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Dossier de presse du Festival Trenet 2011 - Narbonne

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La chambre où l’artiste est née reste un espace préservé. Il y est juste indiqué<br />

que c’est là que Charles <strong>Trenet</strong> a vu le jour en présentant son costume<br />

<strong>de</strong> baptême qui y était déjà sous cadre et les circonstances <strong>de</strong> sa naissance<br />

y sont racontées aux visiteurs.<br />

Dernière pièce <strong>de</strong> l’étage, le sauna. Dans chacune <strong>de</strong> ses maisons, Charles<br />

<strong>Trenet</strong>, qui se disait «né poète, mort athlète», en avait fait installer un pour<br />

gar<strong>de</strong>r la forme. Il accueille un écran où seront diffusées quelques unes <strong>de</strong><br />

ses plus célèbres chansons, précédées d’une explication sur l’origine <strong>de</strong><br />

ces couplets.<br />

➣ Le <strong>de</strong>uxième étage<br />

Grâce à une animation originale, le visiteur va découvrir Charles <strong>Trenet</strong> se promenant et chantant au coeur <strong>de</strong>s<br />

sites historiques <strong>de</strong> <strong>Narbonne</strong>. Des «gloires <strong>du</strong> XX e siècle» sont également présentes à travers la repro<strong>du</strong>ction <strong>de</strong><br />

dédicaces et <strong>de</strong> lettres que <strong>de</strong>s personnalités ont adressé à Charles <strong>Trenet</strong>. «Je ne suis passé à côté <strong>de</strong> personne<br />

d’important dans mon siècle», avait-il l’habitu<strong>de</strong> <strong>de</strong> dire.<br />

Le vieil écran <strong>de</strong> télévision, placé à gauche, dans le salon <strong>de</strong>vient un véritable petit théâtre optique. On y voit<br />

Charles <strong>Trenet</strong> interpréter ses plus grands succès.<br />

La petite chambre, point culminant <strong>de</strong> la visite, est<br />

transformée en un karaoké interactif. Les visiteurs<br />

pourront chanter avec Charles <strong>Trenet</strong> lui-même.<br />

Enfin, Charles <strong>Trenet</strong> sera également présent entre<br />

<strong>de</strong>ux étages, dans les escaliers, à travers <strong>de</strong>s partitions<br />

offertes par les éditions Raoul Breton et <strong>de</strong>s<br />

<strong>de</strong>ssins malicieux signés Cabu.<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Ville <strong>de</strong> <strong>Narbonne</strong> - Cabinet <strong>du</strong> Maire<br />

Tél. 04 68 90 30 61<br />

www.narbonne.fr<br />

DOSSIER DE PRESSE<br />

Vendredi 17 juin <strong>2011</strong><br />

<strong>Festival</strong> <strong>Trenet</strong> « Y a d’la joie » et<br />

aménagement <strong>de</strong> la maison natale <strong>de</strong> Charles <strong>Trenet</strong><br />

La Ville célèbre les 10 ans<br />

<strong>de</strong> la disparition <strong>du</strong> Fou chantant<br />

PRIX SACEM-TRENET<br />

SERGE LAMA<br />

DANY BRILLANT<br />

ALEX ET LAYLA DHERS<br />

APACHE ET LE QINCHO<br />

DOMI<br />

FLAGRANTS DELIRES<br />

FRINGUES EN BOULE<br />

CONCERTS OFF<br />

GRANDE SCENE<br />

ARTS DE LA RUE<br />

BODEGAS<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Ville <strong>de</strong> <strong>Narbonne</strong> - Cabinet <strong>du</strong> Maire<br />

Tél. 04 68 90 30 61 - www.narbonne.fr


La Ville <strong>de</strong> <strong>Narbonne</strong> célèbre les 10 ans <strong>de</strong> la disparition<br />

<strong>de</strong> Charles <strong>Trenet</strong><br />

<strong>Narbonne</strong> est indissociable <strong>de</strong> Charles <strong>Trenet</strong>, monument <strong>de</strong> la chanson française. En 2008, l’équipe municipale<br />

a décidé <strong>de</strong> créer un festival portant le nom <strong>de</strong> cet éternel ambassa<strong>de</strong>ur <strong>de</strong> la ville et mettant à l’honneur<br />

la chanson française. Cette année, pour sa 4 e édition <strong>du</strong> 23 au 27 août, le <strong>Festival</strong> <strong>Trenet</strong> «Y a d’la joie» prend<br />

un sens bien particulier : il y a 10 ans, Charles <strong>Trenet</strong> disparaissait. Outre <strong>de</strong>s concerts prestigieux, le prix<br />

Sacem-<strong>Trenet</strong>, <strong>de</strong>s animations dans les rues <strong>de</strong> la ville, <strong>de</strong>s bo<strong>de</strong>gas, <strong>de</strong>s expositions (etc…), la Ville a voulu<br />

marquer cet anniversaire et rendre hommage au Fou chantant.<br />

Elle a ainsi décidé <strong>de</strong> réaliser <strong>de</strong>s aménagements scénographiques dans sa maison natale. L’inauguration <strong>de</strong><br />

ces travaux aura lieu <strong>du</strong>rant le festival.<br />

Un festival qui grandit d’année en année<br />

Pour sa première édition en 2008, le <strong>Festival</strong> <strong>Trenet</strong> « Y a d’la joie » offrait trois jours d’animations aux touristes<br />

et aux Narbonnais. Cette année, pour sa quatrième édition, ce n’est pas moins <strong>de</strong><br />

cinq jours <strong>de</strong> festivités qui atten<strong>de</strong>nt le public.<br />

➣ Les soirées <strong>du</strong> <strong>Festival</strong><br />

Nana Mouskouri fait l’honneur à la Ville <strong>de</strong> <strong>Narbonne</strong> <strong>de</strong> sa présence et sera la marraine<br />

<strong>du</strong> <strong>Festival</strong> <strong>Trenet</strong> <strong>2011</strong>. Une fabuleuse rencontre pour les artistes en herbe qui<br />

participeront au prix Sacem/<strong>Trenet</strong> : Nana Mouskouri a à son actif plus d’une trentaine<br />

<strong>de</strong> disques d’or dans le mon<strong>de</strong> entier et s’est pro<strong>du</strong>ite sur les plus gran<strong>de</strong>s<br />

scènes internationales.<br />

Elle dédicacera son <strong>de</strong>rnier ouvrage le vendredi 26 août à l’Office <strong>de</strong> tourisme<br />

<strong>de</strong> 11h à 13h.<br />

Mardi 23 et mercredi 24 août : Brel, <strong>de</strong> Bruxelles aux Marquises<br />

(cour <strong>de</strong> la Ma<strong>de</strong>leine, 21h30)<br />

Biographie musicale <strong>de</strong> Jacques Pessis. Chantée par Nathalie Lhermitte et Jacques Pessis, accompagnés<br />

par Aurélien Noël.<br />

Tout le mon<strong>de</strong> connaît les chansons <strong>de</strong> Brel. Mais que sait-on <strong>de</strong> sa vie, <strong>de</strong> sa carrière,<br />

<strong>de</strong> la réalité d’un <strong>de</strong>stin qu’il s’est souvent amusé à brouiller ? Ecrite,<br />

mise en scène et interprétée comme une pièce <strong>de</strong> théâtre, cette biographie<br />

musicale nous immerge dans la vie <strong>du</strong> « Grand Jacques ». Elle retrace le<br />

<strong>de</strong>stin hors <strong>du</strong> commun <strong>du</strong> fils d’un « marchand <strong>de</strong> cartons » qui a choisi<br />

<strong>de</strong> <strong>de</strong>venir « marchand <strong>de</strong> chansons », ses débuts difficiles, ses années <strong>de</strong><br />

vache maigre avant <strong>de</strong> trouver son public. Un véritable hommage à ce monument <strong>de</strong> la chanson<br />

française qui disait <strong>de</strong> <strong>Trenet</strong> : « Sans lui, nous serions tous <strong>de</strong>s experts-comptables », soulignant<br />

ainsi les changements importants que le Fou chantant a apporté à la musique.<br />

➣ Rez-<strong>de</strong>-chaussée<br />

Charles <strong>Trenet</strong> en personne accueille les visiteurs en images et en chansons dans sa maison natale et dans<br />

<strong>Narbonne</strong>. Un arbre généalogique montre les origines <strong>de</strong> la famille <strong>Trenet</strong>. D’autres images permettent <strong>de</strong><br />

voir et d’entendre Marie-Louise, sa mère, et Charles lui-même raconter sa naissance et évoquer en musique<br />

ses jeunes années.<br />

➣ Le premier étage<br />

La «philosophie <strong>du</strong> bonheur» <strong>de</strong> Charles <strong>Trenet</strong> est évoquée à travers la reconstitution<br />

<strong>de</strong> l’un <strong>de</strong> ces longs déjeuners avec <strong>de</strong>s amis et d’images <strong>de</strong> coulisses,<br />

où l’on découvre son art <strong>de</strong> bien vivre.<br />

Dans le bureau, ses années <strong>de</strong> pensionnat, le cauchemar <strong>de</strong> sa vie, sont racontées<br />

en images et en chansons par sa mère et par lui, à travers <strong>de</strong>s documents<br />

d’archives.<br />

A droite <strong>de</strong> la cheminée une troisième fenêtre s’ouvre sur le passé <strong>de</strong>vant le<br />

spectateur. Telle une plongée dans la petite enfance <strong>de</strong> <strong>Trenet</strong>, elle ramène<br />

les visiteurs aux abords <strong>de</strong> la voie ferrée, lorsqu’au len<strong>de</strong>main <strong>de</strong> la guerre,<br />

Charles y voyait passer trains et soldats à pied qui s’exilaient vers le Sud. Ce<br />

sont ces souvenirs qui lui ont d’ailleurs inspiré l’une <strong>de</strong> ses chansons les plus<br />

célèbres : Je Chante.


Un aménagement scénographique pour découvrir le poète,<br />

mais aussi son âme, au coeur <strong>de</strong> sa maison natale<br />

<strong>Trenet</strong> a toujours avoué que ses autres maisons lui appartenaient, mais qu’il appartenait<br />

à celle <strong>de</strong> <strong>Narbonne</strong>. C’est dans cette <strong>de</strong>meure <strong>de</strong> trois étages aux volets<br />

verts qu’il est né, le 18 mai 1913. C’est là aussi que <strong>de</strong>s images <strong>de</strong> son enfance se sont<br />

transformées en couplets et refrains, qui ont fait le tour <strong>du</strong> mon<strong>de</strong>.<br />

La maison natale <strong>de</strong> Charles <strong>Trenet</strong> fait aujourd’hui partie <strong>du</strong> patrimoine narbonnais.<br />

Des visites guidées ont lieu dans cette <strong>de</strong>meure qui a toujours été pour lui un univers<br />

magique. Mais la Ville <strong>de</strong> <strong>Narbonne</strong> a voulu aller au-<strong>de</strong>là <strong>de</strong> ces visites «conventionnelles»<br />

: à l’image <strong>de</strong> Charles <strong>Trenet</strong> qui, en son temps, a révolutionné la chanson<br />

française, l’aménagement scénographique <strong>de</strong> la maison va être innovant. La maison<br />

<strong>du</strong> poète va être transformée en «jardin secret extraordinaire».<br />

L’âme <strong>de</strong> Charles <strong>Trenet</strong> sera présente dans chaque pièce à travers un aménagement<br />

scénographique original composé d’images, <strong>de</strong> photos, <strong>de</strong> <strong>de</strong>ssins, <strong>de</strong> confi<strong>de</strong>nces<br />

<strong>de</strong> l’homme, mais aussi <strong>de</strong> sa mère (choisies dans les archives <strong>de</strong> l’Institut National<br />

<strong>de</strong> l’Audiovisuel), d’animations et, bien sûr, <strong>de</strong> chansons interprétées par Charles<br />

<strong>Trenet</strong>. A travers les trois étages <strong>de</strong> la maison, seront évoquées les origines narbonnaises <strong>de</strong> Charles <strong>Trenet</strong>, ses<br />

jeunes années à <strong>Narbonne</strong> et l’inspiration narbonnaise <strong>du</strong> poète.<br />

Ce projet autour <strong>de</strong> la maison natale <strong>de</strong> Charles <strong>Trenet</strong>, qui est en cours <strong>de</strong> labellisation «Maison <strong>de</strong>s grands<br />

hommes et <strong>de</strong>s femmes remarquables» par le ministère <strong>de</strong> la Culture, représente un investissement pour<br />

la ville <strong>de</strong> 150 000 €. Les aménagements réalisés dans la maison seront inaugurés le jeudi 25 août, <strong>du</strong>rant<br />

le <strong>Festival</strong> <strong>Trenet</strong>.<br />

Cet aménagement scénographique a été proposé par Jacques Pessis,<br />

commissaire général <strong>du</strong> projet et Marc Azéma, directeur artistique <strong>du</strong><br />

projet. Jacques Pessis a imaginé le scénario <strong>de</strong> la visite <strong>de</strong> la maison<br />

natale, assuré les recherches biographiques et iconographiques,<br />

le scenario et la réalisation <strong>de</strong>s films qui racontent<br />

le poète et sa famille, en images et en chansons, et l’écriture<br />

<strong>de</strong>s textes qui figureront sur <strong>de</strong>s panneaux d’accompagnement<br />

présents à chaque étage. Les textes <strong>de</strong> ces panneaux<br />

seront proposés en français, mais aussi en anglais. Marc<br />

Azéma est réalisateur et docteur en archéologie. Il a créé les<br />

animations classiques, informatiques ou 3D présentes dans<br />

les étages. Il dirige la réalisation <strong>de</strong> l’ensemble supervisant<br />

les équipes chargées <strong>de</strong> la technique, choisies à <strong>Narbonne</strong> et<br />

ses environs..<br />

Le <strong>de</strong>ssinateur Cabu, inconditionnel <strong>de</strong> Charles <strong>Trenet</strong>, a accepté<br />

d’assurer l’illustration graphique <strong>du</strong> projet. Il va réaliser<br />

<strong>de</strong>s <strong>de</strong>ssins originaux qui seront présents partout dans la<br />

maison et réserveront aux visiteurs quelques surprises dignes <strong>du</strong> créateur<br />

<strong>du</strong> «Jardin extraordinaire».<br />

Jacques Pessis, un confi<strong>de</strong>nt<br />

et ami proche <strong>de</strong> Charles <strong>Trenet</strong><br />

Jacques Pessis est journaliste,<br />

écrivain, pro<strong>du</strong>cteur et réalisateur.<br />

Il a été un ami proche <strong>de</strong> Charles<br />

<strong>Trenet</strong> <strong>du</strong>rant les vingt <strong>de</strong>rnières<br />

années <strong>de</strong> sa vie. Il est <strong>de</strong>venu<br />

son «biographe officiel». Il lui a<br />

consacré plusieurs films et livres. Le<br />

plus récent «<strong>Trenet</strong>, le philosophe<br />

<strong>du</strong> bonheur» est paru en février <strong>2011</strong><br />

aux éditions <strong>de</strong> l’Archipel.<br />

Jeudi 25 août : Serge Lama (château <strong>de</strong> Montplaisir, 20h30)<br />

Tout le mon<strong>de</strong> connaît une chanson <strong>de</strong> Serge Lama. Au cours d’une carrière<br />

qu’il a entamé dans les années 60, l’artiste a marqué la variété française<br />

avec ses chansons dont certaines sont <strong>de</strong>venues <strong>de</strong> grands classiques<br />

aujourd’hui : Les ballons rouges, D’aventures en aventures, Je<br />

suis mala<strong>de</strong>, Une île, Les p’tites femmes <strong>de</strong> Pigalle… Il a connu un succès<br />

fulgurant au cours <strong>de</strong>s années 70 et 80 : 300 000 spectateurs l’ont vu lors<br />

d’une série <strong>de</strong> 70 concerts au Palais <strong>de</strong>s congrès. Il a écrit ou collaboré<br />

avec <strong>de</strong> grands noms <strong>de</strong> la chanson française : Gilbert Bécaud, Dalida,<br />

Maxime Le Forestier, Enrico Macias, Alice Dona…<br />

Depuis mars 2009, Serge Lama sillonne les scènes <strong>de</strong> France dans le cadre<br />

<strong>de</strong> sa tournée « Tour d’horizons ». Sur scène, il est accompagné d’un accordéon<br />

et d’une guitare.<br />

Billets en vente :<br />

Office <strong>de</strong> Tourisme <strong>de</strong> <strong>Narbonne</strong>, Fnac, Carrefour, Géant, Système U,<br />

Intermarché, www.fnac.com, www.carrefour.fr,<br />

www.francebillet.com - 0 892 68 36 22 (0.34 € TTC / min)<br />

Tarif : 30 €<br />

Dîner <strong>de</strong> gala (château <strong>de</strong> Montplaisir, 22h30)<br />

Ce dîner permet <strong>de</strong> mettre à l’honneur la gastronomie et les vins locaux. Cette année, c’est Lionel Giraud,<br />

jeune chef étoilé originaire <strong>de</strong> <strong>Narbonne</strong>, qui signera ce repas. Lionel Giraud<br />

s’est formé auprès <strong>de</strong> grands noms <strong>de</strong> la gastronomie française. Depuis 2003, il<br />

met à profit toutes ses expériences à la Table Saint Crescent où il exerce en tant<br />

que chef cuisinier et directeur général.<br />

En 2004, il obtient une étoile au gui<strong>de</strong> Michelin et en 2010, le Gault&Millau lui<br />

décerne une 4 e toque pour sa cuisine inventive et représentative <strong>de</strong> la richesse<br />

gastronomique audoise alliant mo<strong>de</strong>rnité, créativité et raffinement.


Vendredi 26 août : Finale <strong>du</strong> Prix Sacem/<strong>Trenet</strong> (Gran<strong>de</strong> scène <strong>du</strong> cours Mirabeau, 20h30)<br />

Le Prix Sacem/<strong>Trenet</strong> a été créé dans le but <strong>de</strong> favoriser la découverte et la promotion d’artistes francophones<br />

<strong>de</strong> talent. Des partenaires nationaux comme les Editions Raoul Breton, le magazine<br />

<strong>de</strong> musique Longueur d’On<strong>de</strong>s, mais aussi la Sacem soutiennent la démarche <strong>de</strong> la Ville <strong>de</strong><br />

<strong>Narbonne</strong> auprès <strong>de</strong>s jeunes auteurs compositeurs interprètes. Après plusieurs sélections, les<br />

cinq finalistes se départageront sur la scène <strong>du</strong> <strong>Festival</strong>. Cette année, le prési<strong>de</strong>nt <strong>du</strong> Jury sera<br />

Gérard Davoust, Prési<strong>de</strong>nt <strong>de</strong>s Editions Raoul Breton. Chaque finaliste interprétera une reprise<br />

<strong>de</strong> Charles <strong>Trenet</strong> et un morceau <strong>de</strong> sa création.<br />

Le vainqueur <strong>du</strong> 4 e Prix Sacem <strong>Trenet</strong> remportera cette année :<br />

● Une date sur la scène principale <strong>du</strong> <strong>Festival</strong> 2012<br />

● Un accompagnement en communication (réalisation d’un book photo, conception<br />

et impression d’un dépliant pour démarcher, réalisation d’une vidéo promotionnelle)<br />

● La diffusion <strong>de</strong> 100 spots <strong>de</strong> 30 secon<strong>de</strong>s chacun sur la radio partenaire <strong>du</strong> concours<br />

● Un bon d’achat <strong>de</strong> 1000 euros pour <strong>du</strong> matériel <strong>de</strong> sonorisation, éclairage ou musique<br />

● La mise en ligne <strong>de</strong> 2 titres sur les dix meilleures plateformes <strong>de</strong> téléchargement et d’écoute <strong>de</strong> musique<br />

<strong>du</strong> web. Toutes les royalties seront reversées directement sur le compte choisi par l’artiste.<br />

Dany Brillant, Collector Puerto Rico (Gran<strong>de</strong> scène <strong>du</strong> cours Mirabeau, 22h)<br />

Dany Brillant présentera le vendredi 26 août son <strong>de</strong>rnier album Puerto Rico qu’il a écrit en pleine crise économique.<br />

Il propose dans ce 7 e album <strong>de</strong>s chansons anti-anxiolytiques, bourrées d’énergie et d’espoir aux sonorités<br />

latinos. Né en Tunisie d’une<br />

famille à moitié italienne, Dany<br />

Brillant aime faire voyager dans ses<br />

albums : la Havane, la Nouvelle-Orléans,<br />

Londres… et Saint-Germain<strong>de</strong>s-Prés.<br />

Ce quartier parisien où tout a commencé<br />

pour un jeune étudiant en<br />

mé<strong>de</strong>cine qui rêvait <strong>de</strong> scène. Après<br />

avoir chanté sur les terrasses <strong>de</strong>s cafés<br />

<strong>de</strong> ce quartier emblématique <strong>de</strong><br />

la capitale, il a fait ses armes <strong>du</strong>rant<br />

cinq ans dans un cabaret, où il a appris<br />

le métier. C’est là que naîtront<br />

<strong>de</strong>ux <strong>de</strong> ses plus grands succès : Suzette<br />

et Viens à Saint-Germain.<br />

Les Flagrants délires<br />

➣ Les expositions<br />

Leur compos, dignes reflets <strong>de</strong> leur vision délurée <strong>de</strong> la vie et<br />

leurs reprises <strong>de</strong> grands standards <strong>de</strong> la chanson française (Brel,<br />

Piaf, <strong>Trenet</strong>…) résonnent comme une invitation à la fiesta. Les<br />

ingrédients : <strong>de</strong>s textes en français, un accent pointu, <strong>du</strong> Rock<br />

Festayre, <strong>de</strong> l’énergie et le soleil <strong>du</strong> midi !<br />

Samedi 28 août, promena<strong>de</strong> <strong>de</strong>s Barques, 17h30-19h.<br />

Guy Perottet (Office <strong>de</strong> tourisme, <strong>du</strong> 1 er au 31 août)<br />

Guy Perottet nous présente une série <strong>de</strong> portraits <strong>de</strong> Charles <strong>Trenet</strong>. Peintre abstrait il propose<br />

dans cette exposition un travail figuratif. L’occasion <strong>de</strong> montrer une autre <strong>de</strong> ses facettes.<br />

A découvrir, Charles Trénet ainsi que ses amis poètes et chanteurs <strong>de</strong> sa génération.<br />

La généalogie <strong>de</strong> Charles <strong>Trenet</strong> (Office <strong>de</strong> tourisme, Salle entre <strong>de</strong>ux villes, <strong>du</strong> 22 au 27 août)<br />

L’Association narbonnaise <strong>de</strong> généalogie présente la généalogie <strong>de</strong> Charles <strong>Trenet</strong>, « Le Fou Chantant », enfant<br />

<strong>de</strong> <strong>Narbonne</strong>. L’association propose une évocation <strong>de</strong> sa vie, <strong>de</strong> ses passions, une recherche sur ses origines<br />

familiales, l’histoire <strong>de</strong> ses ancêtres sur dix générations, ainsi qu’une étu<strong>de</strong> sur sa maison natale située au 13,<br />

avenue Charles <strong>Trenet</strong> à <strong>Narbonne</strong>.<br />

De 10h à 19h <strong>du</strong> 22 au 27 août.<br />

Peinture à l’aiguille (Office <strong>de</strong> toursime, vendredi 26 août <strong>de</strong> 12h30 à 16h30)<br />

Une fidèle <strong>de</strong> Charles <strong>Trenet</strong> fera revivre le poète au travers <strong>de</strong> bro<strong>de</strong>ries faites à la<br />

main.<br />

Tous les visuels <strong>de</strong>s artistes figurant dans ce dossier <strong>de</strong> <strong>presse</strong><br />

sont disponibles sur le site internet <strong>de</strong> la ville www.narbonne.fr<br />

Espace salle <strong>de</strong> <strong>presse</strong>


Les Fringues en boules<br />

A l’occasion <strong>du</strong> <strong>Festival</strong> <strong>Trenet</strong> « les Fringues en Boules » toujours accompagnés <strong>de</strong> leur<br />

machine à laver présenteront un répertoire uniquement composé <strong>de</strong> chansons françaises.<br />

Bourrés d’énergie, remplis <strong>de</strong> générosité, « Les Fringues » offrent une bala<strong>de</strong> au coeur <strong>de</strong><br />

l’inépuisable richesse <strong>du</strong> répertoire francophone en collectionnant, revisitant, libérant<br />

les mots et mélodies parfois prisonnières <strong>de</strong> l’inconscient collectif.<br />

Vendredi 26 août, promena<strong>de</strong> <strong>de</strong>s Barques, 17h30-19h<br />

Apache et le Qincho<br />

Leur répertoire, <strong>de</strong>s chansons françaises festives. Ils ont l’habitu<strong>de</strong> <strong>de</strong> la<br />

scène : les <strong>de</strong>ux jeunes hommes ont arpenté les scènes <strong>de</strong> France et <strong>de</strong> Navarre<br />

mais aussi celles <strong>de</strong> l’étranger. Ils comptabilisent plus <strong>de</strong> 350 dates<br />

et plusieurs tournées. Ils ont reçu le prix «révélation Jeunes Talents» <strong>de</strong> la<br />

ville <strong>de</strong> Béziers, le prix <strong>de</strong> la ville <strong>de</strong> Carcassonne lors <strong>du</strong> tremplin « jeune<br />

talents » et étaient finalistes <strong>du</strong> Prix Sacem <strong>Trenet</strong> en 2010.<br />

Samedi 27 août, place <strong>de</strong> l’Hôtel <strong>de</strong> ville, 18h30-20h.<br />

Nilco<br />

Nilco est un jeune musicien complet avec qui la notion <strong>de</strong> métissage prend toutes ses<br />

lettres <strong>de</strong> noblesse. Ambiances afro-cubaines, jazz, funk, blues, classiques, s’entremêlent<br />

au fil <strong>de</strong>s morceaux. Après avoir assuré les premières parties <strong>de</strong> Bernard Lavilliers, Christophe<br />

Maé, Renaud, Papillon Paravel …, il se dévoile sur le <strong>Festival</strong> <strong>Trenet</strong> pour nous faire<br />

découvrir un artiste sans limites.<br />

Samedi 27 août, place <strong>de</strong>s quatre fontaines, 16h30-18h.<br />

L’art en scène : « <strong>de</strong>stination music-hall »<br />

Les chansons, la poésie, la personnalité joyeuse et fantasque <strong>de</strong> Charles <strong>Trenet</strong><br />

est mise en danse et en chansons par la compagnie L’art en scène. Les cinq artistes<br />

revisitent la scène française à l’affiche dans les salles <strong>de</strong> music-hall <strong>de</strong> cette<br />

époque. Une gran<strong>de</strong> place est donnée au répertoire <strong>de</strong> Charles <strong>Trenet</strong>, mais il y<br />

aura aussi Boris Vian, Ray Ventura, Joséphine Baker, Mistinguett…<br />

Samedi 27 août, terrasse entre <strong>de</strong>ux villes, 17h-18h30<br />

Samedi 27 août : Quatre artistes sur la gran<strong>de</strong> scène <strong>du</strong> cours Mirabeau, à partir <strong>de</strong> 21h<br />

La soirée sera animée par Laurent Boyer, un fidèle <strong>du</strong> festival <strong>de</strong>puis ses débuts. L’ensemble <strong>de</strong>s artistes qui se<br />

pro<strong>du</strong>iront sur scène seront accompagnés par l’orchestre René Coll, également présent sur le <strong>Festival</strong> <strong>de</strong>puis<br />

ses débuts.<br />

Cette année, quatre artistes ont répon<strong>du</strong> présents pour la gran<strong>de</strong> et <strong>de</strong>rnière soirée <strong>du</strong> festival.<br />

Fabienne Thibeault, une <strong>de</strong>s plus célèbres voix <strong>du</strong> Québec, et révèlée en Europe par la comédie musicale<br />

Starmania où elle interprétait le rôle <strong>de</strong> Marie-Jeanne (Le Mon<strong>de</strong> est stone, Un garçon pas comme les autres,<br />

Les Uns contre les autres et La Complainte <strong>de</strong> la serveuse automate), rendra hommage à Charles <strong>Trenet</strong> et à<br />

Nana Mouskouri (marraine <strong>du</strong> festival), dont elle est une fan inconditionnelle.<br />

Amaury Vassili, qui a représenté la France au <strong>de</strong>rnier concours Eurovision <strong>de</strong> la chanson, est présenté par<br />

les medias comme étant le plus jeune ténor professionnel au mon<strong>de</strong>. Il a connu le succès avec Vincero, son<br />

premier album en 2009 : il a été double disque <strong>de</strong> platine en France.<br />

Joyce Jonathan, auteur compositeur interprète, a reçu en janvier <strong>de</strong>rnier le prix <strong>de</strong> la révélation française aux<br />

NRJ Music Awards. La jeune artiste a été découverte grâce au label communautaire My Major Company. En<br />

janvier 2010 sort son premier album Sur mes gar<strong>de</strong>s, dont les arrangements sont signés Louis Bertignac. On<br />

trouve notamment sur cet album les titres Je ne sais pas et Pas besoin <strong>de</strong> toi.<br />

Liane Foly a été révélée au milieu <strong>de</strong>s années 80. C’est à cette époque que le public découvre la voix jazzy et<br />

suave <strong>de</strong> l’artiste dans Ca va, ça vient ou encore Au fur et à mesure. Elle connaît un immense succès avec la<br />

reprise <strong>de</strong> Daniel Balavoine, La vie ne m’apprend rien. On la retrouve un peu plus tard avec On a tous le droit.<br />

C’est une <strong>de</strong>s artistes les plus fidèles aux Restos <strong>du</strong> coeur et à la tournée <strong>de</strong>s Enfoirés. En 2007, elle entame une<br />

tournée <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux ans et <strong>de</strong>mi avec un spectacle d’imitation qu’elle a écrit La Folle parenthèse. Pour le <strong>Festival</strong><br />

<strong>Trenet</strong>, elle revient à son premier amour : la chanson.<br />

Vendredi 26 et samedi 27 août : bo<strong>de</strong>gas et le Village <strong>du</strong> Grand <strong>Narbonne</strong><br />

(promena<strong>de</strong> <strong>de</strong>s Barques <strong>de</strong> 11h à 2h <strong>du</strong> matin)<br />

Moment incontournable <strong>du</strong> <strong>Festival</strong>, <strong>de</strong>s bo<strong>de</strong>gas seront installées sur la promena<strong>de</strong> <strong>de</strong>s Barques et le cours<br />

Mirabeau. En <strong>de</strong>uxième partie <strong>de</strong> soirée (<strong>de</strong> 23h à 2h <strong>du</strong> matin), les allées seront<br />

éclairées et sonorisées pour que DJ Corti puisse faire chanter et danser le plus grand<br />

nombre <strong>de</strong> festivaliers.<br />

Le Village <strong>du</strong> Grand <strong>Narbonne</strong><br />

Au coeur <strong>du</strong> village, ces bo<strong>de</strong>gas rassemblent les pro<strong>du</strong>its <strong>du</strong> terroir <strong>de</strong> chacune <strong>de</strong>s<br />

communes <strong>du</strong> Grand <strong>Narbonne</strong> : vins, miel, olives, plats cuisinés méditerranéens,<br />

attisent le regard et ravivent les papilles.<br />

Les pro<strong>du</strong>cteurs <strong>du</strong> Grand <strong>Narbonne</strong>,<br />

proposent ventes et dégustations, et se réunissent sous<br />

une bo<strong>de</strong>ga à l’effigie <strong>de</strong> leur propre commune.


➣ Les arts <strong>de</strong> la rue<br />

Tout au long <strong>de</strong>s journées <strong>du</strong> vendredi 26 et samedi 27 août, les rues <strong>de</strong> la ville vont connaître <strong>de</strong>s spectacles<br />

<strong>de</strong> tout genre et pour tous les goûts.<br />

Compagnie La Tal :<br />

Vendredi 26 août : The Nets (à gauche)<br />

Samedi 27 août : Les Pompiers (à droite)<br />

Des pompiers quelque peu étonnants voire déroutants qui<br />

déambulent dans un véhicule tout aussi surprenant…<br />

Horaires : 16 h à 17 h et <strong>de</strong> 19 h à 20 h<br />

Les Frères Cartons : « Le réveil <strong>de</strong>s vilains »<br />

Ce spectacle est composé <strong>de</strong> trois boites à surprise : trois boîtes à<br />

pattes, surmontées d’une tête, déambulent. Ensuite, c’est le spectacle<br />

! Les boites se posent au sol, s’ouvrent et laissent surgir d’étranges<br />

personnages, à mi-chemin entre les bouffons et une fanfare décatie.<br />

Vendredi 26 et samedi 27 août <strong>de</strong> 16 h 15 à 17 h et <strong>de</strong> 19 h 15 à 20 h.<br />

Compagnie Paspartout : Histoire <strong>de</strong> poulailler<br />

Un groupe musical <strong>de</strong> volailles au plumage et au ramage fantastiques passe<br />

dans le public tout en jouant <strong>de</strong>s scènes <strong>du</strong> mon<strong>de</strong> animal et humain et l’invite<br />

à participer. Un coq épris <strong>de</strong> lui-même qui n’en finit pas <strong>de</strong> se rengorger,<br />

une emmer<strong>de</strong>use <strong>de</strong> poule couveuse et pour couronner le tout une poule<br />

au pot toute rabougrie. Regar<strong>de</strong>z-vous, bonnes gens, dans ce miroir que les<br />

trois comédiens vous ten<strong>de</strong>nt avec beaucoup d’humour, côté basse-cour.<br />

Vendredi 26 août : <strong>de</strong> 11h15 à 12h et <strong>de</strong> 16h15 à 17h.<br />

Compagnie Paspartout : A pas d’éléphant<br />

Apparemment c’est tout ce qui est resté <strong>du</strong> cirque: un directeur d’un âge<br />

certain et un voyou <strong>de</strong> pachy<strong>de</strong>rme. L’un a fait son temps et a une certaine<br />

expérience à son acquis, l’autre ne manque ni <strong>de</strong> culot ni <strong>de</strong> curiosité. Ils<br />

s’adorent et se disputent toute la journée. Et si <strong>de</strong> malheur les légumes<br />

insolents que transporte l’éléphant dans ses bagages s’en mêlent, alors<br />

une chose est sûre : ce n’est pas triste. Une équipe bien branchée que cet<br />

éléphant, ce vieux et ces légumes !<br />

Samedi 27 août : <strong>de</strong> 11h15 à 12h et <strong>de</strong> 16h15 à 17h.<br />

Les Jibuls (photo ci-contre à gauche)<br />

Trois personnages déguisés animent la ville, équipés <strong>de</strong> « canons » à confettis et <strong>de</strong> serpentins.<br />

Vendredi 26 et samedi 27 août <strong>de</strong> 16h à 17h30 et <strong>de</strong> 19h à 20h30.<br />

La Compagnie Osadia<br />

Craintif <strong>du</strong> cheveux, s’abstenir ! Osadia est dans le registre <strong>de</strong> l’art capilaire :<br />

la compagnie propose une démonstration <strong>de</strong> son art tout particulier en faisant<br />

appel au public.<br />

Vendredi 26 et samedi 27 août <strong>de</strong> 18h à 19h30.<br />

➣ Les concerts off<br />

Alex et Layla Dhers<br />

Le <strong>du</strong>o «Voyage Imaginaire» revisite la chanson française, spécialement le répertoire<br />

<strong>de</strong> Charles <strong>Trenet</strong> dans un style personnel où le swing et les rythmes latins<br />

occupent une place privilégiée. La beauté vocale <strong>de</strong> la chanteuse parisienne Layla<br />

Dhers et les improvisations jazzistiques <strong>du</strong> guitariste Argentin Alejandro font revivrela<br />

poésie éternelle <strong>de</strong> l’inoubliable Charles <strong>Trenet</strong>.<br />

Vendredi 26 et samedi 27 août, maison natale <strong>de</strong> Charles <strong>Trenet</strong>, 14h-18h.<br />

Domi<br />

Domi, compose écrit et interprète ses chansons, <strong>de</strong>s textes où l’ironie n’est jamais<br />

très loin. Il nous brosse <strong>de</strong>s tranches <strong>de</strong> vie posées sur <strong>de</strong>s mélodies festives ou<br />

plus intimistes. Marc à l’accordéon, Sébastien à la batterie et Domi à la guitare et<br />

chant vous emportent dans un mon<strong>de</strong> qui semble proche <strong>du</strong> votre… Et pourtant,<br />

<strong>de</strong> repas <strong>de</strong> famille en réveillons douteux, vous quitterez le concert sans vraiment<br />

savoir si ce que Domi vous a servi était « <strong>de</strong> l’art » ou « <strong>du</strong> cochon »…<br />

Vendredi 26 août, place <strong>de</strong> l’Hôtel <strong>de</strong> ville, 18h30-20h.<br />

Zanarelli<br />

Le spectacle d’Olivier et Frédéric est un fabuleux tableau <strong>de</strong> chansons françaises où se mêlent et<br />

s’entremêlent compositions et reprises d’artistes francophones tels que Serge Gainsbourg et Edith<br />

Piaf ou encore Aaron, Zazie, et Benjamin Biolay.<br />

Vendredi 26 août, place <strong>de</strong>s 4 fontaines, 18h30-20h<br />

Nadine Barrere et Georges Petit<br />

Georges Petit a été le coiffeur <strong>de</strong> Charles <strong>Trenet</strong> pendant près <strong>de</strong> 30 ans à <strong>Narbonne</strong>. Aujourd’hui,<br />

il reprend les standards <strong>du</strong> Fou chantant mais aussi ceux <strong>de</strong> Charles Aznavour, Jacques Brel, Jean<br />

Ferrat…<br />

Vendredi 26 août, terrasse entre <strong>de</strong>ux villes, 17h-18h30.

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