Dossier_Presse_2013_.. - Kazachok

seules les licences fortes déjà installées ont une place. Pour les nouvelles, elles ont très peu de
place et doivent avoir une forte médiatisation pour s’imposer. On constate réellement une
uniformisation des licences qui laisse peu de place à la nouveauté. Les licences sont travaillées de
façon pérenne sur plusieurs saisons. Certains secteurs fonctionnent mieux que d’autres en temps
de crise, comme le jouet car, même en période de crise la notion de faire plaisir aux enfants reste
capitale donc les produits sous licences gardent leur place.
Dans ce contexte, ce sont les licences classiques très connues qui fonctionnent le mieux. C’est le
cas de Cars, Hello Kitty, les Princesses Disney, Toy Story, etc. Apparaissent pourtant depuis
quelques années des phénomènes qui montent et deviennent incontournables comme Beyblade
ou des propriétés remises au goût du jour comme Babar ou Franklin.
La France reste un pays où la consommation de licence n’est pas évidente. Tout ne peut pas
marcher. Le consommateur est très exigent et la licence ne suffit plus, il faut que le produit ait
une vraie valeur ajoutée cohérente à la licence.
32.22
Milliards
$
1.04
€ Milliard
725.1
Millions
€
Chiffre d’affaires du marché de la
licence en Europe
Source : EPM 2012
Chiffre d’affaires des licences sur le
Marché des Biens Culturels en France
Source : GfK, période année 2011
Chiffre d’affaires du marché des Licences Entertainment
en France (Jeux vidéo, Livre, Musique, Vidéo)
Source : GfK, fin Septembre 2012
Répartition du chiffre d’affaires sur 4 marchés en France :
Vidéos – 37.6%
Jeux Vidéos – 30.3%
Livres – 29.9%
Musique – 2.2%
2
ème Rang européen de la France pour la
consommation de jeux et de jouets
Source : GfK période de janvier à septembre 2012
Source : ITRNews 02.01.13
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