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Dossier de presse - Si tous les ports du monde

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<strong>Dossier</strong> <strong>de</strong> <strong>presse</strong><br />

Commémoration <strong>de</strong> la création<br />

<strong>de</strong> la ville <strong>de</strong> São Luís au Brésil<br />

par Daniel <strong>de</strong> la Touche <strong>de</strong> La Ravardière<br />

Les 8 et 9 septembre 2012<br />

à Cancale (Ille et Vilaine)<br />

Patrick Abraham<br />

06 76 49 42 25<br />

Thierry Huck<br />

06 81 69 10 73<br />

http://canca<strong>les</strong>aoluis.canalblog.com/<br />

email : ravardiere1612@orange.fr<br />

AABVC rue Hamon Vaujoyeux 35260 Cancale


Le mot <strong>de</strong> lʼassociation<br />

Place St Méen - 02 99 89 79 32 • amisbvc@wanadoo.fr - http://www.musee<strong>de</strong>cancale.fr<br />

Sortir le musée <strong>de</strong> Cancale <strong>de</strong> ses murs, tel était notre objectif au début<br />

<strong>de</strong> l’année 2012. L’aventure <strong>de</strong> Daniel <strong>de</strong> la Touche <strong>de</strong> la Ravardière nous<br />

en a donné l’occasion. Un défi qu’il nous fallait relever sous peine <strong>de</strong><br />

voir la commémoration <strong>de</strong>s 400 ans <strong>de</strong> la création <strong>de</strong> la ville <strong>de</strong> São<br />

Luís passée sous silence, et sombrer dans l’oubli une page d’histoire<br />

cancalaise.<br />

Nous n’avions que six mois pour mener à bien ce projet. Tâche ar<strong>du</strong>e<br />

où optimisme et enthousiasme ont souvent côtoyé déception et<br />

désillusion. Notre action aura été formatrice par la valeur <strong>de</strong>s échanges.<br />

Nous remercions chaleureusement <strong>les</strong> institutions, mécènes, sponsors<br />

associations, annonceurs et bénévo<strong>les</strong> qui nous ont apporté leur<br />

expérience et leur bonne volonté pour cette gran<strong>de</strong> épopée à l'image<br />

<strong>de</strong>s hommes qui ont embarqué en 1612 avec Daniel <strong>de</strong> la Touche <strong>de</strong> la<br />

Ravardière.<br />

<strong>Si</strong> au bout <strong>de</strong> notre quête, nous réussissons à faire évoluer l’intérêt pour l’histoire locale et la conservation <strong>du</strong><br />

patrimoine, nous aurons prouvé que le musée <strong>de</strong>s Arts et Traditions Populaires est digne <strong>de</strong> figurer parmi <strong>les</strong> acteurs<br />

culturels, économiques et touristiques cancalais.<br />

Programme <strong>de</strong>s festivités<br />

SAMEDI<br />

Port Mer/La Houle Course <strong>de</strong> voiliers. Championnat <strong>de</strong> France <strong>du</strong> National Vauriens où 25 bateaux sont engagés<br />

dans un parcours côtier entre Port Mer et la Houle. Le vaurien est un dériveur léger créé dans <strong>les</strong><br />

années 50 aux Glénans.<br />

La Houle • 11h Inauguration <strong>du</strong> buste <strong>de</strong> Daniel <strong>de</strong> la Touche <strong>de</strong> la Ravardière. Histoire <strong>du</strong> buste p.5<br />

La Houle Déjeuner officiel à la table Breizh Café p.3<br />

La Houle • 15h Intronisation au Chapître <strong>de</strong> la Confrérie <strong>de</strong>s Hîtes <strong>de</strong> la baie <strong>de</strong> Cancale. p.7<br />

La Houle dès 10h Animations musica<strong>les</strong>. p.8<br />

TOUT LE WEEK-END<br />

Le Bourg/La Houle Expositions d'artistes brésiliens et français. p.7<br />

Le Bourg Théâtre <strong>de</strong> rue. p.7<br />

Le Bourg/La Houle Visites guidées. p.7<br />

La Houle Concerts. p.8<br />

Le Bourg/La Houle Déambulations musica<strong>les</strong>. p. 8<br />

La Houle<br />

Village d'exposants. Restauration et buvettes sur place.<br />

DIMANCHE<br />

La Houle • 18h Tirage <strong>de</strong> la tombola.<br />

Le conseil d'administration.<br />

l'association <strong>Si</strong> <strong>tous</strong> <strong>les</strong> Ports <strong>du</strong> Mon<strong>de</strong> et le Théâtre <strong>de</strong> Saint-Malo assurent le<br />

soutien technique <strong>de</strong> la sonorisation <strong>de</strong>s groupes musicaux pendant toute la fête.<br />

La télévision brésilienne GLOBO/Miran<strong>de</strong> pour<br />

un reportage sur le Musée <strong>de</strong> Cancale diffuse en<br />

national en septembre.<br />

La table BREIZH Café<br />

BREIZH Café à Cancale, c'est d'abord un emplacement exceptionnel. Sur le port <strong>de</strong> la Houle, à <strong>de</strong>ux pas <strong>du</strong><br />

phare, aux premières loges pour admirer la baie <strong>du</strong> Mont-Saint-Michel….<br />

La table BREIZH Café propose une cuisine gourman<strong>de</strong> faite <strong>de</strong> mélanges subtils, reflets <strong>de</strong> son parcours et <strong>de</strong> ses<br />

rencontres, entre cuisine japonaise et bretonne.<br />

Bernard Larcher et son équipe ont concocté le déjeuner officiel qui sera servi (sur réservation) non loin <strong>du</strong> buste <strong>de</strong><br />

Daniel <strong>de</strong> la Touche <strong>de</strong> la Raverdière.<br />

Café Cooparaiso<br />

Cultivé au cœur <strong>de</strong> la région <strong>du</strong> Minas Gerais, le café Cooparaiso d’une qualité exceptionnelle est aujourd’hui l’un <strong>de</strong>s<br />

Merci aux partenaires qui s'associent à l'événement :<br />

meilleurs <strong>du</strong> Brésil.<br />

Ambassa<strong>de</strong> Brésil, Ancre Digitale, Asica, Breizh Café, Brittany Ferries, Cabinet d'architecture Dupont-Delaleuf, Café Cooparaiso,<br />

La coopérative Cooparaiso fonctionne comme une gran<strong>de</strong> famille qui prône avant tout le respect <strong>de</strong> chacun, cultivateurs<br />

Cash Ca<strong>de</strong>aux, Cidres Val <strong>de</strong> Rance, Conseil général d'Ille et Vilaine, Conseil Régional Bretagne, France Bleu Armorique, Générale<br />

et clients.<br />

<strong>du</strong> Granit, Hyundaï, Mairie Berthegon, Musée <strong>de</strong> Cancale, Office Tourisme <strong>de</strong> Cancale, Ours Music, Parcs St Kerber, Lorgeril,<br />

Exportant son café sans intermédiaire, directement auprès <strong>du</strong> consommateur Français, pour une meilleure qualité à<br />

<strong>Si</strong> <strong>tous</strong> <strong>les</strong> <strong>ports</strong> <strong>du</strong> mon<strong>de</strong>, Super U, Terres <strong>de</strong> Saint-Malo, Théâtre <strong>de</strong> St Malo, Thermes St Malo, Timac, Trans<strong>ports</strong> Froc, Ville <strong>de</strong><br />

moindre coût tout en préservant la qualité <strong>de</strong> vie <strong>de</strong>s pro<strong>du</strong>cteurs et <strong>de</strong> leur environnement. Cultivé dans <strong>de</strong>s conditions<br />

Cancale, Volkswagen, West Evenement, et <strong>les</strong> nombreux commerçants <strong>de</strong> Cancale.<br />

climatiques idéa<strong>les</strong>, le café Cooparaiso provient <strong>de</strong>s meilleures variétés <strong>de</strong> plants d’arabicas.<br />

Et à nos mécènes : Anne Auburtin, Jean Bergeron, Aristi<strong>de</strong> Delarose, Gérard Glatt, Thierry Huck, M. Juher, Patrick Abraham.<br />

A chaque instant, <strong>les</strong> pro<strong>du</strong>cteurs veillent au bon développement <strong>de</strong>s cultures. Ils préparent la terre avec soin, sont attentifs<br />

2 à ne récolter que <strong>les</strong> fruits mûrs et <strong>les</strong> laissent sécher au soleil avant <strong>de</strong> <strong>les</strong> égrener et <strong>les</strong> trier attentivement. 3


Daniel <strong>de</strong> la Touche <strong>de</strong> la Ravardière<br />

Inspiration <strong>du</strong> sculpteur<br />

Né à Berthegon, non loin <strong>de</strong> Lou<strong>du</strong>n, Daniel <strong>de</strong> la Touche épouse en 1589 la fille d’un protestant<br />

normand, Charlotte <strong>de</strong> Montgomery, veuve <strong>de</strong> Christophe <strong>de</strong> Châteaubriand. Sa femme est, entre<br />

autres, douairière <strong>du</strong> P<strong>les</strong>six Bertrand. Farouche défenseur <strong>de</strong> la Réforme, il bataille contre <strong>les</strong><br />

catholiques <strong>de</strong>puis son château <strong>de</strong> Regnéville avant <strong>de</strong> s’installer à Cancale sur le port <strong>de</strong> la Houle.<br />

En 1604, accompagné d’un jeune apothicaire, Jean Mocquet, le gentilhomme monte une<br />

première expédition vers la Guyane. Il va établir <strong>de</strong>s contacts avec <strong>les</strong> tribus <strong>de</strong> l’Oyapock et<br />

explore une partie <strong>de</strong> territoire qui l’amèneront à côtoyer <strong>de</strong>s anthropophages.<br />

Soutenu par le roi Henri IV, le <strong>Si</strong>eur <strong>de</strong> la Ravardière mène en 1609 <strong>de</strong>puis Cancale une secon<strong>de</strong><br />

campagne à <strong>de</strong>stination <strong>du</strong> Brésil. L’objectif <strong>de</strong> cette mission est <strong>de</strong> fon<strong>de</strong>r une colonie. Sur l’Ile <strong>de</strong> Maragnan, <strong>les</strong><br />

premiers contacts avec <strong>les</strong> autochtones sont amicaux et promettent <strong>de</strong> déboucher sur une collaboration fructueuse<br />

avec <strong>de</strong> futurs colons.<br />

L’assassinat <strong>du</strong> roi et le changement <strong>de</strong> politique mené par la régente, Marie <strong>de</strong><br />

Médicis, empêchent toute nouvelle expédition. La Ravardière est pourtant recon<strong>du</strong>it<br />

dans ses prérogatives <strong>de</strong> lieutenant général <strong>de</strong> la France Equinoxiale. Afin <strong>de</strong> mener<br />

à bien ses projets Daniel <strong>de</strong> la Touche doit s’adjoindre <strong>de</strong>s associés catholiques tels<br />

François <strong>de</strong> Razilly. Les <strong>de</strong>ux gentilshommes vont se mettre en quête <strong>de</strong> financements<br />

privés.<br />

Enfin, le 19 mars 1612, trois navires en armement <strong>de</strong>puis plusieurs mois à la Houle<br />

quittent la France à <strong>de</strong>stination <strong>de</strong> l’Ile <strong>de</strong> Maragnan. Ils emmènent dans leurs flancs<br />

plusieurs centaines d’artisans, d’agriculteurs et éleveurs. Les premiers mois sont<br />

consacrés à établir un fort, dédié au<br />

jeune roi louis XIII. Ce sera l’embryon <strong>de</strong> la future agglomération<br />

<strong>de</strong> São Luís.<br />

Avec le concours iconographique <strong>de</strong> Thierry Huck et Aristi<strong>de</strong> Delarose qui<br />

m’ont documenté sur <strong>les</strong> costumes, port <strong>de</strong> barbe et chevelure, j’ai laissé place<br />

à mon imaginaire. Je me suis plongé quatre sièc<strong>les</strong> en arrière pour mo<strong>de</strong>ler le<br />

grès <strong>du</strong> buste <strong>de</strong> celui qui <strong>de</strong>vrait être le plus célèbre <strong>de</strong> nos navigateurs et<br />

découvreurs cancalais.<br />

Daniel <strong>de</strong> la Touche <strong>de</strong> la Ravardière était protestant et noble, donc<br />

peut-être un peu austère, vaillant, volontaire et en tout cas ne portait<br />

pas la fraise. L'inspiration est venue <strong>de</strong> François <strong>de</strong> Razilly, qui était <strong>du</strong><br />

voyage en 1612 et d'un portrait <strong>de</strong> Samuel <strong>de</strong> Champlain. Le grand<br />

col est en vogue à cette époque <strong>les</strong> costumes généralement sombres.<br />

Je l’ai imaginé vaillant, charismatique, portant sur lui une autorité naturelle lui permettant <strong>de</strong> faire<br />

traverser dans <strong>de</strong>s conditions diffici<strong>les</strong>, ses 400 compagnons vers une terre inconnue.<br />

Avec le patineur Carlos <strong>de</strong> la fon<strong>de</strong>rie <strong>de</strong> Coubertin, nous avons choisi une patine florentine, noire :<br />

c’est une <strong>de</strong>s plus difficile à réaliser. Elle évoque à mon sens, l’esprit <strong>du</strong> personnage.<br />

Alors que peu à peu <strong>les</strong> traits <strong>du</strong> marin s’affinaient sous mes doigts, je me suis souvenu avec émotion<br />

<strong>de</strong>s conseils <strong>de</strong> mon maître le sculpteur Francis Pellerin “pense à la lumière, toujours la lumière“. Il était mon<br />

professeur <strong>de</strong> sculpture aux Beaux-arts <strong>de</strong> Rennes. Prix <strong>de</strong> Rome, pensionnaire <strong>de</strong> la Villa Médicis, fils d’un<br />

terre-neuvas cancalais.<br />

Artiste peintre et sculpteur Sociétaire <strong>de</strong>s Artistes Français Membre <strong>de</strong> la Fondation Taylor<br />

Poids d'argile : 50 kg • Hauteur : 45 cm • Poids <strong>de</strong> bronze : 35 kg• Temps <strong>de</strong> réalisation : 6 mois<br />

Un travail <strong>de</strong> mémoire<br />

Pendant trois ans Daniel <strong>de</strong> la Touche tentera <strong>de</strong> résister aux assauts<br />

répétés <strong>de</strong>s Portugais, bien décidés à chasser <strong>les</strong> opportuns. Marie<br />

<strong>de</strong> Médicis désirant se rapprocher <strong>du</strong> Portugal, n’enverra pas <strong>les</strong><br />

renforts espérés par la Ravardière. Après une <strong>de</strong>rnière bataille,<br />

le gentilhomme soucieux <strong>de</strong> préserver la vie <strong>de</strong> ses hommes<br />

capitulera.<br />

Puisé dans <strong>les</strong> témoignages et récits, le travail fouillé <strong>de</strong> Madame Claudine Doreau nous éclaire sur la vie et <strong>les</strong> expéditions<br />

<strong>de</strong> Daniel <strong>de</strong> la Touche <strong>de</strong> la Ravardière.<br />

Du Poitou à Cancale en passant par le bocage normand et la cour <strong>de</strong> France,<br />

le parcours <strong>de</strong> l’aventurier est hors <strong>du</strong> commun. Pourquoi trois campagnes<br />

furent-el<strong>les</strong> organisées à partir <strong>du</strong> port <strong>de</strong> la Houle vers l’Amérique <strong>du</strong> Sud <br />

Quel<strong>les</strong> étaient <strong>les</strong> motivations et <strong>les</strong> compagnons d’aventure <strong>du</strong><br />

gentilhomme Quel<strong>les</strong> ont été ses relations avec <strong>les</strong> autochtones En<br />

posant <strong>les</strong> bases <strong>de</strong> la ville <strong>de</strong> São Luís au Brésil, se doutait-il que la cité<br />

prospèrerait et <strong>de</strong>viendrait une agglomération <strong>de</strong> plus d’un million<br />

d’habitants Alors que Daniel <strong>de</strong> la Touche est honoré dans tout l’état <strong>du</strong><br />

Maranhão, son histoire est restée confi<strong>de</strong>ntielle en France.<br />

L’enquête minutieuse <strong>de</strong> l’auteur nous permet d’en savoir plus sur le <strong>de</strong>stin<br />

<strong>de</strong> la colonie <strong>de</strong> la "France Equinoxiale“ qui a prospéré quelques années. En<br />

fin d’ouvrage, Thierry Huck, passionné <strong>de</strong> l’histoire cancalaise, dévoile <strong>de</strong>s<br />

éléments glanés <strong>de</strong>rnièrement qui pourraient ouvrir <strong>de</strong> nouvel<strong>les</strong> pistes <strong>de</strong><br />

travail.<br />

Un fon<strong>de</strong>ur d'exception<br />

Créée en 1963, la fon<strong>de</strong>rie <strong>de</strong> Coubertin offre aux sculpteurs la possibilité d’effectuer un véritable travail créatif<br />

lors <strong>de</strong> la réalisation <strong>de</strong> leurs œuvres, entourés et accompagnés par une équipe <strong>de</strong> professionnels <strong>de</strong> haut<br />

niveau. La qualité <strong>de</strong> l’exécution, le souci <strong>de</strong> perfection, mais aussi la capacité d’écoute et d’accueil dans ce lieu<br />

unique, font <strong>de</strong> la fon<strong>de</strong>rie un atelier à part.<br />

La fon<strong>de</strong>rie <strong>de</strong> Coubertin travaille sur comman<strong>de</strong>. Cel<strong>les</strong>-ci proviennent<br />

principalement d’artistes sculpteurs – jeunes ou confirmés – <strong>de</strong> leurs ayant<br />

droits, <strong>de</strong>s musées ou <strong>de</strong>s collectivités publiques. La restauration d'œuvres en<br />

plomb, cuivre ou bronze entre également dans ses compétences. La fon<strong>de</strong>rie<br />

exerce enfin une activité <strong>de</strong> restauration pour l’Etat, <strong>les</strong> collectivités loca<strong>les</strong> et <strong>les</strong><br />

musées. En outre, la fon<strong>de</strong>rie crée <strong>de</strong>s œuvres en cuivre, en plomb, en zinc et en<br />

acier.<br />

Les équipes <strong>de</strong> la fon<strong>de</strong>rie <strong>de</strong> Coubertin travaillent dans le respect <strong>de</strong> l’œuvre. Les techniques et <strong>les</strong> matériaux<br />

utilisés sont sélectionnés pour tra<strong>du</strong>ire dans le bronze tout le mo<strong>de</strong>lé <strong>de</strong> l'original. Celui-ci est respecté dans<br />

son esprit et sa forme, pour être restitué en toute fidélité.<br />

C’est un véritable travail d’équipe entre le sculpteur et <strong>les</strong> différents métiers <strong>du</strong> fon<strong>de</strong>ur (mouliste, fon<strong>de</strong>ur,<br />

ciseleur, patineur...) pendant 6 mois, pour obtenir l’œuvre finale. Elle sera signée <strong>du</strong> sculpteur et <strong>du</strong> fon<strong>de</strong>ur.<br />

Dans la plus pure tradition, une délégation <strong>de</strong> la fon<strong>de</strong>rie assistera à la mise en place <strong>de</strong> l'œuvre.<br />

La stèle, œuvre d'un granitier breton<br />

Dessinée par Martine Delaleuf, architecte DPLG oeuvrant dans <strong>les</strong> plus grands musées parisiens, la stèle a été<br />

réalisée à Louvigné <strong>du</strong> Désert.<br />

Implantée en Bretagne <strong>de</strong>puis 1957, la Générale <strong>du</strong> Granit s’enorgueillit d’être la référence en matière <strong>de</strong><br />

transformation <strong>du</strong> granit. Dans son usine dotée <strong>de</strong>s meilleures technologies <strong>de</strong> pro<strong>du</strong>ction, elle façonne<br />

chaque jour <strong>de</strong>s pro<strong>du</strong>its <strong>de</strong> qualité contrôlés à chaque étape par 150 collaborateurs qualifiés.<br />

4 5


<strong>de</strong> Konkaven à Cancale <strong>de</strong> Saint-Louis à São Luís Animations culturel<strong>les</strong><br />

Une occupation humaine est attestée sur la côte cancalaise dès le<br />

paléolithique. Il subsiste également <strong>de</strong>s traces <strong>de</strong> présence gauloise et<br />

gallo-romaine tant sur le littoral qu’à l’intérieur <strong>de</strong>s terres.<br />

La paroisse aurait été fondée par le moine gallois saint Méen vers 545 lors<br />

<strong>de</strong> son débarquement à l’embouchure <strong>du</strong> Guyoult. Cette rivière, grossie<br />

<strong>de</strong>s eaux <strong>du</strong> marais <strong>de</strong> Dol, longeait alors la côte cancalaise ; seul le chenal<br />

entre la Pointe <strong>du</strong> Grouin et l’Ile <strong>de</strong>s Lan<strong>de</strong>s en perpétue le souvenir (la<br />

Vieille Rivière).<br />

L’empreinte viking se retrouve au travers <strong>de</strong>s toponymes tels que Mielle,<br />

Houle, Grüne, Hock. C’est sans doute vers cette époque que le village<br />

primitif, que l’on peut situer non loin <strong>de</strong> Port Picain, est peu à peu<br />

abandonné au profit d’une agglomération placée sur <strong>de</strong> plus hautes<br />

falaises. En 1032, la première source écrite confirme <strong>de</strong>s donations faites<br />

par <strong>les</strong> parents d’Alain III ; on y évoque <strong>de</strong>s terres, un port et une église sur<br />

la paroisse <strong>de</strong> Cancavene, que l’on tra<strong>du</strong>it généralement par « anse sur<br />

la rivière ». Au fil <strong>du</strong> temps le nom évolue vers son appellation actuelle :<br />

Cancale.<br />

Jusqu’à la révolution, la paroisse est placée sous l’autorité <strong>du</strong> seigneur <strong>du</strong><br />

P<strong>les</strong>six Bertrand avant <strong>de</strong> <strong>de</strong>venir une commune à part entière.<br />

Tournée essentiellement vers la mer, l’activité économique se concentre<br />

sur le dragage <strong>de</strong>s huîtres, que l’on exporte dans toutes <strong>les</strong> régions, mais<br />

aussi sur la pêche <strong>du</strong> poisson et crustacés ainsi que le cabotage vers <strong>les</strong><br />

<strong>ports</strong> anglais. Quelques pêcheries et tessures permettent aux pêcheurs à<br />

pied <strong>de</strong> vivre <strong>de</strong> leur activité.<br />

En 1545, François 1 er honore Cancale en lui conférant le titre <strong>de</strong> ville.<br />

Afin d’assurer la défense <strong>de</strong> la côte, le roi Henri II accor<strong>de</strong> aux habitants<br />

le privilège <strong>de</strong> tirer le Papegault, oiseau <strong>de</strong> bois planté sur une longue<br />

perche.<br />

Coincé entre la falaise et la mer, le port <strong>de</strong> la Houle semble connaître un<br />

essor important sous le règne d’Henri IV puisque par trois fois Daniel <strong>de</strong><br />

la Touche <strong>de</strong> la Ravardière y arme ses navires pour la France Equinoxiale.<br />

Les nombreux conflits engagés par la France et la proximité <strong>de</strong> la<br />

bouillonnante cité corsaire poussent <strong>les</strong> Anglais à attaquer Cancale à<br />

plusieurs reprises (1654, 1758, 1779) et harceler <strong>les</strong> bateaux <strong>de</strong> pêche<br />

qui sont rançonnés. Il faut attendre la construction <strong>du</strong> puissant fort <strong>de</strong>s<br />

Rimains, à la fin <strong>du</strong> 18 e siècle, pour empêcher toute nouvelle incursion.<br />

Pendant <strong>de</strong>s sièc<strong>les</strong> <strong>les</strong> marins cancalais ont sillonné <strong>les</strong> mers <strong>du</strong> globe et<br />

ont été la cheville ouvrière <strong>de</strong>s armateurs malouins. Il ont payé un lourd<br />

tribut aux ambitieux négociants, on compte parfois plus <strong>de</strong> 50% <strong>de</strong> décès<br />

pendant <strong>les</strong> campagnes à Terre Neuve ou <strong>les</strong> interminab<strong>les</strong> voyages vers<br />

<strong>les</strong> In<strong>de</strong>s ou l’Amérique.<br />

Concentré autour <strong>de</strong> la vielle église, maintes fois réparée, et entouré <strong>de</strong><br />

gran<strong>de</strong>s propriétés, le bourg ne peut se développer. Lors <strong>de</strong> la construction<br />

d’une nouvelle église, à la fin <strong>du</strong> 19ème siècle, le centre ville se déplace<br />

vers le Sud. La création d’une voie reliant le port au Bourg favorise l’arrivée<br />

<strong>de</strong>s touristes venus admirer <strong>les</strong> superbes bisquines s’en allant draguer <strong>les</strong><br />

bancs d’huîtres ou évoluant dans <strong>de</strong> magnifiques régates.<br />

Les petits chantiers cancalais, soutenus par <strong>de</strong>s armateurs locaux, se<br />

lancent alors dans la construction <strong>de</strong> navires pour Terre Neuve. Pendant<br />

plus <strong>de</strong> vingt ans, l’aventure <strong>de</strong> la morue apporte la prospérité à la cité. La<br />

grève <strong>de</strong>s marins <strong>de</strong> 1911, la motorisation <strong>de</strong>s bateaux et le manque <strong>de</strong><br />

port en eau profon<strong>de</strong> mettent fin à cet épiso<strong>de</strong>.<br />

De nos jours, cultures maraîchère et ostréiculture ne représentent qu’un<br />

apport mineur à l’économie locale qui est en gran<strong>de</strong> alimentée par<br />

l’activité touristique.<br />

Seule capitale d'État <strong>du</strong> Brésil n'ayant pas été découverte par <strong>les</strong><br />

Portugais, São Luís a été fondée sous le nom <strong>de</strong> Saint-Louis par le<br />

français Daniel <strong>de</strong> la Touche sieur <strong>de</strong> la Ravardière, en l'honneur <strong>du</strong><br />

jeune souverain Louis XIII. Les Français s'allièrent aux Indiens pour<br />

résister aux Portugais mais, en novembre 1615, elle passa aux mains <strong>de</strong>s<br />

Portugais, sous le comman<strong>de</strong>ment <strong>de</strong> Jerônimo <strong>de</strong> Albuquerque qui<br />

<strong>de</strong>vint dès lors le premier dirigeant <strong>du</strong> Maranhão.<br />

De 1641 à 1644, la ville tombe aux mains <strong>de</strong>s Hollandais ce qui pousse <strong>les</strong><br />

autorités colonia<strong>les</strong> portugaises à créer l'État <strong>du</strong> Maranhão et <strong>du</strong> Grand<br />

Pará (Estado do Maranhão e Grão-Pará en portugais) indépendant <strong>du</strong><br />

reste <strong>du</strong> pays jusqu'en 1774. À cette époque, l'économie se développe<br />

sur <strong>les</strong> plantations et l'exportation <strong>de</strong> canne à sucre, <strong>de</strong> cacao et <strong>de</strong><br />

tabac ; d'où sa prospérité à la fin <strong>du</strong> XVIe siècle et au XVIIIe siècle.<br />

Dans <strong>les</strong> années 1860, <strong>les</strong> États-Unis cessent leurs exportations <strong>de</strong> coton<br />

à cause <strong>de</strong> la Guerre <strong>de</strong> Sécession. La voie était libre pour le Brésil qui<br />

prit cette place <strong>de</strong> fournisseur vers le Royaume-Uni. La pro<strong>du</strong>ction <strong>du</strong><br />

coton s'accrut dans la région et la ville connut une forte expansion<br />

économique doublée d'une gran<strong>de</strong> mo<strong>de</strong>rnisation. La cité <strong>de</strong>vint<br />

la troisième ville <strong>du</strong> Brésil <strong>de</strong>rrière Rio <strong>de</strong> Janeiro et Salvador. Mais le<br />

commerce <strong>du</strong> coton entra en déca<strong>de</strong>nce à la fin <strong>du</strong> XIXe siècle, et<br />

<strong>de</strong>puis, la ville <strong>du</strong>t chercher d'autres moyens pour se maintenir. Elle est<br />

toujours le siège <strong>de</strong> l'archidiocèse <strong>de</strong> São Luís do Maranhão.<br />

<strong>Si</strong>tuée dans le golfe Maranhense en baie <strong>de</strong> Saint-Marc, São Luís a su<br />

préserver le schéma d'origine <strong>de</strong> ses rues au quadrillage rectangulaire à<br />

l'image <strong>de</strong>s quartiers populaires <strong>de</strong> Lisbonne. En raison d'une pério<strong>de</strong> <strong>de</strong><br />

stagnation économique au début <strong>du</strong> XXe siècle, un nombre important<br />

<strong>de</strong> bâtiments historiques <strong>de</strong> gran<strong>de</strong> qualité ont été conservés, en faisant<br />

ainsi un exemple exceptionnel <strong>de</strong> ville coloniale ibérique.<br />

São Luís vit actuellement principalement <strong>du</strong> tourisme et <strong>de</strong> son port.<br />

Mais c'est le commerce <strong>de</strong>s matières premières sous le Brésil colonial<br />

(sucre, riz, coton) vers la métropole portugaise qui a permis son essor<br />

économique. Elle s'est ainsi dotée <strong>de</strong> grands bâtiments commerciaux,<br />

<strong>de</strong> <strong>de</strong>meures somptueuses et <strong>de</strong> quelques églises. Ce sont ces<br />

superbes <strong>de</strong>meures et autres maisons recouvertes d'azuléjos (<strong>les</strong><br />

faïences traditionnel<strong>les</strong> <strong>de</strong> <strong>de</strong> la pério<strong>de</strong> coloniale) qui forment un bel<br />

ensemble architectural <strong>de</strong> près <strong>de</strong> 4 000 bâtiments, que l'on appelle le<br />

Centro Histórico dont la rénovation a débuté en 1980 et se poursuit<br />

actuellement.<br />

Le centre historique <strong>de</strong> São Luís do Maranhão est un exemple<br />

exceptionnel <strong>de</strong> ville coloniale portugaise, adaptée avec succès<br />

aux conditions climatiques <strong>de</strong> l'Amérique <strong>du</strong> Sud équatoriale et<br />

ayant préservé dans une remarquable mesure son tissu urbain<br />

harmonieusement intégré à son environnement naturel.<br />

Riche en événements culturels tels que : le Bumba-meu-boi, le créole<br />

tambour, cacuriá, juninas, reggae et autres, São Luís propose une<br />

cuisine unique, avec <strong>de</strong>s plats comme le riz Cuxa Cuxa, le poisson frit et<br />

la tarte aux crevettes célèbre. Elle jouit également d'une vie nocturne<br />

animée, avec <strong>de</strong>s bars, restaurants, clubs, festivals, théâtres, cinémas et<br />

<strong>de</strong> nombreux spectac<strong>les</strong> d'artistes locaux, nationaux et internationaux.<br />

Musée <strong>de</strong>s arts et traditions populaires<br />

Place St Méen • <strong>de</strong> 10h à 18h • 02 99 89 79 32 • amisbvc@wanadoo.fr • http://www.musee<strong>de</strong>cancale.fr<br />

C’est dans une partie <strong>de</strong> l’ancienne église Saint-Méen que, <strong>de</strong>puis 1982, <strong>de</strong>s passionnés <strong>du</strong> patrimoine<br />

cancalais conservent <strong>de</strong> multip<strong>les</strong> objets, mémoire <strong>de</strong> la vie d’antan. Matériel et habillement <strong>de</strong><br />

l’aventure morutière, reconstitution <strong>de</strong> mobilier <strong>du</strong> début <strong>du</strong> 19ème siècle avec certaines pièces<br />

très origina<strong>les</strong>. La bisquine y a une place <strong>de</strong> choix : apparaux, voi<strong>les</strong>, chalut, dragues sans oublier<br />

<strong>les</strong> régates, source d’une importante iconographie. On y évoque quelques métiers disparus tel le<br />

vannier dont <strong>les</strong> outils sont présentés sur panneaux. Une vivante reconstitution <strong>de</strong>s chantiers <strong>de</strong> la<br />

Houle côtoie celle <strong>de</strong>s parcs à huîtres. Plusieurs documentaires sur la pêche sont présentés dans une<br />

salle audio-visuelle. Maquettes, tableaux, outils, sculptures jalonnent la visite dans un lieu où plane<br />

la sérénité.<br />

Tous <strong>les</strong> ans, une exposition ponctue la saison. Sauvés <strong>de</strong> l’oubli, <strong>les</strong> bois sculptés, œuvre monumentale <strong>de</strong> l’abbé Quémerais y sont<br />

présentés <strong>de</strong>puis 2011. Les conférences <strong>de</strong> l’été connaissent un franc succès tout comme la revue annuelle qui retrace <strong>de</strong>s épiso<strong>de</strong>s<br />

<strong>de</strong> l’histoire ou <strong>de</strong>s activités ancestra<strong>les</strong> <strong>de</strong>s communes <strong>de</strong> la région.<br />

Fab<strong>les</strong> <strong>de</strong> la Fontaine<br />

La Houle • <strong>de</strong> 10h à 18h<br />

Les fab<strong>les</strong> <strong>de</strong> La Fontaine, tout le mon<strong>de</strong> connaît. Mais, <strong>les</strong> fab<strong>les</strong> <strong>de</strong> La Fontaine racontées en costume<br />

d'époque par Jean-Marie Collin, c'est autre chose.<br />

L'interprète revendique la saveur <strong>du</strong> mot juste. Le spectacle <strong>du</strong>re une cinquantaine <strong>de</strong> minutes dans une<br />

ambiance <strong>du</strong> XVIIe siècle avec <strong>de</strong>s musiques et <strong>de</strong>s costumes d'époque. Plus <strong>de</strong> quinze fab<strong>les</strong> célèbres<br />

font partie <strong>du</strong> programme.<br />

Expositions d'art dans le Bourg et à la Houle<br />

Salle Omnis<strong>ports</strong> rue <strong>du</strong> Port • 10h/18h * La Houle • 10h/18h<br />

Des artistes variés peintres, sculpteurs, photographes sont venus <strong>de</strong> toute la France et <strong>de</strong> quelques<br />

pays étrangers exposer et créer <strong>de</strong>vant vous leurs visions <strong>de</strong> la mer, <strong>de</strong> Cancale, <strong>du</strong> Brésil.<br />

Un véritable florilège <strong>de</strong> créations origina<strong>les</strong> <strong>de</strong> plus <strong>de</strong> 50 artistes.<br />

Ils seront <strong>tous</strong> là pour vous présenter leurs œuvres et vous transporter dans leurs univers.<br />

Inauguration <strong>du</strong> buste <strong>de</strong> Daniel <strong>de</strong> la Touche <strong>de</strong> la Ravardière<br />

Cale <strong>de</strong> la fenêtre à la Houle • 11h<br />

Olivier Roellinger dévoilera le buste <strong>de</strong> Daniel <strong>de</strong> la Touche <strong>de</strong> la Ravardière en présence <strong>de</strong>s officiels.<br />

Des discours suivront la cérémonie.<br />

Visite guidée <strong>du</strong> Bourg et <strong>de</strong> la Houle<br />

Départ <strong>de</strong> l'office <strong>de</strong> tourisme 11h00 • 15h00 • 17h00<br />

Ce sont <strong>les</strong> petites rues <strong>de</strong> la Houle dont <strong>les</strong> maisons sont nichées entre <strong>les</strong> quais et la falaise. A<br />

l’origine mo<strong>de</strong>stes maisons <strong>de</strong> pêcheurs, beaucoup sont aujourd’hui <strong>de</strong>s rési<strong>de</strong>nces secondaires.<br />

Il est agréable d’y flâner ; l’œil aux aguets peut toujours trouver matière à s’émerveiller : une niche<br />

avec une vierge, un corbelet en forme <strong>de</strong> tête, un puits couvert <strong>de</strong> lierre, un jardin ensoleillé coincé<br />

entre <strong>les</strong> maisons et… peu <strong>de</strong> voitures.<br />

WEEK-END<br />

WEEK-END<br />

WEEK-END<br />

SAMEDI<br />

WEEK-END<br />

Surface : 13 km2 - Population : 6 000 - Climat : tempéré<br />

<strong>Si</strong>tuation : Littoral breton - Altitu<strong>de</strong> : <strong>de</strong> 0 à 45 mètres<br />

Tourisme : Baie <strong>du</strong> Mont-St-Michel - Conchyliculture - Bisquine<br />

Ville natale <strong>de</strong> S te Jeanne Jugan, fondatrice <strong>de</strong> la congrégation <strong>de</strong>s Petits<br />

Sœurs <strong>de</strong> Pauvres (1792-1879)<br />

Surface : 905 km2 - Population : 997 098 - Climat : tropical<br />

<strong>Si</strong>tuation : Littoral Maranhão - Altitu<strong>de</strong> : 25 mètres<br />

Tourisme : Littoral <strong>de</strong> 30 km • Centro Histórico • Artisanat<br />

Date <strong>de</strong> la fondation : 08/09/1612<br />

Intronisation au Chapître <strong>de</strong> la Confrérie <strong>de</strong>s Hîtes <strong>de</strong> la baie <strong>de</strong> Cancale.<br />

La Houle • 15h<br />

La confrérie <strong>de</strong>s Hîtes <strong>de</strong> Cancale en gran<strong>de</strong> tenue <strong>du</strong> Chapître intronisera <strong>les</strong> personnalités.<br />

SAMEDI<br />

6 7


Animations<br />

musica<strong>les</strong><br />

Les Gârs d’La Houle<br />

Port <strong>de</strong> la Houle • à partir <strong>de</strong> 11h00<br />

Groupe musical cancalais, Les Gârs d’ La Houle vous proposent un florilège <strong>de</strong> chansons maritimes<br />

<strong>de</strong> Cancale et ses environs, ponctué d’instrumentaux et <strong>de</strong> compositions origina<strong>les</strong>. C’est aussi une<br />

animation dans la mesure où le public peut reprendre très facilement <strong>les</strong> refrains aux mélodies<br />

mémorisab<strong>les</strong>. Les chansons sont souvent précédées d’anecdotes sur la vie <strong>de</strong>s marins.<br />

Aline <strong>de</strong> Lima<br />

Port <strong>de</strong> la Houle • à partir <strong>de</strong> 19h00<br />

<strong>du</strong> Brésil romantique. Une voix sensuelle pour un début <strong>de</strong> soirée torri<strong>de</strong>.<br />

Afin <strong>de</strong> préparer son quatrième album, plus électro-acoustique, un nouveau répertoire est en<br />

cours d'élaboration, avec aussi <strong>de</strong>s nouveaux musiciens qui forment le quartet d'Aline <strong>de</strong> Lima.<br />

Ce nouveau projet vise la fusion entre jazz, hip hop, afro-beat et reggae chanté en brésilien, anglais<br />

et en français. Son lancement se fera le 8 septembre où Aline est l'artiste représentante <strong>de</strong> la<br />

capitale <strong>du</strong> Maranhão, São Luís.<br />

IMG<br />

Port <strong>de</strong> la Houle • à partir <strong>de</strong> 22h30<br />

Le groupe régional s'est installé sur la scène <strong>du</strong> fest-noz, réussissant à se faire accepter malgré son<br />

caractère bruyant et provocateur.<br />

La ban<strong>de</strong> se complait dans <strong>les</strong> musiques contestataires et populaires. Un son lourd et puissant,<br />

<strong>de</strong>s rythmes ska s’enchaînant au Ragga où alternent <strong>de</strong>s mélodies bretonnes et <strong>de</strong> riffs électriques<br />

agressifs. Ici le fest-noz est une valeur <strong>de</strong> partage, le ska-punk une façon <strong>de</strong> démolir <strong>les</strong> idées reçues.<br />

SAMEDI<br />

SAMEDI<br />

SAMEDI<br />

Vents d’Anges<br />

Port <strong>de</strong> la Houle • à partir <strong>de</strong> 22h30<br />

Cinq musiciens <strong>de</strong> Saint-Suliac interprètent chants <strong>de</strong> marins, et musiques variées. Chant, guitare,<br />

flûte, accordéon, bodhran.<br />

SAMEDI<br />

Compagnie Ochossi<br />

Port <strong>de</strong> la Houle • à partir <strong>de</strong> 22h30<br />

Créée en 1996, la Compagnie Ochossi a pour but <strong>de</strong> susciter et d’approfondir <strong>les</strong> liens et contacts entre talents<br />

artistiques <strong>de</strong> toutes origines, <strong>de</strong> diffuser la culture brésilienne et contemporaine en Bretagne, en France et à<br />

l’échelle internationale.<br />

Sur <strong>les</strong> rythmes <strong>de</strong> la musique brésilienne, le groupe, en costume régional, alterne danses et percussions <strong>du</strong><br />

Nor<strong>de</strong>ste, sous la direction artistique <strong>de</strong> Pedro Rosa brésilien.<br />

DIMANCHE<br />

Groupe <strong>de</strong> musique brésilienne<br />

Le Bourg • à partir <strong>de</strong> 10h00<br />

L’après-midi <strong>du</strong> dimanche débutera sur <strong>les</strong> rythmes endiablés venus <strong>de</strong> l’autre côté <strong>de</strong> l’Atlantique.<br />

DIMANCHE<br />

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