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L'apiculture en Vaucluse

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APICULTURE<br />

CDSPA LE 23 MARS 2010


L’apiculture <strong>en</strong> <strong>Vaucluse</strong><br />

En <strong>Vaucluse</strong> 650 apiculteurs déclarés.<br />

Production directe: miel, gelée royale<br />

Production « indirecte »: pollinisation


MRC<br />

Les maladies réglem<strong>en</strong>tées :<br />

MRC:<br />

Loque américaine: maladie du couvain


MRC<br />

Nosémose :<br />

parasite de l’adulte, tropisme digestif<br />

Infestation à Aethina tumida:<br />

parasite de la ruche: se nourrit de poll<strong>en</strong>, de larves, d’oeufs et de miel


MRC<br />

Infestation à Tropilaelaps<br />

parasite du couvain, larves et nymphes


MDO<br />

Maladie à déclaration obligatoire :<br />

Varroase infestation parasitaire des adultes et du couvain


Autres <strong>en</strong>nemis : pesticides et produit phytosanitaires<br />

Frelon asiatique:<br />

Introduit accid<strong>en</strong>tellem<strong>en</strong>t de Chine <strong>en</strong> 2004. A colonisé depuis un partie<br />

du sud ouest de la France. Prédateur des abeilles


CDSPA 23 mars 2010 8


Le dispositif réglem<strong>en</strong>taire<br />

Arrêtés Préfectoraux des 22 mars 1961 et 21 mai 1962 relatifs au<br />

emplacem<strong>en</strong>ts des ruches<br />

Arrêté du 11 août 1980 modifié relatif au dispositif de lutte contre les<br />

maladies des abeilles<br />

Arrêté du 23 décembre 2009 établissant les mesures de police sanitaire<br />

applicables aux maladies réputées contagieuses des abeilles et<br />

modifiant l’arrêté du 11 août 1980


Déclaration des ruchers:<br />

Dans le cadre de la lutte contre les maladies réputées<br />

contagieuses des abeilles, tout apiculteur est t<strong>en</strong>u de<br />

déclarer les ruches dont il est propriétaire ou dét<strong>en</strong>teur.<br />

La déclaration doit être faite <strong>en</strong>tre le 1er janvier et le 31<br />

décembre de l’année


Ce qui a changé <strong>en</strong> 2010 :<br />

1 - titulaire d’un N° SIRET ou n° NUMAGRIT<br />

2- le rétablissem<strong>en</strong>t de la déclaration annuelle des ruches,<br />

3 - Attribution d’un n° d’immatriculation à 8 chiffres


1 – N° SIRET ou N° NUMAGRIT<br />

Avant toute transmission de déclaration à l’opérateur de<br />

saisie, l’apiculteur devra être titulaire :<br />

- soit d’un n° SIRET, à demander auprès de la Chambre<br />

d’agriculture (délivré <strong>en</strong> cas de cession de miel à un tiers,<br />

hors cadre familial)<br />

- soit d’un n° NUMAGRIT, à demander auprès de la<br />

Direction Départem<strong>en</strong>tale de la Protection des<br />

Populations (DDPP) si l’apiculteur ne relève pas d’un<br />

n°siret.


2 – Rétablissem<strong>en</strong>t de la déclaration annuelle<br />

elle doit être r<strong>en</strong>ouvelée chaque année.<br />

Le formulaire cerfa 50-447 est abrogé. Il est remplacé<br />

par le formulaire n° 13995*01.<br />

il est disponible sur le site internet service-public.fr à<br />

l’adresse suivante :<br />

https://www.formulaires.modernisation.gouv.fr/gf/cerfa_13995_01.do<br />

ou récupérer ce formulaire auprès de » l’opérateur de<br />

saisie » qui sera désigné ultérieurem<strong>en</strong>t, ou auprès du<br />

Groupem<strong>en</strong>t de Déf<strong>en</strong>se Sanitaire Apicole (GDSA) de<br />

notre départem<strong>en</strong>t.<br />

LA DDPP n’<strong>en</strong>registrera plus les déclarations


3 – Attribution d’un numéro d’immatriculation<br />

Chaque exploitation déclarée recevra à titre perman<strong>en</strong>t<br />

un numéro d’immatriculation composé de 8 chiffres, et<br />

intégrée dans la base de données SIGAL<br />

Les exploitations antérieurem<strong>en</strong>t déclarée conserv<strong>en</strong>t leur<br />

numéro. Ce numéro doit être reproduit <strong>en</strong> caractères<br />

appar<strong>en</strong>ts et indélébiles sur au moins 10 % des ruches,<br />

ou sur un panneau placé à proximité du rucher.


Les moy<strong>en</strong>s humains<br />

En 2006, Agrém<strong>en</strong>t d’un Groupem<strong>en</strong>t de déf<strong>en</strong>se<br />

Sanitaire Apicole (GDSA 84), suivi par un vétérinaire<br />

sanitaire.<br />

Les Ag<strong>en</strong>ts Sanitaires Apicoles (16) sont chargés de la<br />

surveillance des ruchers dans le départem<strong>en</strong>t. Ils<br />

agiss<strong>en</strong>t comme cotractuels de l’Etat<br />

Ils ont égalem<strong>en</strong>t une mission d’information auprès des<br />

apiculteurs.<br />

Les résultats des visites sont transmises à la DDPP<br />

(Santé et protection animales)

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