) et<br />
celui de la dérision (humour britannique de Terry Pratchett ou d’Eddie Izzard). Il a<br />
donc pratiqué la verve acide et le vers délicat dans des chroniques radios, des paroles<br />
de chansons (en anglais) et un scénario de court-métrage. Tocante est sa<br />
première œuvre dramatique.<br />
Comédien, il a été formé par le théâtre de rue, dans la troupe « Les Farfadets<br />
» dont il fait partie depuis 11 ans. Il y pratique la farce médiévale, le conte et<br />
la jonglerie.<br />
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Note de Mise en Scène :<br />
Une Mise Mise en en scène scène Empoisonnée<br />
Tocante<br />
Le maître mot pour le travail de la mise en scène a été l'Énergie. L'humour<br />
de la pièce fonctionne surtout sur le rythme, que l'on a ciselé. Ce<br />
rythme est essentiel, pour souligner les passages rapides du rire aux larmes,<br />
qui sont déjà dans le texte. Des montagnes russes émotionnelles, toujours<br />
dans le second degré et le cynisme.<br />
Cette énergie se ressent aussi dans la prise d'espace. Ne jamais être statique,<br />
dans le corps ou les émotions, pour souligner la performance. Car si<br />
l'acteur est seul sur scène, il y incarne une dizaine de personnages. Nous voulions<br />
clairement les déterminer. Dans leurs placements, bien sûr, mais aussi<br />
dans leur gestuelle, leurs attitudes, leur voix...<br />
Enfin, il a fallu canaliser tout ce dynamisme dans une scénographie très<br />
écrite. Dans chaque tableau de la pièce, Oscar laisse place à son Reflet. Pour<br />
ce faire, il se fige. Et, dans un changement de lumières, le Reflet prend la<br />
suite alors qu'apparaît (via des décors truqués) une photo d'Oscar dans la position<br />
exacte où il se trouvait. Nous avons donc fait travailler l'acteur pour<br />
qu'il garde la vérité de son jeu tout en reproduisant à l'identique les photos<br />
sur le décor, ces « figures imposées ».<br />
Le but est d'avoir une énergie vive et maîtrisée, toujours tournée vers le<br />
<strong>pub</strong>lic, pour une immersion totale dans la vie d'Oscar.<br />
Dame Valérie et Nelwynn<br />
Créatrice de la troupe professionnelle de théâtre de rue médiéval « Les Farfadets<br />
», Dame Valérie en est la metteuse en scène depuis plus de 10 ans (ainsi<br />
que l’auteur, la scénographe la costumière, et -accessoirement- elle y joue).<br />
Depuis 5 ans, Nelwynn est assistante metteuse en scène des « Farfadets ».<br />
Cette fois, elle passe à la (co-)mise en scène pour y apporter pleinement sa rigueur<br />
et son cynisme.<br />
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La Tocante Compagnie<br />
Une Compagnie Compagnie Empoisonnée<br />
Tocante<br />
La Tocante Cie, compagnie de théâtre professionnelle, s'est crée à l'occasion<br />
de la pièce éponyme : Tocante – Un Cadeau Empoisonnée. C'est une<br />
troupe de talents, savoir-faire et volontés rassemblés autour d'un auteur :<br />
Pouhiou. L'objectif est, à travers des créations originales, de parler de tabous,<br />
de sujets graves touchant à « l'intra-humain »... Pour les traiter à travers des<br />
histoires, des paraboles toujours emplies d'humour noir, de légèreté... et parfois<br />
d'une douce provocation.<br />
Avec en filigrane cette idée de « rire-réflexion », cette Compagnie veut<br />
défendre un théâtre grand <strong>pub</strong>lic de qualité. Où la Comédie et le Conte permettent<br />
de défendre des idées, de poser des questions. Un théâtre ouvert,<br />
tourné vers le Public... qu'il soit initié ou non aux arts de la scène. Un théâtre<br />
énergique, divertissant et qui chatouille les synapses.<br />
Par des scénographies pensées lors de l'écriture même, cette compagnie<br />
souhaite intégrer au Théâtre d'autres formes d'Arts. Pour Tocante, c'est la<br />
photographie qui s'immisce dans la pièce, dans chacun des décors... Des photographies<br />
grandeur nature, parfois filtrées, distordues, morcelées... qui suivent<br />
l'état émotionnel du personnage. Et ce n'est là qu'un début.<br />
Car Tocante – Un Cadeau Empoisonné n'est que le premier volet du triptyque<br />
que nous concocte la Tocante Compagnie.<br />
Une Photographie Empoisonnée<br />
Photographe, Noelle Ballestrero travaille sur la captation des émotions<br />
dans des compositions au graphisme géométrique. Ses recherches portent sur la<br />
mise en abîme du cadre, le morcellement… Et ses sujets s’étendent des Marchés<br />
du Mali aux concerts des nouveaux chansonniers français.<br />
Pour Tocante, elle a créé les visuels, donné vie au Reflet et composé un<br />
« Morcellement ».<br />
Graphiste formé à la communication <strong>pub</strong>licitaire, Daï Sy développe actuellement<br />
sa propre ligne de vêtement : « VISUAL DAI ». Pour Tocante, il a assisté<br />
Noelle Ballestrero afin d’insérer le Reflet aux décors, conçu toute la communication<br />
graphique, ainsi qu’un T-Shirt.<br />
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Le Triptyque :<br />
Un Triptyque Empoisonné<br />
Tocante<br />
Tocante sera suivie de deux autres créations : un triptyque, non une trilogie.<br />
Car il ne s'agit pas là de suite chronologique, préquelles et séquelles.<br />
Malgré ce, ces trois pièces seront intimement liées, tant dans le fond que dans<br />
la forme.<br />
Dans la forme, parce qu'il s’agit du même univers... Si tant est qu'on sache<br />
qu'un immeuble est en soit un univers. Un univers dont le centre est la<br />
concierge, « Mme Marquet ». C'est le personnage-clé de Tocante, celle qui<br />
traverse la pièce, dont tout le monde parle, mais qui n'apparaît jamais. Et<br />
pourtant, c'est par elle que tout se joue... Et trois de ses locataires vont se<br />
confronter à un objet qui va bouleverser leur vie...<br />
Entre membres de la Tocante Compagnie, il se murmure -loin des oreilles<br />
étrangères et avec des regards de conspirateurs- qu'on travaille sur « Le Triptyque<br />
de Mme Marquet ».<br />
Dans le fond, car ce triptyque parle, de façon métaphysique, de l'intrahumain.<br />
Ce qu'il y a au plus profond de nous. La première pièce porte sur le<br />
choix de la mort, et l'acceptation de notre propre finitude. La deuxième portera<br />
sur celui de la vie, en traitant de la fascination craintive que l'on a pour notre<br />
désir. Enfin, on bouclera le cycle en dépeignant les jeux de pouvoir dans la<br />
communication, en ce qu'ils la motivent et la polluent.<br />
Sans trop en révéler (ces deux autres pièces sont en cours d'écriture), on<br />
peut déjà dire qu'Epiphania (titre de travail du second volet) mettra en scène<br />
un homme, un ange et un sex-toy émasculateur.<br />
Contact : Christophe Lafon<br />
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tocante-compagnie@orange.fr
L’autre Tocante :<br />
Une Démarche Démarche Démarche Empoisonnée<br />
Tocante<br />
Pouhiou garde du théâtre de rue cette envie d'apporter l'art vers les<br />
gens, comme un cadeau... forcément empoisonné. Et la pièce a déjà en elle<br />
un côté tendrement évangélisateur, des questions à poser, des envies de<br />
transmettre... C'est donc comme une évidence que la démarche d'adapter la<br />
pièce à cette nouvelle mouvance du « théâtre en appartement » s'est imposée<br />
à la Tocante Compagnie.<br />
Ainsi est née une deuxième version de la pièce :<br />
« Tocante – Un Cadeau A Part »<br />
C'est la version « hors scène » de la pièce, celle qui part avec son sac à<br />
dos loger chez l'habitant. L'écriture, la mise en scène et la scénographie ont<br />
été retravaillées pour s'adapter à ce théâtre de l'impromptu, qui s'invite dans<br />
les salons et jardins.<br />
C'est donc une Tocante presque contée, à la fois plus intimiste dans l'ambiance<br />
et plus énergique dans le rythme, qui se propose d'envahir ces nonlieux<br />
de théâtre et de culture. Une version qui prend en compte aussi bien les<br />
contraintes matérielles (avec une scénographie concentrée en sa plus fulgurante<br />
expression), que la nature même de ces représentations (au 4ème mur<br />
affaibli, permettant des jeux d'adresse directe et de résonance avec le <strong>pub</strong>lic).<br />
Tocante - Un Cadeau A Part sera crée le 20 Décembre 2008, en Ariège,<br />
chez l’habitant.<br />
Contact : Christophe Lafon<br />
06.61.99.66.61<br />
tocante-compagnie@orange.fr
de et avec : Pouhiou<br />
mise en scène : Dame Valérie et Nelwynn<br />
photographies : Noëlle Ballestrero<br />
communication graphique : Daï Sy<br />
décors et accessoires : Laurent Foulquier et Stéphane Dardé<br />
assistés de : Christian Lafon-Roudier<br />
lumières : Nelson Pereira<br />
maquillage : Laetitia Brelaud<br />
voix-off : Carole China et Stéphane Dardé<br />
diffusion / relation médias : Christophe Lafon<br />
production originale : La Tocante Cie<br />
Une Distribution Empoisonnée<br />
Tocante<br />
Contacts : Christophe Lafon<br />
Tel : 06.61.99.66.61<br />
www.myspace.com/tocante<br />
tocante-compagnie@orange.fr<br />
(Visuels disponibles par mail, en 300 DPI)
Représentations :<br />
Un Calendrier Calendrier Calendrier Empoisonné<br />
Le Mercredi 4 Février<br />
Salle de Chapou (cité universitaire), Toulouse (31)<br />
Soirée organisée par le CROUS de Toulouse.<br />
Avec la collaboration du Centre de Prévention Suicide de Toulouse.<br />
Dans le cadre des Journées Nationales de la Prévention du Suicide.<br />
Les 9 et 10 et du 14 au 17 Janvier 2009, 21 heures<br />
au Théâtre de Poche, Toulouse (31).<br />
Infos / Réservations : 05.61.48.25.52<br />
Créations :<br />
Tocante Tocante — Un Un Cadeau Cadeau A A A Part<br />
Part<br />
Le Samedi 20 Décembre 2008, 20h30<br />
Les Andréous, Artigat (09)<br />
Réservations : 05.61.68.59.11<br />
(Théâtre chez l’habitant, réservation obligatoire)<br />
Tocante Tocante — Un Un Cadeau Cadeau Empoisonné<br />
Empoisonné<br />
Du 17 au 20 et du 24 au 27 Septembre 2008<br />
au Théâtre de Poche, Toulouse (31).<br />
Premiers pas :<br />
(avant sa création, la pièce a été testée lors de 2 dates)<br />
9 Février 2008, Centre Culturel des minimes, Toulouse (31)<br />
Dans le cadre du festival de Théâtres d’Hiver.<br />
2 février 2008, MJC de Pamiers (09)<br />
Tocante<br />
Contact : Christophe Lafon<br />
06.61.99.66.61<br />
tocante-compagnie@orange.fr
Des Visuels Empoisonnés<br />
Tocante<br />
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Des Visuels Empoisonnés<br />
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