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Le droit de la race superieure

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(..ISAAC BLUMCHEN•LE DROITD~ LA60 CIIIU'IIilII•CRACOVIEISIDOR-NATHAN GOLDLUST, td;teur-1914De notre ère, 567'••1


•,DU dME AuTEUR :~ NOUS L~ f~~/I('E 1. . . . . • • 1 Fr.PABAlTRA PROCHAINEIlENT)Commenf no.. fenon. les français•, #,•


• • ••LE DROITOE<strong>la</strong> Race Supérieure•1Enlln, le peuple j uif est maître <strong>de</strong> le "~ ran ce.<strong>Le</strong>s gouvernements et les netions reconnais­-senL le faiL offlcielJemen t..Alphonse XIll, roi d'Espagne, <strong>de</strong> <strong>la</strong> maison<strong>de</strong> Bourbon, est venu en France au mois <strong>de</strong>'novembre 1013. 11 est allé chez le prési<strong>de</strong>ntPoincaré, pour une part.ie <strong>de</strong> chasse à Rambouillet.Mais il est allé chez notre Edouard<strong>de</strong> Rothschild pour traiter <strong>de</strong>s affaires <strong>de</strong> l'Espagneavec <strong>la</strong> lô'rance.Sa Majesté catholique le roi d'Espagne, hôted'un Juif ! Ch arles-Quint., Philippe Il, HenriIV, n'ava.ient pas prévu ça.Lorsque Carlos <strong>de</strong> Portugal accrochait legrand cordon <strong>de</strong> l'Ordre du Christ après un~o th sc hil d , il ne prostituait au Juif que sonDieu; Alphonse XliI s'est prostitué lui-même.Ferdinand, tsar <strong>de</strong> Bulgarie, <strong>de</strong>s maisonsd'Orléans et <strong>de</strong> Cobourg, venant en France pourtraiter <strong>de</strong>s atTaires <strong>de</strong> son pays, n'avait pas,•


--------_ . ~~------------4-même rendu visite au prési<strong>de</strong>nt FaUières: ilét.a.it allé directement chez notre Joseph Reina.ch,et il y avait trou\'é les ministres <strong>de</strong> <strong>la</strong>RépubHque (1).Notre conquête est désormais un événementc.Ccompli.J'ai expliqué (2) que D'OUS ne voulions pastI faire sortir <strong>de</strong> France les Français . , commel'onL dit témérairement quelques-uns <strong>de</strong>snOtres, exaltés par <strong>la</strong>. victoire. Nous ne supprimonsque les Français rebelles à notre domination,c'est-à-dire une poignée d'énergu;.­mènes. La masse docile et <strong>la</strong>borieuse <strong>de</strong>s indigènesnous est nécessaire, 'ainsi que les Ilotesét&ient nécessaires aux Spartiates en Laconieet que le Hindous sont nécessaires aux: Angtaisen Hindousl,an.Il nous suInt <strong>de</strong> tenir en main les rouageadirecteurs du pays eL d'exercer le comman<strong>de</strong>..monl(t) Lorsque <strong>la</strong> police <strong>de</strong> <strong>la</strong> République SC) décidaà perquisitionner cher. Reinach, le bandiL <strong>de</strong>s Chemin,<strong>de</strong> 1er du Sud, du Panama cl <strong>de</strong>s Lits Militau'es,elle y t.rouva <strong>de</strong>s dossiers diplomatiques quele Ministère <strong>de</strong>s Affaires étrangères avait refusé <strong>de</strong>communiquer li. <strong>la</strong> commission pal'lemen<strong>la</strong>ire " caraison du Secret d'Etat " . Nos secrets d'Etat sonten sOrelé chez les Heinach (<strong>de</strong> FrankCurL-am­Mayn).• •(2) Voir A nol/.s <strong>la</strong> France! • •


- 6-Nous pouvons l'exercer au grand jour. Pendantles Lrente premières années <strong>de</strong> <strong>la</strong> République,nous avons dissimulé notre puissanceet DOS progrès j avec le XX· siècle, l'ère-juives'est ouverte; nous régnons, et Dcros 6nt.endomque 10 mon<strong>de</strong> le sache.Nous régnons sur <strong>la</strong> France en vertu dumême <strong>droit</strong> qu'ont invoqué les Européens 'pouranéantir <strong>de</strong>s Peaux ... Rouges et pour asservir lesCafres ou les Congo<strong>la</strong>is : le <strong>droit</strong> <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong>race</strong>supérieure sur une <strong>race</strong> intérieure. C'est uneloi <strong>de</strong> nature.La supériorité <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong>race</strong> juive et son droUà <strong>la</strong> domination sont établ is par le fait même<strong>de</strong> ceUe dominalion. <strong>Le</strong>s vaincus s'inclinent<strong>de</strong>vant l'évi<strong>de</strong>nce.L'indigène françai s ne manque pas d'unecert.a illQ in telligence. II commence fi comprendre00 qu'il peuL gagner en acceptant l'inévitable.Il sollicite nos enseignements, nos conseils,nos impulsions da ns Lous le ordres d'aC1tiv Îté politique, économique, artistique, philosophique, littéraire.C'est à l'école primaire, au lycée, à <strong>la</strong> Sorbonne, dans les grands établissements d'ensaignement supérieur, que se Corment tou.tes lesc<strong>la</strong>sses do <strong>la</strong> nation, que <strong>la</strong> plèbe acquiert lesquelques notions sur lesquelles elle vivra Lou wle sa vie, et que <strong>la</strong> bourgeoisie amasse les idéesqu?elle lient ensuite pour définitives.


-6-Sagement, nous nous étions emparés <strong>de</strong>'l'lnsll'uctioll publique il. tous les <strong>de</strong>grés, avant<strong>de</strong> démasquer nolre <strong>de</strong>ssein politique.L'Universilé, ses con seils, ses pl'Ogrammes ..sont entl'e nos mains; les plus mo<strong>de</strong>sf.es manuels<strong>de</strong> J'école primaire comme les chairesles plus org ueilleuses <strong>de</strong>s 1


- 7-


•- 8-lisme " et tout ce qui touche à <strong>la</strong> vic publique.<strong>Le</strong>s administrateurs, avec un général quiporte le nom pré<strong>de</strong>stiné <strong>de</strong> Bazaine, s'appellentThéCidore Reinach et Bernard; le conseil <strong>de</strong>direction comprend nos Juifs Eltrgèn6 Sée, FélixAlean, Dick May (J uive, secrétaire générale),Diehl, Durkheim, Joseph Reinach, FélixMichel.<strong>Le</strong>s proresseurs pour to-tS-HH4 - avec quelquesindigènes dont 10. sou missi on aveuglenous es~ garantie - s'appell ent Théodore Rei­. ach, Léon, Frie<strong>de</strong>l, Cruppi-Crémicux, Dwelshauvers,Hadamard, Brunschwig, Milhaud,Meycrson, Bl aringhem, Rose nthaJ, Lévy-Wogue,Gaslon-Raphaël, C. Bloch, G. Bloch, Hau­SC", Mantaux, 1\'100 11, "\Vorms, Yakchtich,W eyU-Haynal Lévy-Schnei<strong>de</strong>r, Bergmann,Zimmermann, RouIT, Uon Cahen, Caspar,Georges.Cahen Basb, Mandach, Boas-Boasson,Mortier, Bluyse n, Elie May, Edmond Bloch, etc.Tous rempli ssent d'ailleurs <strong>de</strong>s foncli ons impor<strong>la</strong>ntes,<strong>de</strong>s post.es <strong>de</strong> comman<strong>de</strong>ment, dans<strong>la</strong> haute Université Dt: dans les Administrationscenlrales.Nous a-t--on assez jeté il <strong>la</strong> face, autrefois,le nom <strong>de</strong> nos ghettos 1Eh bien nous avons CaiL <strong>de</strong> <strong>la</strong> Sorbonne une-hetto. <strong>de</strong> l'Unh"er .. ité un gheUo, <strong>de</strong>s gran<strong>de</strong>sEcoles françaises cumnl <strong>de</strong> ghettos.


\ -9-C'est dans le ghetto <strong>de</strong>s Hautes Etu<strong>de</strong>s 50-cial~ que les j eUDes Français <strong>de</strong> <strong>la</strong>. c<strong>la</strong>sse ai·sée ou riche viennent. apprendre il. penser, apprendreA. vivre <strong>la</strong> vie publique, mo<strong>de</strong>ler leurpensée sur <strong>la</strong> pensée juive, abolir leurs' iostincLshéréditaires <strong>de</strong>vant <strong>la</strong> volonté juive,s'exercer nu seul rôle que DOUS leur pel'mettiansd'ambitionner: au l'Ole <strong>de</strong> zélés serviteurs,<strong>de</strong> parfail.s valels d'Israêl.Mais nos jeunes Juifs gar<strong>de</strong>nt toujours <strong>la</strong>préséance. Quand Lévy-Brühl, présidanL lesjurys <strong>de</strong> philosophie, décerne les diplômes à <strong>la</strong>Sorbonne, il nomme d'abord les élèves Abrah9.ID,Durkheim, Fligenhoimer, Gintzbc l'g, Israël,Lambrecht, Kaploun, Lipmann, Oultmannet Spaïer. Ensuite, les indigènes.Notre J oseph Reinach vice-presi<strong>de</strong> <strong>la</strong> commission<strong>de</strong> J'armée. La commission chargée <strong>de</strong>fouiller les archives <strong>de</strong> <strong>la</strong> Révolution, <strong>la</strong> commission chargée d'explorer les documents diplomatiquesdu second Empire et d'éc<strong>la</strong>il-er lescauses <strong>de</strong> <strong>la</strong> guerre (ranco-alleman<strong>de</strong>, on L il.leUT' téle Joseph Reinach. Tous les secrets militaires, tous les dossiers historiques, sont il. <strong>la</strong>merci do Joseph Rein ach.Quand Joseph Rei nach <strong>de</strong>scend <strong>de</strong> <strong>la</strong> tribunepo.rlcmentaire où il vient <strong>de</strong> régler l'organisalion<strong>de</strong> l'armée rrançaise, Théndrwe Reinachlui succè<strong>de</strong> (li nov. iOt3) pour dc(endre


- :10 -les vieilles églises <strong>de</strong> fo"rnuce contre le va nd a­lisme dcs indigènes.Au Congrès <strong>de</strong> l'Enseignemcnt, c'cst 'J'héodoreRcinach qui propose contre les pères <strong>de</strong>famill e indigènes <strong>de</strong>s déchéances civiques, p0-litiques, et <strong>de</strong>s peines infamanles, s'ils ne livrentpas Icurs enfants à l'instituteur approuvéd'Israël. C'est Tlléodore Heinach qui prend <strong>la</strong>peine <strong>de</strong> rédigel' <strong>de</strong> petits Traités <strong>de</strong> grammairepour enseignel' aux Français leur propre<strong>la</strong>ngue. Et Joseph Rei aach encore révèle auxlecteurs du JIIalilL (entre Blum, Porco-Rico,W'eyll ct Sn üerschwei n) que Corneille est l'autoU!'<strong>de</strong> Ph/:dre !Nou s a ul"Îons pu, dans ces rôles divers, employer un plus grand nombre <strong>de</strong>s nôlres ; nousa,'ons <strong>de</strong>s Herl" à. l' Ecol e Normale, <strong>de</strong>s Carvalhoà Polytech nique, <strong>de</strong>s Bloch, Cahen etUvy dans tou tes les eh aires supérieures. :\1aisnous avons pensé qu'il frul ait répéter parloutle nom <strong>de</strong> Reinach, qui a subi tant d'outragesen diverses conjonctures. Plus les indigènesfrançais montrèrent alors d'insolence, plus ilimporte <strong>de</strong> les humilier, <strong>de</strong> les prosterner <strong>de</strong>vant<strong>la</strong> famille juive qu'ils avaient· osé salir.Lorsque nos savants Juifs auront enseigné lefrançais oux indigènes <strong>de</strong> Fronce, ils leur enseignerontencore J'hébreu ct le yidtlischCar il (aul CJue les vaincus parlent <strong>la</strong> <strong>la</strong>nguedu vainqueur.


1La propos ition en a êt6 fa ite axcc beaucoup<strong>de</strong> raison par l'Univers Israelite ct par l'EchoSioniste, en oe<strong>la</strong>bre iO!2: (( L'hébreu est une<strong>la</strong>ngue c<strong>la</strong>ssique au mème titre que le grec; <strong>la</strong>Républi que doit ct'éer le bacca<strong>la</strong>uréat hébre u··<strong>la</strong>tin , où les candidats pourl'aient choisir commetextes Isaïc J t les Proverbes. Cet enseigneme ntfournirait un trava il rém unél'al.cul' à nos rab~bins <strong>de</strong> pl'Dvincc » .D'auLre pal't, il est logique d'apprendre notre<strong>la</strong>ngue aux Français comme les Françaisapprennent leur <strong>la</strong>ngue aux Annamites et SUJIMalgaches. C'est même indi spensable, puisquele y iddish et l'hébreu <strong>de</strong>vienne nt <strong>la</strong> <strong>la</strong>ngue<strong>de</strong>s réun ions politiques (sall e W agram, prési<strong>de</strong>nceJ aul'ès), <strong>de</strong>s meetin gs professionnels(Bourse du travail, convocations spéciales parl'Ihtmatlilé) , et <strong>de</strong>s campagnes électorales(élections municipales <strong>de</strong> Pal'is, IV' arro ndissement,candidalure soci ali ste par a rOches encaractères hébraiques).L'accomplissement <strong>de</strong> nos <strong>de</strong>ssein s souiTriraitun rachenx retard, si les J ui fs importésd'Allemagne, <strong>de</strong> Ru ssie, <strong>de</strong> Rou manie et du <strong>Le</strong>vant étaient obligés d'apprendre le françaisavant d'obtenir <strong>la</strong> naturalisation et les dro i ~<strong>de</strong> citoyens français. Nous avons besoin qu'ilssoient tout <strong>de</strong> suite à ·l'abri d'un e exp uls ion.eL tout <strong>de</strong> suite électe urs, éligibles, ad missiblesaux premières fonctions du pays.


- 12 -C'est pourquoi nous avons p<strong>la</strong>cé à <strong>la</strong> Direction<strong>de</strong> li. Sûreté générale, comme chef du service<strong>de</strong>s Déc<strong>la</strong>rations <strong>de</strong> rési<strong>de</strong>nce, Permis <strong>de</strong>séjour, Admissions à domicile et Naturalisalionsnolre Grümbach, soigneusement choisipar l'Alliance israélite.C'est pourquoi aussi nous avons imposé auParquet et au Tribunal <strong>de</strong> <strong>la</strong> Seine, p OUl' nosimmigrants juifs, une procédure spéciale.Pour les J uifs, et pour ·les Juifs seu'lement, leTribunal et le Parquet acceptent comme pièced'i<strong>de</strong>ntité su ffIsante, suppléant à tout c<strong>la</strong>l.-civiJ,un acte <strong>de</strong> notorié<strong>Le</strong> fabriqué par n'importe quelrabbin eL certifié par sept <strong>de</strong> -nos ( rÔ I'CS. Ainsi.nos J uifs prennen t cn arrivant les noms quileur pl aisent, dissimulent leur passé, leurs CDDdamnalions,les raisons pour lesquelles ils cherchentrcCugc Cil l"l'unce. <strong>Le</strong> Parquet va j usqu'àdi spenser les Juifs, les J ui fs seuls, <strong>de</strong> loute légalisationpour les pièces qu'ils veulent bienprodu:irc. Une signature <strong>de</strong> rabbin, lequel n'amême pas à prouver qu'il est rabbin, est untalisman <strong>de</strong>vant lequel tout s'incli ne.Voilà com ment nous avons pu ills<strong>la</strong>ller dansParis une armée <strong>de</strong> cinquante mille J uifs ignoranLle français, ma is cHoyens français.Des cil'con scriptions électorales presque en··tières Ile parlent quc n01l'c <strong>la</strong>nglt6 : eu Algérie,par exempl e ; à Paris, dan s les 3', q' ct '18" ar-•


- 13-rondissemen Ls. La liste électorale <strong>de</strong> Constantinese compose, pour plusielH"s milliers <strong>de</strong>noms, <strong>de</strong> nos Zaouch, Zemmour, Zammit, Zerbo<strong>la</strong>,KaHa. (fils) <strong>de</strong> Simon, Kalfa. <strong>de</strong> Judas, I\:alfa.d'Abraham, Mardochée d'Abraham, Monchi<strong>de</strong> Mardochée, Nessim <strong>de</strong> Mardochée, Rahmind'Abraham, Samuel d'Aaron, Salomon d'Isaac,Chloumou <strong>de</strong> Simon, Chloumou <strong>de</strong> Moise, Elied'Isaac, etc. E' nos frères, q!ri donnenL ainsi à<strong>la</strong>.l


- 14 -primaire est· peuple <strong>de</strong> no!!' h omm e~. Dan.i l e~lycées <strong>de</strong> Paris, com me J anson--1e·:;ail1r etCondorcet, nos Juifs règlent toutJ amais nous u'admeUrions qu'un Françaispro fessât dans les écoles juivcs, qu'il cnseignâtl'histoire d'Israël ct qu'il commentât nos Livressaints dcvant !es peti ts J ui fs, L(' c: petits Françaisreçoivent les leçons <strong>de</strong> nos J uHs et sont mo<strong>de</strong>léspar <strong>la</strong> pensée juive.Notez bien ce lI'ait, qui rCsume <strong>la</strong> si luatio.:l<strong>de</strong>s dcux <strong>race</strong>s : dans aucune ramille franç.lÎ::ievous nc h 'OUVCi'CZ <strong>de</strong> domestiqucs jui r ~ , dc servantesjuÏ\·cs. 'r outes nos familles juive.:: ~ · mtservie pal' <strong>de</strong>s domestiques français: <strong>la</strong> ra cc supérieure,scrvie par <strong>la</strong> <strong>race</strong> lIl{éricltrc.Arrêtez-vous <strong>de</strong>vant <strong>la</strong> banque Rothschild, rueLaffltte, ou <strong>de</strong>vant l'bOtel Hoth schild, rues <strong>de</strong>Ri voli et Saint-Florentin: ,'ous y verrez <strong>de</strong>sagents <strong>de</strong> police en tenue, qui vei llent sur notrechef, sur le maUre <strong>de</strong> <strong>la</strong> France, Pas un crime,pas une catastrophe ne les détournerait uninstant <strong>de</strong> leur <strong>de</strong>voir. C'est le symbole <strong>de</strong> <strong>la</strong>France, vouée au service d'Israël.Voici un Congrès <strong>de</strong>s J c!mcs Républicain.s quise reun it. Sur l'estradc, comme hôtes d'honneur,DOS Rcinach, Strauss, RoubinoviLch. <strong>Le</strong>s prési<strong>de</strong>nts,secrétaires. orateurs, sont nos JuifsHirch, Storra, Lévy, Callen, e<strong>Le</strong>. <strong>Le</strong>s jeunes indigènesécout-cnt., et ils obéissent.C


- 15 -Voici une Association <strong>de</strong> Jeunes filles républicaines:au comité, Mlles Klei n, Halbwachs.Aux conférences <strong>de</strong>s ... l1malcs, à l'OEuvredu Secrétariat fém inin, dans les Ligues pourle DI'oit <strong>de</strong>s femmes, pour le Suffrage <strong>de</strong>s femmes,à. <strong>la</strong> téta <strong>de</strong>s œuvres phi<strong>la</strong>nthropiques et<strong>de</strong>s œuvres pédagogiques, à l'Ecole Normale<strong>de</strong> Sèvres, à l'Ecole normale <strong>de</strong> Fontenay, danstoutes les réunions féminines ou féministes <strong>de</strong>Paris eL <strong>de</strong> Pl'ovi nce, qui presi<strong>de</strong>, inspire, dirige?Nos J uives, nos mo<strong>de</strong>rnes J udiths, nosEsUlers dévouées : Mme Cruppi-Crémicux,Mme Moll-vVeiss, Mme Dick May, Mme LéonBraunschweig, Mme Boas, MUe l\'<strong>la</strong>rguel'iteAron ...E~ les femmes françaises, les jeu !les flUesfrançaises, dociles, conscientes <strong>de</strong> l'iu f"! ' i'! rit~<strong>de</strong> leur <strong>race</strong> et <strong>de</strong> leur infériorité personelle, setiennent mo<strong>de</strong>stement <strong>de</strong>vant Iti. prési<strong>de</strong>nte juive,<strong>la</strong> conférencière juive, <strong>la</strong> directrice juive,comme les petites Annamites et les petlles ~l aJ­,aches au<strong>la</strong>ur d'une institutrice européenne.Race supérieure, <strong>race</strong> inlérieure !Ainsi tl'cnte-huit millions d'indigènes françaisne lisent que <strong>de</strong>s revues et <strong>de</strong>s journauxrédigés par DOS Juifs ou par <strong>de</strong>s bommes ànous; ils n'étudient leur histoire que dans <strong>de</strong>.manuels fabriqués sous notre controle, et leursauteurs c<strong>la</strong>ssiques que dans <strong>de</strong>s é diti ~ - !ls annotées,commentées par lIaS scribes. Morale, psy-,1


---, ......~.~ '-16 -chologie, politique, journalisme, art ou finance,Us ne con naissent rien que par nous.Et quand ils croient. boire <strong>de</strong> <strong>la</strong> bière françaisedans UDe brasserie. PoU!sct _, ils boiventen réal ité <strong>de</strong> <strong>la</strong> bièr!) j-u-ive dans une brasserieLévy (<strong>de</strong>s familles Lévy, J acob cL Reiss).Ou s'ils croient armer leurs ba~aux avec <strong>de</strong>l'artillel"Îe française, ils achètent cn réaliUl eurs canons dans une usine Lévy (Commcn-1rJ').•• •Incapables <strong>de</strong> produire el <strong>de</strong> vendre les objetsnécessaires A Jeur vi~ matérielle ou les œu~vres nécessaires à leur vie intellectuelle, commentles Français pourraient.-i1s se gouvemel'eux-même? Comme nt. pourraient-ils cxp!oiterl'admirable pays que Jéovah nous <strong>de</strong>stinait <strong>de</strong>puis<strong>la</strong> <strong>de</strong>struction du Temple ?Nous avons pris en mains le pouvoir.Aux élections <strong>de</strong> :lOlO, trente .luifs ét.a.ientcandidats j une dizaine ont été élus : c'est-àdireque, dans une dizaine <strong>de</strong> circonscriptions,les indigènes français ont déjà compris qu'ilsne trouveront pas parmi leurs frères <strong>de</strong>s représentantscomme nos J ui fs. La supérioritédu Juif éc<strong>la</strong>te aux yeux du peuple. En 1914,nous aurons <strong>de</strong>ux fois plus <strong>de</strong> candidats, DOUSoccuperon s <strong>de</strong>ux foi s plus <strong>de</strong> sièges .•


•- i7-Déjà (1) j'ai montré le Prési<strong>de</strong>nt <strong>de</strong> <strong>la</strong> Républiquedans notre dépendancG étroite, et I~ministères occupés par <strong>de</strong>s Juifs ou par diesindigènes mariés li <strong>de</strong>s Juj"/cs. Quand un politiciencélibataire manifeste <strong>de</strong>s ambitions,comme le jeune Besnard ou le jeune Renoult,nous l'obligeons d'épouser une Juive s'il veutun portefeuille. S'il s'agit d'u n politicien mariéil. une Française, nous lui imposons le divorce,eL le mariage encore avec un e Juive .Tel Baudin. le «grand dépen<strong>de</strong>ur d"andouillesJI que nous avions poussé à <strong>la</strong> MarineIl a répudié sa Française pour épouser notresœur OCh5, qui l'accompagnait dans l es inspections<strong>de</strong> <strong>la</strong> flotte (avril 1013) ... En arrivant rueRoyale, son premier gesle fut <strong>de</strong> désigner commeavocat du ministère notre frère Schmoll.<strong>Le</strong> barreau <strong>de</strong> Pari s ne broncha pas.(1) V. A 110U$ <strong>la</strong> Fral1celNotre spirituel et considérable Henri Amschel(au théâtre, Henri <strong>de</strong> Rothsch ild), qui fait <strong>de</strong>s"mots d'au <strong>Le</strong>ur n, appelle fam ili èrement M.Poincaré: le sire concis.Nos grands critiques Blum, Weyll et Poroo­Rico (di t Porto-Riche), trouvent ce mot exqu is. Onl'avait déjà lu dans La Vie <strong>de</strong> BoMme, appliqué àPépin-le-Bref. Mais <strong>la</strong> p<strong>la</strong>isanterie d'Henri Amsohel(au théâtre Henri <strong>de</strong> Rothschild) est plus savourewe,parce qu'elle vise à <strong>la</strong> fois <strong>la</strong> stature duPrési<strong>de</strong>nt et son fêle pour Israel.21


•- f8 -On doit l'CCOIlIlUitt'c que le barreau <strong>de</strong> Parismanque d'héroïsme. Il n'a que le culte dw succès.Il 3.vaH repoussê dill'cment Al'i sti<strong>de</strong> Briand.gueux eL flét.ri; Aristi<strong>de</strong> Briand minisll'c vi~l'Ordre à ses genoux. Pendant. l'afTaire Dreyfus,quand <strong>la</strong> victoire <strong>de</strong>s nationalistes semb<strong>la</strong>itprobable, les avocats insultaient les dreyfusardsau Pa<strong>la</strong>is <strong>de</strong> Justice, les frappaie nt..vou<strong>la</strong>ient. les jeter à <strong>la</strong> Seine; dp.-puis <strong>la</strong> victoirejuive, l'Ordre est soumis aux Juifs. Nos avocatsjuifs s'empru'cnt <strong>de</strong>s bons dossiers, acCBrparent. <strong>la</strong> publicité fructueuse, intimi<strong>de</strong>nt lesm agisLrat nOD Cil'CODCis.J'assistais à cette audience <strong>de</strong> <strong>la</strong>. IX' chambreoù notre Lévy-Oullmnan, défendant. quelquesJ uifs <strong>de</strong> <strong>la</strong> basse pègre arrivés fraichementd'uu ghetto r usse, c<strong>la</strong>mait. avec assur8.Qcc:" Mes clients sont <strong>de</strong> bons Français ; ilssonL aussi bons Français, meilleurs Françaisqua n'importe qui dans cette enceinte ! n <strong>Le</strong>savocats indigènes, aussi bien que le substitutet les trois ju-ges, l'cstaient muets sous l'outrage.Voilà comme il (aut trait.e.r les J... rança.is. <strong>Le</strong>temps <strong>de</strong> <strong>la</strong> pru<strong>de</strong>nce est passé. De l'audace,frel'es ! <strong>de</strong> l'insolence! <strong>Le</strong>s vaincus baissent lenez.Cc trait du barreau <strong>de</strong> Paris est sym étriqueau trait <strong>de</strong> <strong>la</strong>. Société <strong>de</strong>s Gens <strong>de</strong> <strong>Le</strong>ttres, choisissantpour représenter ~es écrivains (,rançais


--iOenRussie notre J uiC Hohan (d'O<strong>de</strong>ssa), ditSti ménofT, qu i s'est vanl.6 <strong>de</strong> « Caire sortir <strong>de</strong>J."'rance les Français gênants n . Avertie, somméed'épargner à ses adhérents cet outrage, <strong>la</strong>Société <strong>de</strong>s Gens <strong>de</strong> <strong>Le</strong>ttres s'y e ~ ~ obsti née. Carelle 0. peur <strong>de</strong> nous ! Quels sont les barbouilleurs<strong>de</strong> papier que nous ne tenons pas parquelque sporwle?Il Oignez vi<strong>la</strong>in, il vous poindra; poignez leFrançais, il vous oindra. nC'est pourquoi notre sœur Ochs 0. contraintSOIl mal'i Baudin <strong>de</strong> livrer à notre Schmoll lesdossiel's <strong>de</strong> <strong>la</strong> Marine. Si <strong>la</strong> Marine pl ai<strong>de</strong> contreles fo urnisseurs Lévy ct Paraf, <strong>la</strong> causeest enl.c ndue ... Baudin, ministre, est tombé jSchmoH reste.L'opposition socio1iste, pour attaquer le m i ~nistre <strong>de</strong> <strong>la</strong> Ouerre Etienne, a répélé que cethomme d'al<strong>la</strong>ires était en même temps fournisseur<strong>de</strong> l'armée: presi<strong>de</strong>nt <strong>de</strong>s Tré fileriesdu Havre, qui fournissent <strong>la</strong> matièl'c <strong>de</strong>s douilles<strong>de</strong> cartouches. Mais les sociali sles n'ont jamaissignalé que le oonseil d'administrationcomprend, avec le prési<strong>de</strong>nt Etienne, nos JuifsW eillor, Hauser, A, Cahen, E, Cahen, Eiohorn(vice-prési<strong>de</strong>nt), etc.Dans toutes les sociéLés <strong>de</strong> gran<strong>de</strong>s fournitures,surtout pour <strong>la</strong> Guerre eL <strong>la</strong> Marine, <strong>la</strong>proportion <strong>de</strong> Juifs est .Jo. même, Car nous•


-20-avons besoin <strong>de</strong>s renseignements confi<strong>de</strong>ntiels,et nous voulons J.es gros profits.Notre Laza.rc~ \Vei ller -s'offre le luxe <strong>de</strong> donnerquelques "ouleaux <strong>de</strong> pièces d'or aux aviateursmilitains : c'est <strong>de</strong> l'argent bien p<strong>la</strong>cé.Notre Cornelius Herz et. notre Reinach <strong>de</strong>s Litsmilitaires le savai ent. Nos Lévy, Salmon, Cain,d anen, Wert.heimer, qui expédient <strong>la</strong> « charogneà soldats Il dans les garnisons <strong>de</strong> <strong>la</strong> frontièrele savent aussi.Mais nous n'aimons pas qu'on en parle.A <strong>la</strong>. Chambre, que le prési<strong>de</strong>nt s'appelâtBrisson ou Deschanel, il n'a jama.is été permis<strong>de</strong> prononcer Je nom sacré <strong>de</strong> Rothschild nid'incriminer un Juif.<strong>Le</strong> parti socialiste est è. nous, parce que nousentretenons ses journaux, ses organisations,ses tribuns. <strong>Le</strong> parti radical et radical-socialisteest. il. nous: son secrétaire général est unCahen; ses membre sollicitent et reçoiventpour leurs élecLions les subsi<strong>de</strong>s <strong>de</strong>s banquesRothschild e ~ Dreyfus.<strong>Le</strong> comité Mascuraud., qui esL <strong>la</strong> plus richeet pculr-èLrc [a pl us inO uente agence électorale<strong>de</strong> 13 République, ren ferme quaire-vingts pource nt <strong>de</strong> J uUs : 5 Bernheim , 9 Bloch, 0 Blum,9 Cahen, /1 Cahen, 10 IÜlhn, 7 Dreyfus, 5 Goldschmidt,4 Hirsch, 20 Lé"y, etc.Du socialiste Jaurès au radical Cl emenceau,


•-21 -il n'y a pas <strong>de</strong> poliLicien gras ou maigre quine soit à nos gages. Nous les surveillons parIcW'S- secrétaires juifs et leurs maîtresses jUlives,filles <strong>de</strong> thêùtre ou <strong>de</strong> tripot, baron nes d'aventuresOl1 marchan<strong>de</strong>s à <strong>la</strong> toilette.Quand leurs rivalités suscitent entre eux <strong>de</strong>squerelles qui gêneraient notre politique, nou~leur imposons <strong>la</strong> paix. C'est nous qu i avionsreconciJié ces <strong>de</strong>ux mortels ennemis, Clemenceauet Rouvier, da ns <strong>la</strong> nuit si nistre où péritun Reinach. C'est nous qui avons réconciliéchez Astruc les <strong>de</strong>ux rivaux perfi<strong>de</strong>s, Deschanelet Poincaré, pal' <strong>de</strong>vant nos Merzbach,Sulzbach et BlumenLhal.Pour secon<strong>de</strong>r <strong>la</strong> Synagogue et le Comité <strong>de</strong>l'AUiance israélite, nous avons Condé dans Paris<strong>de</strong>s Loges maçonniques où nos frères délibèrentseuls, à l'abri <strong>de</strong>s profanes. Toules lesLoges maçon niques sont peuplées <strong>de</strong> nos Juifs;mais nul ne pénètre dans nos Loges juives, t.el~les que <strong>la</strong> Loge Gœthe, fondée en 1000 par lesfrères Dubsky, Fischer et Bouchholtz. On n'yparle que l'allemand et le y iddish.De là partiront les ordres qui jetteron t dans<strong>la</strong>. rue nos cinquante mille immi grés, bl'owningau poing, pour <strong>la</strong>. gran<strong>de</strong> Pâque, au son<strong>de</strong>s ca.nons allemands.Noh'!) frère Jost van Vollenhoven, bon Juif ~<strong>de</strong> Rotterdam, a. été nommé par <strong>la</strong> République


-22-vice-roi <strong>de</strong> r1 l1do--Chinc française. Sa chanceest e n CO t'C plus belle que celle <strong>de</strong> Grucnbnum­Ballin, bon J uif <strong>de</strong> Franfcort, prés i<strong>de</strong>nt duConseil <strong>de</strong> préfecture <strong>de</strong> <strong>la</strong> Seine, ou que celled'Isaac \Veiss, secrétaire général du Cansei!municipal. Aussitôt que naturalisé, Vollcnhovenétait enh'é dans l'administration colonialecomme sCl'ihe Îl 2.000 fI'. ; dix ails après, il règnesur un immense empil'c, al'I'osé <strong>de</strong> sanget <strong>de</strong> milliards français. J amais un Françaisn'a fait une pareille carrièl'O.<strong>Le</strong>s Annamit~ voient do leurs yeu.x Jo. distancequ'il y a du Juif au Français; il s connaissentmai nte nant leu l' vrai maître.Un pays où, sur dou>zc millions do ciklyens,il n'y a pas un homme, où le gouver nementproc<strong>la</strong>me il <strong>la</strong> facc du mon<strong>de</strong> qu'il n'y Il pasun homme capable d'adminislrer sa plus gran<strong>de</strong>colonic ; un pays qu i est réduit à fairc ven il'<strong>de</strong> Hottcl'dam un peUL J uif pOUt' gouvernerl'Indo-Chine, <strong>de</strong> li'r3ncfort un petit J uif pourgouvcrner Paris, d <strong>de</strong> tous les ghetlos allemands,russes, roumains, levantins, <strong>de</strong>s J uifspour gou\'crn cr scs provinccs, ses fi nances, sesburca u.x, ses urmces, cst un pays fin i, un psysvacant. IlIt pay3 à prendre.Eh bien, nous le prenons !<strong>Le</strong> Mal'oc aUt'S lc mèmc sort que l'Iodo-Chine,Commcrcialemcnt. tout ce qui échappe aux


,-23-Allemands tombe au pouvoir <strong>de</strong>s sociétés forméespar DOS Cahen, Nathan, Schwab et Blum.<strong>Le</strong>s oCflciers français parlent avec un e émotionnaïve <strong>de</strong>s enfants juifs qui les acc ueil<strong>la</strong>ientdans les villes marocaines par un complimenten <strong>la</strong>ngue française: comme s'iln'était pas naturel <strong>de</strong> voir 1l0S frères, oppriméspar les i\'Isl'ocains, recevoir les Français cnlibérateurs! Dans quelques années. grâce auxFrançais, les Jui fs du Maroc se trouveronL maitresdu pays où ils gémissaient dans <strong>la</strong> crasse,maîtres <strong>de</strong>s Marocains vaincus,maitres aussi <strong>de</strong>l'armée française, l' épée ct bouclier d'ISI'ai.!! n.Vexemple <strong>de</strong> l'Algérie est là. <strong>Le</strong>s A t'abcr; etles I{abyles qui nous traitaient jadis comme<strong>de</strong>s chiens sont aujourd'hui, grâce à. <strong>la</strong> France,moi ns que <strong>de</strong>s chiens <strong>de</strong>vant nous. <strong>Le</strong>urs lerres,leurs troupeaux, les fruits <strong>de</strong> Je uI' industriosont à nous. S'ils bougent, les sold ais françaisnous défen<strong>de</strong>nLEn CI'iméc, en I<strong>la</strong>lie, au Mexiq ue, à Madagascar,au 'ronkin, sur les champs <strong>de</strong> ba.tailled 1870, les Arabes et les Kabyles ont verséleur sang pOUl' <strong>la</strong> France. :Mais <strong>la</strong> France continue<strong>de</strong> les tenir dans <strong>la</strong> poussière <strong>de</strong> nos sandales.C'est nOU6 que <strong>la</strong>. I~ ra nce a faits citoyens,électeurs, souverains. C'est nous qui nommonsles Etien ne et les Thomson, géranls <strong>de</strong> nos nffaires,arbitres <strong>de</strong>s <strong>de</strong>stinées françaises.Au Journal Officiel du 16 déeembl'e HH2, OII••


- 24-•trouve cette impu<strong>de</strong>nte pétition, qu'Qnt. s i gn é~plusieurs miUiers d'Arabes <strong>de</strong> Mascara, Tebessaet pays voisins :Monsieur le Prési<strong>de</strong>nt,Nous nous permel<strong>la</strong>ns <strong>de</strong> vous taire remarquer<strong>la</strong> situation vraiment déplorable qu i nous est raitecomparée à celte <strong>de</strong>I israélites et <strong>de</strong>s étrangersdomiciliés en Algérie.Etant comme eux soum is à l'Impôt. du sang.nous sommes leurs égaux au pO int <strong>de</strong> vue du <strong>de</strong>voir;mais au po int. <strong>de</strong> vue du dl'oit, il n'en sorapa.s ainsi et nous tl'OUVOI'ons IlOS enfanls dans uneeituaLion manifestement. inférieure vis-à-vis d'cux.Dès leur sortie du régimen t., les israéliteJ jouis-.,e'l t <strong>de</strong> t Oltl les <strong>droit</strong>s du citoyen l rf.nl çais, eL nousnon. Permettez-nous <strong>de</strong> vous citer <strong>de</strong>ux exemples:t · Aujourd'hui arrive en Algérie une famille<strong>de</strong> nationalilé quelconque, le plus souvent ne par­Iant. fli Ile eQ'mprel<strong>la</strong>lit un mQt <strong>de</strong> frallçais; elle aun fils qui vc uL entrer dans l'armée, et son pèresignant simplement une déc<strong>la</strong>ration, il est incorporéet fait <strong>de</strong>ux ans <strong>de</strong> service miliLaire; à sasortie du régiment, il est F rança is et jouit <strong>de</strong> tousles <strong>droit</strong>s el. prérogatives du citoyen frnnçai~o Peutenle mettre en parallèle avec nos enfants qui, <strong>de</strong>pUisleu r plus tendre enfance, aiment <strong>la</strong> F rance?Eh bien, ceL étranger qui, malgré son service, neparle pas le françai s et reprend, en rentrant chezlui , sa <strong>la</strong>ngue d'origine, est Prallça(s et 1IQS c7If anl,'r elient étrangers ;2- Un ancien officier <strong>de</strong> tirailleurs ou <strong>de</strong> spahiS,retraité, presque toujourl! décOIoé <strong>de</strong> <strong>la</strong> Légiond'honneur, rentl'e dan3 <strong>la</strong> vie oivile; l! resle abllo-••


••-25-Jument étranger, il ne jouit d'aucun <strong>droit</strong> du, ct'­tOllen françau. bien que pendant trenl.e ans, il aitexposé 8a vie sur les champs <strong>de</strong> bataille; maisl'étranger qui a (ait seulement <strong>de</strong>ux aDS est Français<strong>de</strong> ce (aiL.Si nous avons <strong>de</strong>s <strong>de</strong>voirs à remplir, nous désironsavoir les mémel <strong>droit</strong>s que le" i8Taélite, ...Voyez-vous ça! 0: <strong>Le</strong>s mêmes <strong>droit</strong>s que le~Israélites D !, La Chambre française n'a pas fait l'honneurd'une réponse à cette requête insensée. L'Arabeest le sujet. du Français, qui est le suj et. duJuif : chacun gar<strong>de</strong> son rang !•


•11l\oll'C conquête <strong>de</strong> <strong>la</strong> France a étë facilitéepal' une suite <strong>de</strong> conjonctures heureuses j Jéovahcombat si ouvertement pour nous qu'iltourne à notre avantage même les résistancesopposées à oob'c effort.Nous trouvol1s à chaque pas <strong>de</strong>s alliés inattendus.Et nos ennemis, involontai rement, nousservent.Dans ces vingt <strong>de</strong>rnieres années, nous avonscu <strong>de</strong>vant DO lkS le parti nationaliste, le particatholique, le parli néo-royaliste : les nationalistes ont capitu lé louL <strong>de</strong> suite i l'Eglise romainene se risque pas à nous rcndre co uppour coup j le parti néo-royaliste est noLremeilleure So.uvcgol'dc.•<strong>Le</strong> parti nationalisle, composé <strong>de</strong>s débl'Îs du .•parti bou <strong>la</strong>ngiste. était à nous sans combat.


•l•- 27-~l. Déroulè<strong>de</strong>, subventionne (200.000 Cr.) <strong>de</strong>Holh schild (1), int ime a mi d'Arthur Meyer, a n­cien acolyte d'Alfred NaqueL; MM. Galli ctDausset, fulurs associés <strong>de</strong> notre Isaac \ Veiss(<strong>de</strong> Buda-Pest) à l'Hôtel <strong>de</strong> Ville ; M. Barrès,ornement <strong>de</strong>s salons Willy Blumenthal ; ct lesdix-neuf Juifs du Gaulois, les vingt Juifs duPigaro, les Juifs <strong>de</strong> l'Echo <strong>de</strong> Paris, les Juifs <strong>de</strong>tous les joul'naux, <strong>de</strong> toules les revues, <strong>de</strong> totri.csles agences, jouaient notre jeu même quand ilsfeignaient <strong>de</strong> nous résister. Arthur Meyernous répondait <strong>de</strong> l'état-major nationalistecomme il nous aVilit r épondu <strong>de</strong> l'ëtnt,..majorbou<strong>la</strong>ngiste: inlimidanL les uns, achetant lesautres (à nos Crais), les espionnant tous, ilnous les livrait à merci.<strong>Le</strong> parti nationaliste eL <strong>la</strong> loise » n'onL pas pesé lourd.Patrie fl'ançai~L' Egli se ealholique appal·aisso.H comme uneforce.Quant j'al'ri vai <strong>de</strong> CI'acovie et que je vis sedresser SUI' Monl mal'l!'c l'énorme eL ruineusebâtisse du Sacré-Cœur, je perdis mes inquiétu<strong>de</strong>s.Des seus (lui dépensent en moeUons cinquantemillions eL qui n'onL jamais cinquante(1) Yoir le Tc.t<strong>la</strong>l1!clIl d'lUi Il nli.témite, pal' Ed.Drumont.


-28-mille francs pour soutenir un journal ne sontpas dangereux.Nous jtJgeons habile d'entretenir celte légen<strong>de</strong>que l'Eglise nous persécute furieusement;alors nous <strong>de</strong>venons les martys et les championsdo <strong>la</strong>. libre-pensée i <strong>la</strong> Franc-Maçonnerien'a plus d'autre souci que <strong>de</strong> nous glorifier et<strong>de</strong> nou s servir ; les anticléricaux sont engagésd'honneur à nous couvrir; toute <strong>la</strong> Hépubliqueathée, <strong>la</strong>ïque et <strong>la</strong>icisatrice est notre chose.En fai~une partie du haut clergé s'entendfort bien avec nous.L'espoir <strong>de</strong> com"crtir quelque J uive millionnaireet d'cn tirer <strong>de</strong>s aumônes ostentatD iresallèche les pré<strong>la</strong>ts. <strong>Le</strong> bapLêmc <strong>de</strong> Gaston­J DScph Pol<strong>la</strong>ck, dit Pollonais, <strong>la</strong>quais d'ArlhurMeyer au Gaulois, par le P. Domenech, enl'église Saint-Thomas d'Aquin, fut le principalsuccès dont "Eglisc $"'cnorgueillit dans <strong>la</strong> terriblecrise dreyJusiste : notre renégat., tenu surles (onts baptismaux par Mme <strong>la</strong> comtesse <strong>de</strong>Béarn et le général Récamier, ne fit guère honneurà ses p3.rrains ...Ce redoutable J es uite, le P. du Lac, effroi d6<strong>la</strong> Libre-Pensée, déjeunait avec nolre JosephHei nach. <strong>Le</strong> P. Ma.u mus, avec W al<strong>de</strong>ck-Housseau.Ces champions <strong>de</strong> <strong>la</strong> foi catholique, les <strong>de</strong>Mu n, travaillent avec nos Juifs: le marquis,dans <strong>la</strong> finance dou teuse a\'ec Lazare \>Veiller ;le cOtn le, dans le journalisme équivoque avec


.,-29-Arthur Meyer. L'évêque d'Albi fait voter sonclergé pour notre meilleur valet, le citoyen Jaures,et le9 catholiques <strong>de</strong> <strong>la</strong> Loire ont marchépour l'ex-préfet Lépine, cornplic~ <strong>de</strong> toul.cs nosmachinations.<strong>Le</strong> vénérable Mgr Amettc, cardinal archevêque<strong>de</strong> Paris, quand <strong>la</strong> République expropriales congregations, négociait avec notre JuifOssip <strong>Le</strong>w, mandataire <strong>de</strong> notre Juil Cahen,marchand <strong>de</strong> café, pOtM' lever l'ex.communicationqui frappait les acquéreurs ou locataires<strong>de</strong> biens religieux confisqués.Au moment dLJ procès do Kiew, le pré<strong>la</strong>td'Académie Duchesne et certains év~ques ca.­tholiques d'Angleterre imagiDèreD~ par je nesais quel calcul, <strong>de</strong> protester oontre l'accusatioD<strong>de</strong> \1 c.rime rituel » avec au<strong>la</strong>nt <strong>de</strong> force quenos rabbins. Nous ne savons ce qulon pensèrentleurs ouailles j nous en rOmes encore plusécœurés que réjouis.Si nous soutenons que nos Livres et nosprêtres ne préconisent pas le crime rituel, sinous affirmons l'innocence d'un <strong>de</strong>s nôtres accusé<strong>de</strong> crime rituel, nous ne pouvon s pas garantirqu'il n'y Q. jamais eu et qu'il n'y aurajamais parmi nous <strong>de</strong> sang<strong>la</strong>nts fanatiques.L'Eglise romaine, elle, en répond ! Ses cardinauxet ses évêques sont plus Juifs que nous !...115 passent <strong>la</strong> mesure. Oc n'cst pas à nous <strong>de</strong>nous cn p<strong>la</strong>indre.1••


- :;0-<strong>Le</strong> commerce <strong>de</strong>s objets <strong>de</strong> piê LC, dans 10qual'lier Sainl.-Sulpice aussi bien que da ns <strong>la</strong>ciw miraculeuse <strong>de</strong> Low'<strong>de</strong>s, est à peu près' unmonopole juif. En l'6vanche, nos J uifs po ur ~" US d'un siège parlementaire oc troienL volontiersprotection aux cUl'és <strong>de</strong> leur ci rconscription ; ils le peuvent sans encourir le soupçonmorlel <strong>de</strong> u cléricalisme >l , ct il s en reLi rentquel que utilité.Mais il est essentiel à nos intérêts que l'antisémitismepasse en Pra nec pour <strong>la</strong>. pire expressiondu faualime eléricul. <strong>Le</strong>s indigènes <strong>de</strong> Ct!pays vi"ent <strong>de</strong> phrases Ioules raites et <strong>de</strong> lésen<strong>de</strong>sabsur<strong>de</strong>s. Profitons-en !•• •<strong>Le</strong> seul groupe d'ind igènes frança.is qu i sedresse encore contl'e nous est le groupe néo..royalisle.J'ai dit ailleurs comment nous nous dé~barrassons <strong>de</strong>s individus qui nous gênent inous n'aurions pas pl us <strong>de</strong> peine à nous dé_barrasser d'un groupe organisé. Mais celui-cinous est précieux. Si l'Aclion fran çaise n'existaitpas, nous <strong>de</strong>vrions l'inventer.Après l'affaire Drey rus, dans l'enivrement <strong>de</strong><strong>la</strong> victoire, nous avons commis quelques im-


- 31 -1pru<strong>de</strong>nces, quelques bl'uLali lés ma<strong>la</strong>dl"Oitcs ; lesban<strong>de</strong>s anLisémiLcs vaincues, disp ~ ï5 ée s , al<strong>la</strong>ientsc rallier autour <strong>de</strong> quel ques dreyfusardsétranges, plu.s enf<strong>la</strong>mmés conlre nous eLplus imp<strong>la</strong>cables que nos précé<strong>de</strong>nts adversaires.Une nou \relle « vague d'antisémitisme »al<strong>la</strong>it battre les murailles <strong>de</strong> J éru salem avantque fùt éte int notre chant <strong>de</strong> triomphe ...Heureusement l'A ction f rançaise parut, exposases doctrines ct nous permit <strong>de</strong> lier notrecause à celle <strong>de</strong> <strong>la</strong> Répubtiquc.Dans les soirées tumul tueuses <strong>de</strong> l'a.1TaireBernstein, à <strong>la</strong> Comédie-Françai se, alors queLépine f<strong>la</strong>nquait chaque spectateur <strong>de</strong> <strong>de</strong>uxroussins pour faire respecter Israël, un e gran<strong>de</strong>Juive disait à ses pique-assiet<strong>Le</strong>s français :« Ce n'est rien ; une ban<strong>de</strong> <strong>de</strong> galopins, les camelotsdu Roi qui crient : à bas les J uifs ! nEt notre Judith affectait <strong>de</strong> rire.A son exemple, nous affectons <strong>de</strong> rire quandnous entendons crier: à bas les Juifs ' Ce sont<strong>de</strong>s camelots du Roy. C'est l'Ancien R6gime, <strong>la</strong>f6odal ité., le droi t du seigneur, l'obscurantisme,<strong>la</strong> gabelle, <strong>la</strong> mai nmorte. <strong>la</strong> corvée. VoilAnos adversaires. Nous, nous sommes <strong>la</strong> République,<strong>la</strong> Liberté, le Progrès, l'Humanité, <strong>la</strong>Cité future 1. ..Pour <strong>de</strong>s Français ignorants, irréfléchis,qu'on mène où l'on veut avec J'appât d'une formulecreuse, il o'en faut pas davantage. Plu-•


•-32-tôt que <strong>de</strong> passer pour <strong>de</strong>s Camelots du Roy,pour <strong>de</strong>s suppôts <strong>de</strong> l'Ancien Régime, lesFrançais nous permettront tout, nous pardonneronttout, nous livreront tout. Si jamaisl'Action françai3e est è. court d'argent, nous luien (ournirons plus que ses douairières : ellefait notre sécuri té.<strong>Le</strong> prodige invraisemb<strong>la</strong>ble qui réLabliraH<strong>la</strong> Monarchie ne nou s efTraie pas, au surplus.La Monarchie serait nOtre comme <strong>la</strong> République.Philippe VII irait chasser chez Rothschildcomme le roi d'Espagne, et déjeuner chez Reinachcomme le tsar <strong>de</strong> Bulgarie.La Monarchie ne s'appuierait pas sur unc<strong>la</strong>n <strong>de</strong> follicu<strong>la</strong>ires surexcités, mais sur l'aristocratieet sur <strong>la</strong> haute bourgeoisie.Or. J'aristocratie est une annexe d'Israël, et<strong>la</strong> haute bourgeoisie, sa servante.La haute bourgeoisie, nous da tenons en <strong>la</strong>issedans les conseils d'administration.Ce qui reste <strong>de</strong> l'aristocratie, nous l'avonsacheté.<strong>Le</strong>s bourgeois qlri préten<strong>de</strong>nt à quelque av&­nir dans <strong>la</strong>. vie publique sont réduits à <strong>de</strong>venirnos gendres ou nos estafiers.<strong>Le</strong>s <strong>de</strong>scendants ( plUJ:~ ou moins authentiques)<strong>de</strong>s a.nciennes gran<strong>de</strong>s (o.mîlles épousen'aussi D OS filles ou vivent à DOS crochets.•


-33-S'il Y a mésalliance, elle est <strong>de</strong> nolre côté.NolJS sommes u <strong>la</strong> première aristocratie dumon<strong>de</strong> » !C'est pour nous donner une apparence françaiseque nou s usurpons les signes extérieurs<strong>de</strong> <strong>la</strong> noblesse française.Nous avons le choix entre plusieurs procédés.<strong>Le</strong> plus simple et le moins coüteuC'( consisteà prendre <strong>de</strong> notre propre autorité un nom <strong>de</strong>terre, une particule, un titre, comme font unemultitu<strong>de</strong> <strong>de</strong> courtisanes et d'aigrefins. Parexemple, notre Finckelhau5 achète un châteauà Andilly et signera sucess ivement Finkelhaus(d'Andilly).. Finkelhaus d'Andilly, l", d'A'odilly.Noble <strong>de</strong>moiselle Ca.rmen <strong>de</strong> Raisy, J'une d'espoules à Rostand (Chantecler), est notre sœurLévy.Ou bien Ba<strong>de</strong>r et Kahn <strong>de</strong>s Galerie$ Lafayette<strong>de</strong>viendront Ba<strong>de</strong>r et Kahn <strong>de</strong> Lafayette,B. eL K. <strong>de</strong> Lafayette, baron et comte <strong>de</strong>Lafayette.D'autres, embarrassés <strong>de</strong> scrupules, acquièrentun vrai parchemin <strong>de</strong> quelque monarqu!,besogneux: ainsi les Roth schild.Ou du pape : ainsi le comte Isidore Lévy,qui a payé comptant le bref pontifical du 8 janvier1889.<strong>Le</strong> gouvernement <strong>de</strong> <strong>la</strong> République nousrend le même service à meilleur marché: pourmoins d~ cinquante louis, notre Wiener est <strong>de</strong>­S,,


- 34-venu, par décret pt'ésidcutiel, Mon sicur <strong>de</strong>Croisset-.En fi n, si nou s n'avons <strong>de</strong> vanité que pournos peti ts-enfants, nous achelons simplementà nos fill es <strong>de</strong>s gentilshommes <strong>de</strong> bonne souche.K'est- il pas meillcut· pour eux <strong>de</strong> redorerleut' b<strong>la</strong>son en épousant une honnèle Juivequ'en cpousant une vieille cutin, comme ils nem a uqu e l 'a ien~ pas do le faire ?<strong>Le</strong> prince <strong>de</strong> Bidache, duc <strong>de</strong> Gramont, allié aux Ségur, Choise ul-Praslin, Montesquiou­Fézensac, <strong>Le</strong>spuI're, Conegliano, ele., etc., a.épousé ulle Hol,hsehild,<strong>Le</strong> prince <strong>de</strong> 'Wagram ct <strong>de</strong> Neu(chûl.cl (Bor­Ulier) a épousé une Rothschild.<strong>Le</strong> duc <strong>de</strong> Rivoli (Masséna) a épousé uneFut,tado-Heino, qu'avait épouséo aupal'avant leduc d'Elchingen (Ney) ct dont <strong>la</strong> fille a épouséle prince Murat.<strong>Le</strong> pri nce <strong>de</strong> Ch ale nçon-Poli gnac a épouséune i\lirès,Notre Marie-Alice Heine, avant d'épausel' lepr ince do iMonaco, était <strong>la</strong> femme du duc <strong>de</strong>Richelieu.J~a duchesse d'Estampes est une J uive Ramiugheu; <strong>la</strong> marquise <strong>de</strong> Bt'eleuil, uno J uiveFould; <strong>la</strong> vicomtesse do <strong>la</strong> Panouse, lI'nc J uiveHeilbronn; <strong>la</strong>. mo.rquisc <strong>de</strong> Salignac-Fénelon,une J uive Hertz; <strong>la</strong> marquise <strong>de</strong> P<strong>la</strong>ncy, uneJuive Oppenheim ; <strong>la</strong> duchesse <strong>de</strong> Fitz-James


,•,- 35-(<strong>de</strong>s Stulll'Ls, ma chère) une Juive Lœvenhielm; <strong>la</strong> mal'Qu isc <strong>de</strong> Las-Marimas, u·ne J uiveJ acob, échappce pcu!'-èh'c <strong>de</strong> Turcarcr; <strong>la</strong> pri n­cesse Del<strong>la</strong>-Bocca, une Juive Emb<strong>de</strong>n-Hcim ;~a marquise <strong>de</strong> Hochechouart-M ot'temai't, uneJuive Erard; <strong>la</strong> vÎcomtesse <strong>de</strong> Quclen, <strong>la</strong> barODnc<strong>de</strong> Baye et. <strong>la</strong>. marquise <strong>de</strong> Sainl- Jean <strong>de</strong><strong>Le</strong>ntilhac sont trois sœurs, trois J uives Hermann-Oppenhcim.La. duchesse <strong>de</strong> La Croix-Castries est. uneJuive Sena. Veu,ve, ellc s'est remariée au comled'Harcourt: elle entrait ainsi chez lous lesd'Harcourt, les Beaumont, les Guiche, les Puymaigre,les Mac-Mahon, les Haussonvill e. Personnellement,les d'Haussonville ont eu d'al?ires occasions <strong>de</strong> s'allier aux J uifs Ephrussi.(Voir un fameux r oman <strong>de</strong> Gyp).La marquise du Taillis est une J uive Cah en ;<strong>la</strong> princesse <strong>de</strong> Lucinge-Faucigny, une autreJuive Cahen ; <strong>la</strong> comtesse <strong>de</strong> <strong>la</strong> Rochefoucauld,une .Juive Rumbold ; <strong>la</strong> marquise <strong>de</strong> Preslen'est pas une <strong>de</strong>moiselle Poirier, comme lecroyait le naH Augier, mais une J uive ]{Jein ;<strong>la</strong> comtesse <strong>de</strong> Rambervilliers, une Juive Alkein; <strong>la</strong> marquise <strong>de</strong> Grouchy, <strong>la</strong> vicomtesse<strong>de</strong> Kerjégu, <strong>la</strong> co mtesse <strong>de</strong> Villiers sont quatresœurs Juives Haber j <strong>la</strong> marquise <strong>de</strong> Noailles,Juive Lackmann ; <strong>la</strong> comtesse d'Aramon, uneJuive Stern ...Et cœl era. Tout l'armorial y passerait.(


-36 -1Notre Finckclhaus publia jadis un travail fortétendu du vicomte <strong>de</strong> Boyer sur cet importantsuj eLDepuis lors, ces familles Il <strong>de</strong> <strong>la</strong> vieille roche. onL pullulé, leurs enfants ont grandi;d'autres familles Il <strong>de</strong> <strong>la</strong> vieille roche n, affamées<strong>de</strong> J'argent juif, ont suivi le mouvement.Aussi, nous nous faisons ulle pinle do bonsang, quand IlOUS voyons les néo-royalistes <strong>de</strong>l'AcJion {rançaüe prodiguer leur énergie, leur<strong>la</strong>ient eL leur éloql.)C.Dce pour rétablir en sonrang l'anlique noblesse, d rendre <strong>la</strong> France àses <strong>de</strong>stinées.\( L'antique noblesse n se compose maintenant<strong>de</strong> nos gendr~s, petits-ms, ·neveux, cousins germai ns: lous <strong>de</strong>mi-youpins ou quart.s<strong>de</strong> youpins.Ce bon M . Charles Maurras ne reçoit doncjamais un billeL <strong>de</strong> faire-part, lorsqu'un <strong>de</strong>uilsurvient dans les nobles maisons? Mêlés enédifiante sa.<strong>la</strong><strong>de</strong> a.tJX plus vieux noms <strong>de</strong> souchefran çaise, il lirait les noms <strong>de</strong> nos Grumbach,Lévy. SChwob, KOho, Kahn et Meyer, quisont <strong>de</strong>s I! messieurs <strong>de</strong> <strong>la</strong> Camille! ~Nous avons poW'tant trouvé, dans l'ActionPrallf 0Î3e méme, le rél:it <strong>de</strong>s obsèques quo fit<strong>la</strong> noblesse <strong>de</strong> France au beau-père d'ArthurMeyor d'An tigny-l 'ureDne. Toul l'armoria.l etLout le ghetto tangua.ient dans une Cra16l"nelleétreinte.


- ~7-Ah! ce serait UIl1C belle cérémonie - pournou s - que le sacre <strong>de</strong> Philippe VII, entouré<strong>de</strong> ses preu.x et <strong>de</strong> ses pages! <strong>Le</strong>s preux et les• pages, fils et peti ls~ f1l s <strong>de</strong> nos Juives, rnÜ'otreraientles toisons crépues, les nez crochus, leslèvres lubriques et les oreilles décollées quicomposent notre marque <strong>de</strong> fabrique.Elle est signée <strong>de</strong> nous, <strong>la</strong> belle aoistocratiefrançaise! Nos illies ou nos sœurs l'ont pondue.La Vie p(jrisiennc raconte que, « dans un salon<strong>de</strong>s plus aristocratiques, M. Tristan Bernardét.ait aux prises avec un noble vieil<strong>la</strong>rd >l ,(Tiens! 10 nationaliste et catholique M. Barrèsétant l'hôte assidu <strong>de</strong>s Blumenthal, notre JuifBernard peut bien être l'hôte assidu <strong>de</strong>s Breteuilou <strong>de</strong>s La. ROChefoucauld, puisque <strong>la</strong>marqu ise ou <strong>la</strong> duchesse sont j ustement <strong>de</strong> satribu) ... Et le noble vieil<strong>la</strong>rd disait:_ Mon grand-pèl'O fut tué pendant <strong>la</strong> conquête<strong>de</strong> l'Algérie; mon bisaïeul fut guillotiné par Robespierre;un do mcs ar ri ère-cousins fut assassinépar Henri <strong>de</strong> Guise; un aufre <strong>de</strong> mes aïeux mourutglorieusement 11. Pavie ..._ Ahl monsieur,inlerrompit le célèbre ironiste,en prenant un ton do sincère condoléance, croyezque je prends bien part à ces <strong>de</strong>u ils si cruels et sirépélés.Bravo ! bon Juif Bernard! T u as bien faitd'insuller 10 noble vieill ard. Sa noblesse et sa•


-38-vieillesse méritaient l'ill sulle. chez les nobleshôLcs qui accueillent les J ui fs ct <strong>de</strong> qui le luxeest probabl ement payé pal' une dol juive oupar un cntrcwncU!' jui f !,'T'ou les les disti nctions sociales nous reVIennent <strong>de</strong> <strong>droit</strong>.Quand Napoléon le< institua <strong>la</strong> Légion d'honneur, il ne pensait pas à nous. Sous <strong>la</strong> Hépubliquc,<strong>la</strong> I..égion d'honneur nous appar tientd'abord.On peut dire que le ruban rouge et <strong>la</strong> roset<strong>Le</strong>rem pl acent le bonnet jaune du moyen âge :c'est à. {:a qu'on reconnaît le Juif dans les ['ues<strong>de</strong> Pat'is. -"ous avon s l'air <strong>de</strong> porter ù <strong>la</strong> boutonnieJ'ccc qu'oll nous Il coupé 'ailleurs.Nos May, ~ohr, Hahn, Sée, Sacerdotc, IUainet <strong>la</strong>. baronne J ames <strong>de</strong> Rothschild, décoréscomme (( litlérateurs li en 1013, étaient sansdoute les <strong>de</strong>rniers qui ne le fu ssent pas,Depuis Sehllloll, adm inistrateur du Gaulois,officiel' <strong>de</strong> ln Légion d'hollueUl' (1) ct Meyer(1) ) 1. nOll\'iel', pl'ési<strong>de</strong>nt du Conseil, fi qui l'onrecommanda it Ull jout'IIaliste pOUl' <strong>la</strong> croix, disait :« Im possible, voyons! Il n'cst pas SUI' ma liste <strong>de</strong>sF onds secrets l) , Logiquo l'igoureuse, I~e GouvernelllenLne peut décorer que ses nuxiliaj['es, <strong>Le</strong>sJ uirs du Cmllois ont toujours ém:u'gé p<strong>la</strong>ce Beau­" au pOUl' (ail'o " <strong>de</strong> l'opposition ,t ,


- 39-(A I'UlUr) d ' AJlli g n ~' -'l'u re n ne, comman<strong>de</strong>ur <strong>de</strong>l'ordl'e <strong>de</strong> Saint-S<strong>la</strong>nis<strong>la</strong>s', jusqu'à Mme Guil<strong>la</strong>mneBecr, née Goldschmidl. (en litwrature,JeRn Dornis), - en passant par ) iichel Cahen,« P<strong>la</strong>nteur <strong>de</strong> Caïffa » et pal' Lé\'y-Brühl, quitransmet il. I.J'I/umanité les subsi<strong>de</strong>s <strong>de</strong> Rothschild,- IlOS douze tribus arborent l 'Etoile <strong>de</strong>sBraves.Notre Lazare \Veiller, associé du marquis <strong>de</strong>Mun, a été fait comman<strong>de</strong>ur <strong>de</strong> <strong>la</strong> Légiond'houDeur pOUl' ses rafles <strong>de</strong> l'ôpargne françaisedans <strong>la</strong> Gellerol J/otor Cab, <strong>la</strong> iYew YorkTaxi Cab ct l'Al/ylQ Spartish COPl,cr C· Ltd;comme noll'c llonnichhauscll (dit EifTel) a étépromu orncier do ln Légion d'honneur pourson lloll-licu-po.l'-prescriplion dans le Panama:« Uu peu <strong>de</strong> gloire à. <strong>la</strong> gran<strong>de</strong> humiliée do 1870,<strong>la</strong> France!. ~xpliquaiL sou oxocat Wal<strong>de</strong>ck­Rousseau.Nous lui en foisons continuellemcnt l'aumônc,dc nos gloil'cs, Ù. <strong>la</strong> Fl'unce humiliée! Jamaiselle lie pourl'a nous déco rer assez pour lerccQlll<strong>la</strong>ilre.Chacune <strong>de</strong> nos familles fourniL ù. <strong>la</strong> chronique<strong>de</strong> <strong>la</strong> Il Vie nlltionale », en France, plusque mille fom iU es ind igènes.Où ne trouvez-vous pas nos Bloch? JcanneBl och, <strong>la</strong> gran<strong>de</strong> arti ste; Bloch, le So.Lyl'c qui enfonçait<strong>de</strong>s épingles dans les seins <strong>de</strong>s pelilesFrançaises; Bloch, le fonctionnaire qui a. sub-


- 40 -tilisé un <strong>de</strong>mi-miJlion dans <strong>la</strong> souscriptionpour les vi ctimes du MonL-Pelé (Martinique);. Bloch-<strong>Le</strong>vallois, qui dépèce toutes les vieillespropriétés eL dépècera. le Pa<strong>la</strong>is-Roya.l. Qui estl e représentant <strong>de</strong>s Aul.c urs dra matiques français'tBloch. Qui prési<strong>de</strong> les grands cercles boulevardiers?Bloch. Qui dirige les Droits <strong>de</strong>"homme ? Bloch. Qui détroussait, au 14· bussal'ds,le petit <strong>de</strong> Qui nsonnas? Une <strong>de</strong>uxièmeJane Bloch. Qui a Lué ~'lîn nie lll'idgemain ? NotreRa.chel Bloch. Qui professe <strong>la</strong> morale et <strong>la</strong>sociologie au Collège <strong>de</strong>s Hau<strong>Le</strong>s Etu<strong>de</strong>s soc iales? TI'ois maill'es Bloch.Je peux continuel' durant di x pages. EL si jeprends <strong>la</strong> ramille Lévy ou <strong>la</strong> famille Cohen,j'emplirai <strong>de</strong>ux vol umes. 11 n'y a. que no us!li n'y a que nous. Allez p<strong>la</strong>ce <strong>de</strong>s Victoi res,autour <strong>de</strong> <strong>la</strong> statue <strong>de</strong> Louis XIV el du bas-relie!qui rappelle le pa.ssage du Rh in. <strong>Le</strong>s maisons<strong>de</strong> commerce ont pour patrons Bl och,Lippmann, 'Veill, Klotz, l\:ahn, Lévy, \Vol ff,Alimbourg-Akar, Collll ... C'est nous qui l'avo nspassé, le Rh in!li n'y Il que nous. De qui se compose le Comitédirecteur <strong>de</strong> <strong>la</strong> Société <strong>de</strong>s commerçant"et i ndustriels <strong>de</strong> Pran ce? <strong>de</strong> MM. Hayem (secrétairegénéral) ; I{Jo(z (,~jo i nt ) ; Cohen (5ecré<strong>la</strong>iread mi nistralif): Saths, SChœn, Sciama,Zébaum . etc. <strong>Le</strong>s bureaux sont ba<strong>la</strong>yés par <strong>de</strong>sFrançais.


•- 4i-Il n'y a que nous. Quels sont les c01i.seillerlldu commerce extérieur <strong>de</strong> <strong>la</strong> France préposéspar <strong>la</strong> République à. <strong>la</strong> surveil<strong>la</strong>nce <strong>de</strong>s intérêtsnationaux? M. Amsoll, Bachruch, Moïse Dauer.Moise Berl', A.' Bernheim, J . Bernheim, G. Bernheim,Aaron Bloch, Lou is Bloch, Meyer Bloch.Raoul Bloch, Isidore Blum, Brach, BrW1swick.,}I~. Cahen, L. Cahen, A. Cahen, H. Callen, JulesCallen, Joseph Caheu, A. Dreyfus, Moïse Dreyfus,Dl'cyfus-Bing, Dreyfus-Hase, eL ains i <strong>de</strong>suite par ordre alphabétiqu e jusqu'à \Veil.Weill , \Vciss et WoltJ. <strong>Le</strong>s Français col<strong>la</strong>borentà l'exporLalion en clouant les caisses d'embal<strong>la</strong>ge.<strong>Le</strong>s Français ne sont même plus capables <strong>de</strong>commeltre un vol rémunérateur. lis volent un•'Pain quand il s ont faim. Mais poUl' voicI' <strong>de</strong>scolliers <strong>de</strong> perles, percer les murailles et lescofTl'es <strong>de</strong>s joailliers, escroquer les bijoutiers,, exéculer <strong>de</strong>s" coups Il <strong>de</strong> eenL mille Il'ancs àtrois millions, il n'y fi que nos J uifs : Kaourkia,Aaron Abanowitz, et les héros <strong>de</strong> l'affaireMa~'el'-Sa l omo n s, et les héros du mystère Goldslein!Qu i est-ce qui exploite l'industrie <strong>la</strong> plus florissanle<strong>de</strong> Paris. <strong>la</strong> traite <strong>de</strong>s b<strong>la</strong>nches? Nos•J uifs Max Schummcl', Max Epst.en, Jack Jeuckel,Sarah Smo<strong>la</strong>chowska, Samuel Ros0ndahl,Sarah Léovilch, Sal'ah P<strong>la</strong>nkourtch; le dire


- 'i2 -pourvoye urs <strong>de</strong> F<strong>la</strong>chon et <strong>de</strong> <strong>la</strong> Xitchc\'o etnotre frère Weill.Lisez les « Communiq ués <strong>de</strong> <strong>la</strong> Vie MOIldainen <strong>de</strong> notre organe le .I<strong>la</strong> /in : rien que les<strong>de</strong>uils OLD les unions <strong>de</strong> nos Aron, Abrahm,Gobsek, Schowb, IHeyer, \Vorth , l\ uh n, etc ....Ouvrez Excelsior: pholographie <strong>de</strong>s splendi<strong>de</strong>ssalons <strong>de</strong> Mm e Navay <strong>de</strong> Fol<strong>de</strong>ak, ex-dameD re~' Cu s , née Gutm a nn.Aec i<strong>de</strong>ntsd'automohile? Voici l\I. Bo<strong>de</strong> nschat.z, qui cnu'c en collision avec M. Outmann, MmeGulmann, i\me Gutmall n et Mmc l10senstei n :fi une Ca mille l)arisicJi"lw n, aSSlH'e notre tl/atin.OUl bien c'est notl'e Théodore l1einach qui ,k rabouilleso us sa 00 HP une vieille Fl'i:l.nçaise itous les journaux se taisent, et le tri bunal estime<strong>la</strong> vie <strong>de</strong> <strong>la</strong> femme indigène à 15.000 fI'.Nous tra nchons souverainement les « questionsd'honncur » . Dans l'afTail'c BCI'll slein, troispaires <strong>de</strong> témoins indigènes avaie nt disq ualifiénotre grand dramaturge, a usll'o-américain parl'état civil, Hébreu pU!' 1 l'ace, Fi'ançais par safa ntaisie. Nous avons aussitôt réuni un j uryd'honneUl', ct un a mi ral français a prononcésolennell emenL quc <strong>la</strong> dés"rtion n'entachait Ilul­Jemenl l'hon neur d'un gentil homme d'Israël.<strong>Le</strong>s s ix F'rançais qui avaient rendu <strong>la</strong> sentencecontraire n'ont pas bougé.Avez-vous visité l'Exposition <strong>de</strong>s ca.<strong>de</strong>aux re-


,• •,.•- 43 -çus par notre Myriam <strong>de</strong> Hothschild,


1--44 -Dreyfus, après les sept bê néd ictiODS du rabbinBeer.'r oute <strong>la</strong>. vraie France, <strong>la</strong> nouvelle France,é<strong>la</strong>.iL là, résumée dans son arisLocraLie.Quant à <strong>la</strong> bourgeoisie française, elle (ait or~dinairement les frais <strong>de</strong> notre gran<strong>de</strong>ur.Lorsqoo nous 8.ru-ivons da ns le merveilleuxpays <strong>de</strong> Challnnn, fuyant <strong>la</strong>. police russe ou lesgendarmes allemands, n'aya;nt pour bagage quenos puces et quelques ma<strong>la</strong>dies asiatiques (éléphantiasis,conjonctivite purulente), l'Allianceisraélite et <strong>la</strong>. Fran c-i\'lo.çon nerie nous fournissentln première mise d'un. petit commerce pournous dOllllCl' C( <strong>de</strong> <strong>la</strong>. surface »,En peu d'annces, par d'heureuses banqueroutes,par <strong>de</strong>s cmissions <strong>de</strong> valeurs fantastiques,par <strong>de</strong>s h'aflcs qui n'ont <strong>de</strong> désignationprt.'Cise en aucune <strong>la</strong>ngue, nous fai sons passerdans notre poche <strong>la</strong>. forlune <strong>de</strong> dix, <strong>de</strong> cent, <strong>de</strong>mille famill es françaises. La Hépubl iq ue nousprotège, ln magistrature est ta. nous, les loisn'existent plus.Quand je dis que <strong>la</strong> magistrature est à nous,je ne trahis aucun secret. Une bonne parlie <strong>de</strong>smagistrats du parquet ou <strong>de</strong>s juges et conse illers<strong>de</strong> Pm'is sont J uUs, <strong>Le</strong>s magistrats indigènessa\'ClÜ quo leur avancement dépend <strong>de</strong> leurzèle pour ln cnuse jui\'e.A ln 0" Chambre, le substitut Péan Il pro.­c<strong>la</strong>mé qu'i l avait pour premicl' <strong>de</strong>voir <strong>de</strong> pro-•


,•- 45 -tégel' les Juifs contre <strong>la</strong> rebellion <strong>de</strong>s Français;aussit.Ot, nous avons imposé M. Péan commechef <strong>de</strong> cabinet au gar<strong>de</strong> <strong>de</strong>s sceaux, et nousl'avons fait décorer.A <strong>la</strong> 8" Chambre, un juge d'iDsLructiC)R ma<strong>la</strong><strong>droit</strong> traduisait comme recéleur notre frère <strong>Le</strong>ibPrisant; son avocat juif, M' Rapoport, n'eut qu'Aprodu ire le certificat <strong>de</strong> <strong>la</strong>. synagogue:Je soussigné, rabbin <strong>de</strong> l'association cultuelleAgondlU Hakehilok, cerlifie que M. Prisant (<strong>Le</strong>ib),a déjà atteint un très haut <strong>de</strong>gré <strong>de</strong> perfect.iondans l'étu<strong>de</strong> du Talmud et qu'il sora bientOl dignadu titre <strong>de</strong> rabbin.HERZOG, rabbin.Sur -le - champ. le tri»unal acquitta notrefrère.QUi'avons-nous il craindre?<strong>Le</strong> bow-geois français travaille vingt aos,trente ans, comme un galérien; il ent.asse écusur écu; il refuse aux siens et il se refuse parfois il lui-même tous les p<strong>la</strong>isirs <strong>de</strong> <strong>la</strong>. vie.Quand il est. riche, il apporte son m ago ~ dansnotre caisse. parce que nou:s lui promettonsquarante ou quatre eents pour cent <strong>de</strong> revenlLEt <strong>la</strong> farce est jouée.Il n'y & pas très longtemps, l'opération présentaitencore quelques dangers.Nous nou s rappelons <strong>la</strong> catastrophe <strong>de</strong> notr:lBenoist.-Lévy, qui avait proprement détroussé


,-40 -pl u", ie urs fillllilles indigcIlc3 ct qu'un sieur Ca­.roit, l'uiné, lua <strong>de</strong> tl'ois coups <strong>de</strong> l'Cvoh'cr.L'a5sassill fut défendu plU' lM' Henri Habert,aujourd'hui bàlonniel', en ces termes :M. Benois t Lévy 80 fai saiL appclcl' Belloist. L,·nom <strong>de</strong> <strong>Le</strong>vy est. un joli nom, pourlnnLI Toul. lemondfl ne peut pas s'appeler Abraham. Cahen ouMathusalem !Il [II'aLiquait le système <strong>de</strong> J'araignée, qui <strong>la</strong>isseapprochel' <strong>la</strong> mouche ct. <strong>la</strong> 113PI)0 au bon moment.'f ous ces loups-wl'vicrs <strong>de</strong> <strong>la</strong> Bourse ne méri­\cnt aucune eOlls idél'nlion.<strong>Le</strong>ul' r ichesse est fai to do noke pauvreté; leurs"poin, <strong>de</strong> nos chagrins.Si vous croyez qu'il fau t protégcl' les hOllllctesFraJlça is, acquittez Caroit sans hés itation.<strong>Le</strong> mOlll'trier !uL acq uitté; <strong>la</strong> VOUiVe Lévy n'obtintque vingt SO IIS <strong>de</strong> dommages-inté.rêts.Mais le <strong>Le</strong>mps a marché.Aujourd'hui, le jury proc<strong>la</strong>merait le <strong>droit</strong> <strong>de</strong>Lévy aux dépouiUes <strong>de</strong> Caroit : c'est,..à-d i('e le<strong>droit</strong> <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong>race</strong> supérieure.Je me trouvais cet hiver au (ive o'clock d'une!oo nos belles Juives; elle .ra.contait


m il'cr 11 01l'e luxe, je voyais u.ne mère ct sa fllie.que Salomon avait précisement allégées <strong>de</strong>trois cenls m ille fra ncs l'an nec précé<strong>de</strong>nte, f..apctile Fl'ançaiso n'a plus <strong>de</strong> dot; elle épousnral'un <strong>de</strong> nos em])loycs, ou sef\'ira. d'instilulrÎet.à nos enrants, Mais elle nc se 1-é\'oI<strong>Le</strong> point. Elleel sa mère sont plcinc~ <strong>de</strong> rcs pec ~ pour <strong>la</strong> l'Ïchesse« faile <strong>de</strong> loUl' misère n , pOUl' l'aulomobile,l'hôtel, le chiUcau historique <strong>de</strong> <strong>la</strong> (, gran<strong>de</strong>dame If israélite,11 suffit il Salomon <strong>de</strong> trouver une fois pa<strong>la</strong>n une scule famiBe française <strong>de</strong> ceUe cspêœpour souten ir


-48-monîtes, <strong>de</strong>s Moabites, et ceux <strong>de</strong> Bethel, e'ceux <strong>de</strong> Rabba, et ceux <strong>de</strong> Galga<strong>la</strong>. Nous lesavons exterminés; nous les avons égorgés, c ru~cillés, pendus, coupés en morceaux, rOti'\ dans<strong>de</strong>s statu es d'airain, déchiquetés vifs sous lesscies et les herses <strong>de</strong> fer. (Pentateuque. Livre<strong>de</strong>$ R lis.)<strong>Le</strong> Soigneur nous a livré <strong>la</strong> vie <strong>de</strong>s Lsars, <strong>de</strong>sgrands-ducs, <strong>de</strong>s gOl1verneurs, <strong>de</strong>s généraux <strong>de</strong>Russie, et nous en faisons conti nuellement ungrand chérem (1) à coups <strong>de</strong> bombes eL d4browning.Mai s le SeignclH' nous a livré <strong>la</strong> France pouren faire notre terre d'abondance, et. les Françaispour cn faire DOS esc<strong>la</strong>ves.Sa volonté s's,ccompliL Que le nom <strong>de</strong> Jéovahsoit. glorifié!. N DUS sommes <strong>la</strong> <strong>race</strong> supérioW'c .•,(t) Massacre, t.uerie , • pogrom ••• ••


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