La programmation 2010 - Lists Indymedia
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DOSSIER DE PRESSE
Sommaire<br />
Communiqué de presse .........................................................................................................................<br />
Le Festival de film Résistances ..............................................................................................................<br />
Un festival, des résistances ..............................................................................................................<br />
Un festival, un collectif .......................................................................................................................<br />
1<br />
2<br />
2<br />
2<br />
Le Festival Résistances <strong>2010</strong> ..............................................................................................................<br />
Les thèmes .............................................................................................................................................<br />
Les films et débats ..............................................................................................................................<br />
> <strong>La</strong> <strong>programmation</strong> thématique .......................................................................................<br />
> <strong>La</strong> <strong>programmation</strong> Iran ....................................................................................................<br />
> <strong>La</strong> <strong>programmation</strong> « Ados »...........................................................................................<br />
> <strong>La</strong> <strong>programmation</strong> jeune public ....................................................................................<br />
Les réalisateurs ....................................................................................................................................<br />
> Les réalisateurs iraniens ..................................................................................................<br />
> Focus sur l’oeuvre de Marcel Trillat ..........................................................................<br />
3<br />
3<br />
4<br />
4<br />
8<br />
10<br />
11<br />
12<br />
12<br />
14<br />
Le déroulement du festival .....................................................................................................................<br />
Une journée à Résistances ..............................................................................................................<br />
Résistances dans la ville ....................................................................................................................<br />
Résistances « hors les murs » ..........................................................................................................<br />
16<br />
16<br />
17<br />
17<br />
Les informations pratiques .......................................................................................................................<br />
18<br />
Les partenaires ............................................................................................................................................<br />
19
1<br />
14ème édition du Festival Résistances<br />
Le Festival Résistances, festival international de cinéma engagé, aura lieu du 9 au 17 juillet<br />
<strong>2010</strong> à Foix en Ariège.<br />
Dans une société génératrice d’inégalités et créatrice de frontières, le Festival Résistances<br />
s’affirme comme un espace d’expression et de rencontres autour du 7ème art.<br />
Nous vous invitons à 9 jours de projections, de rencontres avec les réalisateurs et de débats<br />
autour de 4 thématiques :<br />
> H² Eau, mon amour<br />
> Le travail c’est la santé <br />
> Réinventer les luttes<br />
> Homme / femme, précis de recomposition<br />
A travers une sélection de 100 films de tous horizons, documentaires et fictions, récents ou<br />
inédits, mais aussi quelques perles cinématographiques d’hier, nous poserons les bases de<br />
plusieurs débats sur la notion de travail, d’aliénation et d’accomplissement, les nouvelles formes<br />
de luttes qui apparraissent, les conflits régionaux et internationaux autour de l’eau et de son<br />
utilisation.<br />
Le Festival Résistances c’est ...<br />
100 films<br />
30 réalisateurs présents<br />
4 thématiques<br />
8 débats<br />
8 apéro-concerts<br />
100 bénévoles<br />
Communiqué de presse
Le Festival de film Résistances<br />
2<br />
Un festival, des Résistances :<br />
Au cours des siècles, l’Ariège a été terre d’accueil pour les résistants. Qu’ils soient maquisards,<br />
protestants, «néo» ou cathares, ils ont nourri cette terre de leurs contestations et de leurs<br />
utopies. Et en 1997, c’est ici, au pied des Pyrénées que le festival a trouvé sa source.<br />
Le festival Résistances poursuit le chemin de ces aînés en proposant un lieu unique où se<br />
retrouvent cinéma et politique.<br />
Ces dernières années, les thèmes tels que «Murs et frontières», « <strong>La</strong> cité idéale », « <strong>La</strong>ngues et accents »,<br />
« Alternatives locales à l’économie mondiale », « Résistants ou terroristes », « Le pouvoir des<br />
religions », « Les services publics sont-ils solubles dans la mondialisation », « Au piège de<br />
la famille », « Voiture contre nature », « L’art d’ignorer les pauvres », « Dette coloniale » ou<br />
encore « Sport, opium du peuple » ont été les fils conducteurs entre des films qui témoignent<br />
des dysfonctionnements de nos sociétés contemporaines et proposent des alternatives.<br />
Un festival, un collectif :<br />
En accord avec les principes défendus dans sa <strong>programmation</strong>, le festival est depuis trois ans,<br />
une construction collective.<br />
L’association Regard Nomade qui a repris le flambeau en 2007, a mis en place un<br />
fonctionnement ouvert à toutes les bonnes volontés. Une quarantaine de bénévoles, festivaliers,<br />
anciens salariés du festival, adolescents et pour un tiers de professionnels de l’audiovisuel,<br />
préparent ainsi le festival pendant l’année.<br />
Du choix des thèmes à l’organisation en passant par la <strong>programmation</strong> avec 8 comités, tout<br />
est conçu sur un mode participatif. Festival militant et cinéphile, à l’image de son collectif,<br />
Résistances se veut un lieu où la culture fasse sens, où le cinéma nous ancre dans la réalité<br />
du monde qui nous entoure.<br />
Le festival résistances
Les thèmes <strong>2010</strong><br />
3<br />
L’édition <strong>2010</strong> du festival Résistances abordera 4 thèmatiques :<br />
> H² Eau, mon amour<br />
10 et 11 juillet<br />
L’EAU, un bien commun à l’humanité,...<br />
Ce besoin vital est aujourd’hui une marchandise dont l’accès et la distribution sont en grande<br />
partie confisqués par quelques entreprises multinationales. Derrière le mirage de l’eau courante,<br />
dont nous bénéficions ici, se cache aussi une diminution alarmante des réserves d’eau douce,<br />
due aux activités humaines.<br />
L’accès est à l’eau est une source de conflit millénaire mais, au XXIème siècle, la pénurie et<br />
la pollution donnent à cet enjeu une dimension géostratégique nouvelle qui génère tensions<br />
et conflits armés. <strong>La</strong> répartition de la ressource EAU et sa gestion revêt une dimension<br />
politique aussi bien au niveau local qu’international, en touchant à la santé, la biodiversité et<br />
l’alimentation. Comment se réapproprier ce bien commun vital et mettre en place un partage<br />
solidaire<br />
> Le travail c’est la santé <br />
12 et 13 juillet<br />
Travail : du latin tripalium, instrument de torture. Le monde du travail a-t-il vraiment changé <br />
Stress, flexibilité, insécurité, nouvelles méthodes de management engendrent une souffrance de<br />
plus en plus répandue. Entre accomplissement, nécessité, plaisir ou aliénation, la valeur du travail<br />
est interrogée à travers diverses expériences et analyses.<br />
> Réinventer les luttes<br />
14 et 15 juillet<br />
Les luttes: affrontement, contestation, soulèvement ou simple happening... s’inventent, multiples.<br />
A travers les films, fictions ou documentaires, d’hier ou d’aujourd’hui, d’ici et d’ailleurs, plus<br />
que le pourquoi, nous révisons l’expression des luttes. Si l’action collective engage l’homme<br />
dans une grande fête des idées, s’agit-il de ré-enchanter le monde pour neutraliser le cynisme<br />
Tous les moyens sont ils bons pour frapper les esprits Le film peut-il lui même devenir lutte<br />
> Homme / femme, précis de recomposition<br />
16 et 17 juillet<br />
Dérangées du genre, nos sociétés sont tiraillées depuis des décennies par des codes qu’elles<br />
ébranlent avec perplexité. Atomisation du couple et des carcans familiaux mais retour à une<br />
vie affective aseptisée, rejet mais normalisation des relations homosexuelles, affranchissement du<br />
transgenre et de la transsexualité mais déni de l’hermaphrodisme…<br />
Les curseurs se sont déplacés et nous interrogent encore et toujours sur la complexité<br />
des humains, sur la question d’un équilibre dans la sphère sociopolitique et intime et sur la<br />
reconnaissance d’un autre, différent et pourtant si proche.<br />
<strong>La</strong> <strong>programmation</strong> <strong>2010</strong> : Les thèmes
Les films : la <strong>programmation</strong> thématique<br />
4<br />
> H² Eau, mon amour<br />
DEBATS :<br />
Samedi 10 juillet - 17h30 - L’eau des Pyrénées, ça ne coule pas de source<br />
Dimanche 11 juillet - 17h30 - Des « ronds » dans l’eau<br />
Pour quelques grains d’or un documentaire de David Briffaud et<br />
Fabien Mazzocco, 2009, 52’, France<br />
À travers le portrait de deux agriculteurs, l’un, céréalier en<br />
Vendée en GAEC à 4 associés sur 500 ha dont 120 de maïs<br />
irrigué, l’autre en Charente-Maritime reconvertissant 140 ha en<br />
polyculture et élevage bio, ce film pose le problème de la politique<br />
agricole du «tout maïs» et de ses conséquences économiques et<br />
écologiques.<br />
<strong>La</strong> femme d’eau une fiction de Sugimori Hidenori<br />
2002, 115’, France<br />
Dans une petite ville du nord du Japon, Ryo, surnommée la «Femme<br />
d’eau» - la pluie accompagnant chaque moment important de sa<br />
vie - gère des bains publics avec son père. Lorsque ce dernier<br />
meurt accidentellement avec le fiancé de Ryo, la jeune fille devient<br />
solitaire, délaissant l’entreprise familiale. Après un pélerinage sur le<br />
Mont Fuji, elle rentre chez elle et rencontre Yusaku, un pyromane<br />
recherché par la police...<br />
Et aussi :<br />
Eau : service public à vendre un documentaire d’Hermann Lorenz<br />
2005, 58’, Allemagne<br />
L’eau, ressource vitale et bien commun de l’humanité. Avec le recul<br />
des premières privatisations de l’«or bleu» intervenues dans les années<br />
1990, sonne l’heure du bilan. A travers les exemples des villes<br />
allemandes de Kiel, Berlin et Hambourg, et avec en toile de fond les<br />
expériences anglaises, un même constat : des milliers d’emplois supprimés,<br />
des investissements en baisse, des prix à la hausse et des profits qui<br />
explosent. Et une question qui s’impose : la recherche du profit se faitelle<br />
au détriment de la qualité de l’eau <br />
Au centre de la terre, des puits et des hommes d’Ingrid Patetta, L’eau la terre et le paysan<br />
de Christian Rouaud, L’or bleu de Damien de Pierpont, Un monde sans eau de Udo Maurer,<br />
Drying up Palestine de Rima Essa et Peter Snowdon, L’eau des Pyrénées, un conflit pour le<br />
21ème siècle de Christophe de Prada...<br />
<strong>La</strong> <strong>programmation</strong> <strong>2010</strong> : les films
Le travail c’est la santé<br />
5<br />
DEBATS :<br />
Lundi 12 juillet - 17h30 - Le travail entre aliénation et accomplissement<br />
Mardi 13 juillet - 17h30 - Le travail pathogène, comment s’en sortir<br />
Les raisins de la colère une fiction de John Ford<br />
1940, 128’, USA<br />
<strong>La</strong> Grande Dépression sévit aux Etats-Unis et pousse les fermiers,<br />
chassés de leur exploitation, sur la route. Ils partent à travers<br />
le pays dans l’espoir de trouver du travail en Californie. C’est<br />
le début d’un périple éprouvant, de camps de réfugiés en<br />
bidonvilles de fortunes, dans une Amérique en proie à la misère<br />
et à l’oppression.<br />
<strong>La</strong> mise à mort du travail un documentaire de Jean Robert Viallet<br />
2009, 52’, France<br />
Cinquante ans après le sociologue Georges Friedmann, ce<br />
documentaire reconsidère l’impact social et psychologique du «<br />
travail en miettes ». Ni indemnités, ni plan social à justifier. Le départ<br />
reste discret, presque invisible. Et pourtant, les travailleurs précaires<br />
sont de plus en plus nombreux. Un salarié français sur cinq serait<br />
affilié à cette catégorie. Premières victimes de la réorganisation du<br />
travail, les précaires subissent la crise de plein fouet.<br />
Et aussi :<br />
Stupeur et tremblements une fiction d’Alain Corneau<br />
2003, 107’, France<br />
Amélie, une jeune femme belge, vient de terminer ses études<br />
universitaires. Sa connaissance parfaite du japonais lui permet de<br />
décrocher un contrat d’un an dans une prestigieuse entreprise<br />
de l’empire du soleil levant. Amélie va rapidement déchanter<br />
face à une culture qu’elle ne connaît pas. Ses initiatives sont<br />
régulièrement sujettes aux réprobations de ses supérieurs. Face à<br />
cet acharnement, la jeune femme se plie à leurs exigences. Jusqu’à<br />
être mutée dans les toilettes.<br />
Les Fagor et les Brandt d’Anne Argouse et Hugues Peyret, Il était une fois la salariat d’Anne<br />
Kunvari, André Gorz, les métamorphoses du travail de Marian Handwerker, Alter Egaux de<br />
Sandrine Dryvers, 100 000 cercueils, le scandale de l’amiante de José Bourgarel , J’ai très<br />
mal au travail de Jean-Michel Carré, Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés de<br />
Sophie Bruneau et Marc-Antoine Roudil, El empleo de Santagio «Bou» Grasso, Good man de<br />
Kim Dong Hee, Fair Play de , Les bouffeurs de fer de Shaheen Dill-riaz...<br />
<strong>La</strong> <strong>programmation</strong> <strong>2010</strong> : les films
Réinventer les luttes<br />
6<br />
DEBAT :<br />
Jeudi 15 juillet - 17h30 - Un nouvel art de lutter... Et après<br />
The Yes Men fix the world un documentaire de Chris Smith, Dan Ollman<br />
et Sarah Price, 2005, 87’, USA<br />
Les «Yes Men», un petit groupe d’activistes, créent un faux site internet<br />
affilié à l’Organisation Mondiale du Commerce. Leur ruse fonctionnant<br />
au-delà de leurs espérances, ils parviennent à intégrer les rangs de<br />
l’OMC, alors qu’ils sont politiquement opposés à la dite organisation. Se<br />
rendant de conférences internationales en conférences internationales,<br />
ils profitent alors de leur nouveau statut pour défendre leurs «points de<br />
vue» et égratigner les manières du libre-commerce mondial.<br />
<strong>La</strong> terre des hommes rouges une fiction de Marco Bechis<br />
2008, 106’, Italie-Brésil<br />
<strong>La</strong> région du Mato Grosso au Brésil, de nos jours.<br />
Après le suicide de l’un des siens, Nadio, chef d’une tribu Guarani-<br />
Kaiowa, décide de dresser un campement sur les terres des Blancs.<br />
Pour lui, comme pour le chaman, il s’agit de réparer une terrible<br />
injustice : récupérer les terres dont ils ont été spoliés autrefois...<br />
Malgré les menaces et les intimidations des propriétaires terriens,<br />
les Indiens décident de rester sur place pour reprendre leurs<br />
droits, coûte que coûte. Désormais, deux mondes se font face,<br />
l’affrontement semble inévitable...<br />
Et aussi :<br />
Les enfants de don quichotte un documentaire Ronon Denece<br />
2008, 75’, France<br />
Le 26 octobre 2006, Augustin Legrand et Pascal Oumaklouf, de<br />
simples citoyens, décident de vivre dans la rue, au plus proche<br />
des sans-abri afin de les fédérer et de les amener à exiger le<br />
respect de leurs droits fondamentaux. Véritable camp retranché, le<br />
Canal Saint-Martin fut pendant plusieurs mois le lieu d’une nouvelle<br />
résistance. Voici l’histoire de leur combat dont ce film est un<br />
prolongement, une arme et un outil.<br />
Dia de festa de Toni Venturi, Louise Michel de Gustave Kerven et Benoit Delepine, Manif de<br />
droite d’Arnaud Contreras, Radio Loraine coeur d’acier d’Isabelle Cadière, Classe de luttes<br />
du collectif Medvedkine, A bientôt j’espère de Chris Marker, A ciel ouvert de Inés Compan<br />
Pétition - la cour des plaignants de Zhao Liang, Ce qu’on a fait à Florennes : Genespotting<br />
du Collectif Les Films en compote...<br />
Le <strong>La</strong> <strong>programmation</strong> festival résistnaces <strong>2010</strong> : les films
Homme/femme, précis de recomposition<br />
7<br />
DEBATS :<br />
Vendredi 16 juillet - 17h30 - Hors-la-norme : trans, inter et les autres...<br />
Samedidi 17 juillet - 17h30 - « Le privé est public » : enjeux et luttes d’aujourd’hui<br />
XXY une fiction de Lucia Puenzo<br />
2008, 91’, France-Espagne-Argentine<br />
Alex, une adolescente de 15 ans, a un secret : elle est<br />
hermaphrodite. Peu après sa naissance, ses parents décident<br />
de quitter Buenos Aires pour s’installer sur la côte uruguayenne,<br />
dans une maison perdue dans les dunes. L’arrivée d’un couple<br />
d’amis de Buenos Aires, accompagnés de leur fils de 16 ans<br />
bouleverse le quotidien d’Alex.<br />
<strong>La</strong> domination masculine un documentaire de Patric Jean<br />
2009, 103’, France<br />
Peut-on croire qu’au XXIème siècle, des hommes exigent le retour<br />
aux valeurs ancestrales du patriarcat : les femmes à la cuisine et les<br />
hommes au pouvoir Peut-on imaginer que des jeunes femmes instruites<br />
recherchent un « compagnon dominant » Que penser d’hommes qui<br />
subissent une opération d’allongement du pénis, «comme on achète<br />
une grosse voiture » <br />
Si ces tendances peuvent de prime abord sembler marginales, le film<br />
nous démontre que nos attitudes collent rarement à nos discours.<br />
Et aussi :<br />
Le bel indifférent une fiction de Jacques Demy<br />
1957, 21’, France<br />
Une femme (Jeanne Allard) attend. Elle attend désespérément que son<br />
compagnon, le jeune Emile (Angelo Bellini) rentre à leur appartement.<br />
Elle reçoit des coups de fil, fait comme s’il était là mais ne pouvait<br />
répondre. Puis Emile rentre enfin. Il reste là, indifférent, comme si de<br />
rien n’était. <strong>La</strong> femme vide son sac, tente de garder son calme mais<br />
le perd peu à peu tandis que son amoureux reste muet et fait comme<br />
si elle n’était pas là. Un grand moment de solitude.<br />
Le labyrynthe des passions de Pedro Almodovar, LINDA & ALI, Deux mondes entre quatre murs<br />
de Lut Vandekeybus, Tu n’aimeras point de Haim Tabakman, <strong>La</strong> grande amoureuse de Martine<br />
Asselin, L’ordre des mots de Cynthia et Melissa Arra, Touentou Fille du feu de Patrick Profit,<br />
Quick money de Elisabeth Cosimi et Vincent Roux...<br />
<strong>La</strong> <strong>programmation</strong> <strong>2010</strong> : les films
Les films : la <strong>programmation</strong> Iran<br />
8<br />
Outre les thèmes, la <strong>programmation</strong> cinématographique se déclinera autour d’une zone<br />
géographique. Cette année, l’Iran sera à l’honneur avec un rendez-vous quotidien à 18h.<br />
Fictions ou documentaires, nous explorerons le cinéma engagé de ce continent.<br />
DEBAT :<br />
Mercredi 14 juillet - 17h30 - Cinéma et régime iranien<br />
Avec la participation de plusieurs réalisateurs iraniens ainsi que l’ancien député et ministre<br />
des affaires étrangères iranien, Ahmad Salamatian.<br />
Les murmures du vent une fiction de Shahram Alidi<br />
<strong>2010</strong>, 77’, Irak - Iran En présence du réalisateur<br />
Le secret de Baran une fiction de Majid majidi<br />
2001, 96’, Iran<br />
A Téhéran, Memar, un contremaître, emploie sur un chantier<br />
des travailleurs aux multiples origines comme des réfugiés<br />
afghans. <strong>La</strong>teef, un jeune ouvrier iranien, découvre bientôt le<br />
secret de son collègue Rahmat.<br />
Mam Baldar, l’oncle aux ailes, exerce depuis bien longtemps<br />
le métier de postier dans différents villages de montagne<br />
au Kurdistan Irakien. Mais il n’est pas un postier comme les<br />
autres puisqu’il transmet des sons et des paroles.<br />
Hors Jeu une fiction de Jafar Panahi<br />
2006, 88’, Iran<br />
Bassidji un documentaire de Mehran Tamadon<br />
2009, 115’, Iran En présence du réalisateur<br />
En Iran, les femmes aussi aiment le foot mais elles ne sont pas<br />
autorisées à entrer dans les stades. Pourtant, une jeune fille refuse<br />
d’abandonner. Elle use de toutes les techniques possibles pour voir<br />
le match, malgré tout.<br />
Dans un désert, sur une colline, des hommes, des femmes en<br />
tchador et des enfants déambulent dans un vaste “musée” en<br />
plein air dressé en mémoire des martyrs de la guerre Iran-Irak.<br />
Pendant près de trois ans, j’ai choisi de pénétrer au coeur<br />
du monde des défenseurs les plus extrêmes de la République<br />
islamique d’Iran : les bassidjis.<br />
<strong>La</strong> <strong>programmation</strong> <strong>2010</strong> : les films
Les chats persans un docu-fiction de Bahman Ghobadi<br />
2009, 106’, Iran<br />
9<br />
A leur sortie de prison, une jeune femme et un jeune homme<br />
musiciens décident de monter un groupe. Ils parcourent<br />
Téhéran à la rencontre d’autres musiciens underground et<br />
tentent de les convaincre de quitter l’Iran. Ils rêvent de sortir<br />
de la clandestinité et de jouer en Europe. Mais que faire<br />
sans argent et sans passeport<br />
Les tortues volent aussi une fiction de Bahman Ghobadi<br />
2003, 95’, Iran-Irak<br />
Dans un village du Kurdistan irakien, à la frontière de l’Iran<br />
et la Turquie, les habitants cherchent activement une antenne<br />
parabolique pour capter des nouvelles par satellite, car<br />
nous sommes à la veille de l’attaque des Américains en<br />
Irak.<br />
Juste une femme un documentaire de Mithra Farahani<br />
2002, 26’, Iran<br />
Tabous un documentaire de Mithra Farahani<br />
2004, 70’, Iran<br />
Half moon une fiction de Bahman Ghobadi<br />
2006, 88’, Iran<br />
Mamo est un vieux musicien kurde de grande renommée qui<br />
vit au Kurdistan iranien. Depuis 35 ans, date de la prise<br />
de pouvoir par Saddam Hussein, il n’a pas eu le droit de<br />
donner de concert au Kurdistan irakien. A la chute du régime,<br />
l’interdiction est levée.<br />
Morvarid devient une femme en 1999. En octobre 2000, elle vit<br />
sa féminité cachée derrière les 4 murs de son appartement. Pour<br />
la première fois, elle est couverte d’un chador et est prête à sortir<br />
en tant que femme. Le film suit sa métamorphose.<br />
Comment, dans la société iranienne contemporaine, l’amour et la<br />
sexualité se faufilent au travers des interdits de la tradition et de<br />
la religion <br />
<strong>La</strong> <strong>programmation</strong> <strong>2010</strong> : les films
10<br />
Les films : la <strong>programmation</strong> « Ados »<br />
<strong>La</strong> vague une fiction de Dennis Gansel<br />
2008, 108’, Allemagne<br />
En Allemagne, aujourd’hui. Dans le cadre d’un atelier, un<br />
professeur de lycée propose à ses élèves une expérience<br />
visant à leur expliquer le fonctionnement d’un régime<br />
totalitaire. Commence alors un jeu de rôle grandeur<br />
nature, dont les conséquences vont s’avérer tragiques.<br />
The edukators une fiction de Hans Weingartner<br />
2003 , 127’, Allemagne<br />
Jan, Peter et Jule sont trois jeunes en pleine rebellion et<br />
unis par leur volonté de changer l’état du monde. <strong>La</strong> nuit,<br />
Jan et Peter forment « The Edukators « , de mystérieux<br />
activistes qui s’infiltrent dans de riches villas pour avertir<br />
leurs propriétaires que «les années de vaches grasses<br />
sont révolues». Tout se complique lorsque Jule, la petite<br />
amie de Peter, tombe amoureuse de Jan et les entraine<br />
accidentellement dans un kidnapping.<br />
<strong>La</strong> <strong>programmation</strong> <strong>2010</strong> : les films
Les films : la <strong>programmation</strong> jeune public<br />
11<br />
FESTIVAL RESISTANCES<br />
PROGRAMME JEUNE PUBLIC<br />
Du lundi 12 au vendredi 16 juillet <strong>2010</strong> à 10h,<br />
le Festival Résistances propose des projections et des animations pour les enfants<br />
A partir de 7 ans - 2h00<br />
A partir de 6 ans - 1h30<br />
A partir de 8 ans - 2h00<br />
Lundi 12 Juillet<br />
1 film de fiction<br />
> The Kid<br />
de Charlie Chaplin<br />
1921 - USA - 50’<br />
Charlot recueille malgré lui<br />
un bébé abandonné par sa<br />
mère. Quelques années plus<br />
tard, le petit garçon et le<br />
vagabond font équipe pour<br />
gagner leur vie en cassant<br />
puis réparant les vitres du<br />
quartier.<br />
+ activité : Grand jeu<br />
en partenariat avec la<br />
bibliothèque de Foix<br />
Mardi 13 Juillet<br />
1 film d’animation<br />
> <strong>La</strong> Prophétie des<br />
grenouilles de Jacques-<br />
Rémy Girerd - France -<br />
2003 - 90’<br />
Face à un nouveau déluge<br />
qui s’abat sur la Terre,<br />
les hommes et les animaux<br />
s’unissent, et les grenouilles<br />
prennent la parole...<br />
+ activité : A notre<br />
tour faisons l’expérience de<br />
la coopération autour du<br />
jeu. En partenariat avec la<br />
ludothèque intercommunale<br />
et l’association Ludicopains<br />
A partir de 5 ans - 2h15<br />
Mercredi 14 Juillet<br />
4 courts métrages<br />
> Contes Persans<br />
2004 - Iran - 47’<br />
- Le plus long voyage du<br />
monde - 2000 - 10’ -<br />
dessins sur cellulos<br />
- <strong>La</strong> Pomme - 2001 - 14’ -<br />
peinture à l’huile sur verre<br />
- Le Retour - 1987 -16’ -<br />
dessins sur cellulos<br />
- <strong>La</strong> Vache et le Fermier<br />
2003 - 6’ - peinture à<br />
l’huile sur verre<br />
+ activité : atelier de<br />
calligraphie perse<br />
Jeudi 15 Juillet<br />
6 courts métrages<br />
> <strong>La</strong> résidence<br />
- Le trop petit prince<br />
Lorsque le soleil se lève,<br />
un petit homme maniaque<br />
s’évertue à nettoyer les<br />
tâches du soleil.<br />
- Circuit marine<br />
- Au bout du monde<br />
- Le moine et le poisson<br />
- Le chat d’appartement<br />
- <strong>La</strong> grande migration<br />
+ activité : les enfants<br />
seront les metteurs en scène<br />
et animeront des univers<br />
peuplés de jouets<br />
A partir de 3 ans - 1h30<br />
Vendredi 16 Juillet<br />
2 courts métrages documentaires<br />
> Surya de Mathieu <strong>La</strong>baye<br />
2007 - 21’<br />
Un témoignage animé de<br />
5 immigrés venus du monde<br />
entier.<br />
> Warda de L.M Colon et<br />
D. Hermans - 5’- 2008<br />
Le petit chaperon rouge<br />
palestinien.<br />
+ Suivi d’une discussion<br />
autour des films<br />
+ activité : démonstration<br />
de techniques d’animation par<br />
l’association Cumulo Nimbus<br />
Tous les jours, de 10h à 18h, un accueil est proposé pour les enfants de 3 à 10 ans.<br />
Pendant que vos enfants se divertissent, venez découvrir la <strong>programmation</strong> adulte.<br />
Lieu : L’Estive, 20 avenue du Général De Gaulle - Infos / Réservations : festival.resistances@orange.fr - 05 61 65 44 23<br />
Tarifs : 4¤ la place ou 30¤ le carnet de 10 places - Programme complet : http://festival-resistances.fr<br />
<strong>La</strong> <strong>programmation</strong> <strong>2010</strong> : les films
Les réalisateurs inivités<br />
12<br />
Les réalisateurs iraniens à l’honneur<br />
> Shahram Alidi<br />
Né en 1971 à Sanandaj au Kurdistan Iranien, il s’intéresse à<br />
l’écriture et au théâtre, il étudie la peinture et le dessin à la faculté<br />
des Beaux Arts de l’Université de Téhéran. Il continue ses études<br />
à la faculté du cinéma à l’Université de « Honar » à Téhéran.<br />
Filmographie :<br />
2000 : Sherko Bekas (documentaire - 30’)<br />
2002 : The last uncounted village (fiction - 15’)<br />
2003 : Button (fiction - 20’)<br />
2005 : The breath (documentaire - 20’)<br />
2006 : Mountains of Tehran (documentaire – 20’)<br />
2009 : Whisper with the Wind (fiction - 77’)<br />
> Mitra Farahani<br />
Née en 1975 à Téhéran en Iran, Mitra est une peintre et cinéaste iranienne.<br />
Elle produit un premier documentaire qui obtient un important succès dans<br />
plusieurs festivals internationaux intitulé Juste une femme qui montre le visage<br />
d’une transsexuelle MTF à Téhéran. En 2004 elle réalise un long métrage<br />
documentaire sur l’amour et la sexualité en Iran Tabous. En 2009, Mitra<br />
Farahani a été arrêtée en arrivant à l’aéroport de Téhéran avant d’être<br />
remise en liberté sous caution.<br />
Filmographie :<br />
2001 : Juste une femme (documentaire - 26’)<br />
2004 : Tabous (Zohre & Manouchehr) (documentaire - 70’)<br />
2006 : Le temps suspendu (portrait documentaire)<br />
<strong>La</strong> <strong>programmation</strong> <strong>2010</strong> : les réalisateurs
Mehran Tamadon<br />
13<br />
Mehran Tamadon est né en 1972. Il est diplômé de l’école d’architecture<br />
de Paris <strong>La</strong> Villette. Il travaille dans l’architecture puis la scénographie et<br />
publie deux essais.<br />
Filmographie :<br />
2004 : Mères de martyrs (fiction)<br />
2009 : Bassidji (fiction - 115’)<br />
> Bahman Ghobadi<br />
Bahman Ghobadi commence dans le monde du cinéma par la réalisation d’<br />
une dizaine de courts métrages entre 1995 et 1999. Ses efforts seront<br />
récompensés par de nombreux prix dans des festivals internationaux, dont<br />
le prix spécial du jury du festival de Clermont-Ferrand, pour Vivre dans le<br />
brouillard.<br />
En 1999, son premier film Un temps pour l’ivresse des chevaux obtient la<br />
« Caméra d’Or » au Festival de Cannes 2000.<br />
Filmographie :<br />
2000 : Un temps pour l’ivresse des chevaux (fiction - 80’)<br />
2003 : Les chants du pays de ma mère (fiction - 96’)<br />
2005 : Les tortues volent aussi (fiction - 95’)<br />
2007 : Half Moon (fiction - 107’)<br />
2009 : Les Chats persans (fiction - 101’)<br />
<strong>La</strong> <strong>programmation</strong> <strong>2010</strong> : les réalisateurs
Focus sur l’oeuvre de Marcel Trillat<br />
14<br />
Faire le lien entre deux thèmes comme « Le travail, c’est la santé! » et «Réinventer les<br />
luttes » rien de plus simple avec les films de Marcel Trillat, journaliste, réalisateur de films<br />
documentaires et auteur français.<br />
Nous avons ainsi programmé une journée spéciale Trillat, durant laquelle Marcel Trillat nous<br />
fera l’honneur d’être présent pour présenter plusieurs de ses films.<br />
Biographie :<br />
Né en 1940 en Isère, Marcel Trillat devient journaliste à l’ORTF en 1965<br />
en collaborant au magazine Cinq colonnes à la Une.<br />
Il entre à Antenne 2 en 1981, dont il est directeur adjoint de l’information<br />
en 1986. Il est administrateur de France Télévisions1 de 2001 à son<br />
départ en retraite en 2006.<br />
A la fin de sa carrière à France 2 la direction de la chaîne lui céda la réalisation de trois<br />
documentaires, tous consacrés à la classe ouvrière : Trois cents jours de colère, Les Prolos<br />
et Femmes précaires.<br />
Filmographie :<br />
1966 : Une petite fille de sept ans (Reportage - 15’ - co-réalisé avec Paul Renty)<br />
1967 : Ce Jour-là (Reportage - 27’ - co-réalisé avec Paul Seban et Jacques Krier)<br />
1967 : 1er mai à Saint-Nazaire (Reportage - 30’ - co-réalisé avec Hubert Knapp)<br />
1970 : Étranges Étrangers (Documentaire - 60’ - co-réalisé avec Frédéric Variot)<br />
1975-1977 : Guerre du peuple en Angola et A Luta continua (Documentaire - 45’<br />
et 15’ - co-réalisé avec Bruno Muel et Antoine Bonfanti)<br />
1988 : Les Enfants de la dalle (Documentaire - 52’)<br />
1994-1995 : Travailleurs Fantômes (Documentaire - 52’)<br />
2002 : 300 jours de colère (Documentaire - 92’)<br />
2002 : Les Prolos (Documentaire - 92’ - avec la collaboration de Maurice Failevic)<br />
2005 : Femmes précaires (Documentaire - 81’)<br />
2007 : Silence dans la vallée (Documentaire - 85’)<br />
<strong>2010</strong> : L’atlantide (<strong>2010</strong> - Documentaire - 2 x 52’)<br />
<strong>La</strong> <strong>programmation</strong> <strong>2010</strong> : les réalisateurs
Les films sélectionnés pour l’édition <strong>2010</strong> :<br />
15<br />
300 jours de colère (2003 – documentaire - 92’)<br />
En juin 2001, les 123 salariés d’une petite entreprise lilloise débutaient une lutte pour obtenir<br />
un véritable plan social. Marcel Trillat a suivi pendant neuf mois cette petite foule sentimentale<br />
et révoltée qui refusait de capituler…<br />
Les Prolos (2002 – documentaire - 92’)<br />
Qui sont les ouvriers aujourd’hui Quelle est leur condition, quelles sont leurs aspirations, leur<br />
conscience d’eux-mêmes et de leur force ou de leur vulnérabilité… Voici quelques-unes des<br />
questions posées par « Les Prolos », promenade subjective de Marcel Trillat dans la France<br />
des usines.<br />
1er mai à Saint-Nazaire (1967 – Documentaire – 26’)<br />
Pendant deux mois, les chantiers de l’Atlantique ont poursuivi une grève grâce au soutien sans<br />
faille des commerçants et paysans. Ce 1er mai, tous les syndicats appellent au rassemblement<br />
pour la victoire. Une production ORTF censurée.<br />
L’atlantide (<strong>2010</strong> - Documentaire - 2 x 52’)<br />
AVANT-PREMIERE<br />
Ils étaient courageux, sectaires, dévoués, généreux, naïfs, d’une bonne foi inébranlable, d’une<br />
mauvaise foi désarmante. C’était les communistes, les cocos, les communards, les bolchos, les<br />
rouges. Adorés ou haïs, ils étaient incontournables. Pourtant, ils ont été en 20 ans à peine,<br />
balayés par le vent de l’histoire. Ce gigantesque fiasco, ce désastre dont les communistes<br />
et surtout leurs dirigeants sont en partie responsables, hantera longtemps encore la société<br />
française. Le moment est sans doute venu de faire le bilan de cette aventure humaine qui<br />
traverse le 20e siècle.<br />
<strong>La</strong> <strong>programmation</strong> <strong>2010</strong> : les réalisateurs
Une journée à Résistances<br />
16<br />
10h Café-ciné<br />
Tous les matins sous le chapiteau, rendez-vous avec un réalisateur, pour un moment d’échanges<br />
privilégiés autour de son parcours et du regard qu’il porte sur le monde.<br />
10h Début des projections<br />
Une <strong>programmation</strong> d’une quinzaine de films et documentaires par jour.<br />
10h Programmation jeune public<br />
Du 6 au 10 juillet, tous les matins, le festival propose une <strong>programmation</strong> jeune public composée<br />
de films et d’activités d’éducation à l’image.<br />
11h Conférence de presse<br />
Les conférences de presse sont ouvertes à tous : professionnels, public...Elles ont lieu en<br />
présence des invités : auteurs, intervenants-débats, producteurs…<br />
12h Forum de Radio Transparence<br />
Une émission en direct et en public avec des réalisateurs et intervenants qui permet d’approfondir<br />
la discussion sur un film ou sur la thématique de la journée.<br />
17h30 Débat<br />
Un débat est organisé pour chaque thème, pendant lequel se mêlent interventions et réflexion<br />
collective.<br />
18h Projection « Iran »<br />
Tous les jours à 18h, sera projeté un film asiatique.<br />
19h Apéro-concert<br />
Sous le chapiteau de cirque, une scène accueille chaque soir un groupe de musique<br />
différent.<br />
21h ou 21h30 Projection « hors les murs »<br />
Le festival Résistances dépasse les frontières de la ville de Foix pour proposer aux festivaliers<br />
des projections dans les villages de l’Ariège.<br />
22h30 Plein air<br />
A la tombée de la nuit, le festival prend ses quartiers dans différents lieux de la ville de Foix<br />
comme la Halle Saint Volusien, la Cité Pierre Faur ou le quartier <strong>La</strong>barre pour une séance de<br />
cinéma de plein air gratuite et ouverte à tous.<br />
> Sur place :<br />
Accueil éducatif gratuit de 10h à 18h, pour les enfants de 3 à 10 ans,<br />
par les animateurs des Francas du pays de Foix<br />
Accès libre à 3 postes de visionnage individuels pour voir ou revoir les films<br />
proposés lors du festival ou bien encore pour découvrir une sélection Off<br />
Village associatif, restauration et buvette avec produits bio et locaux<br />
Le déroulement du festival
Résistances dans la ville<br />
17<br />
- Sur le parvis de l’Estive<br />
Un chapiteau de cirque de 12x14m, installé sur la pelouse de<br />
l’Estive accueillera les visiteurs du festival. Il abritera dans la<br />
journée une buvette et un lieu de détente, puis tous les soirs un<br />
apéro-concert ainsi que le concert de clôture.<br />
Un chapiteau rectangulaire de 16m X 3,50m, abrite d’une part, des stands associatifs et<br />
d’autre part, l’accueil éducatif des Francas.<br />
Des stands de commerçants s’installeront sur le parvis.<br />
- Les plein-airs dans la ville<br />
Les jeunes des quartiers du Courbet et du Capitany (quartiers de Foix) souhaitent à nouveau<br />
organiser des projections dans leur quartier. Les autres plein-airs se dérouleront dans la vieille<br />
ville de Foix.<br />
Résistances « Hors les murs »<br />
Le festival proposera de mettre en place des projections en<br />
plein-air dans différents quartiers de la ville à la demande<br />
de ses habitants ou en lien avec des associations. Ainsi nous<br />
mettrons en place le 10 juillet au soir une projection plein-air<br />
sur le thème de l’eau au stade de Foix en partenariat avec<br />
le comité d’organisation du «Championnat mondial junior de<br />
Canoë-kayak».<br />
Le Festival continuera de se déplacer dans tout le département à l’invitation de ses partenaires,<br />
qui travaillent sur la diffusion cinématographique tout au long de l’année. Le Réseau Ariège<br />
Image, Ax Animation, Ciné 9, Le Casino de <strong>La</strong>velanet, Troc culture permettent ainsi de proposer<br />
à un large public la <strong>programmation</strong> du festival.<br />
Des projections-débats seront donc organisées chaque soir du festival à Betchat, Ax-Les-<br />
Thermes, Bonac-Irazein ou encore <strong>La</strong>velanet.<br />
Le déroulement du festival
Les infos pratiques<br />
18<br />
> Dates :<br />
Festival Résistances du 9 au 17 juillet <strong>2010</strong><br />
> Lieu :<br />
L’Estive 20 avenue du Général De Gaulle<br />
09000 Foix<br />
> Tarifs :<br />
<strong>La</strong> place : 4€<br />
Le carnet de 10 places : 30€<br />
Le pass adultes : 50€<br />
Le pass - de 18 ans : 10€<br />
> Accès :<br />
Par train, ligne SNCF Paris – <strong>La</strong> Tour de Carol Par la route, sur l’axe Barcelone – Toulouse<br />
Par l’autoroute 49. A 1 heure de Toulouse Aéroport Toulouse-Blagnac<br />
> Plan du festival dans la ville :<br />
N 20<br />
L’Ariège<br />
N 20<br />
L’Ariège<br />
Gendarmerie<br />
P<br />
L’Estive<br />
Cimetière<br />
> Contact :<br />
Place<br />
Saint<br />
Volusien<br />
Halle aux<br />
Grains<br />
Alice Caron<br />
24 avenue du Général De Gaulle, 09000 Foix<br />
presse@festival-resistances.fr<br />
05 61 65 44 23<br />
P<br />
P<br />
<strong>La</strong> poste<br />
P<br />
Piscine<br />
Les infos pratiques
Les financiers<br />
19<br />
Le festival reçoit le soutien de :<br />
Les partenaires<br />
<strong>La</strong> scène Nationale de Foix et d’Ariège<br />
Ecole Supérieur des Arts Visuels<br />
Institut National de l’Audiovisuel<br />
Ciné 9<br />
Service jeunesse de la ville de Foix<br />
<strong>La</strong> Trame<br />
Lycée des Arènes, Toulouse<br />
Lycée Gabriel fauré, Foix<br />
<strong>La</strong> bibliothèque de Foix<br />
Les partenaires presse<br />
Les partenaires du festival