Ralph Lauren ART STARS - Katabox
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Pour parution immédiate<br />
Katrin Fridriks sur des crayons conceptuels<br />
et en campagne pour le projet « <strong>Ralph</strong> <strong>Lauren</strong> <strong>ART</strong> <strong>STARS</strong> »<br />
________<br />
En avril et mai, Katrin Fridriks participait à l’exposition collective inaugurale du nouveau<br />
centre d’art contemporain d’Epinal, France, soutenu par le Fonds régional d’art contemporain.<br />
A cette occasion, l’artiste exposait pour la première fois sa nouvelle installation « Crayons »<br />
(voir ci-dessous)<br />
“DNA code of Crayons” – Installation - 165x59x4 in. – 420x150x10 cm - 2010<br />
Cette installation va chercher dans la mémoire de l’enfance et fait ressurgir notre<br />
émerveillement devant une boîte de crayons toute neuve, tous les crayons parfaitement<br />
alignés dans un flot de couleur sans fin. Les crayons dans leur boîte : une œuvre d’art en soi<br />
que chacun d’entre nous replaçait en principe dans l’ordre avant de refermer la boîte.<br />
Avec cette série de crayons, Katrin poursuit son mariage de la peinture avec les installations<br />
conceptuelles. L’objet incorpore la peinture et devient l’œuvre d’art elle-même. Les couleurs
Katrin Fridriks – Communiqué de presse<br />
8 juin, 2010<br />
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sont vives et pures, en opposition avec la partie inférieure qui ressemble à la lave stylisée d’un<br />
volcan en fusion, une réminiscence de son Islande natale. On pourrait voir un aspect cinétique<br />
dans cette installation. Caloz Cruz-Diez rencontre Jackson Pollock ? En fait, le code ADN de<br />
ces crayons se trouve plutôt du côté de Raymond Hains et de sa série des allumettes géantes<br />
de couleur fluorescente qui faisait référence avec un humour au second degré à l’art<br />
conceptuel émergent des années 60 et, dans une série plus tardive, à une œuvre du Pop Art<br />
américain interprétée par un Nouveau Réaliste français.<br />
Katrin Fridriks nous joue une mélodie d’enfance. Les tableaux alignés sont comme les<br />
touches d’un piano. Mais pourquoi exposer les crayons sur un fond noir ? L’artiste répond:<br />
« Il y a une “Boîte Noire” géante avec une porte et un hublot dans mon atelier. Elle a l’air<br />
très secrète, comme un sous-marin. Les gens se demandent ce que c’est. C’est la chambre de<br />
mon fils… »<br />
“DNA code of Crayons” – Installation - 165x59x4 in. – 420x150x10 cm - 2010<br />
Katrin Fridriks participe également à la campagne « Art Stars », une célébration par <strong>Ralph</strong><br />
<strong>Lauren</strong> de l’iconographie de l’Amérique et du rêve américain. Pour cette campagne, <strong>Ralph</strong><br />
<strong>Lauren</strong> a commissionné quarante jeunes artistes contemporains pour peindre des étoiles<br />
réalisées en toile denim. Katrin a réalisé une étoile dans son style inimitable (voir page<br />
suivante). Les œuvres des artistes sélectionnés sont à présent exposées dans des points de<br />
ventes stratégiques à travers l’Europe. Elles prendront ensuite la route pour Londres pour une<br />
exposition collective devant avoir lieu avant la fin de l’automne. A la fin de l’année, la<br />
campagne se terminera par une vente aux enchères caritative et un gala dont les revenus<br />
seront donnés au Teenage Cancer Trust, une organisation soutenue par la Fondation <strong>Ralph</strong><br />
<strong>Lauren</strong>.<br />
Les circonstances qui on conduit Katrin à produire cette étoile doivent beaucoup à la<br />
coïncidence : « Pour la seconde édition de mon petit catalogue Face N2 en octobre 2009,<br />
j’avais inclus un photomontage en forme d’étoile de l’un de mes tableaux à fond noir,<br />
ressemblant à l’une des étoiles du Walk of Fame à Hollywood, c'est-à-dire avec un entourage<br />
serti de cuivre. Ce n’était pas une étoile, mais l’ « Etoile d’Hollywood » dit Katrin. « J’ai<br />
pensé réaliser une vrai peinture en forme d’étoile sur la base de cette idée un peu plus tard en<br />
2010… Au début de cette année j’étais à Londres et, par l’intermédiaire de l’artiste Herakut<br />
(ses dessins son très beaux), j’ai rencontré une femme qui était intéressée par mon travail.<br />
Tout naturellement, je lui donnai un exemplaire de mon petit catalogue. Elle découvrit l’étoile
Katrin Fridriks – Communiqué de presse<br />
8 juin, 2010<br />
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(que j’avais déjà intitulée « Frankie goes to Hollywood ») et resta saisie. Cette personne<br />
(Alexa Kusber) était la personne en charge du projet Art Stars pour <strong>Ralph</strong> <strong>Lauren</strong> ! »<br />
Le nom de la peinture a été inspiré par le groupe “Frankie Goes to Hollywood”, un groupe de<br />
pop très populaire dans les années 80. Le nom du groupe a été inspiré par une page du<br />
magazine The New Yorker qui comportait le titre « Frankie Goes to Hollywood » et une<br />
photographie de Frank Sinatra, fils d’immigrés italiens, devenu une légende et qui représente<br />
certainement une partie du rêve américain auquel renvoie le projet Art Stars.<br />
“Frankie goes to Hollywood” – Installation - 59x62x7 in. - 150x158x18 cm - 2010<br />
Hollywood, et plus généralement Los Angeles est un endroit que Katrin connaît bien pour y<br />
avoir vécu plusieurs années. Incontestablement, il y a du Fridriks dans cette étoile : le rouge et<br />
le jaune Ferrari en couleur de fond et une calligraphie peinte en double virage serré à la<br />
vitesse Formule 1…
Katrin Fridriks – Communiqué de presse<br />
8 juin, 2010<br />
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Le 1er mai, la ville de Barbizon a organisé un hommage par cent artistes au célèbre tableau<br />
l’ « Angélus » du peintre Français Jean-François Millet. Katrin a réalisé une installation<br />
photographique et un tableau pour cette exposition qui se poursuit jusqu’au 31 juillet 2010.<br />
Du 26 au 30 mai, Katrin a participé à une exposition de groupe au 5, Great Newport Street,<br />
Covent Garden à Londres pour le lancement officiel de la galerie Future Tense<br />
(www.thefuturetense.net). Elle va exposer dans le cadre d’une exposition collective à la foire<br />
d’art contemporain Volta à Bâle avec la galerie Circleculture (www.circleculturegallery.com)<br />
du 15 au 20 juin 2010 et, à compter du 24 juin, elle participera à une exposition collective<br />
avec la même galerie, cette fois à Berlin, dont le titre (en français) “Le Salon du Cercle de la<br />
Culture à Berlin”.<br />
Parmi les prochains projets de Katrin il y a un two-man show à Saint-Tropez en juillet, et cet<br />
automne une exposition collective à New-York, avant son exposition personnelle rue du<br />
Faubourg Saint-Honoré en novembre à la galerie Le Feuvre. Restez connectés pour la suite !<br />
Stéphane Jaffrain<br />
“Eyeland” – Acrylic on canvas 59x59x3.9 in - 150x150x10 cm - 2010
Katrin Fridriks – Communiqué de presse<br />
8 juin, 2010<br />
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Katrin Fridriks - Biographie<br />
________<br />
Katrin Fridriks est née à Reykjavik, Islande, le 9 août 1974.<br />
Née en Islande, Katrin Fridriks a été élevée au Grand Duché du Luxembourg. Dès sont plus<br />
jeune âge elle parlait plusieurs langues. Elle a quitté le Luxembourg à l’âge de douze ans pour<br />
s’établir en Allemagne, à Francfort. Elle a étudié le japonais, avec un intérêt particulier pour<br />
la calligraphie. Elle a commencé à exposer à Paris en 1995, à l’âge de 20 ans, et a quitté la<br />
France en 1998 pour vivre à Los Angeles où elle s’est mariée et à vécu trois ans. A son retour<br />
au Luxembourg et en France, elle a participé à de nombreuses expositions en France, aux<br />
Etats-Unis, en Islande, au Grand Duché du Luxembourg, en Allemagne, en Chine et au<br />
Royaume-Uni. Elle a également développé des projets dans le cadre de commandes<br />
publiques et privées.<br />
Les artistes préférés de Katrin Fridriks sont Léger, Pollock, Bacon pour la technique, Matthew<br />
Barney, les frères Chapman et Warhol pour l’intellect, les sculpteurs Tony Cragg, Anish<br />
Kapoor, Ron Mueck pour les matériaux utilisés et l’artiste graffiti Banksy… pour l’oxygène.<br />
Interview<br />
« A l’âge de dix ans, je voulais absolument devenir architecte. Jouer avec les Legos et<br />
l’espace me fascinait. L’idée de l’infiniment grand & petit, l’univers cosmique et mon pays<br />
d’origine, l’Islande, m’ont beaucoup inspirée. Mais les mathématiques n’étaient pas ma tasse<br />
de thé. J’ai alors regardé vers d’autres formes d’expression, j’ai étudié le japonais. Très vite<br />
est arrivée la calligraphie, les couleurs du Pop Art et le graffiti. Ils ont été au cœur de ma<br />
première expression sur la toile. Des peintres tels que Léger, Pollock et Warhol ont influencé<br />
mon travail avant que je ne m’oriente vers une réflexion plus conceptuelle qui m’a conduite<br />
aux installations. Je conçois généralement mon travail come un travail de peinture et<br />
d’installations. Grandir au Luxembourg et en Allemagne a ouvert mon esprit à d’autres<br />
cultures.<br />
J’ai décidé de quitter l’école et d’aller à Paris en 1994. J’avais vingt ans et j’ai eu<br />
suffisamment de chance pour signer un contrat de deux ans avec une galerie Place des<br />
Vosges. Quelques années plus tard, j’ai eu la possibilité d’exposer aux Etats-Unis. Mon<br />
ancien mariage (1998-2001) avec le fils d’un architecte américain qui m’a fortement<br />
influencée, et ma rencontre avec Pierre Restany en 2003 ont permis à ma vision de grandir.<br />
J’ai commencé à aborder des sujets tels que l’évolution de la société par rapport aux<br />
questions liées à l’environnement. L’Islande, son énergie et sa terre sont intensément présent<br />
dans la vision de mon travail.<br />
L’un de mes objectifs est d’attirer la conscience sur la condition de l’humain, et la nature<br />
est très liée à notre condition d’humain. Prenons un exemple : l’Islande est la plus grande<br />
base de données de codes génétiques au monde. La série « Code DNAnd Munitions » se<br />
focalisait sur les deux aspects de la recherche liée à l’identification de notre code génétique<br />
universel. Cette recherche peut sauver des vies mais, dans le même temps, les compagnies<br />
d’assurance ont un intérêt à savoir quel code est bon et quel code est mauvais. Cela peut<br />
conduire à une classification des humains dans la société et, bien entendu, pose un problème
Katrin Fridriks – Communiqué de presse<br />
8 juin, 2010<br />
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étique que j’aborde dans ma nouvelle série « Espaces Moléculaires ». Comment seront les<br />
générations futures ? Nous avons trouvé de l’eau sur la lune, nous allons manquer de<br />
ressources et l’eau sera peut-être le pétrole de demain.<br />
Sous les multiples couches de la planète peinture, l’art n’est pas fait pour être beau, il est<br />
fait pour donner à réfléchir. »<br />
Main Exhibitions - Grants<br />
2011<br />
Soho House, Circle Culture gallery - Berlin<br />
Inauguration Vicky&David gallery - New York<br />
Solo show, Circle Culture gallery - Berlin<br />
Solo show, Pascal Janssens gallery - Ghent<br />
Forum Grimaldi, “Tag & Graff” Collection ADG - Monaco<br />
Goss-Michael Foundation - Dallas<br />
Solo show, Circle Culture gallery - Hamburg<br />
2010<br />
“Graffiti Auction” by Pierre Bergé & ADG Palais de Tokyo - Paris<br />
AAF Fair original prints “Punk series” Future Tense gallery - London<br />
Circleculture Gallery “No such thing than a good painting about nothing” - Berlin<br />
City of Barbizon “The Angélus” - Barbizon<br />
Inauguration Centre for Contemporary Art - Epinal<br />
Future Tense Gallery - London<br />
Volta Art 6 Basel, Circleculture Gallery - Basel<br />
Circleculture Gallery“Le Salon du Cercle de la Culture à Berlin” - Berlin<br />
Moniker Art Fair “solo project space” curated by Circleculture Gallery - London<br />
Marrakesh Art Fair, Venise Cadre - Morocco<br />
Le Feuvre Gallery solo show “Les Crayons” - Paris<br />
<strong>Ralph</strong> <strong>Lauren</strong> Foundation “Art Stars” Phillips de Pury - London<br />
Border Contemporary Art Zone – solo show, Galerie Pascal Janssens - Ghent<br />
2009<br />
Grand Palais “Tag & Graff” Collection ADG - Paris<br />
Suty Gallery “La marque Che” Paris, Bordeaux, Lyon & Bruxelles<br />
Le Feuvre Gallery - Summer exhibition - Paris<br />
Grand Palais “Salon du Collectionneur” Bailly Contemporain - Paris<br />
CAL Salon 2009 - Luxemburg<br />
Future Tense Gallery - London<br />
Volchkova Gallery - Paris<br />
Artcurial / Forum Mondial Action Humanitaire “Street Heart” Palais de Tokyo - Paris<br />
The Show by Jérémy Rocher - Paris<br />
2008<br />
5 th Biennial of Liverpool “Made up risk boxes” Center of Icelandic Art<br />
Grants by Minister of Culture, Higher Education & Research - Catalog “Face” - Luxemburg<br />
International Campaign Award Land Rover 60 yrs - Salon de l’Automobile / Artcurial - Paris<br />
2 nd International Conference Transport Energy Solutions “Made up War series” - Reykjavik
Katrin Fridriks – Communiqué de presse<br />
8 juin, 2010<br />
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Novas Contemporary Urban Centre “Nice08” - Liverpool<br />
Foundation Vigdisar Finnbogadottir/Navia - Reykjavik<br />
Chappe Gallery “Stereographic @ play” curated by David Letourneau - Paris<br />
Lost Horse Gallery “Independence day” Reykjavik<br />
2007<br />
French Government commission: Fresco “Red Sea” 80m2, Olympic Stadium of Nîmes<br />
Museum Palais Bénédictine “Star Eaters” solo show - Fécamp<br />
Oel-Früh Gallery “KiloWatt” solo show - Hamburg<br />
Fortis Bank “Decoding Iceland” - Luxemburg<br />
eArts Festival “Digital Experience” curator for Visual Systems - Shanghai<br />
Sequences - Art Festival Reykjavik<br />
Ice07 - Cultural & Art Festival of Liverpool<br />
Center of Icelandic Art & SIM “Barbie-Q” - Reykjavik<br />
2006<br />
Rush Art Gallery “Paris is burning” curated by Rashaad Newsome - New York<br />
CAL Salon 2006 - Luxemburg<br />
Espace à Vendre Gallery “Monsters of Sound” two-man show - Nice<br />
2005<br />
Nuziq Music Festival “Visual Identity” - Nice<br />
Palais de Tokyo “Kathedrale” perfomance & video installation - Paris<br />
Scope Fair “Silent Auction” - London<br />
Philippe Chaume Gallery “girls@work” - Paris<br />
Artsoum Gallery “Artsenal” - Nice<br />
Jungle Art Gallery “Stock Option” - Paris<br />
2004<br />
National Museum of Reykjavik “Thunder from a Hero” Permanent collection<br />
Salon Art Paris, Jungle Art Gallery, Carrousel du Louvre - Paris<br />
Rambaud Martel “Elliot of Faithfield” collaboration with Aurèle, two-man show - Paris<br />
Jungle Art Gallery Orka “Energy Flow” - Paris<br />
Avenue K “Luxe de Luxe” - Kuala Lumpur<br />
2003<br />
Vertu Gallery “Step into my Underground” solo show - Paris<br />
City Hall of Paris “L’art Emmêlé” - Paris<br />
2002<br />
Riva Gallery “Erotika” - New York<br />
La Cité Gallery - Luxemburg<br />
“Space Walk” solo show, Avenue Montaigne - Paris<br />
“Comité du salut artistique” - Paris<br />
1999<br />
BGH Gallery Absolut Vodka “Music for the eyes & Art for ears” solo show - Los Angeles<br />
BGH Gallery “Beauty & the Beast” video installation - Los Angeles<br />
Espace Paul Ricard “Art Com” - Paris
Katrin Fridriks – Communiqué de presse<br />
8 juin, 2010<br />
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1998<br />
Salon Who’s Next - Paris<br />
Studio Victoire “Fantasy-Box” Paris<br />
Grants by Foundation 3 Suisses - Paris<br />
Grants by City Hall of Contrexéville<br />
Galerie W - Paris<br />
1997<br />
Theatre of Paris - Paris<br />
Salon Who’s Next - Paris<br />
Lefor Openo - Paris<br />
1995-1997 Chourlet Gallery- “Permanent exhibition” Place des Vosges - Paris<br />
“DNA code of Crayons” – Installation - 165x59x4 in. – 420x150x10 cm - 2010<br />
info@katabox.com<br />
http://www.katabox.com