IDA LUPINO - La Cinémathèque française

DOSSIER DE PRESSE
IDA LUPINO
Du 12 au 19 septembre 2007
Cette actrice qui a joué dans les films des plus grands cinéastes
hollywoodiens (Raoul Walsh, Nicholas Ray, Robert Aldrich, Sam Peckinpah)
est aussi une réalisatrice qui, en quelques titres, a construit une œuvre qui a
touché à plusieurs genres (le film noir avec The Hitch Hiker, 1953) et abordé
parfois des sujets singuliers témoignant d’une véritable sensibilité féminine
(Outrage (1950) ; Not Wanted (1949) ; The Bigamist (1953)).
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Ida lupino (1959)
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Remerciements :
Action/Théâtre du temple, NFTA/BFI (Londres), La Cinémathèque Municipale du Luxembourg, Edith Kramer, MoMA, Reel Media International.
SOMMAIRE
LES AMBIGUÏTÉS DE LA VERTU p 2-3
LES FILMS PROJETÉS p 4-6
RENSEIGNEMENTS PRATIQUES p 7

LES AMBIGUÏTÉS DE LA VERTU
Par Bernard Eisenschitz
Allan Dwan l’a découverte, Raoul Walsh en a fait une actrice. Issue d’une dynastie de comédiens et comiques anglais, Ida
Lupino tourne à dix-huit ans dans Her First Affaire avec Dwan, puis est amenée à Hollywood pour jouer Alice au pays des
merveilles sous la direction de Walsh. Après quelques fous rires, il n’en est plus question mais ils sont amis et se retrouvent à
la Warner Bros., où Walsh lui donne trois de ses plus beaux rôles (They Drive by Night/Une femme dangereuse, High
Sierra/la Grande Evasion, The Man I Love) et fait d’elle une des actrices les plus énergiques et les plus émouvantes des
années 1940. Chez Warner, Lupino se révèle comme actrice mais aussi comme tête de cochon, refusant les rôles qui ne lui
plaisent pas et allant de suspension en suspension. A l’en croire, c’est Walsh qui lui a conseillé de changer d’emploi et de
devenir réalisatrice. « Hors de mon temps de travail, j’ai beaucoup observé dans le département montage, le département
décors, tout cela… grâce à Raoul (1) . » De lui elle apprend à ne jamais perdre son calme avec un mauvais comédien. Sa
préférence personnelle ira « à des acteurs qui n’ont pas été gâchés par des cours d’art dramatique. Ils ne sont pas forcément
jeunes, on en trouve à tout âge. » Ayant quitté Warner dans l’après-guerre, elle se trouve dans la situation de bien des stars qui
ressentent le besoin de respirer loin des studios et du code Breen d’autocensure. Productrice et coscénariste de Not Wanted,
Ida Lupino devient réalisatrice lorsque Elmer Clifton, director en titre, est frappé d’une crise cardiaque. C’est le début d’une
filmographie brève et dense : six films en cinq ans (avec un post-scriptum treize ans plus tard), et d’une petite production
familiale (Emerald, puis The Filmakers) qui se consacre à des sujets de la vie quotidienne américaine sous ses aspects les plus
modestes. (Pour information, Ida Lupino ne confirmait pas la rumeur selon laquelle elle aurait brièvement participé à la
réalisation de la Maison dans l’ombre [Nicholas Ray, 1950-52], mais revendiquait le retournage de plusieurs scènes dans
Jennifer [Joel Newton, 1953].)
On aimerait imaginer le personnage tourmenté de Walsh, Vincent Sherman, Jean Negulesco ou Ray faisant passer son univers
à l’écran. Mais mieux vaut ne pas confondre les rôles et la réalisatrice – bien qu’à plusieurs reprises, elle fasse elle-même de
ses films des relectures de ses rôles : le carriérisme familial et prolétarien de The Hard Way (Vincent Sherman) dans Hard,
Fast, and Beautiful ; la cécité de la Maison dans l’ombre devenue surdité dans son premier film de télévision, Nr. 5 Checked
Out (Recherché pour meurtre, 1956) ; la machination meurtrière et la folie de They Drive by Night dans un autre téléfilm, The
Threatening Eye (Pas pour vos beaux yeux, 1964).
Ida Lupino, écrivait Jacques Rivette en 1963, « échoue complètement à raconter quelque histoire que ce soit : ses ruses sont si
naïves, ses effets si démesurés, qu’ils touchent à contretemps. Son fort : le portrait, en quelques gestes, d’un personnage
féminin, désarmé ou désarmant (…) Les infortunes de la vertu ? Mais plutôt ses ambiguïtés. » Au centre de ses trois premiers
films, des personnages féminins dans des situations traumatiques – grossesse non voulue (Not Wanted), poliomyélite (que
Lupino avait connue – dans Never Fear), viol (Outrage). Des jeunes filles crispées, maussades, victimes qui se punissent et
s’isolent elles-mêmes. Ses personnages sont passifs, cèdent à leur sentiment de culpabilité ou d’échec. La maladresse de ses
jeunes interprètes, auxquelles ou auxquels elle tenait tant, exprime aussi leur malaise dans la société où ils sont jetés, ainsi
qu’une vision assez conformiste où une bonne décision suffit à tout résoudre.
Si elle s’est toujours définie comme une directrice d’acteurs avant tout, on peut être sensible à son œil pour les extérieurs
urbains – qu’ils soient photographiés par Henry Freulich, Archie Stout ou George Diskant. Le plus beau plan de ses films est
peut-être le premier de tous, le générique de Not Wanted : La montée d’une jeune femme dans une rue en pente d’une grande
ville, vision de quotidienneté américaine au terme de laquelle on devine l’égarement sur son visage en gros plan.
De fait, c’est peut-être un personnage central masculin, celui de The Bigamist, qui illustre le mieux le propos de la cinéaste sur
des personnages passifs dans des situations inextricables. Edmond O’Brien (« dans le rôle du Bigame », annonce le générique)
est un de ces personnages solitaires et vulnérables, aussi sympathique que possible, s’efforçant de préserver le bonheur de
deux femmes à la fois et obtenant le résultat inverse tout en se mettant au ban de la société. Tout le monde a ses raisons,
affirme une séquence après l’autre, mais elles ne vous laissent aucune chance ; et le trio d’acteurs (O’Brien, Joan Fontaine et
Ida Lupino elle-même, pour la seule fois dans un de ses films) atteint par moments à une émotion rare. Le film se termine en
suspens : la décision du juge ne sera pas connue.
Comme tous les réalisateurs et producteurs de son époque, Ida Lupino reste dans le cadre de l’industrie : son ancien courtisan
Howard Hughes offre aux Filmakers les facilités et la distribution de RKO. Aucune remise en question de la société chez elle,
mais parfois une perception sensible de celle-ci. Son cinéma entre dans le cadre de ce que Thom Andersen a appelé le « film
gris » : un travail qui s’inscrit dans les conventions des genres, mais en tire une lecture plus critique de l’Amérique. Pour le
meilleur, elle se trouve ainsi proche de ses contemporains Ray, Aldrich, Brooks ou Fuller. Dans un mouvement inverse, le
traitement de ces sujets est bridé par un puritanisme croissant qui, s’il ne peut plus les écarter (la guerre a ouvert les yeux), en
soumet le traitement à des limitations strictes. Entre le script de Paul Jarrico (bientôt blacklisté et producteur du Sel de la terre),
refusé par Columbia, et la version tournée de Not Wanted, il n’est plus question de montrer un séducteur gosse de riche ou un
patron cherchant à exercer son droit de cuissage. C’étaient peut-être des libertés dérisoires, mais elles disparaissaient pour une
décennie. Le conformisme omniprésent des années 1950 imposait comme une évidence qu’il était malséant d’« aborder des
sujets » s’ils n’étaient pas filtrés par un genre, policier de préférence. Mieux valait oublier l’aspiration de l’après-guerre à ouvrir
d’autres espaces et d’autres réalités au cinéma, la richesse de sa génération fauchée par la chasse aux sorcières. Lupino ellemême
a payé son tribut à l’esprit du temps avec un pur film de « red scare » : The Hitch-Hiker, portrait sinistre d’un tueur en
série (l’expression n’avait pas encore été inventée), joué dans un registre monocorde par William Talman (à qui elle donnera un
contre-emploi plus intéressant dans Nr. 5 Checked Out). N’y ont plus cours toutes les ambiguïtés qui faisaient l’intérêt des
premiers films – et qui imprègnent alors les films d’Aldrich ou Don Siegel, compagnons de route de Lupino : l’autostoppeur,
c’est l’inconnu donc le mal, il faut s’en tenir loin et le détruire comme un vulgaire extraterrestre.
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A la fin de l’aventure des Filmakers, Lupino comédienne retrouve Fritz Lang – après un rendez-vous manqué en 1942 pour
Moontide (la Péniche de l’amour, terminé par Archie Mayo) – dans la Cinquième Victime, où le cinéaste a engagé l’actrice
qu’elle avait découverte, Sally Forrest. Et le scénario que Lang dirige ensuite, l’Invraisemblable Vérité, avait été à l’origine
préparé pour les Filmakers. De plus en plus, elle se consacre à la télévision, se moulant dans les formules d’innombrables
séries : son excellent Sybil, pour Alfred Hitchcock présente, ressemble plus à Suspicion qu’à ses propres films, et The
Masks est un Twilight Zone typique, sans parler des Fugitif, Virginien, Incorruptibles et autres Thriller que nous n’avons
pas vus, ou il y a trop longtemps. Elle ne réalisera plus qu’un film de cinéma, The Trouble With Angels : encore une fois son
aisance avec les jeunes actrices, sa masculinisation voire militarisation de l’institution religieuse, se laissent deviner, mais tout
juste, dans un enchaînement de sketches où deux gamines provoquent des catastrophes, calamiteuses mais toujours gentilles.
Puis c’est la disparition de l’écran et de la vie publique, qui laisse d’elle, comme dernière image, celle d’un autre Twilight Zone,
dont elle n’était que l’interprète : The Sixteen-Millimeter Shrine (Mitchell Leisen, 1959), belle variation en mineur sur Sunset
Boulevard.
(1) B.E., Entretien avec I.L., Pacific Palisades, 11 avril 1983.
Remerciements à Damien Bertrand, Thom Andersen
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Ida Lupino réalisatrice
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Les films projetés
Avant de t’aimer (Not Wanted)
d’Ida Lupino
Etats-Unis/1949/91’/VOSTF/16mm
Avec Sally Forrest, Keefe Braselle, Leo Penn, Dorothy Adams, Wheaton Chambers.
Après une nuit d’amour avec un pianiste et une dispute avec ses parents, une jeune fille de 19 ans fugue et se retrouve
enceinte.
Scénario et production d’Ida Lupino.
Jeu 13 septembre 19h00 Salle HL
The Bigamist
d’Ida Lupino
Etats-Unis/1953/80’/VOSTF/35mm
Avec Joan Fontaine, Ida Lupino, Edmund Gwenn, Edmond O’Brien, Kenneth Tobey.
Alors qu’il veut adopter un enfant avec son épouse, Harry Graham est soumis à une enquête par l’agence d’adoption qui
découvre une facette de sa personnalité inconnue de ses proches.
Sam 15 septembre 19h00 Salle HL
Hard, Fast and Beautiful
d’Ida Lupino
Etats-Unis/1951/78’/VOSTF/35mm
Avec Claire Trevor, Sally Forrest, Carleton G. Young, Robert Clarke, Kenneth Patterson.
Une joueuse de tennis est poussée par sa mère et un entraîneur ambitieux alors qu’elle vient de rencontrer un garçon qui
partage son intérêt pour ce sport…
Ven 14 septembre 19h00 Salle HL
Never Fear
d’Ida Lupino
Etats-Unis/1949/81’/VOSTF/35mm
Avec Sally Forrest, Keefe Braselle, Hugh O’Brian, Eve Miller, Rita Lupino.
Alors qu’elle se prépare à connaître la gloire, une danseuse est atteinte de poliomyélite. Dans l’Institut où elle se rééduque,
elle renvoie son ancien partenaire de scène venu lui déclarer son amour au prétexte qu’elle est maintenant invalide.
Scénario et production d’Ida Lupino.
Jeu 13 septembre 21h00 Salle HL
Outrage
d’Ida Lupino
Etats-Unis/1950/74’/VOSTF/35mm
Avec Mala Powers, Tod Andrews, Robert Clarke, Raymond Bond, Lilian Hamilton.
Après un viol, une jeune fille est en proie à la pitié et à la curiosité de ses proches. Elle refuse la demande en mariage de
son fiancé et s’enfuit.
Scénario et production d’Ida Lupino.
Mer 12 septembre 20h00 Salle HL Ouverture de la rétrospective Ida Lupino
The Trouble with Angels
d’Ida Lupino
Etats-Unis/1966/111’/VOSTF/16mm
Avec Rosalind Russell, Hayley Mills, June Harding, Marge Redmond, Binnie Barnes.
Dans la calme et catholique académie de jeunes filles de St Francis, deux jeunes pensionnaires délurées et farceuses
mettent en péril l’autorité de la mère supérieure.
Dim 16 septembre 21h00 Salle HL
Le Voyage de la peur (The Hitch-Hiker)
d’Ida Lupino
Etats-Unis/1953/71’/VOSTF/35mm
Avec Edmond O’Brien, Frank Lovejoy, William Talman, José Torvay, Sam Hayes, Wendell Niles.
Deux jeunes automobilistes font monter dans leur voiture un auto-stoppeur psychopathe.
Sam 15 septembre 21h00 Salle HL
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Programmes réalisés ou interprétés pour la télévision par Ida Lupino
Programme 1
Vendredi 14 septembre 21h00 salle HL
A Crime for Mothers
d’Ida Lupino
Etats-Unis/1961/30’/VOSTF/35mm
Avec Gail Bonney, King Calder, Biff Elliot, Howard McNear, Robert Sampson.
Une mère qui a abandonné sa fille il y a sept ans décide de kidnapper celle-ci qui, depuis, avait été adoptée.
Série Alfred Hitchcock présente, saison 6, épisode 16.
Suivi de
Number five checked out
d’Ida Lupino
Etats-Unis/1956/30’/vidéo
Avec Peter Lorre, Ralph Moody, William Talman, Teresa Wright.
Une jeune sourde affronte des gangsters qui se cachent chez elle.
Série Screen Director playhouse
Suivi de
Sybilla
d’Ida Lupino
Etats-Unis/1960/30’/VOSTF/35mm
Avec Barbara Bel Geddes, Madge Kennedy, Bartlett Robinson, Alexander Scourby.
Un homme dont la femme refuse de lui accorder le divorce, note dans son journal intime un plan pour la tuer. Bien sûr, son
épouse indélicate le lit.
Série Alfred Hitchcock présente, saison 6, épisode 10.
Suivi de
The Little Hours
d’Ida Lupino
Etats-Unis/1962/25’/VOSTF/16mm
Avec R.G. Armstrong, Gary Clarke, Eugene Martin, Carmen Mathews, Judi Meredith.
Un prêtre va confesser sur son lit de mort un politicien à la conscience chargée.
Série General Electric Theater, saison 10, épisode 18.
Programme 2
Mercredi 19 septembre 15h00 salle GF
The man who lost
d’Ida Lupino
États-Unis/1959/25’/VOSTF/Vidéo
Avec Richard Boone, Jack Elam, Mort Mills.
Alors qu’il doit livrer un assassin à la famille qui l’a engagé, Paladin, chasseur de prime, refuse l’argent et préfère livrer le
suspect à la justice.
Série Have Gun - Will Travel.
Suivi de
The sixteen millimeter Shrine
de Mitchell Leisen
Etats-Unis/ 1959/25’/VOSTF/vidéo
Avec Ida Lupino, Martin Balsam, Rod Serling.
À Hollywood, une actrice oubliée refuse de vieillir et passe son temps à regarder ses anciens films. On lui propose un nouveau
rôle.
Série The Twilight Zone (La Quatrième Dimension).
Suivi de
The bride who died twice
d’Ida Lupino
Etats-Unis/1962/25’/VOSTF/vidéo
Avec Boris Karloff, Eduardo Ciannelli, Mala Powers.
Dans un pays d’Amérique centrale, un colonel cruel force un général à lui donner sa fille en mariage et à sacrifier le fiancé de
celle-ci. Ida Lupino retrouve ici son actrice d’Outrage.
Série Thriller.
Suivi de
The mask
d’Ida Lupino
Etats-Unis/1964/25’/VOSTF/vidéo
Avec Robert Keith, Milton Selzer, Virginia Gregg.
À la Nouvelle-Orléans, lors d’une nuit de Mardi-Gras, un vieillard moribond reçoit la visite de sa famille qu’il déteste.
Série The Twilight Zone (La Quatrième Dimension).
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Ida Lupino actrice
La Cinquième Victime (While the City Sleeps)
de Fritz Lang
Etats-Unis/1955/98'/VOSTF/35mm
Avec Dana Andrews, Rhonda Fleming, George Sanders, Ida Lupino, Thomas Mitchell.
Les journalistes d'un grand quotidien sont en compétition pour découvrir l'identité d'un tueur en série.
Dim 16 septembre 19h00 Salle HL
La Femme aux cigarettes (Road House)
de Jean Negulesco
Etats-Unis/1948/95'/VOSTF/35mm
Avec Ida Lupino, Cornel Wilde, Richard Widmark, Celeste Holm, O.Z. Whitehead.
Un propriétaire de boîte de nuit engage une chanteuse de charme et essaie de la séduire, contre l’avis de son gérant.
Sam 15 septembre 14h30 Salle HL
Le Grand Couteau (The Big Knife)
de Robert Aldrich
Etats-Unis/1955/111'/VOSTF/35mm
D'après Clifford Odets.
Avec Jack Palance, Ida Lupino, Rod Steiger, Shelley Winters, Wesley Add.
Un célèbre acteur devenu alcoolique, qui a écrasé accidentellement une fillette, est victime d'un chantage.
Dim 16 septembre 14h45 Salle HL
La Grande Evasion (High Sierra)
de Raoul Walsh
Etats-Unis/1941/110’/VOSTF/35mm
Avec Humphrey Bogart, Ida Lupino, Alan Curtis, Arthur Kennedy, Joan Leslie.
Sorti de prison, un homme prépare un hold-up avec deux complices.
Ven 14 septembre 14h30 Salle HL
Ici Brigade criminelle (Private Hell 36)
de Don Siegel
Etats-Unis/1954/81’/VOSTF/35mm
Avec Ida Lupino, Steve Cochran, Howard Duff, Dean Jagger, Dorothy Malone.
Un inspecteur de police qui enquête sur un vol fait la rencontre d’une femme qui a des goûts de luxe que son maigre salaire
ne peut satisfaire.
Film écrit par Collier Young et Ida Lupino.
Mer 19 septembre 19h00 Salle HL
Junior Bonner, le dernier le bagarreur (Junior Bonner)
de Sam Peckinpah
Etats-Unis/1972/100’/VOSTF/35mm
Avec Steve McQueen, Robert Preston, Ida Lupino, Ben Johnson, Joe Don Baker.
Une semaine dans la vie de Junior Bonner, cowboy fauché qui va participer à un rodéo dans sa ville natale où il retrouve sa
famille.
Mer 19 septembre 21h00 Salle HL
La Maison dans l’ombre (On Dangerous Ground)
de Nicholas Ray
Etats-Unis /1951/82’/VOSTF/35mm
Avec Ida Lupino, Robert Ryan, Ward Bond, Charles Kemper, Anthony Ross.
Un policier violent aide un shérif de campagne à retrouver Walden, un déséquilibré, dont il vient de rencontrer la sœur.
Lun 17 septembre 21h00 Salle GF
The Man I Love
de Raoul Walsh
Etats-Unis/1946/97’/VOSTF/16mm
Avec Ida Lupino, Robert Alda, Andrea King, Martha Vickers, Bruce Bennett.
Une chanteuse de night-club retourne dans sa famille et découvre la déchéance dans laquelle sont tombés son frère et un
pianiste qu’elle admirait.
Lun 17 septembre 17h00 Salle GF
Une femme dangereuse (They Drive by Night)
de Raoul Walsh
Etats-Unis /1940/95’/VOSTF/35mm
Avec George Raft, Humphrey Bogart, Ida Lupino, Ann Sheridan, Alan Hale.
La femme d’un propriétaire d’une entreprise de transports accuse l’un des employés d’avoir tué celui-ci.
Jeu 13 septembre 14h30 Salle HL
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