10.07.2015 Views

Tera 100 : le supercalculateur le plus puissant d'Europe - Bull

Tera 100 : le supercalculateur le plus puissant d'Europe - Bull

Tera 100 : le supercalculateur le plus puissant d'Europe - Bull

SHOW MORE
SHOW LESS

Create successful ePaper yourself

Turn your PDF publications into a flip-book with our unique Google optimized e-Paper software.

<strong>Bull</strong> Direct N°46 I Juin - Juil<strong>le</strong>t 2010ÉDITORIAL TRIBUNE TEMPS FORT SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDAÉDITORIAL© Dominique MaîtreAu meil<strong>le</strong>urniveau mondial !Par Philippe Vannier,Président-Directeur GénéralC’est avec plaisir que je m’adresse pour la première fois à vous dans <strong>le</strong>s colonnes de<strong>Bull</strong> Direct, d’autant que l’actualité est particulièrement tonique avec l’annonce d’unesuperbe réalisation de <strong>Bull</strong> au CEA : <strong>Tera</strong> <strong>100</strong> <strong>le</strong> <strong>supercalculateur</strong> <strong>le</strong> <strong>plus</strong> <strong>puissant</strong>d’Europe. D’une puissance théorique de calcul de <strong>plus</strong> d’un million de milliardsd’opérations par seconde (1,25 pétaflops), soit <strong>plus</strong> d’opérations en une seconde que ceque la population mondia<strong>le</strong> ferait en 48 heures ! Ce titan est vingt fois <strong>plus</strong> <strong>puissant</strong> que<strong>Tera</strong> 10 mis en service en 2005 avec un rendement énergétique sept fois meil<strong>le</strong>ur. C’estdire <strong>le</strong> génie de nos capacités d’innovation et la pertinence de notre engagementenvironnemental.Autre succès emblématique de notre expertise dans ce domaine de l’ExtremeComputing : AWE (Atomic Weapons Establishment) a retenu <strong>Bull</strong> pour la fourniture dedeux grands <strong>supercalculateur</strong>s bullx destinés à garantir la sécurité du Royaume-Uni àl’ère de l’interdiction complète des essais nucléaires.L’Extreme Computing s’impose aujourd'hui comme un atout stratégique dans uneéconomie de la connaissance où l’avantage compétitif majeur est l'innovation. LeRoyaume-Uni, la France et l’Al<strong>le</strong>magne sont dans <strong>le</strong> peloton de tête des pays européensdans cette course à la puissance, mais l’Europe (26 % de la puissance mondia<strong>le</strong>) restetrès loin derrière <strong>le</strong>s États-Unis (57 %) et la Chine investit massivement.Étant donné l’importance de ces systèmes pour la souveraineté et <strong>le</strong> développementdurab<strong>le</strong>, ces succès sont un immense moment de fierté que je veux tout spécia<strong>le</strong>mentpartager avec vous. La preuve irréfutab<strong>le</strong> que <strong>Bull</strong> a <strong>le</strong>s ta<strong>le</strong>nts pour poursuivre satrajectoire et conquérir de nouveaux clients. Acteur européen majeur de la sociéténumérique, <strong>Bull</strong> dispose d’un portefeuil<strong>le</strong> solide et cohérent de produits et de servicespour <strong>le</strong> monde de la gestion comme pour celui de la simulation numérique. Les annoncesen cascade de ce printemps, qu’el<strong>le</strong>s concernent nos <strong>supercalculateur</strong>s bullx ou nosgrands serveurs d’entreprise novasca<strong>le</strong> gcos et bullion, sont porteuses de croissance pour<strong>Bull</strong> et nos clients.Soyez assurés que notre engagement à vous servir est total. Au nom de tous <strong>le</strong>scollaborateurs de <strong>Bull</strong>, je tiens à vous remercier pour votre confiance et votre fidélité.– page 2 –


<strong>Bull</strong> Direct N°46 I Juin - Juil<strong>le</strong>t 2010ÉDITORIAL TRIBUNE TEMPS FORT SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDAEXTREME COMPUTINGInnover sans limite et sans compromisavec <strong>le</strong>s <strong>supercalculateur</strong>s bullxENTRETIEN AVEC FABIO GALLO, VICE-PRÉSIDENT DES SOLUTIONS EXTREME COMPUTING DE BULL© Dominique MaîtreMoins d’un an après <strong>le</strong> succès du lancement du premiersystème bullx, la gamme de <strong>supercalculateur</strong>s de <strong>Bull</strong>vient de s’enrichir d’une nouvel<strong>le</strong> référence. Pourquoi est-ilnécessaire de développer différents systèmes ?Dans tous <strong>le</strong>s domaines, si vous visez <strong>le</strong> <strong>plus</strong> haut degré deperformance, vous avez besoin d’un équipement qui soitparfaitement adapté. C’est aussi <strong>le</strong> cas du HPC. À la diversitédes besoins correspondent différents systèmes, optimisés pourcertains types d’usages ou d’algorithmes. C’est la raison pourlaquel<strong>le</strong> <strong>Bull</strong> a construit graduel<strong>le</strong>ment une gamme qui estdésormais une des <strong>plus</strong> complètes et performantes du marché.Les lames bullx, introduites en 2009, sont des « thin nodes »d’une densité exceptionnel<strong>le</strong>, c’est-à-dire qu’el<strong>le</strong>s permettentd’associer une grande quantité de petits serveurs dans unearchitecture de type « sca<strong>le</strong>-out ». Puis nous avons proposéune lame extrêmement innovante qui intègre nativement desaccélérateurs GPU. Ce système hybride est directement issu denos travaux antérieurs, notamment la machine Titane, quenous avons déployée au GENCI et qui reste <strong>le</strong> <strong>plus</strong> grandsystème européen à base de GPU. Enfin, nous lançonsaujourd’hui notre série S, <strong>le</strong>s « super-nodes », qui est conçuepour une architecture de type « sca<strong>le</strong>-up », avec descomposants <strong>plus</strong> gros, <strong>le</strong>s « fat nodes ». Chaque approche ases spécificités et ses avantages, et c’est pourquoi la gammebullx se devait de couvrir l’ensemb<strong>le</strong> du spectre technologique.Bien entendu, <strong>le</strong>s différents modè<strong>le</strong>s bullx sont compatib<strong>le</strong>s etpeuvent être associés au sein d’un cluster sur mesure demanière à conjuguer <strong>le</strong>s atouts des différentes architectures etrépondre précisément aux besoins d’un maximumd’applications.Pouvez-vous donner quelques précisions sur ces super-nodesbullx ?Ce sont des nœuds haut de gamme, des serveurs SMP quadriprocesseurs,extensib<strong>le</strong>s à 8, 12 ou 16 processeurs grâce àune technologie exclusive conçue par <strong>Bull</strong>. Dans <strong>le</strong>urconfiguration maxima<strong>le</strong>, ils peuvent former un nœud de calcu<strong>le</strong>xtrêmement <strong>puissant</strong>, possédant jusqu’à 128 cœurs et 2 Tode mémoire partagée. Ces super-nodes bullx, qui ont étéconçus et développés par <strong>le</strong>s équipes de <strong>Bull</strong> en coopérationavec <strong>le</strong> CEA, sont à la base de <strong>Tera</strong> <strong>100</strong>, <strong>le</strong> premier<strong>supercalculateur</strong> pétaflopique conçu et développé en Europe.Destiné au Programme de simulation français, <strong>Tera</strong> <strong>100</strong> estconstitué de 4 300 serveurs bullx série S. Il intègre 140 000cœurs Intel ® Xeon ® série 7500, ce qui en fait à ce jour <strong>le</strong> <strong>plus</strong>grand système jamais conçu autour de processeurs Intel ®Xeon ® . Ajoutons que tout l’environnement logicield’administration de <strong>Tera</strong> <strong>100</strong> a aussi été développé par <strong>Bull</strong>.C’est la suite logiciel<strong>le</strong> pour cluster bullx qui assure l’intégralitédes fonctions de gestion du cluster, depuis l’installation jusqu’àl’exploitation au quotidien. <strong>Tera</strong> <strong>100</strong> a été mis sous tension <strong>le</strong>26 mai 2010.– page 3 –


<strong>Bull</strong> Direct N°46 I Juin - Juil<strong>le</strong>t 2010ÉDITORIAL TRIBUNE TEMPS FORT SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDAFINANCEUne banque améliore sa sécuritéavec <strong>le</strong> « zéro mot de passe »Assurer sécurité et efficacitéEn doublant de tail<strong>le</strong> en quatre ans, Barclays France aprouvé que son offre séduisait sa clientè<strong>le</strong> d’entreprises et departiculiers aisés. Mais <strong>le</strong> succès crée ses propres défis. Ledirecteur sécurité de la banque, Bertrand Dunoyer deSegonzac, a fait <strong>le</strong> constat que la gestion des procédures desécurité d’accès aux applications n’était <strong>plus</strong> adaptée.Rigoureuses, <strong>le</strong>s règ<strong>le</strong>s de sécurité du groupe étaient diffici<strong>le</strong>sà faire intégrer par des employés toujours <strong>plus</strong> nombreux. Lesapplications étaient en nombre croissant et de technologiestrès diverses. Avec presque autant de mots de passe qued’applications, <strong>le</strong>s erreurs et oublis étaient fréquents. Le helpdesk était donc surchargé, avec un coût très important entermes d’assistance et de productivité perdue. Dans <strong>le</strong> mêmetemps, <strong>le</strong>s contrô<strong>le</strong>s stricts se renforçaient : mots de passecomp<strong>le</strong>xes renouvelés tous <strong>le</strong>s mois, verrouillage après troiserreurs par exemp<strong>le</strong>. Paradoxa<strong>le</strong>ment, cette abondance demots de passe nuisait à la sécurité informatique : <strong>le</strong>sutilisateurs notaient <strong>le</strong>urs mots de passe par écrit.équipes techniques d’Evidian. Leur solution était la seu<strong>le</strong> ànous permettre d’administrer SSO et biométrie à partir d’unseul écran, ce qui simplifie la gestion. Et Evidian fournit unmode de secours efficace en cas de non fonctionnement de labiométrie » indique Bertrand Dunoyer de Segonzac.Lors d’une phase pilote, l’équipe de Barclays France a testéses principa<strong>le</strong>s applications pour s’assurer que <strong>le</strong> SSO pouvaitautomatiser l’entrée des mots de passe. El<strong>le</strong> a constaté que sesapplications pouvaient être intégrées rapidement, malgré <strong>le</strong>urdiversité : Lotus Notes, client/serveur, Web, applications enmode terminal sur OS/400 et Unix… et ce, sans impact sur<strong>le</strong>s applications el<strong>le</strong>s-mêmes.Les aspects fonctionnels et légaux étaient éga<strong>le</strong>ment critiques.« La CNIL est très vigilante sur l’utilisation des empreintesdigita<strong>le</strong>s ; il faut fournir un dossier très argumenté.Notamment, <strong>le</strong>s données biométriques ne doivent pas êtrecentralisées, mais se trouver sur <strong>le</strong> PC ou un support externe »explique Bertrand Dunoyer de Segonzac.La direction de la sécurité a donc élaboré une propositionpour résoudre cette situation. Mais comment déc<strong>le</strong>ncher unedécision d’investir dans un projet de sécurité - et sur un sujetcomme <strong>le</strong>s mots de passe ? La solution allait venir desutilisateurs eux-mêmes. « Lors d’une consultation sur <strong>le</strong>urenvironnement de travail, <strong>le</strong>s employés ont souhaité de ladirection généra<strong>le</strong> de Barclays une solution aux problèmes demots de passe » explique Bertrand Dunoyer de Segonzac.« J’ai donc obtenu <strong>le</strong> feu vert pour une solution radica<strong>le</strong> maisréaliste : éliminer <strong>le</strong>s mots de passe dans toute la banque. »Supprimer <strong>le</strong>s mots de passe… en toute sécuritéEn pratique, la banque a décidé que l’objectif « zéro mot depasse » serait accompli par deux solutions complémentaires.D’abord, <strong>le</strong>s utilisateurs accèdent à <strong>le</strong>ur PC avec une solutionde biométrie supprimant la nécessité de retenir <strong>le</strong>s nombreuxmots de passe. Une fois authentifiés, un sing<strong>le</strong> sign-on (SSO ouauthentification unique) remplit à <strong>le</strong>ur place <strong>le</strong>s mots de passe<strong>le</strong>ur permettant d’accéder à toutes <strong>le</strong>urs applications. L’accèsaux applications de la banque serait ainsi protégé avec uneseu<strong>le</strong> méthode d’authentification, simp<strong>le</strong> mais sûre : présenterson doigt à un <strong>le</strong>cteur biométrique. Outre la sécurité et lasimplicité d’utilisation, cette combinaison apporte un <strong>plus</strong> à labanque en termes d’image et d’innovation.Choisir une solutionSuite à un appel d’offre auprès de trois fournisseurs, BarclaysFrance a retenu <strong>le</strong> produit d’authentification unique EvidianEnterprise SSO. « Nous avons apprécié la réactivité des– page 7 –


<strong>Bull</strong> Direct N°46 I Juin - Juil<strong>le</strong>t 2010ÉDITORIAL TRIBUNE TEMPS FORT SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDA(SUITE)Le fournisseur de biométrie, lui, a été choisi après une périodepilote d’un mois, sur des critères d’ergonomie et de fiabilité.La mise en placeDifférents scénarii ont été établis durant la phase de prédéploiement.Cas des collaborateurs se déplaçant d’un posteà l’autre, prise en compte des portab<strong>le</strong>s, protection des portsUSB et passage en site de secours… Il s’est révélé nécessairede consacrer <strong>plus</strong>ieurs minutes au démarrage pour apprendreaux utilisateurs à utiliser la solution. Des séances de formationont donc permis de gagner du temps et d’éviter <strong>le</strong>s problèmes.L’équipe informatique a choisi de déployer la solution servicepar service, en faisant un bilan formel après chaqueinstallation. Les équipes du siège à Paris ont été <strong>le</strong>s premièresà bénéficier de la solution, suivies des sites de province. Celaa permis de découvrir des particularités qui n’étaient pasanticipées, et d’en tenir compte lors du déploiement suivant.« L’installation el<strong>le</strong>-même est légère. Mais la diversité des casdépassait largement ce que nous prévoyions, et l’outild’Evidian a su prendre cela en compte faci<strong>le</strong>ment. Et <strong>le</strong> projeta révélé des dysfonctionnements préexistants » préciseBertrand Dunoyer de Segonzac.Les résultatsLe SSO par biométrie a été très rapidement intégré dans <strong>le</strong>shabitudes quotidiennes, et <strong>le</strong>s utilisateurs sont <strong>le</strong>s premierspromoteurs de la solution auprès de <strong>le</strong>urs collègues nonéquipés.Parallè<strong>le</strong>ment, l’équipe informatique a constaté une baissesignificative de la charge de help desk. Barclays France adémontré qu’il était possib<strong>le</strong> de combiner ergonomie,productivité et sécurité. Meil<strong>le</strong>ur témoin de cette réussite, sonexpérience a contribué au choix d’Evidian Enterprise SSO parBarclays Wealth au Royaume-Uni.En chiffres• Plus de 120 points de vente sur tout <strong>le</strong> territoire.• 170 000 clients.• 1 500 employés dont 500 conseil<strong>le</strong>rs bancaires.• 40 applications.• Baisse de 30 % des appels au help desk.Pour <strong>plus</strong> d’information :http://www.evidian.com/fr/iam/sectoriel/banque.htm– page 8 –


<strong>Bull</strong> Direct N°46 I Juin - Juil<strong>le</strong>t 2010ÉDITORIAL TRIBUNE TEMPS FORT SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDAFINANCELa BRED Banque Populaire choisit NovaForge pour saplate-forme de développement industrielAvec l’évolution très rapide des besoins métier et des technologies, et <strong>le</strong> renforcement des contraintes économiques, <strong>le</strong>développement logiciel est sous pression. Les organisations informatiques doivent toujours faire mieux, <strong>plus</strong> vite, moins cher, et celapasse inéluctab<strong>le</strong>ment par une industrialisation de <strong>le</strong>urs processus. Or toute industrialisation nécessite de se doter d’un outillageadéquat, et c’est la raison pour laquel<strong>le</strong> on constate actuel<strong>le</strong>ment un intérêt grandissant pour <strong>le</strong>s forges logiciel<strong>le</strong>s.C’est dans ce contexte que la BRED Banque Populaire achoisi de s’appuyer sur NovaForge, la forge logiciel<strong>le</strong>de <strong>Bull</strong>, pour créer son propre outillage et industrialiserl’ensemb<strong>le</strong> de son processus de développement. Pour unebanque faisant évoluer en permanence ses services ets’engageant dans <strong>le</strong>s domaines <strong>le</strong>s <strong>plus</strong> en pointe destechnologies et de la dématérialisation, un tel dispositif devientla clé de voute de l’innovation.Indépendance, industrialisation et engagement communautairePour la BRED <strong>le</strong> choix d’un outillage de forge a été guidéd’une part par <strong>le</strong> besoin de maîtriser <strong>le</strong>s différents composantsde la chaîne de développement et <strong>le</strong>ur rythme d’évolution, etpar la nécessité d’améliorer toute la chaîne de développement.Sans migrations contraignantes et onéreuses,bénéficiant d’un environnement collaboratif, la BRED pouvaitentamer une démarche réel<strong>le</strong>ment industriel<strong>le</strong>.<strong>Bull</strong> a accompagné la banque tout au long de ce projet, endéfinissant la plate-forme cib<strong>le</strong> et en proposant son usine dedéveloppement logiciel NovaForge, en migrant <strong>le</strong>s applicationset <strong>le</strong>s infrastructures de développement vers ce nouve<strong>le</strong>nvironnement et en faisant évoluer l’architecture pour <strong>le</strong>srendre conformes aux nouveaux standards. <strong>Bull</strong> effectue <strong>le</strong>support des différents composants standards et spécifiques,garantissant un très fort niveau de réactivité, en lien avec <strong>le</strong>séquipes de développement.« Notre forge est à présent entièrement déployée et fonctionneen mode industriel. Nous arrivons après un an et demi defonctionnement à un niveau de productivité et d’intégrationtrès supérieur et à une forte maîtrise de notre nouve<strong>le</strong>nvironnement. L’alliance du monde Open Source et dusupport industriel de <strong>Bull</strong> est un modè<strong>le</strong> qui nous a permis demonter un dispositif innovant et très réactif. Nous devons àprésent continuer à y apporter <strong>le</strong> maximum de va<strong>le</strong>ur ajoutéeet la faire vivre, en contribuant à la communauté, enpersonnalisant et en enrichissant <strong>le</strong>s modu<strong>le</strong>s et en poursuivantl’optimisation des processus » précise Claudio Stefanelli.Près de 245 projets sont aujourd’hui hébergés dans BREDForge.« Plus d’une centaine de développeurs interviennent sur <strong>le</strong>smultip<strong>le</strong>s métiers de l’activité bancaire avec l’impératifd’atteindre des niveaux de qualité industriels. Seul un outillagede forge pouvait nous aider à monter une véritab<strong>le</strong> usine dedéveloppement, multi projets et multi équipes. Nous pouvonsaujourd’hui nous appuyer sur un outillage et des processusperformants, f<strong>le</strong>xib<strong>le</strong>s, homogènes, et ceci depuis laconception de nos projets jusqu’à la maintenabilité descomposants développés », indique Claudio Stefanelli,Directeur de Projets, BRED Banque Populaire.Après avoir défini un cadre de cohérence technique, assurantla portabilité du framework de développement en place versun nouveau soc<strong>le</strong> technique, la BRED a assuré <strong>le</strong> portage deses outils vers sa nouvel<strong>le</strong> plate-forme personnaliséerebaptisée « BREDForge ». Meil<strong>le</strong>ures pratiques et outils librescomme Jboss, Eclipse, Junit, Check Sty<strong>le</strong>, Plone... sont <strong>le</strong> soc<strong>le</strong>de cette forge constituée autour des fonctions dedéveloppement, d’intégration et de contrô<strong>le</strong> continue, dereporting, de gestion de la qualité du code. Certainsdéveloppements sont reversés à la communauté, impliquantéga<strong>le</strong>ment un nouveau mode de fonctionnement etgarantissant la pérennité de la solution dans <strong>le</strong> temps.– page 9 –


<strong>Bull</strong> Direct N°46 I Juin - Juil<strong>le</strong>t 2010ÉDITORIAL TRIBUNE TEMPS FORT SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDA(SUITE)• dynamique moléculaire et astrophysique : en chimie ou enpharmacie, <strong>le</strong> calcul des interactions entre atomes nécessiteun grand nombre de calculs faci<strong>le</strong>ment accélérés par <strong>le</strong>sGPU. On retrouve <strong>le</strong> même type d’équations, et doncd’usage, en astrophysique. L’un des « grands chal<strong>le</strong>nges »de calcul de Titane, la machine hybride CPU-GPU du CCRTinstallée par <strong>Bull</strong>, concernait la simulation de la propagationdu rayonnement des étoi<strong>le</strong>s ;• la simulation financière : toutes <strong>le</strong>s méthodes d’analyse et desimulation financières (Monte-Carlo, Black–Scho<strong>le</strong>s…) sontparticulièrement gourmandes en puissance de calcul ;• é<strong>le</strong>ctromagnétisme : <strong>le</strong>s simulations des phénomènesé<strong>le</strong>ctromagnétiques (radars, antennes…) font appel à descalculs « denses » (beaucoup de calculs par accès mémoire),ce qui est parfait pour <strong>le</strong>s GPU ;• génétique : <strong>le</strong>s algorithmes de séquençage des gènesrequièrent un grand nombre de comparaisons terme-àterme.Même s’il n’y a pratiquement aucun calcul flottant,l’intensité des traitements convient bien aux GPU et la vitessepeut être multipliée par 30 sur des algorithmes de typeSmith-Waterman ou Blast. Ce type d’utilisation est similaireà la recherche de séquences ou de chaînes de caractèresdans de grandes bases de données ;• structure moléculaire : <strong>le</strong>s applications de calcul de structuredes molécu<strong>le</strong>s (méthodes ab initio) peuvent être accéléréesau moyen de GPU, comme l’a démontré l’un des « grandschal<strong>le</strong>nges » re<strong>le</strong>vés par <strong>le</strong> <strong>supercalculateur</strong> <strong>Bull</strong>-Titane.La voie du futurMalgré <strong>le</strong>s améliorations récentes, <strong>le</strong>s GPU sont encorefortement marqués par <strong>le</strong>ur origine graphique. Unearchitecture serveur <strong>plus</strong> intégrée devrait encore améliorer <strong>le</strong>urefficacité, particulièrement au niveau des transferts dedonnées. Les fabricants de GPU ont déjà publiquementannoncé <strong>le</strong>urs intentions de s’orienter dans cette direction.ATI/AMD promet de réaliser la « fusion » des CPU et GPU. BillDally, <strong>le</strong> CTO de NVIDIA annonce la fin du CPU généralistede type Xeon ® tel que nous <strong>le</strong> connaissons et l’avènement deprocesseurs hautement parallè<strong>le</strong>s, successeurs des GPUactuels. Bien que ne commercialisant pas de GPU, Intel n’apas dit son dernier mot et a récemment présenté <strong>le</strong> prototyped’un processeur « many-core » qui en est dérivé. L’introductiondes GPU comme accélérateurs de calcul a bou<strong>le</strong>versé <strong>le</strong>monde du HPC. Ce qui n’est encore aujourd’hui pour certainschercheurs qu’une « technologie intéressante » est au cœur dela révolution des systèmes de calcul. C’est la voie du futur, etel<strong>le</strong> est déjà disponib<strong>le</strong> dans <strong>le</strong>s solutions d’ExtremeComputing de <strong>Bull</strong>.– page 13 –


<strong>Bull</strong> Direct N°46 I Juin - Juil<strong>le</strong>t 2010ÉDITORIAL TRIBUNE TEMPS FORT SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDASERVEURS D’ENTREPRISE<strong>Bull</strong> donne une seconde jeunesse au mainframeen lançant <strong>le</strong> nouveau système novasca<strong>le</strong> gcos• Premier mainframe au monde doté d’une base de données Open Source native pour la production lourde, <strong>le</strong> serveur novasca<strong>le</strong>gcos 9010, sous GCOS 8, associe <strong>le</strong>s technologies de l’Extreme Computing et <strong>le</strong>s technologies pour <strong>le</strong>s applications critiques.• <strong>Bull</strong> s’affirme comme <strong>le</strong> <strong>le</strong>ader dans <strong>le</strong>s systèmes de classe mainframe ouverts conçus pour protéger et faire grandir <strong>le</strong>patrimoine informationnel des organisations.• Les serveurs novasca<strong>le</strong> gcos placent <strong>le</strong>s mainframes dans la dimension du Cloud Computing privé.Associant <strong>le</strong> meil<strong>le</strong>ur du monde des mainframes avec <strong>le</strong>meil<strong>le</strong>ur du monde ouvert, novasca<strong>le</strong> gcos 9010, sousGCOS 8, confirme la vocation de la famil<strong>le</strong> novasca<strong>le</strong> à assurerune production lourde, performante et ultra-sécurisée. Avecnovasca<strong>le</strong> gcos 9010, <strong>Bull</strong> apporte une réponse neuve et surmesure aux exigences des organisations en conciliantsécurisation des données critiques, performance desapplications, optimisation des ressources informatiques etouverture vers <strong>le</strong> monde des standards et de l’Open Source.Pour Philippe Miltin, Vice-Président de la Division Produits et Systèmesdu Groupe <strong>Bull</strong>, « Nous avons conçu notre nouvel<strong>le</strong> générationde mainframes avec l’obsession de la continuité de services,de la performance et de l’ouverture, pour apporter aux grandesorganisations de nouvel<strong>le</strong>s marges de manœuvre pour <strong>le</strong>ur patrimoineinformationnel. Ils sont dotés de technologies directementissues de cel<strong>le</strong>s mises en œuvre sur nos <strong>supercalculateur</strong>s bullx,élus aux USA fin 2009 meil<strong>le</strong>urs <strong>supercalculateur</strong>s au monde. »novasca<strong>le</strong> gcos 9010 : la naissance d’une nouvel<strong>le</strong> génération declasse mainframe pour faire face aux défis informationnels desgrandes organisationsFace à l’évolution des besoins informationnels et à l’explosion sansprécédent des volumes de données, la réponse des organisationsse résume, depuis de nombreuses années, à la multiplication desserveurs. Or, cette prolifération présente de nombreux risques :comp<strong>le</strong>xification de la gestion des systèmes, augmentation descoûts d’acquisition, des coûts d’usage et de la facture énergétique,moindre sécurisation des données, performance affaiblie desapplications… Dans une logique de consolidation des informationset des systèmes, l’enjeu est de favoriser l’émergence deplates-formes orientées services, en lieu et place de plates-formesde coûts. C’est <strong>le</strong> sens de l’avènement des très grands DataCenters et des architectures de Cloud Computing privé, dont <strong>le</strong>développement est soutenu par <strong>Bull</strong> pour offrir aux organisationsune innovation sans limite et sans contrainte.Ainsi, la Caisse Nationa<strong>le</strong> d’Allocations Familia<strong>le</strong>s (CNAF),organisme français gérant 37 millions de bénéficiaires, a choisid’adopter <strong>le</strong>s nouveaux serveurs novasca<strong>le</strong> gcos 9010 pourconstituer l’ossature d’une large partie de sa nouvel<strong>le</strong>infrastructure de production informatique.« Nous avons choisi <strong>le</strong> nouveau serveur novasca<strong>le</strong> gcos 9010pour répondre aux exigences de performance, de continuité deservice et d’ouverture de notre système d’information. Sonarchitecture conçue par <strong>Bull</strong> et ses processeurs Intel ®Itanium ® 9300 répondent à nos attentes. Les tests engagésdepuis <strong>plus</strong>ieurs mois ont montré un niveau de performance entransactionnel et Batch associés à la nouvel<strong>le</strong> base de donnéesde production PostgreSQL qui nous permet d’aborder avecconfiance un programme de concentration de <strong>plus</strong>ieurs centresde production sur un seul Data Center » déclare Gérard Russeil,Directeur du Système d’Information de la CNAF.Pour <strong>Bull</strong>, si <strong>le</strong>s systèmes de classe mainframe avec <strong>le</strong>urarchitecture centralisée sont une référence en matière de qualitéet de disponibilité, l’évolution du mainframe doit passer par <strong>le</strong>monde des standards, qui garantit <strong>le</strong> choix de composants dontl’ouverture est un gage d’évolutivité. Son architecture,directement issue de l’Extreme Computing, autorise en effet àtravers un réseau InfiniBand à très haut débit, l’interconnexiond’applications gcos avec des bases de données Open Source,ainsi qu’avec Orac<strong>le</strong> et Microsoft. Avec novasca<strong>le</strong> gcos 9010,<strong>Bull</strong> apporte une réponse neuve et sur mesure, en modernisant <strong>le</strong>– page 14 –


<strong>Bull</strong> Direct N°46 I Juin - Juil<strong>le</strong>t 2010ÉDITORIAL TRIBUNE TEMPS FORT SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDA(SUITE)mainframe pour protéger et faire grandir <strong>le</strong> patrimoineinformationnel des entreprises.novasca<strong>le</strong> gcos 9010 : une base de données Open Source nativepour la productionLa conception du novasca<strong>le</strong> gcos 9010 intègre <strong>le</strong>s apports dumonde Open Source pour offrir une grande marge de liberté auxorganisations. Avec la base de données PostgreSQL, il associelogiciel libre et production lourde sous GCOS 8, avec un trèshaut niveau de performance et de fiabilité. Enfin, <strong>le</strong>s outilsd’interopérabilité de novasca<strong>le</strong> gcos facilitent la coopération desapplications traditionnel<strong>le</strong>s écrites en COBOL avec de nouvel<strong>le</strong>sapplications développées en Java.« S’appuyant sur notre savoir faire dans <strong>le</strong>s systèmes critiques etdans l’Open Source, novasca<strong>le</strong> gcos 9010 témoigne de la capacitéde <strong>Bull</strong> à concevoir des grandes infrastructures centraliséesà la fois sûres et capab<strong>le</strong>s d’évoluer au rythme des besoins desentreprises et des administrations », déclare Jean-FrançoisBauduin, Directeur des systèmes novasca<strong>le</strong> gcos, Groupe <strong>Bull</strong>.Destiné prioritairement à la production lourde, novasca<strong>le</strong> gcos9010 reprend toutes <strong>le</strong>s caractéristiques de fiabilité matériel<strong>le</strong> etlogiciel<strong>le</strong> du mainframe, en en repoussant <strong>le</strong>s limites. En intégrantune gamme complète de fonctionnalités tel<strong>le</strong>s que <strong>le</strong>remplacement à chaud de composants ou la gestion automatiséed’incidents, il apporte à ses utilisateurs une sécurité renforcée etun niveau optimal de disponibilité.novasca<strong>le</strong> gcos 9010 : un mainframe résolument économe enénergieLa conception des nouveaux serveurs novasca<strong>le</strong> gcos bénéficiedes avancées apportées par <strong>le</strong>s nouvel<strong>le</strong>s technologies – dont aupremier rang <strong>le</strong>s processeurs Intel, <strong>le</strong>s mémoires et <strong>le</strong>s soussystèmesdisques – amenant de fortes réductions de consommationé<strong>le</strong>ctrique et de dissipation thermique, ainsi qu’unencombrement réduit. Ils s’inscrivent p<strong>le</strong>inement dans l’approcheBio Data Center de <strong>Bull</strong>, visant à des Centres Informatiques écoefficaces,évolutifs et conçus pour répondre aux engagements deniveaux de services.« Depuis de nombreuses années, Intel coopère étroitement avec<strong>Bull</strong> sur <strong>le</strong>s plates-formes à architecture Intel. » déclare PaulineNist, General Manager, Mission Critical Computing Segment,Intel. « Nous sommes fiers de contribuer à renforcer l’évolutivité,la performance et la robustesse de la nouvel<strong>le</strong> génération deserveurs gcos pour <strong>le</strong>s applications critiques, grâce auxprocesseurs Intel ® Itanium ® série 9300. »SERVICESInfrastructure orientée services : <strong>le</strong> conseil <strong>Bull</strong>L’offre de conseil de <strong>Bull</strong> permet à ses clients de transformer <strong>le</strong>ur infrastructure en une infrastructure orientée services et répondaux différentes problématiques auxquel<strong>le</strong>s ils font face : mieux gérer <strong>le</strong>urs coûts, notamment en fonction de la criticité desapplications – mieux appréhender et gérer <strong>le</strong>s risques, par exemp<strong>le</strong> de continuité de services – être conforme aux règ<strong>le</strong>mentationsdu marché en termes de consommation énergétique, d’archivage légal, etc. – mieux mutualiser <strong>le</strong>s infrastructures et définir descontrats de service – répondre aux exigences des applications métiers.Cette offre de conseil en infrastructure s’appuie sur <strong>le</strong>spratiques ITIL* et sur des outils d’analyse et de modélisationtirés de l’expérience de ses experts et des accords passés avecses partenaires GlassHouse et APC Schneider.q L’analyse de maturité a pour vocation d’évaluer rapidementla maturité « services » d’une infrastructure. À partirdes réponses à un questionnaire, el<strong>le</strong> consiste à évaluer surune échel<strong>le</strong> de maturité une infrastructure et à représenter sousforme de graphes comment el<strong>le</strong> se positionne par rapport àune démarche d’infrastructure orientée services.q Des audits visant à fournir rapidement des recommandationssur différents domaines tels que :• la consolidation et la virtualisation des serveurs ;• <strong>le</strong> stockage ;• l’archivage ;• la gestion des données ;• <strong>le</strong> Green-IT.q Des audits détaillés visant à fournir des recommandationsapprofondies et qui conduisent alors aux étapes suivantes :• la définition du catalogue des services : cette étape décrit <strong>le</strong>sniveaux de services que fournira l’infrastructure et commentchacun de ces niveaux de service est supporté par l’infrastructuretechnique, <strong>le</strong>s processus et <strong>le</strong>s moyens humains ;• la définition d’une architecture de référence, qui supportera<strong>le</strong>s niveaux de service décrits dans <strong>le</strong> catalogue précédent.Cette architecture de référence est à ce stade multi-technologieset <strong>Bull</strong> joue ici p<strong>le</strong>inement son rô<strong>le</strong> d’intégrateur ;• <strong>le</strong> calcul du TCO et du ROI afin de justifier économiquementla transformation proposée.q Principaux points distinctifs de ces services de conseil :• identification rapide des axes et potentiels d’évolution ;• capacité à intégrer toutes <strong>le</strong>s technologies du marché entoute impartialité et neutralité par rapport aux fournisseurs ;• engagement pour la mise en œuvre et pour <strong>le</strong> support etla maintenance.*ITIL (Information Technology Infrastructure Library) recense, synthétise et détail<strong>le</strong> <strong>le</strong>s meil<strong>le</strong>ures pratiquespour une direction informatique dont l’objectif est de devenir <strong>le</strong> fournisseur de services au sein de l’entrepriseplutôt que <strong>le</strong> traditionnel fournisseur de ressources techniques informatiques.Pour en savoir <strong>plus</strong> : http://www.bull.com/infrastructure/index.html– page 15 –


<strong>Bull</strong> Direct N°46 I Juin - Juil<strong>le</strong>t 2010ÉDITORIAL TRIBUNE TEMPS FORT SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDAINAUGURATION<strong>Bull</strong> a inauguré son Bio Demo Center, nouveau centreeuropéen de démonstration de solutions pour rendre<strong>le</strong>s Data Centers éco-efficacesOptimisation de la topologie des serveurs, amélioration del’efficacité énergétique, pilotage quotidien et en temps réeldu Data Center sont au cœur du Bio Demo Center.Situé au cœur de la technopo<strong>le</strong> de Grenob<strong>le</strong> et capitalisantsur <strong>le</strong>s savoir-faire dans <strong>le</strong>s architectures comp<strong>le</strong>xes de<strong>Bull</strong>, <strong>le</strong> Bio Demo Center couvre l’ensemb<strong>le</strong> des solutionsd’infrastructures permettant d’optimiser <strong>le</strong>s Data Centers et de<strong>le</strong>s rendre <strong>plus</strong> éco-efficaces.Le Bio Demo Center a été inauguré <strong>le</strong> 21 mai à Grenob<strong>le</strong> parPhilippe Miltin, Vice-Président de la Division Produits etSystèmes de <strong>Bull</strong> et Michel Bracquemond, Directeur du site de<strong>Bull</strong> Grenob<strong>le</strong>, en présence de Geneviève Fioraso, Députée del’Isère et de Gil<strong>le</strong>s Dumolard, Président de la Chambre decommerce et d’industrie de Grenob<strong>le</strong>. De nombreuxreprésentants de grandes organisations ont éga<strong>le</strong>ment assistéà l’inauguration.Pour Philippe Miltin, « Le Bio Demo Center confirme la maîtrisede <strong>Bull</strong> en matière d’infrastructures d’entreprise associantétroitement serveurs pour <strong>le</strong>s missions critiques et technologiesvertes. Notre ambition est de montrer à nos clients que nossolutions permettent de réconcilier <strong>le</strong>s inconciliab<strong>le</strong>s d’hier :robustesse, agilité, disponibilité, f<strong>le</strong>xibilité, puissance,consommation d’énergie… Avec <strong>le</strong> Bio Demo Center, <strong>Bull</strong>poursuit sa stratégie d’optimisation du centre informatique etd’intelligence énergétique dans une vision globa<strong>le</strong> et durab<strong>le</strong>des infrastructures ».Le Bio Demo Center, un centre européen accessib<strong>le</strong> à tous <strong>le</strong>sclientsFace à la prolifération des serveurs d’entreprise et augaspillage des ressources qui en décou<strong>le</strong>, <strong>le</strong> Bio Demo Centerprésente <strong>le</strong>s réponses que <strong>Bull</strong> propose aux entreprises. Ils’agit de résoudre <strong>le</strong>s problématiques critiques qu’el<strong>le</strong>srencontrent, en particulier dans <strong>le</strong>s domaines de la réductionde la comp<strong>le</strong>xité et de la fiabilisation des infrastructures, del’agilité, de la haute disponibilité et de la maîtrise de l’énergie.Le Bio Demo Center a pour principa<strong>le</strong> vocation de permettreaux clients de quantifier l’augmentation des rendementsénergétiques et la diminution de l’empreinte carbone, àtravers l’optimisation et la mise à jour de <strong>le</strong>urs infrastructures.Il donne aux clients <strong>le</strong>s clés pour automatiser l’exploitation,améliorer la qualité de service aux utilisateurs et mettre enœuvre <strong>le</strong>s nouvel<strong>le</strong>s architectures de type Cloud privé. Avec<strong>le</strong>s meil<strong>le</strong>urs experts européens, <strong>le</strong> Bio Demo Center apportedes réponses concrètes et permet des prises de décisionrapides.<strong>Bull</strong> Grenob<strong>le</strong>, centre d’expertise européen dédié auxinfrastructures en systèmes ouvertsLe site de <strong>Bull</strong> Grenob<strong>le</strong> comprend éga<strong>le</strong>ment :• Un Centre de R&D dédiés aux grands projets du Groupe,tels que <strong>le</strong> développement de l’Extreme Computing et desforges logiciel<strong>le</strong>s autour de NovaForge et la coopérationIBM AIX ® .• Un Centre de Services, dédié aux logiciels libres et auxnouvel<strong>le</strong>s technologies, qui donne accès à des experts enintégration de système, et éga<strong>le</strong>ment, de manière unique enEurope, à l’ensemb<strong>le</strong> des moyens industriels, outils,ressources et expertises nécessaires au développement et ausupport des projets s’appuyant sur <strong>le</strong>s logiciels libres, <strong>le</strong>smoteurs logiciels <strong>le</strong>s <strong>plus</strong> avancés, et <strong>le</strong>s technologies detype Java et J2EE.• Un Centre de Compétence qui développe et déploie <strong>le</strong>ssolutions d’infrastructures.• Un Centre de Support client et réseau.<strong>Bull</strong> Grenob<strong>le</strong> s’appuie éga<strong>le</strong>ment sur Evidian, filia<strong>le</strong> duGroupe <strong>Bull</strong>, <strong>le</strong>ader européen et un des principauxfournisseurs mondiaux de logiciels de gestion des identités etdes accès (IAM). Les équipes de <strong>Bull</strong> Grenob<strong>le</strong> travail<strong>le</strong>ntétroitement avec <strong>le</strong>s grands acteurs du secteur, telsqu’APC/Schneider, EMC, IBM, Intel, NetApp, Microsoft,Orac<strong>le</strong>, RedHat, SAP...Grâce à cette expertise complète et transversa<strong>le</strong>, <strong>le</strong>s expertsde <strong>Bull</strong> Grenob<strong>le</strong> sont en mesure d’assurer aux clients unsupport de haut niveau, la maîtrise de l’industrialisation desgrands projets de développement ainsi qu’un savoir-faireunique dans la mise en œuvre et l’optimisationd’infrastructures comp<strong>le</strong>xes.© Philippe Stroppa– page 16 –


<strong>Bull</strong> Direct N°46 I Juin - Juil<strong>le</strong>t 2010ÉDITORIAL TRIBUNE TEMPS FORT SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDAINFRASTRUCTURELa métamorphose du Data Center :quel<strong>le</strong>s perspectives pour <strong>le</strong> futur ?Le 27 mai dernier, <strong>Bull</strong> organisait avec 01 Informatique un séminaire dédié auxinfrastructures au cours duquel intervenaient <strong>plus</strong>ieurs de ses grands partenaires(EMC, Intel, Schneider E<strong>le</strong>ctric et VMware) et des DSI de ses grands clients. L’objectif :faire <strong>le</strong> point sur l’évolution du Data Center et sa métamorphose.Àl’occasion de tab<strong>le</strong>s rondes et de débats animés, <strong>le</strong>sparticipants ont pu échanger sur <strong>le</strong>s formidab<strong>le</strong>s évolutionsen cours et <strong>le</strong>s prévisions pour demain. Tour d’horizon.Virtualisation, consolidation, automatisation : enjeu N°1 desCentres de donnéesPremier enjeu sur <strong>le</strong>quel se sont accordés <strong>le</strong>s participants : lacroissance formidab<strong>le</strong> des Data Centers, à mesure que <strong>le</strong>ssystèmes d’information deviennent <strong>le</strong> premier <strong>le</strong>vier de compétitivité– voire <strong>le</strong> moteur même de l’activité – des entreprises etservices publics dans l’économie numérique. Corollaire :l’explosion des infrastructures, notamment dans <strong>le</strong> monde desserveurs standard : 5 millions de serveurs en 1996, 45 millionsaujourd’hui avec <strong>le</strong> développement des infrastructuresdistribuées ! Une progression quasi exponentiel<strong>le</strong> posantaujourd’hui aux entreprises <strong>plus</strong>ieurs problématiques clés :• la maîtrise de la comp<strong>le</strong>xité, non seu<strong>le</strong>ment au niveau destechnologies, mais aussi des coûts d’exploitation et desbesoins de sécurité ;• l’explosion des dépenses énergétiques, appelant à uneapproche régulée, compte tenu des impacts environnementaux,mais aussi économiques.Les chiffres sont éloquents : aujourd’hui, <strong>le</strong>s coûts d’administrationreprésentent 50 % des budgets d’entreprise dans <strong>le</strong>sData Centers, <strong>le</strong>s coûts énergétiques 25 %, et <strong>le</strong>s coûtsmatériels (serveurs, stockage) 25 % seu<strong>le</strong>ment du total !Conséquence : la volonté des DSI de réduire drastiquement cescoûts induits en consolidant, virtualisant et automatisant aumaximum <strong>le</strong>s serveurs distribués. Un retour de balancier versla centralisation des SI, après <strong>le</strong> développement anarchiquede l’informatique distribuée. Un processus déjà largemententamé dans <strong>le</strong> monde Unix (où virtualisation/consolidationsont natives pour la plupart des systèmes, en particulier AIX ® ),mais en p<strong>le</strong>in boom dans <strong>le</strong> monde Intel. Avantages : descoûts maitrisés, comme l’a souligné très concrètement <strong>le</strong>Directeur Infrastructures de La Poste Courrier, qui a annoncéavoir virtualisé avec VMware et <strong>Bull</strong> 600 serveurs, obtenantun ROI financier de trois ans avec des gains majeurs en termed’exploitation et d’agilité « Ce qui prenait auparavant desjours se compte aujourd’hui en heures, voire en minutes ! ».Data Centers : en quête d’un SI dynamique ?Si la virtualisation progresse très rapidement, avec environ25 % des serveurs équipés d’environnement de virtualisationet 30 % des applications virtualisées dans <strong>le</strong>s entreprises, <strong>le</strong>cap de la généralisation n’est néanmoins pas encore franchi.– page 17 –La raison ? Parfois des facteurs organisationnels : réticence decertaines directions métiers à déléguer « <strong>le</strong>urs » serveurs,nécessité de revoir <strong>le</strong>s processus et de ne <strong>plus</strong> raisonnerserveurs, mais services, etc. Mais aussi et surtout quelqueshésitations des DSI à virtualiser <strong>le</strong>s applications critiques, soitdu fait du manque de support de certains éditeurs – dont laplupart évoluent néanmoins favorab<strong>le</strong>ment – soit dans l’attentede fonctionnalités de classe mainframe (performance, fiabilitéextrême, évolutivité) permettant de garantir une virtualisationtransparente aux applications <strong>le</strong>s <strong>plus</strong> sensib<strong>le</strong>s. Une mutationessentiel<strong>le</strong> et rentab<strong>le</strong> puisque, comme <strong>le</strong> soulignait <strong>le</strong>Directeur Marketing de VMware, « Si l’on ne virtualise pas <strong>le</strong>sapplications critiques, on perd 60 % des avantages de lavirtualisation ».La prochaine étape de la virtualisation apparait donc être lagénéralisation de la virtualisation des applications critiques.Une mutation dont <strong>Bull</strong>,depuis longtemps un acteur majeurdans <strong>le</strong> monde Unix avec son offre et ses services Escala, estaujourd’hui <strong>le</strong> premier constructeur sur <strong>le</strong> marché à offrir unesolution nativement dédiée dans <strong>le</strong> monde x86, avec sesnouveaux serveurs d’entreprise bullion. Des serveursnativement dédiés à la virtualisation des applications critiques,bâtis sur <strong>le</strong>s standards, mais héritant de tout <strong>le</strong> savoir-faire de<strong>Bull</strong> dans <strong>le</strong> monde des grands systèmes d’entreprise haut degamme, pour offrir des fonctionnalités uniques : virtualisationnative avec l’hyperviseur VMware, très grande f<strong>le</strong>xibilité pours’adapter à l’évolution rapide des besoins, simplification desinfrastructures et administration <strong>puissant</strong>e (amélioration de laqualité de service tout en réduisant <strong>le</strong> TCO) et hautedisponibilité (support de type HA 999).Une innovation qui vient encore enrichir l’offre globa<strong>le</strong> de Bul<strong>le</strong>n matière de Bio Data Center, une approche dynamique ducentre de données, assurant sa gestion comme cel<strong>le</strong> d’unorganisme vivant, doté de technologies innovantes en matièrede consolidation, de SLA et de gestion énergétique. Lerésultat? Un Data Center capab<strong>le</strong> de s’aligner dynamiquementsur la stratégie entreprise, adaptab<strong>le</strong>, réactif et à haut ROI,afin d’offrir un <strong>le</strong>vier de compétitivité maximum.Prochaine étape : <strong>le</strong> Cloud privé ?Agilité, f<strong>le</strong>xibilité, évolutivité, puissance à la demande… autantd’attributs qui rejoignent une promesse et une vision montantedans <strong>le</strong> monde des SI : cel<strong>le</strong> du Cloud Computing. Le Cloudserait-il l’étape ultime des Data Centers Si <strong>le</strong>s grands acteurs duCloud public (Amazon, Goog<strong>le</strong>, Microsoft…) promeuvent


<strong>Bull</strong> Direct N°46 I Juin - Juil<strong>le</strong>t 2010ÉDITORIAL TRIBUNE TEMPS FORT SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDA(SUITE)aujourd’hui auprès des dirigeants la simplicité et <strong>le</strong> TCO attractifde <strong>le</strong>ur modè<strong>le</strong>, <strong>le</strong>s contraintes d’expertise métiers, de sécurité etde souveraineté font aujourd’hui du Cloud une approcheinadaptée à une grande partie des SI critiques d’entreprise –même si quelques applications peuvent être envisagées. Il n’enest pas moins un modè<strong>le</strong> technologique intéressant. IaaS(Infrastructure as a Service), PaaS (Platform as a Service), SaaS(Software as a Service), etc. : <strong>le</strong>s approches sont multip<strong>le</strong>s. Mais<strong>le</strong>s DSI sont unanimes : <strong>le</strong> Data Center du futur se situeracertainement à la confluence des deux mondes, gardant <strong>le</strong>sattributs d’expertise métiers, de sécurité et de souveraineté duData Center, mais exploitant des technologies et des modes degestion et de facturation inspirés du Cloud.Le Cloud privé, hybride ou communautaire (mutualisé entreentreprises comme au sein d’une filière métier ou sectoriel<strong>le</strong>,éventuel<strong>le</strong>ment chez un opérateur ou infogérant dédié) seraitill’avenir du Data Center Les participants sont unanimes surce point : « La question n’est pas de savoir si l’on ira vers uneapproche de type Cloud, mais quand ». Même s’ils soulignentaussi que la transition sera très progressive, et qu’il n’y aurapas de « Grand Soir » du Cloud. Surtout compte tenu du vastehéritage du passé et du portefeuil<strong>le</strong> applicatif très diversifiédes entreprises. À cet égard, et <strong>plus</strong> que jamais, <strong>le</strong>sparticipants soulignent combien la virtualisation apparaît bienaujourd’hui comme la première étape de cette évolution,permettant de « cloudifier » <strong>le</strong>s applications existantes sansréécrire une seu<strong>le</strong> ligne de code. Une nouvel<strong>le</strong> démonstrationde l’intérêt d’approches comme <strong>le</strong> Bio Data Center et desolutions comme bullion, qui apparaîssent bien comme desbriques essentiel<strong>le</strong>s de cette transition.Comme <strong>le</strong> soulignait en conclusion Daniel Le Coguic,Directeur Général Adjoint de <strong>Bull</strong> France, la métamorphose duData Center suit la métamorphose rapide des technologies del’information. Les défis de demain sont formidab<strong>le</strong>s. Du clientlourd au smartphone et aux objets intelligents, on prévoit 50milliards d’objets connectés en 2020, nécessitant des centresde traitements de <strong>plus</strong> en <strong>plus</strong> <strong>puissant</strong>s, de véritab<strong>le</strong>s« centra<strong>le</strong>s numériques ». Cloud, nanotechnologies, ExtremeComputing, Open Source : des technologies et modè<strong>le</strong>sd’innovation disruptifs sont en marche.Plus que jamais, <strong>Bull</strong>, acteur européen majeur de l’économienumérique, est au cœur de cette mutation : dans <strong>le</strong> monde duData Center lui-même, comme dans celui de l’ExtremeComputing, laboratoire de résolution des nouvel<strong>le</strong>s équationsdes centra<strong>le</strong>s numériques du futur. <strong>Tera</strong> <strong>100</strong>, conçu par <strong>Bull</strong> et<strong>le</strong> CEA, et annoncé cette semaine comme <strong>le</strong> 3 e <strong>plus</strong> <strong>puissant</strong><strong>supercalculateur</strong> au monde avec une puissance théorique de1,25 Petaflops, en est une bel<strong>le</strong> démonstration. D’ores et déjà,<strong>Bull</strong> et Intel travail<strong>le</strong>nt à concevoir <strong>le</strong>s technologies exaflopiquesdes dix prochaines années, 1 000 fois <strong>plus</strong> <strong>puissant</strong>es que <strong>le</strong><strong>plus</strong> <strong>puissant</strong> serveur d’aujourd’hui. La métamorphose du DataCenter est en marche. El<strong>le</strong> n’est pas prête de s’arrêter. Plus quejamais, <strong>Bull</strong> compte être un acteur majeur de cette révolution.PRIX<strong>Bull</strong> Escala élu à Londres « produit de l’année »par <strong>le</strong> Green IT MagazineJeudi 22 avril, <strong>Bull</strong> a remporté un prix au « Green IT Awards »à Londres pour son serveur Escala Blade qui s’est vu décerner<strong>le</strong> prix Green IT Magazine du « produit de l’année ».200 invités ont assisté à l’événement, qui a eu lieu pour laJournée de la Terre, à l’initiative de Green IT Magazine,avec comme sponsor <strong>le</strong> Département de l’énergie et deschangements climatiques. Le trophée est un bonzaï !Parmi <strong>le</strong>s 20 prix décernés, <strong>Bull</strong> était en « short-list » dans troiscatégories. Une reconnaissance de son engagement dans <strong>le</strong>Green IT, dont <strong>le</strong> savoir-faire s’est à nouveau illustré avec nosnouveaux serveurs d’entreprise novasca<strong>le</strong> bullion et gcos, quibénéficient d’atouts innovants pour <strong>le</strong> Green IT.Des clients avaient aussi fait <strong>le</strong> déplacement : <strong>le</strong> LondonBorough of Havering, AWE (Atomic Weapons Establishment),UCISA (Association Systèmes d’Information des Universités etCollèges), ainsi qu’EAUC (Association Environnementa<strong>le</strong> pour<strong>le</strong>s Universités).– page 18 –Jeff Spencer (à droite), Virtualisation Solutions Manager, <strong>Bull</strong> UK reçoit <strong>le</strong> prix des mainsde Richard French (à gauche), Product Manager Green IT de The British Computer Society’s.


<strong>Bull</strong> Direct N°46 I Juin - Juil<strong>le</strong>t 2010ÉDITORIAL TRIBUNE TEMPS FORT SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDABarcelone, du 14 au 17 juin 201072 e conférence et exposition EAGELa 72 e conférence et exposition annuel<strong>le</strong> de l’EAGE (European Association of Geoscientists and Engineers) est l’événementinterdisciplinaire <strong>le</strong> <strong>plus</strong> comp<strong>le</strong>t en Europe dans <strong>le</strong> domaine des sciences de la terre.En 2010 <strong>le</strong> thème de la conférence, sera « Un nouveauprintemps pour <strong>le</strong>s géosciences » – un thème qui reflètel’optimisme de cette industrie face à la reprise économiqueaprès une période extrêmement éprouvante. Cet événementsera l’occasion d’évoquer <strong>le</strong>s défis posés à l’industriepétrolière et gazière pour accroître son efficacité à remplacer<strong>le</strong>s sources d’énergie conventionnel<strong>le</strong>s et découvrir denouvel<strong>le</strong>s sources non conventionnel<strong>le</strong>s.Il dérou<strong>le</strong> un programme de quatre jours comprenant uneconférence plénière et une exposition présentant <strong>le</strong>sdernières nouveautés dans <strong>le</strong>s domaines de la géophysique,de la géologie et de l’ingénierie réservoir. Plus de 6 000participants venus des cinq continents sont attendus.<strong>Bull</strong> sera exposant à Barcelona’10 pour présenter <strong>le</strong>s solutionsd’Extreme Computing destinées aux acteurs de l’industriepétrolière et gazière, avec ses partenaires.Pour <strong>plus</strong> d’information :http://www.eage.org/events/index.php?evp=2954&ActiveMenu=2&Opendivs=s3Paris (Éco<strong>le</strong> Polytechnique, 91) – 15 et 16 juin 2010Forum Ter@tec 2010En regroupant <strong>le</strong>s meil<strong>le</strong>urs experts internationaux de la conception et de la simulation numériques, <strong>le</strong> Forum Ter@tec est unévénement majeur en France et en Europe dans ce secteur c<strong>le</strong>f pour <strong>le</strong> développement de la compétitivité et des capacitésd’innovation des entreprises.En réunissant <strong>plus</strong> de 600 personnes, <strong>le</strong> Forum Ter@tec2009 a souligné <strong>le</strong> dynamisme économique et scientifiquedu HPC autour des grands enjeux industriels et sociétaux et <strong>le</strong>rô<strong>le</strong> majeur que joue désormais la France dans ce domaine.Le Forum Ter@tec 2010 est centré sur <strong>le</strong> développement trèsrapide des usages du calcul intensif. Venez rencontrer lacommunauté HPC autour de ces enjeux technologiques etéconomiques majeurs.• Mardi 15 juin, <strong>le</strong>s sessions plénières auront pour objectifd’illustrer l’impact grandissant du calcul haute performancedans de très nombreux domaines de l’industrie et des serviceset son rô<strong>le</strong> dans <strong>le</strong>s grands défis scientifiques ettechnologiques.Cette journée se clôturera par la remise du Prix <strong>Bull</strong> JosephFourier en association avec GENCI, La Tribune et Serviware.Une exposition d’une cinquantaine de stands présentera l’offreet <strong>le</strong>s innovations des acteurs majeurs du HPC.• Le mercredi 16 juin, des ateliers aborderont des thèmes fortsdu HPC et seront l’occasion de faire <strong>le</strong> point sur de nombreuxprojets collaboratifs associant industrie et recherche.<strong>Bull</strong>, sponsor de Ter@tec 2010, sera présent dans l’espaced’exposition. Venez rencontrer nos experts de l’ExtremeComputing.Pour <strong>plus</strong> d’information et pour s’inscrire :http://www.teratec.eu/forum/index.html– page 19 –


<strong>Bull</strong> Direct N°46 I Juin - Juil<strong>le</strong>t 2010ÉDITORIAL TRIBUNE TEMPS FORT SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDAJuin 2010Prix <strong>Bull</strong> – Joseph Fourier 2010Pour <strong>le</strong> développement de la simulation numérique en Franceen association avec GENCI, Serviware et La TribuneSuite au succès de l’édition 2009, <strong>Bull</strong> et GENCI vous invitent à participer à l’édition 2010 du Prix <strong>Bull</strong> – Joseph Fourier.L’objectif : favoriser <strong>le</strong> développement de la simulation numérique en France, véritab<strong>le</strong> enjeu stratégique pour l’innovationet la croissance de demain. Le prix a vocation à améliorer l’efficacité des codes en récompensant des acteurs ayant apportéune contribution significative à la parallélisation des applications de simulation numérique ou de traitement de données.Ce prix rend éga<strong>le</strong>ment hommage à Joseph Fourier,éminent scientifique français, professeur à Paris et àGrenob<strong>le</strong>, dont <strong>le</strong>s travaux ont largement contribué à lamodélisation mathématique des phénomènes physiques,aujourd’hui au cœur de la simulation numérique et del’Extreme Computing.Il est organisé par <strong>Bull</strong> qui a acquis en quelques annéesseu<strong>le</strong>ment une position de premier plan au niveau mondial dans<strong>le</strong>s technologies pour l’Extreme Computing, notamment avecbullx, élu aux États-Unis meil<strong>le</strong>ur <strong>supercalculateur</strong> au monde.Les partenaires du prixGENCI, Grand Équipement National de Calcul Intensif,rattaché au Ministère de l’Enseignement supérieur et de laRecherche, au CEA, au CNRS, aux universités et à l’INRIA.GENCI est une société civi<strong>le</strong> ayant pour principa<strong>le</strong>s missionsla promotion de la simulation numérique et la mise en place etla coordination des principaux équipements pour <strong>le</strong> calculintensif.Serviware, filia<strong>le</strong> de <strong>Bull</strong>, est <strong>le</strong>ader en France dansl’intégration de solutions pour la simulation numérique.La Tribune, grand quotidien économique français, proposantchaque jour des pages consacrées à la haute technologie.Un premier prix de 15 000 eurosLe Prix <strong>Bull</strong> – Joseph Fourier 2010 est doté d’un premier prixde 15 000 euros. D’autres prix seront constitués en dotationde temps machine sur des <strong>supercalculateur</strong>s de GENCI.Qui est concerné ?Le Prix <strong>Bull</strong> – Joseph Fourier 2010 récompense une personnepour ses travaux dans <strong>le</strong> domaine de la parallélisation desapplications de simulation numérique ou de traitement dedonnées sur des architectures traditionnel<strong>le</strong>s ou hybrides,réalisés dans <strong>le</strong> cadre d’un laboratoire français, public ouprivéComment participer ?Les dossiers seront sé<strong>le</strong>ctionnés par un Comité de sé<strong>le</strong>ctionpuis évalués par un Jury qui attribuera <strong>le</strong>s lots du Prix <strong>Bull</strong> –Joseph Fourier 2010. Le comité de sé<strong>le</strong>ction et <strong>le</strong> jury serontconstitués de personnalités indépendantes, appartenant aumonde de la recherche et de l’industrie et reconnues pour <strong>le</strong>urshautes compétences.Faites <strong>le</strong> savoir !N’hésitez pas à diffuser largement cette information auprès devos interlocuteurs. Des affiches et des plaquettes sont à votredisposition.Ca<strong>le</strong>ndrier• 23 avril : date limite de remise des dossiers pour <strong>le</strong> Prix <strong>Bull</strong>– Joseph Fourier 2010 ;• mai : publication de la liste des candidats sé<strong>le</strong>ctionnés ;• 15 juin : remise du prix par Philippe Vannier, PDG de Bul<strong>le</strong>t Catherine Rivière, PDG du GENCI en conclusion de lapremière session de Ter@tec.Pour <strong>plus</strong> d’information :Si vous souhaitez participer, obtenir <strong>plus</strong> d’information outélécharger documentation et poster, connectez-vous àwww.prix-bull-fourier.frContact :Vous pouvez nous contacter à info@prix-bull-fourier.fr– page 20 –


<strong>Bull</strong> Direct N°46 I Juin - Juil<strong>le</strong>t 2010ÉDITORIAL TRIBUNE TEMPS FORT SUCCÈS PAROLE D’EXPERT SOLUTIONS EN BREF AGENDAIssy-<strong>le</strong>s-Moulineaux – Le Cube, <strong>le</strong> 16 juin 2010SaaS et Cloud Computing : menace ou opportunité ?La prochaine édition des Matina<strong>le</strong>s de l’Innovation se tiendra mercredi 16 juin au centre de création numérique Le Cubed’Issy-<strong>le</strong>s-Moulineaux autour de la problématique du Cloud Computing.Pour décrypter ce phénomène, viendront débattre desavantages et des limites du Cloud Computing :• Pierre de La Coste, Directeur de Développement, Faascape ;• Foucault de la Rochère, Président du comité « Infrastructuresnumériques et Services » du Syntec informatique et DG deNextiraone France ;• Bruno Pinna, Directeur marketing groupe, <strong>Bull</strong> ;• Loïc Rivière, Délégué général de l’AFDEL (Associationfrançaise des Éditeurs de Logiciels)• Yann Serra, Chroniqueur et Grand Reporter spécialiste« toutes infrastructures et sécurité » pour 01 Informatique. Plus d’information : www.arcdeseine-innovation.comParis – Hôtel Georges, de 8h30 à 10h30, <strong>le</strong> 24 juin 2010Stockage en environnement virtualisé – Une longueurd’avance pour <strong>le</strong>s infrastructures Cloud de demainLa virtualisation des environnements serveurs a déjà atteint un niveau de maturité important : 20 % des serveurs achetés par <strong>le</strong>sentreprises en 2009 étaient destinés à supporter des environnements virtualisés. L’ère de la virtualisation est une réalité quidessine <strong>le</strong>s nouveaux contours d’une informatique qui s’oriente progressivement vers <strong>le</strong> Cloud Computing.Mais l’évolution versune tel<strong>le</strong> infrastructurene peut se fairesans considérer l’informatiquedans sa globalité :<strong>le</strong>s réseaux, <strong>le</strong>sapplications et surtout <strong>le</strong>stockage, seul environnementdont <strong>le</strong>s besoins ontcontinué de croître demanière exponentiel<strong>le</strong>malgré la contraction forte des budgets informatiques desentreprises en 2009. Au confluent des problématiques dedisponibilité, de protection des données, de qualité de servicesou encore de reprise après sinistre, la stratégie de stockagedevient alors un <strong>le</strong>vier central qui sera déterminant dans l’échecou <strong>le</strong> succès d’une infrastructure virtualisée.08 h 30 p Vers un nouveau paradigme basé sur la virtualisationet <strong>le</strong> Cloud Computing. Évolution et tendances desinfrastructures informatiques – Place prépondérantedu stockage.p Karim Bahloul, Consulting Director, IDC France.08 h 50 p Comment transformer votre Data Center en centresde services.• Les solutions de stockage NetApp en environnementvirtualisé pour un Data Center orientéservices, évolutif et sécurisé de bout en bout.• Le savoir-faire et <strong>le</strong>s offres de <strong>Bull</strong> pour vousaccompagner dans la transition vers <strong>le</strong> Data Centerorienté services.p Philippe Reynier, Directeur du StoreWay InternationalExcel<strong>le</strong>nce Center, <strong>Bull</strong>.p Bruno Picard, Directeur Technique, NetApp.IDC, <strong>Bull</strong> et NetApp vous invitent à partager <strong>le</strong>urs réf<strong>le</strong>xions et<strong>le</strong>ur expérience sur cette problématique.En introduction de cette rencontre, IDC présentera <strong>le</strong>s enjeuxassociés à l’évolution des infrastructures informatiques et laplace centra<strong>le</strong> que joue <strong>le</strong> stockage pour permettre l’évolutionvers un nouveau modè<strong>le</strong> basé sur la virtualisation et <strong>le</strong> CloudComputing. <strong>Bull</strong> et NetApp mettront <strong>le</strong>urs expertises à votredisposition pour identifier <strong>le</strong>s <strong>le</strong>viers de transformation de vosData Centers en centre de services. Enfin vous pourrez prendreconnaissance de retour d’expériences au travers desinterventions d’Agarik et du CG68.09 h 30 p Stockage et virtualisation chez un hébergeur Webinnovant, quel impact sur <strong>le</strong> business ?p Cyril Thiery, Directeur des offres, Agarik.10 h 00 p Tab<strong>le</strong> ronde et échanges avec l’ensemb<strong>le</strong> des intervenants.Avec M. Panetta, Chef de projet du CG68qui fera part de son expérience de direction deprojet et d’implémentation réussie en matière destockage en environnement virtualisé.10 h 30 p Fin.– page 21 –

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!