Bacchantes d'Euripide par le Théâtre Demodocos. - Semaine de ...

Le défi 2013 d’Hadrien 2000 !
Imaginez,
Le dimanche 7 juillet 2013 à 20h au Théâtre Antique de Vaison-la-Romaine
Vous assistez dans le lieu conçu pour de tels spectacles à la représentation des
Bacchantes d’Euripide par le Théâtre Demodocos.
Pour que ce défi soit relevé,
Pour que notre rêve devienne réalité
Il faut garantir une fréquentation significative
Et donc obtenir la prévente de 500 billets avant le 31 décembre 2012.
Ces billets sont proposés au tarif préférentiel de 20€ (25€ ensuite)
Les 50 premiers souscripteurs se verront offrir une seconde place
Les chèques seront encaissés en janvier si l’objectif est atteint (détruits si non)
Un reçu de souscription sera adressé par mail
Les billets seront tenus à disposition le 7 juillet au soir à la Ferme des Arts
Inscrivez-vous en nombre, devenez les ambassadeurs de notre défi !
Association Hadrien 2000 Siret 443 369 871 00019 Hôtel de Ville BP116
84110 Vaison-la-Romaine

L'association Hadrien 2000 présente
la tragédie grecque au Théâtre Antique de Vaison-la-Romaine
Représentation le 7 juillet 2013 : LES BACCHANTES d'Euripide
par la compagnie DEMODOCOS, compagnie de théâtre antique,
et l'Atelier Choeur et théâtre Antiques de l'université Paris-Sorbonne
Visible aux Dionysies 2013, 26 et 29 mars ; festivals partenaires : la Semaine de Théâtre
Antique (association Hadrien 2000) ; les Milliaires (association Eté du Tertre)
Traduction et mise en scène de Philippe Brunet, musique de François Cam
Masques de bois sculptés par Guillaume le Maigat, peints par Céline Radet
Costumes et coiffures de Fantine Cavé-Radet.
Avec l'aide du Service culturel de l'université Paris-Sorbonne.
Le théâtre antique est conçu pour la voix et pour la danse, pour l'ouïe et pour l'oeil,
Autrefois, le Groupe de Théâtre Antique de la Sorbonne jouait les Perses à Epidaure et Vaison,
avec choeur et masques. Aujourd'hui, la troupe Démodocos lui a succédé en Sorbonne, et se
consacre tout entière, depuis 18 ans, à ce répertoire, et va plus loin : de nouvelles traductions
rythmées, prix d'une élaboration littéraire qui renouvelle les formes poétiques, la voix grecque
reconstituée dans son rythme et sa prononciation, la musique ancienne retrouvée et
accompagnée d'instruments archaïques : la lyre, l'aulos, sorte de hautbois recréé et interprété
par une musicienne de la troupe à partir de cannes provençales, l'orgue à bouche, puissant
instrument emprunté à la Chine, et des percussions traditionnelles qui allient leurs forces pour
faire entendre l'aspect saisissant de cette musique à travers ses modes et ses échelles sublimes.
Un art de la dramaturgie entremêle la langue sacrée ancienne et une langue contemporaine
rythmée, scandée ; depuis trois ans, la troupe retrouve même le principe des pas de la danse
antique.

Pour ce spectacle, le metteur en scène a trouvé l'artiste qui lui a permis de réaliser son rêve :
créer des masques de bois d'après les connaissances de l'archéologie. Pour la première fois, la
compagnie Démodocos offre un jeu intégral de masques. Ceux-ci ont été conçus en remontant
aux modèles grecs par le biais des ex-voto retrouvés à Lipari en Sicile. Impressionnants, ils
créent la stupeur et l'effroi chez le spectateur par leur bouche béante et conditionnent tout le
jeu, tirent les acteurs vers les retrouvailles du mystère dionysiaque...
Parole, chant, musique, gestuelle et chorégraphie, masque et costume : il ne manque à la troupe
que de faire vivre cette expérience de théâtre dans le lieu qui l'a vu se déployer : le théâtre
antique, avec sa scène et son orchestre, piste de danse semi-circulaire où se déploient les
danses du choeur.
C'est la pièce qui célèbre le dieu du vin et du théâtre, Dionysos, fils de Zeus et de la mortelle
Sémélè. Le dieu, de retour dans sa Thèbes natale, se heurte à l'hostilité du jeune roi de Thèbes,
Pentheus, qui refuse de croise à sa divinité. Il lui en coûtera la vie. Pièce fervente, où le théâtre
rejoint la religion dionysiaque dans sa cruauté spectaculaire. La pièce a été créée en
Macédoine, loin d'Athènes. Retour aux sources du mythe, à l'origine de la transe, aux principes
de la musique phrygienne. A l'issue de cette pièce comique, où les plus respectables se griment
et s'attifent de postiches dionysiaques, une fin terriblement tragique : Agauè rapporte la tête de
son fils, en croyant avoir chassé un lion. Ainsi finissent les adversaires de Dionysos...
Les Vaisonnais connaissent bien ce travail, puisque la troupe est régulièrement invitée par la
Semaine de théâtre antique depuis sa création en l'an 2000 : Orphée, les Perses, filmés au
Nymphée par le cinéaste Jean Rouch, Antigone (dans trois versions différentes au fil des
années), l'Odyssée, l'Iliade, les Grenouilles et la trilogie de l'Orestie, en plus de nombreux
récitals, furent créés par Philippe Brunet et la troupe.
Avec Thomas Morisset (Dionysos), James Escudier (Pentheus), Gilles de Rosny (Tirésias), Daniel
Rasson (Cadmos, Berger), Raphaël Durville (Messager), Fantine Cavé-Radet (Agavè). Et les voix de
François Cam et James Escudier (Dionysos en gloire). Choeur : Fantine Cavé-Radet, Bérenger Hainaut,
Idaline Hamelin, Violette Hu, Aurélia Hulst, Javiera Quiroga, Léonie Talbot, Claudia Tuozzo.

La pièce a été créée dans le Réfectoire des Cordeliers à Paris, et jouée dans le théâtre romain
d'Argentomagus à Saint-Marcel (Indre) en 2012, avec grand succès.
La création de tragédies dans l'espace qui a été conçu pour les faire vivre apporte un élément
essentiel au spectacle. Le choeur est placé dans l'orchestre, à sa vraie place (qui n'est pas le
lieu des spectateurs !), devant les personnages qui évoluent principalement sur la scène,
placée derrière l'orchestre. Le retour à ce dispositif a été une révélation pour la troupe et le
public d'Argenton. Le théâtre devient une machine à amplifier les voix, les gestes, les
émotions. Le public reçoit tout par l'intermédiaire du Choeur.
Immense pari, à la mesure des gradins du théâtre romain, la troupe souhaite apporter énergie
et passion pour réunir le public des estivants sur une date unique de l'été 2013 : le 7 juillet
-valorisation unique du lieu par un spectacle conçu pour le lieu
-vibration acoustique naturelle du lieu sans recourir aux moyens d'amplification modernes
-spectacle vécu dans l'union fusionnelle des publics réunis dans les gradins du théâtre
Aujourd'hui, la troupe perfectionne son jeu de danses et de masques tragiques, au point de
renoncer à jouer dans les salles obscures d'Avignon, après 8 ans de présence au festival, pour
prévenir son public qu'elle a choisi l'événement unique qu'est la représentation en plein air, où
la pierre immémoriale place l'homme entre la terre et le ciel sous le souffle des dieux. Voilà
pourquoi la troupe a choisi VAISON-LA-ROMAINE.

CONTACTS
Association Démodocos
Service culturel de l'université Paris-Sorbonne, 1 rue Victor Cousin, 75005 Paris
Adresse direction artistique : route des Méandres 76530 Mauny - tél. : 06 87 35 57 71
Siège social : 5 rue Frochot 75009 Paris - Paru au J.O. n° 0011 (1995)
Site Internet : http://www.demodocos.com – mail : demodocos@demodocos.com
N° Siret 43370258600028 – code NAF 9499Z
Licence d'entrepreneur de spectacles 2 – 1034848

Les Bacchantes, d'Euripide, par le théâtre Démodocos
Théâtre Antique de Vaison-la-Romaine
BULLETIN DE PRÉVENTE
A compléter et retourner avec votre règlement à :
Hadrien 2000 - Hôtel de Ville BP 116 - 84110 Vaison-la-Romaine
Règlement par chèque bancaire ou postal à l'ordre de l'association Hadrien 2000.
M., Mme, Melle : Prénom :
Adresse :
Code postal : Ville :
Téléphone : Adresse électronique :
Nombre de places
(tarif prévente)
TOTAL
Dimanche 7 juillet 2013, 20h00 : Les Bacchantes, d'Euripide, par le Théâtre Démodocos - Théâtre Antique de Vaison-la-Romaine ..................... x 20 € ..................... €
Affiche : Clémentine Cintré