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XIII Prince mort en soldat à cause de la France, Ame certes élue, Fier jeune homme si pur tombé plein d'espérance, Je t'aime et te salue ! Ce monde est si mauvais, notre pauvre patrie Va sous tant de ténèbres, Vaisseau désem<strong>par</strong>é dont l'équipage crie Avec des voix funèbres, Ce siècle est un tel ciel tragique où les naufrages Semblent écrits d'avance... Ma jeunesse, élevée aux doctrines sauvages, Détesta ton enfance, Et plus tard, coeur pirate épris des seules côtes Où la révolte naisse, Mon âge d'homme, noir d'orages et de fautes, Abhorrait ta jeunesse. Maintenant j'aime Dieu dont l'amour et la foudre M'ont fait une âme neuve, Et maintenant que mon orgueil réduit en poudre, Humble, accepte l'épreuve, 26
J'admire ton destin, j'adore, tout en larmes Pour les pleurs de ta mère, Dieu qui te fit mourir, beau prince, sous les armes, Comme un héros d'Homère. Et je dis, réservant d'ailleurs mon voeu suprême Au lys de Louis Seize : Napoléon qui fus digne du diadème, Gloire à ta mort française ! Et priez bien pour nous, pour cette France ancienne, Aujourd'hui vraiment « Sire », Dieu qui vous couronna, sur la terre païenne, Bon chrétien, du martyre ! 27
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X La tristesse, la langueur du corp
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XII Vous voilà, vous voilà, pauvr
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XIV L'immensité de l'humanité, Le
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XVI La « grande ville ». Un tas c
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Le vent, fouettant la tente, les ve
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Et que toutes ces voix dolentes S'
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XX Parisien, mon frère à jamais
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XXI C'est la fête du blé, c'est l
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