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Contes Chinois<br />
mardi 14 mai 2013 – 14h30 + 19h30<br />
jeudi 15 mai 2013 – 14h30<br />
vendredi 16 mai 2013 – 10h00 + 14h30<br />
Le Scarabée<br />
Durée 1h<br />
Contact<br />
Service des relations avec <strong>le</strong> public<br />
rp@espacemalraux-chambéry.fr<br />
04 79 85 83 30
Le guerrier sauta sur <strong>le</strong> cheval<br />
Et disparut avec lui dans la nuit.<br />
« Prends soin de ta monture ! » lui cria Han Gan<br />
Mais seu<strong>le</strong> la lune l’entendit.<br />
1
Contes Chinois<br />
Théâtre NéNéKa<br />
Durée : 1h<br />
Textes choisis de Chen Jiang Hong<br />
Le Prince tigre, Le cheval magique de Han Gan<br />
Mise en scène – François Orsoni<br />
Textes dits par Estel<strong>le</strong> Meyer<br />
Illustrations – Chen Jiang Hong<br />
Musique – Rémi Berger et Thomas Landbo<br />
Scénographie et vidéo – Pierre Nouvel<br />
Régie généra<strong>le</strong> – François Burelli<br />
Le cheval magique de Han Gan de Chen Jiang Hong a été édité à l’éco<strong>le</strong> des<br />
loisirs en 2004.<br />
2
Note d’intention<br />
Trois contes, trois histoires lumineuses.<br />
Chen Jiang Hong s’est plongé dans ses racines, dans l’héritage culturel des contes chinois,<br />
pour trouver l’inspiration de ses histoires. Le rouge domine, il est question de la place de l’art<br />
dans <strong>le</strong> monde, de la force de la transmission, de la difficulté de vivre avec ses différences,<br />
fussent-el<strong>le</strong>s des dons.<br />
Le Prince Tigre, Le cheval magique de Han Gan et Lian sont des contes illustrés, objets<br />
magnifiques que l’on voudrait prendre délicatement et dont on voudrait tourner chacune des<br />
pages <strong>le</strong>ntement.<br />
J’ai voulu retranscrire l’intime et <strong>le</strong> ludique d’une <strong>le</strong>cture qu’on ferait dans une chambre, pour un<br />
enfant, <strong>le</strong> soir au coucher. La mise en scène s’appuie sur un dispositif vidéo : <strong>le</strong>s illustrations de<br />
Chen sont filmées ou enregistrées, et projetées sur scène. El<strong>le</strong>s sont ainsi transposées comme<br />
des tab<strong>le</strong>aux surdimensionnés. Chaque détail est visib<strong>le</strong>, <strong>le</strong>s cou<strong>le</strong>urs jaillissent, <strong>le</strong>s images<br />
défi<strong>le</strong>nt au rythme de la narration et d’une composition musica<strong>le</strong> origina<strong>le</strong>. Tout est vrai. Le<br />
plateau est un endroit réel, où <strong>le</strong> dessinateur, la narratrice et <strong>le</strong> musicien construisent l’illusion<br />
de ces trois histoires, comme pour s’opposer à la profusion des images prêtes à être<br />
consommées que propose la télévision. Ici, au contraire, on décompose l’illusion en fabriquant<br />
<strong>le</strong>s images devant <strong>le</strong>s enfants. Ce dispositif éveil<strong>le</strong> nos sens et captive <strong>le</strong> regard des jeunes<br />
spectateurs.<br />
Ces contes de Chen Jiang Hong offrent un savoir-faire et un temps de poésie qui renvoient à la<br />
fonction première du théâtre : cel<strong>le</strong> de raconter des histoires.<br />
François Orsoni<br />
3
Processus de création<br />
J’ai rencontré Chen Jiang-Hong à l’occasion d’une manifestation à Paris Vil<strong>le</strong>tte en<br />
2008. Le festival codex m’avait offert une carte blanche pour présenter un spectac<strong>le</strong><br />
destiné aux enfants. J’avais proposé à Chen de faire une performance autour de deux<br />
de ses livres, Le cheval magique de Han Gan et Le prince tigre.<br />
Il est ici question de la place de l’art dans <strong>le</strong> monde, de la force de la transmission, de la<br />
difficulté de vivre avec ses différences fussent-el<strong>le</strong>s des dons… D’une manière<br />
poétique et métaphorique, ces deux histoires racontent Chen, son héritage culturel et<br />
sa propre expérience. Chen, qui est auteur et peintre, travail<strong>le</strong> dans l’intimité et la<br />
solitude de son atelier, mais il aime aussi la scène, <strong>le</strong> public, la jouissance dans la<br />
multiplicité, l’énergie et la générosité que <strong>le</strong> plateau demande. Et c’est cela qui m’a plu<br />
en lui et donné l’envie de faire ce spectac<strong>le</strong>.<br />
Tout s’est construit autour de ces deux éléments : l’intimité et la performance.<br />
Pour Le prince tigre, nous avons utilisé <strong>le</strong>s illustrations du livre de Chan. Chacun des<br />
tab<strong>le</strong>aux est projeté à l’échel<strong>le</strong> du théâtre. La scène devient une sorte de livre ouvert,<br />
avec <strong>le</strong>s pop-up géants qui jaillissent du sol. Les images se figent pour raconter, pour<br />
suspendre <strong>le</strong> temps, <strong>le</strong> regard du spectateur recherche des détails, rentre dans l’image.<br />
C’est un montage image en direct, un dessin animé par <strong>le</strong>s sens et <strong>le</strong>s émotions. De<br />
véritab<strong>le</strong>s tab<strong>le</strong>aux s’enchaînent comme on tournerait <strong>le</strong>s pages d’un livre. A l’échel<strong>le</strong><br />
d’un théâtre, j’ai voulu reproduire l’intimité d’une <strong>le</strong>cture qu’on ferait à un enfant <strong>le</strong> soir<br />
au coucher.<br />
Le cheval magique de Han Gan par<strong>le</strong> d’un enfant qui va vers la peinture, la peinture<br />
comme salut dans la vie, comme moyen de se donner <strong>le</strong>s moyens – <strong>le</strong> désir de toujours<br />
peindre, puis la reconnaissance académique et une fois cette reconnaissance, <strong>le</strong> risque<br />
d’être utilisé par <strong>le</strong>s autres… Chen entre ici en scène. Il agit directement sur la narration<br />
en dessinant l’action à l‘encre de chine. Son trait fin, rapide et incisif devient <strong>le</strong> moteur<br />
du récit. Une caméra agrandit <strong>le</strong> dessin sur l’écran de projection qui couvre l’ensemb<strong>le</strong><br />
du plateau. On décompose l’illusion en fabriquant <strong>le</strong>s images devant <strong>le</strong>s spectateurs.<br />
C’est une performance pictura<strong>le</strong> en parallè<strong>le</strong> et en interaction avec cette histoire. Un<br />
simp<strong>le</strong> trait de pinceau devient <strong>le</strong> plateau tout entier, l’image s’anime, certains dessins<br />
sont précis, d’autres de simp<strong>le</strong>s esquisses, certains sont abstraits. La poésie est<br />
partout, dans chacun des dessins, dans <strong>le</strong>urs si<strong>le</strong>nces, dans <strong>le</strong>s histoires, dont <strong>le</strong><br />
rythme est <strong>le</strong>nt, comme pour s’opposer à la profusion des images que produit et<br />
consomme notre monde.<br />
Plutôt que d’incarner <strong>le</strong>s personnages, j’ai voulu faire du plateau un grand livre animé<br />
comme une expérience narrative où se mê<strong>le</strong>nt voix, dessin, vidéo et musique. J’ai<br />
demandé à Thomas Landbo et Rémi Berger de construire une bande sonore musica<strong>le</strong>.<br />
Pierre Nouvel a créé la scénographie et la vidéo. Estel<strong>le</strong> Meyer est la narratrice.<br />
François Orsoni<br />
4
Trois histoires<br />
Le prince tigre<br />
Au cœur de la forêt profonde, la Tigresse p<strong>le</strong>ure la mort de ses petits. Des chasseurs<br />
<strong>le</strong>s ont tués. Depuis, el<strong>le</strong> rôde autour des villages, <strong>le</strong> coeur empli de haine et de<br />
chagrin. Un soir, el<strong>le</strong> détruit <strong>le</strong>s maisons, dévore <strong>le</strong>s hommes et <strong>le</strong>s bêtes, mais cela<br />
n’apaise pas sa colère, au contraire. Le pays est plongé dans la terreur. Le roi consulte<br />
la vieil<strong>le</strong> Lao Lao, qui lui déconseil<strong>le</strong> formel<strong>le</strong>ment de <strong>le</strong>ver une armée. Une seu<strong>le</strong><br />
chose, selon el<strong>le</strong>, peut apaiser la colère de la tigresse : Le roi doit lui donner son fils<br />
unique, Wen. Le roi et la reine ont <strong>le</strong> coeur brisé. Wen est si petit ! Son père<br />
l’accompagne pourtant aux abords du territoire de la Tigresse. «Je n’ai pas peur», dit-il<br />
à son père. Il marche longtemps, puis, fatigué, s’endort au pied d’un arbre. Déjà la<br />
Tigresse a senti son odeur…<br />
Le cheval magique de Han Gan<br />
Quand il était petit, Han Gan adorait dessiner.<br />
Mais il ne voulait peindre que des chevaux. Et il <strong>le</strong>s peignait toujours attachés.<br />
Plus tard, quand il rentra à l’académie, ses camarades lui demandèrent : « Pourquoi<br />
représentes-tu toujours tes chevaux attachés ? »<br />
Han Gan répondit : « parce que mes chevaux sont si vivants qu’ils pourraient sortir du<br />
papier. »<br />
Alors on commença à raconter des choses de plus en plus étranges sur <strong>le</strong>s chevaux de<br />
Han Gan…<br />
6
Lian<br />
Monsieur Lo est un pêcheur solitaire. Sa jonque est sa maison.<br />
Il est triste, cette année <strong>le</strong> poisson est rare.<br />
Un jour, pour <strong>le</strong> remercier de lui avoir fait traverser <strong>le</strong> f<strong>le</strong>uve, une vieil<strong>le</strong> femme lui offre<br />
quelques graines de lotus. Ces graines sont particulières, el<strong>le</strong>s viennent de la gueu<strong>le</strong><br />
d’un dragon. Monsieur Lo <strong>le</strong>s plante, et voilà qu’un champ de lotus pousse en l’espace<br />
d’une nuit. Une mélodie s’élève doucement. L’une des f<strong>le</strong>urs illumine l’obscurité. Entre<br />
<strong>le</strong>s péta<strong>le</strong>s de cette f<strong>le</strong>ur apparaît une petite fil<strong>le</strong>.<br />
C’est Lian.<br />
Lian aussi est particulière. El<strong>le</strong> a un don précieux. El<strong>le</strong> peut d’un geste changer <strong>le</strong>s<br />
choses, changer la vie des gens. À cause de ce don, el<strong>le</strong> est en danger…<br />
7
Biographies et parcours<br />
A propos de la compagnie<br />
Le théâtre de NéNéKa que dirige François Orsoni a 10 ans maintenant.<br />
Si on peut dessiner un chemin, un fil conducteur assez clair à travers ses choix<br />
dramaturgiques, c’est surtout par un « art de faire », qui s’instal<strong>le</strong> au fur et à mesure<br />
des créations, que l’identité de cette compagnie est née. La paro<strong>le</strong> est au centre de<br />
tout. La paro<strong>le</strong> écrite tout d’abord, cel<strong>le</strong> de Pirandello, de Pasolini, de Brecht, de<br />
Büchner, de Dea Lohers… Une paro<strong>le</strong> qui dénonce l’ordre établi, <strong>le</strong>s faux-semblants,<br />
qui libère et qui est source de réf<strong>le</strong>xion. Une paro<strong>le</strong> incarnée aussi. Sur scène pas<br />
d’effets spéciaux, pas d’esbroufe, une scénographie toujours soignée et au service du<br />
texte, des comédiens qui font se rencontrer des savoir-faire, des corps qui disent, qui<br />
rendent <strong>le</strong> texte intelligib<strong>le</strong>. Lorsque pouvoir <strong>le</strong>ur est donné de créer <strong>le</strong>urs personnages,<br />
<strong>le</strong>s acteurs ont ici un grand espace de liberté. Beaucoup d’improvisation, une large<br />
place aux propositions, beaucoup d’essais, de tentatives. Jusqu’au dernier moment et<br />
certainement même au-delà, personne ne sait à quoi va ressemb<strong>le</strong>r l’ensemb<strong>le</strong>. Mais<br />
ceux qui suivent <strong>le</strong> travail de François Orsoni savent que, chaque fois, la magie opère,<br />
que chaque pièce est une véritab<strong>le</strong> nouveauté, qu’à chaque fois la mise en scène est<br />
au service du texte, jamais l’inverse.<br />
Historique de la compagnie<br />
Baal - Bertolt Brecht - 2010<br />
mise en scène François Orsoni - avec Mathieu Genet, Alban Guyon, Clotilde Hesme,<br />
Thomas Heuer, Thomas Landbo, Estel<strong>le</strong> Meyer, Jeanne Tremsal<br />
création 64ème festival d’Avignon - Cloître des Cé<strong>le</strong>stins, festival del<strong>le</strong> colline torinesi -<br />
Turin, Ajaccio, Corte, Bastia, Théâtre Universitaire - Nantes, CDN de Reims, Scène<br />
Nationa<strong>le</strong> de Lorient, théâtre d’Ar<strong>le</strong>s, théâtre de la Bastil<strong>le</strong><br />
Histoires courtes - Luigi Pirandello - 2009<br />
mise en scène François Orsoni - avec Alban Guyon Thomas Landbo et Estel<strong>le</strong> Meyer<br />
création en Corse - O<strong>le</strong>tta, San Giulianu, Omessa, San Benedettu, Pietrosella,<br />
Linguizzetta, Ajaccio, Bonifacio<br />
Contes chinois - Chen Jiang Hong - 2008<br />
mise en scène François Orsoni - avec Suliane Brahim, Pascal Colomb, Chen Jiang<br />
Hong<br />
création à l’occasion du festival Codex - grande hal<strong>le</strong> de la Vil<strong>le</strong>tte, festival fête du livre<br />
de jeunesse - Saint Paul Trois Chateaux<br />
Jean la chance - Bertolt Brecht - 2007<br />
Mise en scène François Orsoni - avec Suliane Brahim, Alban Guyon, Clotilde Hesme,<br />
Tomas Heuer, Thomas Landbo<br />
8
création espace Mains d’Oeuvres - Saint Ouen, théâtre de la Bastil<strong>le</strong> - Paris, théâtre<br />
universitaire - Corte, Ajaccio, festival Mercosur - Cordoba, FIBA - Buenos Aires, Dieppe,<br />
Ar<strong>le</strong>s, Nantes, Lorient, Eu, festival contre-courant - I<strong>le</strong> de la Barthelasse, Avignon,<br />
Contes fantastiques - Guy de Maupassant - 2007<br />
mise en scène François Orsoni - avec Jean-Pierre Pancrazi et François Orsoni<br />
création festival e teatra<strong>le</strong>, théâtre Saint Angelo - Bastia, Marignana, San Giulianu,<br />
Centres pénitentiaires de Casabianda et de Borgo, Pietrosella, Corte, Bastia, Porto<br />
Vecchio, Ajaccio, théâtre de la Licorne - Cannes, Porticcio, Propriano, Sartene, O<strong>le</strong>tta,<br />
Corte<br />
Barbe-B<strong>le</strong>ue, espoir des femmes - Dea Lohers - 2006<br />
mise en scène François Orsoni - avec Suliane Brahim, Dominique Frot, Clotilde Hesme,<br />
Christof Veillon<br />
création théâtre Kallisté hors <strong>le</strong>s murs - Ajaccio<br />
en coproduction avec <strong>le</strong> théâtre international Merlin - Budapest et la Ménagerie de<br />
Verre - Paris<br />
La jeune fil<strong>le</strong>, <strong>le</strong> diab<strong>le</strong> et <strong>le</strong> moulin - Olivier Py - 2005<br />
mise en scène François Orsoni - avec Suliane Brahim, Clotilde Hesme, Tomas Heuer,<br />
Thomas Landbo, Eric Peuvrel et François Orsoni<br />
création théâtre municipal - Bastia, Pietrosella, Quasquara, Cutoli, la Porta, Corbara,<br />
Pietralba, Ajaccio, Théâtre du Jeu de paume - Aix en Provence<br />
Epître (pour que soit rendue la paro<strong>le</strong> à la paro<strong>le</strong>) - Olivier Py - 2004<br />
mise en scène François Orsoni - avec François Orsoni et Thomas Landbo<br />
création chapel<strong>le</strong> Impéria<strong>le</strong> - Ajaccio, Bastia, Fozzano, Sant’Andria di Bozziu,<br />
Pietrosella, Castineta, Cateri, Piedicroce, Théâtre National - Nice, Le Carré, scène<br />
nationa<strong>le</strong> - Château-Gontier<br />
L’étreinte - Luigi Pirandello - 2003<br />
mise en scène François Orsoni - avec Monique Hermant Bosson, Caroline Ducey,<br />
François Orsoni, Thierry de Peretti - traduction Jean Pierre Pancrazi<br />
création théâtre Kalliste - Ajaccio, Bastia<br />
Woyzeck - Georg Büchner - 2002<br />
mise en scène François Orsoni - avec Alban Guyon, Lisa Guédy, Mathieu Genet,<br />
Monique Hermant Bosson, Gaëtan Kondzot, Eric Peuvrel, Thomas Landbo<br />
création ARIA - Olmi-Cappella,Felicetto, Miomo, Centre de détention de Casabianda<br />
(détenus), Cervione, Bonifacio, Sainte Lucie de Porto-Vecchio, Petreto Bichisano, Serra<br />
di Ferro, Pietrosella<br />
Who is Me - Pier Paolo Pasolini - 2001<br />
mise en scène François Orsoni - avec Foued Nassah – traduction Jean Pierre Pancrazi<br />
création théâtre Kallisté - Ajaccio, Bastia, festival Etrange Cargo, Ménagerie de Verre -<br />
Paris, Auditorium - Pigna<br />
9
Le bonnet de fou - Luigi Pirandello - 1999<br />
mise en scène François Orsoni - avec Alban Guyon, Stéphanie Braunschweig, Thomas<br />
Landbo, Ariane Séguillon, Nadine Darmon, Clotilde Hesme, Nathalie Desbouis, et<br />
François Orsoni<br />
création studio de l’Ermitage - Paris, Ajaccio<br />
Morphine - Mikhaïl Boulgakov - 2001<br />
mise en espace de François Orsoni - avec Thierry de Peretti et François Orsoni<br />
<strong>le</strong>cture, Bibliothèque municipa<strong>le</strong> - Ajaccio<br />
10
François Orsoni<br />
Formation<br />
Eco<strong>le</strong> Florent - Michè<strong>le</strong> Harfaut, Michel Fau, Jean-Damien Barbin, Eric Ruf<br />
Stage AFDASS- Suzana Linke<br />
Stage CIFAS - Pacitty Compagny<br />
D.E.A. de sciences socia<strong>le</strong>s et enseignement universitaire - Paris II Sorbonne<br />
Metteur en scène<br />
Baal - Bertolt Brecht<br />
Histoires courtes - Luigi Pirandello<br />
Contes chinois - Chen Jiang Hong<br />
Contes fantastiques - Maupassant<br />
Jean la chance - Bertolt Brecht<br />
Barbe b<strong>le</strong>ue, espoir des femmes - Dea Lohers<br />
La jeune fil<strong>le</strong>, <strong>le</strong> diab<strong>le</strong> et <strong>le</strong> moulin - Olivier Py<br />
Epître, pour que soit rendue la paro<strong>le</strong> à la paro<strong>le</strong> - Olivier Py<br />
L’étreinte - Luigi Pirandello<br />
Woyzeck - Georg Büchner<br />
Morphine - Mikhaïl Boulgakov<br />
Who is me - Pier Paolo Pasolini<br />
Le bonnet de fou - Luigi Pirandello<br />
L’imbéci<strong>le</strong> - Luigi Pirandello<br />
Acteur théâtre<br />
Epître - Olivier Py - François Orsoni<br />
© - création d’après Copi - Katarzyna Krotki, Francois Orsoni, Thomas Landbo<br />
Un homme exemplaire - Goldoni - Jean Claude Penchenat<br />
Le soulier de satin - Claudel - Pierre Vial<br />
Henry VI - Shakespeare - Serge Lipszyc<br />
Le misanthrope - Molière - René Loyon<br />
Le retour au désert - Koltès - Thierry de Peretti<br />
Acteur cinéma / télévision<br />
Joueuse - Caroline Bottaro - monvoisin productions<br />
Les héritières - Harry C<strong>le</strong>ven - Ramona productions pour France 3<br />
Mafiosa - Éric Rochant - Image et Cie pour Canal +<br />
Liberata - Philippe Carrese - Comic Streap productions pour France 3<br />
L’enquète Corse - Alain Berberian - Gaumont<br />
Il était une fois dans l’ouest de la Corse - Laurent Simonpoli - MCD productions<br />
U Tavonu - Laurent Simonpoli - MCD productions<br />
Une vie de garçon - Marie Garel-Weiss<br />
11
Chen Jiang Hong<br />
Chen Jiang Hong est né en 1963 en Chine. Peintre et illustrateur, il a été formé aux<br />
Beaux-Arts de Pékin.<br />
Il vit et travail<strong>le</strong> à Paris depuis 1987. Son œuvre est exposée en France et à l’étranger.<br />
Pour certaines de ses illustrations, il utilise une technique traditionnel<strong>le</strong> à l’encre de<br />
Chine, sur papier de riz. Il en résulte de somptueux albums d’un grand raffinement, aux<br />
teintes subti<strong>le</strong>s, une véritab<strong>le</strong> invitation au voyage ou à la rêverie, tout simp<strong>le</strong>ment. Il a<br />
éga<strong>le</strong>ment illustré plusieurs recueils de contes traditionnels de différents pays.<br />
12
Dans la presse…<br />
In Corse Matin<br />
13
In actualite.com<br />
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