- 56 - 14 vam - Bibliothèque de Toulouse

A)4aRRE ERTS
TOULOUSE U. en, 40 f. 6 mais, 24 t. 5 mois, 4l f:
DU.PARTEMF.NTS - 50 - 56 - 14
ETRANQER Lev Gais aupplémentairos d. pendu
C. tee ALONNMLNT8 se t..
oa ion
Tu, LOUSD : Anx tlnreaaz da Journal, rue Saint-Romo, 46. 1
Chez M. Bavas, J. J. Rouennais, a ; t
t ohm MM. LarBlu-Dullier et plao; de la
Y A B [ S " Bonres; S; M. Fleuron, en, de Trévise, 22,
p Soute Correspondants pour les Annonam.
TOULOUSE, 25 Novembre.
TÉLÉGRAPHIE PRIVÉE
Paris, 24 novembre, 9 h. matin.
Les fendilla radicales publient u .,
adresse à M. Thiers signée par 52 ce.- port et aux résolutions Min najoil6. me, surtout à l'office du soir
se!llems municipaux de Paris.
Le neutre droit s'est réuni hier sons
On arrété dit général l fi, préaideu vam dn M. 11 rmr 11arc-C'
r:mdfa. La
lerdit la coeunu.!icn de publication
eme
in
la publication réunion parait Fernt résume à vu- em%exesoaa ns La u>rTa-ceaonxn,
des journal La R4urreclion. I ter avoc la Droite les réoiuti.n. de In
Commission Su-adret,
P..r, a4 ! ul, e, u h. dli sot
Madrid, 2r novembre
fi
CLASSE DE 9871
Z llm t ind diqunnt le dernier numéro
.
Des drap dies à
"' eaulan de la cnne- pris ane chaque contingent 00n-
Les ;riuatio,.n d u Temps tn, lolt tonal.
ciipl.on ont eu h¢deMMorcied et a Tor-
que m CI', 'im, ,t tic el aurait oin
nn aoucousn
1¢ ) li 'fi' province tocs,
slité1 à eue J
niai, lé
ent assi-
II 31T1 rs lai[ ! télégraphes ont et,' détruits entre Colleurs, 8 Is c nbeg
0bserver qui. celle notions e po hait lerona ni ilnmelone et entre Séville et gué, 10; der é 30,
pas être isolée des autres questions
Casmnel, Ça inscrits; cvahogent
mns!ituhonnulles, Ion- la prorogalioa
aloi.
des
éttesidence, le re
nouvellement p L. tief,
membre de le majorité a répondu
qu'il fallait actuellement se contenter
do régime parlementaire, saut' à traiter
les autres gmsstiose après la libération
do territoire.
Lo Tesnpe ajoute : On ...es que 111.
Thiers aurait été frappé de l'in6ismnce
de la majorité de la commission, mas
q 'il serait disposé à e rien céder jet.
qu'à ce que l'Assemblée ait décidé entre
1u Coaimisstmr et loi.
tin'
lettre dn duc d'AudiOpet-Pas-
âalç rsuri
lese ocre iers duos le csm -
ltordeel manquent d'outhen rieur,
puisque toc comminsairas saut obligés au
secmu, et qu'ils Sont taux parce qu'ils
.,,ai incomplets.
Daine, 24 novembre.
La ville est c0mplétement tranquille.
Les trsupea et la gai,e natim,air occunnt
Ici ptiocipliul points. Deus' la nuit,
on > fait Incline., ¢sml'uns.
ol se-
Paris, O', n ombre, Il h. du son.
Eîectieas municipale, : à Monl.r toge,
M. Lenexeux a été élu par 854 voix
nlro iiS à M. Ileyrolle ; à Charonne,
M. Il'rold, républicain, obtenu 709
vol. IL A. Verdier, 49 G. 11 y a bailliage
Les avis de Versailles de ce soir diseul
que la situau-Il de la crie ee a est
pas madiféa,
FEUILLETON dn JOURNAL de TOULOUSE.
die 25 Novembre 1872.
v
XXVIII. ST
Nous avons laissé Valon tins promettant
11.Iler à Vlillms, dans le doubla lotit
d'y recevoir ane seconde luis les adieux
de l'uni,et d'y être au moine près d'lréne,
en cas de malheur.
Celle promesse , a ec quelle ardeur
elle voulait la tenir Illai.s aussi que de
diflieutrés à volume pour la realrser,
sans trahir le triste secret qu'elle avait
promis de gardes ! Obtenir ai- i de
but eu blanc, sous l'apparmme d'un es.
price, de se l'aire conduire an chlteau
par le père Etienne il la tante Ilrigitte,
il ne fallait pas ysorgee. Décider sa paecnieuse
maman à bander de place, sa
raison majeure, était bleu difficile aussi.
Mais quelle est l'imtoeonla ,jeune fille
qui, du momeot où sen capot est de la
partie, ne devient pas un peu diplomata
P
[lune Valentine, en l'embrassant, en
la Ileurissant de sou banquet matinal,
en loi aidant à s'habiller, racootu à sa
mèe monts. quoi l'aul, venu tout e..
prés, le mutin, pour voir sa marraine,
était reparti sans souffrir qu'on la réveilld.
Ce qu'il te voulait, ajouta Valentine.
«DIRES DES DEVANTS E'S DES ARRIVAIIS DES TRAINS DES ®EMINS DE TER DU MIDI 137 D'ORBBAPIS (Servie. d'ltl).
Dipset.: Ais I
Patin, non 't 18 Yat6A, 3 i3
Malin, 5 s0 Maàm,(AgenlS 1g
Matwm, (Bxpe.l 11 Soir (Exil l 48
uatr, 4 36 4iie, 3 35
BuG, Accu, 6 20 Soir, 40 40
ueaa aa m.
Matin, 8 40 Matin,leero) 8 55
Patin. 6 0f Matin nspl 10 30
Départs t Areiv4.:
Mutina 10 00 soir, J. t5
laie, (exprd 2 00 sans il il
fait, 6 t0 Soir, l0 00
Nie, Bareu, 6 45 fois, 1t 56
u.xa n latin..
Yann, 6 45 Mat. Mnstej D 10
Patin, 10 45 Soir, Paa, l 05
soir Pau, 2 15 Soir, 3 50
Baie Msnte.l 5 s0 Soir, 8 Io
eureu nlrSess effet sans les veilles sonores de notre al. SCGaudene, 137 inscrits ; contingent
Paris, 25 oorembre, 5 h. malin.
oreille basilique. M. de F. a dit le Credo assigné, 53; dernier numéro, 88.
(lier, dans la réunion de la gauche tic sa belle voix de basse. L'orgue Il- St-Martery, 55 touries; contingent asrepablicaiee,
les membres faisant partie sait entendre son harmonie puissante rogné, lé; dernier numéro, 68. 31.
de la commission lierdrel ne vonlanl pas emr1 les divers morne... de vient. Salles,112 inscrits; contiugent assigné,
pas violer l'engagement de garder le an. 1-e soir, l'innmination de l'église a été 37 ; dernier numéro,
r f, uguré hier l 'inlto.
ne .sont bornés à dire que la min.splendide
; o ina
ô d ti nn d d i lle basilique unanentssannNT nu avare
viré tle la commission dép erra un rap- oc tl ga m,a la vie
L'fl d portet dos résolntons opp p alneneees assistantetr,itner- é
oaée au ra
é Au(erire, et. inscrits; contin, nt essi-
-
4e
_,Une bande républicaine a paru dons
la Sierra Morreua et en Andalousie.
A Barcelone il y odes symptômes d'agimlion.
MM, tes AGorailés dont I'd1101rnement
empire ale 30 courant , son
priés tle le renoasueier on temps ufil,
dans l'envoi du Jeu
PRIME OPSPilli'E A NOS ABONNli'8
Trois francs a,.lieu de 12.
NO0V L Au
Juurual d':!irlclllture
s nt il tl ur livraison
agasfors ri /armant col,,aie chu/ ee aunes un
onierle la aSi5rt4 sr
tao Il, It.àvol.et30n lirnnynl..r
1789-1793
Album de l f on en pied avec
50 octaves histuiiq a.s et bogie, huile
An lieu 100 fi., net pool [ce abonnés
16 fr.
CHRONIQUE LOCALE
La paroisse de SI-Serein a célébré hier
vrc m, grand éclat la lite du premier
évègno ^i l de Tvnlolrso. Mgr Drsprez a
pot tif '.trouent à l a mise o et
vêpres. Un I excellent a chanté uIli
messe de hueront quia produit un bel
mil été ceux-ci : a Dites biler à rua bon.
marraine que, ai elle m'aime un peu,
elle n t,ou,rea jai oetlleare
nv ae me le p, ou ver qu'au 'collet
inj, id'hni a i IJt
M_.
U Lbn Arl, a lilpa f,.", S
stator a ci, pan -il appel; rssl celle
robe à Villie I n louç'nt .vrc
quelque solenni,é, songea-t,vite tout de
suite a se composée aile toile lie en Imr-
monie arc le tète tmporlant du e
Iialrire qu'elle serappnlie co à jaunbc et
pin., depnla loi gtom is elle riait Inchde
Iv F Ira do l.,ol lait soit fitaon,
et puisque !occasmn spitant de
prendre sa défense, elle ne la laisserait
pas échapper.
1St riité, la cause n'était qu 'à demi
gagné; Paul n'avait nul besoin de sa
aine, mats bleu de Valootine; or il
Pouvait se faire que la capricieuse maman
laissât sa fille au logis. Là, il fallut
ore de case.
I,Chiue
maman, dit Valentine, tu
forais peut être bien d'aller à 'iiliers
seule...
- Et pourquoi donc seule, mademoi-
selle t
- 11 y ;airlaura
peut-élee
des contestations
Paul t In OOmtraue... rai
peur que ce ne soit pas bien gai.
e,r
Eh bien ! sait P vous ne deviendrea
donc jamais une jeune fille sérieuse
t l'as bien gai : j loi reconnais là
du mummn qu'il an s'agit plus de fêtes,
de bals, de plaisirs.
Nous savons quelle vie de recluse menait
Valentine, mais elle se garda bien
de répondre.
- Qu ne votée pauvre mère se rési-
il n'a pas daigné me le confier; mais à à une corvée, continua la douairié-
en juger pa ie tristesse, par son abat ¢, c'est bien le moins que vous en pretemen[,
j aibien peur que ce ne soit gra niez votre part.
v;.., peut rire a-t-il appris quelque ahove. C'était tout m que voulait Vilentine,
Toojnuis est-il quo ces deruit re nuds j lori,tic in upparrneg vielorie.use an
gué, 15; dernier numéro, 22.
Fronton, 129 inscrits, contingent asalgué,
43; dernier numéro, 50.
Grenade, D4 inscrits; contingent a.!gué,
51; dernier numéro, 48.
Léguevin, 4' inscrits; contingent assigné
I6; dernirr numéro, 27.
M'alueteao, lf4 inscrits; contingent ansigné,
1S; dernier numére, 24.
4'ouloose (ce ire), 3f0 inscrits; contingent
oseigné, 1114; dernier numéro,
1 SG,
'fin lonse (n rd), 252 inscrits; contingent
oseigné, £04 ; deetiee numéro,
51.
'l'oulouse (ouest), 285 inscrite; ntingent
assigné, 6n, dernier numéro,
167.
lin'l'anion (sud), 189 iuscrit:n; von.
g. nt, navigué, 79; dernier um loi
1zc
V;.rfcil, 47 insert ts;contingeut assïgnë,
fu; dcruier numéro, 70.
Villenmr, GO inscrits ; contingent assigné,
16, dernier numéro, 28.
'Innu ssunsNT nn aT-oorunnna
Aspc!, 155 inscrits; aontingent assigné,
51, ilernter nn naece, 7!
Aueigne', 100 tocrés; centingmrl a..
signé, 33; dernier numéro , 65.
Dagvéros - ae - Luehon, 'pu inscrits;
mnthtgent assigné, 52; dernier numéro,
53.
Bonlogne, 112 inscrits; contingent asaift1
77; dernier mimosa., 75.
1.'Isfo-rn liadnn, 407 inecrits; nantisgent
...igné, 36; dernier n,méro, 57.
Man lréJrau, 121 iu enta; contingent
assigné, 4f; dernier numéro, 58.
St-Néat, 1Ug inscrite; cmluugevt saisi.
gué, 84; dcruier numéro, 52.
St-Bertrand, 108 inscrits;
assigné, 56; dcruier uumérq 54.
contingent
de rtos 1 al este v.ù om , De y était
é rami e. a sac de noix... où donc
le père Étienne novait-il trouvé net horrible
véhicule qui cari l!o titi, la Perrniile
1 Paul amuit au moins dù mivoyre 1¢.
Il vu l'amérirainc ...
EI cc col nrgai sentait la pipe Ou
avait roc a',or gê let et ouu..u t Il o'y
ami babiluellcn rut ar nue, lippe te
Nesay à Villiers, a. voilà qn¢, pour air,
ils et aient déjà fait une ,lemi-dan-
vsQnnd Valentine et sa D'ère arrivèrent
au cbdteau, - rircnnslance dont n
.vous vu profiler Paul pour s'arracher
enfin de la chvuLrc do ea mère, - l'humeue
b¢Iliq u;eue de Mue de L;gniéens
s'éusit accrue de toua les déboires du
vol l,és
pi les premières tendresses laisl
sag¢, Valentine monm chez Irène, laiasant
ons prises sa mère, la comtesse IL
l'abbé Maurin.
Mme de Lignières voulut parante tout
ignor.
Voua anse tous, toi, des mines `de
cars,?meprunmit, dit-elle en mmtière de
prologue ;tons sortiriez é lire hroucLtés,
rabotés, suff'ogDès, eommemai, dans
e abominable voiture, que uons ne se
lire pus autreent.
-
l'In.
hélas ! répondit Mme de B¢au
champs, si ce n'était que cela !
Et elle racontamprud la scène qui s'était
terminée par l'ievl et irréparable
aveu qu'avait fait
Lige 15101 sans plus s'émouvoir, voilà.til
pas un beau rnaltteur I op donc avez-
gué, 28; dernier numéro, 45.
Carbone, 72 inscrits; contingent assigné,
24; dernier numére 5U.
Cazéees 98 insurils; cuatingeot assigné,
53; dernier numéro, 51.
C!ntegabelle, 61 tuscrits ; contingent
"gel, 20 d d n, 34.
J t 87' c t figent assi-
g 21 diru r ér , 38.
Mo t sy e
U... s. roi.
Dlpsrtst Lorivlu
Ynio, f 0a Yatinj 8 3f
Boit, 3 20 Bon, a fa
$ou, B 40 Sou, 9 38
Ll.p La.tILn. x__
a 93
Patin. 6 t0 Mat.
6oh, 3 55 Bon, ville. 3 47
Soir, (ville4raJ a 10 Soi, Teesm. S Bl
soir, t4 25
Volveslre, 00 inscrits;
onuvgent assigné, 20; dernier numéro,
26.
Muret, lie inscrits; contingent assigné,
37; dernier numéro, 39.
}heomes, 82 inscrits; contingent assigné,
27; dernier 42.
pieux, 47 inscrits; contingent assigné,
/G; dernier numéro, 23.
SI- Lys, 7U inscrits; contingent assigné,
25; dermes numéro, 51.
A¢e0rvm68naxN6 en VmL6G,ANCnn
Caraman, 79 inscrits; continganl assigné,
26; dernior ouméro, 38.
Laits, 37 inscrits; contingent assigné,
12; dernier numéro, 21.
Montgiseard, 72 inscrits ; contingent
assigné, 24; dernirr, amener, M.
Nnilioua, 66 ioscrits; contingent
92; 22; dernier numéro, 37.
ItoveL 111 inscrits; contiugent assigné,
37; dernier ouméro, 50,
Villef'ranche, 116 inscrits; contingent
assigné, 59; dernier numéro, 60.
Totaux, 3,983 inscrits; cuutingent rial.
eue, 1319,
h - Conta mémunt à la loi, le
Cm,sml de révis' tua déclaré
ment libérés du s ce de l'armée solire
les jeunes gens tde la classe qui sont
de numéros plus élevés que
les dernirps numéros do p*ésent tableau.
Certifié par nous préfet de Ia llaule
Carmme
Acculons, le 22 novembre 1872.
Cl,. Faauv.
Les amis et connaissances de Pa famille
Pujnl, qui n'auraient pas reçu de lettre
d'invitation au s vice anniversaire de
M. tjianda Pujol, ancien gérant di Jonrnel
de Toulouse, qui sera célébré mardi,
26 novembre, à dix heure., du matin,
dans l'église due Minimes, sont priés de
nsidéree le présent avis comme en te
rani lieu,
as
FACULTÉ DES SCIENCES
Année scolaire 1872 1875.
Les cours de la Faculté des Sciences
commenceront le lundi 2 décembre et
auront lieu aux jours et beures ci.
.prés:
Mathématiques pures (professeue, M.
Malins, doyen de lu Faculté) les marc
dis et samedis, à 2 beures.
Le cour, comprendra deux parties dis.
linetcs
lia premiére partie arma consacrée à
lespsl d principes d calcul d,ffé
I el de 1 p :ales appbcat
ux co b s et ae rinces.
D ns la deuxième partie, le profes-
YWL.4ne. N. s TeW-.
Du auvoue I
Adtnonces, la ligne, 0 fr. 30 a.
Réclames, la ligne, 0 50
Faits divan, la ligne, 1 00
Toulouse. = Typographie Ph. Yoaraaau, pluie rue Saint-1 (1 c
ses diverse. sources, des effets qu'elle
produit sur les corps, et de ses reloues
avec le travail nécrotique. Quelques leçens
seront consacrées aux grands mouvements
que la clulenr solaire produit
dans notre atmosphère.
La seconde partie du ormes aura pour
objet l'élude de la lumière et celle de
la chaleur rayovnanle, eu prenant pour
guide le s4ntime des ondulations, auquel
l'acoustique fournira de nombreux points
de co mparaiuse.
Chimie Professeur, M. Filhol, directeur
de l'scole de Mi-decine) : Les Il,.-
seur, .prés nlia nn oe uen de l'intégra J_
d es fonctio oc ih entielles, eu l'ara
à atlen à rclilcati de des mr-
11 e
l ers, la détermination des surfaces,
dos volume., dos centres de gravité et
des moments d molliti Le cours Il ter-
' ra par l'iniégrotioa des équetpan.
d,fPérentielles et aux dl8érences par.
titilles , et pal le calcul des varia
fions.
Mathématiques appliquées (profvendre.
seur, M. Casrheau) :les mardis et re
di à 2 heures.
fie professeur prendra pour texte de
ses leçons le peogramme de mécanique
erigd des aspirants in grade de licencié
ée-seimmes mathématigoes.
Le cours comprendra deux parties dis.
bectes
le Les principes de la mécanique
tionnelle et les yv esLioos qui en IL, Jen.
-
-
dent ;
é2 L'application de eoa principes à la
mcanique iodnstrielle ou science des
m vidons.
Astronomie (professeur, M. Despeyrous).les
Iuadis a 2 heures du soir, et
les mer as a S heures du mutin.
Les leçons dn lundi auront pour obdis
et meerend' à h du soir.
Ce cours sera d e é on, u parues
diatinetes. Dan I pr m é , le professeur
exposera d :bmd les lors qui Agissent
les combrnaiso is et les décomposa.
Lions chimiques; li tracera ensuite l'histoire
des métalloïdes et de le p
pales combinaisons ; enfin il traitera des
se la et des métaux en général.
Lis deuxième partie comprendra l'éDrv
de des métaux eu pueliaalire, Un c
tain .ombre de leçons sera consacréià
la chimie organique.
Zoologie, a alunie t physinl agio
comparées (professeur, M. Joly) t Les
mardis et vendredis, à 7 heures et de.
mie dnosoir.
tiLes rganes et les l'onclimts de rela-
on et de reprodncti on, co 5a 1 fis
dans toute la série animale, tel el
le sujet du cours d'm,atomio et de physiologie
conacrées.oc
Le professeur s'cupera en outre de
l'histoire n.torol'e de l'homme et de ses
races, ainsi que de l'histoire des soi
man. vertébrés.
Les leçons de zoologie proprement
dite aurasl lion le mardi ; colles d'an'Atomie
et de physiologie comparées, le
vendredi,
Botanique (professeue, M.,Clos, dito,:
lune du jardin des Plantes) :Les lundis
jet l'exposition dea procédés d'obseeva-
Uou des céleste. IL la déméthodes
les pins
et mercredis, à 4 heures.
Ce cours sacs principalement pour objet
l'étude des clossificutious bomniqueu
simples, de lais aete000an quos.
Dans les lapons du mercredi, le professeur
exposera le mniplémen[ analytique
des méthudss astronomiques et les
et des familles entnrelles des planton,
soi Je da notices générales s la Géograg
phie botanique et la Paléontologie
v é étale.,
principes fondamentaux de lu mécanique
céleste,
Couru ae Physique : (Professeur, M.
Dagain) : Les jeudis assaillis, à 7 heu-
'l' du soir..
Quelques leçons préliminaires 'seront
eonsaorées à r pester !les principes les
plu. impormnls de l'organogeaphie végétale
espoaés dans 10 Canes de l'année
précédente.
Aeprés avoir consacré quelques leçons
à l' .position dea principes généraaz de
la science, aux méthodes qu'on y suit,
et' l'étude des causes premiére, des
phénomènes, le peolessoue passepa en
renne les faits de bt pessolvur et
qui dépendent de la crosbtulioo malé -
culaire des corps.
Cenfnrmément à l'urcèté du 5 juillet
1853, le professeur fera, pendant la bell;.
saison, eoa ezeuesions saentiques; dan,
lesquelles il exeenraa les élèves à connaître
sur place les caractbres et les familles
des plantes,
Minéralogie et giolugie : PruPessanr,
Y. Leymerie,) les mardis et vendredi,, :à
11 1 s'occupera ensuite de la chaleur, de 2 heures 1/4,
fond.
vous vu des secrots qui ne transpiraient faut. les vertus qui ne sait pas de son
Afars cornmencérent les 9ameala- pas tIl ou tord P Ce qui m ricins, c'est
d
tious :
que erlai ci soit resté étuooilne, prés l'us nainelI Stil avait SIérun pel!tl vains,rsb éu
Quel
ac 1 p pét I q la il quart de A 1. liens rs pourtant confitRen hypocrisie Bleu gnmaces 1
a I 't in ]
trois fa
I ga d. J
plus M. l'ab - - y a en tort uo juste milieu, rua
t 1.. I les t J,.
!tint b,.. E.,en il, , v s juive, la proue a da répliqua l'abbé,
béas, tondis quo c'est vous qu'if faut -Si Sil a dépassé, c'est que vs ou l'a-
accuser...
vezvoulu... Que Pnul eut été réellement
fil t se récriais comtesse.
le comte de Beauelsamps, e t vous évasiez
Oui, venu deux...; à la place de ri de ses premières escapades; au lieu de
cette pauvre entant, il y a beaux jours cela, sous'ceüe impression qu'il émitiDu-
ui0adescdeassé file
val, et, moinstque cela qu'il était Do, olé,
lesieb
grn yednmér
et solr e
avez fait des allaites d'1:tal...
Ire les sempit .ilea t.,uriales de 51. Delà, euusorte d'aoimo,vé Iériprogne;
l'aLhr'...
Il jeune homme â est dit : s Puisqu'un
biais ma chère !
se floue Pont rien justifions an na.,los
Madame, prrmettae I
cette nubien ;. et il est parti la bride sur
- Je il' vu=s permcteriea que de ni 'é- le cou.. Son seul tort, à lui vit de
nonrer. Puisque le chapelet est entamé, ,nus avoir crus sur parole; le vôtre, bien
déldoirsdejusqu'uollernior grain Quand anhement grave, est de l'avoir trompé,
va par trente six chousins, on aboutit lui donnant pour brome et valable oie
mal ; v
oulcir, Di rie pas position qui ne l'était pas... Sortes. de
ooloir;llvoosa êtes raflée
à hue et à dis, là si l'ota
e disait tort b l'heure cet alfrenz ' eu pnetBZmadone, reprit l'ab.
charretier qui ,n dnisail... Dame bé, à qui Paraissaient ls'adreinre plus
omit que Pont en qualité paeliculiéremeut ces reproches , pour
do R¢Inrhamps, il patron le traiter c;ru- a part, je n'ai rien [ait qui ue m'ait
me tel, et ne pas loi frira cette sihmtion été inspiré par mon profond attache.
amphibie de fils de famille vide parie... méat à la maiauo des Deauchamps.
-11 me semble que vous alleu, on peu -1:L Irène, monsieur, elle 'en l'ait
loin, ma vhére amie.
donc pas partie, de la maison des Beau-
- Vmnrx-vouz que je m'ourle P Soit; champs P
laisaona la vérité dm,s eau puits... Je -Si, madame, mois...
pr!férerais que vous vu,siez one bonne -II n'y a pas de mais qui tienne; jr
r
- Diois
ms d...ce.
pardonnerais encore à la comtesse, mère
il y en a veille, reprit la mm malgrl vile, léséo an prdans emier chef,
teve.
.Reluis doua sa fierté , ses préju-
- Mille , Lest trop, nue seule suf0gés... litais, vous le représeulant de
at.
justice qui ne cmifoud pus
çonduiL i in l'in :'nt avec le aile I vous la
mmgs iï deéIleauiirau! sage ie et l'expérience
S'il avait p:i ebé deus ln tnce.
I;h Lieu I après P répliqua M". de aise voie, ajouta M. llaurin,..
- Oni, n'ester pas, répliqua vertem;at
Mme de Ligniéres, a il avait eu
mnIvmts L'abbé soutint titi il aimait Pont , ce
qui était au fond assee vrai, que souenL'
il .rit inlerrédé e a laveur, ae
qui était encore vrai; que,Somme toul.e
son rôle de médiateur avait d I rues,
que, duos aucun rua, n nsp Inr
,
et" iII
de
durfils arre la un";
le guide,
le conseiller de cette fière
qui auriez tilt rire le modéraleue
voit' de su rancune, et qui, an lieu de cela,
vertemenu le parlë
dimleique que ce 'était pas
de sa tante, si, semant le bon grain, ou
avait ré collé l'ivraie.
- Réruhd l'ivraie t répéta la douai.
riére, vous ne sauva p us coltivre;
r il n'y ujamais eu de terre plus fertile;
toutes les plus précieuses qualités
ont prétes à y repousser; Paul est an
garçon plein ils cceuq aussi générresque
sensible... Je tin vous le dorme pus
'comm parfait; il u les défauts de son
fige, et c'e,tfort h ureeux... On a toujours
le temps de devenir morose, scrmouneur
et plus ennuyeux que la plaie.
Aluape t pensa Mme le Lignieres... Ate
surplus, continua-telle, ce qui es[ fait
est l'aire, ma franchise n'y changera rien.
Laissons là fi, passé pour uons accaper de
l'avenir... El comment mon pauvre filleul
a-t-il pris la ohese t
- Mais de très haut, répondit Mme de
Beanclamps, il eu a paru presque heureux....
- Quand je vous le disais, qu'il est
plein de cmur !.. 'l'ennz, jean la douaietèee
en tendant à l'abbé une main
conciliante, je ne vous en veux pu; uons
éner, au fend, ul brave homme; mais,
entre anus soit dit, v0 n'avez jamais
rien compris à votre élève... Ah ! s'il
était devra. mon je fibiv
pliond
comme je l'avais
le proposé, e vous assure bien
qu'Il le serai!. resté tout ne long... J'auis
eu le bon esprit de e faire aucune
difiérnce entre lui et Valentine...
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
VoGron PERCEVAL,
l' avez partagée I.,. (La suite à demain).

téter aine,.da- - +a .esse i erre i;; ,1. ,rit d s, bru il ,,-.I de lz s.,u cota. q . lui e: rs pa s ro', rr t r obl a on 00' I :r i la convict ors pr. fo .do qu ura
»Leur puni objet l'étude de le téalo I, Sranges et ils h Sols i..t i t c 1.1 le a l l q 1, ni, r r . "'Il tp obi t e gé.
gir.
1 -.s toutes les centrées sas ev I t la'-'l Il, est é élé qu'au prendre Part x délibérations dr il de p
i n
L II. I i I. t f, Mesuieu s, s vous plaignez
I J E I t' 1 r Chambre, d 1 q.ni de plia pro! qne I l' te ,il n,
f P di d I 'applaudit e gauche, et roux
i i d
d '
ll !
ra t
. .
1 ru p ' . d l 1 l q 1
Il Il
Cure réa plusieurs années antérreu- I I . . ,''.t ,il p l b l . dalla que d : t r t r p I . l doser i r
y
y I if:t d l a v i o n s
-UU, ou
m I I la I. . d J 1, r ologi re: I d ve du bétail adonné gén are. Vaim "sot Wins Is d. J. I
Il
. ,usent i t n..t I . '. il p d t. .t Il - Il
i
,h ,,,I,,,, s Pte j ,i
( r, s I f . il ) L l l lh I meut et presque toujours un résultat Le!. trllgincu, d c t de 1 t
tl
f
V'l'Irs dq
o pies d c I t être ,t qu'Il perron ab , de s'y refit e 1 t p I l' u talisman
vrai, en e se de pr 1 cuber. J a r cira, il est vrai, et
g (. [ I le') Celle er Pet q e pa 1 pas E comme cette ail III
alliait, ,,plu f et p t 1 M. I tiers qui dit
nw ers el1 ia uc P . e 1 Jquel P i P t p t gé'le I - - t u a d b , 1 1 Pois à l a rem I I I t r : Passent u d t t Pue met, j y lie.,e,r peu 9 J
la,
d 'I 1 I t t 1 P-é 1 tt le
c
' ana
Il t
d 1 l
f
C leu pa s e d ,ura mau.ueeont soit permis de c ter un exemple. Drus
de f nul, test a.dito qu'une des leç us l'espèce ov 1 produit dune brebis
d I ve me sec onsac ec al. atterguad 1 .d.m t à peiné 16 te
terr.al.lvenrenl à laie elaà l autre, jus- Le capital, I dr oata sionns sute.
qu 'lu maneat où la part pvléontolugi- domaine réduisaient le bénéfice net à la
que rt lirlselogrgne veal, née. omme Je 5 troncs. Le ri produit a
nint cette année le chitine de vuigt-
L"a auditeurs de et cours seront con-
atterJ
fra.la. tenant compte des é
niés à r
.
Il
rr
a:z e
quel es e.xcu'nous'
as le Tmdoude et dans es Pyrénées mis appréciations, on airire
aimies
(Afisseing, SI Ma, .ry.)
lice net de la somme de
quinze bze
francs
', qui instille notre appréciation.
Cnnfére°cca ppréparatoires d la Le ré,"Ibt est à peu près identique
aben,,.
Pour 1,Idfverses espèces d'animaux éle-
Ces conférences commenceront le lun.
tés Juan n s fermes.
di 25 décembre, et aurout lieu aux jours
Le prix relativement satisfaisant de
et heures qui seront indiqués par nue toutes nos denrées agricoles constitue
affiche particutiéIl.
Pr notre agriculture nul situation
Ansouplus
favorables.
arasions o'exnnnns. Si 'on tient compte des clifi'res don-
Lirence és-scienves
1'r session : Il 23 novembre 1872.
1 secs 1 1 U J flet 1873.
U ut l t ,' mati.
tri scandas . le 1 .ai 1875.
2e nessimr . le 20 juillet 1873.
5, scié 5 le aovenrbec 1873.
wriscanns dit h;ei que le corps d'oc
1 1 Ironie 1 1 1 I L I i. Cet
I ; x l p it él
1 s tL é i s,roblé d
; la
ét Lrih keil ua m'n Oaa p,r,el
cor ils à la Morgue.
Ii .rl l
PU I
i l 1 t l t1 r
f q J
Il
,
I
A I. 6 I i
cria nuit ente v mais à l'a,
I
I i i cs gels net es ls
P lefU ,Ln P. êtes étau Le
mué C., deere.nrsnt rue d c 7 Tro°ba-
dnvrs, a repu pLrsie°rs blessures.
Le nommé B., âgé de 27 ans, clarre-
lier, s été arrêté sons la préventio.- de
vol dune monu'e au pré,,jndioe d'in de
sens camarades.
CHRONIQUE AGRICOLE
sitvstioe ageicola. - L'année ngrieole
1072. - tin ouvrage eur les machines agi-
1, l l' I I.U tir al 1 I bAttut
11, `e J l 4 éld 1sR hure de 1
,l u1 Uaro r ie
N", semailles d'automne sont à Peu prés
terroiuéex deus nos contrées. Cette mr-
sire eu Le npérstiona rencontré dans tous
tes terrains les plus grandes difficultés;
leLereornpus plusieurs fuis par ,les pluies
rot I
,meure.
,et, Un a,
,out p' s L 5
rs
,ai,, d J. nid
l i l 1 I dh dté
l [, t l é Is t P P
te télé é n p rel.
q plét I L L
du
Il g
.le
f ui las le ir . fi é s à fier
eé s Avec un pen dexagerahon
peler erre, gnelq..a n'en. praticiens ait
Mimant que semées dans des crrcoustan.
nalIl
gues, les céréales ont pu don -
.lrles récoltes lea plus abouda.tes;
t tlf is lé péri de l'avenir et
i, J .g la t I d'une manié
trop pers t il L tacle de constat
que les Lin l far le passage d
aLL^lagns à p f feux d'an mo
vingt à vingt i
1
Oniélres ne pe
veut point pousseur des geetoms qui m
et,
vent à la surface du sol La quantité es-
s iue de la ,cou ire remédie jsq à
certain point ù l'inconvénient as e
grave que uons lignaires ; le hersage et
,'émottage. faits avec soin ,arrosent une
partie de la semence sur trute, l'étendue
d t. et p lent p t jour
'Il,
1 n latal< à tous Parti,, Il.
s ré'el', , dsue les empreintes eom.
bernse, ne,:asiomrées par le piétinement
des aile laS s U hiver avec des frr i
vol
pu I
o les
I ! l.mP P
t f l 'péra m
i n 1 p use B
t ebl 's I ,t al
las bl L P d doul à la
Le et bl n t qu' daiaru part
sse t 1. 1,1 - l' t e per-
si, oiles t lépl abl.
A l'heure qu D est noire r npag
d II
g le de 187 L lie à s.
l pla qu'à t q lq t
de m et d helt e d fli.
b]e étend e T t.de o t d d
généralités on peut dretser alpieuima-
liveme.t le bilan de ans pertes et de
nos profits, litablire. peu de mets .elle
situation et faire ressortir, s'il y a lieu,
les circonsteuces qui ont pu marques' le
progrès gricole dans uns centrées.
Consdéré, dans leu, ensemble, les
Produits de la terre ont été abondants;
l'année 1872sera considérée ares °i-
son
Il, mme nue usinée rneepliu°uelle.
pour Iris céréales, lu récolte blé a
donné suivant les localités drn
es rendes
raloils
deII, assez variables quine sont .isolais
nUUS audessous d'une récolte ordsced
e . L. 1 orgeset les ma
s"Il arrivés dans I.l '*a
o'I
au
,Intimerais d'a plus élavés iép ssant
généralement 1. moyenn des produits
md,nm.a.
bruns les pays essentiellement viticoles
la récolte en vin, yaoigne un peu varia-
ble, suivantles reniées et sage des cé-
pages, a dépassé une bonne moyemre -
P.râceà nue température exrepton-
nellement hnruide, les t nnrrages naturels
air liheiels de tonte nature ont donné
des résultats que noria ne saurions com-
parer au point do vue de la quantité à
aneune année précédente.
uses e-e, .
M 1 r p loi p le , Il p q P. il , I
ans yaus de gnrlques 1. limes, qu d ise i q , r qui I t e ,e donner I t
le, les per , qne il pp et fient
Chrétienne L re çt an pies ,les
I insu q '.Ile snspieart de ses devo rs
de t lle, d épouse et de mère; aossi Punit-
et, pou dire, 1
elle devenu le lien
famille.
Toute n sire ville s'est
deuil dsse. p d l u. et
gnap puni é de d un t de
-y mpathre.pieu Lnr l uelqum ss seule peut
à des dnirleurs qne la religion seule peut
rendre supportables. De M.
Carcassonne, 24 novembre.
Les nommés Joseph-Prannois Baies
pn-ph Borins fil,, Magde{einel 1)ouradou,
Il iretiennent le dissentiment. Je l ig-n ,afin ut f L '1
se.roi
ce et même îun, Imité. Ma' , ce dont je Peur mou le parlé de B I : t 19n es apvons ,nu
pl a,, il u p. que J - 1
certain s 't litre à1. le pie: dent cote i: J'ai lit l q u sent
I
1 sblu 1 II I' clno mai,
de
r
la Républq e qu'il y art e° n
opposant se sort leva dors la Chambre s MessiQne, et la g,an,he sensappitnir'
Il' "" ait finie-lion le an pour protester contre mes paroles, - ra eus,,. s
a Ci,I, nie méme qu'il sot ao b
à
q
l
prenais le ver en[ du pays
l
la Chambre de le renverser La
l
I hi [t d .p b..-q e t que je le Il- --- .,---------
et e des dessous de cari q .I .lt d le noirans état. Cet engage.
l'aasembtée qui l'a,atéenélait guiper . IL, je le répété, va alorsacuun
NATIONALE
prép. rée. Ces dessous de cartes se rave u, tradietem. -] ai donc lie. de suppo-
lent et c'est grâce à eux que nous avons er que vos approuviez à cette époque -
luj.urd'Uni ma conflit latent, mais insu' mes paroles.
Dun autre tété, il est certain 1 e de ehlogé
prs, y a-4i1 e le goelgue chose
qui s pour que gouvernement,
Iu l
prépare dans le pays des ma.ilestations qui était Bordeaux, vrai,""'.lis gut-
peu agréables à la mvjorité. ment
de t'ait, si l'on leutgo.-
Mais Irtve de eenjectares. On se livrait ver.ement seul légal, .e le soit plus a.
ce matie à des calculs a jourd'hui Y Quart à moi, je n change
r la emp.silio. de Iaacevm uesinn Pas, et mes engagements, je les tiens.
Kerdrel. M. " t hiers y compte des mloue- Et eammeut te ira tiendrais-je pas t Ne
, mais il y compte aossi des partis,", saisje pas engagé sisis de vous,
liés zélés. Voici co ment les uns et les vis-à-vis même du pays t
autres se rép t eut Pour M. Th,een Il est en effet une phase de uns ré-
MM Aeago, de L .l y Rroard, Martel, lent' m II errn, phase terrible,
Gautleier Bu lly l Albert Ceévy i' 1 la praspenté renaissante eu au-
contre
M.dePI
MM lt. et Duval' ne bile trop généralement, mais dont, moi,
Irs
1 H t ère, Panier, d Audiff,ot l'as j'ui gardé l'aflllgeant souvenir. Je v z
,ciel, Lucien ,rua, Grinart, Ernnul; parler de ce moment où, Pans asmégé
doutent, MM. Barbue et Lacombe, par r as troupes, l'esprit de la Commune
Sol quinze membr"il e gouverneur eni nie paris se propageait dans toutes les
Il e 7 t f il 't 2 J. ville, i P u e enraya
lu -
ql p .rut e t r d t II 4 L p d t Y g Il, ent rein
,, an
q rl . y air pas de momifié, ou q ,,,I
bl e. alors. D' t tes les villes nous air
m+y,r té ù une nuis; on sait en e ffet I ie ont des depntahous
et il et it disposé à l e t i- I y Bordeaux, Morse !I L ll
et 1 t é ,apport, .1, le. épodes Havre, tc, r,m, faisderrt 1
présandr. Q t à M La h st q rit bruit le plus à la'
ire q,,agi
en mi per, 1 le M fhrerv, qui lu talion, la propagande et I esprit de le
n servi plis f d eerélaile pen- Commune, c'étmt la eraiele eà étaient
gant ses voyages à V.. filles, lors d'Os les esprits, méme les mm n, révolution-
g t d rt le f èr, jadis directeur na ris, que l'Assemblée et le Premdent
née i e . eonteibufmis indirectes, a d la ép bl qne ne rétablissent la m.-
été tout roué, il y a qusIques semaines, ,h ledus repousser ces craintes
consmllee à la cour des comptes. semées par les agitateurs, et, for[ de
Dores ces conditions, vous voilez qne l'accus i I fait à mes paroles à Bordeaux,
'est mors certain q tune rn.da m- je répétai et te ..celai man engage'
nation
da mésange do 13 novembre par ment prie an srin de l'Assemblée : que
la commission Kerdrel. j'avais reçu la république eu dépol, et
L'état de santé de M. Thiers enn[fnue que je remettrais ce déprit stil devait y
à rire plus 51srissaat que jamais. hier erre porté atteinte. Cet engagementré-
--tant de la million lier- pété, renouvelé publiquement eu deux
oies en
Ire], le président est allé se promener cir,;i 1, , il
ma;.tiendeai.
mémorables,
Je
cet engage-
à pied jnsgs'à il grille de Ville-d'Aaeay meut je le nulpas
t est revenu de méme en compagnie de l'habitude de trahir ma rments Si
deux personnes. La prétention de M quelgamn'ans ont compté sur
semoi peur
Thiers est de faire, sens su fatiguer, 5 cela, ils se sont trompés, voilà te.t.
kilom
êtres
à;'Loure t s Je n'ai donc rien à rétracter sons eo
c u,n'nt les I épnoselia ies, et Marie(Iclavil, I7oriasnnt
i l
é es con
s par nos mercur a
n
import:fions et ai les appréhensions pa- 1 ente Paru hier à l'audience du !ribunal
litigoés ne viemient d'une nmuieur via
eectiounelde Csrcasson; e, sans Is pré-
1 aucune paralyser les le.msaelions
neutron d'avoir le 5(I octobre dernier, à
enmmerclolcs, l'agrmulluare n F t trop L P é des ootrages rot
ver dans la vente de sou p oduit. g trie
1 fi. trevers 1. a é h ai d s
ce de bien-être et de F él . 1 d i' de Peyr sc âhnre
so
Noua n i pas la peau t I t I ;- I It spaud, dansl'exer-
que tout a été pour t ux 1 n de tee t t
née qui vie t 'te, s e:.onl Sar, S I ,nue 1 Le péor Raies a été condamné à 13
de embrun n a :,, s f 'au , s' .. t ,r m d 'loup meut ,les deux fi e
é v a t p 1 é l o à ai s I mère à
r .1 L nlle.à 8j J 1. ur pe 1
leurs pull mplor d s rai
(Coursée de l'Aude.)
l 1. p f L I I I
I n d i c e
t'il le,
i na i éer 'e srbl P
nul D. de Samedi 16 na-mai,
tals géré
l I I 1 de M ml lellliil,
co.utr+i [ Plein à t u l Ilat,
y
le p
de
de son, pl - gg t lin , lf J et i 1, If I f é a
t ritd 7
dols
d'nos d I d.
[e MM A t d l d e
L 1 t I t
et
D o l é I d -.. j rial
l pu g'
l R hh d kL t
e,tf 1 t i .ils P q
nloui
es él s à 1 g t, té dé blé. Couru me mareuce d d hm sa
Ces étuve, se nôs
,ri 51
en
t à psulonse eL medy le e tribunal, déclarant campé
penveol être très tt les à nos agi cul.
leur, a condamné MM. de dut et Auter-
tcurs.
, rie à 100 fr. chacun de doromog,,1n-
La peépsraliu. des fourrages n'a pas
léréls, à l'insertion du jugement dans
été tau ours secondée n rem
fut
lev trois jonrnanx de Montpellier et mes
omble ; les meules
i deux jonrnanx de Lodéve et aux frais
belle étoile et sans a+ ir été recunvertes
dii procès, le tout solidairement.
de paille et de chaume seul en partie
pénétrées par les pluies eut dimiuumont
n pou nea approninloanements mn VERSAILLES PARIS
f sans .
Sans que nos éleveurs de gros bétail -- -
d sens ent l'importance di mal, nous
Cerces d n B artiet,Iiére.
devons leur dire que l'épiznotie aph. ( Pon a c p )
tueuse a envahi plusieurs montons u
Versailles, 23 novembre 1872.
de noué dépsr
hu
ment. D'une .ère
ssez bénigne I maladie s'est madrée 1
On raconte qu'un diplomate ayant à
dans lus c t de R 1 rua t i.Pormer sou gouvernement par la vole
dansa. Chez
d
I
lait
d dosmin
es_.
1 P la ionique de télégraphe, de l'état 5r
duction e, ivu
tort de la crise, aurait envoyé hier la
art eL les
jeunes élèves
s.ece
ceom- dépêche suivante: On persiste à vouloir
lent facilement à la doobin mflieuce de faire de M. Thiers un roi canstitulioeuel
m12 maladie
IL d'une nourriture devenue et il persiste à ret'nser.
' Ieaine. Celas l'air J',,ne boutade, et espeu-
Celte maladie, essentiellement t ae
gant c'est presque I a vé.
la rr, s l a tf alim d
ent sou ppa
La m l 'Z coattnrte ses
en co.stab I I l Par is fur
dore-
dé r lin l' le pl grand= arenet,
s L é devait pour i'ué to t f q
p `,rr le t
L i 1 4I. 11 1.1 I 1
C Il o é , d h! f t
Imnr rit fat y t, a 'a, gnut avait
l 1 n' 1 l I i n dit.
d. la pla t 7 1 g t d I roi. taos les jn finaux du mal n val sur le
s u r , ,]Il 11 t ' 1 n err s r.est an mf,rresotet d ..g menls plus ou
double ne
"imnIda C t s c la lacs le, dont ta clés, n s aussi plus ou
semble acnualtemeoL dimi- nos in
sarta
°°ée
noirs
Oa i
egnore
e.lors les tésultals de la
le,
I;a à 1lnilintive de la Société d A- dfbbér aU.a q ui a eu lieu dans la co
gricultltm
rte la 1oi des
o
Ga rnnuehi le p lion après le départ de M. 7'lueee,
giéc da
n
ns l'emploi d pré
perer'
.
mais,
d'api ea le langage de qr élit ies
f t é été rué sence
embues, p . me q+: les g ;l utés
1 r' b ,u ris
pen
préarnun
bris
tevdm.I de pl {I à
yellé
et
l'a
1I
L i p. I i, dif- ,,a,, la muj lé f P
urgep
1
t, ueccoenanl
tar,
bi t. r
lie d'nnr. erpon,e, 'il ru sel
I. pl s 'f reno .us t t t .. P r
sit à proposer un ordre du Jour témoi-
eautrr peul i de l r Irae ltùt et ..a r g t f ui a gui m t
.,
LUI, Illus
é -f r t têt r unplrq°arrt l lé d éf
d
v
e
échelle de cesrécei les
en
Irtrhnnreell.s glus tul[crreuee t
an.
bous, débattues.
.I. Paul Gire membre de la Société La cemmissimi n'avait pas encore élit
d'agriculture de la la HautesGsroune, vient hier son rapporteur. Cils s'est réunie
de 1rueràlapublicité u culs tau njonrdlui à1 st,,, enten.
y t p e
I l I r éi
d'a e 1i. 'purs ,.à 2 h. On d t toc
bai { f t é A
"'Il
1
pp die sera gril ssé que midi ou
u 1 impl u des mari ies oing a se gé r,,rd,, ce qui serait engretmble à cause
sraDer, nul ouvrage concern ont la mé-
de trouble profond que la crise entre-
riqueagricolr. e p,i sil eprê, l
tient dans les eltatres.
I l
e P P d plus
us
n Out diré 1 à l p és d : MM.
!!ilU ty 1 t
d f i l f s . I Dont V ter
1 t iu 1r-1 i In'
té
I-
atir,
t-d 1 t If I U It rl Rl rév le
q ontété I IJ le t 1.. A .l B O etc. 0 a q t à
P
1, v 1 1 1, I b' et 1 pt, n' 7
,il pr .. d p
eal.,t 1 ils lue J N ( 11- 01 If,d S éai d. C y d M11,
cette n' 1 I mil p u de Itemus t L f y VV I J T e
.avec
J I - é t b l . t t à prier lie et de baauusnp d u tr. dé}
lie p
d'
S It I I'1 ors tés de la gan,he et du centre gau-
l Ic I s mie'mpte et l'cédil ch',
r,l
qui saltache tout unis à d. Is in- La campa e de 11'-st u .ammé,
I acmex. C. P. h ne, eur .révisa d ectrur, en reuspla-
met de M. Sanv:g., réclament dé
-- -
cédé. C'est M. .Iacquenin, directeur de
l'exploimtion qui a ire choisi,
v
s unb,ervstton+ merrorrlrgique, ,Il- Le doyen des académiciens, M. le nom=
'l"' P', I
M. v
ceer.,,,n
surfin n l'exnémi,d tiua ris la te de Sègre est gravement malade.
ores ds nsé.e. atriwdo las.. Ilier, a eu lien la prise de roule de
Du 24 novembre.
Mn. de Mérrdas,
fille d'a i 1 prié-
talre d'Al,are, fusillé pal I. P
fberm. cent. maxim. 'eiur : 16.5 comme franc-lirem'. La somme Je cent
id. min, de v
!a finit : + -}- los0 mille francs a olé affec ée par Ml", de
nions. sseon. Leur le r ec aman Mériders pour les Alsaciens.Lorrains.
9 h. m- 0m,743 I - cous. - SO calme. -
Midt 0-,743 . - 0 t-fable.
ve lie872
paris le 23 no
nr
.
L haro etc mo e ; il u gagné
lllirré s J.poi: ilee à raid:, le On né peut I lire g' 1 I r's
temps est r rg, l'air pul l', I v tenu huer par M le 1 rés, lent de ir Ré
,adore
ré;
léger
douc, léger la
brou sain' dans la publique dans la puma s: 1 é'
matinée. Gouttes de pluie vers midi et d'lxnma si la propomtti , le
po
s
d
dé-
demie. tendu la tnntion, lu que le public là
__ onrprend 't'
juge. 11,5;5 me sera plus
p ie la ,Enté. en &sant qwe cela gui
Oa nous écritde Cailla (Tarn), le 24 t à un conflit se trompent et u°
nove robre dot J i, I p s sl
Une perte b. douloureux, vient d sont, ', Poli, p I n' 1
J I I
_
frappa une d- s t u I l s le plsrsnous'
. il au é L I . 1-.
lI
eablrs ci les plus estimées d -ira villa
Madame Valn yCi uderc, fille de riclre
ancien conseilla' général M. de Lacombe,
La Cneerepoadaner aisersee publie,
suas la eulnemque de Versailles, samedi
2 i novembre neuf heures, 1, compte ren-
du suivons, que .eus reproduisons sous
tontes réserves.
Discours du Président de Ja République
au sein d, la en..il,in. K11,1111
s Le secret que les
robres de la
on[ engagés à tenir sur
leurs pli M. TIIin'ayant ses "' e,
i. é
ua par M pour ses e ei
,
,,
n Idé
il.,'i1
de 1. I'r
pous a
presque (,roupillaient. I pt, l s 1
M a l 1 i il l à l dl-
mande a as .t ) d d'a
t (t II.
it
ce
e eu luea
daru
g al,io n c ii
plt
,meut
le
e banquet Cleuoù il ., i1,
I t évrl bl
2-
Ida où i! a At
q I publÿ le gouver e-
eut
légr.al
t
pays
ne rit ri parlé
de la néres t . d . lIllil d p
- Sar c, p t M TI . . élu invité
à I le
teétrons et pe I in é d t de
la Itépubl q a répond
-de nitruré t une lu .1 -' b
gra.mue
à tous ces peints doux le sens sut
vont
. Mon Message, a-t-il van a été lon-
guement eltechr. Il n'a lias été ê,, -t à
la légère. il est l'express on, ... d'oie
opinion personnelle et
ive, m
de la situation méme et
d de
e
In
la force des
rapport non plus de. on Message. Pour
s et pour moi, la république est bien
legon isit légal du pays, faut-il
=inlerrant enntimier ce provisoire .u en
sortir, et, I 'il faut en sortir, est-Il par
l'a9ermssem, t d I ép+hl que ou par
te retour à la mauleoh e l'en, est matière
à appréciation. S., la première question,
jr vous lui dit deus mo. Message, et je
uns le répète : La prolongation du peu-
estimpessible, Continua' àgon-
un pays r ne la France dans
net état d'Incertitude, c'est marcher dans
le g c'est t- lt à 1 t
Il m- de ,ont L p. o
t flou, j e n' 1
v
J
P
P
à de m". pays pareille Pou.
bu l té
Quant eus moyens den sortir, j'ai
lais lé la Illuminée lors d, ,Ip,.II.,,,I,
d t d I{ - t é t l b
I
le-
et
j: s d p
p Félonie, Il J'ai lé lu
'té l r agence dune d vision à
torture, et j'ai donné mon avis sur ce
que, selon mai, devrait être celle déni-
(ét t mon droit d le, faire IL,
qui plus o
r devoir 1 . I I pé
s de vous, vis-à vis de mou
pays. C. devoir, je l'ai accompli dans
forme t largage adaptés à la
elle
g olé d ,l ,11a pouitien
,l' est
ai . vue que lintérêt supérieur du
paa«l
en effet, Messieurs, oyez-vons
choses. Je .'ai d.cI e à} t 1 e I q,ie.si j'avais 1 1 be lé d ho sir, je ne
n' 1 I L 1 r el eu in I
é f
res rmsLufis pl,'-
bai sq est de G bl v été l la
on , ^, et
p pF t 9 e 1 e Pas pour
Ce .'est pas à ce bmngr et exclusivement la Prauce 1 Angleterre à l'Amér que v
qu Elle supplique, mai
fai
s à l'ensemble des 1 Si Jye
nul pour l u tllrelation rte la Re.pu-
ts qui résultaient, d'eue part, ée mou. bllue, c csl qu'il 'est démontré, avec
ment qui, lorsque l'Assemblée s'est , lutte l'évidence des faitsla u cule[ de me
prorogée, sial pr sdat dans le paya pose on France
n
se
p... 1 orgamsaWen de banquets, et, d g » lent possible. Je .purs m
d'autre hart, des mesures pi sss par le I
tromper, et, si vous pensez le contraire,
gouveru.me t p I empêcher. t peut être vous qui avez ,aile.. d'eu
.Ce sont ce. f ta 1 tI 'tt qui d t,
en est résultée q él l é ta- b us croyez donc pu avoir constihies.
I Le banquet d G e obI él it a t a tee chi se que la repu biigne , si
ombre fer s Lots, eu c e seas que 1 p pouvoir rétablir la monar-
gouvernrmrnt avait le droit t le pouvait pluie, ét bi nez-ls. Je men lave les
peeb des réunions pubbgoesoe' ss et retire, s n ans vo
de suus
gansées rs quelque prétexte que ce lé le d , et sans cous
là,, il
n'étsoait
pas enne,on privai, de a pu é -en s que, s, vans u'y réfléchis
s'opposer ' des éonns privées, pour .a z pas , non, r quez de re ouveler,
Ir squel1m les réglementa et les 11111.,L- en vos aiguises de ars, avril et mai
lions prises par l'.uterité pour emld- ' 1871, les terribles
oeméunv.ents
de ces
cher que celles-ni m6me ne pnivoyual jours .étantes.
sut du trouble dues la rue, avalent blé
.Si, par coutre, vols pensez ..me
observées.
ci qu',1 faut eonsliluer eu gouverne-
s Quant au discours méme de Creno- 1 .t 1 f ttil aine pracla nrbmr,
Us
dite,
je me snis assez catégoriquement l q', ce gouver.. nl ne. peut être que
expliqué à soir égard a d 1a oui- cul If la rép b .J e c nservalrire, le
on de p m nr ré dont o rs,é t l vêt à m- 1 r lue a
lu s ,il
proteste contre le supposition qne je et à ,nos Paire, au ce qui co.r.la
puisse jamais pactiser avec de semblables pr nr'nne, tontes les concession que ous
d t 0 p é t'il déjà vyndrez, du moment
qu'elless
ne
gvéne-
d é devant la d ,I 1 n' l'A,- mil que ma pe 'o re et n nuiro,,t pas
Il était d bl J x intérêts d puys.
a durs rM g q.ri doit t 1. II': rai Ir q I onst tulion-
{ r s d rl homme d'Llut q t p e nulles dont ie p y ,',,,,,p,c: proionga
et non celui du cerscur i a gril, r oc' lien des pouvoir, du PréuluJent, re.ou-
c. bae.qurt quecomme je t'ai 1 Tellemnt partiel, seconde Chambre tP-
'loir
fait. céet à-d'u'e pour coestnter un joli.
t des relations du
Président,avec
dent qui serait marqué pendant Ira iva-
V' 'Il bié, il y en a de plus ou mains
le l'A I t pr 1 .+ret- I nu «entes.
Vaous
dérider,,, si vous voulez
lancé,
l 11 .:t p l I I d d ]',a débattre et quand. En ce qui me cen-
t i rl", p e j'accepte ce que vous appelez le
J g d a t 1 .t ministère parlementaire; j'accepte de pa-
,
1 J ,t é1 t l t p r I qand il r., lino moins ,ouvenlà la Chambre; lu-
l al p ic I 1
1
l-
à n n, fin, sur tout cela, vous me trouverez
1 11,11-1 le faut II 1vo
5 In a{n ailés l o m
élbl
lu
t
e sur e e 9
.
nement parlementaire, M. Thiers ..une i ble vouloir imposer au chef de l'État, , très coulant. Je ne résisterai que là pis j
Suite de Ja stance du 21 n.uembre.
Ni. Jean Brunet. - Il ne s'agit pas de
crutpr les croyances, ce seraitt'ait, inju
au plus grand aembeejdes br,ves habi-
de la Pr a... quis'est toujours distin-
gué par la fermeté de ses empanne - . L'ai ii.
gué que je propose n':r eu vue que d'vrtrin-
dec ceux qui nient hanlemevt dans le pro-
fessoratun ailleurs l'existence de (lieu.
(Très bien !à droite.) Les jurés doivent
faire une déclaration de croyance en
Dieu. Autrement p.isgne le serment leur
est doter é, les Jures qui ooosenurarent à
lelpréter devant Dm., commettraient nu
véritable parjure Au point de v
ral, il faut remontmrau principe de lente
justrc et de morale à l'existence le
Dieu L'athéisme doit être repoussé de
t t I prétend de
1 th l gal : p1 t t qui à des
p II i I. u triplés pur quelgoes loi-
Liés
roi de politique, et qui ne
pesa bIr nqi tr . b
ntdrét personnel.
CI dit : A quel bo .ans occuper
d'infimes personrrabtés t Vous n'avez pas
le droit d'attaquer la conscience d'aucun
cite e. ! Cavalent es-vu anus n
ousuteme pas d p cités mdiLaii es,
des incapacité c I t des incapacités
politiques. Vers frappez, dans l'ordre
rlrtmre, des hommes frappés d'infirmi.
lés physiques et vous ne fraoperiev.
Pas
des hommes frappés d'infirmités morales?
( Très bue. à droite )
Je me bornerai, dit en terminant M.
Brunet, à citer nui seul fait : Ce sont les
alliées matérialistes qui ont poussé à
l'exécution des otages. ( Teès bien à
demie.)
M. de préssensé, - Ce n'est pas moi
qui nierai que Dieu est aussi nécessaire
que lu liberté au peuple français. ('près
bien !) Je rendrai doue hommage aux lu-
tentions de M. Jean Brunet. Mais sa peu'
Position aurait pourrésullat d'agrandir
les scandales a. lieu de les
Comment exiger ce qua demande M-
Jean Brunet sans toucher à la conscience.
0 prétend outenie la religion, ai,,
qu'en soit ter tain, il n'y a as de
plus sur moyen de la compromettre que
de lui dorver cette ia.gere°se pr.iec-
lion. Il y a eu autrefois la eusécrauioa
du déisme par le procureur de la Com-
nne. N'oublions pas que l'empire de
la loi 'arrête où commence le domaine
de l'arbitraire. Nous de,..., ue r
respect absolu do la conscienee lin.
n in .
M Fha et n rend a hommage
an ,
t l de a1 J. Brunet; mais
p p t t mollo devant le ser-
t exigé, d j
I proaoucent
d"In t D u et devant les hommes.
Il fautent qu'il foi Lieu abandonné
l'homme qui e ura t I rnsteuce de Die.
et unblirrait les leçons de sou enfance et
de sa mer,.. ('très bien t) Ou parle de
déc,ar allons c .trairas, mais on doit
alossi .e pas méconnaître que si dans la
prospérité on oubl e pariais Dieu, ou y
revient presque lonlonrs quand le mal.
lise tous frappe Cent c témoignage
que la
devant sles é
hommes, se
tec'est
o,)ourd bol
pour cela
qne nous devonsespérer qvn n t)u ne
l abundannera pas. (Tuée nie !)
Il Jean Itr°nel mmsec pourra propo-
sil'on et cite l'exemple da l'Angleterre,
de la Russie et des Bats Leu.
L'amendement de M. J'a. Beovel est
souais aux raina et n'est pas adopté.
Apiès I.rdeption dune reotifir.ation
demandée par la commission duel moi,
phrase du dernier article du projet de
10h sur le jury, l'ensemble de la loi
unPme est l'objet d'u rote au scrutin
public, qui
donne le
rn
ésulmt suivant:
Nombre des ,.tants, fi3-0
Majorité absolue, 32(L
pour l'adophoq 461
Contre, 178
loi L'Assemblée a adopté le projet de
.
M. de Belcastel rappelle que l'inter-
petalion iq.'il avait annoncée sur la
,q .U té ieure,avanl la pesrogauon,
polit t 1 u après ta foi sur le jury.
L'in ' II. avait volé la pr.rogaline,
ell bi t iudiquar quelle était feus-
qurlle sil le frdé!ilé à mainlemr Impacts
de B nedeau

môme temps lmicho à la réorganisation , M. Rivet. militaire. vendus, et les annuités non échues r provenait en grande partie de l'échange
des c ..ils généraux de l'Algérie. Le 11ans le courant de la semaine peu. M Clapira déclare lu, le Conseil gé. pré rotatives ces acliians des c de la principauté de bombes, apparie,
,rojet date ils 16 l'cvrier 1872. chaire, 1'aole+sr de la lettre de faire parti cérat d'Alger a ou le tort de ne,,as au- d'Orléans, de Lo ùig et dr Briare seront nant aucomte d'Ev, et l'apanage ne pro.
1 fin s souvient des insurrections m a 1 honneur de l'aire connaître le copier la loi durhant aux conseillers in- également restitués S 'SI jouissance des agit pas des fila de Mme de Mnetespae,
algériennes
S
et notamment' des irare. ,jour d'un service gui aura lieu à Paris. digéaes.
C'eit
n véritable et la pire
miellé
yu ïls peuvent produire à partir pas plus que de Mme de Maintenus. 11
pl d des rtonstaa- de lie I [ n 'n 1 J 1811 p croit de la
grande Mademoiselle.
tiens dernières. 11 est é It M Ii i, FL
retiens e' v , , , t
Cl - n A l L t r e t 1 Une voix à gauche: four prix du
le dfeert de 18111 eu
qui d -, d f l i t e . d h t fouet,' dans f r i t i f t
I 1 P d r Loms mer a e avec Lads un
r il sait c tira [f t
été eir r éla i Al er
I d t d -
Ith il
t
a
1 p g - q
e ou d lu
a
pat il .1 t
g
lisp d Importa
le
nce dans les co l
.,
a Ilé nd
j
lire de ;l'Assemblée Consstituants. ]fana pu D .pis qu fier uns, .Ils pua i- Phil p ,.,.ai la p er .hou de la pré.
t f
l b d
i
ara e oi au o
men ,,,
Pire
Fera
létement fia curé et la ce foules les phases d'are existante lorgne qu'os une politique de fnuoa,il faut sente loi et réalisé drpoie, aucunes repé-
p ivco api e I t et t- pl sl a montré h p 1 y d elle..sel tout é I ., g v :sur Libido s ne pourront fl cées f x
r ,o.
I t
lacst
re
aprésentai
nn de I Flérne i. 1 d'+mésité, et ,es sentiments de té .aura le droit de n m.ned les ,,,.,,,11,,s Unies I ELLI, soit p t la 1
français et celle dr l'été ment ladgéne.
ration et rie sage béral'.sme lent fait assesseurs; c eut renforcer l'aulorlte du lion des tercets du 22 j...ire I8a2 soit
U. décret de 1870 avait donné leu droits
apprécier do tons les membres do l'.As- gouverneur. pour tout, autre cause antérieure à ces
,,es dg a des y t- e Clé. tuelm. A
u
laissatfil une Dya autegneisnre des .dur, ton 1 dés'. it.fi
,.ai lu
f t s .t Pou a I 'S', le - en. ils bourrés et d unausmes regrets. l'ét t u l'1 .t e t I I t I [cilla i tion de l'Ltat redire
d t d . l 1d f s a o r j a . L I p t (Ires b o n ! ) lis. Q fi l m t p I I'. t ce ! diluera est pareidemeatcmr.
Flerces
la plus larde ara F,, nommés
I le sur le Conseil général de l'Al- rmIl n vaut 1 . I tus a b s et I s+d C e eir e éteinte rt non aucune
s`""°"" i - `- ' ..
commission fait connaître qu'elle
,sel
rat seré!ée à duc relisais. par la
l d;élu ,Il our fur I
S
cn l o r
Ce
II
te
p
a
p ,
lle I Lit actuel des choses est maie-
1
le ci. Are et
payanu
t
l
1 inmdt, don avoir
tenu en Algérie jusqu'à la loi dbrga-
r,
Or'sblée Jérc lé' ent lx. Mois d'une nisalio spécial, s l'Algérie. Cette
iildn
a été adoptée pur 6 voix tien-
ka
il
ot
e
et
a,L;1'
d lu-, iicté rét
e
Ire
l
d
i
tieiin
doivent être ire o demande l'adoption de l'amendement de
tir
d i d [
. a re p . ,
let 1 ait: ote. M. Lacet, dép té d 1 Ap;é u M. d 'il t a plu ôl de lu majorté
L dé té d 1 U é et alors ar tirait l'us"'ire tir t pl.Id d 1. couffl de 1 mtu ss in.
e -
s'al. ,.air, s AI,],,,, Ils pr
sr t, tort L1 a ,fie. à
tante idée de civdi,atron
Et l'Assemblée saitco.server le rôle
pédiafenr ri conciliateur
su
milieu de
tons ; et c'est pour cela qu M. Clapi,,
pu s h. 1 il fait t q. 1 t fit M l t d t fait lourailre I'état de
le.
P.
P, s r'
b i proj,L ql
pull I tiré: Ir 6 l i t I. s il Y lad et celui d'un vote qui va
d 11 1 g l "I I tira u ,:
d n
i t pareil ces rut vcum.
mle.ndémc.
-+ a Pas un ,col qui La nujartté de la r mmissm n dit
r Celte propo,ilion rotrsaluni cnuç +e :
i
comprenne la langue .Jusqu'à la premulgalien de la loi
. j ruq,i a fie qui une n dv=_Ilc lai e hl. Octave dl."",., aurait cru que de réorganisation de l'Algérie, les asses-
aitaulrement ordonné;oiles as s la dispsiti0u nsvelte do la commis' leurs musulmans n seillers
mnsubnnns, inst'unés par te désrel ilo I lion ser :seceplea. Sans daute mus généraux en vertu de lau loi du u28 dé-
, formeront prés 1 lis aises eaitrr. musulmans ne 00mpers. embue 1870 conlimseront à
28 décmnber 1870
é.
des préf sui
ets de cloaque déparlemeut neuf pat tiorfuitement la tangue. ix délibérative an conseil gir
t s,récial appelé à dde;rr Mais si l'un entrait dans rate rd rai.. Celle classe est comnsune aux
notivé sol les affaires s .u- i, faudrait scruter la capacité ries conseil
l
' départements de l'Algérie.
ade avis
i
seil général, lorsque les
affairée
tcueheront sus intérêts des in-
digènes.
,Let .,il émis par le Conseil seront
rat ,ni par le préfet su Conseil géné-
ral qui devra les via., an tôle de cha-
os de ses délibérations au. la manlé-
ieLa commission voit dans le système
des garanties sérieuse aux indigènes.
Plus
.nnellsdo-m, ilMazeuil vaudrait
quo le système a adopter au Algérie rail-
l'it la ,,a
ture!isatiou fr,açaiso des in-
digénes et leur assimilation à la justice.
et das tore ors Irai ça(ses ; n plumait
alors sans inconvénient étendre les je,-
,
ituutions représentatives aux indigènes
mémés.
eifs d,,,n générale est fermée. Ou
passe àla liai uvaion des articles.
Art. 1.'.-Les électeurs dn départe-
ment d'Alger sont convoqués porc le
dimanche qui suivra le 12e jour .prés la
prondulgation de !a préseaL, loi
te
Algérie. Le nombre des membres et l.
formation des cru uuueeiptions restant
lels,qu'ils ont été fixés par le décret du
12 nutubre 1871.-Adopte.
2 - Le gouverneur général civil
de l'Algérie réglera par nr arillé spé-
cial l'ouverture et in durée du scrutin,
,blé que les formes du dépouillensent
et dur eus eut des voles.-Adopté.
Arr Ledeaxi e tour de sl, .lie
dans te, ctrconscriptin a sA il sera néeea'
saut, d y
procéder ana lieu le di snche
qui sioir celui
ausa en lien le pue
mierLeur. - Adopté.
Art. 4 - Jusq+i'à ce gn'nne u moelle
loi ci, ail autrrinent ordonné, les :t
snlm S o,iitiréa par le décret
du 2$ décembre 1170, formeront prés
des [587010 de chaque départe meut en
isa il upécials
u
appelé à donner ens avis
motivé sur luli'aires su
soif général, lors que ces altaiera
rosat aax inlLnila des iudigèn,s. CI, av
émis Par ec
cil 'o ',dit transmis pur
le préfet su conseil général qui devra les
viser un rate de chaoane de ses délibé-
raLie+s sur la matière. Cette dispositnlsion
e
rternn
de
commune aux trois dépa
Algério.
Le comte d'Ilarcourt reprend à titre
d'amendement, l'ancien article 4 dn;pro-
jet de gouvernement.
M. le comte d'llarconrt termine en fai-
sant nbserverque, dans les circonstances
diflcilesoii nous sommas, lutérét p01i-
tique exige de grau In ménagements eu
re,a Ils chefs indigéne",
brillent pas absolument par leur mtel-
ligerce (inonvemeuta divers). Les asses-
lsidoet.In- fers généraux, et n y fie a L-sl pas quine La mu.onté de la om.
' 'elle avait pré-
tient l art. 4 modifié qu
senté IL y ajoute cette clause :
- A la demande des ..,.,;IFS consul-
.aloi ayant voix consultative : ils se-
mur enimides chaque fois qu'ils le de-
manderont quand il s'agira de leurs t
térêts Les observations seront inséréos
au procés-verbal du cosrseil général.
Un scrutin donne 1. résultat suivant
Nombre de votante 607
Majorité absolue 314
Pour l'adoption de l'ameodemrnl de
la minorité de la commisaioa, 1Il
Coasse,
416
L'Assemblée Ils pas adapté.
M. Dotante, ministre de la justice,
Transmet à
l'Assemblée
n réquisitoire
par lequel le procureur général d'A.-
gels demandelà l'ASSembtée l'autorisa-
Don de ponrsuirre M. le député Carré-
liérieeuet, comme ayant été témoin dans
su duel où M. Appleton a trouvé la mort.
- Alonvemvu,s divers
Le réquisitoire et la demande de pour-
suites seront transmis aux bureaux.
L'article dernier de la loi sortes cou-
. ils généraux !de l'Algérie 0,1 adopté.
il en est de mime de l'ensemble de la
lui. On passe à la disdnesusn de la loi
pet, Il reddition d. biens non vendus
de la famille d'Orléans à leurs proprié-
taires.
M demande t.uns nvti du
projet pour éclairer
certeaines go
questions.
L décent du 22 janvier 1822 ava'L dis-
. eé de 35 millions sauna biensà pie.-
die de 1. famille d'Orléans pont river.
es afï,,tSI ors" particulirrs d'utilité pu-
bique dans laquelle était comprise la
Légiomd'linnnedu. Intervint rte antre
décret du 27 mare 1852 qui mit à part
la Légion-d'Us.. pour lava
ai
ion et la v
edr
bois
de
bieae et qui
ocrd vonne
la vente dit bois de l'F,tat pour nue som-
respondante de 35 millions fige-
nt dues les dotations du décret de 22
janvier 48!i2 et le domaine de Itimt a ee,
en défuitive, une perte de 11 à 12 mil-
lions. Le domaine de PEUL doit-il sont'
frit do la confiscation du 22 janvier
1862.
Voix Adroite, - Evidemment.
- Mais il est impassible que,
l'auteur du décret mis à part, le domaine
de l'État Soit endommagé
u. Il.
-L'Etat ne doit
to
pas bcauéficierctl nnSVOI. - 'Prés bien
1
- Tcés bien 1 je le dis
S
isnlmans ne compressent pas
taon l. français, dit on; ils ne le parlent
P. généralement, mais ils le compren-
nent bleu quand il s'agit de leurs inté-
néts , et les indigènes sont ceux qui
paient le fins d'ici ton a.
M. le Font, dDarcourt accepte La
modification nouvelm de lu commis.
lutou.
M tVarnier répond que le, Arabes
uni qu'à S'fairs citoyens hançais par
la
oc
Si
Les interprètes traves-
tissent le sens des choses dans tintés ét
arabe . Ainsi, à propn.e d'Abdel lieder, il
était dit : Ahdel Kader ,tendrait la
ineté de 1. France.!= L'interprète
ait
traduit :. LI prince d-sc a il seSdit
le sultan t
mévue pas qu'il s'agit d.» sulaa ode la
France, de l'empereur.
1;-ne voix à droite. - Ce ."et pas de
l'histoire, c'estdu roman.
Ni. Warnier. - C'est de I'histeire.
L'orateur cite d'autres traductions je-
ri
,ê"
Une voix à droite. - Mais ce ne sont
p-s des inlerpretations. - On rit.
M. %V:arnfer soutient que l'introd.r-
lieu ras sa!vten11 musulmans dans les
ails généraux avec.
x délibéra
l,,S est ian 'il, , qi and ejle n'est pas rs-
sentiettement dangeerosse pour les roté'
clIn fiançais.
I,l,rateur a passé an milieu des Arabes
et il a été un dl vos combattants d'Abd-
Il 1,'-,d,,,. Il rend jestire à 1,1 Mocrani
l'un aloi chefs qui ont Fort batta le prin-
cc. dix orep nts .1 b dol Kader. Le Ils loi
1 cuédd et il est relié fidèle jusqu'en
1871. Alors il a l'ait pinne des renseil-
lers généraux. Pooequoirdans les cir-
unsnoul, dltficiles où +tait In France
',,t-il mis do parti de l'Insurrection t
ris dans les
Parce gagé n'avait rien
bu
cc.sens généraux. Il
"'Lst
et
frère
e L D
ombF, bravement. Le
frèree
d'liI Mo-
.
c i'ns Suivi
nons nà
esemple.
M"tto leur place; si les
musulmans oc0epaient notre 4Race et
que nous tuassions à la leur et conseil'
le
,,, généra
ne veillent connaître que
s ailés faibles et ils ne pensent pas à
autre chose.
M Warnier a turco les hommes d'é-
lite de l'Algérie et particulièrement Abdel
Kader. Eh Lies 1 Abdul Kader a répondu
tout avec, le chapitre eeeond de Coran
loi, de traité de la 7'aKna. Ce chapitre
traite du' la direction IL des r.+pporis de,
voyants avec les infidèles. Ce chapitre
déclare que les iofidéles ne 'ni et rien
et prennent l'ordre peur I. désordre.
Abdel Cadre déclarait qu'Il avait trois
choses pour lui qui était marabout en
chef : Dira, le climat et la Chambre des
députés. - Rires d'approbation su, an
grand nombre de lovais.
Mn:
I'armer continue son arguments-
lio, ens faisant remarquer que non,
os pour doua lu démocratie arabe,
mais ri aIre ...a l'aristocratie. C'est
r l'élément jdémocratigoe que n
u
devons nous appuyée Quant aus Iq
soit ores,
il dy en pa tu eul
qui
u
soit venu à notre
aide
e
dans Il der'lère
guerr Luc.t déclare ques effet, tesÎ .tri-
Fil M
s mn fait appel aux chats ,ndigéues
et qüaucnu d'eux n'est vend en Fran-
v,it!,s acq i dr 1-.
e d p I S,lai e I+ de I.-
crnts abrogés, ni contre leurs (ayants
crase.
Voici le projet de loi du gouverne-
raeut :
,< Art. baies de 22 janvier
1862, ,,corrodant t les biens de la famille
d'Orléans, sont ri doutent .1o.gés
. Ait. 2. Les biens meubles et rte
meubl p l'État eu vertu desdits
dé c t t non .lié,. s à eo jour seredt
immédiatement rendus à leurs propué-
taire..
. Art. 3. Tous les actes par lesquels
les princes d'Orléans seront remis
possesion,soit par suite de restitution de
l'Etal, soit par suite de reventes opérées
dans le délai d'un an par les partie.-
lieux acquéreurs des biens dont la vente
a été imposée par lesdits décrets, ne se-
ront soumis qua un droit fixe d'enregss-
tremeht. .
Ai. Pascal "'p'at a lia Farole sur le
projet. Il..railvoulu, dit-d, que l'As-
em rs epend la discussion à demain
Il
paciearlera
cependant Il est d'avis qu'an
ne doit pas garder un bien mal acquis.
Aussi des ministres du 2 décembre qui
eeulèrenl pas devant l'arrestation
Ice
de Irons collé nés héaitérent-fls à si ne
les dénreLu de 22 janvier 1859. Il faut
+nullre la justice des
réclamations
é il ne faut pas méeonnaltre les droits
du'hounsor et de l'Etat .
IN. Pascal Duprat rappelle la donation
du 7-ut 1830 et la ratification tardive
du 2 .Si 1832.
Les biens de Lonis-Phillippe nul trois
les biens patrimoniaoz,
la
reddition des apanage, en1814, la dona-
tion de Lnuisy XVIII et les biens donnés
imprudemment Par Charles X.
L'orateur soutient que les biens lapsus.
gés de la famille d'Oniéansgsont suscepti-
bles de répétition, il déclare qui la dona-
tion de Louis XVIII était illégale, et
que pendant les neuf' ..s qae la famille
d'Orléans .jean de ces biens, elle eu a
joui illégalement et doit opérer une
restitution. 11 en est de môme pour les
apanages de la famille de Pepthiê,,..
a1. Pascal Dupratinsiste peur la ,e
titotion des titres et des papiers appar-
nant à l'État et demande qu'on .ana.
unifie par leslintérêls de l'État à des ap-
pét+ts immodérés.
M Cocher, déclare tout d'abord que le
renvoi devant les tribuuauz serait plus
dans l'ietérét de la famille d'Orléans que
la solution de I. question p.r l'Assea-
blée. Mais la justice été dessaisie, et
aujourd bol la
d
..question est plus politique
quejudiciaire. La loi a été présens
en sentiment d'honséteté, et
elletéa
été
acceptée dans un sentiment de patriotis-
me. (aluaeemens divers.)
Il semblerait, d'après l'orateur précé-
dent, que l'auteur des décrets de 1852
avait eu raison de faire rentrer dans le
domaine de l'État des bleus qui e
avaient été habituent soustraits. Et ce
pendant M. Pascal Duprat parle d'abra
galion de ces décrets.
Il. Rachm. - I. grande Mademoiselle
lais,. la principauté au comte d'Eu qui
la la s de Penthièvre, et la
dd fil ' d 0 1 n l'apporta à son mari
et à son fils. Ainsi il ne reste rien des
salions ou Pintât des e tirs histo-
riques de hi. l'allait Duprat (Applaudis-
se lents à droite.)
La propriété de la famille d'Orléans
est eue propriété comme Coule notre,
une pnoptré é privé. comme la mienne,
J'ai gaelgoes mots à ajuster, dit M. Bo-
cher,
Z,Jo suis à la disposition de l'As-
sen+blée, à moins qu ele ne veuille see.
voyer la disenssiou à demain,l(A demain !
à demain
La suite )de la discussion est renvoyée
à demain.
La séance est levés à cinq heures cin-
quante minutes.
UNE QUESTION DE PROPRIETE.
Si l'on en savait jusqu'à quel point
les passions politiques peuvent dénata-
r , t''saler la question la plus simple,
s'étonnerait que le projet de resti-
tuer soir princes d'Orléans .en partie de
leurs biens i dgnement cenfrsqués en
1852 donnât lieu sème à une discus-
,ioa ; la restitution est incumpléte il
est vrai, et da mit de la conhscntiun
l'Est bénéficie encore au détriment des
princes d'une somme de plus de ri gt-
cinq ouillions : voilà ce qui pouvait, à la
rigaoeur, fournir matière à discussion;
mais cette restitution telle quelle, les
princes l'acceptent, et ils sacrifient une
partie considérable de ce qui leur est
légitimement dit pour pas troubler
les acquéreurs de leurs biens vendus.
Nous imaginons que beaucoup de
eux 'loi leu .,casent d'avidité vol se
déci treuieul pas volontiers à an an-
tre, .vidas de cette façon et que
si on leur avait pris leurs bieus ,
ils en poursuivraient la restitution
entière. Mais crame il "agit de
prie;es, c'est bien différent, quoi qu'ils
lent pas un droit dont ne jouisse le
moindre citoyen;n'importe, ils sont nés
de
nces;rteée
avec
ila qusalitédest titisoue
casque ce qui Serait vol à l'égard des
uns ne l'est point à l'égard des autres;
un citoyens d'eue naissance illustre n'a
aucun droit à tons ruer l'héritage de
S
cétrra, i on le vole ma fait bien;
et s'il se plaint il a tort. Telle est la
morale d'us certain parti.
Nous 1. connaissons. Les approbateurs
des confiscations de 1. Terreur, de celte
époque où, suivant une expression vraie
à la lettre, on batlait sonnais avec la
guillotine, ne peuvent qn applaudir b
l'énorme spoliation qui enleva aux fils
de Louis Philippe l'héritage de leur père,
ils ne peuvent souffrir que l'Est rende
des bimss mal acquis pour lui, et ils
trouvent les princes bien exigeons de s'a-
bandanner à l'Est que vingt.cinq mil-
lion. au lien de lui livrer leur patrimoi-
ne tout calier. Oh! les braves gens, les
hen.êtes gens que cas critiques! et com-
me il y en a parmi euz quelgnes'uns
qui possèdent une certaine fortune, ils
vont, nous n en destin.. p.s, prier l'Emi
de lea en débarrasser.
Deux urate fia .eteu le triste courage
de venir combattre sine restitution si lé-
gitime, mais i1s ont été punis de leur
almmuntreuse idée par les erreurs
étranges où ils sont tombés. L'erreur de
M. Lepére rat de doctrine, mais c'est
bien lapins étouuante qui ait pu passer
paria tête d'un être raisonnable. Les
biens out été pris, M. Lepére ue le nie
.aie
:L
séde
uns
déat,
eslles,ntilceu
u
n tellement
prodigué ou alplacé t .,gent déro-
bé, qii ms somme il se trouve en perte
par suite des décrets du 22 janvier; il ne
doit rien aux princes. Puisque M. Lepè-
re est au Si
hou hemin, pourquoi ne
pas aller jusqu'a u haut et prétendre qua
vont le, princes qui drivent à l'Elal?
Eu effet, quelqu'un vous dérobediz mille
fia a, il les emploie à tant d'acqui
lien,ioutiles, nérenses, qu'à l'argent
qu'il vans a pris il est obligé d'ajouter
militer de francs du a' n. Mais il
. pas moins volé, dites.vous, et
j'ai droit d'exiger m eestimtion de mol
dix mille francs. - Point da tout,répond
M. Lepére; cest vous loi devez
mille fumus, puisque du fait du vol le
spoliateur se trome moins riche de cette
somme; voua êtes bien heureux qu'en ne
vous la réclame pas..
Quel raisonnement, monsieur Lepére,
et Si les haines et les préjugés qu'Il
nourrit dans votre parti ne vous offus-
quaient pas l'entendement, n'auriez.vous
pas plutôt eodell que la confiscation est
pour l'111at une vilaine manière d'arqué-
lit, que les biens venus de cette faou
ne ui profitent guère, et qu'au lieu .Ç.-
ne
retenir ceux qu'il garde encore par sui-
te des décrets de 22 janvier , Il a
qu'à les rendre ? C'est plus
Il...éle
,
et nous sommes d'avis que 1'.. gagas
toujour à être honnête , même quand
est cette immense chose Copier.
a...elle qui s'appelle PEÜA.
conhsgoés en 1852 ; il parla de l'apa-
nage d'Orléaux comme Si l'apanage aveu
quelque chose à voir aveu les décrets de
Janvier ; l'apanag tout entier a fait re-
tour à l'Etay
lorse
de l'avènement dis
oi Louis Philippe au trône; de ce coté,
la perte pour la famille d'Orléans est
complète, mais elle est légale, et les
princes ne réclament rien. Ce qui cal
en question, c'est la lorlnne privée di
roi Louis Philippe, une fortune qui lai
appetenait sunont le droit omsn+sn et
les lois qui régissent la propriété des par-
ticuliers.
Cette fortune, le roi la tenait sir gran-
de partie de sa mère héritiers, du duc
de Penlhièvre, et le dire de 1 thièvre
lavet reçuedu comte de Toulouse, sua
père; reluit fie avec son bée, le dire du
Maire, avait reçu des donations consolé.
eables de la grande s emmselire qui
elle aussi possédait ces biens à titre pa-
vé, in asuinte de sa méfie. En 1852,
les biens n'ont pas été confisqués comme
étant .p anagels, ce qui émit imendnm-
ble, mais comme ayant dû faire retour à
l'Elat en 1850, en vertu du droit de dé-
"lotion qui.etundait la re l prfuee
du souverain avec le dam
ainne d
de la Cou-
ru .e. On e tué jusqu'à la de,-
lié.
évidence
e que ue es droit e pouvait
pas urs Igner à L.nis-Philippe ; et
d'aillsura
la domo.. incontestablement
légale de 7 .coût avait reçu la sanction
des deux Chambres, c'était ira acte d'une
validité entière sur lequel la dictature
de I852.,. P. revenir que par uns
violatiou manifeste du droit de pro.
priétéé.
Q l'on ne vienne pas parler ici de
questions monarchiques, de questions
politiques; il 'y a pas de princes de-
vaut l'Assemblée, il y a des ?particuliers
qui ont été dépouillés file leur patelinai
oe légitime, il y a l'Est qui détient In-
justement une partie de ce patrimoine.
Faut-il que cette iniquité se continue;
faut-il;que l'État après avoir pro016 in-
dûment du produit des bilas .dus,
garde encore les biens non vendus, les
biens qui ne lui appartiennent pas, et
qui(
en
peut retenir que par ua abus
de la force qui menace, qui .urate le
droit de propriété de tous les particu-
liers ! Encore une fois, il n 7 a pas là de
question cuire la monarchie et la répu-
blique, car .oa. ne pensnos pas qu'on
fasse à la République l'injure de la con-
fondre avec la apolialioa et la confisca-
tien ; son, la question est entre le droit
de propriété et la confiscation. Voilà oh
estla question, nous la voyons là, et m
seulement.
(11oni(eur)
tao ,,rouer.
- On lit dates le Bien public
Plusieurs journaux persistent ' an-
noncer 1. retraite de M. de Cnulard et
de M. Ilnfanee; nous persistons à ffir-
er qu'aucun remaniement ministériel
n'aura lieuavant la solution des graves
questions à l'ordre du jour. a
0. remarquera la manière dent le Bien
Publie s'exprime : il semble que son dé.
tend ne porte que sur une question de
date.
- Lors de la chute de la Commune, le
s' ur Bergeret et sa. étatma,jor ayant
aband..n6 précipitamment les apparie-
ments qu'ils ecupaieut au palais du
Corps législatif, .I y trouva, après leur
fuite, un certain nombre d'objets de va.
leur dont quelques-uns n'ont pas encore
été réclamés.
Ce sont notamment :
Eue grande quantité de pièces d'argen-
ferle, marquées de deux initiale., dont
la lettre V;
Quelques couverts aux armes de la
ville de paris ;
Un couvert marqué d'un D et d'une
aube initiale
Une chaire d'huissier, avec uue mé-
daille perlant : Gardes nationales de la
Seine, étatmajor général. ;
Quatre croix d'officier de la Légion«
d'honneur(.euvea);
Quarante.sept croix de chevalier(neu-
ces) ;
Cent soixante'douze médailles militai-
res (..oves) ;
la laits let marqué M. de F.;
.. Des couverts et couteaux à dessert
sans marque.
Les per.onnes lui pourraient justifier
de leur droit de propriété sur ces objets
devront s'adresser à lit. Carmansi, d I&
, à
gué de la questure au Corps
rps législatif,
h
Paris.
- C'était hier ne triste anniversaire.
Le 90, novembre 1815, cinq mois après
la bataille de Waterloo, la Sainte-
Allian-ce imposait à 1. France vaincue le traité
de Paris.
La France devait payer, en cinq .98,
735 million..
Un corps de troupes étrangères de
150,000 hommes devait occuper les pla
ces l'orles du Pas-de-Calais, du Nord, des
Ardennes, de la Meuse, de le Moselle,
de RautEhin, de Bas-Rhin, et .dus de-
vides payer, peur cette occupation de
l'étranger' ulio nom me ....elle de
cinquante millions jusqu'à l'évacuation
du territoire.
M. Bocher conteste 1. légalité de ces
décrets et entra dans les détails d'origi-
ne des biens de Lonis-Philippe d'Orl6ans
en 1830. Ces biens se composaient de
biens patrimoniaux et de biens apana-
gés. Les premiers provenaient du père
du duc d'Orléans, de Lonis'Philippe-
Joseph et de la maison de l'enthièvre.
L'apanage de la maison d'Orléans a été
créé par de édit de 1661. Les .pan.-
gel étaient eu quelque sorte une resh-
tution aux puînés dans les biens cem-
ns du père, ou plutôt une compen-
sation.
M. Boche, relève Inities allusions
faites par M. l'serai Duprat à Louis Phi-
lippe Joseph d'0rléaas et y rois des in-
jures. Il trouve également que Louis
XVIII avait raison de restituer les biens
qu'il a restitués an duc d'Orléans en
1816, quand Crois XVIII était souverain
absolu, avant la Chars; et cette restitu-
tion a été confirmée pari. loi de 8 dé-
cembre 1814 quia aboli la confiscation
et restitué aux émigras les biens qui
lent pas été vendus. Louis XVIII a
fait ce que Napoléon .,ait fait.
La lai de 1822 a confirmé également
la restitution des biens .Canapés. Quand
tex biens patrimoniaux , l'asàertion de
M. Pascal UuPlat est encore inexacte.
lent as tous au.
dCes biens ersn
de n
de
Lords p
Philippe Jogepiemn. I
dire e
d
d'Orléans. On dit qn q
t r
. s
tint
ien d'abord reconnaître que sur les
b
biens rendus audurd'Orlians ev 1814,
il y avait 5D millions qui appartenaient
éanciers de Louis.Phdrppe , duc
d'Orléans.
En 1793, la Convmsticu fit mire l'in-
,loisirs des biens de Louis Philippe Jo-
seph II y avait 74 millions de dettes et
41 millions 4'actif. La Convention se
ebargeaalois de
succussion. On a plu-
toi exagéré le
pasla
sif, il y avait uue dit.
(Tente de 40 millions.
mil.
La 11évo!ntion id'argnilta que /1,,',
lions et s'appropria des vale::r' r, n u lé.
'(s r.
sé:'la
30 millions furent b ie, s
Ir
ais vous e vsWez pas
.'eu hl izt ,dit mle volé. (égRaOOn). Je
ais que cens qui doivent bénificier de
lu loi qae nous rendrons voudrons euz-
inénaes lois l'Est ne sait pas la victim®
des décrets du 22 janvier 18;12. -
il ru il.
Je tee demande, d'ailleurs. an fond,
qu'une chose c'est que 1'.. connaisse
l'émut des désastres duel a souffert l'État
ctdontaussi a sonf'ert la t'arrillo d'Or-
M. Jsalions soutient l'aille], de la ces.
mission ; il croit qae l'ancien article
allait enutraire aox intérêts de I'Algé-
et,, aussi bien qdi à ceux de France. Les
intérêts dos indigènes serontaeisnfrisam-
eat sauvegarderu par le cnnl spéuiul
devant le préfet. El maintenant duos les
sens généraux les cloefs indigènes, ne
I.An
main fiant senlemenl la féodalité arabe
et l'inliuenco militaire.
1Jacques pournuit en disant qu'il
'e, d'ailleurs, pas bon de faire trop
de noneescions aras Arabes.
M. V. Leieanc vient répondre à ce dis-
cours et conclut en adjurant fa Cham-
bre le s rapporter su choix q+se
fera Ire gouvernement d'assesseurs me.
9u lmans.
31. %Valoir, demande le renvoi de l'a-
mendement à la commission:
Le ministre de l'intérieur s'y op-
pose
m+smn-
hf.
.
Cré mieuz rappelle r
té}action du dé.
c e qui ont ,résidé à I a
'
crut de ,I'o,
La 'Suite
te
ri
de la discussion est renvoyée
b demain.
1,. loi sur les mobilisés est mise à la
suite de l'ordre de jour.
La séance est levée à cinq heures 50
minutes.
Séonce du u d d ?. nonenabre 4872.
Présidence de M. Joies Gnévr
A deus heures et demie, lu séance
est ouverte.
Le pocésverbal est lu et adopté.
M. 1ss,au "l nomalivep de laderntaiiteue
d. s'y silo d'iniliarlemeni
out sur ia
so
t
1e
M. 1101001.5, deoodrel l a. lus f l
d hangere, ne.en Pranus,
su
ils, sou
à la lui de rreeutcmenl.
hl. le IbésiJrnt. J'ai seçu une lettre
qui me Gît part, dame .,amère ulficiel
je5 du décès de nette honorable collègue,
léans par les décret, de 22 j...ine.
(Croit)te ne veux pas plus que vote,
d'eue iniquité, mais je eux me rendre
rompue de l'étendre de la ,éparutiou. Et
la question si est par aussi argent, qu'on
Il dit. Les coupon de bois ont été arrêtées
par convenance quoique, au point de vue
légal j" en peule pas que les questions
deuo0venunce doivent primer le respect
de la loi.
M. Jaabert objecte que la conscience
publique a déjà répandu.
M RobJert de Massy, ,.Planteur, s'op-
l'e'uurnemrm. On ne vous deman-
a
rendre tort, :;0t1ri fl T a 35
ne pus de
d'ions de fr., 'te veq'il pOn demande
que CE Lot restitu ce qu'il possède evice-
sau On a parlé
de
e foodatious de biedi'ai-
nxgoelles aurait été u,oo c 0
1>,nû ade l'aliénation des bilas, de la fa-
mille d'Orléans; puis, profitant d'une loi
de 18ti0, un a pris .an même somme sur
les foroLS de l'état nt l'on demande de
prend,, cette somme set Ils biens à
retl r aujourd'hm, quand la loi de
18730 o été détournée de l'aueclation
qu'elle devait avoir. Oa ne demande pas
11,
nombre tons les biens vandas, mes
seulement les biens duo vendus, et quart
outres, on u, parle d'ancn nu indem-
nilepour
la famille ,l'Orléans. Il faut
neeter la prcprièté, qu'elle oppartien-
ands du aux petits (Aux voix
ce Dl. Warnier termine en eonjur nt la
Chambre de ne pas donner aux cadi-
sudd , non Iéc ssaire. tin droit de
gènes
représentation devant t préfet la-
neignanon de lent .vit consultatif
. de,
sèlL le
, c
arabes
nbea général
do.,I.
nnera aux iu-
ié
téri;W futile satial'arlinn.
M, Chopper ra ppelle quelques phrases
qui .lit canin e lin à la ",'i ?fie p
ge le l'0/feiel ait, l'iusurrecliun del'AI-
e 1871 C"', u 1 st t-
trlbu :ml00l à la _iamoulu ! s
privilèges etàla uatur.lieation s'lard'.
aux isr.clites.
I.e colonel r r s'élève nontre le
qui
msi,rsil
ait pour rr+u
ystème Dat de
foire prédun actuel lrmcut l'élélu Il t
civil en Algé,il M. I:rémicns a ,coda
20 Véniels à propos de l'Algérie ; i1 Fe
oublié du sent : les Arahan saut sup-
Crimés.l'.effet, les Arabes n
l q .1 I l I ' i
1 en ( t 1 . .I,lte
devoir. Il y a 2,1M0,000 .suri fis, 220,000
,.lus, dont 425,000 fi anç s
11 faut, pour la civ lisslion _Il' mémo,
sauvegarder le prestige de la domination
aux voix d)
I
,ai ? Su il s l g. à i
Crédit tourier des France
Emission à 455 fr. d'obligations fou-
cières de 500 fr. 5 010. Emsssion au
pair d'obligations communales 11)20,10
i 5, 6 7, 8,9 ou 10 ans d'échéance. --
On souscrit à Paris, au Crédit foncier
de France, rue Neuve-des.Capucines, 19.
Dans les départements : Aux Recettes
des finances, chez MM. les Notoires et
cher taus les correspondants du Crédit
foncier. - S'adresser également à M.
0zenne, directeur de l'Agence du Crédit
agricole, à Toulouse.
VISES . coniques eu bois de ché-
ne, très-solides , cercles et
po grées en fer ; chez Di.
Vnn ar rue Bavard, 47. (2221) ,
M. Pascal Duprat n s'est P. tenu
sur les hanleura de la doctrine, il est
descendu dans tes détails. Les journaux
de son parti ...t'et son érudition ; elle
eut jolie, l'hérodition , et si c'est ainsi
que l'on connaît l'histoire de France
dans le parti démocratigon, noue ne lui
ce faisons pas notre compliment. Nous
relevons pas 'amusant lapsus lu, les
deux 015 de
madlame
de 9laintenon , le
t 1 1 ,stouoe elle duc du Mains;
I (h b t t t é de
La yuestio d l ot m s M l l',,
voix. L ' s j i dsl non .n g fi I L- roi y t' é. l. ted I dis
l p J t ee lo de lu . d u est p [ i I r . I t l ' la r', I I I 1. bl I p t d sursmoins
z
s Ar Ll1er (comme au piolet). Les prix bien os fouace é i ierl I
r p y s lf I able député en parait pas avoir
non payés des biens et coupes de bois Quant à la succesmou matérielle, elle 1 la ell mire liée de la nature des biens
ge du ro en 4514. Que pouvall faire le
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Poudres et Pastilles
AMERICAINES
n p t r on (de New.Yorla)
IAép.tatimI ell p 1
d d s
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des 9uleshns, erre (Est t 1 1 L ee lty de Londres).
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de 1(10 pièces.
(i/44)
composé
(Dépôt IInique)
Annoiees, P ublications l'égales (;t
OhPÈVBLRlg Sxp d aeitveraell
ARG8NTli8 ET UOR$R t
aLta a tvu rne
'{ripes, COUVEtT
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1 ORFRVRE[AIEO'ARGENr
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t.' tl il pr Sa050n c$OY1' C71 flréSsil
flmn iU pot n m nn
SAGOU DE L'INDE t t ro -s
FAtslr.FS DE LECU ES. CUITS rus eoscts
vPLOUAT FR Rï' &. CO,
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C!41S05 R5D.1lLI.8 019;\N7,tB
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ANUFACTIr',s ttepa'c'o Il, t t' , DEUX M1 D 1. Est
'Pa"" Ip 1 ,pat SU
drganmre et Lnri.r e ru, d, lotdy 505, Dé nlIC91T Dl IlD,
l0 11 d 1 dort,
i lf i/î1fÏl Cl,) Rimrgenlure aaccunssie u. r u Ilur e b 10 1 y)
arrRIsscclj
Notre représentant à Toulouse eetraAl Gaetover a UOJQLA56. 41, wi de la pue . .
veld pfdir eaasé, de i i Le 10 décembre 1872, à 2
pp g LYCÉE DE TOUI.OUSr
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