LA DOCTRINE DE LA PORTE OUVERTE ET FERMEE

Année 1845
Janvier - December
Ellen White commença à avoir des visions concernant la "porte fermée".
John Megquier fut témoin des visions, chez lui, il écrit :
"Nous avons bien connu le parcours d’Ellen G. White la visionnaire,
pendant qu’elle se trouvait dans l’Etat du Maine. Au sujet des
premières visions qu’elle a eue chez moi à Poland, elle racontait que
Dieu lui avait dit en vision que la porte de la Grâce avait été
fermée, et qu’il n’y aurait plus d’autre occasion pour le monde".
(The True Sabbath, par Miles Grant, p.70)
Madame L.S. Burdick connaissait bien Madame White.
Elle a écrit :
"J’ai connu James White et Ellen Harmon (maintenant Madame
White) au début de 1845. . . Ellen avait ce qu’on appelait des visions :
Elle disait que Dieu lui avait montré en vision que Jésus-Christ s’était
levé le dixième jour du septième mois de 1844, ET fermé la porte
de la Grâce ; Il avait à jamais quitté le trône de la médiation ; le
monde entier était condamné et perdu ; plus aucun pécheur ne
pourrait jamais être sauvé". (The True Sabbath, p.72).
7 février
O.R.L. Crosier publie sa compréhension de Christ entrant dans le Lieu
Très Saint le 22 octobre 1844, dans le journal Day Star. Madame White
approuvera par la suite cette publication, comme une "lumière vraie".
19 février
William Miller exprime sa croyance qu’aucun pécheur ne s’est converti sur
terre durant les cinq derniers mois : "Je n’ai pas vu une seule conversion
authentique depuis [le 22 octobre 1844]." Voice of Truth, 19 février 1845.
Année 1846
20 avril
Otis Nichols, un partisan d’Ellen White et témoin de ses visions, écrit à
William Miller : "Son message... encourageait à conserver la foi, et le
‘mouvement du septième mois’ ; disant que notre tâche était accomplie en
direction de l’église fictive et du monde, et qu’il ne restait plus qu’à la
réaliser en faveur de la maison de la [vraie] foi".