29.01.2014 Views

La Septante Mythique.

Toutes religions a ces mythes ou légendes contenant des récits relatant des faits imaginaires transmis par la tradition. Le christianisme en est pas l'exception, au contraire il en est remplis plus que toutes autres. Il n'y a pas de complication avec cela, de telles histoires amusent l'imagination, mais lorsqu'on ne peut plus différencier la réalité de la fiction et qu'on prend de telles fables pour la vérité même, il y a un sérieux problème. La Septante ou traduction grecque de l'Ancien Testament fait partie de ces fables fantaisistes remplies de contrevérités mensongères qui perturbent l'esprit et déstabilisent la foi chrétienne et biblique. Non seulement qu'il n'a jamais existée une telle Bible, mais que les mythomanes en ont créés une pour répondre aux besoins de leurs fabulations afin de ne pas perdre face devant les gens lucides et intelligents qui ne se laissent pas prendre au piège si facilement que cela. Les attrape-nigauds fonctionnent seulement avec ceux qui aiment la dissimulation et les inventions funestes qui profitent aux dérèglements d'élites et d'érudits subtils et ingénieux avec leur agenda sibyllin. Nous sommes complètement stupéfait et consternés devant l'ignorance crasse de million et de million de personnes qui se laissent bourrer le crâne par des dirigeants spirituels pédants et prétentieux qui leurs disent de croire en une Bible fantôme pour le salut de leurs âmes. Il en advient que les crédules qui «filtrent les moucherons de leur boisson avalent le chameau» avec tout ses bagages. Puisque la foi vient de ce qu'on entend et rapporte de la Parole de Dieu (Rom. 10:17), il faut se demander sérieusement de quel genre de foi ces gens se réclament. Ne s'agirait-il pas plutôt de la présomption et de la défiance ? Devant des faits si évidents qui crèvent les yeux, nous ne pouvons arriver à aucune autre conclusion.

Toutes religions a ces mythes ou légendes contenant des récits relatant des faits imaginaires transmis par la tradition. Le christianisme en est pas l'exception, au contraire il en est remplis plus que toutes autres. Il n'y a pas de complication avec cela, de telles histoires amusent l'imagination, mais lorsqu'on ne peut plus différencier la réalité de la fiction et qu'on prend de telles fables pour la vérité même, il y a un sérieux problème. La Septante ou traduction grecque de l'Ancien Testament fait partie de ces fables fantaisistes remplies de contrevérités mensongères qui perturbent l'esprit et déstabilisent la foi chrétienne et biblique. Non seulement qu'il n'a jamais existée une telle Bible, mais que les mythomanes en ont créés une pour répondre aux besoins de leurs fabulations afin de ne pas perdre face devant les gens lucides et intelligents qui ne se laissent pas prendre au piège si facilement que cela. Les attrape-nigauds fonctionnent seulement avec ceux qui aiment la dissimulation et les inventions funestes qui profitent aux dérèglements d'élites et d'érudits subtils et ingénieux avec leur agenda sibyllin. Nous sommes complètement stupéfait et consternés devant l'ignorance crasse de million et de million de personnes qui se laissent bourrer le crâne par des dirigeants spirituels pédants et prétentieux qui leurs disent de croire en une Bible fantôme pour le salut de leurs âmes. Il en advient que les crédules qui «filtrent les moucherons de leur boisson avalent le chameau» avec tout ses bagages. Puisque la foi vient de ce qu'on entend et rapporte de la Parole de Dieu (Rom. 10:17), il faut se demander sérieusement de quel genre de foi ces gens se réclament. Ne s'agirait-il pas plutôt de la présomption et de la défiance ? Devant des faits si évidents qui crèvent les yeux, nous ne pouvons arriver à aucune autre conclusion.

SHOW MORE
SHOW LESS

Create successful ePaper yourself

Turn your PDF publications into a flip-book with our unique Google optimized e-Paper software.

Cet apocryphe contient la fabulation la plus grossière qui prétend que<br />

«durant le règne de Ptolémée Philadelphus, 72 érudits Juifs de chaque<br />

tribu ont été chargés de réaliser ce travail de traduction en exactement<br />

72 jours». Mais le terme «septante» signifie soixante-dix en latin et non<br />

soixante-douze. Selon la légende de cette duperie, «le travail terminé,<br />

Démétrios réunit la communauté des Juifs à l’endroit où s’était<br />

accomplie l’œuvre de la traduction, et il en fit lecture à toute<br />

l’assemblée, en présence des traducteurs, qui furent d’ailleurs accueillis<br />

avec enthousiasme par la foule, pour leur contribution à un bien<br />

considérable. Ils firent une ovation pareille à Démétrios».<br />

Voici ce qu'en dit Alexandre Westphal dans son «Dictionnaire<br />

Encyclopédique de la Bible»: «L'auteur se donne comme un haut<br />

dignitaire du roi d'Egypte, Ptolémée II Philadelphe, et comme un païen. Il<br />

écrit à son ami Philocrate pour lui raconter l'origine de la traduction<br />

grecque de la Bible, dite Version des LXX (voir Texte de l'A.T., II, 4, a).<br />

Sur le conseil de Démétrius de Phalère, conservateur de la fameuse<br />

bibliothèque d'Alexandrie, le roi envoie un message au grand-prêtre<br />

Eléazar, pour obtenir une copie et une traduction des livres de la Loi des<br />

Juifs. Le pontife accueille favorablement cette demande et délègue à<br />

Philadelphe 7:2 docteurs (6 de chaque tribu), également versés dans la<br />

connaissance de la Loi et de la langue grecque. Après un magnifique<br />

banquet à la cour, où ils ont l'occasion de faire briller leur sagesse<br />

devant le roi, ils sont installés dans l'île de Pharos et se mettent à<br />

l'oeuvre. Ils travaillent 8 heures par jour, Démétrios consignant par écrit<br />

la traduction, sur tous les détails de laquelle ils ont réalisé un accord<br />

unanime. <strong>La</strong> tâche est achevée en 72 jours. 72 docteurs, 72 jours; de là<br />

48

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!