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dossier de présentation - Theâtre du Lucernaire

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CONTACTS<br />

Relations presse / Relations publiques : Marion Sartori : 06 64 84 17 55/ m_sartori@hotmail.fr<br />

Compagnie Appellation Théâtre Contrôlée : Christian Huitorel : 06 61 66 08 77 / christian.huitorel@gmail.com<br />

4, boulevard <strong>de</strong>s Plants - 78860 Saint-Nom-la-Bretèche


Appellation Théâtre Contrôlée présente L’île <strong>de</strong>s esclaves - Création 2011<br />

THEÂTRE DU LUCERNAIRE<br />

53 rue Notre Dame <strong>de</strong>s Champs, 75006 Paris<br />

DU 8 JUIN AU 27 AOÛT 2011<br />

Du mardi au samedi à 21h30<br />

Les dimanches 12 et 19 juin à 15h00<br />

CONTACTS<br />

Relations presse / Relations publiques : Marion Sartori : 06 64 84 17 55 / m_sartori@hotmail.fr<br />

Compagnie Appellation Théâtre Contrôlée : Christian Huitorel : 06 61 66 08 77 / christian.huitorel@gmail.com<br />

4, boulevard <strong>de</strong>s Plants - 78860 Saint-Nom-la-Bretèche


Appellation Théâtre Contrôlée présente L’île <strong>de</strong>s esclaves - Création 2011<br />

LA PIÈCE<br />

Iphicrate et son esclave Arlequin ont été jetés par la tempête sur l’île <strong>de</strong>s Esclaves, île où se sont installés <strong>de</strong>s<br />

esclaves fugitifs d’Athènes révoltés contre leurs maîtres. Ces insulaires avaient pour loi <strong>de</strong> condamner à mort<br />

tous les maîtres qui abor<strong>de</strong>raient chez eux, mais ils se contentent désormais <strong>de</strong> les corriger en faisant d’eux<br />

<strong>de</strong>s esclaves et en les obligeant à prendre conscience <strong>de</strong> l’inhumanité <strong>de</strong> leur con<strong>du</strong>ite envers leurs inférieurs.<br />

Deux femmes rescapées <strong>du</strong> même naufrage, Euphrosine et son esclave Cléanthis, sont soumises au même<br />

traitement qu’Iphicrate et Arlequin. Les <strong>de</strong>ux esclaves, <strong>de</strong>venus libres et maîtres <strong>de</strong> leurs maîtres avec qui<br />

ils ont échangé leurs habits, décrivent pour Trivelin, représentant <strong>du</strong> gouvernement <strong>de</strong> l’île, le comportement<br />

injuste et tyrannique d’Euphrosine et Iphicrate. Ceux-ci doivent finir par avouer – premier pas<br />

vers leur réhabilitation- que ces portraits sont fidèles. Puis Arlequin et Cléanthis essaient <strong>de</strong> mener une<br />

conversation galante, trouvent ce jeu ridicule et préfèrent « tomber amoureux », lui d’Euphrosine, elle<br />

d’Iphicrate. Mais Euphrosine ne répond à la déclaration d’Arlequin que par un appel émouvant à sa compassion,<br />

ce qui le laisse muet, et Iphicrate, qu’il invite à aimer Cléanthis, lui reproche son ingratitu<strong>de</strong>. Arlequin,<br />

en raison <strong>de</strong> ce qu’il a lui-même souffert, pardonne à Iphicrate, lui rend son habit et son autorité,<br />

et convainc Cléanthis, encore plus vive dans ses accusations, d’agir avec sa maîtresse comme il l’a fait avec<br />

son maître. Trivelin, survenant au milieu <strong>de</strong> leurs embrassements <strong>de</strong> réconciliation et <strong>de</strong> leurs larmes,<br />

les félicite et leur annonce qu’ils vont pouvoir sans tar<strong>de</strong>r, puisqu’ils l’ont mérité, retourner à Athènes.<br />

Extrait <strong>de</strong> la préface <strong>de</strong> Henri Coulet à « L’île <strong>de</strong>s Esclaves »/ Folio classique n° 3398<br />

CONTACTS<br />

Relations presse / Relations publiques : Marion Sartori : 06 64 84 17 55/ m_sartori@hotmail.fr<br />

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Appellation Théâtre Contrôlée présente L’île <strong>de</strong>s esclaves - Création 2011<br />

L'AUTEUR<br />

MARIVAUX<br />

1688-1763<br />

Romancier - Dramaturge<br />

Il écrit une quarantaine <strong>de</strong> pièces (presque toutes sont <strong>de</strong>s comédies) qu’il fait jouer soit à la Comédie Italienne,<br />

soit à la Comédie Française.<br />

Il est reçu à l’Académie Française en 1743.<br />

Début <strong>du</strong> XVIIIème siècle, querelle <strong>de</strong>s Anciens et <strong>de</strong>s Mo<strong>de</strong>rnes.<br />

D’Alembert cite Marivaux dans l’éloge qu’il lui consacre en 1785 :<br />

« J’aime mieux être humblement assis sur le <strong>de</strong>rnier banc dans la petite troupe <strong>de</strong>s auteurs originaux<br />

qu’orgueilleusement placé à la première ligne dans le nombreux bétail <strong>de</strong>s singes littéraires ».<br />

Ces quelques mots <strong>de</strong> Marivaux le placent d’emblée dans le camp <strong>de</strong>s Mo<strong>de</strong>rnes.<br />

Ils dévoilent aussi la face inatten<strong>du</strong>e d’un homme que la fréquentation <strong>de</strong>s salons pourrait nous faire<br />

croire mondain et superficiel. Certes Marivaux connaît le succès, public (au théâtre) et privé (dans<br />

les cercles littéraires). Mais il subit aussi la critique : on lui reproche entre autres son style « trop<br />

léger », ses néologismes, son irrespect envers le classicisme, mais surtout l’unicité <strong>du</strong> thème <strong>de</strong> l’amour<br />

dans ses pièces et qui engendrerait leur monotonie. Marivaux encaisse ces reproches, mais lorsque<br />

il y répond, lui qui ne rend pas <strong>de</strong> comptes, donne une subtile leçon d’humanité à ses détracteurs :<br />

« On croit, dit-il, voir partout le même genre <strong>de</strong> style dans mes comédies, parce que le dialogue<br />

y est partout l’expression simple <strong>de</strong>s mouvements <strong>du</strong> cœur ; la vérité <strong>de</strong> cette expression<br />

fait croire que je n’ai qu’un même ton et qu’une même langue ; mais ce n’est pas moi que j’ai<br />

voulu copier, c’est la nature, et c’est peut-être parce que ce ton est naturel qu’il a paru singulier ».<br />

Tout est là : l’art <strong>de</strong> la stichomythie (dialogue serré) que pratique Marivaux au service<br />

<strong>de</strong>s sentiments et <strong>de</strong>s situations (amoureuses ou non), et aussi cette soif <strong>de</strong> toucher<br />

l’homme au plus profond <strong>de</strong> son être réel, au plus près <strong>de</strong> sa nature et au service <strong>de</strong> l’art.<br />

Plus tard, en 1836, Büchner écrira : « En toute chose je <strong>de</strong>man<strong>de</strong> <strong>de</strong> la vie, une possibilité d’existence, et alors ça<br />

va. Nous n’avons pas alors à nous <strong>de</strong>man<strong>de</strong>r si c’est beau ou si c’est laid. Le sentiment qu’on a créé quelque chose,<br />

quelque chose qui a <strong>de</strong> la vie est bien au <strong>de</strong>ssus <strong>de</strong> ces <strong>de</strong>ux notions, et c’est le seul critère en matière d’art ».(1)<br />

Marivaux échappe ainsi à la synthèse, s’amusant <strong>de</strong> la complexité <strong>de</strong>s sentiments, mélangeant les genres<br />

avec un malin plaisir (Fille ou garçon Chevalier ou princesse Maîtresse ou servante ), inventant<br />

une comédie nouvelle nourrie <strong>de</strong> la commedia <strong>de</strong>ll’arte et pourtant savamment écrite.<br />

Il entre dans le siècle <strong>de</strong>s Lumières, par la forme et par le fond. La forme, c’est une langue vive, à la fois châtiée<br />

et « culottée », se piquant <strong>de</strong> n’avoir pas <strong>de</strong> références. Le fond, c’est l’humanisme : un peu comme Dostoïevski,<br />

le « décor » l’intéresse peu. Ce qui le passionne ce sont les hommes et les rapports qu’ils entretiennent<br />

entre eux, avec ce projet d’inventer <strong>de</strong>s possibilités <strong>de</strong> vivre ensemble, <strong>de</strong> la meilleure façon qui soit.<br />

CONTACTS<br />

Relations presse / Relations publiques : Marion Sartori : 06 64 84 17 55 / m_sartori@hotmail.fr<br />

Compagnie Appellation Théâtre Contrôlée : Christian Huitorel : 06 61 66 08 77 / christian.huitorel@gmail.com<br />

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Appellation Théâtre Contrôlée présente L’île <strong>de</strong>s esclaves - Création 2011<br />

«Témoin en acteur d’une époque <strong>de</strong> transition, entre le Grand Siècle et les Lumières, entre les certitu<strong>de</strong>s<br />

<strong>de</strong> la foi et la mort <strong>de</strong> Dieu, il renouvelle les formes, s’interroge sur l’homme et la société, récuse tout<br />

dogmatisme, écarte tout système. Il ironise sur l’admiration fanatique <strong>du</strong> passé, mais ne se précipite pas pour<br />

autant vers un avenir dont nul ne sait <strong>de</strong> quoi il sera fait. Dangereux précurseur pour les défenseurs <strong>de</strong> la tradition,<br />

il paraît souvent un attardé aux yeux <strong>de</strong>s encyclopédistes. Il parle <strong>de</strong>s inquiétu<strong>de</strong>s <strong>de</strong> son temps avec<br />

légèreté, désamorce les violences <strong>de</strong> la vie amoureuse et <strong>de</strong> la société par le rire, ou <strong>du</strong> moins l’humour ». (2)<br />

Marivaux n’est ni un utopiste, ni un pré-révolutionnaire. Simplement, l’injustice, la maltraitance,<br />

l’ignorance l’indignent… Et il cherche <strong>de</strong>s solutions. Des solutions qu’il entrevoit<br />

dans cette quête <strong>du</strong> bonheur qui a cela <strong>de</strong> remarquable qu’elle est commune à tous les<br />

hommes. A tous les hommes <strong>de</strong> tous les temps : en cela rési<strong>de</strong> l’actualité formidable <strong>de</strong> la pièce.<br />

L’Ile <strong>de</strong>s Esclaves donne à voir au départ une situation bloquée entre maîtres et esclaves, où les uns comman<strong>de</strong>nt<br />

aux autres avec une espèce d’innocence perverse et où les autres se soumettent en accumulant les ressentiments.<br />

Marivaux, par l’artifice <strong>de</strong> la comédie, propose un jeu, une autre donne : inversons les rôles ! Le maître <strong>de</strong>vient<br />

l’esclave, l’esclave <strong>de</strong>vient le maître. Cette nouvelle situation dévoile très vite ses limites. Ce n’est pas étonnant, remplacer<br />

une situation invivable par la création en miroir d’une autre situation invivable ne peut être une solution<br />

pérenne non plus qu’acceptable. Mais le mérite <strong>de</strong> cet artifice est ailleurs : l’inversion <strong>de</strong>s rôles opère comme un<br />

révélateur <strong>de</strong> la nature <strong>de</strong>s hommes, comme un facteur <strong>de</strong> connaissance <strong>de</strong> soi. C’est pourquoi, contrairement à ce<br />

que certains ont cru voir, on ne se retrouve pas à la fin <strong>de</strong> l’Ile <strong>de</strong>s esclaves à la « case départ ». Il s’y <strong>de</strong>ssine une prise<br />

<strong>de</strong> conscience <strong>de</strong>s protagonistes qui fait, qu’à l’avenir, les maîtres seront moins cruels, plus attentifs à la condition<br />

<strong>de</strong>s esclaves, et que ceux-ci mettront <strong>de</strong> côté leurs rancoeurs… C’est toutefois ce que l’on est en droit d’espérer…<br />

Le propos <strong>de</strong> Marivaux, les exemples <strong>de</strong> vie qu’il nous donne, nous sont précieux. Le XVIIIème siècle<br />

a bouleversé le mon<strong>de</strong> occi<strong>de</strong>ntal en ouvrant ses portes à la raison et en la réconciliant avec<br />

la nature : « En fait <strong>de</strong> mouvements, la nature a le pour et le contre, il ne s’agit que <strong>de</strong> bien ajuster ». (3)<br />

Arlequin, Scène 1 : « Les hommes ne valent rien ».<br />

Arlequin, Scène 11 : « Nous sommes admirables…La paix est conclue, la vertu a arrangé tout cela ».<br />

Il y a certainement un bénéfice à la morale.<br />

Surtout lorsqu’elle émane d’un « honnête homme » qui disait « que pour être assez bon, il fallait l’être trop ».<br />

(1)Georg Büchner / LENZ<br />

(2)Michel Delon / Revue EUROPE – nov/déc. 1996<br />

(3)Marivaux / Le Spectateur français - 1721<br />

Christian Huitorel<br />

CONTACTS<br />

Relations presse / Relations publiques : Marion Sartori : 06 64 84 17 55/ m_sartori@hotmail.fr<br />

Compagnie Appellation Théâtre Contrôlée : Christian Huitorel : 06 61 66 08 77 / christian.huitorel@gmail.com<br />

4, boulevard <strong>de</strong>s Plants - 78860 Saint-Nom-la-Bretèche


Appellation Théâtre Contrôlée présente L’île <strong>de</strong>s esclaves - Création 2011<br />

Mise en scène :<br />

Christian Huitorel (Trivelin)<br />

L'ÉQUIPE ARTISTIQUE<br />

Il a joué entre autres avec Jean-Louis Barrault dans la Compagnie Renaud-Barrault, Jean-Louis Hourdin, Francis<br />

Huster, Guy Parigot, Jacques Rosny, Pierre Vielhescaze, Dominique Lurcel, Jean-Louis Heckel…<br />

Il dirige la compagnie « Appellation Théâtre Contrôlée ».Ses principales mises en scène sont « Décavé, le théâtre<br />

<strong>de</strong> Karl Valentin », « Léonce et Léna » <strong>de</strong> Georg Büchner, « Electre » d’Euripi<strong>de</strong>. Il a récemment mis en scène<br />

et interprété au Théâtre <strong>du</strong> <strong>Lucernaire</strong> à Paris « Le rêve d’un homme ridicule » <strong>de</strong> Dostoïevski et « l’Ours » <strong>de</strong><br />

Tchekhov.<br />

Avec :<br />

Mathias Casartelli (Iphicrate)<br />

Il a joué entre autres sous la direction <strong>de</strong> Jean-Paul Zennacker, Michel Dury, Pierre Vielhescaze, Maurice<br />

Audran, Jean Raymond Jacob, Jean-Pierre Savinaud… Et avec Christian Huitorel, dans « L’Ours » <strong>de</strong> Tchekhov et<br />

« Electre » d’Euripi<strong>de</strong>.<br />

Il participe également à <strong>de</strong>s spectacles <strong>de</strong> rue monumentaux comme « Transhumance l’heure <strong>du</strong> troupeau » ou<br />

« les trottoirs <strong>de</strong> Jo burg : mirages » avec la compagnie Oposito.<br />

Caroline Frossard (Euphrosine)<br />

Elle a débuté avec Alfred Lerenard dans la Fox compagnie puis avec Philippe Genty dans « Le concert incroyable<br />

». Elle a également joué avec Marthe Mercadier et Clau<strong>de</strong> Gensac dans « Le squat », mise en scène <strong>de</strong> Jean-<br />

Pierre Dravel, les Bobin’s, « La veuve rusée » <strong>de</strong> Goldoni, mise en scène <strong>de</strong> Vincent Viotti, « J’aime beaucoup ce<br />

que vous faites » <strong>de</strong> Carole Greep, mise en scène <strong>de</strong> Xavier Letourneur.<br />

Cédrick Lanoë (Arlequin)<br />

Au théâtre, il joue « Ahmed le subtil » (Alain badouin), « Haute surveillance » (Jean Genet)… Avant <strong>de</strong> rencontrer<br />

Maurice Bénichou qui le met en scène dans « Dom Juan » (Molière), puis dans « Knock » (Jules Romains)<br />

aux côtés <strong>de</strong> Fabrice Luchini. Il joue également dans « Variations sur le rire » (Pierre Trapet) au <strong>Lucernaire</strong>.<br />

Devant la caméra, il joue notamment sous la direction <strong>de</strong> Manuel Poirier dans « Le sang <strong>de</strong>s fraises », « La maison<br />

» ou encore « Le café <strong>du</strong> pont ».<br />

Nathalie Veneau (Cléanthis)<br />

Elle a joué entre autres dans « Ombre et lumière » <strong>de</strong> Dermot Bolger, mise en scène <strong>de</strong> Kazem Shahryari, « Le<br />

journal d’une femme <strong>de</strong> chambre » <strong>de</strong> Mirbeau, mise en scène <strong>de</strong> Pierre Vielhescaze, « Demain on se marie »,<br />

mise en scène <strong>de</strong> Vaouda Campos.<br />

Elle a aussi joué dans « Léonce et Léna » <strong>de</strong> Büchner, « L’Ours » <strong>de</strong> Tchekhov » et « Electre » d’Euripi<strong>de</strong>, mises en<br />

scène <strong>de</strong> Christian Huitorel.<br />

Création lumières:<br />

Noëlle Burr<br />

Assistante <strong>de</strong> Denis Llorca, Jean-Paul Zehnacker, Daniel Royan… Elle continue <strong>de</strong> l’être régulièrement pour Pierre Vielhescaze.<br />

Elle a créé les lumières <strong>de</strong> « DéCaVé - Le Théâtre <strong>de</strong> Karl Valentin », « Léonce et Léna », « L'Ours » et « Electre » (mises en scène<br />

Christian Huitorel).<br />

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Relations presse / Relations publiques : Marion Sartori : 06 64 84 17 55 / m_sartori@hotmail.fr<br />

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Appellation Théâtre Contrôlée présente L’île <strong>de</strong>s esclaves - Création 2011<br />

HISTORIQUE DE LA COMPAGNIE<br />

Direction artistique et mise en scène : Christian HUITOREL<br />

CRÉATIONS<br />

- 2000 : LE REVE D’UN HOMME RIDICULE <strong>de</strong> Fédor Dostoïevski Copro<strong>du</strong>ction : Cie ATC - Ville <strong>de</strong>s Mureaux.<br />

Soutien : Conseil général <strong>de</strong>s Yvelines<br />

- 2002 : DéCaVé – Le théâtre <strong>de</strong> KARL VALENTIN Copro<strong>du</strong>ction : Cie ATC - La Barbacane <strong>de</strong> Beynes.<br />

Soutien : Conseil général <strong>de</strong>s Yvelines<br />

- 2004 : LEONCE ET LENA <strong>de</strong> Georg Büchner Copro<strong>du</strong>ction : Cie ATC - TGP Saint-Cyr-l’Ecole - Théâtre <strong>de</strong><br />

Saint-Maur-<strong>de</strong>s-Fossés<br />

- 2007 : L’OURS <strong>de</strong> Anton Tchekhov Copro<strong>du</strong>ction : Cie ATC - TGP Saint-Cyr-l’Ecole - Théâtre Alphonse<br />

Dau<strong>de</strong>t Coignières. Soutien : Conseil général <strong>de</strong>s Yvelines.<br />

-2009 : ÉLECTRE d'Euripi<strong>de</strong> Copro<strong>du</strong>ction : Cie ATC - TGP Saint-Cyr-l’Ecole - Théâtre Alphonse Dau<strong>de</strong>t<br />

Coignières. Soutien : Conseil général <strong>de</strong>s Yvelines.<br />

FORMATION<br />

- Depuis 1999 : Atelier théâtre <strong>du</strong> Conseil Economique et Social <strong>de</strong> Paris. Création d’un spectacle tous les ans,<br />

Pinter – Brecht – Dario Fo - Grumber – Ribes – Molière – etc.<br />

- Nombreuses interventions en milieu scolaire, notamment à Conflans Ste Honorine, Saint-Cyr- l’Ecole,<br />

Quincy-sous-Sénart, Chanteloup-les-Vignes, dans le cadre d’ateliers, <strong>de</strong> classes A3 Théâtre (Lycée Renoir<br />

d'Asnières), <strong>de</strong> classes APAC (primaires, collèges, lycées).<br />

CONTACTS<br />

Relations presse / Relations publiques : Marion Sartori : 06 64 84 17 55/ m_sartori@hotmail.fr<br />

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