Indisp Fiction Février 2011.indd - Colaco
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<strong>Fiction</strong><br />
Les amours imaginaires<br />
Réalisé de Xavier Dolan<br />
avec Monia Chokri, Niels Schneider, Xavier Dolan<br />
Francis et Marie, deux amis, tombent amoureux de la<br />
même personne. Leur trio va rapidement se transformer<br />
en relation malsaine où chacun va tenter d’interpréter à<br />
sa manière les mots et gestes de celui qu’il aime...<br />
«Un ravissant bijou pop qui se consomme avec un plaisir gourmand<br />
et accrédite l’idée que Dolan aurait les moyens de ses ambitions.»<br />
Le Monde - Isabelle Regnier<br />
«Dolan brûle d’un feu adolescent, d’une effronterie qui semble<br />
constamment nous mettre au défi de le détester. (...) Il fi lme en<br />
poète, et il y a dans son cinéma, une urgence, un aplomb, une fraîcheur<br />
(...) qui en font un objet volatil, aussi fragile que précieux. Ce<br />
cinéma-là n’est pas jeune : il EST la jeunesse.»<br />
Première - Julien Samy<br />
A 5 heures de Paris<br />
Réalisé par Leon Prudovsky<br />
A seulement 5 heures de vol de Paris, dans la banlieue de Tel-Aviv,<br />
deux solitaires se rencontrent. Lui est chauffeur de taxi. Elle est professeur<br />
de piano. Lui n’a jamais quitté Israël, elle est en transit entre<br />
deux pays. Lui a délaissé toute ambition, elle a abandonné ses illusions.<br />
Tous deux redoutent l’avion qui les attend : il a la phobie<br />
des airs et doit pourtant s’envoler pour Paris où sera célébrée dans<br />
quelques jours la bar-mitsva de son fi ls, elle ne sait plus si elle doit<br />
prendre l’avion qui l’emmènera au Canada où son mari doit s’installer.<br />
Leur histoire d’amour est-elle une simple escale sans lendemain<br />
ou le point de départ d’une nouvelle vie ?<br />
«Les deux comédiens excellent dans ce subtile apprivoisement. La sensibilité et la<br />
discrétion de Léon Prudovsky, qui les dirige, font le reste. Cette brève rencontre<br />
nous touche sans qu’on s’y attende.»<br />
Télérama - Aurélien Ferenczi<br />
«Le récit aurait pu tomber, à partir de cette situation, dans la banalité et la facilité<br />
des codes de la comédie romantique douce-amère ; au contraire, l’habile écriture<br />
cinématographique de Leon Prudovsky nous fait accéder, jusqu’au terme, aux<br />
troubles de l’irrésolution sentimentale avec une force d’évocation certaine.»<br />
Critikat.com - Arnaud Hée<br />
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