Stéphanie MAJORAL - Documents d'artistes
Stéphanie MAJORAL - Documents d'artistes
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DOCUMENTS D'ARTISTES Friche la Belle-de-mai 13331 Marseille cédex 3 Tél : 04 95 04 95 40 www.documentsdartistes.org info@documentsdartistes.org<br />
PRÉNOM NOM<br />
<strong>Stéphanie</strong> <strong>MAJORAL</strong><br />
VIT ET TRAVAILLE A<br />
Marseille<br />
MÉDIUM<br />
installation/mixed media<br />
CONTACT<br />
83 rue Saint Sébastien 13008 Marseille<br />
Tél/fax : 04 91 37 75 90<br />
E-Mail : s.majoral@wanadoo.fr<br />
25 Septembre 2006
DOCUMENTS D'ARTISTES Friche la Belle-de-mai 13331 Marseille cédex 3 Tél : 04 95 04 95 40 www.documentsdartistes.org info@documentsdartistes.org<br />
PRÉNOM NOM REPÈRES<br />
<strong>Stéphanie</strong> <strong>MAJORAL</strong> R<br />
Throokinglass*<br />
C'est un oeil. Féminin. Avec en son centre une fenêtre. Trois motifs pour un rébus. L'oeil à la<br />
fenêtre (1998) est une oeuvre charnière dans le travail de <strong>Stéphanie</strong> MajoraL C'est pourtant une<br />
image qui se lit à l'aveugle : hors texte, hors contexte, hors prétexte. Un oeil. Avec en son centre<br />
le reflet d'une fenêtre à échelle humaine. La figure de l'oeil est récurrente dans l'histoire de l'art<br />
et des idées : l'oeil panoptique chez Foucault1 , instance de pouvoir et de contrôle, l'oeil-monde<br />
chez Odilon Redon, ou bien encore l'oeil crevé d'Œdipe, symbole de sa castration rédemptrice.<br />
Dans la culture occidentale, la figure de l'oeil est souvent une métaphore du pouvoir. Cependant<br />
dans cet oeil-là il y a une fenêtre, une invitation au voyage. L'image d'épinaI - l'oeil comme<br />
symbole du pouvoir - est alors totalement renversée par l'artiste : dans L'oeil à la fenêtre, le<br />
regard passe par le filtre de l'intime pour accéder au monde.<br />
Le regard est d'abord frappé par son aspect monumental, puis le spectateur, happé, s'approche<br />
pour capter le détail, l'événement qui se joue ici. Plus le spectateur s'approche, plus l'image<br />
s'opacifie, se dérobe, s'efface à une compréhension univoque : il faut alors s'en retourner pour<br />
découvrir une image qui n'est « ni tout à fait la même ni tout à fait une autre ». La référence à<br />
Verlaine2 n'est ici pas fortuite : d'abord parce que les pièces de <strong>Stéphanie</strong> Majoral induisent un<br />
rapport charnel avec le spectateur; ensuite parce que la dualité entre le dedans et le dehors de<br />
l'image induit une perception en deux temps, chacune déviant légèrement la perception de<br />
l'autre : à l'instar du promeneur qui, embrassant du regard le paysage offert devant ses yeux<br />
(devant lui, donc en dehors de lui même), désire être dans ce paysage, et qui, ce désir assouvi,<br />
se représente alors dans un même temps, dans une perception à la fois réelle et fantasmée, le<br />
paysage dans son ensemble et le fragment de paysage dans lequel il se trouve.<br />
L'oeil à la fenêtre est en réalité une porte, un passage visuel qui nous emmène en promenade<br />
dans l'oeuvre de l'artiste. Si la porte est fermée, passez par la fenêtre, messieurs, dames...<br />
<strong>Stéphanie</strong> MajoraI articule son travail autour de la question du statut de l'image et d'un de ses<br />
corollaires le point de vue, au travers de formes aussi diverses que le dessin, la photographie, la<br />
cartographie ou l'installation. En travaillant sur des notions comme le hors champ, l'image<br />
spéculaire, l'image voilée, oblitérée, <strong>Stéphanie</strong> MajoraI nous emmène ailleurs, dans des<br />
environnements fictifs, mis en scène, où la vision est comme suspendue au mouvement. La<br />
promenade, le parcours, la déambulation, ne sont pas ici des décisions de l'esprit, mais la suite<br />
naturelle et la maturation d'une vision.
DOCUMENTS D'ARTISTES Friche la Belle-de-mai 13331 Marseille cédex 3 Tél : 04 95 04 95 40 www.documentsdartistes.org info@documentsdartistes.org<br />
PRÉNOM NOM REPÈRES<br />
<strong>Stéphanie</strong> <strong>MAJORAL</strong> R<br />
<strong>Stéphanie</strong> MajoraI collecte des images, qu'il s'agisse de lieux communs du paysage, ou<br />
d'images extraites de la littérature ou de la peinture. De cette collecte, accumulation minutieuse<br />
et quasi obsessionnelle, l'artiste extrait une image qui par une mise en scène simple se voile,<br />
s'oblitère, parfois jusqu'à la limite de la visibilité.<br />
Ainsi, dans Chambre Blanche, présentée en 1997 à la Vigie dans une pièce d'un ancien<br />
appartement, le spectateur ne décèle rien de prime abord, pour ensuite apercevoir les formes<br />
d'un lit, d'une armoire et d'une commode. Ces dessins ont été obtenus par successions de<br />
couches d'enduit, les couches révélant la forme sans apparât de cette chambre à coucher. Ces<br />
images sonnent comme des énigmes, des mystères à éclaircir, posent la question de ce qui se<br />
joue là-bas, au-delà, non pas dans une vision platonicienne suggérant un monde transcendantal,<br />
mais bel et bien dans un au-delà du corps, ou plus précisément de l'espace qui sépare mon<br />
corps de cette image. L'artiste crée, non pas un espace en soi, mais plus exactement un “espace<br />
entre soi”. Les pièces de <strong>Stéphanie</strong> Majoral, aussi diverses soient-elles, provoquent<br />
invariablement chez le spectateur une envie irrépressible de s'approcher, d'aller vers. Quand le<br />
but est atteint, le mystère éclairci, que l'artiste nous a littéralement “mis au pied du mur”, l'oeil<br />
s'en retourne, provoquant à la fois un mouvement en arrière, en retour et une réitération. La<br />
force onirique de ces images, mystérieuses sans cultiver le mystère, ne réside pas dans la<br />
réponse à l'énigme posée, mais bien dans le trajet qui nous conduit vers la pièce. Par ce<br />
mouvement, cette déambulation qui est également un temps, l'image, comme le définissait<br />
Gide, devient “un espace à émouvoir”.<br />
La notion du temps est ici primordiale : temps de l'artiste, qui, dans la constitution même de son<br />
travail, procède invariablement par étapes, par une accumulation progressive, minutieuse et<br />
lente ; temps du spectateur, confronté à une image qui ne se donne pas à voir immédiatement ;<br />
temps de la pièce enfin, qui en abolissant toute vision frontale, invite à la promenade, à un<br />
parcours dans, autour et à travers d'elle même.<br />
Ces oeuvres requièrent une contemplation active, une participation créatrice, à l'instar de À la<br />
lisière (1999), où le sujet reconstruit litéralement le paysage, où le vide devient présence. Il y a<br />
chez <strong>Stéphanie</strong> MajoraI un refus obstiné de produire des images décisives et définitives.<br />
De la même manière, dans Étendue de pays (Butterfly Landscape) (2000), sur plusieurs tables<br />
sont posés des objets non identifiés. De loin, le spectateur a une impression de grouillement<br />
quasi inquiétante et qui rend impossible le déchiffrage. En s'approchant, le spectateur découvre<br />
des cartes postales découpées en de milliers de papillons pris dans leur envol.
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PRÉNOM NOM REPÈRES<br />
<strong>Stéphanie</strong> <strong>MAJORAL</strong> R<br />
Ce jeu entre la multitude et le détail, le tout et son fragment , revient d'une manière si récurrente<br />
chez <strong>Stéphanie</strong> MajoraI que l'on peut s'interroger. La lecture du Petit Robert nous apporte un<br />
éclairage intéressant sur cette notion du fragment. Je cite « fragment : morceau d'un objet brisé.<br />
» Brisé... brisé comme un miroir en mille et un morceaux, briser l'image réfléchissante pour<br />
qu'elle devienne opaque. S'attacher<br />
au morceau brisé, c'est désirer voir à travers l'opacité, et refuser de voir à travers la<br />
transparence. <strong>Stéphanie</strong> MajoraI convoque l'image pour mieux la mettre en doute. Une manière<br />
toute personnelle de réinterpréter l'idée du trompe l'oeil...<br />
Les jeux de glissements et de reflets entre les pièces de <strong>Stéphanie</strong> Majoral sont multiples, jeu de<br />
miroir où le détail d'une pièce sera repris, décliné, pour donner naissance à une autre pièce, une<br />
autre forme. Extraire un fragment de ce qui en soi est déjà un fragment. Aller au plus petit,<br />
dévoiler l'inframince, et pour cela utiliser des grands formats. Apparente contradiction que<br />
l'oeuvre de Rothko éclaire : le format n'écrase jamais le spectateur, il est un moyen de<br />
l'embrasser (à comprendre ici au sens littéral du mot “prendre dans ses bras”), de créer une<br />
proximité visuelle par immersion du regard.<br />
Ce qui frappe chez <strong>Stéphanie</strong> MajoraI, c'est la persistance et la cohérence interne de son travail,<br />
sa rigoureuse unité : tout se répond dans un mouvement qui se résoud en une identité : nous<br />
nous voyons regarder.<br />
Sandra Patron, 2002<br />
* la formule n'est pas de moi, mais de l'artiste elle-même. cf Through the Looking Glass de Lewis<br />
Caroll<br />
1 Michel Foucault Surveiller et punir<br />
2 Verlaine Poèmes saturniens
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PRÉNOM NOM REPÈRES<br />
<strong>Stéphanie</strong> <strong>MAJORAL</strong> R<br />
TECHNIQUES ET MATÉRIAUX<br />
dessinwall drawingphotographieaffichephotocopiestirages numériquesenduitpeinture<br />
crayons de couleur...<br />
MOTS INDEX<br />
paysage<br />
fenêtre<br />
cartographie<br />
oeil<br />
latence<br />
CHAMP DE RÉFÉRENCES<br />
...L'histoire de la photographie<br />
Marcel Proust<br />
Walter Benjamin<br />
Lewis Carroll, De l'autre côté du miroir<br />
Marcel Duchamp<br />
Roland Barthes, La chambre claire<br />
Georges Didi Huberman<br />
La danse contemporaine, A.T. De Keersmaeker, Meg Stuart, Trisha Brown...<br />
Platon<br />
Italo Calvino, Palomar, La collection de sable...<br />
Richard Brautigan, Tokyo-Montana express, Cahier d'un retour de Troie<br />
Blade Runner<br />
Alfred Hitchcock<br />
le Théâtre et son histoire<br />
Bertold Brecht<br />
Peter Brook, L'espace vide<br />
Joseph Conrad, le début de Une victoire<br />
Russel Banks, Hamilton Stark<br />
L'astronomie<br />
La topographie<br />
La sociologie du paysage...<br />
REPÈRES ARTISTIQUES<br />
Les premiers wall drawings de Sol Lewitt<br />
Claude Gelée dit Le Lorrain<br />
Caspar David Friedrich<br />
Bill Viola
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PRÉNOM NOM REPÈRES<br />
<strong>Stéphanie</strong> <strong>MAJORAL</strong> R<br />
SUITE DES REPÈRES ARTISTIQUES<br />
les cathédrales et Nymphéas de Monet<br />
Les Ménines<br />
Félix Gonzalez-Torres<br />
Peter Fischli & David Weiss<br />
Vermeer<br />
Douglas Huebler<br />
Bruce Nauman<br />
Paolo Ucello<br />
Pierre Bismuth<br />
Jeff Wall<br />
Hans Haacke<br />
Marcel Duchamp<br />
Piero della Francesca...
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PRÉNOM NOM BIOBIBLIOGRAPHIE<br />
<strong>Stéphanie</strong> <strong>MAJORAL</strong> B<br />
EXPOSITIONS<br />
EXPOSITIONS INDIVIDUELLES<br />
2005<br />
La Vigie, Nîmes<br />
2002<br />
Throokinglass, Triangle France, Galerie de la Friche la Belle de Mai, Marseille<br />
2001<br />
Les 48 heures d'Aperto, Aperto, Montpellier<br />
1995<br />
Entre chien et loup, Médamothi-Artistic cockpit, Montpellier<br />
1991<br />
Atelier du Grand Domaine, Marseille<br />
EXPOSITIONS COLLECTIVES<br />
2003<br />
Galerie Esca, Milhaud<br />
2002<br />
Nothing to lose, Gasworks, Londres<br />
2001<br />
Odyssée 2001, Ateliers d'Artistes de la Ville de Marseille, Marseille<br />
Les routards, Hangar, Casa Can Felipa, Barcelone, Espagne<br />
2000<br />
Chair de paille et autres poussières, (carte blanche à Diem Perdidi), Triangle France, Galerie de la Friche,<br />
Marseille<br />
Fictionary, Triangle France et 3015, Paris<br />
Reflex, Printemps de la photographie de Catalogne, Espai 22a, Barcelone, Espagne<br />
1999<br />
Astérides, Galerie de la Friche, Marseille<br />
Petit festival de Belvezet, Belvezet<br />
1998<br />
Cet été là, Centre régional d'art contemporain, Sète<br />
Or paires, La Vigie, Nîmes<br />
1997<br />
Rencontre n°10, Ricochets, La Vigie, Nîmes<br />
Temps variable sur l'ensemble des territoires, Iconoscope, Montpellier<br />
Temps variable sobre el conjut dels territoris, Espai 22a, Barcelone, Espagne<br />
1996<br />
Chiaroscuro, Openspace, Care Of, Milan, Italie<br />
1995<br />
<strong>Stéphanie</strong> Majoral-Salvador Moreno, Iconoscope, Montpellier
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PRÉNOM NOM BIOBIBLIOGRAPHIE<br />
<strong>Stéphanie</strong> <strong>MAJORAL</strong> B<br />
SUITE : EXPOSITIONS COLLECTIVES<br />
1994<br />
En cours, petits papiers <strong>d'artistes</strong>, Galerie Esca, Milhaud<br />
1993<br />
Dégustation, Vivement l'été ! Ouvert l'hiver, Nîmes<br />
Une génération, Galerie Esca, Milhaud<br />
Tronc, Iconoscope, Montpellier<br />
1992<br />
Galatée, Musée des moulages, Université Paul Valéry, Montpellier<br />
1991<br />
Espace de l'art, espace d'une ville, Le Cannet<br />
Galerie Château Lumière, Mois de la photographie, Lima, Pérou<br />
1990<br />
Etat des lieux, a.c.a.l, Montpellier<br />
La rentrée de l'école de Nîmes, Ecole d'art, Nîmes<br />
AUTRES PRODUCTIONS, AIDES, ACQUISITIONS<br />
AIDES, PRIX, RÉSIDENCES<br />
2006<br />
CAC arts visuels, Région Paca<br />
2005<br />
Aide individuelle à la création, Drac paca<br />
2002<br />
Résidence, Gasworks, Londres<br />
2001<br />
Résidence, École des Beaux Arts, Nimes<br />
2000<br />
Résidence au Hangar, dans le cadre des échanges avec Astérides, Barcelone, Espagne<br />
Aide individuelle à la création, Drac Paca<br />
1999<br />
Résidence à Astérides, Friche la Belle de mai, Marseille<br />
Résidence à Triangle France, Friche la Belle de mai, Marseille<br />
1997<br />
Cité Internationale des Arts, Paris<br />
1994<br />
Aide individuelle à la création, Drac Languedoc-Roussillon
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PRÉNOM NOM BIOBIBLIOGRAPHIE<br />
<strong>Stéphanie</strong> <strong>MAJORAL</strong> B<br />
SUITE : AIDES, PRIX, RÉSIDENCES<br />
1993<br />
Cité Internationale des Arts, Paris<br />
COLLECTIONS PUBLIQUES ET PRIVÉES<br />
Fonds Communal, Ville de Marseille<br />
Présence dans des collections privées<br />
BIBLIOGRAPHIE<br />
CATALOGUES INDIVIDUELS<br />
2002<br />
Throokinglass, Triangle France, Marseille, 2002<br />
CATALOGUES COLLECTIFS<br />
2003<br />
Carnet de bord, édition la Vigie, Nîmes, 2003<br />
2001<br />
Chair de paille et autres poussières, Diem Perdidi, Triangle France, Marseille, 2001<br />
Denis Brun, Sydney Houillier, <strong>Stéphanie</strong> Majoral..., catalogue de l'exposition, Astérides, Marseille, 2001<br />
2000<br />
Fictionary, Triangle France, Marseille, 2000<br />
Carnet de Bord 1996/2000, La vigie, Nîmes, 2000<br />
Primavera fotogràfica 2000, Generalitat de Catalogne, Département de la Culture, Barcelone, 2000<br />
1998<br />
Cet été là, Centre Régional d'art contemporain de Sète, 1998<br />
ARTICLES DE PRESSE, DE REVUES<br />
2006<br />
Une journée comme les autres, in Papiers libres, n° 43, janvier fevrier mars, 2006<br />
1995<br />
Entre chien et loup, texte collectif in Papiers Libres n°3, décembre 1995<br />
Marie Van Hamme : Transmission d'images, in Calades n°157, février 1995
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PRÉNOM NOM BIOBIBLIOGRAPHIE<br />
<strong>Stéphanie</strong> <strong>MAJORAL</strong> B<br />
FILMS, VIDÉOS, MULTIMÉDIA, SITE INTERNET<br />
http://www.gasworksgallery.org/shows/nothing/
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PRÉNOM NOM CURRICULUM VITÆ<br />
<strong>Stéphanie</strong> <strong>MAJORAL</strong> CV<br />
NÉE LE<br />
née le 09-04-1966, à Montpellier<br />
VIT ET TRAVAILLE A<br />
Marseille<br />
MÉDIUM<br />
installation/mixed media<br />
ÉCOLE, FORMATIONS<br />
1990<br />
DNSEP, école d'art de Nîmes<br />
1984 - 1985<br />
1ère année de DEUG Image-Spectacle-Audiovisuel, Faculté Paul Valéry, Montpellier<br />
ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES ANNEXES<br />
Enseignement des arts plastiques et interventions en tant qu'artiste dans le milieu scolaire depuis 1994<br />
Graphiste PAO<br />
Intervention en écoles d'art