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Considéré et traitée comme une criminelle par des psychiatres

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<strong>Considéré</strong>e <strong>et</strong> <strong>traitée</strong> <strong>comme</strong> <strong>une</strong> <strong>criminelle</strong> <strong>par</strong> <strong>des</strong> <strong>psychiatres</strong> | JUSTICE & MEDEC...<br />

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Commentaires<br />

récents<br />

• MRD dans Vaccin<br />

anti-grippe <strong>et</strong><br />

Tamiflu: le Dr<br />

Marc Girard<br />

médecin expert<br />

confirme leur<br />

toxicité pour <strong>une</strong><br />

efficacité fort peu<br />

probable<br />

• MRD dans Vaccin<br />

anti-grippe <strong>et</strong><br />

Tamiflu: le Dr<br />

Marc Girard<br />

médecin expert<br />

confirme leur<br />

toxicité pour <strong>une</strong><br />

efficacité fort peu<br />

probable<br />

• admin dans<br />

H1N1: les eff<strong>et</strong>s<br />

secondaires du<br />

Tamiflu<br />

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qui lui sont posées<br />

<strong>Considéré</strong>e <strong>et</strong> <strong>traitée</strong> <strong>comme</strong> <strong>une</strong><br />

<strong>criminelle</strong> <strong>par</strong> <strong>des</strong> <strong>psychiatres</strong><br />

Samedi, août 29, 2009<br />

By MRD


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Dés l’incarcération en avril 2004, à Gradignan(33), je déposerais <strong>des</strong> plaintes. 3<br />

semaines après, je recevrais l’enveloppe toujours ouverte avec toutes mes plaintes,<br />

ce qui est illégal en France.<br />

Toutes les plaintes ont été classées.<br />

Par la suite, de temps en temps je verrais Monsieur Dominique DANDELOT,<br />

psychiatre à la maison d’Arrêt <strong>et</strong> l’hôpital de Charles Perrens (33). Il dira qu’il a<br />

été en Suisse. Nos rencontres dureront peu de temps à chaque fois, <strong>et</strong> je refuserais<br />

<strong>par</strong>fois de le rencontrer car il me dira souvent :<br />

« Vous êtes mal Madame, je vous vois au plus mal. Vous êtes dangereuse, vous nous<br />

faites peur !!!<br />

Il sourira lorsque je <strong>par</strong>lerais de pédophilie, cela ne l’intéresse pas, le viol n’existe pas <strong>et</strong><br />

les symptômes qu’avait mon fils non plus, de ne plus avoir de nouvelles de mon fils non<br />

plus.<br />

Il prendra plaisir à me <strong>par</strong>ler de montre que je n’avais plus. Il me trouvera négligée. Je<br />

me lave tous les jours <strong>et</strong> j’ai peu de vêtement, mais qui sont propres. Je me coupe la<br />

frange avec un rasoir Bic <strong>et</strong> je ne peux me teindre les cheveux. Je n’ai qu’<strong>une</strong> paire de<br />

chaussure d’hivers, en cuir usée, dont les semelles se sont décollées.<br />

Un jour, je lui dirais : « Monsieur soit vous êtes con, soit vous êtes bête. Je préfère la<br />

première solution, car la connerie est passagère. Mais la bêtise amène la méchanc<strong>et</strong>é, le<br />

mépris de l’individu, la haine, pas celle qui amène de l’amour, celle qui est vicieuse,<br />

pernicieuse, perverse <strong>et</strong> qui pousse à l’assassinat psychologique, physique <strong>et</strong> financier. »<br />

Propos rapporté <strong>par</strong> écrit au Procureur de la République (Maison d’Arrêt 2004).<br />

Monsieur Dominique DANDELOT psychiatre, me poussera au suicide. D’un vieux teeshirt,<br />

je fabriquerais dans les toil<strong>et</strong>tes, <strong>une</strong> corde tressée, pour me pendre. Dans un état<br />

second, <strong>par</strong> <strong>des</strong> chocs psychologiques, je la m<strong>et</strong>trais autour du cou, accrochée au support<br />

de la télévision dans les toil<strong>et</strong>tes, mais l’image de mon fils, m’ap<strong>par</strong>aîtra <strong>et</strong> je ne


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re<strong>comme</strong>ncerais plus. Des surveillantes me diront qu’il n’est pas bien. Je ne suis pas<br />

dangereuse <strong>et</strong> polie.<br />

Par le manque de traitement pour mon arthrose, il m’arrive de trembler de douleur <strong>et</strong> de<br />

ne plus pouvoir <strong>par</strong>ler<br />

Maître Jean-Jacques Roorick, ami de mon beau-frère <strong>et</strong> maître Nazeri, du même cabin<strong>et</strong><br />

viendront me proposer de me défendre. Ils viennent à la demande de ma famille <strong>et</strong> me<br />

disent que c’est ma mère qui paye.<br />

Je les refuse, ils insistent en disant que c’est pour m’éviter l’internement. J’accepte sans<br />

confiance.<br />

La première audience ne sera pas en huit clos <strong>et</strong> il n’y avait que <strong>des</strong> femmes dans la salle.<br />

L’avocat ne me défendra pas. Elle ira vers (le père), lui m<strong>et</strong>tra la main sur<br />

l’épaule <strong>et</strong> lui dira: « Elle ne changera pas d’avis » Elle me dira tout doucement: « Je sais<br />

votre famille est dedans, ne <strong>par</strong>lez pas du père dans votre cellule ».<br />

Toutes les autres seront en huit clos, sans que l’on m’en avertisse, <strong>une</strong> fois avec la salle<br />

remplie d’avocates <strong>et</strong> <strong>une</strong> fois avec la salle remplie d’avocats.Je perdrais tout, je me<br />

ferais insulter. Je verrais <strong>des</strong> magistrats suffisants, pédants.<br />

A chaque fois, je resterais longtemps dans <strong>une</strong> cellule salle, qui sent mauvais ou l’odeur<br />

vous prend à la gorge <strong>et</strong> à la tête, <strong>et</strong> qu’il faudrait de temps en temps n<strong>et</strong>toyer au karcher.<br />

Palais de Justice de Bordeaux.<br />

18 mois de prison (pire que <strong>des</strong> criminels ou très grands délinquants) dont 9 avec sursis,<br />

3 ans de mise à l’épreuve avec injonction de soins <strong>et</strong> interdiction de quitter le territoire<br />

français, interdiction d’approcher mon fils (janvier 2008, fin du dossier).<br />

A <strong>une</strong> autre audience, un magistrat dira : « Vous sortez dans quelques heures ou<br />

quelques jours ». J’ai attendu, pré<strong>par</strong>é mes affaires dans la cellule, <strong>et</strong> je suis restée. De<br />

l’espoir <strong>et</strong> je tombe à chaque fois un échelon plus bas.<br />

La Demande de pourvoi en Cassation, perdu. Janvier 2008, procédure éteinte.<br />

Tout ce que j’avais a été vendu aux enchères en 2003, les jou<strong>et</strong>s de mon fils aussi.<br />

Impossible d’avoir les documents.<br />

9 mois de prison ferme, au cours <strong>des</strong>quels je ne prendrais aucun anxiolytique ou<br />

antidépresseur.9 mois ou pour récupérer, je dormirais d’un sommeil ré<strong>par</strong>ateur, car<br />

<strong>comme</strong> je le disais au psychiatre Monsieur Dominique Dandelot, chaque chose en son<br />

temps, un problème après l’autre. Il me dira en souriant: « Juridiquement »….<br />

9 mois que je n’ai pas vu mon fils, mais je lui écris. Il aura passé 1 mois à la DDASS, car<br />

son père n’en voulait pas, ni la famille. La DDASS, qui l’a obligé contre sa volonté à<br />

téléphoner à son père <strong>et</strong> lui faire aimer alors qu’il dénonce <strong>et</strong> me demande.<br />

9 mois ou <strong>par</strong>fois j’entendrais les cris insupportables de détenues.<br />

Une personne me dira qu’il y avait micro <strong>et</strong> caméra en cellule, alors, seule, je <strong>par</strong>lerais <strong>et</strong><br />

je me défoulerais <strong>par</strong> la <strong>par</strong>ole. Le soir en me couchant, je dirais : « Honte à vous » <strong>et</strong> je<br />

débrancherais l’antenne de télé <strong>et</strong> la prise électrique.<br />

Un soir dans la nuit, je serais réveillée, <strong>une</strong> surveillante ouvrira la porte de la cellule <strong>et</strong><br />

un homme en uniforme me regardera, m’observera. C’est anormal. Je <strong>par</strong>le trop dans ma<br />

cellule.


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La cellule est vétuste, les toil<strong>et</strong>tes sont salle, ainsi que les murs, dont je n<strong>et</strong>toierais la<br />

<strong>par</strong>tie lit avec <strong>une</strong> brosse à dent, la vitre est fissurée <strong>et</strong> l’air froid s’y engouffre l’hiver <strong>et</strong><br />

je m<strong>et</strong>s <strong>une</strong> couverture sur les épaules pour me tenir chaud.<br />

Je refuserais <strong>une</strong> fouille corporelle entière sans violence <strong>et</strong> insulte.<br />

La surveillante fera un rapport <strong>et</strong> je passerais à un contrôle disciplinaire, sans avoir de<br />

sanction <strong>et</strong> elle me présentera <strong>des</strong> excuses dans ma cellule. Une autre surveillante, fera de<br />

même <strong>par</strong> mon refus <strong>et</strong> simulera <strong>une</strong> agression. Contrôle disciplinaire. Cela, les amuse de<br />

me voir diminuée, humiliée <strong>et</strong> terrorisée. Ils rient.<br />

Les fouilles corporelles vont au -delà de la dignité humaine, humiliante, elles atteignent<br />

la psychologie, le moral. Ils vous enlèvent la pudeur. Cela peut devenir chez certaine<br />

personne, de la perversité, du voyeurisme malsain.<br />

Je n’aurais pas pendant 9 mois de Maison d’Arrêt, mes eff<strong>et</strong>s personnels <strong>et</strong> mes papiers<br />

du dossier. Je devrais attendre 23 mois, après <strong>une</strong> plainte à l’encontre de la Maison<br />

d’Arrêt de Bonneville, pour en récupérer <strong>une</strong> <strong>par</strong>tie <strong>par</strong> <strong>une</strong> avocate d’<strong>une</strong> organisation<br />

internationale (IED) En France, c’est illégal.<br />

Je survivrais dans <strong>des</strong> conditions déplorables <strong>et</strong> serais <strong>traitée</strong> ou considérée, <strong>comme</strong> <strong>une</strong><br />

<strong>criminelle</strong> <strong>et</strong> quelqu’un de dangereux, grâce à de la psychiatrie de complaisance pour<br />

protéger d’autres personnes.<br />

J’ai attrapé <strong>des</strong> mycoses aux pieds dans les douches.<br />

Ma demande de voir mon fils dans <strong>une</strong> salle aménagé n’aura pas de réponse.<br />

A la douleur morale de ne plus voir mon fils, s’ajoute la douleur physique où je fais<br />

beaucoup de crises d’arthrose cervicale très handicapantes <strong>et</strong> douloureuses avec <strong>des</strong><br />

poussées de fièvre, sans traitement adapté.<br />

J’écrirais à Monsieur Dominique PERBEN, Ministre de la Justice, 20 pages. Pas de<br />

réponse. 20 pages lus à la Chef de la Maison d’Arrêt de Gradignan.<br />

Madame Sabine Forzan psychiatre de la Préfecture de Bordeaux, me recevra dans la<br />

prison, quelques minutes, pour me signifier mon dé<strong>par</strong>t en hôpital psychiatrique, le<br />

samedi 1erjanvier 2005, sans autre précision. Je lui répondrais, Madame, l’on sait quant<br />

on y rentre, mais pas quant on en ressort.


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Elle ne répondra jamais <strong>et</strong> je lui dirais : « Honte à vous Madame ». Jamais, je ne l’avais<br />

vu c<strong>et</strong>te dame. Quelques mois plus tard, l’on me fera payer 30 € c<strong>et</strong>te rencontre. Et<br />

encore <strong>des</strong> mois plus tard, je recevrais la facture à payer de l’internement abusif de 8<br />

jours de l’hôpital de Cadillac… Illégal.<br />

J’ai peur, je n’arrive pas à le croire, à réaliser ce que peut être la psychiatrie. Je ne sais<br />

pas dans quel hôpital, j’irais, je ne sais pas ce qui m’attend.J’ai peur de ne plus jamais<br />

revoir mon fils <strong>et</strong> si, dans quel état physique. J’ai peur de devenir un légume, j’ai peur de<br />

la déchéance neurologique.<br />

Calme dans ma cellule j’attends (premier janvier 2005). On vient me chercher <strong>et</strong> je me<br />

trouve avec <strong>des</strong> infirmiers <strong>et</strong> un brancard. Ils veulent me faire signer un papier pour me<br />

rendre mes bijoux. Je signe en m<strong>et</strong>tant <strong>une</strong> annotation pour dire qu’il en manque.<br />

Le personnel pénitentiaire hausse le ton <strong>et</strong> s’énerve. Je dis qu’il en manque un autre en<br />

écaille de tortue, avec un signe vi<strong>et</strong>namien en or incrusté <strong>et</strong> sans bélier. La dame<br />

répondra que c’est <strong>une</strong> pierre noire. Non lui dis-je, c’est de l’écaille de tortue dépolie.<br />

Elle s’énervera avec son collègue <strong>et</strong> ils deviendront très agressifs <strong>et</strong> violents.<br />

Ils m’empoigneront, <strong>et</strong> me m<strong>et</strong>tront de force sur le brancard. Ils m’attacheront les<br />

poign<strong>et</strong>s <strong>et</strong> chevilles, brutalement sans que je me défende. Pendant 3 jours je garderais<br />

les traces <strong>des</strong> liens en cuir avec la ferm<strong>et</strong>ure de points en métal. Je reste calme <strong>et</strong> je ne<br />

sais pas où je vais.<br />

Dans l’ambulance l’infirmier me dira que je vais à l’hôpital de Cadillac. Il répondra au<br />

téléphone que je suis calme. Avec un grand sourire, il me dira: « je suis un ami de<br />

Monsieur Dominique DANDELOT » (psychiatre)<br />

CADILLAC Hôpital, premier janvier 2005. Monsieur Paul BONNAN y travaille.<br />

Je serais détachée, mise en chambre d’isolement ouverte <strong>et</strong> deux infirmières viendront<br />

me rem<strong>et</strong>tre quelques bijoux <strong>et</strong> feront un inventaire avec moi. Je devrais rester en pyjama<br />

nuit <strong>et</strong> jour. Ils me font passer pour très dangereuse.


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Je verrais Madame Eve PICQUEMAL (psychiatre) quelques instants <strong>et</strong> lui dirais que<br />

c’est un internement abusif, je ne suis pas dangereuse, c’est un dossier de maltraitance<br />

d’enfant qui accuse.<br />

Elle ne me dira rien. Deux jours après, j’aurais <strong>une</strong> chambre. Je ne prendrais aucun<br />

médicament, l’on ne m’en proposera pas.<br />

Mon vêtement me sera supprimé, <strong>et</strong> je resterais en pyjama de l’hôpital, nuit <strong>et</strong> jour.<br />

On ne me dit rien, ni le personnel ni le psychiatre. Quelques mois plus tard, je recevrais<br />

la facture à payer de mon internement abusif de huit jours à Cadillac.Au bout de huit<br />

jours, on me transfert en voiture ambulance vers l’hôpital Charles Perrens à Bordeaux.<br />

Monsieur Dominique Dandelot y travaille.<br />

On me laisse mes vêtements <strong>et</strong> les bijoux que je porte. Je suis mise en chambre<br />

d’isolement mais je peux circuler.<br />

Je verrais Madame Zouad BOUZGARROU-HADJERES (psychiatre) qui me recevra peu<br />

de temps, juste pour me dire : « Vous êtes malade de la tête » juste pour me dire : Elle<br />

fera <strong>une</strong> ordonnance avec <strong>des</strong> neuroleptiques. Entr<strong>et</strong>ien terminé.C’est un assassinat<br />

légalisé…<br />

Je suis en état de choc <strong>et</strong> de peur. Pendant 10 jours environ je refuserais le gobel<strong>et</strong> de<br />

neuroleptiques <strong>et</strong> resterais calme <strong>et</strong> posée. Ils me m<strong>et</strong>tront en secteur fermé. Injonction<br />

d’office <strong>par</strong> piqûre d’Haldol matin <strong>et</strong> soir 5ml contre ma volonté.<br />

Mes reins me brûlent, impossible de dormir, de me tenir allongé, de marcher, je ne tiens<br />

plus en place. J’ai cru que j’allais perdre mes reins dont un est plus bas. Je me suis vue<br />

mourir. Je ne peux que subir. Je suis dans un goulag.<br />

De force, ils me drogueront, <strong>et</strong> je resterais en secteur fermé 3 semaines environ où je ne<br />

pourrais même pas sortir prendre le soleil. Le médecin, Monsieur Michel GRASSET<br />

(Psychiatre) s’y opposera. Ce même médecin me dira « je vous ai ajouté 3 mois de plus »<br />

sans qu’il ne m’aie reçu. Jamais je ne pourrais discuter avec un psychiatre.<br />

Plus tard, ils me donneront du Solian, du Rivotril, du Risperdal, <strong>et</strong> de l’Haldol.<br />

Je ne pourrais plus <strong>par</strong>ler, ma bouche étant trop sèche, je marche mécaniquement à p<strong>et</strong>it<br />

pas.<br />

Un changement de médicaments, me fera baver, mon cœur battra vite, j’aurais un voile<br />

blanc sur la vue <strong>et</strong> je penserais à un glaucome.<br />

Je ne peux plus penser, me concentrer, je prendrais du poids, je ferais un œdème de<br />

Quincke au niveau du visage qui durera <strong>une</strong> semaine. Œdème dû aux médicaments. Le<br />

médecin généraliste dit que : « C’est la première fois dans sa carrière qu’il voit un<br />

œdème aussi important.<br />

Cela en amuse certain.<br />

J’aurais <strong>des</strong> incontinences urinaires <strong>et</strong> m<strong>et</strong>trais <strong>des</strong> servi<strong>et</strong>tes hygiéniques. Je ne peux<br />

plus réagir, penser. Je ne peux plus marcher. En état de choc permanent mes menstrues<br />

se sont arrêtées n<strong>et</strong> à 47 ans.<br />

Ils ne veulent pas entendre <strong>par</strong>ler de thyroïde, d’arthrose cervicale qui me donne de la<br />

fièvre <strong>et</strong> de fortes douleurs.<br />

Les neuroleptiques diminuent mon Levothyrox. Je deviens l’ombre de moi même. Ils<br />

m’assassinent légalement. Par les eff<strong>et</strong>s secondaires <strong>des</strong> neuroleptiques, j’ai <strong>des</strong> tâches


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marron sur tout le corps, j’ai perdu 5 cm de taille au bout de quelques mois, problème de<br />

mémoire, de concentration ainsi que d’autres eff<strong>et</strong>s irréversibles.<br />

Je me ferais agresser violemment <strong>par</strong> un patient <strong>et</strong> mordre au bras jusqu’au sang.<br />

Je garderais l’empreinte de sa mâchoire plusieurs jours. Je ne suis plus rien, je suis<br />

diminuée physiquement, je ne suis plus que l’ombre de moi-même. Je ne dors plus. Je<br />

n’ai auc<strong>une</strong> intimité d’hygiène dans la salle de bain ou dans ma chambre, un ou deux<br />

infirmiers ouvriront la porte pour me voir entrain de me déshabiller ou faire ma toil<strong>et</strong>te.<br />

Toujours le même infirmier, qui le fait sciemment (pour l’avocat). Avec constance ils<br />

violent votre pudeur jusqu’à l’âme.<br />

Ils veulent faire signer <strong>des</strong> documents lorsque vous êtes dans un état second <strong>par</strong> les<br />

drogues administrées d’office <strong>et</strong> de force. Je ne <strong>par</strong>ticipe pas à l’atelier musical <strong>et</strong> de<br />

peinture. On me le reprochera.<br />

Ce que j’entends, <strong>des</strong> bruits de toute sorte qui ne conviennent pas à mes oreilles.<br />

J’ai étudié <strong>et</strong> pratiquer le piano, musique classique, un peu de jazz, de variété <strong>et</strong> je suis<br />

diplômée d’Art Plastique, restauration de toile. Diplôme d’état.<br />

La nourriture est mauvaise, peu variée <strong>et</strong> suffisante.<br />

La salade contient plus de vinaigre que d’huile. Les œufs durs sont recuits au four microonde<br />

<strong>et</strong> sont très indigestes. Toutes les semaines, se ressemblent, les menus sont les<br />

mêmes. Les patients se plaignent entre eux de la nourriture <strong>et</strong> s’ils peuvent sortir, <strong>et</strong> s’ils<br />

ont <strong>des</strong> finances, achètent <strong>et</strong> consomment à l’extérieur. Sinon ils se ravitaillent de sucré<br />

au distributeur, pour ceux qui en ont les moyens. Les infirmiers disent que l’hôpital a<br />

obtenu un prix pour leur restauration !!!!<br />

La drogue douce circule.<br />

Il y a un patient qui dénonce un réseau pédophile dans le Dojo.Il maintient ses propos <strong>et</strong><br />

se trouve interné depuis plus d’un an. Il a fui l’hôpital, puis a été repris. Deux SDF un<br />

je<strong>une</strong> <strong>et</strong> un vieux <strong>par</strong>lent de souterrain, de choses étranges qui s’y passent <strong>et</strong> finissent <strong>par</strong><br />

se taire. La personne la plus âgée interdira au plus je<strong>une</strong> de <strong>par</strong>ler.<br />

Certaines personnes ne semblent rien à voir à faire avec la psychiatrie <strong>et</strong> beaucoup disent<br />

qu’ils ne <strong>par</strong>lent pas avec un médecin.<br />

Les infirmiers relatent <strong>par</strong>fois n’importe quoi. C’est de la bêtise humaine. Ils<br />

infantilisent. Une infirmière me dira : » Eh! bien vous, vous aimez les médicaments. Je<br />

demandais un Efferalgan pour la fièvre <strong>et</strong> la douleur qu’occasionne mon arthrose<br />

cervicale. Un autre me dira : « Je traîne mon fils <strong>comme</strong> un boul<strong>et</strong> » de celui là, je m’en<br />

méfie, tout en plaisantant <strong>et</strong> en l’écoutant. Je me tais <strong>et</strong> reste vigilante. Ils détruisent<br />

sciemment.<br />

Je ferais <strong>une</strong> demande de contre-expertise pour internement abusif.<br />

Monsieur Michel BENEZECH, psychiatre, expert, spécialiste de la criminalité. Il<br />

travaille à la Maison d’Arrêt de Gradignan. Entr<strong>et</strong>ien d’<strong>une</strong> heure. Je n’avais pas été<br />

avertie de sa venue.<br />

Je suis bien droguée avec de grosses difficultés de concentration <strong>et</strong> aucun dossier depuis<br />

<strong>des</strong> années pour aider ma mémoire. Je n’ai plus la chronologie <strong>des</strong> évènements, ils<br />

effacent ma mémoire volontairement. Impossible d’avoir le rapport. Impossible d’avoir<br />

le rapport.


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Je lui demanderais à être enregistrée <strong>et</strong> à le transm<strong>et</strong>tre à la Justice. Il m’enregistrera, me<br />

dira que c’est pour lui <strong>et</strong> qu’il ne transm<strong>et</strong>tra rien. Je n’étais pas avertie de sa venue, j’ai<br />

<strong>par</strong>lé de mon fils, en terminant j’ai demandé : « Si l’enfant ne mentait pas qu’en serait-il<br />

de la psychiatrie ? »<br />

Je n’ai pas le rapport.<br />

Leur méthode est celle <strong>des</strong> nazis, ils m’ont torturée, ont permis que mon fils se fasse<br />

prostituer <strong>et</strong> maltraiter <strong>par</strong> le père en toute légalité. Ils couvrent un réseau criminel de<br />

prostitution où la drogue circule.<br />

Les <strong>psychiatres</strong><br />

Monsieur Paul Bonnan<br />

Monsieur Dominique Dandelot<br />

Madame Sabine Forzan<br />

Madame Zouad Bouzgarou-Hadjeres<br />

Monsieur Michel Grass<strong>et</strong><br />

Monsieur Denis Pil<strong>et</strong>te<br />

Monsieur Michel Benezech<br />

Madame Eve Picquemal<br />

Le médecin de la Préfecture de Bordeaux, madame Buy<br />

Monsieur Claude Amirault Psychologue.<br />

Je n’ai pas la plu<strong>par</strong>t de leur rapport, refus de me les donner, donc pas de plainte.<br />

Ceux que j’ai, sont du copier-coller de celui de monsieur Paul Bonnan.<br />

Ses personnes couvrent un réseau criminel de prostitution.<br />

Elles ont fait sciemment <strong>des</strong> faux en écriture <strong>et</strong> cela les amuse.<br />

Vendredi, août 28, 2009<br />

By Patricia Pou<strong>par</strong>d<br />

Le site de l’auteure «Pédopitchoun »<br />

A consulter aussi sur les abus psychiatriques : http://www.mensongepsy.com/fr/<br />

<strong>et</strong> http://www.ccdh-creuse.fr/2009/05/temoignage-de-mouloud/<br />

This entry was posted on Samedi, août 29th, 2009 at 18 h 10 min and is filed under Criminalité, Droits <strong>des</strong> patients, Droits <strong>des</strong> prisonniers, Expertise, Justice, Médecine,<br />

Organisée, Pervers, Politico-judiciaire, Prison, Psychiatrie, Pédo, Résistance, [FR]. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed.<br />

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