Que la fête commence - Ville de Québec

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158 159 Isabelle Leblanc Garou, Lynda Lemay, Patrick Bruel, Yves Duteil, Maurane et Michel Fugain. Isabelle Boulay, Garou et Lynda Lemay. Daniel Lavoie, Garou et Patrick Fiori. Yves Lambert et les choristes Que la fête commence ! / Productions du 400 e Paris/Québec – À travers la chanson Isabelle Leblanc Isabelle Leblanc Isabelle Leblanc Michel Fugain Michel Fugain et Yves Lambert Ariane Moffatt et Julien Doré Hommage à Luc Plamondon Isabelle Leblanc Isabelle Leblanc Isabelle Leblanc Isabelle Leblanc Lynda Lemay et Hugues Aufray André-Philippe Gagnon Adamo Roch Voisine 2 décembre 2008 Isabelle Leblanc Isabelle Leblanc Isabelle Leblanc Isabelle Leblanc Maurane avec Michel Fugain, Daniel Lavoie et Yves Duteil. Yves Duteil et Diane Dufresne Patrick Bruel « C’était une telle évidence, ces retrouvailles entre chansons françaises et québécoises, qu’une certitude s’est imposée, l’envie de recommencer dès l’été prochain. » – Daniela Lumbroso Isabelle Leblanc Isabelle Leblanc Isabelle Leblanc Isabelle Leblanc Hugues Aufray, Guy St-Onge et Adamo en compagnie des choristes.
160 161 PLeins feux sur L’orchestre symPhonique de québec Date de l’événement : 25 août 2008 Producteur : Société du 400 e anniversaire de Québec Directeurs artistiques : Yoav Talmi, David Rompré et Céline Binet. Artistes : l’Orchestre symphonique de Québec et son maestro Yoav Talmi, Aline Kutan, Matthew White, Nathaniel Watson, le Chœur de l’OSQ, Les Rhapsodes et la Maîtrise des Petits chanteurs de Québec. Le 25 août, c’est au tour de l’Orchestre symphonique de Québec (OSQ) de se produire sur la scène des plaines d’Abraham qui a accueilli Céline Dion et Paris/Québec. Lors de cette soirée exceptionnelle, digne des grandes célébrations, l’OSQ présente deux œuvres marquantes de l’histoire musicale de Québec : l’Ouverture 1812 de Tchaïkovski et les Carmina Burana de Carl Orff. Yoav Talmi L’Ouverture 1812 de Tchaïkovski, qui a été créée en 1882 à l’occasion d’une grande exposition industrielle et artistique, commande des ressources orchestrales considérables. En dépit de sa très grande popularité, Piotr Ilitch Tchaïkovski (1840-1893) n’avait qu’une estime toute relative pour cette ouverture. Le compositeur y déploie cependant tout un arsenal : il utilise entre autres des cloches, une fanfare militaire en plus d’un orchestre symphonique élargi, de même qu’une sorte de grosse caisse qui reproduit le bruit du canon. Tout comme dans La Victoire de Wellington de Beethoven, l’une des seules autres partitions qui puisse lui ressembler un tant soit peu, on y reconnaît çà et là des citations de chants patriotiques, tels que La Marseillaise – l’ouverture faisant référence à la désastreuse campagne de Russie de Napoléon en 1812. Que la fête commence ! / Productions du 400 e Pleins feux sur l’Orchestre symphonique de Québec OSQ Cette pièce a entre autres été donnée à Québec le 4 mai 1993, en collaboration avec l’harmonie de la Musique du Royal 22 e Régiment, en l’honneur du général Roméo Dallaire. Profitant de la présence des chœurs d’adultes et d’enfants pour Carmina Burana, c’est la version de l’œuvre avec chœur d’Igor Buketoff qui est interprétée à l’occasion du 400 e . Une occasion rare ! Avec les cuivres et percussions de la Musique du Royal 22 e Régiment plus les canons de l’Artillerie, tout est en place pour des moments forts en émotions. Canons de l’Artillerie David Cannon C’est à l’Opéra de Francfort, le 8 juin 1937, qu’ont été créés les Carmina Burana (Chants de Beuren) de Carl Orff (1895-1982), une œuvre d’une originalité singulière qui devait assurer une gloire immédiate et durable à son auteur. Quelques années auparavant, Orff s’était familiarisé avec certains manuscrits médiévaux découverts en 1803 au monastère bénédictin. On y trouve de nombreux poèmes, apparemment écrits par des étudiants, en latin, en vieil allemand et même en français. Il y est surtout question des plaisirs de la vie, notamment ceux que procurent le bon vin et l’amour charnel. Le compositeur a regroupé ses textes en trois grands volets. Le premier rend hommage à la nature qui s’éveille, d’abord par des chants au printemps (Primo vere), puis par la douceur invitante de la forêt et des champs (Uf dem Anger). Un second tableau nous conduit à la taverne (In taberna) où passent tour à tour le désir, la joie, la rage, le désespoir des buveurs avinés. Enfin, une voluptueuse Cour d’amours clôt ce triptyque, avant le retour de l’hymne à la « fortune, impératrice du monde ». Orff a choisi de mettre en valeur le sens premier des textes, sans chercher à reproduire le style musical de l’époque à laquelle ils remontent. L’auditeur moderne ressent donc de manière très directe le langage de la partition, essentiellement caractérisé par des mélodies simples, parfois délibérément primitives et ingénues, et des rythmes étourdissants. Le tout servi par une orchestration chatoyante, particulièrement riche à l’égard de la percussion. Le 9 décembre 1963, l’Orchestre symphonique de Québec avait connu l’un de ses grands triomphes en exécutant la première canadienne des Carmina Burana devant un public en délire. On parlera de ce concert comme de l’une des plus grandes réalisations artistiques de la saison. Cette œuvre a été présentée à nouveau en août 1967 au Manège militaire, dans le cadre d’un ambitieux festival d’été. L’Orchestre symphonique de Québec sous la direction de Yoav Talmi À l’occasion du 400 e anniversaire de Québec, ce concert grandiose, qui débute à 20 h 30, réunit sur une même scène de grands talents et de belles voix pour interpréter deux des œuvres les plus éclatantes du répertoire. Outre l’Orchestre et le maestro Yoav Talmi, on retrouve les solistes Aline Kutan, soprano, Matthew White, haute-contre, et Nathaniel Watson, baryton, le Chœur de l’OSQ, Les Rhapsodes, sous la direction de David Rompré, et la Maîtrise des Petits chanteurs de Québec et sa directrice musicale Céline Binet. La sonorité percutante de la première œuvre exécutée est rehaussée par les cuivres et les percussions de la Musique du Royal 22 e Régiment et les coups de canons de l’Artillerie, alors que des feux d’artifice illuminent le ciel pour la finale. Nathaniel Watson, baryton. Maîtrise des Petits chanteurs de Québec 25 août 2008 David Cannon David Cannon Membres de la Musique du Royal 22 e Régiment « Maestro Yoav Talmi, les musiciens et le Chœur de l’OSQ sont honorés de participer à cet autre grand événement. » – Sophie Galaise, directrice générale de l’OSQ David Cannon David Cannon David Cannon Ce sont 50 000 mélomanes bien emmitouflés qui sont subjugués par ce spectacle magistral, la température froide contrastant avec les soirées précédentes. Près de 90 bénévoles ont donné 600 heures de leur temps pour appuyer les services d’accueil du public et des 2 750 invités de la Société. David Cannon
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