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Interview - Viarmes

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<strong>Interview</strong><br />

« Deux maîtres mots : sérieux et convivialité »<br />

Entretien avec Monsieur<br />

Sanchez, Entreprise Sanchez<br />

Technologies à <strong>Viarmes</strong><br />

<strong>Interview</strong> réalisée par Olivier<br />

Dupont, adjoint au maire en<br />

charge de la communication et<br />

Laurence Bernhardt, Conseillère<br />

Municipale<br />

Comment est née votre entreprise et<br />

quel est votre secteur d’activité ?<br />

J’ai créé Sanchez Technologie en 1996 après<br />

avoir quitté la société dans laquelle je travaillais<br />

à l’époque et suite à une fusion qui<br />

ne me convenait pas. La société compte<br />

aujourd’hui une vingtaine de salariés et le<br />

chiffre d’affaires dépasse les 4,5 M €. Nous<br />

sommes spécialisés dans la mécanique industrielle<br />

et l’ingénierie/bureau d’étude. Au<br />

fil des ans, Sanchez Technologies a su se développer<br />

pour se positionner sur le marché<br />

international comme un acteur majeur de<br />

l’exploration pétrolière, ce qui représente 70<br />

à 80 % de notre activité. Dans ce domaine,<br />

notre expertise nous permet de répondre<br />

aux besoins des entreprises souhaitant évaluer<br />

la qualité de nouveaux champs pétrolifères.<br />

Satisfaire les demandes de vos clients<br />

implique le maintien d’objectifs ambi-<br />

Entretien avec Natacha Ponte,<br />

chargée de communication à <strong>Viarmes</strong> depuis septembre 2010<br />

Natacha Ponte a une vie professionnelle bien remplie. Lorsqu’elle rejoint l’équipe municipale<br />

d’une commune située dans le Val d’Oise, c’est la révélation ! Aujourd’hui, elle s’épanouit au<br />

poste de chargée de communication de la ville de <strong>Viarmes</strong>.<br />

Quel est votre parcours professionnel ?<br />

Je me suis longtemps cherchée : d’abord assistante<br />

chef de produit pour un fabricant allemand<br />

spécialisé dans l’électroménager, puis<br />

infographiste dans une entreprise de robinetterie<br />

industrielle et enfin chargée de mission en<br />

management de la qualité. En 2008, sur un plan<br />

purement privé, je découvre la vie municipale<br />

en tant qu’élue et ce fut une révélation ! Mettre<br />

mon expérience de la communication au service<br />

d’une collectivité territoriale fut une évidence.<br />

J’avais enfin trouvé ma voie : interpréter les choix<br />

et les actions des élus par la mise en place d’une<br />

communication locale adaptée et créative. Je<br />

crois que la communication est essentielle dans<br />

notre monde moderne et contribue à donner du<br />

sens à la vie publique et politique locale.<br />

Qu’appréciez-vous le plus dans votre métier ?<br />

Créer, échanger mais aussi mettre en acte des valeurs, c’est valorisant et gratifiant. <strong>Viarmes</strong> s’est<br />

construit au fil du temps. Que ce soit dans les écoles, les associations,… le dialogue qu’a su préserver<br />

ce village rend la réalisation de projets beaucoup plus facile. La notion de partage est plus qu’omniprésente<br />

dans le métier de la « Com ».<br />

Concrètement, en quoi consiste votre métier ?<br />

En tant que communicante, j’ai un rôle d’interface entre plusieurs mondes. Savoir écouter pour transmettre<br />

un message est primordial. Entre création de supports de communication, promotion du territoire,<br />

gestion des sites internet de la commune et de l’intercommunalité, organisation des relations<br />

avec la presse… je travaille sur de nombreuses choses à la fois ! Il faut être bien organisé car on peut<br />

facilement se disperser. Travailler en binôme serait un plus, j’aimerais avoir d’autres collaborateurs afin<br />

de mettre en place encore plus de projets.<br />

26 <strong>Viarmes</strong> # Magazine 2011<br />

tieux. Quelle orientation commerciale<br />

avez-vous prise ?<br />

Notre métier évolue, les attentes de nos<br />

clients aussi. C’est à leur demande que je<br />

me suis orienté vers la conception d’appareils<br />

d’analyse en laboratoire et ce, pour<br />

répondre à des besoins de plus en plus<br />

pointus et exigeants. Notre expérience nous<br />

conduit à devenir de véritables partenaires<br />

de nos clients où écoute, sens du service<br />

et conseil font partie de notre langage. Nos<br />

produits sont à l’image de la relation que<br />

nous construisons avec nos clients. Notre<br />

commercialisation via des partnership en<br />

Chine, au Mexique ou encore au Koweït<br />

nous assure une présence mondiale auprès<br />

de tous les principaux acteurs.<br />

Le jeu de la concurrence et des affaires<br />

auraient pu vous stopper dans votre<br />

progression. Comment vous démarquezvous<br />

de vos concurrents ?<br />

Nous concevons et fabriquons des produits<br />

qui sont des concentrés de très haute technicité.<br />

Nos machines sont capables d’étudier<br />

le comportement des roches et d’évaluer<br />

ainsi les réserves et les paramètres de<br />

production. Parmi les équipements dont<br />

nous disposons, le système PVT (Pression<br />

Volume Température) propose une technicité<br />

unique au monde ; grâce à un hublot, il<br />

permet de voir en temps réel le comportement<br />

de la matière tel qu’il se produit plu-<br />

Propos recueillis par Olivier Dupont, adjoint au maire<br />

sieurs centaines de mètres sous terre.<br />

Compte tenu de votre avance technologique,<br />

l’entreprise semble avoir encore<br />

de beaux jours devant elle ?<br />

Entouré de mes fils Mathias aux commandes<br />

de la partie technique et de Sébastien pour<br />

la partie commerciale, notre savoir faire<br />

et notre expérience nous permettent aujourd’hui<br />

d’envisager sereinement l’avenir<br />

et de conforter nos ambitions. Nous avons<br />

encore de nombreux projets à mettre en<br />

œuvre et j’espère que nos idées assureront<br />

la pérennité de l’entreprise pour l’avenir.<br />

Sanchez Technologies<br />

http://www.stfrance.com<br />

Entretien avec Patrice Bardeau,<br />

policier municipal à <strong>Viarmes</strong><br />

depuis janvier 2011<br />

Quel a été votre parcours avant de rejoindre<br />

la police municipale de <strong>Viarmes</strong> ?<br />

Employé de la Fonction Publique depuis décembre<br />

1988 et policier municipal depuis janvier<br />

1990, j’ai débuté ma carrière à Amiens. J’ai<br />

ensuite changé de région en allant sur Grenoble<br />

où je suis resté huit ans. J’aspirais cependant<br />

à travailler dans une commune de petite taille,<br />

presqu’un village où le contact avec les habitants<br />

est facilité. Ce pourquoi je suis revenu<br />

dans la région, comme pour me rapprocher de<br />

mes racines, et j’ai trouvé en <strong>Viarmes</strong> une commune<br />

accueillante, chaleureuse où il fait bon<br />

vivre.<br />

Comment définissez-vous votre poste de<br />

policier municipal au sein de la commune ?<br />

Un policier municipal doit être au service des<br />

administrés et faire respecter la réglementation<br />

mais surtout pouvoir aider le citoyen en toute<br />

circonstance. Dans le cadre de mes fonctions,<br />

je suis amené à prendre des<br />

mesures répressives mais je<br />

souhaite avant tout mettre en<br />

place une police préventive en<br />

binôme avec mon coéquipier.<br />

Accomplir des missions à<br />

caractère préventif est également<br />

une volonté de Monsieur<br />

le Maire.<br />

<strong>Interview</strong><br />

réalisée par<br />

Natacha Ponte


La mairie descend sur le marché…<br />

Le samedi 2 avril, les<br />

membres de la Commission<br />

Communication ainsi que<br />

William Rouyer, maire de<br />

<strong>Viarmes</strong> et son chargé de<br />

communication sont allés<br />

à la rencontre des Viarmois<br />

en tenant un « stand »<br />

sur le marché.<br />

Cette rencontre autour d’un café et d’une<br />

spécialité suisse aux pains d’épices « Lebkuchen<br />

» était destinée à recueillir l’avis<br />

des habitants sur les supports de communication<br />

mis en place par la municipalité<br />

(site internet, affichage, panneau<br />

lumineux, journaux).<br />

Au travers de cet échange, nous avons<br />

pu constater que les habitants témoignent<br />

en général d’un réel intérêt pour<br />

la communication locale. Loin d’être<br />

aujourd’hui considérée comme une intrusion<br />

ou comme du gaspillage, elle fait<br />

partie des services attendus de la part<br />

de la collectivité. Elle est utile et pratique<br />

pour la vie quotidienne et offre une information<br />

efficace sur les services de la<br />

ville, son actualité et les grands projets<br />

du territoire.<br />

La communication émise par la municipalité<br />

se veut objective et empreinte de<br />

transparence et avec du sens afin que les<br />

habitants se sentent plus impliqués dans<br />

le développement de leur commune. La<br />

présence des élus sur le marché est une<br />

manière d’entretenir le dialogue et de<br />

renforcer la proximité avec eux.<br />

Natacha Ponte<br />

Service Communication<br />

« J’habitais à <strong>Viarmes</strong> en 1906… »<br />

Cet article a pour seul but de<br />

vous distraire. Et bien sûr,<br />

toute ressemblance avec des<br />

personnages existants ou<br />

ayant existé ne serait que pure<br />

coïncidence !<br />

D’après une idée de<br />

Laurence Bernhardt,<br />

Conseillère Municipale.<br />

« J’habite à <strong>Viarmes</strong> et je suis mère de<br />

famille de trois enfants. Nous sommes<br />

le 8 mars 1906 et mon mari commence<br />

sa première journée de travail chez les<br />

Frères Delacoste.<br />

Les journaux annoncent que la France a<br />

peur du retour de la peste… on en annoncera<br />

d’autres, des pandémies de ce<br />

genre, la peste, la grippe sûrement, on<br />

verra de tout !<br />

Et puis on vient de passer la première<br />

journée de la femme : est-ce que cela<br />

changera la vie d’une mère de famille ?<br />

Dans cent ans, peut-être ? !<br />

Ça y est, les garçons ont pris leurs tar-<br />

tines pour le petit-déjeuner et maintenant<br />

direction l’école.<br />

Pour ma part, j’irai faire quelques courses<br />

à la droguerie en face de la rue aux fées<br />

en rentrant à la maison. J’ai vu en vitrine<br />

les nouvelles lessiveuses qui sont<br />

arrivées et je vais pouvoir remplacer la<br />

mienne.<br />

Et puis après j’irai voir le petit Papelard<br />

qui est tombé de la voiture de son papa<br />

en voulant essayer d’attraper le volant.<br />

Heureusement qu’il ne s’est pas blessé,<br />

juste une belle bosse ! Je vais aller<br />

prendre de ses nouvelles.<br />

Allez, il est midi, retour à la maison pour<br />

préparer le déjeuner de mon mari.<br />

Le « gueulard » de l’usine vient de sonner<br />

et il est temps d’aller faire chauffer<br />

la soupe. »<br />

Ce qu’ils en pensent<br />

> Françoise Herbet<br />

C’est une bonne chose que les élus<br />

viennent à nous, en plus, sur un<br />

marché, c’est plus sympathique,<br />

ce qui permet aux gens de discuter<br />

dans un cadre<br />

agréable. Il faudrait le faire plus<br />

souvent, une rencontre tous les<br />

six mois, ce qui nous permettrait de<br />

mieux connaître les élus.<br />

> Jean-Pierre Morin<br />

Je pense que c’est une démarche<br />

intéressante de rencontrer les<br />

habitants sur le marché.<br />

Les élus doivent continuer<br />

à promouvoir leurs projets<br />

et c’est aussi une façon<br />

de faire participer les gens,<br />

qu’ils se sentent concernés.<br />

S’ils veulent de l’information, il<br />

faut aller au devant de l’information.<br />

Pour ma part, j’attends avec impatience la<br />

rénovation du château et je trouve que le fleurissement<br />

de la ville se fait de plus en plus avec<br />

goût.<br />

> Valérie Gauchet<br />

Au-delà des échanges commerciaux,<br />

le marché c’est<br />

aussi un lieu de rencontres,<br />

de convivialité, où se<br />

nouent les contacts nécessaires<br />

au maintien et<br />

au développement du lien<br />

social entre les habitants. En<br />

tant qu’élue, ce fut l’occasion<br />

pour moi d’échanger avec les habitants sur des<br />

sujets qui les préoccupent.<br />

<strong>Viarmes</strong> # Magazine 2011<br />

27


Sport<br />

Vous habitez la commune depuis 5<br />

ans seulement. Vous avez dû essayer<br />

plusieurs golfs aux alentours avant de<br />

trouver votre terrain d’entraînement ?<br />

Effectivement. La région regorge d’excellents<br />

parcours de golf. Pour pratiquer ma<br />

passion du golf, j’ai besoin de me sentir à<br />

l’aise aussi bien sur le terrain qu’à la ville.<br />

Je suis licenciée au golf d’Appremont où<br />

je m’entraîne régulièrement. Je suis également<br />

professeur à Chaumont-en-Vexin, ce<br />

qui me permet de financer ma saison.<br />

Quel est votre statut ?<br />

Avant de passer professionnelle en 2007,<br />

j’étais amateur, ce qui signifie que je jouais<br />

en individuel et en équipe, et non pas juste<br />

en individuel comme aujourd’hui.<br />

Cette passion, d’où vous vient-elle ?<br />

Déjà toute petite, j’accompagnais mon<br />

père sur les parcours de golf. J’avais deux<br />

ans quand il m’a offert mon premier club<br />

en plastique. J’ai su très tôt ce qu’était<br />

le golf, ce fameux mouvement, le swing.<br />

« Apprentie-caddy » (le « caddy » est la<br />

personne qui en premier lieu porte le sac<br />

du joueur, il est aussi le conseiller et le support<br />

moral du golfeur), je suivais mon père<br />

et j’apprenais en regardant les autres. Je<br />

me suis réellement mise au golf à l’âge de<br />

huit ans, en complément du judo pour m’y<br />

consacrer pleinement vers 11 ans. J’appréhendais<br />

le « 9 trous » avec beaucoup plus<br />

de facilité. J’ai su très tôt que je voulais enseigner<br />

le golf et passionnée par ce sport,<br />

j’ai donc décidé d’arrêter mes études en<br />

1 ère S pour m’y consacrer exclusivement.<br />

Vous parlez d’handicap au golf. De quoi<br />

s’agit-il et quel est votre handicap ?<br />

Le handicap donne cette originalité au golf<br />

car on ne le retrouve dans aucun autre<br />

sport. C’est un système de classement des<br />

joueurs. Quand on passe professionnel, il<br />

n’y a plus de handicap. En tant qu’amateur,<br />

j’étais -5,2 meilleur handicap hommes et<br />

femmes confondus à l’époque.<br />

38 <strong>Viarmes</strong> # Magazine 2011<br />

Vous avez remporté beaucoup de<br />

championnats ?<br />

Lorsque j’étais amateur en équipe de<br />

France, nous avons remporté deux médailles<br />

d’argent et deux médailles de<br />

bronze aux championnats d’Europe. En<br />

individuel, j’étais trois fois championne<br />

de France, une fois « Cadette » et deux<br />

fois « Junior », puis vice-championne d’Europe<br />

(compétition en Espagne) et récemment<br />

15e en Inde (circuit Européen), 27e à<br />

l’Open de France et 40e à Dubaï.<br />

Vous voyagez donc beaucoup ?<br />

Du fait que j’ai accès au circuit Européen,<br />

je voyage entre quinze et vingt fois par an.<br />

Le circuit Américain est encore inaccessible<br />

car le niveau est beaucoup plus fort ;<br />

en comparant les deux circuits, les femmes<br />

gagnent dix à quinze fois moins en Europe.<br />

Une saison coûte assez chère.<br />

Comment faites-vous pour la financer ?<br />

Les cours de golf que je dispense me permettent<br />

de payer une partie de la saison.<br />

Je cherche de nouveaux sponsors mais il<br />

est de plus en plus difficile de trouver des<br />

personnes et surtout des petites entreprises<br />

passionnées par ce sport qui pourraient<br />

m’aider.<br />

En quoi le golf en amateur est-il différent<br />

du golf en professionnel ? Dans<br />

quel domaine devrez-vous progresser<br />

afin de toucher le circuit américain ?<br />

Pour la plupart des joueurs, du passage<br />

amateur à professionnel, inconsciemment<br />

on sait que c’est pour gagner notre vie.<br />

Par conséquent il y a un facteur stress<br />

qui rentre en ligne de compte et contre<br />

lequel il faut combattre. Aujourd’hui, en<br />

pratiquant le golf en professionnel, je sens<br />

une plus grosse pression et il m’est difficile<br />

de me débloquer mentalement pour viser<br />

plus haut. Cette préparation mentale nécessiterait<br />

l’appui d’un psychologue spécialisé<br />

dans le domaine sportif. On n’appréhende<br />

pas le golf comme on joue au tennis<br />

<strong>Interview</strong><br />

Elena Giraud, 25 ans, golfeuse professionnelle au plus haut niveau français<br />

<strong>Interview</strong> réalisée par Olivier Dupont, adjoint au maire<br />

Propos recueillis par Natacha Ponte, en charge de la communication<br />

« Le golf séduit de plus en<br />

plus les femmes »<br />

par exemple. Le rapport à l’autre n’existe<br />

pas. On ne joue pas contre quelqu’un, on<br />

joue contre soi et contre le parcours. C’est<br />

un sport complètement individuel où l’on<br />

se bat contre soi-même. Il faut savoir qu’il<br />

y a une fréquence de coup toutes les 5<br />

minutes. Le geste, ce fameux « swing »<br />

lorsque nous lançons la balle, n’est pas<br />

automatique. Avant de taper la balle, on<br />

peut se poser 10 000 questions, ce que l’on<br />

ne peut pas se permettre au tennis où la<br />

frappe doit être spontanée.<br />

Quel conseil donneriez-vous aux<br />

amateurs et peut-on pratiquer ce sport<br />

à tout âge ?<br />

Ce qui est beau dans ce sport, c’est qu’il<br />

n’y a pas d’âge. Bien sûr plus on commence<br />

tôt, mieux c’est. À cinq ans, on<br />

apprend plus facilement et on acquiert un<br />

meilleur geste. L’idéal est de démarrer en<br />

prenant quelques leçons, c’est le moyen le<br />

plus rapide de progresser. Il faut avant tout<br />

ne pas se crisper. Tout est dans le « lancé ».<br />

La technique est primordiale. Il faut jouer<br />

sans forcer pour avoir un bon rythme. Un<br />

joueur arrive à maturité à l’âge de 25-30<br />

ans. Pour être au top de son golf, il faut<br />

bien attendre 32 ans. À 40-50 ans, le stress<br />

diminue, ce qui rend le jeu plus facile. Tiger<br />

Woods reste une exception, c’est un prodige<br />

programmé pour ce sport dès la naissance<br />

par son père.<br />

Ce sport s’adresse-t-il toujours à une<br />

certaine élite ?<br />

C’était vrai il y a un temps mais aujourd’hui<br />

le golf peut s’adresser à tous. C’est bien<br />

plus abordable. Il faut seulement prendre<br />

quelques cours au départ et investir dans<br />

un équipement fiable. Ensuite il faut surtout<br />

s’accorder du temps pour soi, pour<br />

s’entretenir physiquement, se préparer<br />

mentalement et s’exercer sur le terrain<br />

le plus possible, en faisant du « practice »<br />

avant d’avoir un niveau suffisant pour accéder<br />

au « 18 trous ».

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