i I i tl - Bibliothèque de Toulouse

NBt1Po1M;F:YG.ENT6
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. ma s it t
Gy' reçoït lev abonnements et lev annonce,
'4'UIil02 TLRL0 000 d.1YvJONCFB r
:1: lYn a., 405dfr ; 8 mois 214: le t
jlm,ta-darpaPO
n TOULOUSE', ..z bureaax do Journal, roc Saint.Rome, 44. - A PARLA, chez M. Haves, i, ne Jsae-Jeeq
un an, 50 Pr.; G a.,
maie, 26 P.; 3 mole, 14 f.
Séclamee, m Bgno....... ..... ..+ 0 h. 50 e.
E'CRAN(]ER; Les frais reppldmcratatres
traite divers, la ligue. .. .... _., ... 1 te. 00 c.
do poste ea cas.
ro
reclouez Ime eh. 6lonjxuàin, n. r'50-ftame 1.
i J U LLETT. née par cuite de l'adoption d'un amende- me i premier avant é C ai près la Cor - M liarrv fait un rapport verbal r , particulier par Iras généraux de Camisole,
Clément de M. Chevandmr de Valdnino P impériale d'Argote, vient 1 t é àe récente brochure de M. Be.j Ri- M éohile antier apprécie de lx Agxrd de Roumeoux j et Faisant A la tète
par 108 voix contre 97. président de cha b r, a la Cour impériale vrère intitulée . ville dAn, tan consulat ! m nitTrehsuipvante,Gdans le tloniteur, l'mu- de l'artillerie se L'installation trouva le !icutevant eo-
I5OU3 B I PARIS de Di et s h t ll nie. L. (Foix, 1868. p. 1 56, vie présentée au dernier salon de Paris,
loeuf Jarret.
de ces esonpa
a. 18 18ce. La Patrie croit ravoir prit n'est pas la 8 par notre concitoyen M. Palguu;re d 'Instruction a été nécessitée par l'adop
t j exact que la question électorale ait été
A
n , n m .a soi. rvcns l- o Tout n est point irréprochable, à a Le Vainquos, au combat de coqs avait
p tien des nouvelles armes à feu données
plaie et discutée donc ]e dcmicr conseil oup sûr, dit an terminant le rapporteur, frit célèbre, degeres ses débuts, M. Fzlguic-
Wtaure dis. ..onra dn jour
1S.fanterie ; lue roouveme le stratégicours
prés, des mimetrra. eaierroxs nie vs:nnr,o o,a ooans dans la monographie de M. Ril ère. A ro succès danux et qu rl est difficile
3 0/0
pues de la ligne et de la cavalerie doivent
70 10 eu 10 Séance do D Juillet 4868, quoi bon par exem le remonter ' e a`en- de cooteuir. Que d'artistes ont succombé Aalre ,eeprchr, P l u q x étro r éfonné Les
anmurr a i e guerre
4 1,2 0/li.... , 101 50 présidence de rat" Clos. "poquesoe3liquc et ihérievne, eniaeoutanG clos la os : d'un premier ouvrage! .hais ,
101 35 auront lieu les mardi et vendredi de ha.
A terme,
Paris 21 juillet
M. Esquié, appelé par ]'ordre du t'a- l'histoire d'une commune obscure dont le n'st paé ici la eau. in. 1 aiguières n que enobme, le matin. Les autres jours
d 01) e. Le hfoniteur public des décents partant
7g Y i 70 17 E
nuil, lit nn mémoire sur les nouvelles nom
a
tout lat
la session d pri- in, il est vrai, (aquæ, aquis de éritable talent, et la figure qui lai '.valu vont consacrés aux exercices de détails
1 -- dur. clore.
q es contra
s gon ,roux s ou
système actuel-
P.
?0 10
ras de Tuulowse et sur le
a% d ) pa ait p 1 70 10 p foie réputatr.e rapid
h
na le `24 a.ût Il sera close le 7 sc fera.
a d au tir à la cible, a e au
o qui a qurs ionr-Illu
Ltehou 5 0/0.. 53 40 53 05 Ure. p jument applique dans les prisons d,. charte d : xDole *1 S 1 t heureux. Le née, c li tonal qu'il dh ' oral p t race c ,sidérable. Le
Crédit mob... 272 50
Les Couse I
mentales départ' babl rat quand
d'arrondissement se réuni
rails- 'posé cette année, ré I t -delà, t auceesaifvc-
L rat t cé 1 nue étendue de.41
le-
271 25 M. Nlolmier fait ressort!, ce qu'a d im- LI nombre 1 omis
C. m. Eepug,,
une i[ paye d tes les espérances qu on avait pu co
1 n t t le m t d'artillerie. de
316 25 316 2
vont, pour la 2 partie de leur session, M
.5 21 septembre.
pertant la quel
pn.,nensy.,,
Consoe
Gras satisfaction des prisons et déclare oram à la N b ua,se d rat tai e r l'aveum du joue tuarre.
La 1 g d To""' doivent s - eno,.e
Banque.....,
1170 00
1
3176 00
gahl ve
que, r celle qui, t pa r ti e le drucenc d '\ rites t 1 do le., t adolescent 11, est touchants mnt a pour s'exerer t 3 icvg
For-
Chem,ena de fer
rut d étre constante a Tcaloase est paA T i a n e ta t situé n Cnrc nx mourir que de livrer fée. Après la messe q d to.tou. les
Crésn New Y o r o , , l juillet. dans les ryur i le ré rn- - u ter !1n5 rth d p , 1 x p 1 (lq.)
e ps 1 Christ; Il
881 25 882 50 Le choix de
Lma nl e, à huit he p DI te curé
de S y comme cas besoin, ai e do. re 1 u 1 g des édla de dquts oit esses e 004 I s c p i p 1
N rd fiau.çam
l t tombe eu, i Ire
d,dat à la prée,d
cy
d e aes an, d Y aération du 15 août
11 00 11 2 0
ce a té roc partout ', 1 t d
t t it n l
ay .tenus la systuéth ave Pl ac e ont noce vesous de parler rira ue rap con re r e a 'rate cl' llélébér ee se cre Nl Laurenee
132 fi 0 933 7
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M (i 571 25 571
A tas b eue... 562 1110 561 2l'
L b, da- 400 00 401 2l'
pt (liq.) 732 50 731 25
acier. 450 .1465 00
po e sme quivucear,,
enthousiasme par le varan . 11 ans estimeystè l ;rouve lac l es Romai ns mont corne nu host q
efaihantcs tachent éèq d 1' Fes les troupes seronliae
ce
fig
tq d o' olemntdes condom s, fréquenté ses eaux thermales, où l'on n'a do détaler paf , t s
I e Sénat a adopté nn Lrji excluant de o et défileront pour rejoindre
la
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avec ?vantae dans n
il la
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et qw fonchonn, les récontré e jusqu, f autode ces momr- a La tété, ou la lasg' la ait e
p t p t leurs cemo+ I I l'es cents.
oct o s7 car la l o t i t d 1 Amév t as An I ou t émirs figuré, si comma
exr
i P
dans mère a la lord cél t d ty a La tv do I
d ,usera arien de:
o t I t t t f à
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te .t1 1
1- coalition, les t Étions des Pyrénées d e beauté niai t l'q L dt l'La d t sonne d Pau,una
1 Pt. d d 1
1 p é ta- d' l fi .. f Il en I PI étymologies deve 1 5 xq iraient 1 I q n rendu Ilcessarre
aoz p 6t bl _t d'
â- an 'on
a Congrès, suivant les uI a sesde la
l r t g i timide, Il, m lfaiteurs n'à
l",
m L g 1 1 s i esamo des 7ooerccu; ®-Bna,mxa et Comp+., 8, place de lu Bourse; Forrremn, 23, ros de Trévira
isole corroopondanta pour les annonces.
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p¢s que ronon,erre avaiors ses u v t t halant le d les onvcau ecrvicr, Sus p e t l'artrlt
d . nsh,e+,ar_ pr lo d mana orromi lédtt da , tt ff suce d' rndmatro p t c t déf t t rate et c l aus a os
pp u
f t d . l ai t ono
d' t lune qm peuvent s'amender, le tin raient Gréa contestables elI comme illuminée 'If ur, do sont u
BOURSE F TOUJ,OCOE
de l'mfantor: vol. q. ll I ,tait attachée.
contact oorrnpteur quo produit lo aéjoar rues au point do vue d'une ain, t'q leunn martyr une c. p d;uue rned`an0
18 on com Y.e tram s ra auloo d I horgé de ce
s j
n de, ba o s et des m Mars rl y a peu de monographies atte.- bl1 susrré. Uno souple draperie aux pra
ee,aeptu.s.v
trous rat td etits tillmrve doux
Obl. Midi.. .. A.
........ r
Obl. Sragose
14
NI D
1
Il 20 J .nier, soir.
Lyon......... o.-
133 95 110 Marché do col
A 16 J 'l(ef.. Blois Danube, 'r, 35>, , 33,7fi;
Italien. R. 10. 52 90
Danube, 128/124, à fr. 8 5 Le. tout aux
Esp sial..,,, 315 00 , 160 litres; escempte 1010.
Ly ............ 933 75
'olons Suboujeac à fr. 07,50; Ta,
sosie, f Sr,:if1 501x1.
Chnucns de fer de, Nord de 47B4T_ OIOog42d1Ai B.ebK;ALê3
Les porte re dru obligatmns Bout pré- Depuis quelques jours, la chaleur est exuc
que ]c paiemmrt de 6 fe. 62 1/2 mémo pendant la nuit Ix tempépeu
lae doua oovpone d'octobre 1567 et et.ruas
l 18918 a hou lai, tient ansus élavée ,t ta
` dater d, draierai dans les appartements ,si t I
leur, à
de à la Beau, y d'c le des agents ! iI i tl ol,
c e t 1 t lo mettro obstsele à ces nefs tin e t f t qui ne mettent en il1 è b us enveloppe sua mcps juvénde, pur roucspsmaront on chaqu b nomt
'.doü dans ses
e ..as compots dorage qui gaelq e détail bs q I { t é d f d chaste grâce, comme i m enta avec u bru de carton-
1 :. D t, son, Cent
dane les 1 gg l
d s ne
é nulled
sujet q e Il ét 1 i td une ma- Ilui d Hy t }, b. pie
'
détour
ont, p6 1 1. 1 tp a travers en f as t e do
M 1 perse que la que hon d1 P ece déla ls h tt t Il
. .
y' n tenhavc a été suffisamment fais, aux savante h t d d t sus petite, aille lég t
e lier. Il rapp 11r, Ira travaux r q - q 1 t p 1 les dé- 1 ont une rare eli..anc M F I é dans
bl Dent II D, 1.
o été objet de la pa t led
p t t 1 t t art si élevé mens t t 1 la sta-
11 T g ' I I et de M. B6range f de la ville et lu, 1 t 'ire trouvé un tf u et l'a
et o 1 de as a b icot législatives, I 7843 1 h etorro de ses thé I des ch t du d'une fanon
mdo'i
r
t 1547 e Pourtant .flot e b re la d o bizarrerro- On d" t 1 e un
li nr tient qu'il a été répondu vr lor,ea h ograplne du consulat et de la chatclle- sculpteur athénien eonve. t au ehrrsti.ont
à tantes las objections dirigées ai à poil, indiquée dors les livres 1'. i catin gisaitnciel'édam
ont des atacom-
ontrc l'isolement des oudamnés, et qui Plue spleiaus. Il ojo ter à tout cela beauoà carpe mémo du jeune
c ror t à ,{ora ttdéddiL prtenu dg
e curieux molti-pu.e détails fautsur lue déaisscst martyr e. n
u rallie; ao si les pro
go l'aue. rades sont-1111 par- Le tahst,ques Cl trevt "ails ue :ont des vdfames den t le vocabulaire c racté
alcool fers, J f jour P 1 m pot plus fréquents dans les n,aisuras rellu- saque doit ecmoeter mémé à an tics Le nuire de C bonne aute Ga )
tir d
jolies que duos celles od lesdéteens vivent haute antiquité, comme le fromage rl'Oeri ocon d nette celui ...e et le supérie,
lac. C t 4 l 1 Depdcieco bëregraphrgn..ip
ivdlidi
th t c
s qnc l'or L ,t remarquer, et le RD....... 1 que les communes goné 1 1 héros les écoles hrti,
e sureau a ]a, argnart.7 d egrés.
vrorp d msietane,, M.le dootenr peya,ent aux rs 1 titre de cade I, 0E,t t 1 g I t reconnu par dé t d
Liverpool, l0 j ndlet.
Oer eigmfio la Brebis; dans c, 17 aura 1408, au n rai dol t 1 rat t it, .ont
L'a avis rl'H:iiti, apportés par le paquet hier
7augagé orabterie
à G heures, ro.o eut où las
bot Bot ;dl',
M. IVlolieier rapprocha le eystômo péni-
lo berger s'a.ppello antar o e t r, eh:mnn on eo ,ai le
constatent qu'à la date du 26 soallaient '
l'arrosant de
ber
juin, S'aln;n-e ongsia liait
da ei des colonies Péiarles cm. lurria", ; la laiterie
so uommr, la xrclnuses et Conditions é
étroitement bloqué par â place
P"""' ;
-
du Capitole, oa est venu les prèl
-1h, '.1 terrr si mitonnent dans laea orle ea pierre sèche destinée aux -Is,érle, kg, fait par la dame Lasallc,
es
v r ] r ven nn errait'1',.
et dont M. le marquis Cle bestiaux , parc ou poire etc.) o
épouse do atour Alexis Dupas, suivant son
terà i St-CyprÎn, Pi,,,,..,, à l'ext lmité du pont
n tracé l'histoire dans pur livre M, Claade Bernard m .mbra de l'insti- testament mystique du o 23 rr l'a 1868, à
FbAégrupjalo prlvàq. &unt
la mime m,reo u1 an
le. li col d D i. g l on, plot ,les tut, professeur air /iéh d P ce etc. et
pareil sinistre avait ou lien dy arlenx
es pie t et t geu semont
I 28 juin, soir. nom à poise. Le bel a pu étre coron eé
1 pratique
1 ( 11 lég , t f
c des Angle
Wn nos, a,jour- vont qu il cutpne une trop grande carras torr en o tr e
] dl i ¢ t Condamnes
l l la l loura du budget dés travmr_x sil
'annales soleouest p e un te es pesé
Les pertes sont peu cops dérablcs en C.ollnlc t apte tép e libéra.
NID CI agot, LaIsot, Fu filons o le.,ires dont oo a bleu. des ré-
os c et moulera lit t ° x
00,10 t
p, I .r 71 sec t on. t té adooot6,s. c'est grâce surtout aux pmnpos ae la gara
tag,,xda,sta Grander
f. g t
I 1 p rt cane rat le rad,vay da A'ord dv Chenus do fer, amenées én tonte lutte
t pour l'Irlande.
rtoli i n faisysténes lpeeortav
n été déposé. On passa mnsnito aa budget sur le heu du sinistre, qu'on a dit la l'do p' 9 ootmd'an e bon mo r 6pressif,
ale Le Miuistére de la maison de prompte extinction da feu.
propre M à Intimider les malfaitelrs et en
prmnidre eeetion cet adoptée.
exprimant l'intéx gdil attache G la eom-
MM. pelle tai, , Corauant, Marie,lr o- liter a c Boa l'instellati
imp(e
leo ob
de M. Canevonüonsdt
'etien que M. Esquié vient de faire à
'ti lt, .fines F avre, Ino Parlent sur s sub- sé, conseiller à la Ce., ériale de Ton-
3thé,
l'.4cudémic.
' ueees. lause, et de NI. Diffre, avocat-g6n6ralprès M. Astre voit dans la o.structioir dos
L'a 2d et 30 sentiers du budget de ]a la mémé Cour.
uvelles prs isera de Toulouse, l'applica-
-mer en de opuleereue, les 50, 6- des bc -
9 fion d'un système mixte de pénalité qui
cas sont adoptAes.
M. Lafon de Il. ancien soistitut lui paraitcelplulaire. référable au régime rignoren-
La section 7 dos finasoos a été rréer du prce urear général 'Y, o'l'oul,ose, setuelle- serrent
R ladite eom,n er le l bonne,
etc., est lino u ut n secret, associé i tout e main d 000 tien J,
1 honorame de l'Académie, en remplacement j linén eme rt I t bl e meut I
do M Fleureras, décodé.
truchon primnrredirigé,,1..ecIttel..Iité,
par lems bectes des ée l 1
Le Secrétaire.adtoint,
lt' n s
La
Dr N. Janv.
ontant de o l'ira -ployé à
1 acquisition d.na t 3p 0 a.rn
,,prie,
11ACULIE en xoir rat 1.1ro
M M 1 cal, souhendea mercredi
prochain, 22 jm¢ot, à 2 heures de Papule
midi, aa thèse 10ar le doctorat sar la matière
suivante:
.. Do droit de rétention eu droit romain
n et en droit tramais. s
Aujourd'hui mardi, 2L j.ibet, salle des
Illoetrea au Capitole, d 4 heures 1/2, aura
lien la Conférence u profit de l'Eeole
l'olonuiee de Lalande, par M. le docteur
Filhol. Prix d'entrée: 2 l'anus.
de
choc osnfe9ant su pour uu oint donné.
Ces p tt rares, feront leu, pr micce
appar t mp de Lannemezau.a
OOteOb RVATOI,2F r)n. TOULOUSE.
D e t W D n
5atra1 d s oba_e l'a Oétao otogigws
De 20 juillet.
)) Miormum o +20x,0
Therm,m. centi
gr' Mon Dum: +360,1
?sua r, mer.. varvr
Alt t d 14 ,745 9 h. o 6 - h aa. E.
t. faible.
Midi, 0-,745 1 beau - E.N.E.
faible.
31 e . ,7
Le baromètre c ntince de baisser, et
assez rapidement depuis midi. L'air est
brumeux et est, aonltne,rement sec : :t
midi et à 3 h. l'état hygeemèteique a été
0,32 et 0,24. La température s'est e cura
nuhaolemmit élcvéo. La moyenne ilc la
jou e d'hier arété 31 rnuitle
thermomètre manquait 000000 270, G.
Pan 1 ,I .nigvr IvaalP a, os, er qsi pMeèdu..
A. P0100.
le enhoo sera Faite sol Piosc pro laa
()il nous écrit du Montaubau
I,teeupp des xrr 1; et trend. tira a!leeox oalbeor est arrivé dans 1 a-
r fa rapport du Dlmistre de la jwstxca et pehomidi il hier Deux jeunes gens qui
de, cultes.)
étaient allés se baigner dans le Tara se
sont noyés sons 'In 'il ait été possible de
leur porter .-Ils. L'un d'eux était origi-
Le r.ira de l'a', aéré in n go Il> rc de Castelnau de Montraticq et lute-
red riel' r. Noa s déjà
frit co Ireb, du faubourg Ville nousolle de Mon
mitre les trioIles l uisanfont , r,rti,. o tau an. Z.
compte
en j'o! dix mille hommes, réeras
cule division mixte d'inl'anl.erie et
de cavalerie en trois brigades, sous la
Condom, 20 juillet.
haute direction du général de division Le einrEogverel, !lui avait osé eu flatter
comte de Loroaoro , mais commandées on do l'espoir de corrompre M. le médecin du
Feuielctoo du âtueNAt, 0a 1'091LOë]04, Vingt observations éclatèrent à la fois : " reprit madame Bontés; nous ne
Cela ne en pont ! vo us jamais une meilleure occasion poise
LES DEUX
- Cette pénitent, ne doit pas liter inflgée
- Demain ! pourquoi pas dans quinze
Légendes d'ilardensiein. jours?
Alors on pourrait dire : Madame ira
ue Jupe. ou monsieur so pendra.
- Oo n'a droit d'ordonner quo des cho-
/l'oie le Journal de Towlonse d. 201. mmédixtoment exécutahlos deus lin-
Yérieur de l'appartement et qui ne peésonlentaucnn'langer!
P,orsq.e quelques personnes d'esprit se D1. Dmnl,rlaer laissa ans clameurs sos-
raclent do diriger 'ce raille petite je., qui citoes par ces paroles le tempe de se cal-
vont de Prétexte aux gagve,ileteuvant e puis aspirant avec beaucoup de sang.
don il' forsles punitions die froid .ne prise de tabac 4liupagsae :
gages, variées àl'infini, sont un champ - Je malntaene 6nilmioe, dit-il,
onn. vert à l'imagination comique de cha- lie est axéoob, hIe, lu
Lu soirée devint Fort gala, les Imnitionslespins
hooil'onness'accamnlaient sur
les gens le, plus graves, et en ne permcltait
auomr prétexte pour s'y sonstraire;
la bonne volonté de chacun contribuait
àl'entrain général, et des rires
fous attesta col à chaque instant quo ce
plaisir d'enfant peut l'occasion divertmréopérantune
société do grands pa.
rente.
Comme M. llrenl:ela,e avait montrévrae
inépuisable dans la lagon
fliger -tien Ics pénitenons, it gardait la charge
de les déni ; de Dourtoghe, dépoitairc
dca ngr,s, ne montrait l'objet que
lorsqu'il avait prononce la sentence.
Le jeu tirait à sa fin ; on lui il la question
d'anag e.
Celui ,. cr,,
à qui appartient le
gogo 1111116, s pdra on demain vers i-
m
pconver à tout le monde, et :.vans-mCme,
que votre revenant est une inveatiov absurde.
Le, convives, 0v voyant le contentes
cet de M. et de d'Lplar, n'avaient
pies insisté, et toos, 'l", à l'exception do M.
llrenlolaer, se mirent en frais d'éloquence
pont dissuader 51". Bente, d'exéoutrr son
Projet.
1o le trouva des gamen a'ts ptr tentes à
es aajectimrs ut se montra internonce
délpai n'est P. trop
long, elle ne préste aileon danger, ot
elle a de plus qnc boauruup d'araires le
mérite de .'étre il vieille ni mémo a,,nu(on'est
paé are pefto promenade noctaroo
qui peut cff'reyer une personne aussi
vaillante Il ue MBontés, loi qui nous à déjà
alla.mém déclaré elle Prèle à 'entre-
prendre.
Je n'oublierai jamais le e up-d'mil que
loi m ea à en m ncnt madame; j'y lus
rDpwche yrés.vif; mais elle sas
contint aussitôt, et souriant avéc griot ,
elle dit d'un ta. ferme
-Je ne retire rion de mes paroles, je no
nia pas femme à recaler dov;uit al engagement
prie. J'irai demain à minait prés
du vieux chère.
- Bravo ! 'ément plusieurs de ces
0 sCUrs en battant des mains, voilà do
no ^god:F
à
sonie dame ne bu. pareil, il ne loi revienne livrait obus elle a. violent combat mît. re nstaurr,? Je vous avoue jus je oe ma
pas à l'esprit les détails de la cotte légende rieur.
l'explique pas.
d'Aseaphel ; et d'ailleme, ajouta-t-ello avec M. chère madame, loi dis-je ou lui Mme Bcolle enets un moment sans ma
ertaien hésitation, savane-nous ce prenant la main, qae je trouvai sèche et répondre et comme absorbée dans ses pen-
gtiolle va voir là?
feuillue, vous voilà très.agltve, tièsseico sées; puis, Prenant nue subite résolnticn
- Elle n'y trouvera sans dont, rien hante mémé; vent raim v es ne devrez -Jn vais tout voos dire, Jnffi. Il est
d'eB'ray;mt que ce qu'elle pourra y appor- Pas donner de sale à cet imprudent bon, du reste, qu'ont personne sûre Comma
terello-méme; ai. none avez raison défi.
set qui re cet attachée, soit instruite de
madame, cela suffit pour créer un danger - Il le faut! me dit-elle d'un ton bref ce qui se passearla.
pour sa santé; je suis bien désolée de n et absolu. Vous pouvez tous me blàmer, Tant en pnt, elle avait passé avec
pouvoir le conjurer. Que ferai-je là où vous
faneras erses ee que vs oovous
voudrez: il moi dans sa chambre et s'était assise de-
z échoué?
le
vant su table à émirs.
''conter ancras conseil.
--Essayez néanmoins, chère Joffi, rra- - Et qui cous oblige donc si impérieu- -M. Drénlclaer,. continua-t-elle, m'a
pritMm
Cet incident avait jeté o voile sur la
M. sueur vous ai me, elle m ot à obéir aux exigences indiscrètes demandé en mariage.
b...e hein... de l'assemblée ; on organisa
a confiance en vous, vous agirez Pnt-être de M. Drenlcelaer?
Je ne voulus puy paraître plus ignorante
les tables de jeu, oh chacun se mit à foule- meu que moi sur eau esprit.
Qui my oblige?.. Mais tank, et Irai que je ne l'étais et je halbotiai quelques
liseron silonèieaeement.
Je vous promets il F iro tous mea surtout. Il ne faut pas qu'il croie triom- mots sigmfianl
que cette nonvello ne ma'
L'olbee 0ion n'y gagna lieu toutofois, efforts, madame.
pheq toi il ait le droit de douter de mon su ait Pas.
00e je pus remorquer que M. de Paeolles 2100 d'Eylar me quille m, peu rassurée.
courage!
- Moi aussi, poursuivif-elle, jont al-
fit ee soir-là une l'en. race - 1. première A l'heure de la promenade, j'envoyai les - Lui! il est trop Pobut trop bien élevé tendaisbarils et je me montrai l est ivdé-
de sa suc - et que M. Drcnhclalr, le pïus e riants dons le paie aveu la fmnme de pour faire a osé vation dirobü- ciel u loi répondant. il est de bouse
habile joueur de la compagnie, perdit par cholobr, et je rue mn dis clins 11m0 Bentés. geunte err votre éomptc. D'ailleurs
bien de ea Personna, spirituel,
e bévues... som me considérable. En traversmit le salon, je mo l'a contrai ajon001 je, il est soigneux de ne pas vous stroet enfin le dois avouer qu'il .,ait
s Le lendemain matin de banal honte, avec M. Deenl:ulacr, qui, comme ns'il oùt déplaire, et -i s'est arrangé, sans doute, réussi â m , plaire
entrer dans ma chambre M- lie n al'; oint ma présë re, ouv it brusquement varas préméditation de sa part; il n'a pas .El,
-
bien? dis-je avec beaucoup d'an-
elle sortait de chez sa amer la 'ell, avait une porte t ' aga se dans une longue prie ]ni.mémo sua paroles an sérieux; il ne xiété
vainement engagée à ouvrait sur sa détcr- go I lai', m ont à la allé d';umos. pou-fit assoit à qui apport enail le gogo I:h bien' Bans le décourage,, je n'ai
m ,ation.
i .1e frappai à la Porte rle madame plu- touché, et tés mares eussent pu aussi blés pas positivement accueilli sa demande, car
Elle venait me prier de mettre en enraye s. cors fois, sous obtrnir de réponse.
'adresser à 2 1 0 - de Dourtoghe ou à Mu, je. ne me trouvais pas assez éclairée sur sa
dane le rnéme bel, ce qu'elle voulait bien
]lauley, qui eentes e les aura met exié - fortune et ses mtécédnts; j'attendais des
Je me hasardai alors entrer; àla chambre
appel jem élosi
était vide; ,j'ouvris la porte d'on polit ca-
tés Cri l'ove ni l'autre.
informatir f srises . de bonnes a...ces
vous a snppris, Juffi, binet de travail, oie madame o, o Eien:t - Vous .as trompez, .tutti su es demx s uajeta
il m'est
importants.
me dit-ellc,e 10,1 y a deux ans ma sieur u v rat, et là, je la vis agenouillée devant contraire démontré qu'il savait quo
Ces ivlormanons dont arrivées hier,
été atteinte d'une maladie n , qui
coussse.jointes et la téta la pénitence nie regardait; il restait for
.I offi; les voilai eioata-t.elle, ne me mo -
-
lui a laissé une sensibilité et ou joli lité à are ber dane le
de t lui seul orant les léttraa quo je loi avais va lire
1.
recevoir les ira ,ressioes u rend o r -Madame, die-je à demi voix. n
flot,, émotion !daugeeeese,En fi lttal0
1 - Qui est là'?demanda-welle en setouo-
mf
me qu'il ne passe rien do tout oe antla tète d'u. aIl effaré. Ah! c'est vous,
sou près de ce chéne maudit, feB'ont que Juffi .
Morio t'er ur elleméme peur ne pas pa- Il Ile se lava.
u
cuit
agés pont-dtre t
arq aé que mon dé 'était pas sorti.
veille _ . e tant démotion et d'abouti-
- 1;t ee ir.Formates, madame?
'NID, n telni4elic comm se -Saut d6teatabl s!
pa'faut à elÎe gmème, c'est une. épre.vo a
M"' Lo,osr n'Aorvur.
ra t, Prés du vieux ébène, dans le bois
il,, bouleaux, hors du parc, et tandis que
l'horloge du village e rama l'heurr, il
enf , a cinq obus dans 1, trmm de
arbre
Il ec Bt un gra.d silence ; Mu, de Do.rtoghe
montra le gage. L'état le dé d'or
do M"= Bontés.
A. calme succéda la témpele.
lai crut mécontente de en
app 1avdlssemenf Ma chère Morio, dit-elle, tu no foras
pas elle
pemnottrai pas arc telle folie
Il
I dit M. d'Eylce, et xjo¢ta-t-il moitié .0-
rieu_amont, j, suis lo mettro i,i
- L'di9ses-mei donc haire, ino. Cho,
a su
ille élit il fie peut la filer .
- Jei s p-froid d'a.cvno
-- Vous in- vez donc pas à son sangfroid
réal, mndanic P
floue, dans lot c uâilio0 00 où ce défi va la
placer; il est impossible qae, se 10yarat
Si .. rivée l'avait surprise, je le fus,
à mon tour, en voyant las bouleveeseme.t
de ses traits
Elle était cxtrémr ont pâle; es lèvres
ont centructées et se s yeux
presque hagards, témoignaient qu'il se
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
laquelle il a voulu me soumettre. Ehbie,, !
je loi montrerai que je sois capable de rénolution
et de pceatnérmme, et qae, lurequeculeje
m'engage duos une voie, jr ne rejamais.
- Mais mais, madame, quelle imper
tance extraordinaire att uhéz-voos donc
à co que pensera M. Drnlcelaer en cette
'La suite à demain.)

'm'o laqua H 1 t été t l p d ch su 8f 26 1 drmm,tiIl de tout c 1,
D'est pas ils
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s
t, i nu l ! la I t 1 l d
ou à
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c révision 1 A c é, t L -
amies L t de il' d 7 P 7 d ff r 0 7 1 M 18' 9 dans le rang, nota r d pelotons et
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8u' t sla+ t l r 7 i, I
ta I., bot I cs 11 I Eil t] é t 1
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-- l q t i l d 1 tt et 1 - f 'tais t e l L T LL d t t d 1 tut. 75 d'abord, pars fl f 26 0 ayez quel
pir er 'le lp 3 L C
- 1 t i Ni le rutilent . Et 'os, femme Mer- t l'écart qui és- I f i o marchés rardeme t I 1 s ils as xlrera
an,
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Nos plantap a une s 1 ltné
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la ligne de conduite
qu'il
l cdt
prles.,enpartti
lIms feuluils fat
ri ,
galion 1, a p f 1. l t: sort l . t s M de Feultancs t1.. pu
à ,ce, et ,élire , , pots I plaindre I. (Il Ml I7 oroy et
qu'un mince h11;, dI, . .; i , L. ',il, d'=. pue !e ]r sisal 6trnu[f, le livi e cil
ours de ]a popotatii Ieu,e -.ment 1 d , oat qv,r 1 I .tait e ragé a,.
q 1 ÿ d l 1-,. il lp it t I 1 p u t tt I
d t . t 1 f t ti' é - -pié tp 1 II .an( t1 é
t il y a ] t a l I h. l p é t t il :..t
b
t
l d l 1 ;, obl 6 d p gF ô 1 t trac t c an 1
I , ln,r I, a- Inc ie é,ot nul l,qt lusgna fuir os 'aucuns dEepagne etlde
et fane queue toc partie de la uunt
"'Il.,,,
Bsve, rie rait pas allé tnstem,ut oir
attendra la tour trtl' L II l r l Iced' Sainte-Hélé Na-
t'ai eau e( nt I m e rr ,- p é I' la ]fttératuer état ce
pas le journal qui l'avait tuée, ear il
Espagne.
N.cs résumons ainsi qüil suer mineur-
nespondauro de Madrid, nu date du 15
juille 1868 :
L'est
Il vain eà alannouar-
mer la population de quo
laa
l' conpitale
ohnrcheu
-
nant le s.nlèvemont de la Catalogne, le
Pronanrm,nieeto de la garnis.. de 8ma-
gosse ; n de ces bruits n'eut esact : la
La guerre ayant cessé et ]a tribuueétant
'rte, le livre et le journal renaquirent
de leurs cendres sans se faire aucun tort.
Cartel et M. Thiers dans le u'arioaat,
ompéohaient pas Lamartine t Victor
Hugo de monter à l'horizon.
Il
est trés-
aique de notre temps le livre est étouffé
par il joaena,, eu ce suas qu'on lit plus de
journ aux que de livres, mats verricus-uous
l'mollrlhté publique nx été troublée en .", o-, - ', - -
air peint de la Péninsule.
le et, sur nos quais et nos boulevards, les
e
Comme ie tons annougaie dans ma richesses de leurs vitrines, si le livre était
Linière lettre, les
l'généraux Sorran. , . mort? Ce sont pas l0 l stems qui
t soles, Sermno Bndoya et Ceballcro dn Ro-
das ao août embarqués, le 12, à bord du
vapeur lalca.a. Lite e,nbarcatiou à va-
peur est allé, les prendre à i'embarcadoee
du chàteau.fort. Immédiatement .prés, le
'le do guerre a pris la mer pour se
'entre aux Canaries, où il , activera que
dan si, jeu r cc liétimmit est un
rit . v marcheur.
S ors on juge pur les nouvelles qui
sit t transmises dit 1. G,auja, .ù, à la
s itedespluiesdecesde.iersj°uet,un froid
intenses°faitscntir,lesdmniors événementa
'ont pas fait use la rose ans trés-grande
inpression. Eu effet, la relus se euud au-
jourd fini à Ség.vie avec quelques.ulis de
sistres et le g.vveeueue de ]a eo-
ce,rllans le
",,,il terni !',;or mardii,, le
pou''t de crédit foce'°i, formulé par M.
L d- ts, t pr t la ç n
a t, arc dé à M Arémy le délais
d:mpa: rat n en franchise des cer6il-a cet
été pan és, et l'émission d'un emprunt
de 'i canto milliovs,spéciaiemrnt lesti-
IIs à des travaux publics et à l'achat de
eeaïns pour les semailles, a été résolue.
Que sont là des masures dont je vo,s
s
sis
goal, (adoption depuis longtemps. Rien
i' t,wnepiré au
u
asujetouvemendes déoitsiavoonartprises
mé. 0.
roldéa6vcmeait
dément r'essu'ant l'mivoi d'une lettre de
l'infante t'snanda à son an .a', atone, à
propos de la mesure prise à 'égard de son
mars.
Le bruit a couru aujonrd'bui à Ma-
drid que 1, général Plim avait quitté Lon-
dres.
n La ISpuca .a.-. que le brigadier
Mil.. fiel Bosch, qui se trouvait égale-
r
ment dcette résidence, est arrivé à
Lisbonne.
M. t alero y Solo, vie, président du
éongrés, été nommé inistre plénfpo-
Yentiafe d'lirpagne près la cour de S. M.
> Le télégraphe voue auea dfijà appris
la démission du cabinet portugais.ll parait
que ci, quia entraîné su choc, c'est l'échec
qu'il a éprouvé .u Coueeil d'Etat dans la
présentation d'un projet pour la e ise à
Suutiou de la desainurti.etion des biens
du clergé et des communes, votées récem-
.ient par la Chambre des députés. Ces
c porattons vont, d'après la loisanction-
12 ouu cette assemblée, recevoir des titres
publics rappo'lune 1 p. 0/0 d'intérêt et
pour une ,lu équivalente aux biens c6
dés à l'Etat. On dit que l'évêque de V suce,
direetonr du journal la Revoluçao de se-
iwnare et d'antres personnes du parti ré-
générateor feront partie du minïstére'le-
nidé par le mmquls
,le
Lovlé.
I Des Prèles Trappistes viennent d'a-
sheter, dans les environs de Grenade, une
certaine étendue de terrains ondoie et
rualsains I le sma là hr premiers ,ueeuerle
n Espagne do la Orandc-Chartres, de
Franco. (,Nard on voit les champs, salira
du Tien.oêtre matériel dos peuples, abmt-
.nés rait asse applaudir les
aotorittsen
eant leu
les
mnplacent dans la cultuu
desliterres
les
1abourears détournés de ers labcros par
Potinait due villes ou les eaigeneea do are-
il, militaire. Sans prendre souci de la
use et du but qui eu amènent à se don-
a ces travaux, il na sagit ici que de
cm000naitre 1, bien que nrodnisent ces
institutions eu assai.issant le marais et eu
fécondant lo désert; alors on appréciera
.justement les services qu'elles rendent à I.
société
et les nobles exemples qu'elles
fou urssert
n A ev propos, u vous dirai qae no
l v2s en ce moment â M.ts7rid dnnxecelb
p -
Mms àquel per a Je t schaussu des fouenit¢,es
Je
é p M D a 1. pt p
1 3 1 1 tt
bu, g t , l t d l I l t I,.. ll d t F s'e 0. le sait la maison G d'llotatraité avec des semelles d- a E qui dont pu'
ru i?
qui
o elle s 'a 1 .t 1 t f I o I I d I l p t on la T C t l f . M l . t t Noo.
L p lé 1 L f II I t 1 y b L on qre les wlLeetw e a nr ne nt a i
M ll 1
h
dl
1 Ilt l 6 D 3 é d pcc t toutes les pièces Udo c m devin
et
la guerre d'Italie, on e pris de
IL
1 o _ , i A I . f pinces
o(e par grau
pré.
M I,
no,suri
de I t u i f Les empan ts des villes se lt pl - i f a la Lour de -e u,. trer indue.
des oseII s âes t étd t revus a ses e atien ce dru an uli Il U
ôv
h l t e p Ote bente geri g r p prouver
(
u p J 1 I h t et é I J-a Cour Ilti'l a la 'honore du maiso Godillot ét t léchoulg e de tante £ t l'p.l à toue]essprf t L à
cou
u lictéra r, t u s d lé L ll d M d Ici ,ire e
11 1 .t l lor SI. don.rers ,oui organisés pour f peuvent
p lit.,, ait
l ; dtaré
1 ab
I
n . d
1 garantie. I p de ces pièces était de ,or
é, Il iqu
`S 3010>5 f Is Ii 1 p 'd ont pro ,ecce It qui con of 0 1 f c dtait1fr. 00, total, sus hentele restreinte, ils ne
o..unre dé] .t p l l' t e p rtcr came, grau pp ie
- , la fille
1, o c aie
,connut c r tl l ill le,u011 1 200. pIl 1
)I tir, rusa tra.vnnx
forcést,t et ft .t6 LMerl
es eme' fées et préaenta,t toutes les garantws,
fai
C'est la ce nu t é1 londGccrile
1, s
t
tel ,éol,âucs, i'.,.. dureri, q y J0ise000f .t
petil
t, iil,- d,
If
mille
rntelle. (Pas de (:ala té
00I
0 fr. Ei semble,pour ,usés se ,tuent, Lu fille 11 0rot ne pont x aient a pré c p t } auraient l'étabbsscmentdell Godillot.
de satisfaeton 'ai pro trouvé u. benehc ff t tan&s que de créé des m aebi p f t t 111.1.,.
o u;' ll stéra r tdot t , i t slaquatre local tés 2 oOélé
réprie er uo sourire.
sort
s luelquc +eér t N e ville de eLillo
eét qm cté t é r l 1 t t ' du' public
1859à 1862, voir p yei ]a aise, Go dues qui doone.t dru P i t d'in e con
a
lnité
l'on e s r usé t nv ' 1 t demander a érlt la no . 1 8 il 1 é at
Billot 8 fr. c.; c'est un bénéfice de 1 fr. tertio, excellente Q t Il,l p d
,gels ont
non
rases et voulait yl die par Lmstrtuti°u liras de fea.c' tIl ego cet vol-
IlAcou,
a mort.
otIc
foot etomi's.
26c.pnor la
lammsov`:
l
dGodillet, et pour arrivés as ,rps,l
lir f+
x
, Eta an, le
des décennaux. Le ,était là, le pleut, à ce drsont les feuilles locales,
- 1, , annuelle de 800ota c, cv iecn, une été .bbls de les trouver
pas quo
l"
-_i s est fit tréeemmeut quo Ils de 800 000 f on a établi tao sorteillance t s ét d't
]o Si Napolém, 1 tait .nul. Il r, la. n Erlanger A fleuri :ü
F p ont la commission des a u re,u7shre qae la mai
a où que part en Ameriyda (In a dit .r. p
11 t -chaussures et
es
-son uent aes loua livres et ans libraires,
c, sont les bons livres qui leur manquent-
Pourquoi `? parce que les auteurs n'ont plus
la patience dos longs et consoiencieus la-
sans lesquels il ne faut pas compter
sur les sucrés enfides Il durables.
Mais le signe de notre temps en toute
chose, dort d'arriver au but le plus vite
possible. Ce t 1 lement en litté-
rature qu'a st pressé. \' ces sous la cou -
séquence des enpositions annuelles de
peinture: il nyn
parti
de Iopeinture, il y a
l'indastrfu des partiaits. n directeur de
théâtre d...o six semaines à M. Augier,
à M. Sardou, à M. Alexandra Damas fils,
pour lui faire une pièce; dans le com mcr-
o et l'industrie, ou rtattend plus la For-
tune à l'ombre de la mauufsetuee ou du
noms, On onstruit
des. a'ries e à la
tesques, on bat la grosso c ss e aé-
clame et ou dit à qui veut l'entendre : a Si
à l'ilge de 40 ans, je n'ni pus une terre, des
heva n fatal et a. titre, je me or,)],
la cervelle. n J'eu ai eonaa pl., d'un lui
a eau marne attendu l'àge e 40 a ns
pour se brûler la ,I on qui végètent
n 4' étage puer avoir vo lu acheter
boulevard ylaleshcrUes
avant qu'elle eut des looatuires.
La fortune princière du tailleur Dussau-
toy a tour.é la tête à tous les eoufection-
eurs de pantalons et de gilets. Il arrive à
Paris des millions d'Allemands qui .'ont
pour capital qu'une aiguille et e paire
de ciseaux; ils commencent par des palais
vu so dressent des moutones de vols-
eues, au mille. d'un océan de lumières.
'
Ils vont finir dans un coin do la Gazette
des Tribunaux au chapitre des fallites.
La Cour impériale de Paris (chambre
des api ele
ede police cocerrionnelle) a
ndu hi r i arrêt important ce matière
de presse. Le tribunal, contrairement au.
jugement rends dernièrement par la 6,
chambre, dans l'affaire du journal l'Art, a
décidé que le pet 0000 loi, dans le sas
prévu par l'art. 13 da la lui do 4 mai 1868,
a formulé l'opposition o° appel dans les
24 heures de la signification de la
--'ce-
nc peut cire valablement cité à eorn-
pareil
e de novvoauc ge'mt lleietvant la
en'
délai de 3 jours, pros r
par
, 184 du
Code d'ioet.ctiou onmroolle.
les mats de l'art. I3: «L'opposition ou
l'appel entraîneront do plein droit citation
A plus prochaine audience n doivent donc
ûtre interprétés en ee sens que cette plus
prochaine dianes ne peut être quo la
I remiéro audie°co donnée par le Tribu nal
ou la four après 1'enpiratioo dus trois
J° Lesaomünatie,, ,dans l'ordre delaaLé-
ire petik nombre nulle a.iinél.
On,,as. ene
quel'En,pe'eue,
dans an
un
s'il ,Iront
rait recommandé au rostres de ré-
duire .,tant que possible leurs présenta-
tions.
M. Pinard, ministre de l'Intérieur, doit
être, au, la présentation de M. le ministre
d'État, élevé à la dignité deeo au-
min
don,.Le
Gaulois prétend quo l'infante d'Es-
pagne, duchesse de Montpensier, , fit,
vaut de quitter le territoire espagnol, une
protestation Pont ce j...an, promet de
publier le tout'.
Le Gaulois ondule, eu entre, qu'avant
do partir, lo duc de Montpensier a envoyé
à la reine la démission du grade aoot il
jouissait dues l'armée espagnole, ainsi que
11 d titre d'infntdL pag de
telles le décorations qui loi
lent été
aceor irai,,
' ous la ruaiu. Au lieu ils vout les choses, noue Croyons rlnuv.Il " tins fem me était traduite eu' cour d'as'
coin es, ue t'ecu ovin. été amené à faire lot fourursèait d exce en
p eu il y ara l I l dg et
s a:ée d ire rt e co mis sur tue itq C'était an des habite il,,. confectionnés. Aloute,
ce trot, par les coustaneea ,
pour ainsi dire
fournir ,
peu
o pré sen svenir u
5 elle t fait avorter. -sud de la guerre de Crimée les flou l11 t
d'utiliser cet aille
q i piP 'u
ut f
1
m] Le came était filant, les dépouille,,, mo avaient un besoin immédiat de chenu. sans Lmrtes, Il s'ai Jasait
.tendIl avec toutes
b
p d t
évènier nf
B
t mi'
e,,velu ten
fait
de il
x
nous
aeek, créateur de
l'usu
nité
ci
l-C oci prénf6.
,,de t d on 'I chancelier a,
s 3e
1
-
1( t d d t ch .y4 (00f
t .. `f e i lnG s eo
L monstres qui touchent d abord
1:o), 000 f t traitement de
é t d 30.) t t f Il ism des pal-
a. q, i
t I E 2 t 300,000 fr-
I I lie qui en ressemble pas à
I d S d
O q dct
d t d o t -
1 pose d 'I'l', a u d é
I. 1 L" -..c 1 Et t L ts
la 6mge du Nord. U o t6 de pt
ge d, cet ntrepril, nationale ,sont
de se
constituer
sous la présidence de M.
Drouyu de Lh MM Elle d B t,
le comte de \t t t l c l I
bouilli, séuatev,s, faut aussi partie do ce
comité.
M. Gustave Lambert vient d'écrire au
mitée
président
Il comué chargé de recueillir
ie
las pu iptia Poux l'expédition .a flûte
Nord, , peur lui ai oneon que les coufé-
en t 1',,g,,.g0tion des mité
en son' la -eue o'
ue septptcm,
ce
succéderont
o.sp'à la ,a d' embre, après
quui
u procédera à l'armement dv mode qui
ira plût à prendre la mou a la fie
de
rairait : A. Pu co-,
On assure qae M. Magne, ministre d'a
f nonces, s'occupera, u prêr la session, d'un
travail qui air. pour bat de tondra aux
re rs généraux leur ancienne déno-
ivation ; celle qui a été imaginée par
M. Aalrllle FauiI -trésor{ers payeurs
généraux - est beaucoup trop longue et
devient embarrassante dans certains .a.
La s
.au idée beurcuse9 l'expérience le démen-
tre de toutes parts.
J. da P.,Il.) A. Planquette.
- Il est ouvert au Ministre seeretaire
d'Etat au département
il' pinst, action
publique, sur l'exercice 1868, un crédit
extraordinaire de 50,000 Ir, applicable aux
frais d'uas mission soientifique III
Saigon, et ayant notamment pour objet
l'observati'. do l'éclipse totale do soleil
du
18
1868.
E sera p..rvu à la dépense au yen
dosrossources affectées a l'esereme 1869.
(11,011. des dois.)
- M. Glais-Bisoin adresse la lettre
suivante an journal les Cdtes-du-Nnrd :
leu
meut
b ,
cltm miulcu le réquisitoire f t 11.;: ,cru, On fit eu Angle sfu des commas éta hsse
Cette
misérable femme était pe
dt
es ,.cent des fournit,res tell'- les garanties poesihles plut sauvegarder
La jury s'était retiré pour dblmb(req me t défoct¢eusee qu'il fallut en chuter l'iutérét de l'Etat. toue les
quand le président ontra et s adressant il., pour 100. On s'est donc adressé à la J'oubliais de dire d'abord que obtenus
s 111, 1. icomidu,
1 e doublures
l' rèse Godillot, mais toutes les so- Pué t
Messieurs ,dot il , pou q tt: p t p ,ter dans les
racinees
cou-
,o t i d' Il
.
,1 le I, ,
t p 1
tl s L,s procure
s
d
t que f B10 étions.
cette femme, l fa
Ils InIs. L,tk touchéladomv il s
pu
11 d f I delafaçou.
,a 'il té têt C Lenoa c F ,Il c lt g 1 Iaise Godillot tl 1. .l q e
ats,
P i t q tt rê ,l'accusés, lIsrde la
otroitins
t d le u. ( tué] h aucou qne
',cota quelle fut parfaitement oui ! lo, eh puisse e . t en effet cita raison qu'on d
l
11 lu 1 t 1 a un
t t t ainsi sur la tcM l f t, pua, les p e 1
u'
1
,carrso¢tes
pro es au
pression qti
p
'Z'1111,
n outil le I it s t q v
tut sur eux cet mvrarsemblxble m a ch """,a tel t de mémo L _ I t , j ai treuvé
'
ne
trac. l g s ils il it pA° 4
l o s 'CI modifié
Voilà du moine ce que l'an dit pour les habite, 1 s laq te, . Il suffit d é des comm ehsbhes, ]
llane la Gaae[te..... de New-Pork.a
s
I tabhr quelques couseuses qn`7° Faie d 'un la composition ; le les m rendues moins
l' né
n elles se ter t
m 4
t
fi l
Le monde scientifique, surtout roi
eurgiesl ne '.
nouasIls
u'
na
6n1n dét
d'erreemmais
n par
v
fion bleu arrêt d Cl g t Lue, les ju
aux Stama de Il eltre à une
opération chnurgicale %ont pour objet de
trancUnr la lion merveilleux qui les a si
longtemps unis. Il p a 40 aes ces ju-
ont été présentée au monde eivilisb,
oucel,
ayant été amenés de Siam en Angleterre,
01827 ou 1828, par le
capitairs
Bunker,
demeurant actuellemcet à 3evv-Yod., et
pendant nombre d'années dans les grands
centres de la civilisation, ils ont ont été
exhibée au
Public
: paie ils se ftxérent d'an
commun accord en Amérique, Ils cheté-
reut une belle terre dans la Caroline du
Nord, épousèrent deux sienne, et ila se
firen6 fermiers. Chacun d'eau est av
,leued'hai père de neuf enfants ; ils ont st
teint l'àge de 59 ans ; ot dols pensent
i utenaat à refaire sépueee, c'est à cause
da la crainte qu'in,
en
l'mi d'cua ie ,',Ip e pour
demande quelles chaneèo de sucrés
,ma-
Irait avoir l'opération désirée r
Onu
On se rappelle que les jumeaux
liés et attachés l'un a l'antre parons socle
de membrane massive, parfaitement vita-
hsée, de 10 à 12 pouces de oi,IeDférenec,
situés prés des organes d, la vis, et tout à
fait voisine de cour et des poumons. La
connexion est si intime que chacun d'eu.
parait taire partie intégrante de
acune do l'autre : oa dirait d'ax membres
ordinaires d'un seul corps humain natu-
rollemenE cousin,,. Sensation, impression
se, phénomène ...falie,v
t et conditions
existant est unique dans ces deux
tLa
question relative au résultat
vole I
'la l'olé-
uche
Dation ,est
pas
s son qu'elle.
u
vis peu
Il temps après leur
preoemière
ap-
ron à Londres et a Pars, elle a e.citb
les
les
recherelres
des premières intelligences
do monde ohi,urgical. si sots uous cap-
Peloes bien, les jumeans furent alors pré-
ntés devant l'Académie de édecine et
chirurgie de Paris, pour que l'on eût leur
opinion sur les probabilités de lu réussite
'une opération.
le désaccord '
Ce fut, croyons nous
présence duquel on se trouva à cet égard,
qui fil abandonner le projet. La science
chirurgicale a-t.elle fait des progrès si ra-
pides que l'on puisse aujourd'hui promet-
tre d'heureux résultats d'une opératinr qui
s
semblait si doutons, il y a 20 à :30 a
On nous dit que loi feères ont l'intention
d'aller à Pans po.r foire faire l'opération.
(féoeuing-Pnct, d'après le New-York-Tri-
bune.)
Paris, 12 juillet 1868.
Mon citer rédacteur
Je regrette que le général Cluseret, si
compétent duos les "'su de la gel ne,
ait attaqué notre courges, NL. Thiers, à
'occasion de ses critiques très ibfondées et
adressées au budget de la guerre.
Nos vues ,,r les questions rl'éeouomie
politique et sur l'organisation de l'armée
sont P. les mûmes que cet es de notre
illustro c llégue. Nous différons égale-
ment su, la meilleure solution dol. ques-
tion romaine, ennui la plupart de ces que'-
flous ne sont qu'aoeidontellcs, accessoires,
et, comme le disait avant-hier M. le garde
des sceaux, le temps est chargé de les
rexudre.
il
n'as est plammai de la question
o uni-
,
tale de celle qui forme le lion de plions,
libérale
celle qui a pour objet de rendre le
pays maure de ses destinées; ou d'astres
termes, d'établir le gouvernement de pays
par le pays. S.r cotte question, 1. plus
importante de foules, M. 'Chiers est en
P5'iail accord avec nous ;dent la convie,
fion de toute sa via, aussi le gouvernement
personnel ne compte-t-il pas d'adversaire
plus redoutable.
l'ersonnr dans la chambre et dans le
pays n'a plus d'autorité qua lui pour nous
délivrer de ce gouvernement quia amené
cimes nous l'invasion étrangers' qui a fait
cette désastreuse guerre du Mexique ,
doublé presque le ehsi0're de la dette pu-
in igvq imposé à la France un budget de
2 milliards 300 millions , c'est-h.dire de
pp èn de 800 millions plus lourd que les
buouots des gouv.rnemente antérieurs; et
qui no se croit pas an suret, devant
l'Eoeopo s'il n'a pua une armée de 1 mil-
lion 200,000 haleine,.
Jamais la voix de M. 'Thiers n' fait
défunt à cette sainte cause.
\'oublions
donc pas ses éelatantsservices. Ne voyons
,ca .ait. Marc ,ai',
la banv ère qu'iil a ai-boréeU il sy
oasvingt
e, et qui est le vrai symbole du gouver-
wnt du pays par le pays : le chef de
PF.tat, quel qn d sait, régna otnc gouverne
pu'.
Là rat le salut de notre chère patrie.
Al. Giuis-Bisoin.
- La délibération d, ,jury, dans l'af-
faire dcla A o Sf Hilaire (assassinat
ett vol ; d d ), n'a pas doré
,tus de deux boules, La quosho, relu-
Corps Législatif.
Extrait du compta rendu anal0tique de ta
séance du Mercredi 15' juillet 1868.
-Ê,ai..Ur. la .. ..û. .. sl.,I.IDU.
M. M.cwa continue :
v La commission a entendu ces expli-
cations ave
intérèt, mis elle persiste
néanmoins à réelamerque les prescriptions
de la loi soient observées. I
Revue ...
j'ai avoucéc,.s lsavoir
irons
gDe l°inobservatmn
des règles est onéreuse puer le 'Trésor.
La commission des comptes de 1864, quo
je viens de citer, voulait qu'on respectât
le principe de la concurrence, quels que
fassent les av stages indiqués par tes
commissaires du gouvernement; mais
cette cireostance atténuante n existe pas
ci, ion ,narchés faits sont dé-savan-
tagenx pour l'Etat.
J'ai provenu hier M. le .,.,aile de la
guerre qlo ,l'avais l'intention de porter le
débat sur ce point, afin lvIL put apporter
les documents nécessaires pour me ropon-
dre.
Le 3o novembre 1859, il a été passé,
directement et sans concurrence ni publi-
iié, un traité avee la maison Godillot,
d'une durée de dix ans, par lequel : cette
..eu. s'engage à fourni, an
r
300,000 paires de souliers par an, t au
im 600,000: les pris
varientd'an-
née loi année de 8 fi. 40 d'abord a 7 fr. 70
peur
leseinq demieres
anvée. D'aprêuootte
Orbe le progressive, le prix en 1804 de-
ait être de 7 fr. 7a, mais la maison
Go-
,,,,,ai a obtenu or, premier supplément,
qui a porté le pli. à 8 fr. 1, et le 29 mare
1864,
DU
second suppllmeat de 0,25,0"1m
sau , durab es , J m re
prix minime, dans an bâtiment s-f
et pour augmenter le nombre Oct p. °
compote de la.fiilla
emcé dePp ris quitus uu ué-
durts, il suffit a augmenter le nombre des
gJenI souvent. ifs sont peulrrt n i
couseuses. aie, dans ce, t -ait
-
,,
il D
Eb bien, ie 23 mars 115'à':.. la m ,son i c t
Godillot t nn marché e m11e véu pan ux, ils apportent plus d ou l -
tanes de
l
3 milliers ; e11, est antorraée à le Ce sont Sono eai co e,s 6 de 1- tnlmet j
vélo, à un tiers avec ne bénéfice de 10 es fournit eesu ,
deséoe t: 1 é
pour 100 ; la maison Godillot, qui fou,- arc us neusnt de s
corps ;plorsque Ire
usait seulement l'emplacement, réalisait clamations venait réclament, ils sont
, pour cette seule location, la somme officiers de ces corps
vsidérable de 300,000 fr. par en. On a jugés Par des camarades des autres régi.
dopayncé
les aquettes 7fr. 50; depuis que'- mmits.
que ternisj, rit a traité avec d'autres m -
Oui, il y a ou des marchés de gréà gré.
sous
de Marseille et du Mans à 6 In., "est Niais on a
oublié
une obseles e
iouliers
po le
donc un écart de 20 pour 100 ot'. les tante eu ev qui concerne
erre ve chaque année, ove com-
prix de 1859 et ceux d'aulomd'hui, et je marché p po penmen
la, sache pas que ]a mai.-d'mnvre ait di- issimr coin ée ,l'hommes ex tés
le paix due coula=. et qI ue'
né dans cette proportion ; il y a dons
détermin "a
n là encore une perte pour le Triaor pu d après cc prix, on era nonce l e pli .dota i
bile
chauesvre, C'est ainsi que
t
o.adulà un Pets
En 1860, la m u Godillot élit v mi, augmentation de 2 o .os
arché pour 100,000 paies de guêtres de de la chaussure i'ilD'y e s
leu
au pus do 3 fr. 50 ; les régiments les arbitraire do min
achetaient, en générsl, 3 fr. 10, 3 fr. 15, Ce marché va finie. Comment foirel le
GIIIII
t tous les fabricants les livraient à 2 eontinuer à utiliser la mmso
fr. 90.
pro mettre les douanes de ,bout f
'ans
Pendant quelque temps on a paru ce- Je l'ai dit à M. Godillot, en viaihmt son
nonce, 212 système de traités, et le 7 magnifquc étaUlissement, qui c 1 1
oise .d'ouvriers Padmnev t 1
u mr
t
d d p
,ea ,e
e a lu
v hu r1 y a c- es
de base étaient
2012.2ésacs:es; x,
11,73
o1
12,28
;1'adjludicaptron
a étb faite
aveu des réductions de 1,63 et 1,88, ce qui
a Produit une éc0uomie de 46,000 le. sur
les prix établis dans les bmaux de la
guerre. Les adjueulaires de 1862, satis-
faits de cor conditions, offraient de fournir
tous les hat rcisacs iééefrnss 200,000 hde avr lee
pli. ;pnvr an, je me
ie
h
sacs
liait comm d
... lors
tirs plus coütéun.
compliqués
ils Mais ou les a donnés à la maison Go-
dillot, sans concert ces sans publicité,
n prix de 14 Il., elles 'dju-
oTenaant ,'.",',',.r
dicëtaires de 1862, qui avaient fait leurs
preuves, qui s'étaient loyalement caécu-
tés, avaient ."""'I pris de 12 fr.! C'est
ara différence de 600,000 fr-
'lels sont les faits que j'avais a signa-
'eq et
je
prie la Chambre de les prendre
n très sérieuse considération. Je les
tiens do personnes en qui j'ait arc entière
eu.fiancc. 11 ne faut pou oublier que lues-
qüon abandonne les principal tutélaires
de 1. fortune publique, u
eexpose à
mpremettre
les
mteréts du Trésor dont
nous sommas lev gardiens vigilans. Sr nous
a.ereinos avec plus de sévérité notre co.-
trûle, dosfaitssemblables ne seproduiraient
iode me hâte d'ajouter que depuis quel-
ques moi
r
uleystèmIl c Il .ce, .
e des,
ldjvdioatioas, . et
a
t
je ton félicite. Mais il nen est pas moisa
,Ui Inc l'on a exposé le 'Trésor à des per-
tes considérables en s'éloignant des erre-
ments n0cessafres eu comptabilité. Pour
1867, cetteperte peut ,évaluer, à 2 mil-
lions,
1l soffitde signaler de a,eila faitspour
qu'ils os se,enonvellelit
puas,
sa pour quo
les deniers publias soient dministrés
avec plus d'économie et ma contrôle plus
sévère, (Très-bien ! très-hien 1 à la gau-
che de l'orateur.)
: C'est
""vrniuo o , a
avee u
sentleiment
detruivase que je
prends la parole poire répandre à l'hono-
rable M. Mage u. 3fou ami et cellabore-
teur, dans les attributions duquel ecu--M a an
combéhice^
er9Vous avez connnrleaaractère
s1honorable, si bienveillant, si droit, de
cils de
lhomme dont la perte m inspire de Plu-
regrets. (Très-bic. ' très-bien I )
,lit tacherai de le suppléer. Les ques-
finns de marchés qui viennent d'être sou-
levées intéressent tellement la bonne ad-p
nisteation,jem'enPréonce , à an tel
Point, quc je crois les coanaitre assez pour
répondes, ajouras, le détail, du --les
^or
l'onsemblo do ces opérations.
L. discussion de l'honorable M. Magnin
surtcut poncé sur les marchés parsis do
gré à gré aven la maison Godillot. On a
appelé le décret du 31 mars 1862. .Te
l'ai tonjuurs soirs lits yeux, et je ne, m'en
vis écarté ,,an 'bues
dés, l luis eeoption-
nela prévus par l .e
L'établissement de M. Godillot est des
plus remarquables,. c' et un de ceux qui
t rendre a l'a,noin le pl d s
t dosa v
ces. N
esous
marchons maintenu
il
vo o
votre habileté, votre génie mem,., cc qud
je ",,rails pas, en sont vos pria. Cuan
voa, avez poussé aussi loin
travail au-
tomatique, tons devez avoir
d
des bénfificcs
re
la concur-
tels oudee eus n'ayez à craindre
pcrso une.
Quaint à fade des adjudications Ils soll-
lices, il n'y filIo ol pas panser. On anrr,it
en des molles d carton il t
par Petit Pas
pa ns découdee vu s'alice peur le
juger.t donc ce que j'ai fait
dit
, .a on j
Vole
que ]a .aile. Godillot t.raitast avec d,:
os quis;ai û;,,
ao vent des souliers
faits sur lesquels e réalisais hlihésé lutes
J'ai donc voulu avoi,^ sait é a
différents on! ranco. J'ar dem.iOdon aile
',tendants de penvoquer la créa
'urg
q'ot
fabriques de e lices a nuances, s
bo
t'asEà
us', à Marseille, à Lyon, à S
Je trouverai là des prix de fabricato."
oppcsen à taos de la .ai.. Godillot; u.'ir
renco sera ainsi établie pour les ras
ou la maison Godillot no voudrait pas foin
u. paix déterminé, car alors ou sa-
dréserait à ces maisoes concurrentes.
Si 1,
a. peut m'indiquer de
colleurs
ns lavoir des fournturea de thon.,
qu lité et à meilleur marché, je aurai hen-
scax de les adopter.
Les souliers, Messieurs, out pour ?'in-
fanterie l'importance qu'ont
111
s heu aux
pour la cavalerie. (C'est vraI) ,te puiau
dire que j'ai passé nue partie de m iétudier
le soulier du soldat, (Rireaa d'op-
probation.) Eh bien I les moyens de fabri-
cation as vulgarisent ; ou fait ujoued'liui
des chaussures à v i,, qui vissées devant
et derrière, mais oeusucs a¢ iii-, fout
de très bouses chaussures. Les
''l' u
répandent, et il résultera dr
1.0oucurronce un abaissementdes prix.
En résumé, vous voyez qu'il s'agit sen.
ment ici d'une question de main-drau-
_ _
x. Sauf pour les souliers.
inous ine
u l
Sana
doute,
Pensions fournir les cuirs
an oe
b
Dami.'
Darse la peau d'on ",,Il il
y a des partioa
excellentes bonnes pour chaussure du
soldat, ot c le eo s intérieures qui sont uti-
s
martyrs, poire
lisées pour ie commun due
, NlI.iI.rs- (On rit.) L'Emt sri '
l
fort embarrassé de ces peux que les I -
brisants, eux, utilisent aisément.
Voilà pourquoi l'Etat au fournit pas
les cors i mais
laufr
l' -
sua four matière Fie
iniére u
Vol, voyez à quoi se réduit cette pré'
tendue économie de 2 millions qui
sais t
du ûtre faite par le ministre de la g .
Nos fournitures sont
is d'objets
dei"iect
i magasins
sno
garnis
gnlrtél -
mi1'arelu, à a question due marchés. Per
sonne n'aime les adjudiations pins qne
i ; je les emploie le plus possible ; c'est
d'un bon exemple pou, le pays (tees bimi';
c'est Don garantie complète Pou, le on-
sistre. Il faut y avàe recours quand eu
p o.Te n'ai jamais donné d'autres vostruo-
atractionsi et derpjbramenl l ay q se'
,vt,
1 à
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

il cet vrai, refusé de renouveler dos
thés qui dopa t , fa sac,
roi des familles et j ',ô ,u à l'a
"Émoi
B é du di,
soi
feu .,rc,
l t rm, a p, ni ,Il ,,
l
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` p ; l l 11 1t d l t
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iblien, 1 pal 1 c d wtcnent ou
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I est pas once 3 t (lia t ii le eca,
no .. à l'ad,l uJrOUtto.
Les
blés
's r
ont parl'e's l'ob jet de
allés da a
g'' g seulemant en
lames de disett e
l
lie peso do
lesp prolione t } de prix do ut
et nous l'aven fait ien l e 7 et 1860,, nous
passas des traitée aven do grandes mai-
aotammeat avec la maison Roths-
cbilad.
Mois, en gdofral, l'adjudication est la
régie suivie, c0 ra p qu'on puisse
Il y il p 1 décret qui prisas leg'ti-
a un, p [le nos' t0 t perme t e
1
tr
q 6 1, l t I t
nrI
I 1mié tcé 1
a, p I d tl, sacrifices ,bus 1
c i t. h (Troll b
t'es bi'u ) M t leu 1 l
g nette'fortune
t 1 t t 1, l,ore quoi O le déert.
SI -an, 1 vous emparée de mou bien,
L honoaie garda des s oaux m'a dit
u
a four on notgui more e tenmfimolse.
Je 1 p 6 ta,s mdme la réels iatioa
d quelques ml lires d'iudrvi lue et
moM ,la .:. (bruits dlsersj je ne
cache pas; las terrains dont je parle appae-
lie mm,t à m famille depuis 1760... Eh
b 1
0
s , les
eus
canez voir ? En
E
. saut mosi vous
faites reculer de
pl i lia.
i effet, Messieurs, vous avez ,u sans
d t ins I' tour qui s'élevait sur la
place Sa nt Meehel, elle est remplacée ou -
jonrd'hni pue une belle maison de M. xauss-
mana et je no m'en plains pas autrement
h lion I cette tour avait cté bâilla eu.,
Phillic, Auguste lorsqu'IL voulut crouler
l'eucmute de Pans lova fit ce roi alors
L fait st histori ue . d d'
q edommagea le
citoyen qui
e e
était propriétaire de l'ampl
minent, eu lui doonont en échange les
es
to'nifi, ,lu. ud i maille pos
d'h sède .ujour-
de leldt cependant il n'y avait pas mm,
,
de loi d'expropriation. Ou était donc, à
cette Gpoque,plvs juste,plse civilisé qu'au-
jourd'hui.
Mais je reviens au mot de M. Baroobus,
(on rit) loesgne j'allai
Il voir et que je lui
adressai ma réclamation eueempagnée de
tentor les explications nécessaires. Après
m'avoi écouté attentivement, M. Baroche,
qui étaital Use président du'onseil d'Ititat,
t
il

Gturr. la propriété,, Gui cet eepeaI at le
p- -e tés l y
l'
tpl
are I I -. l us
en
11: u d e nstltuor en Algérie
F ° eutgm tout o unie lionne
c le hie ér éts des wdrhoies et fa-
1 a x ho q e
U tri tadet e
1 is c Tout si bien
P
t'ut en 0 arteindre
I i I f t pI y 1 y q.,
1 f g l t u d hv.rIorI
tI, 'a,."d'."'
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I r. t 1 lif et ni ',réne POI
19 (t i I approbation o sur les bancs de
La ,
d i d t
'¢e
L 1111h. t le o roin,
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la It q ttc, m t 'le 1 Agncultnee, du Givelot (Ray a d CL le -l'rauoeis, 7 ID[. Paul Lmmn, Pages, employé de
c S
t d s t'a il a s i l c B in h j murs quartier de Permis comm rce, quai de Touu,s , et Mlle \Ixrre- Quxl t
carruei a d I+ 1 t, t d n It I d R ii (I' 1 J - 1
7 11 ,joues, et Jeuséphire, B ,t ré, gilehère, so chaude,
d 7 t e D y teT lo e a L duL T4 t
d 1 r twto 11 q L er ol I Merle leur), 4 mois, né è 'Toulouse, M 11 n Gor $ ,f d' gl.
Miel,
I tir d 1a a, limira` Rr- allée Ste-Ague, fE BI -
A Rod e et Min Marge cite ( mrcra
audit Rode,
M. Ail, te T I l er, Coto-
Pa Pl t d et allie Jaune Go.cuisinière,
à I 11
M. Peosper l'anl P r,. and
asix ]Ilotes et nu
cerff .rfta,rer rédm,,isnes
malien nrrrevnL
Corps Législutir.
(1 t do Conque rond. almytiqul.)
do i d 167 ll e 1868,
de g It d é lll'oi Iill, mi st de la`i} Du 20
r O l de M i n =tre La aloc Anne 22 2ravette-PtA,,chel.
ans ne à Gar-
I 0 e t s MM d Pmien, douch'H.{;, , rvé U
é l td
BI anc I Il deleine .lustmc) , 'I nto
s
1 1 St M hel, 119.
P
de Îi, Iiousil Bh a.io, fli Ga,rth P g (Pie .i I lounlenesuee,
cr,
yte ébé mayeac, propr t a
n I y r I B b' dal, In- sur, 30 na n@ a
eue do la Caylus (Tarnmt G ) et MIL 1 li,-
1 Petf Lh a: C 1 h t 47.
Aao]l. T
i
linly dé
1 ra' > l Il t Oz e d q t StB 1 (Léopold), 13 a s né L
I (I a 1, lichen, d B eedou, Paré, B llg d 23.
U ip t D
4fM Ig lovlon ' 9 et u-e),Lmos
1) J o Ill.. d ptt
o a se, col Hohot, 13- un
Houx (Alexandre-Emile, cano
I8 d'artillerie, 19 ans, né à B 1b- (Seikaté
(Marins), 11 creau, né à 1 1 e,
ara de Muret.
R ee (Mari i Baptrst ,, 3 mois,
né à Toulouse, 'et B 4
Gluant, (Ma J ) ep Go
zé, 64 ans, née Temple (Lot et Garonne),
rue du Bouillon, 18
général c_lolu. get met
00
b d r ai dc cul. t
Lu reh,e _
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u ee êta La meilleure Peudre
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