om m aire - Bièvre

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AGENCE DE DÉVELOPPEMENT LOCAL (A.D.L.)
UN PEU D’HISTOIRE
Vous avez un projet d’entreprise commerciale ou touristique ?
Vous cherchez des partenaires dans votre commune, votre région ?
Vous souhaitez vous intégrer dans un réseau d’entreprises ?
Bienvenue à l’Agence de Développement Local de Bièvre et Vresse-sur-
Semois.
L'Agence de Développement Local est installée depuis le 03 juin 2013
dans les locaux de l'administration communale de Vresse-sur-Semois. En
effet, nos deux communes se sont associées pour mettre sur pied ce
nouveau service dans le but de dynamiser l'économie de Bièvre et Vressesur-Semois.
Nos objectifs :
Créer une stratégie de développement économique à long terme afin de
valoriser le potentiel des deux communes et d’améliorer la qualité de vie
sur le plan économique et de la création d’emploi.
Nos missions :
• Accueillir les porteurs de projets, les accompagner et les orienter vers
les partenaires utiles ;
• Réunir l’ensemble des acteurs locaux afin de mener des actions créatrices
d’emplois ;
• Initier et animer le partenariat qui associe les pouvoirs publics, les
secteurs privé et associatif sur le territoire des deux communes ;
• Identifier la nature des besoins et des potentialités locales en tenant
compte des aspects économiques et de la création d’emplois ;
• Utiliser les ressources et le savoir-faire en vue de développer les capacités
d’entreprises des territoires communaux ;
• Diagnostiquer les atouts et les faiblesses d’une région ;
• Etablir un plan stratégique de développement durable.
Concrètement, l’ADL vous renseigne et vous aide...
... à monter un projet de création d’entreprise, à créer un événement,
soutenir toute démarche susceptible de créer de l’emploi et de l’activité
économique sur les deux communes.
Agréée par le Service Public de Wallonie...
Nous travaillons avec
• Les pouvoirs locaux et communaux
• Les entreprises, commerces et associations du secteur privé
• Les organes de développement territorial de niveau communal, intercommunal,
provincial, régional, fédéral et européen
• Le réseau des Agences de Développement Locales de Wallonie
Contactez-nous
MM. Pierre Poncelet et Sébastien Marbehant - Rue Albert Raty, 112 à
5550 Vresse-sur-Semois - adl.bievre.vresse@gmail.com
LES ARSOUILLES :
CAMPAGNE DE RECRUTEMENT
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L’ASBL Les Arsouilles peut vous aider ! Toute une équipe d ‘assistantes
sociales est disponible pour vous informer et vous aider à faire le bon
choix.
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ASBL Les Arsouilles 21/5
rue Edouard Dinot 5590 Ciney 083/21.35.92
Le moulin à pierre et les carrières de Mitauge (Oisy)
Beaucoup de villages de notre région avaient du schiste sur leur territoire.
La Semois avait des ardoisières assez rentables, mais sur les
hauteurs, on exploitait la pierre pour la construction des maisons.
Ces carrières n’étaient cependant pas exploitées industriellement.
Propriétés des communes, celles-ci permettaient gratuitement l’exploitation
des pierres aux habitants qui le demandaient. Dans certains
cas, des investisseurs voulurent, après prospection, établir des
installations relativement conséquentes. Alors il fallait bien sûr
payer les communes.
A 200 mètres en aval du grand moulin à farine de Mitauge, le long
du ruisseau de Bonne Soc, on peut encore voir, si l’on est observateur,
un site étrange. Il porte le nom de Taillefer. Quelques pans de
murs, de grosses pierres, le tout au milieu d’arbres et de ronces,
voilà ce qu’il reste d’une petite scierie de pierres activée par une roue
hydraulique. En y regardant de plus près, on peut y deviner les vestiges
d’un petit bâtiment à deux étages. Elle fut construite en 1867
suite à une demande faite par Isidore Baijot de Louette-Saint Pierre
et Pierre Aimé Renson de Bièvre. Le premier était cultivateur et
bourgmestre de son village et le second, notaire.
Ceux-ci avaient en outre obtenu de la commune de Cornimont, l’autorisation
d’exploiter une carrière située de l’autre côté du ruisseau,
à quelques centaines de mètres
.
Trou de l’ardoisière
On a d’abord essayé d’y extraire de l’ardoise comme en témoigne un
trou de faibles dimensions qui laisse voir une galerie en pente douce
de plusieurs mètres. On en a retiré un peu pour recouvrir plusieurs
toits des villages alentours. C’étaient ce que l’on appelait alors des
« faisiaux ». Mais ils n’étaient pas de bonne qualité et on n’insista
pas. Par contre sur le même site, on a creusé des carrières à ciel
ouvert. On en a retiré d’immenses blocs pour la construction, mais
aussi des pierres qui ont été sciées pour en faire des dalles, des
pavés, des éviers des bordures, des auges pour le bétail et même des
tablettes de fenêtres. C’était de la pierre bleue noire qui était assez
poreuse et prenait l’humidité facilement aux changements de temps.
Il fallait aussi les polir ou les creuser. C’est ce que l’on faisait dans
ce moulin qui bien sûr n’était pas habité. La roue, en bas, actionnait
des meules "polissantes" et un haut fer pour la découpe (à l’étage).
Les blocs étaient acheminés de la carrière par des chevaux attelés à
un essieu spécial. Les gros blocs étaient suspendus en dessous ou
simplement accrochés et traînaient par terre.
Il y eut assez bien de petits problèmes pour arriver à installer cette
petite usine, les uns avaient peur pour l’irrigation, d’autres pensaient
qu’on allait installer une usine pour exploiter le fer (il y en a
un peu dans ce coin), alors, ils avaient peur de la pollution.
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