Numéro 19 de février 2003 - Anciens numéros - Free

Dragounet n°19 Février 2003

Le mot de la Rédaction
Edito
Et voilà, un nouveau dragounet tout beau, tout nouveau, plein de
bonnes résolutions pour cette nouvelle année 2003.
A ce propos, on ne le répètera jamais assez :
“Bonne et Heureuse année 2003
à toutes et à tous les ensmatiques !!! “
Qui dit nouvelle année, dit nouveautés : le dragounet a pris du
poids durant les fêtes et s’est enrichi de nouvelles rubriques que vous
retrouverez au fil de ces pages...
De plus, un nouveau rédacteur est arrivé au sein de notre équipe:
Michel, prêt à risquer sa vie pour son journal préféré (euh enfin,
j’éxagère un peu). Cela dit, tous les éventuels nouveaux, mais pas encore
totalement décidés pseudo-rédacteurs (ouf !!!) seront toujours les
bienvenus pour “faire partie” du dragounet !
D’autre part, nous tenons à remercier ceux qui se sont donnés la
peine de répondre avec transparence, lucidité et clairvoyance à notre
questionnaire sur le site : http://ledragounet.free.fr .
Le site sera de nouveau actualisé d’ici peu, vous pourrez donc y
déposer vos futures remarques.
Il y a eu trois gagnants au tirage au sort. Ils ont donc mérité le
numéro de ce dragounet en couleur (quasiment introuvable de nos
jours) ! Nous espérons pouvoir réorganiser des concours de la sorte.
Comme dirait Twingo, voili, voilou !
Bonne lecture ....
AS pour la Rédac.
2

Edito p 2
Sommaire et News p 3
Le mot de la Vice-Prez p 4
News p 5
Campagne BDE p 6
Ensma Kart p 8
Nuit de l‛ensma p 11
Le guide bleu des Bigorneaux p 12
Best of du questionnaire des A2 p 15
Sommaire :
Indochine au Zenith p 16
Mots croisés p 20
La Patassoce p 24
Coupe Davis p 28
Jeu et solution mots croisés p 33
Esip p 34
Délires divers p 36
Les Perles p 38
Sommaire - News
minute !!! Dernière minute !!! Dernière minute !!! Dernière minute !!! Derniè
Mais pourquoi le Dragounet est-il publié
moins souvent ???
C’est une des questions qui revient le plus souvent à nos oreilles, et
qui témoigne de votre impatience (c.f. les quelques remarques formulées
lors de la réunion inter-assoces mercredi 5 février).
C’est vrai qu’on s’était fixé un objectif très ambitieux : faire du
Dragounet un mensuel. Oui mais voilà... vacances, révisions et exams
font que nous avons été énormément retardés pour pouvoir mettre en
page (avec un nouveau logiciel dur à prendre en main) les quelques rares
articles venant de ceux qui tiennent à ce journal. Ne pas avoir de matière
nous ralentit, puisque nous bâtissons ce journal grâce à vos articles. Pour
ce numéro, ne nous plaignons pas, mais il est fort à parier que nous connaitrons
des difficultés pour le prochain.
Vous voilà avertis ! Alors n’hésitez pas à nous envoyer des images,
des blagues (ce genre de truc envoyé en mail collectif ;), bref ce que vous
voulez, le dragounet en sera d’autant plus étoffé !
Cyril
3

Le mot de la vice-Prez
LE MOT DE LA VICE-PREZ
Tout d’abord je vous souhaite une très bonne année 2003,
que se soit une année de réussite pour vous tous, dans tous les
domaines qui vous tiennent à cœur : travail, argent, amour, amitié,
sexe (à vous de remettre ça dans l’ordre…), bref que se soit une
année de folie (comme dirait le prez !).
Après les exams, pas de répit, le programme du mois de
février est très chargé : une campagne électorale que l’on espère
déchaînée, pour vous permettre d’affiner votre choix pour la
prochaine assoce. Les soirées du jeudi seront l’occasion pour
les listes d’exprimer tous leurs talents ! De même, les défis du
tournoi off et le débat seront de grands moments.
13 février : Chars d’assoce
20 février : Fer à repassoce
Voilà, beaucoup
d’animation pour les semaines
qui arrivent, j’espère que vous
en profiterez tous !
Sandrine
4

Recherche jeune fille
Tout est dans le titre … ou presque. L’histoire est toute bête : l’équipe
de cross du TGEA doit comporter au minimum 3 filles, sinon l’équipe est
disqualifiée. Katia et moi recherchons donc une troisième coéquipière. Rassurezvous
mes demoiselles, courir 5km à vote rythme c’est pas si difficile ! Il suffit de
quelques entraînements auparavant, voilà pourquoi je lance dès maintenant un
avis de recherche.
Merci à toutes celles
qui se sentiront concernées
même si la course à pied
ce n’est pas vraiment leur
truc !
News
PS : c’est vraiment
pas vrai qu’on court
même sous la pluie…hein
Katia !
Sandrine
La nouvelle attraction du Futuroscope
Connaissez-vous la nouvelle attraction du Futuroscope ? Elle ne relève pas
de nouvelles technologies ni d’effets spéciaux mais elle est bien en 3D. Vous
n’en avez pas entendu parler ? Ne la chercher pas à Planète Futuroscope mais à
la station SNCF. Elle se trouve derrière les guichets, absorbée par son travail ou
pendue au téléphone.
Bien que certains l’évitent – dixit un client dont c’était le tour, à son suivant :
« Allez-y, j’attends pour l’autre guichet car elle ne va rien comprendre à ce que je
veux » ; je vous conseille de lui rendre une petite visite.
Bien évidemment, n’oubliez pas toutes vos cartes de réduction qu’elle vous
demandera, vous fera rechercher chez vous, puis vous refusera car en fait elle
n’en a pas besoin. Si par malheur son guichet est fermé, ne partez pas ! Attendez
quelques minutes que le téléphone sonne. Vous aurez droit à un sketch digne de
Muriel Robin, et au fameux :
« Bisous, bisous sur le …FRONT ! »
Une fidèle cliente
à qui la SNCF fait préférer le train
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Campagne BDE
Avec un peu de retard...
LES PREMISSES D’UNE
CAMPAGNE BDE D’ENFER ! ! !
En revenant des quelques jours de vacances gracieusement
accordés, nous avons tous pu constater que parmi les aônes, des
groupes se formaient, par agglomérations de petits groupes. Mais
que se passe t-il donc me direz-vous ? La situation économique
nous pousserait-elle à quitter un certain état autarcique pour se
réunir et mieux survivre ? NOOOON ! L’objectif visé se trouve
au niveau 0 près du Kaârf, le bien nommé BDE ou cercle des
élèves ! Eh oui, car mine de rien, les élections ont lieu dans un
mois, et pendant que certains préparent avec ferveur le Gala ou
le TGEA (qui ont, tous trois, lieu à la même époque), il fallait
bien que d’autres s’adonnent à la formation d’une liste BDE.
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D’un œil extérieur, c’est plutôt marrant de voir tous ces
groupes se former petit à petit et organiser des soirées de feu
entre eux. Les relais flamby ® se multiplient, dans les couloirs de
Gémini ou dans les piaules, les gens déconnent de plus en plus…
Bref, la fourmilière ensmatique grouille réellement. Mais c’est
encore plus drôle vu de l’intérieur ! (enfin, pas tout le temps
car il y a des choses à prendre au sérieux, et là, c’est beaucoup
moins drôle ; mais après tout, on est candidat au BDE ou on ne
l’est pas ! ! !)
La création d’une liste oblige à passer par certaines étapes
qui peuvent être à la fois amusantes et galères. Tout d’abord,
former un groupe cohérent d’élèves déchaînés mais aussi assez
sérieux (voir fig.1) pour mener la barque « circulaire » pendant
une année : on recrute des groupuscules ça et là si on ne forme
soi-même qu’un groupuscule. Ou bien on est déjà une quinzaine
(ce qui est le cas de ma liste) et qu’on s’éclate vachement (ce

qui est notre cas), afin d’en faire profiter toutes les promos (ce
qui sera votre cas). Ensuite il faut se trouver un nom… et là, les
jeux de mots ridicules fusent, mais le vrai, l’unique, le bon quoi
se cache souvent pendant longtemps. Il faut enfin établir une
campagne d’enfer avec un programme béton, le but étant de se
faire remarquer et apprécier le plus possible… il ne faut ni en
faire trop (par ex se jeter violemment contre l’Amphi Boule car
certaines fonctions vitales peuvent être altérées à jamais !) ni pas
assez. En clair, trouver le juste milieu et surtout de la motivation
(« motivés, motivés, … la la la la la… »)
En résumé, il existe une vie avant l’élection du nouveau
BDE, et quelle vie ! Alors amusez-vous, faites-vous plaisir, et
surtout faites plaisir aux autres car dans un mois, ce sera votre
boulot (ou le nôtre !).
Max
Campagne BDE
fig.1 Un exemple de groupe d’élèves déchaînés mais assez
sérieux.
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Ensma Kart
ENSMAKART
Les A1 qui liront cet article se diront « tiens encore un article de club ».
Les autres, qui ont un peu plus de bouteille, remarqueront certainement que
c’est le premier article de l’ENSMAkart depuis…ben au moins deux ans.
Un petit changement qui décrit bien l’évolution du club. Et oui, ça bouge
cette année ! On a en effet la chance d’avoir un prez très jeune, dynamique,
beau, intelligent, motivé. (petit coup de lèche totalement intentionné, tu t’en
rappelleras Tom j’espère). Bref un bureau aussi dynamique que l’ancien
était lent et paresseux (merde ils sont maintenant trez et vice trez, adieu ma
paye !).
Premier changement, on peut
désormais réellement parler de
club. Les années précédentes,
les activités se résumaient en
des courses où n’importe qui
pouvait s’inscrire. Cette année,
ceux qui sont membres du club
auront des petits avantages et
activités supplémentaires. Je
rassure ceux qui n’ont pas trop
envie de s’investir, les courses
dites « loisir » sont toujours
ouvertes à n’importe quel
ensmatique. Ce changement en annonce un autre. l’Ensmakart se détache du
BDE et devient une association à part entière comme l’ont déjà fait d’autres
clubs avant nous (et pas des moindres). Enfin le site internet qui était un peu
tombé en désuétude devrait prochainement renaître de ses cendres.
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Nos activités sont évidemment entièrement concentrées sur la vitesse et la
performance. Les ensmatiques de tout âge et de tout sexe (faut pas avoir peur de
venir les filles) peuvent participer aux sorties « loisirs ». Ces sorties consistent
en des courses par équipe de deux sur le circuit de Migné-Auxances. Ce n’est
pas vraiment la peine de détailler d’avantage, Tomtom le fait déjà suffisamment

dans ses nombreux mails collectifs. Je
vais juste rajouter qu’il faut venir parce
que c’est bien et qu’on prend vraiment
son pied. Et pour ceux qui craindraient
les risques, ça fait deux ans que je traîne
dans ce club et y’a encore eu aucune
perte. Alors hein, vous voyez bien que
ce n’est pas dangereux (dommage diront
certains…dont moi) ! De plus, avec les
subventions, il y a moyen que les tarifs
baissent dans un avenir proche.
Pour ceux qui sont membres, le club organise également des
entraînements. Ces sorties ont pour but de perfectionner le pilotage avec
des conseils théoriques pour que vous soyez incollables sur les histoires de
transfert de masse. Bah oui, comment voulez vous rouler vite sans parler
transfert de masse ? Franchement, on entend de tout par ici c’est dingue ça
! Les membres du club sont de plus les seules à avoir une chance d’aller à
LA course mythique du karting j’ai nommé les 24 heures de l’ESSEC. Ayant
participé l’année dernière à cette course je peux vous garantir que c’est encore
largement un cran au dessus niveau sensations. Le club souhaite donc renouveler
l’expérience et envoyer une équipe de 8 ensmatiques. Les sélections se feront
sur l’implication dans le club et bien sur…les chronos. Enfin le club devient de
plus en plus un club « sport auto » en général (ne serait ce qu’avec ces abrutis
de [WRC] qui envahissent le club). Le premier acte étant de faire des journées
sur circuit auto lors que ces dits circuits ouvrent leurs portes (Journées open au
Val-de-Vienne par exemple). Si vous avez d’autres idées, n’hésitez pas à vous
exprimer.
Les premières courses de Kart
ont eu lieu le mercredi 16 octobre et
se sont très bien déroulées. Ceux qui
étaient à celle de 18 h ont en plus eu
la chance d’avoir une piste mouillée
aux essais puis de plus en plus sèche
lors de la course.
De quoi voir que la conduite d’un
kart sur le mouillé diffère quelque
peu. Pour les boulets qui savent
Ensma Kart
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Ensma Kart
toujours pas, un kart sur le mouillé ça se conduit en travers en faisant le
kékosgnyak© à tout va. Et ceux qui connaissent pas kékosgnyak©, cultivez
vous un peu, demandez à un rescapé de l’ESSEC 2002, je suis sûr qu’il a
encore l’odeur de gomme brûlée dans les narines…. La première course s’est
vue remportée par l’équipage Tom-Dudulle, la seconde par Tom (et JB) -
Gérald… La troisième course, qui s’est déroulée le Jeudi 7 novembre dans des
conditions absolument folles (On s’en souviendra de celle-là !) a été raflée par
l’équipage Tom (Encore ???) - Rellik..
La dernière course s’est également déroulée sous une pluie froide et
cinglante et a vu Olivier aidé par Tom rafler la pôle et la victoire. A l’heure
où ces lignes sont écrites, on ne connaît encore pas le résultat de la première
course de cette nouvelle année. un conseil pour les prochaines courses évitez
de sortir de la piste avant même que les chronos soient activés, si si ça s’est
vu !
Voilà, il ne me reste plus qu’à souhaiter vous voir nombreux pour les
prochaines courses, qui verront j’espère certains enseignants de notre chère
Ecole se frotter à nos pontons !
Xelloss pour l’ENSMAKart
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Nuit de l’ENSMA 2003
Vous l’attendiez depuis le 9 mars 2002... Vous rêviez de cette nuit
de folie...Cette année, elle aura lieu le 8 mars 2003, dans les locaux de
l’école.
NOUVEAUTES 2003 : le thème sera le CINEMA. Ce thème
nous servira de fil conducteur pour laisser le voyageur se perdre dans
les rêves du septième art. De plus, nous aurons l’honneur d’accueillir
les Faster Disco* pour mettre le feu la scène.
Pour cette nuit qui se veut très Hollywoodienne, nous espérons
des ensmatiques transformés en guest star’ : Robes de soirée, costumes,
nœuds pap’,...
En attendant le 8 mars, venez nous rejoindre sur notre site :
http://www.ensma.fr/vieassociative/index.htm puis cliquez sur gala.
Rendez vous la semaine du
1 er mars pour préparer notre école
à cette nuit de folie ! Nous aurons
besoin de tous les bras depuis
le mercredi jusqu’au dimanche
soir !!
Le Comité Gala vous souhaite
une bonne et heureuse année 2003,
et n’oubliez pas de faire vivre votre
école !
Le Comité Gala
* Faster Disco : vous
pouvez les rejoindre sur :
www.fasterdisco.com
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Le guide bleu des bigorneaux
Le Guide Bleu des Bigorneaux
Que ce soit pour découvrir le Centre de Vie que vous ne connaissez pas
encore ou bien au contraire redécouvrir ce village des schtroumfs que vous avez
connu l’époque des façades chamarrées lesquelles ont suffit à vous dissuader
d’y remettre les pieds, ce guide est fait pour vous. Nous allons essayer de vous
décrire un peu mieux les facettes de ce mystérieux rocher où s’abritent de bien
curieux mais sympathiques mollusques, dont certains sont passés maîtres dans
la culture des ‘algues’ ce qui donne au site un charme olfactif incontestable.
Premier avertissement
Si vous n’avez pas de
skipper, autant vous mettre en
garde tout de suite : méfiezvous
des escaliers ! A plusieurs
reprises, en retrouvant des blessés
sur leur table à côté de leurs
cahiers, on a cru qu’ils s’étaient
tués au travail. Erreur ! Ledit lieu
de travail n’avait en fait servi que
de piste d’atterrissage de fortune
aux victimes des ces marches si
verticalement superposées en
amont du bureau. Certains bigorneaux y ont cependant avantageusement placé
un canapé afin de rendre à la fois la piste d’atterrissage et le lieu de travail plus
confortable.
L’horloge presque parlante
Si vous séjournez sur place quelque temps, vous serez sans doute
surpris d’entendre le disjoncteur émettre des ‘clic!’ et des ‘clac!’ de temps
à autre. Pour les autochtones, cela ne signifie pas grand chose d’autre que ‘il
est déjà 7h30’ ou bien ‘il est déjà 11h30’, qui sont les heures d’émission de
ces bruits suspects. Pour ceux qui auraient du mal à les apprécier, disons que
ces traditionnels ‘tac’ sont pour les autochtones un peu comme les cloches de
Westminster pour les Londoniens.
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Quelques gaulois…
Sans vouloir ni dénigrer les autres habitants, ni nous faire de la promotion
entre nous, nous ne pouvons que nous contenter de décrire les coquilles que
nous fréquentons le plus volontiers, à savoir celle de nos principaux camarades
bigorneaux.
Tout d’abord dans le bâtiment
central, il y a [WRC] Jeep, le roi de la
crêpe bretonne. Si vous êtes chanceux,
vous pourrez même dîner sur fond
de musique reggae venu du fin fond
de chez Warren. Si un ustensile vous
fait défaut, sachez que Ninie pourra
sans aucun doute vous dépanner pour
peu que vous alliez taper à sa porte au
bout du couloir et que vous ne vous
moquiez pas de ses pantoufles. Sachez
aussi que juste à côté se trouve le ‘presque-garage’ au 405 (‘Chez [WRC]
Julien, Roulons tous ensembles’) qui fait office de réserve de pneus, plots,
chaises, local torpilles, boîtes à pizza, bref de débarras (à ce sujet, je rappelle
qu’un bar d’angle est à vendre depuis mars 2001). Mais c’est aussi un excellent
restaurant (spécialité : pâtes dites ‘pouce levé’. Voir rubrique suivante). Enfin,
vous pouvez toujours profiter chez [WRC] Methodman du Mini CGR avec
ses quelques 6 sièges, écran panoramique couleur douze pouces, son choix de
BN, et le ‘son Dolby Souffle et T.H.Chier’
©Boulon
.
Passons maintenant aux autres
bâtiments. Il y a le restaurant WRC chez
Passoa : spécialités à base de pattes-saucisse,
et riz-œuf-saucisse. (A la carte - en entrée :
riz froid ; dessert : riz au lait.) Avertissement
cependant à propos des boissons : je ne
parle pas d’alcool, mais d’une culture de
monstroplantes en bouteille qui est en
expérimentation depuis maintenant un an et
demi.
Enfin, si vous aimez souffrir, précipitez-vous au 309 dans l’Antre du Jedi,
Le guide bleu des bigorneaux
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14
Le guide bleu des bigorneaux
également appelée ‘kitch land’ à cause des ‘bibelots’ (peintures, bizarreries
et autres croûtes) qui tapissent les murs. Prenez garde toutefois à la spécialité
culinaire épicée du padawan, car beaucoup ont pris des couleurs après avoir
goûté au chilli-con-carn sauce napalm.
Nous avons goûté pour vous…
Depuis quelque temps, un mystérieux logo
s’apparentant à un pouce levé (voir ci-contre) a
fait son apparition à Auchan en s’imposant comme
la marque la moins chère. Afin de vous éviter un
maximum d’hésitations, de méfiance et de remords,
nous (surtout Boulon) avons entrepris pour vous une
petite enquête sur la qualité d’un certain nombre de
ces produits :
Catégorie ‘Franchement pas bon’ : les steaks hachés.
Catégorie ‘Bon mais sans plus’ : l’huile, les œufs, la mortadelle.
Catégorie ‘Pas mauvais du tout’ : le chocolat, le chèvre, le chorizo.
Catégorie ‘Moyen mais à passer au compteur Geiger au cas où’ : le soda.
Petite annonce :
(Ceci n’est pas tout à fait un canular) Si jamais vous possédez des produits
‘pouce levé’, merci de bien vouloir mettre de côté les étiquettes qui portent leur
logo ; j’entame une sorte de collection.
Une coutume récente
Si vous apercevez de loin un quidam en train de trépigner bizarrement
au milieu d’un petit groupe de bigorneaux, ne soyez pas inquiété : il ne s’agit
que d’un curieux rituel qui a été mis en place récemment. Il consiste à ce que
quiconque formulant une blague-à-la-con (jeu de mots raté, blague de toto…
etc.) fasse des claquettes pendant deux secondes. On raconte d’ailleurs qu’un
bigorneau voleur de carambars a été reconnu non à un mal à l’estomac dû au
caramel, mais à son mal de pied occasionné par les blagues… mais ceci n’est
qu’une légende.
Voilà pour cette présentation. J’ai volontairement occulté le ‘chauffage’
géothermique ou ‘les caprices de l’eau chaude’ afin de ne pas décourager les
éventuels visiteurs (familièrement appelés les ‘bigornautes’).

Best of Questionnaire A2
Voici quelques-unes de vos réponses qui m’ont fait sourire malgré le
sérieux du sujet.
Matériaux :
C’est sympa d’avoir des dizaines d’ordis mais en TP mais ce qui serait plus
cool, ça serait d’avoir des gants pour éviter de se cramer les doigts avec les
fours !
Structure :
Super, rien à changer, idéal, paradisiaque !
C’est un style d’enseignement !!!!
Cours de structures non structurés.
Méca.flu. :
Le cours est quasi-indigeste.
Automatique :
On a autant de chance de gagner au Loto (les 6 numéros bien sûr) que de
comprendre l’automatique.
Bureau d’Etudes :
Victimes d’une administration stupide, méchante, ou qui sait ironique ?
On devrait plutôt avoir les 3 projets en même temps car deux c’est pas assez.
Marre de faire des roulements !
A mon avis, on devrait avoir plus de projets, plus d’exams et tout ça en même
temps : on est des élèves…..pas des robots !
Analyse num. :
Ottavy est un spectacle à lui tout seul, ça force à suivre le cours !
Suis pas allé…
Je sais pas, j’y vais pas !
Com.pro. :
A oublier, c’est nul !
Anglais :
On aimerait que Laura vienne plus souvent en jupe.
Une heure « intensive » d’anglais par semaine : de quoi devenir bilingue !!!
Sport :
Mauvaise organisation météorologique.
Exams :
S’il faut y aller..on va y aller !
Pourquoi poser cette question débile. Bien sûr que ça va pas .
Le mois de janvier ça va être la folie !!!!!
Semestrialisation :
Nul. Ca fait stresser.
Sandrine
Best of Questionnaire A2
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16
Indochine
Paradize Tour acte II
Indochine au Zénith
Enfants des années 80, vous
ne pouvez pas le nier, vous avez
tous été un peu imprégnés de la
musique d’Indochine ; même si
vous en êtes restés à L’Aventurier
(sorti en 1982 quand même… !).
Ayant écouté la petite perle
qu’est le double CD Indo-Live
retraçant la série de concerts donnés
en 97 dans le cadre du Wax Tour,
j’ai décidé cette fois-ci de prendre
une part active aux tournées d’Indo.
Vendredi 15 novembre me voilà donc au Zénith de Paris, environ
au tiers de la fosse en partant de la scène. Le public est assez varié,
mais tape systématiquement dans la tranche 20->30 ans, voire plus.
(Les plus jeunes sont allés vois Lorie la semaine d’avant,
ouf on est tranquilles…). Jeunes couples, fans invétérés
couverts des tee-shirts des précédents concerts ou gothiques
de base, de toute façon tout le monde partage le même son.
20h débute la première partie. Se présente un groupe de 4 personnes
dont le nom est Madinka, venant faire la promotion de leur premier
album Cardiogramme. La scène est un peu glauque et c’est dommage :
rideaux noirs avec lumières bleues turquoises. Bref la salle a du mal
à se réchauffer. Sinon côté musical, on a l’impression d’écouter une
pâle copie d’Indo. Le chanteur a le même timbre de voix, et pour ce
qui est du son, on peut franchement dire qu’ils surfent sur la même
vague mais avec moins de subtilité il faut bien l’avouer. La bassiste
punko-gothique roule des yeux terrifiants, le guitariste essaie de se
convaincre lui-même en sautant partout, le batteur a complètement
disparu derrière sa batterie et le chanteur se donne des airs efféminés

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apparemment empruntés. Bref on n’est pas complètement convaincu,
mais le son en revanche n’est pas désagréable, je dirais que ce groupe manque
un peu de maturation, normal me direz-vous pour une première partie…
20h30 Je suis hallucinée de voir
descendre un écran géant me vantant
pendant près d’un quart d’heure les
mérites de la nouvelle coloration
de la marque qui ne le vaut pas, ou
de la dernière voiture à la mode.
Publicité quand tu nous tiens…
Indochine
21h00 Le noir se fait, le moment tant
attendu arrive enfin. Soudain le rideau
noir s’effondre, le devant de la fosse
se libère, toute la foule est emportée 2
mètres plus près de la scène, et apparaît le
pianiste sous les spots, le noir est quasiobligatoire,
des chaussettes à la pointe
des cheveux. Sur quelques mesures
de synthé se dessine en rouge sur un
écran géant au fond de la salle, la croix
dissymétrique symbole du nouvel album.
Sur scène : Oli de Sat, Monsieur Boris, Monsieur Matthieu,
Monsieur Eliard, Monsieur Frederic. Les musiciens s’installent et
la foule acclame l’entrée de Nicola Sirkis, tout de blanc vêtu, serré
dans son tee-shirt arborant la fameuse croix noire dans le dos, style
androgyne de rigueur. Lui et le guitariste/clavier sont aussi bien coiffés
qu’un transfuge entre M et Robert Smith, bref le look est là…. Le
premier guitariste est quant à lui à l’évidence influencé par la brit-pop
avec sa coupe Beatles et son physique irréprochable de jeune premier.
Le bassiste est un peu plus âgé et à l’ai bonnard avec ses ray-bans et
son rasage artistique. Enfin le batteur se distingue par son crâne rasé
qui se termine par une longue natte sur laquelle il pourrait marcher !

18
Indochine
Logiquement le concert
s’ouvre sur Paradize. Le son
est bien, les guitares crachent,
la mise en place est bien gérée.
S’enchaînent ensuite les titres
du nouvel album : Electrastar
(avec des images clin d’œil à une
certaine émission passant le jeudi
soir sur la petite chaîne qui monte),
Punker (et Nicola en hauteur sur le
devant de la scène qui demande au
public de reprendre avec lui), etc…
Premier temps fort du concert : le groupe a choisi de rejouer
un ancien titre, et entonne 3 nuits par semaines. C’est le délire total
dans la fosse : tout le monde chante, saute, vibre avec la musique,
la communion groupe/public est parfait, on est transportés, plus
rien n’existe autour de nous, seule reste la musique et son partage
d’émotions. A cet instant du concert, on sait déjà qu’il sera inoubliable.
Retour vers les
nouveaux tubes, et le
groupe se lance sur Mao
Boy, et d’autres titre plus
intimistes (Le manoir..),
qui nous guident forcément
vers le duo de l’album :
Le grand secret. La
ravissante Mélissa Auf Der
Maur (bassiste du groupe
Hole) tout juste arrivée
du Canada entre en scène,
et là première déception. Cette chanson est une variation autour des
thèmes de la première fois et du mélange des genres chers à Indochine
(cf 3 nuits par semaine, le 3 ème sexe…), mais cette fois-ci les rôles sont
inversés : fille initiatrice mais à fleur de peau et garçon efféminé et

effarouché. La chanson n’est
pas ressentie par les interprètes qui
restent statiques à trois mètres l’un de
l’autre, le moment perd de sa magie.
On continue à parcourir
l’album, avec notamment la
chanson phare : J’ai demandé à
la lune, spécialement dédicacée
à nous public…(mais bien
sûr). Autre dédicace à l’amour
universel (comprenez l’allusion) : la
reprise de Smalltown Boy de Jimmy
Sommerville. Une pure merveille !
On sent là l’influence de la New
Wave des années 80 qui correspond
si bien à l’identité du groupe, et
on retrouve un air bien électro-pop qui s’éloigne un peu de la tournure
très rock saturé du concert _ qui au demeurant ne me déplaisait pas _.
Après encore quelques titres (dont l’excellent inédit :
Le doigt sur ton étoile), la première partie s’achève sur un
medley délirant des chansons qui ont assuré le succès du
groupe : Des fleurs pour Salinger, Canary Bay, Les Tzars…
Petit break de 5 minutes le temps pour le public de scander son
adoration pour le groupe, et le concert repart. Nicola s’est changé,
et est maintenant tout en noir (avec encore et toujours cette croix
rouge dans le dos), ceci a une explication : la reprise après quelques
titres d’un autre morceau culte de leur répertoire : Les yeux noirs.
Et là le courant passe vraiment. Le chanteur est près de son public qui lui tend
les bras, l’orchestration est légère, l’émotion passe et le concert suit son cours,
avec là encore quelques reprises d’anciens tubes comme Punishment Park.
Indochine
Ainsi arrive LA chanson, celle qui est incontournable quand on
parle d’Indochine : L’Aventurier. Un véritable delirium tremens : chaque
spectateur flotte au-dessus de son corps qui tout entier reçoit la musique,
une vague s’écoule sur le public de la fosse qui ondule comme une seul >>
suite p22
19

Les mots croisés
20

22
Indochine
>> être. Une seule
inquiétude plane.. en général
ce morceau clôture leurs
concerts. Mais là non !!
Deux ou trois titres passent
encore (Dark..) avant que
Dunkerque ne s’annonce
comme dernier morceau.
Mais rassurez-vous,
sous les ovations incessantes
du public, il y aura trois
rappels (avec un bon délire sur
Marilyn) avant que le groupe ne quitte définitivement la scène et ne laisse place
à un générique façon « fin de film au cinéma » où déroulent tous les crédits.
Parmi ces rappels, on notera
l’introduction d’un
morceau purement musical
beaucoup plus hard
avec des jeux de lumières
assez violents, peut être
une nouvelle orientation
pour le groupe, et en tout
cas un bon délire pour
le guitariste, qui à sous
tour planait dans ses solos
au dessus du Zénith.
Voilà, le concert est terminé, et maintenant il me faut me battre pour
pouvoir rentrer dans le métro avec les quelques 8 000 personnes qui ont partagé
ce concert avec moi (et oui le Zénith c’est une petite salle mais quand même..).
La bonne nouvelle c’est que le concert a été intégralement filmé en
vue de la réalisation d’un DVD (meilleur j’espère que le film qu’à réalisé
Nicola avec son mini caméscope pendant le concert…) Mais surtout
Indochine passe au Parc des Expositions à Poitiers le 1 er avril dans le

23
cadre du Paradize Tour acte
3, aussi j’espère vous avoir donné
l’envie d’y aller. Je sais que j’ai
eu tendance à dévoiler pas mal de
surprises en racontant le concert
dans le détail, mais croyez-moi,
lire sur ce sujet et le vivre sont
deux expériences complètement
différentes, alors allez-y sortez !
Indochine
F.M.S.
Portail web : http://www.indo.fr
PS: RV à Bercy le 3 juin pour
l’épilogue du Paradize Tour (17 000
places environ)

24
La Patassoce
LA PATASSOCE
Prezs : Dudulle, Tom
Vice-Prezs : Tom, Dudulle
Secrzs : Dudulle, Tom
Vice-Secrzs : Tom, Dudulle
Trezs : Dudulle, Tom
Vice-Trezs : Tom, Dudulle
Membres : Tom, Dudulle, Pierre,
Vincent
Membres d’honneur : Tom,
Dudulle, Pierre, Vincent
Objet de toutes les convoitises : LE DUDUTOMATOR, plus connu sous le
nom courant de PATATOR, cette dernière expression étant principalement
réservée aux engins de faible puissance. (C’est-à-dire pas le notre….)
IDEE n°1 : On veut un gros
IDEE n°2 : On veut pas un petit
Bref, les semaines passèrent, et les idées vinrent quoi…..
Faute de temps, ce n’est pas à l’ENSMA qu’il vit le jour………
Evolution 1 : Bon à l’a voulu, gros, on vous avait prévenu :
L chambre de combustion
: N.C.*
Diam
chambre de combustion : N.C.*
L canon
: 1m
Diam canon
:50mm
*N.C. : Non communiqué par le bureau d’études

25
MATERIAUX UTILISES :
Chambre de combustion : Polyéthylène (Putain çà douille ce truc là)
Canon, réducteur et adaptateur : PVC
Fond : PVC, renforcée INOX avec amortisseur d’onde de
chambre de combustion
chocs en silicone.
MELANGE UTILISE :
Désodorisant WC senteur pomme verte ou laque + Ether Ethylique.
Allumage du mélange par filament incandescent hyper énergétique,
alimenté par trois accus.
PROJECTILES UTILISES :
Patates (Bien sûr !!!) du jardin, tomates du jardin.
La patate qui tire plus vite que son ombre!
Bon c’est bien le désodorisant ou la laque, mais çà crade la chambre de
combustion et en plus çà pue… Faut autre chose…..

26
La patate la plus rapide de l’ouest
Evolution 2 :
L canon
: 2m
MELANGE UTILISE :
N.C.* + Ether Ethylique, puis uniquement N.C*.
N.C*. : On veut pas d’ennuis…..
Jet de patate à près de 300m
Bruit : Assez fort
Brûlures en cas lancement foireux :
Sérieuses à assez sérieuses (Merci à l’eau du
lac d’avoir refroidi le poignet de Dudulle)
Caractéristiques thermodynamiques à ce
stade :
Pression maxi : Environ 5 bars
Température de flamme : plus de 1000K
(Attention aux poils…..)
Efforts exercés sur le fond de la chambre
de combustion en fin d’allumage : Près d’1
tonne
Poussée nette de la patate : 0,1 tonne
Accélération de la patate : 90g (Dans sa gueule
à la patate !)
Vitesse de sortie de la patate : >60 m/s
Vitesse de propagation de l’onde de choc dans
l’air : >4500m/s (Ca blaste quoi….)
Longueur du front de flamme en sortie de
canon : Ca dépend du canon
Puissance absorbée : environ 0,15MW, soit plus de 200 chevaux….. De
quoi faire avancer la voiture de papa……
Rendement global : euh…………..1,8%, mais promis on essaie de faire
mieux.

27
Evolution 3 :
• Lubrification de la sortie du canon à l’huile de colza
• Suralimentation de la chambre de combustion (c’est fou ce qu’on
peut faire avec une pompe à vélo). Gain de puissance estimé : 15 à
20 %
Jet de patate : Non mesuré à ce jour
Bruit : Très fort (Mille excuses aux résidents du Téléport 2)
Brûlures en cas lancement foireux : On ose pas y penser
Evolution 4 :
Evolution la plus aboutie à ce jour, on a voulu se lâcher un peu :
L canon
: 3m
Ce qui porte la longueur totale de l’engin à 4.3m… Autrement dit, faut
être deux pour le manipuler. Mais il a de la gueule….. Et tout çà pour
augmenter le rendement global……
Future Evolution 5 :
Etude sérieuse de l’optimisation de
la patate (Cx, profil, décollement
de la couche limite, poids) ou
emploi d’un autre projectile
(Piston de voiture……)
Et le DUDUTOMATOR 2 est déjà
en phase de conception…
Ca va CHIER GRAVE !!!! ( C’est
une vraie usine à gaz ce truc !)
First supersonic potatoe. Made by Dudutomator in Dudutomator Inc.®

Coupe Davis
Le pays de la gastronomie
a perdu son saladier
Je ne suis pas une femme qui pleure, mais ce dimanche 1er décembre,
des larmes sont venues mouiller mes yeux.
Mais pourquoi tant de tristesse alors que la période festive de l’avent
commence ? Parce que ce soir la France a vu ses enfants dans la détresse,
parce que ce soir son capitaine et ses joueurs étaient remplis d’émotions,
trop certainement. Ce soir la France a perdu la finale de la Coupe Davis.
Tout a commencé le vendredi après-midi par la
rencontre PHM/Safin. Le russe semble intouchable,
mais Paul-Henri réussit à lui décrocher un set.
Du coup on se dit que pour l’instant tout
se passe logiquement, mais déjà une crainte
s’installe.
En effet, quand Marat joue, les autres ne peuvent
qu’applaudire…Depuis le BNP Paribas Masters il
produit une qualité de jeu qu’à mon avis il n’avait
jamais atteint.
Même pas lorsqu’il a gagné l’US Open. (Je sais de quoi je parle, j’ai
suivi la quai totalité de ses matchs depuis un certain jour de 1998, et pas
plus tard que le mois dernier j’étais encore dans les premiers rangs des
gradins de Bercy). Son jeu est plus construit mais toujours aussi puissant,
son toucher de balle est bien meilleur, mais surtout il semble avoir acquis
une sérénité qui jusqu’alors lui faisait cruellement défaut. Ajoutez à cela
l’un des tous meilleurs services du monde et vous comprendrez que la
mission devient dure pour les francais.
28
Alors les francais profitent de la
fragilité de Kafel. Blessé, énervé, fatigué,
pas dans son assiette, ce dernier est absent
du court et se fait balayer par les coups
droits de Grosjean qui offre l’égalité à la
France. Le vendredi soir, tout le monde
va se coucher content, et on se prend déjà
à rêver d’un deuxième titre.

Samedi c’est LE match qu’il ne fallait pas rater !! Une pure merveille
de double. Personnellement j’adore le double parce que la vitesse des
coups oblige les joueurs à trouver toujours de nouveaux angles, à etre plus
inventifs et cela rend le spectacle encore plus haletant. La France prend le
dessus mais vraiment de justesse. Pourtant Marat et Kafel ne sont pas des
grands spécialistes du double. Marat a bien remporté le tournoi de Gstaad
en 2001 avec Federer, mais c’est bien maigre comparé aux performances
de nos spécialistes en la matière, et récents vainqueurs à Bercy: Santoro
et Escudé.
Et une fois encore c’est grâce a
l’immense talent de Safin que les russes arrive
à faire quelques points. Il arrive même que
ce dernier soit le seul à jouer face aux deux
conquérants francais. Mais où est donc passé
Kafel ? Et pourquoi n’arrive-t-il pas à jouer
en Coupe Davis (on se souvient qu’il a perdu
ses deux matchs en demi finale), tournoi que
pourtant il affectionne particulièrement, et
surtout un des seuls tournois manquant à son
palmarès. Quand il a annoncé sa retraite, on
ne pensait pas que cela viendrait si vite !!
Coupe Davis
En tout cas la France profite des deux
joueurs d’une qualité exceptionnelle qu’elle
a à cet instant sur le terrain. La finesse
du toucher de balle de Fabrice n’est plus
à démontrer, et surtout il arrive comme
toujours à tromper son adversaire en le
privant d’anticipation grâce à ses fameux
coups à deux mains en revers comme en
coup droit.
Et ce n’est pas Safin qui va me contredire
(Même si les deux joueurs s’apprécient
beaucoup, Marat à pour habitude de
considérer Fabrice comme son ennemi numéro un, car n’arrivant pas à lire
son jeu il reste sur un score de 7 défaites pour une victoire face à lui.)
Quant à Scud il s’appuie évidemment sur un très bon service, et il
est vraiment >>
29

30
Coupe Davis
>> agréable de retrouver un très bon joueur de service vollée. Il faut
dire que ce style de jeu devient rare parmi la nouvelle génération plutôt
composée de gros frappeurs de fond de court.
En bref la France gagne le double et les statistiques nous font y
croire encore un peu plus.
Mais arrive la triste journée de dimanche.
Et la première mauvaise nouvelle c’est la
défaite éclair de Grosjean face à un Safin qui
décidément maîtrise complétement son sujet.
Imparable, indébordable, victoire indiscutable.
Grosjean est encore plus maltraité que Mathieu,
et n’arrive qu’à jouer en défense.
Du coup la pression devient énorme sur les deux joueurs qui vont
disputer le cinquième match. Et comme s’ils s’étaient tous les deux
lancer un défis, les capitaines des deux équipes antagonistes ont choisi de
lancer dans cette bataille tourmentée deux jeunes joueurs à peine sortis
du circuit junior.
Cette pression se fait sentir dès le début. PHM
peut être un peu plus expérimenté que son adversaire
rentre tout de suite dans la partie et gagne très
facilement les deux premiers sets. Il faut dire que son
adversaire rate tout ce qu’il veut. Et au troisième set
c’est le renversement. Paul-Henri est pris par la peur
de gagner. A voir toute la foule sortir les trompettes
de la victoire et chanter la marseillaise, il perd ses
repères, il sent que tout le monde en attend trop de
lui et cela le tétanise.
Il perd sa première balle de service et commence à faire des fautes.
En face Mikhail Youzhni et surtout Safin le sentent. Et oui, l’entraineur
s’étant effacé, c’est désormais Safin qui coache Mikhail des tribunes (au
passage, ca n’est pas très permis tout ca, mais bon).
Youzhni retrouve la rage de vaincre, mais surtout il n’a plus rien à
perdre, alors il prend des risques et cela paye. Tous les amateurs de tennis
auront été admiratifs des angles qu’il réussit à aller chercher, et de la
beauté de son revers à une main, là encore un coup qui se fait rare.

31
Résultat la Russie revient à deux set partout et
comme au tennis il n’y a pas de match nul, le dernier
set s’engage. Malheureusement Paul-Henri n’arrive
pas à se reconcentrer. Déboussolé il joue un tennis
confus et Mikhail continue sur sa lancée offrant ainsi
sa première Coupe Davis à la Russie, le rêve est fini
pour les bleus.
Le camp russe exulte et
célèbre ses champions.
Même Eltsine est de la partie
(grand ami de Kafel, il a toujours supporté le tennis
russe).
Mais surtout ce que je
retiendrai c’est l’obscénité des caméras de télévision
qui sont venues traquer Paul-Henri pour
le voir s’effondrer en public, alors même
que dans ce grand élan de solidarité qui
en lui seul résume l’histoire de l’équipe
de France, ses coéquipiers formaient un
cercle protecteur autour de lui.
Vient ensuite la remise des trophées et c’est
je crois là le moment le plus émouvant. Comment
ne pas croire à notre capitaine qui les larmes aux
yeux nous jure qu’au nom de l’amitié qui nous lie
tous autour de ce sport, on en gagnera d’autres des
coupes et des plus belles.
Oui c’est une belle promesse que nous fait
Guy; lui qui a été irréprochable tout au long de ce
tournoi, sachant toujours trouver les mots justes,
insufflant courage et dynamisme
à ses joueurs.
«Oh Capitaine mon capitaine»,
tu l’as devant toi ton Cercle
des poètes du tennis. 17000
spectateurs que vous avez fait
vibrer, ce n’est pas anodin.
Coupe Davis

32
Coupe Davis
On ne peut pas endire autant de Tarpischev
que je n’ai pas trouvé particulièrement
démonstratif ni exultatif…
L’heure est donc à la défaite, il est
déjà tard mais personne n’a envie d’aller se
coucher sur ca. Alors on essaye de s’expliquer
le tout, et chacun y va de son petit avis. Parmi
eux l’effroyable Mister Bimes. A peine le
match était-il terminé qu’il critquait déjà les
choix de Forget, et plus précisément celui de
la terre battue. C’est vrai Kafel a gagné Roland Garros, il est vrai aussi que
Safin a été formé à l’école espagnole, mais que diable ces deux là étaient
intouchable sur taraflex la veille encore. Et les résultats des français dans
les derniers RG laissaient présager une fin heureuse. Alors pitié M. Bimes
épargnez-nous cette critique facile sur un choix que vous approuviez il y a
quinze jours. Car après tout qu’auriez-vous dit si la France avait gagné…?
Moi je vais vous la donner la vraie
raison de cette défaite, c’est le degré
hygrométrique de l’air, conjugué au fait
que le sagittaire est en ce moment dans la
maison des bélier, et que de toute facon
Ben Laden avait acheté l’arbitre. Je rigole
bien sûr. Si nous avons perdu ce soir c’est
parce que malgré les liens qui unissent
notre équipe, malgré une préparation irréprochable, nous sommes tombés
sur une équipe russe bien plus forte que nous, avec des joueurs sûrement
plus motivés et plus attaquants. Etant une des fans de premier plan du tennis
russe, je suis quand même contente que ce soit cette équipe qui ait gagné.
En tout cas, la France restera le pays qui a inventé le tennis par équipe,
et cela dès le temps des mousquetaires. Dommage que la récente entrée au
panthéon de Dumas ne nous ait pas plus porté chance.
«Un pour tous et tous pour un.»
F.M.S.

Le Mot Mystérieux
Voici un super jeu dont l’objectif est de déchiffrer le mot cidessous,
extrait tout droit d’un de nos cours de 3ème année.
Jeux
Jedi et Gookie
Solution p 36
CORRIGE DES MOTS CROISES
PRECEDENTS
par Jérôme
33

34
ESIP
L’ESIP ou
“de la survie en milieu hostile”
Ainsi s’intitule un bouquin
de Jean François Dérec. On y
trouve toute une série de situations
de la vie quotidienne qui vous font
prendre conscience que l’existence
est en fait un calvaire, comme
aller faire les courses, acheter un
nouveau pantalon, configurer un
nouveau radio-réveil... Un peu
comme dans «la première gorgée
de bière» mais en négatif. Bon, le
problème c’est que ce bonhomme
n’a pas l’air d’avoir vraiment affaire à un milieu hostile. On peut même dire qu’il
est incompétent dans ce domaine. Je ne dis pas ça pour être méchant avec lui,
mais tout simplement je crois que pour ma part, en termes milieu hostile, je le met
minable. Quel rigolo ! se retrouver avec le seul caddie du supermarché qui présente
un flagrant défaut de parallèlisme, oui c’est sur, c’est être en milieu hostile, mais
alors un milieu hostile dilué 30ch comme de l’homéopathie ! charlot, va ! Tandis que
faire son PFE à l’ESIP quand on vient de l’ENSMA, ça oui c’est du brut de milieu
hostile concentré en barre, c’est pas pour les lopettes ! Ah, il me fait bien marrer le
Jeff avec son radio-réveil qui clignote sur 00:00 ! Ce n’est pas lui qui doit ce taper
tous les matins l’interminable hall de l’ESIP sous les golibets et les crachats ! Aimé
Jacquet, assistez-moi ! Et puis plus tard, quand on se fait éjecter de la voiture qui
vous mène au CEAT conduite par un ex-sous ingé converti en thésard mais sousingé
quand même, avant d’avoir pu se surprendre à chantonner «si t’aimes pas
les gars d’l’ESIP frappe dans tes mains, ohé !», on peut dire que l’on est un peu
plus en mileu hostile qu’en se faisant embobiner par un vendeur de pantalons...
Je ne sais pas pourquoi, quand je vois un type de l’ESIP, je me dis : «quand
même, ces gens-là ne sont pas comme nous !» Alors, comme on ne voudrait pas être
taxé de raciste, on cherche des trucs positifs. Ils ont une campagne d’élection du BDE
eux aussi. Chers amis Sans Assoce, As Hostile (tiens, tiens, comme c’est étrange...
j’espère que votre As s’y connait en hostilité !), Machos et Pink, on dira ce qu’on
voudra mais vous êtes vraiment hyper forts devant les listes candidates de l’ESIP.
Parce que deux affiches A4 dans toute l’école, c’est performant comme

35
communication ! C’est pourtant simple : on sait bien que celle-ci doit se faire à
grosse et lisible écriture. Alors, gens de l’ESIP, faites des campagnes avec des confetti si
vous voulez, mais ne vous en servez pas comme affiche ! Et puis trouvez un autre nom
que l’Esipsons, parce que moi je mélange : y’en a à l’ENSMA qui vous charrient en
disant l’ESLIP, et puis on utilise parfois des caleçons, alors l’Esipsons, ça me perturbe,
je ne m’y retrouve plus. Bien, c’est toujours pas
de ce côté que je vais trouver mon truc positif
qui fait que cette école n’a pas encore été rasée.
Mais il commence à faire faim, sortons
manger. Le RU Champlain. Aussi près de l’ESIP
que le RU de futuro de l’ENSMA, c’est déjà un
bon point. Vente de tickets tous les jours. Hey
! pas mal ! Stands multiples : grillades, plat du
jour, poisson, pâtes, pizzas et ... galettes ! oui, oui,
gens de Bretagne ! De mieux en mieux. Une salle
spatieuse, fenêtres sur toutes les façades, tout
pour plaire quoi ! Un petit bémol quand même
: un ticket ne donne droit qu’à deux articles en
plus du plat principal, et je ne sais pas encore si
le personnel est aussi gentil et souriant que celui
du futuro. Mais dans l’ensemble, on peut voir que
c’est très bien.
Seulement en toute honnêteté, on ne peut pas
attribuer les qualités de ce RU à l’ESIP parce que
ce n’est pas le même établissement, même si c’est
juste en face.
On peut juste dire «l’ESIP, c’est bien, c’est en face du RU Champlain.» Cool ! Et on se
retrouve à la case départ. Oh, on a quand même un peu avancé, mais je crois qu’on ira pas
beaucoup plus loin : ce qui est bien à l’ESIP c’est sa situation. Point. Après s’être fait rouer
de coups, humilier verbalement, mettre à nu, infliger les pires supplices made in China,
après avoir servi de cobaye pour des tests de résistance à la souffrance en collaboration avec
l’université de Bucarest, après vous être rendu-compte à l’aide des quelques morceaux de
cerveau qui vous restent que vous ne connaitrez plus jamais les plaisirs de la chair, après
avoir pu vérifier l’adage «grand pieds, grandes chaussures» auprès (mais alors vraiment tout
tout près !) des rugbeux de l’ESIP, tout ceci dans la chambre sourde des TP d’acoustique
pour couvrir vos hurlements, c’est quand même réconfortant de pouvoir prendre un bon
repas ! Surtout qu’en ce moment, il fait beau, que les oiseaux chantent, et que la fille est
jolie. Nous y voilà : une fois sorti de l’ESIP, vous êtes presque au paradis : vous apercevez
une beauté, elle vous marque au fer rouge, c’est la femme de votre vie. Vous tournez la tête,
en voilà une autre. Vous vous demandez si vous avez déjà vu cette troisième, évidemment
non. Quel délice ! tous à poil ! vive l’ESIP ! resservez-moi du milieu hostile ! encore !
JAK, en direct du campus autour de l’ESIP.
ESIP

36
Délires
SOLUTION DU MOT
MYSTERIEUX
Sortit de son contexte, il faut reconnaître que le mot est quasi illisible.
Mais si on élargit un peu la prise de vue dans le poly, la solution apparaît de
manière évidente. ‘C’est le débit minimum’.
Toujours Gooky et Jedi
Images en vrac :

37
Fable revisitee :
Le corbeau sur un arbre était perché
A ne rien faire toute la journée.
Un lapin voyant ainsi le corbeau,
L’interpelle et lui dit aussitôt
« Moi aussi, comme-toi, puis-je m’asseoir
Et ne rien faire du matin jusqu’au soir ? »
Le corbeau lui répond de sa branche
«Bien sûr, ami à la queue blanche,
Je ne vois ce qui pourrait t’empêcher
Le repos, de la sorte, rechercher. »
Blanc lapin s’assoit alors par terre,
Et sous l’arbre reste à ne rien faire,
Tant et si bien qu’un renard affamé,
Voyant ainsi le lapin somnoler,
S’approchant du rongeur en silence,
D’une bouchée en fait sa pitance.
Moralité
Pour rester assis à ne rien branler,
Il vaut mieux être très haut placé.
Le corbeau et le renard

38
Les perles
Les perles
Remerciez tous nos fournisseurs de perles, c’est grâce à eux si vous
avez sous les yeux 3 pages pleines à craquer. Un conseil, joignez-vous à eux
et envoyez-nous des bonnes perles !
Pons :
- «Quand je lis le Dragounet, je me rend même pas compte que c’est moi,
tellement c’est puissant ! [...] Je suis dans un état second.»
- «Et on obtient (i-1)/(i+1). Ah ouais... Ah ouais ?... Ah ouais... Ah ouais ? Ah
ouais... Ah ben ça me laisse sur le cul !»
- «Bon là, je vais faire une démo qui est fausse, et vous me direz là où je me
suis trompé, hein ?»
- «Là, je tente d’intuiter la limite»
Ensuite il nous dit qu’il a juste à démontrer que son expression tend vers cette
limite, et :
«Si j’arrive pas je rentre chez moi... et je bois pour oublier!»
- «Je vais vous faire une démonstration fausse... mais je suis sympa, je vous dit
avant qu’elle est fausse!»
- Comme il y a des erreurs qu’il revoit tout le temps:
«Heureusement que je suis pas dépressif, que j’ai pas de problèmes!»
- Distribution du TD4:
«Vous faites l’ex 1 parce qu’on fait tjs comme ça.»
- «Oui, je sais, une fois on a fait l’ex 5 avant l’ex 4... c’était pour mettre un peu
de piment dans la vie!»
- «Après un travail acharné de calculs, que je suis seul à savoir faire...»
- «Bon, j’ai un cylindre infini... c’est pas permi à tout le monde...»
- «Qu’est-ce qu’on rigole…. Allez, le dernier cours je me mets tout nu !»
- «On peut tracer les doigts dans le nez….. Mais je le fais pas……»
- «Harmonicité ? C’est parce qu’on est bien ensemble !»
Coirier :
- «Et là, vous laissez aller votre imagination, vous délirez complètement,
comme si vous aviez fumé un petit peu...»
- «Vous soulignez ça 27 fois et demi...»
Grolleau :
- «S’il n’y a pas de cache entre les deux BUS, vous aurez une trotinette.»
- «Ca vous dit rien WITH TEXT_IO ?»

39
Flacelière :
- «Houlà, y a de la cocaïne, du hachisch qui circule ? Faudra lui réduire la
dose» en parlant d’un élève.
- «Moi je suis un homme de la terre !» et il tape la main sur la table.
Pierra :
- «2 10 x 2 10 , été comme hiver, ça fait 2 20 .»
- «Nom de Dieu ! Qu’est-ce c’est ce bordel !» en regardant un programme en
ADA.
- «Oui mais non, là on est sur Q !»
- Un autre prof s’adresse à Pierra en A12: «C’est vous qui avez gardé le micro
de l’A11 ?» - «Euh, oui.» - « Parce que là, vous faites cours dans les 2 amphis
!»
- «Je vous donne un exemple DEBILE...»
Glad :
- «Bien, je vous laisse froliquer...» puis à part «C’est comme Frolic les
croquettes avec le chien qui se ballade dans le champ...»
- «On parle pas de “ Capitalism “ en Amérique, on parle de “ Fucking Liberals
“ !»
- Traduire : Ils ont mis Antonio dans un vol.
Un élève écrit : “ They put Antonio in a fly “ au lieu de flight.
«Ca, ça veut dire qu’Antonio encule la mouche !»
- «Quand y a When, je sais ça fait BUZZ dans votre cervelet !»
-( Problème de salle pour l’exam : conflit avec l’administration… ) « Ils m’ont
dit : changez votre sujet. Je leur ai dit : allez vous faire foutre ! »
Guittet :
- «Quand ça merde, ça merde !»
Kageyama :
- «Si vous laissez votre voiture en plein soleil, la température atteind fadcilement
50° C. Alors si vous laissez un chien dedans...»
Loumé :
- «Ce qu’on gagne c’est pour le TGEA, les bénéfices c’est pour se souler la
gueule !»
Les perles

40
Les perles
Kiki :
- «La reproduction en interne, c’est pas bon pour l’école, c’est comme pour
les lapins.»
- «Mieux vaut tailler des engrenages qu’autre chose.»
- «C’est marrant, celle là, elle est pas passée, pourtant j’en ai dit des pires !»
Ottavy :
- «Il se peut que vous ayez raison mais dans ce cas j’ai tord et j’ai horreur de
ça.»
- «La lumière vient de se faire dans mon vieux cerveau rabougri.»
- «Vous refaites les calculs et vous tomberez droit cette fois-ci !»
-( Démontrant les résultats du cours… ) « Vous sentez quand même venir le
vent, ça sent bon, ça sent le déjeuner. » « Ca devient joli, ça fait flipper. »
-( Une élève lui fait remarquer qu’il s’est trompé en résolvant un système…
) « Ah, il est con, c’est une honte, elle a raison ! J’ai pas résolu, je suis
ridicule ! » « Y’a de quoi se tirer des plombs…mais je le ferai pas, je suis pas
complètement con ! »
-( Devant l’auditoire léthargique de l’amphi boule… ) « Formidable ! Je crois
qu’ils ont compris quelque chose. »
-( Séance de TD – 12h10 – Tout le monde discute… ) « Si vous croyez
m’impressionner faut vous calmer. » « Coucou ! Dans cinq minutes j’arrêterai
de vous casser les bonbons. »
-( La patate = zéro / Une patate = un ensemble ) « 3x²-9x+7… = LA
PATATE !!! » « Il va falloir que j’isole une patate nommée Vh. » « Les deux
patates sont égales. » « Vous êtes dans la forme de trois patates emboîtées. »
-( Manipulant une équation… ) « Ce qu’on a dépoté ici on le rempote là. »
« Ils se shootent les uns par rapport aux autres. »
-( Se préparant à résoudre un système… ) « Et cet artiste là ? » « On voit
bien que la matrice est symétrique, faut pas déconner » « Comment est-ce
qu’on va se tamponner les calculs ? »
-( A propos du temps d’exécution d’un algorithme… ) « Ca dure 24h : y’a un
os dans le pâté. »
-( Mettant le doigt sur un point difficile du cours… ) « Tête de mort : y’a
intérêt à s’accrocher à la table et à le relire plusieurs fois. »
-( A propos d’un résultat établi en prépa… ) « C’est taupinal ! »
-( Se cognant à la table… ) « C’est pas rigolo quand on se fait mal… »
-( Quand la langue fourche… ) « En éléphants finis… » ( En éléments
finis… )