24.09.2013 Views

Charles TRENET - durand-salabert-eschig

Charles TRENET - durand-salabert-eschig

Charles TRENET - durand-salabert-eschig

SHOW MORE
SHOW LESS

Create successful ePaper yourself

Turn your PDF publications into a flip-book with our unique Google optimized e-Paper software.

<strong>Charles</strong> <strong>TRENET</strong><br />

80 ème Anniversaire<br />

1


Table des Matières<br />

<strong>Charles</strong> <strong>TRENET</strong>, Un précieux antidote<br />

par Jean-Claude HEMMERLIN 05 - 11<br />

Chansons de <strong>Charles</strong> <strong>TRENET</strong><br />

publiées par Salabert 12 - 15<br />

Catalogue des chansons<br />

Filmographie 16 - 17<br />

Catalogue des chansons<br />

Discographie 19 - 20<br />

Catalogue des chansons<br />

Bibliographie 21 - 22<br />

Catalogue des chansons<br />

Nos représentants à l'étranger 24<br />

CRÉDITS PHOTOGRAPHIQUES : R. Kahan, Roger-Viollet, Pathé-Cinéma<br />

ILLUSTRATIONS : exceptées les partitions de musique (© Edts Salabert), les illustrations<br />

reproduites proviennent des collections M. Giniès, Ch. Trenet ou H. Chenut ou J. Pessis<br />

3


Trenet &<br />

Flaubert<br />

ou<br />

Narbonne<br />

contre<br />

Rouen<br />

<strong>Charles</strong> <strong>TRENET</strong> :<br />

Un précieux antidote<br />

En France et dans le monde, il y a deux régions bien<br />

distinctes (et qui pourtant parfois se confondent) :<br />

celle du désenchantement et celle de la joie. Celle du<br />

désenchantement, un écrivain « réaliste » du XIX e siècle,<br />

mais qui a su voir beaucoup plus loin que son temps, l’a<br />

explorée mieux que personne avec pour tout bagage un<br />

style unique, un scalpel à disséquer les âmes, et un sens aigu<br />

de la dérision ; ce génie qui n’aimait pas la vie, du moins la<br />

vie de son époque, et qui se réfugiait dans l’imaginaire<br />

comme les personnages de ses romans, c’est Flaubert. La<br />

région de la joie, elle, une autre espèce de génie l’a fait<br />

visiter à une foule d’humains ; ce guide qui, par la magie<br />

d’un verbe vif, limpide et tendre, a changé la face de la<br />

chanson française jusqu’ici figée par l’abus de sanglots, de<br />

rires et de sirop, c’est <strong>Charles</strong> Trenet.<br />

Flaubert - Trenet, pourquoi ce rapprochement alors que tout<br />

semble séparer ces deux hommes (la fin de la préface que<br />

vous devrez donc lire « in extenso » vous en dira plus) ?<br />

Quelle différence en effet entre le ton sans illusion des<br />

« Mémoires d’un fou », œuvre autobiographique et de<br />

jeunesse de Flaubert et la jubilante tonalité du surnom<br />

également de jeunesse, d’inaltérable jeunesse (quatrevingts<br />

ans en mai 1993, mais éternel depuis longtemps) de<br />

Trenet : le Fou chantant !<br />

Quelle différence aussi entre celui qui rend compte « objectivement<br />

» de la stupidité et de la bassesse de ses congénères<br />

et celui qui s’en moque malicieusement comme dans<br />

« L’héritage Infernal », entre celui qui montre l’inévitable<br />

fiasco de ces rêveries romantiques encombrées de vain<br />

sentimentalisme et celui qui constate sans amertume :<br />

« Que reste-t-il de nos amours ? » !<br />

Si Flaubert a l’avantage (ô combien suicidaire et créatif dans<br />

son cas) de la misanthropie et du désespoir sur Trenet qui<br />

recherche la plupart du temps l’issue heureuse et va même<br />

dans « Je chante » jusqu’à rendre la mort attrayante (on est<br />

aux antipodes de l’agonie peu idéalisée d’Emma Bovary), le<br />

chanteur a, pour sa part, l’art de ne pas se plaindre de<br />

l’humanité et de proposer à qui veut bien l’entendre : rêve,<br />

humour, rythme, bref de l’énergie vitale, et ce, mieux qu’à<br />

bon marché, gracieusement. Question de tempérament…<br />

ou alors vivante preuve de la théorie des climats : Trenet est<br />

5


6<br />

Treize<br />

ans de<br />

bonheur<br />

du midi, tandis que Flaubert sent sa Normandie. D'ailleurs,<br />

si on les unissait, ce mariage du beau temps et du ciel<br />

chargé finirait comme toujours en France par une chanson…<br />

de <strong>Charles</strong> Trenet, bien sûr, en l'occurrence : « Le<br />

Soleil a des rayons de pluie »…<br />

Le nombre treize porte selon les uns bonheur, selon les<br />

autres malheur… surtout à table (référence classique à la<br />

Cène et à Judas, on n'en sortira jamais…). En tout cas, pour<br />

les Éditions Salabert les treize ans de publication de chansons<br />

de Trenet (d'« Hélène », 1932, à « La Folle complainte<br />

», 1945) n'ont pu être néfastes : le Fou chantant n'a<br />

pas le mauvais œil, mais une vision plutôt embellie de la vie ;<br />

tout est dans le regard, et le sien poétise.<br />

Treize ans et près de quarante titres dont certains, suivant<br />

la formule consacrée, chantent encore dans toutes les<br />

mémoires : « Douce France », « Que reste-t-il de nos<br />

amours ? », « La Romance de Paris » ; d'autres ont laissé<br />

un souvenir moins impérissable malgré leurs qualités : « La<br />

Chanson de l'Ours », par exemple, où l'animal en question<br />

arrive à ne plus l'être du tout… ours.<br />

Quelques-unes de ces chansons furent destinées à des films<br />

« Bariole » réalisé en 1932 par Benno Vigny qui n'avait<br />

aucun rapport avec Alfred mais plus d'un avec Trenet dont<br />

il était le beau-père (les paroles des chansons de « Bariole »<br />

sont signées Trenet, la musique Jane Bos, mail il y a du<br />

Trenet dans l'air…) ; et puis en 1941 « Romance de Paris »<br />

de Jean Boyer, l'année suivante et avec l'inoubliable Elvire<br />

Popesco, un film qui l'est moins : « Frédérica », enfin en


1943 une œuvre certes plus originale, « Adieu Léonard »,<br />

scénario de Jacques Prévert, mise en scène de son frère<br />

Pierre, et où Trenet, en "homme de lettres" pour rire qu'il<br />

sait être, interprète : « Quand un facteur s'envole ».<br />

Parmi ces morceaux (pas forcément choisis, mais de choix)<br />

figurent aussi des créations du trépidant duo formé par<br />

Trenet et Johnny Hess, « <strong>Charles</strong> et Johnny » de 1933 à 36,<br />

date du départ de <strong>Charles</strong> sous les drapeaux où il écrira,<br />

miracle de la distanciation, « Y’a d’la joie ! » (nettement<br />

plus proche en effet de l’euphorie du « Front Populaire »<br />

que des gaietés de l’escadron). “Il faut garder quelques<br />

sourires pour se moquer des jours sans joie”. C’est en ces<br />

termes, reflétant sa musique, que <strong>Charles</strong> Trenet nous<br />

invite à découvrir son “jardin extraordinaire”.<br />

<strong>Charles</strong> Trenet est né le 18 mai 1913 à Narbonne. Son père<br />

est notaire, et sa mère… exemplaire, Marie-Louise Caussat.<br />

Très tôt, Trenet exprime ses dons à travers la musique, la<br />

peinture et la poésie. Mais, passionné par les films de<br />

Charlot, c’est vers le cinéma qu’il s’oriente après avoir<br />

publié ses premiers vers dans « le Coq catalan », fait ses<br />

premiers pas sur scène en participant à des revues amateurs,<br />

et suivit pendant dix mois les cours de l’Académie des<br />

beaux-Arts pour devenir peintre.<br />

Et lorsqu’un soir de mars 1938, Trenet entre sur la scène de<br />

l’ABC, célèbre cabaret parisien qui verra également les<br />

débuts d’Edith Piaf, ce chanteur intrépide qui fait les yeux<br />

ronds, coiffé de son fameux chapeau mou, va en quelques<br />

chansons enthousiasmer un public et sera porté en triomphe.<br />

Pour celui que l’on nommera « le Fou chantant », c’est<br />

le début d’une longue carrière internationale jalonnée de<br />

plusieurs Grands Prix du Disque et de multiples récompenses.<br />

Ce qui attire chez Trenet à travers ses chansons, ce sont ses<br />

qualités de mélodiste, son humour insolite et surtout ce<br />

rythme emprunté au jazz, qui par sa liberté a permis<br />

d’inventer un langage respectueux de notre langue.<br />

Près de quarante titres et une palette (Trenet a toujours pu<br />

voir le monde en peinture et la pratique depuis sa plus<br />

tendre enfance) qui va des couleurs vives et toniques de<br />

« C’est bon » au camaïeu gris de « La Folle Complainte »<br />

en passant par les teintes fantaisie de « Quand un facteur<br />

s’envole », celles un brin surréalistes de « L’Héritage Infernal<br />

», les tons pastel de « Douce France », sans oublier les<br />

nuances de l’amour : « Si vous aimiez ». Il y a même sur<br />

cette palette une touche de "mélo" très « Roses Blanches<br />

», « Maman Bouquet », dont les effets faciles sont ici<br />

7


Que<br />

reste-t-il<br />

de ces<br />

chansons ?<br />

transcendés par une authenticité de sentiment peut-être<br />

inspirée à Trenet par la grande passion féminine de sa vie,<br />

sa mère. Quant au « Débit de l’eau, débit de lait » chanson<br />

inclassable, elle annonce les jongleries verbales d’un Bobby<br />

Lapointe, et, même si elle n’est pas ouvertement signalée,<br />

la collaboration de Francis Blanche à ce "bidonnant" délire<br />

coule de source…<br />

Un irrésistible optimisme d’abord, d’autant plus appréciable<br />

aujourd’hui qu’il est à contre-courant (Trenet a échappé<br />

aux modes en vivant à la sienne). Il en reste également ce<br />

qui demeure de nos amours : « Le cher visage d’un passé »<br />

auquel jeunes et moins jeunes se raccrochent de plus en<br />

plus. Comment ne pas regretter cette « Douce France »,<br />

alors que l’Hexagone dévoile chaque jour davantage des<br />

côtés dénaturés et peu harmonieux de sa personne, cette<br />

« Romance de Paris », alors que la Ville lumière, oubliant sa<br />

beauté et son esprit, brille maintenant par son américanisme<br />

de mauvais aloi et sa dureté ; ces chansons, qui à<br />

l’origine n’ont rien de nostalgique, peuvent engendrer la<br />

mélancolie, car elles évoquent un paradis perdu ; autres<br />

temps, autres cœurs…<br />

Mais ce qui reste surtout de ces chansons, c’est une forme<br />

de poésie très personnelle, étrangère à tout académisme et<br />

à ce qu’on appelle officiellement la littérature, et que<br />

reflète un exemplaire équilibre paroles-musique.<br />

On ne peut pas dire du Trenet (à qui Cocteau et Max Jacob<br />

ont toujours témoigné admiration et amitié) comme on dit<br />

du Baudelaire, puisque ses mots sont inséparables des<br />

phrases musicales qui les font vivre. Comme Wagner (ne<br />

vous étranglez pas !) le chanteur a été le librettiste de ses<br />

opéras intérieurs, plus populaires que ceux du « Mage de<br />

Bayreuth », et plus courts (trois minutes en moyenne), tous<br />

les dieux du Walhalla soient loués ! Et si on continue le petit<br />

jeu des comparaisons, il y a chez Trenet des qualités de<br />

mélodiste à la Poulenc, un humour insolite à la Satie, et<br />

comment ne pas penser à Schubert et à son admirable lied<br />

« An die Musik » en découvrant « Poésie » qui exprime<br />

aussi, à sa façon, toute la reconnaissance qu’on peut<br />

éprouver pour l’art qui a donné un sens à sa vie ; enfin<br />

élément déterminant, le jazz, que le Fou Chantant a su<br />

intégrer comme un Stravinski, et qui, par sa liberté, lui a<br />

9


Un Trenet<br />

doit en cacher<br />

un autre<br />

permis d’inventer un langage respectueux de notre langue<br />

(le swing n’exclut pas la rigueur). A ce propos, pourquoi<br />

tous ceux qui ont chantonné cent fois « Longtemps, longtemps,<br />

longtemps après que les poètes ont disparu »<br />

s’acharnent-ils encore à employer le subjonctif à la place de<br />

l’indicatif avec « après que » ? Trenet a toujours suivi les<br />

règles de la grammaire française, que ceux qui prétendent<br />

aimer Trenet les suivent !<br />

« Je n’ai pas aimé ma mère, je n’ai pas aimé mon sort, je n’ai<br />

pas aimé la guerre, je n’ai pas aimé la mort », ces phrases<br />

négatives et à la première personne, extraites de « La Folle<br />

Complainte », chanson particulièrement lucide malgré son<br />

titre, étonnent par leur accent de vérité et font présager un<br />

Trenet caché. Un indice supplémentaire est fourni par une<br />

réflexion du Fou Chantant : « Quand j’écris une chanson,<br />

c’est souvent pour oublier ce monde extérieur qui n’est pas<br />

tellement beau », ce qui expliquerait son optimisme exacerbé<br />

et justifierait doublement notre titre : un précieux<br />

antidote. Trenet aurait donc autant que son public (sinon<br />

plus) besoin de l’exceptionnel contrepoison à la réalité<br />

contenu dans ses chansons.<br />

Comme l’auteur de « L’Education Sentimentale » déchiré<br />

entre ses penchants naturels au lyrisme et à l’effusion et ses<br />

tendances non moins naturelles à l’observation désabusée,<br />

ou encore se devinant sous son mâle aspect d’une grande<br />

féminité, Trenet a sûrement ses contradictions et ses zones<br />

d’ombre. Contrairement à Flaubert cependant qui a fui les<br />

hommes et vécu en ermite, Trenet s’est exhibé en pleine<br />

lumière, mais se montrer ne signifie pas forcément tout<br />

montrer ou tout dire. Quoi qu’il en soit, tout en restant hors<br />

normes, <strong>Charles</strong> Trenet fait l’unanimité. A une époque<br />

aussi conventionnelle et robotisée que la nôtre, voilà qui le<br />

rend encore plus réjouissant !<br />

Jean-Claude HEMMERLIN<br />

11


12<br />

CHANSONS<br />

DE CHARLES<br />

<strong>TRENET</strong><br />

PUBLIÉES PAR<br />

SALABERT*<br />

* paroles et musique de<br />

<strong>Charles</strong> Trenet, sauf<br />

indication contraire<br />

le Bonheur ne passe qu’une fois (1942) CD c<br />

Durée : 1' 55" EAS 13868<br />

la Bourse ou la vie (1948) EAS 13899<br />

C’est bon (1942) CD c<br />

Musique de <strong>Charles</strong> Trenet et<br />

Francis Salabert EAS 13820<br />

Chanson de Lormel (1941)<br />

Chanson parodique du film «La Romance de Paris»<br />

Valse populaire EAS 13679<br />

Chantez, mon cœur ! (1932)<br />

extrait du film «Bariole»<br />

Musique de Jane Bos EAS 7962<br />

Dans le lit d’Aline (1933) CD a<br />

Fox-trot<br />

Création : <strong>Charles</strong> et Johnny<br />

Durée : 2' 45" EAS 8995<br />

Débit de l’eau... Débit de lait (1943) CD c<br />

Polka extraite du film «La Cavalcade des heures»<br />

Paroles de <strong>Charles</strong> Trenet et Francis Blanche<br />

Durée : 2' 25" EAS 13967<br />

Ding ! Dong ! (1945) CD c<br />

Durée : 3' 15" EAS 14292<br />

Douce France (1943) CD d, j<br />

Durée : 2' 25" EAS 18134


l'Ecole buissonnière (1933) CD b<br />

Musique de Johnny Hess<br />

Fox-trot<br />

Durée : 2' 50"<br />

Création : <strong>Charles</strong> et Johnny EAS 8998<br />

Espoir (1941)<br />

paroles et musique de Jacqueline Batell EAS 13577<br />

la Folle Complainte (1945) CD e<br />

Musique de <strong>Charles</strong> Trenet et Guy Luypaerts<br />

Durée : 2' 55" EAS 14427<br />

Frédérica (1943) CD c, l<br />

Slow extrait du film «Frédérica»<br />

Durée : 2' 35" EAS 13872<br />

Hélène (1932)<br />

extrait du film «Bariole»<br />

Musique : Jane Bos EAS 8148<br />

Le code CD indique qu'un enregistrement sur disque compact est<br />

disponible. Les lettres renvoient au titre de l'album se trouvant<br />

dans la discographie pages 19 et 20.<br />

13


14<br />

l'Héritage infernal (1942) CD c<br />

Fox-trot<br />

Durée : 2' 10" EAS 13873<br />

Je n’y suis pour personne (1943) CD c<br />

Chanson du film «Adieu Léonard»<br />

Durée : 2' 25" EAS 14047<br />

Liberté (1945) CD c<br />

Musique de <strong>Charles</strong> Trenet et Guy Luypaerts<br />

Durée : 2' EAS 14425<br />

Ma rivière (1942) CD f, i<br />

Durée : 2' 50" EAS 13822<br />

Maman bouquet (1943) EAS 13869<br />

Marie-toi (1942)<br />

Musique de <strong>Charles</strong> Trenet et Léo Chauliac EAS 13977<br />

Oh ! Mon maître (1932)<br />

extrait du film «Bariole»<br />

Musique de Jane Bos EAS 8085<br />

On s’embrasse, on s’enlace (1933)<br />

Musique de Johnny Hess<br />

Fox-trot<br />

Création : <strong>Charles</strong> et Johnny EAS 8997<br />

Poésie (1945) EAS 14277<br />

Pourquoi (Pourquoi, ces p’tits trucs là) (1932)<br />

extrait du film «Bariole»<br />

Musique de Jane Bos EAS 7940<br />

Quand le ciel est clair (1933) CD a<br />

Musique de Johnny Hess<br />

Chanson de marin<br />

Durée : 2' 35"<br />

Création : <strong>Charles</strong> et Johnny EAS 8996<br />

Quand tu reverras ton village (1942)<br />

«Cette chanson est amicalement dédiée à André Pradier<br />

et à ses camarades du Stalag XIIIB».<br />

Marche EAS 13700<br />

Quand un facteur s’envole (1943) CD c<br />

Chanson du film «Adieu Léonard»<br />

Durée : 2' 25" EAS 14046<br />

Quartier Latin (1945) EAS 14293<br />

Que reste t-il de nos amours ? (1942) CD c, g, j, k<br />

Polka extraite du film «La Cavalcade des heures»<br />

Durée : 3' 10"<br />

Création en concert : Lucienne Boyer EAS 13701


Rengaine d’amour (1933) CD a, h<br />

Fox-trot<br />

Durée : 3' 10" EAS 8311<br />

la Romance de Paris (1941) CD c, j<br />

Chanson du film «La Romance de Paris»<br />

Valse populaire<br />

Durée : 2' 45" EAS 13648<br />

Sais-tu (Sais-tu qu’il existe sur terre ?) (1932)<br />

extrait du film «Bariole»<br />

Musique de Jane Bos EAS 7963<br />

Si vous aimiez (1943) CD c<br />

Durée : 3' 10" EAS 14055<br />

le Soleil a des rayons de pluie (1942) CD c<br />

Durée : 2' 50" EAS 13870<br />

le Temps des cerises CD c<br />

Arrangement Ch. Trenet de 1942<br />

Durée : 3' 15"<br />

Tout ça c’est pour nous... (1941) CD c<br />

Chanson du film «La Romance de Paris»<br />

Slow<br />

Musique de Léo Chauliac<br />

Durée : 2' 25" EAS 13656<br />

Viens, quitte ce soir cette vie (1932)<br />

extrait du film «Bariole»<br />

Musique de Jane Bos EAS 7941<br />

Vocalise de Madame Corette (1932)<br />

extrait du film «Bariole»<br />

Musique de Jane Bos EAS 8316<br />

RECUEIL<br />

Vingt succès<br />

Album piano et chant comprenant :<br />

Le Bonheur ne passe qu'une fois, la Chanson de l'ours,<br />

Dans le lit d'Aline, Débit de l'eau débit de lait, Douce<br />

France, La folle complainte, Frédérica, Hélène, l'Héritage<br />

infernal, Je n'y suis pour personne, Liberté, Poésie, Quand<br />

tu reverras ton Village, Quand un facteur s'envole,<br />

Quartier latin, Que reste t-il de nos amours ?, Rengaine<br />

d'amour, la Romance de Paris, le Soleil a des rayons de<br />

pluie, Tout ça c'est pour nous. EAS 17630X<br />

15


16<br />

FILMOGRAPHIE<br />

FILMOGRAPHY<br />

Bariole (1932)<br />

Réalisation de Benno Vigny<br />

Scénario de Jean Clerval<br />

Musique de Jane Bos et paroles des chansons de<br />

<strong>Charles</strong> Trenet<br />

Production : Compagnie du Cinéma<br />

La route enchantée (1938)<br />

Réalisation de Pierre Caron<br />

Scénario, dialogues, chansons et musique de<br />

<strong>Charles</strong> Trenet<br />

Production : Films Seca<br />

Je chante (1938)<br />

Réalisation, scénario et production de Christian Stengel<br />

Dialogues d’Albert Bausil<br />

Chansons et musique de <strong>Charles</strong> Trenet<br />

La romance de Paris (1941)<br />

Réalisation, scénario et dialogues de Jean Boyer<br />

Chansons de <strong>Charles</strong> Trenet et musique de<br />

Georges van Parys<br />

Production : Pathé-Cinéma<br />

Frédérica (1942)<br />

Réalisation de Jean Boyer<br />

Scénario d’après la pièce de Jean de Letraz<br />

«Epousez-nous, Monsieur»<br />

Adaptation et dialogues de Jean de Letraz<br />

Chansons de <strong>Charles</strong> Trenet et musique de<br />

Georges van Parys et Henri Forterre<br />

Production : Jason


Adieu Léonard (1943)<br />

Réalisation de Pierre Prévert<br />

Scénario et dialogues de Pierre et Jacques Prévert<br />

Chansons de <strong>Charles</strong> Trenet et musique de<br />

Joseph Kosma<br />

Production : L’Essor Cinématographique Français<br />

La cavalcade des heures (1943)<br />

Réalisation, scénario et dialogues d’Yvan Noé<br />

Musique d’André Messier, Roger Dumas et<br />

<strong>Charles</strong> Trenet<br />

Production : France Production<br />

Printemps à Paris (1956)<br />

Réalisation, scénario de Jean-Claude Roy<br />

Dialogues de Jean Girault<br />

Chansons de <strong>Charles</strong> Trenet et musique de Francis Lopez<br />

Production : Gimeno Phillips Film<br />

Bouquet de joie (1957)<br />

Réalisation de Maurice Cam<br />

Chansons de <strong>Charles</strong> Trenet<br />

Production : Sonofilm<br />

C’est arrivé à Trente-six chandelles (1957)<br />

Réalisation d’Henri Diamant-Berger<br />

Scénario et dialogues d’Henri Diamant-Berger et Jean Nohain<br />

Musique de Francis Lopez<br />

Production : Panoramas Films, Films Fernand Rivers, Film d’Art<br />

<strong>Charles</strong> Trenet à également participé<br />

à la réalisation musicale du film<br />

«9 garçons, un coeur» (1947)<br />

de Georges Freedland<br />

17


DISCOGRAPHIE<br />

Disponible en CD<br />

DISCOGRAPHY<br />

Available on CD<br />

<strong>Charles</strong> & Johnny 1933-1936 - CD a<br />

Johnny Hess (pno) Vanny Records VN-CD-9021<br />

<strong>Charles</strong> et Johnny duettistes - CD b<br />

COFFRET «CHARLES <strong>TRENET</strong>,<br />

INTÉGRALE (1937-1963)»<br />

volume 1 «Y’a d’la joie» (1937-1939)<br />

Virgin distribution, Music Memoria 30852<br />

volume 2 - CD c<br />

«Que reste t-il de nos amours» (1940-1945)<br />

EMI, Pathé Marconi 7906312<br />

EMI, Pathé Marconi 7906322<br />

volume 3 - CD d «La mer» (1945-1950)<br />

EMI, Pathé Marconi 7906332<br />

volume 4 - CD e «L’âme des poètes» (1950-1952)<br />

EMI, Pathé Marconi 7906342<br />

volume 5 «Moi, j’aime le music-hall» (1952-1955)<br />

EMI, Pathé Marconi 7906352<br />

volume 6 «Le jardin extraordinaire» (1955-1959)<br />

volume 7 «Les voix du ciel» (1959-1963)<br />

Rachel dans ta maison (1966)<br />

EMI, Pathé Marconi 7906362<br />

EMI, Pathé Marconi 7906372<br />

Polygram Distribution - Barclay CD 837 761-2<br />

Fidèle (1971) SONY, CBS 064383-2<br />

Joue-moi de l’électrophone (1972)<br />

SONY, CBS 064941-2<br />

Chansons en liberté - CD f (1973) SONY, CBS 065433-2<br />

A l’Olympia (1975)<br />

Collection OR SONY, CBS COL 471742-2<br />

Trenet, Le fou chantant en public - CD g (1987)<br />

Mon cœur s’envole (1992)<br />

EMI, Pathé Marconi 792984-2<br />

Warner Music France WEA 4509-91248-2<br />

19


20<br />

COMPILATIONS<br />

EMI, Pathé-Marconi<br />

<strong>Charles</strong> et Johnny sur le Yang Tse Kiang - CD h<br />

Collection «Du Caf’Conc’ au Music Hall»<br />

Volume 32 789089-2<br />

Swing Mr Trenet, 1937-1950 - CD i<br />

collection «Jazz time» 251289-2<br />

Disque d’or - CD j 798488-2<br />

Fleur bleue - CD k<br />

collection «Préférences» 252672-2<br />

Romance de Paris - CD l<br />

collection «Préférences» 252613-2<br />

SONY, CBS<br />

La chance aux chansons<br />

Collection OR - Double CD COL 472139-2<br />

Morceaux choisis (1976)<br />

Collection OR COL 471741-2<br />

L’écologiste (1981)<br />

Collection OR COL 471743-2<br />

Fidèle<br />

Collection OR COL 471031-2<br />

Bravo à <strong>Charles</strong> Trenet volumes 1 et 2<br />

vol. 2 : 463386-2


BIBLIOGRAPHIE<br />

Sélection<br />

BIBLIOGRAPHY<br />

Selection<br />

OUVRAGES DE CHARLES <strong>TRENET</strong><br />

Dodo manières<br />

Roman.<br />

Editions Albin Michel. Paris, 1939<br />

La Bonne planète<br />

Roman avec une préface de Jean Cocteau.<br />

Editions Brunier. 1949<br />

Un noir éblouissant<br />

Roman.<br />

Editions Grasset. Paris, 1965<br />

Mes jeunes années racontées par ma mère et par moi<br />

Editions Robert Laffont. Paris, 1978<br />

Pierre, Juliette et l’automate<br />

Roman.<br />

Editions Robert Laffont. Paris, 1983<br />

<strong>Charles</strong> Trenet, Œuvres d’éternelle jeunesse :<br />

Dodo manières et La Bonne planète<br />

Editions Michel Lafon. Paris, 1988<br />

RECUEILS DE CHANSONS<br />

DE CHARLES <strong>TRENET</strong><br />

(textes uniquement)<br />

Les Chansons de Paris de <strong>Charles</strong> Trenet,<br />

illustrées par Chabrier<br />

Editions Raoul Breton. Paris, 1982<br />

<strong>Charles</strong> Trenet. Boum, chansons folles.<br />

Collection «Point virgule»<br />

Editions du Seuil. Paris, 1988<br />

<strong>Charles</strong> Trenet, Le jardin extraordinaire.<br />

(les chansons de toute une vie)<br />

Livre de Poche. Paris, 1992<br />

21


22<br />

OUVRAGES SUR CHARLES <strong>TRENET</strong><br />

<strong>Charles</strong> Trenet. Illustré par Chabrier.<br />

Collection «Poètes et troubadours»<br />

Editions Pierre de Tartaf. 1979<br />

<strong>Charles</strong> Trenet, La Route enchantée.<br />

Préface de Serge Gainsbourg<br />

Editions le Temps singulier. Nantes, 1981<br />

Andry, Marc<br />

<strong>Charles</strong> Trenet. Collection «Masques et visages».<br />

Editions Calmann-Lévy. Paris, 1953<br />

Beauvarlet, Geneviève<br />

Trenet. Editions Bréa. 1983<br />

Cannavo, Richard<br />

Trenet, le siècle en liberté. Illustrations de Cabu.<br />

Hidalgo Editeur. Brezolles, 1989<br />

Cannavo, Richard<br />

La ballade de <strong>Charles</strong> Trenet<br />

Editions Robert Laffont. Paris<br />

Cannavo, Richard<br />

Monsieur Trenet. Illustrations de Cabu.<br />

Editions Lieu commun. Paris, septembre 1993<br />

Filipandré<br />

<strong>Charles</strong> Trenet, bulles enchantées. Bande dessinée<br />

Editions DS. Paris, 1992<br />

Perez, Michel<br />

<strong>Charles</strong> Trenet. Collection «Poésie et chansons».<br />

Editions Seghers. Paris, 1964<br />

Pessis, Jacques<br />

<strong>Charles</strong> Trenet - 50 ans de chansons - 50 ans d’images<br />

En collaboration avec Jacques Lapelle<br />

Editions Flammarion. Paris, 1989<br />

Pessis, Jacques<br />

Trenet, l’âme d’un poète<br />

Editions Plon. Paris, septembre 1993<br />

Saka, Pierre<br />

Trenet par Trenet<br />

Edition n° 1. Paris, octobre 1993

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!