Chants

Autre Chant : OUI, JE ME LEVERAI ET J’IRAI VERS MON PÈRE G 48 Lucien Deiss Cna
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Analyse du chant:
SEIGNEUR, PRODIGUE DE PARDON G 152
T : Claude Bernard - Musique Michel Wackenheim
UTILISATION: pour ce dimanche 4° de carême C après l’évangile.
Le 4° couplet et le refrain pourraient se chanter avant la communion.
C’est aussi un chant pour toute célébration pénitentielle pour le 24 e dimanche ordinaire de
l’année C où l’on retrouve Luc chapitre 15 mais cette fois avec les trois paraboles de la
miséricorde
L’origine de ce chant est bien Luc 5,11-32 : Le Père est tendresse et pardon. Il fait revivre, il
relève.
TEXTE - PAROLES
Le refrain parle de l’Esprit qui fait revivre.
« le premier don de l’amour est la rémission des péchés » catéchisme de l’église Catholique
n°734
Les couplets font revivre les attitudes des différents personnages :
- le 1° couplet : le père qui attend
- le 2° et le 3° : le fils cadet qui se repent
- le 4° évoque la joie du retour et la blessure faite au père par le refus du fils aîné d’entrer
dans la démarche de pardon.
Le cantique est même plus optimiste que l’Evangile : c’est une fin « réconciliée » qui est
souhaitée à travers la conversion qui croyait pourtant être resté fidèle.
LA MUSIQUE
Les couplets en en mode mineur, tandis que le refrain est en mode majeur.
Cette alternance marque la cohabitation, dans le cœur du pécheur, de la conscience de la faute
et de l’espérance du pardon.
Le refrain a une certaine symétrie : la seconde phrase imite la première mais c’est à travers la
tierce inférieure alors que le plus souvent l’imitation se fait en passant à la tierce supérieure.
Attention à la 3° phrase : « par ton Esprit nous revivrons »
Les couplets ont trois phrases qui comportent de plus en plus de paroles. Il faut en profiter
pour bien articuler le texte.
MISE EN ŒUVRE
C’est un classique « couplets-refrain».
Mais il est impératif de commencer comme la partition l’indique par le couplet.
Il faut faire l’expérience de la rupture pour connaître la réconciliation !
Il pourrait y avoir plusieurs solistes :
l’un pour les couplets 2 et 3 :
*C’est le cadet qui parle,
*un autre pour le premier couplet,
c’est la parole d’un témoin de la miséricorde.
*Et un autre pour le 4° qui fait parler le fils aîné qui demeure en chacun de
nous.
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