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Ecuyères du Musée Vivant du Cheval - RB Presse

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GRANDES ÉCURIESMUSÉE VIVANT DU CHEVALContact presse :Jessica Rodrigues - Pascal RenauldonTel : 03 44 620 621domainedechantilly@rbpresse.comwww.museevivant<strong>du</strong>cheval.frDossier de <strong>Presse</strong> 20091


SOMMAIREReprise des spectacles sous un dôme rénové 3Les Princes de Chantilly 4Chevaux en fête 5Après Saumur… 6La musique investit le nouveau dôme 7Le <strong>Musée</strong> <strong>Vivant</strong> <strong>du</strong> <strong>Cheval</strong> 10Les transformations <strong>du</strong> dôme 12Calendrier des spectacles 13Informations pratiques 142


REPRISE DES SPECTACLESSOUS UN DÔME RENOVÉRe-lifté en véritable salle de spectacle, le dôme des Grandes Écuries arouvert ses portes au public en avril dernier. Les premiers spectateursdes prestations équestres <strong>du</strong> <strong>Musée</strong> <strong>Vivant</strong> <strong>du</strong> <strong>Cheval</strong> ont déjà puapprécier l’amélioration <strong>du</strong> confort, de la visibilité et de l’acoustique.Depuis cette rentrée, le <strong>Musée</strong> <strong>Vivant</strong> <strong>du</strong> <strong>Cheval</strong>, plus « vivant » que« musée », propose au quotidien « Chevaux en fête », un programmecomposé d’une démonstration dite « pédagogique » lors de laquelle lesécuyères <strong>du</strong> musée dévoilent certains secrets de la préparation d’uncheval de spectacle après avoir expliqué quelque bases de l’équitation.Cette présentation est suivie d’un spectacle équestre.Quelques privilégiés ont pu également assister aux « avant-premières »<strong>du</strong> grand spectacle équestre qui sera proposé au quotidien cet été :« Les Princes de Chantilly II ». Créé en 2008, cette évocation del’histoire <strong>du</strong> domaine a subi quelques « remises » en scène la rendantencore plus gaie et plus équestre tout en restant didactique. Tout aulong de la saison estivale, cette leçon d’histoire ludique fera revivre cesprinces qui ont fait le Domaine de Chantilly, <strong>du</strong> grand Condé au <strong>du</strong>cd’Aumale.3


LES PRINCES DECHANTILLYUne heure <strong>du</strong>rant, la dizaine de cavaliers et la trentaine d'équidés <strong>du</strong>musée rendent hommage aux hommes qui ont forgé, à travers lessiècles, la légende de Chantilly : les princes, mais également lejardinier-concepteur André Le Nôtre, l'intendant Vatel, et desanonymes comme les premiers jockeys ou les éternels veneurs.L'évocation et l'hommage ne sont jamais scolaires, ils renvoientsouvent à un épisode, à une anecdote, à ces éléments qui, même sansdate, font l'histoire et la mémoire populaire d'un lieu. Grâce à la richecollection de peintures anciennes conservée au château de Chantilly,les costumes d'époque et harnachements ont pu être recréés : lesspectateurs sont alors transportés dans le temps.La volonté de la Fondation pour la sauvegarde et le développement<strong>du</strong> Domaine de Chantilly, créée en 2005, est d’instaurer des passerellesentre les différentes entités <strong>du</strong> domaine qu'elle gère désormais :château, parc et Grandes Écuries. Depuis mars 2008, le <strong>Musée</strong> <strong>Vivant</strong><strong>du</strong> <strong>Cheval</strong> a ainsi proposé ce spectacle équestre rendant hommage auxgrands hommes qui ont bâti ce domaine, <strong>du</strong> Grand Condé au <strong>du</strong>cd'Aumale. Ce sont deux siècles d'histoire et de faits marquants sur ledomaine, alors le plus envié de toutes les têtes couronnées d'Europe,que ce spectacle propose aux visiteurs. La mise en scène est assuréepar les cavalières <strong>du</strong> <strong>Musée</strong> <strong>Vivant</strong> <strong>du</strong> <strong>Cheval</strong>, rejointes par des artistesextérieurs, et leur directrice Sophie Bienaimé, aidée dans sesrecherches par Nicole Garnier, conservateur en chef <strong>du</strong> musée Condé.4


« CHEVAUX EN FÊTE »En alternance aux « Princes de Chantilly », Sophie Bienaimé, sesécuyères et les 30 chevaux <strong>du</strong> <strong>Musée</strong> <strong>Vivant</strong> <strong>du</strong> <strong>Cheval</strong>, présententquotidiennement un court spectacle équestre intitulé « Chevaux enfête ». Cette présentation en musique, en lumières et en costumes suitla démonstration pédagogique de dressage où deux cavalières enuniforme <strong>du</strong> musée dévoilent au public les coulisses techniques de cesspectacles.« Chevaux en fête » est toujours très gai, florilège des meilleurstableaux équestres pro<strong>du</strong>its au musée depuis pratiquement sacréation : « ce sont 5 numéros qui se suivent… mais ne se ressemblentpas d’un jour à l’autre, explique la directrice <strong>du</strong> musée, SophieBienaimé. Pour éviter que ne se lassent chevaux et cavaliers, nouschangeons la programmation tous les jours en intro<strong>du</strong>isant desnuméros de nos différents spectacles, anciens ou en cours. Ainsi, lepublic pourra assister un jour à un digest de « la Route de la Soie » etle lendemain à une variation sur un thème plus classique et historique.Rien n’est vraiment programmé à l’avance car je veux gérer cetteprestation en fonction de la forme et de l’envie des chevaux… et demes cavalières. »Une bonne idée donc pour ceux qui veulent passer plus d’une journéesur le Domaine de Chantilly : en revenant le lendemain d’unepremière visite au <strong>Musée</strong> <strong>Vivant</strong> <strong>du</strong> <strong>Cheval</strong>, ils pourront assister à unnouveau spectacle.5


APRÈS SAUMUR…Sophie Bienaimé et son équipe ont passé une partie de l’hiver àl’École de cavalerie de Saumur et ont profité de cet exil pourtravailler avec quelques écuyers-professeurs <strong>du</strong> célèbre CadreNoir. Des échanges qui bénéficient à la qualité des spectacleséquestres qui sont proposés sous la coupole des GrandesÉcuries.Sophie, qu’est-ce que ce séjour à Saumur a changé dans votreapproche <strong>du</strong> cheval ?SB. « Changer » n’est pas le mot qui convient. Ce contact avec lesécuyers <strong>du</strong> Cadre Noir nous a permis de recadrer nos connaissances etd’évoluer. J’ai découvert à Saumur un véritable conservatoire <strong>du</strong>savoir, des gens d’une grande compétence, débordants deconnaissances qu’ils transmettent avec une prodigieuse pédagogie.Comment s’est tra<strong>du</strong>ite cette évolution ?SB. Mes écuyères ont énormément progressé, chacune dans leurspécialité. Certaines ont pu approfondir la technique des sauts d’écoleavec Gildas Flament, spécialisé dans le travail des fameux sauteurs <strong>du</strong>Cadre Noir. Nous avons été suivies par deux autres écuyers qui nousont été dédiés par l’École Nationale d’Équitation, Olivier Puls etLaurence Sautet qui nous ont permis de conceptualiser nos méthodes.Je ne veux pas oublier de citer, dans cette évolution positive, le jugeinternational de dressage, Bernard Maurel, qui suit mensuellementnotre travail et qui est venu à Saumur pour notamment nous aider àpréparer la soirée de gala que nous avons donnée avec le Cadre Noir.A Saumur, nous avions le temps de nous concentrer uniquement surle travail de nos chevaux et cet environnement sans pression, sur lesmerveilleuses installations de l’École de cavalerie et de l’ENE, apermis à certains chevaux de progresser spectaculairement et defranchir des caps.Quels genres de caps ?SB. Par exemple, l’amélioration des changements de pied au galop, lastabilisation de leur passage et piaffé ou plus simplement leursouplesse et leur soumission ce qui les rendra à la fois plus brillants enspectacles et plus « pratiques » à utiliser sur notre petit rond de treizemètres qui reste une difficulté technique à maîtriser. J’ai déjà enten<strong>du</strong>des commentaires positifs sur cette progression. Cela fait plaisir maistoute mon équipe est formidable, elle est très motivée et ne comptepas en rester là. Personnellement, je pars bientôt au Portugal poureffectuer un stage d’équitation portugaise à la Quinta de la Caridade àCartaxo. (Recueilli par R&B <strong>Presse</strong>)<strong>Ecuyères</strong> <strong>du</strong> <strong>Musée</strong> <strong>Vivant</strong> <strong>du</strong> <strong>Cheval</strong> : Sophie Justin, Elise Galais,Elodie Jacquet, Blandine Nicot, Amandine Bréhaut, Morgane Michot,Johanna Houé, Mélanie Nez et Charlotte Gailhard.CONTACT :s.bienaime@museevivant<strong>du</strong>cheval.fr (directrice <strong>du</strong> <strong>Musée</strong> <strong>Vivant</strong> <strong>du</strong><strong>Cheval</strong>)6


LA MUSIQUE INVESTITLE NOUVEAU DÔMEOlivier Cazal, directeur artistique d’Euterpe Pro<strong>du</strong>ctions etconcertiste de renom, après avoir relancé les concerts <strong>du</strong> Jeu dePaume, va désormais programmer « ses » artistes dans une sallepour le moins atypique, mais ô combien majestueuse. Il s’agit<strong>du</strong> dôme des Grandes Écuries dont la reconversion en salle despectacle vient de s’achever. Stéphane Ferrault, directeuradministratif d’Euterpe nous explique cette démarche.Pourquoi Euterpe Pro<strong>du</strong>ctions ?SF. Nous ne sommes pas allés chercher très loin puisqu’Euterpe estla muse de la musique, nous avons donc choisi ce nom quand il afallu mettre un cadre juridique à notre volonté d’organiser desconcerts sur ce domaine fabuleux. Et donc « pro<strong>du</strong>ctions » est venus’accoler au nom de cette muse puisque l’activité de cette structureconsiste à pro<strong>du</strong>ire des concerts !Vous avez découvert avec Olivier Cazal le dôme réaménagé desGrandes Écuries, quelle dimension ce site va-t-il donner à desconcerts musicaux ?SF. Une dimension que je qualifierai presque de « magique » car le lieuest fantastique. Il l’était déjà avant les rénovations mais maintenant ilest encore plus extraordinaire. Nous l’avions testé d’un point de vueacoustique, nous craignions un peu l’effet « cathédrale » et nous avonsété agréablement surpris car nous avons découvert une acoustiqueassez sèche et ce sera encore mieux avec le public qui aura un effetamortisseur.Quelles sont les grandes lignes de vos programmationsannuelles ?SF. Au cours d’une saison musicale, nous donnons de huit à dixconcerts avec des thèmes qui seront récurrents d’une année àl’autre pour chaque concert. Pour reprendre à partir de la saison quivient de s’écouler, dite hivernale, nous avons commencé avec de lamusique de chambre, un <strong>du</strong>o piano et violoncelle avec Thierry Huilletet Xavier Philipps. Ensuite, nous avons proposé un concert grandsoliste pour lequel nous avons fait venir un Ukrainien assezextraordinaire, Vitaly Samoshko. Le concert de janvier était consacré àl’art lyrique avec Isabelle Druet, une « mezzo » soprano, qui étaitaccompagnée par un pianiste, Florent Boffard. Elle était enceinte desept mois et elle a réalisé une vraie performance ce soir-là.Pour le « printemps d’Euterpe » qui a débuté en avril, nous avionsreçu Eugen Indjic pour un hommage à Arthur Rubinstein dont il étaità la fois un ami et son disciple. Lors de ces soirées hommage, nousproposons une projection de film et une interview <strong>du</strong> pianiste surscène par Olivier Cazal suivies bien sûr de la partie récital. Le concertqui sera donné le 30 mai prochain s’intitulera « les rencontresabsolues ». Cet événement exceptionnel réunira un pianistemondialement connu, le Coréen Kun Woo Paik et les Benjamins<strong>du</strong> Conservatoire Régional de Paris, des jeunes âgés de 13 et 17ans.7


« LES RENCONTRES ABSOLUESD’EUTERPE »KUN WOO PAIK ET L’ORCHESTRE DES BENJAMINS DU CRR DE PARISSamedi 30 mai 2009 à 20h30A l’occasion de la série « Rencontres Absolues » proposée par laFondation pour la sauvegarde et le développement <strong>du</strong> Domainede Chantilly, un premier opus mettra en scène le samedi 30 mai2009, à partir de 20h30, un grand soliste de la scèneinternationale, le pianiste Coréen Kun Woo Paik, accompagnépar un orchestre de jeunes musiciens : les Benjamins <strong>du</strong> CRR –Conservatoire Supérieur de Paris sous le dôme rénové desGrandes Écuries.Le riche programme musical comprend une première partie avec laPetite Suite de Debussy et West Side Story de Bernstein, puis uneseconde partie avec la Suite de l’Arlésienne de Bizet et enfin le Concertopour Piano et Orchestre n°2 de Chopin avec Kun Woo Paik en soliste.L’un des fleurons de l’architecture classique <strong>du</strong> 18 ème siècle, lesGrandes Écuries ont été construites par le 7 ème prince de Condé à lagloire <strong>du</strong> cheval. Habituellement dévolu aux spectacles équestres <strong>du</strong><strong>Musée</strong> <strong>Vivant</strong> <strong>du</strong> <strong>Cheval</strong>, le dôme affirme maintenant sa vocation desalle de spectacle à part entière.Rendre abordable et faire connaître la musique classique dans uncadre prestigieux, tel est le pari que se lancent Euterpe Pro<strong>du</strong>ction etla Fondation pour la sauvegarde et le développement <strong>du</strong> Domaine deChantilly.TARIFSA<strong>du</strong>ltes : 25 eurosÉtudiants : 20 eurosMoins de 12 ans : 15 eurosRENSEIGNEMENTS ET RESERVATIONS :http://www.euterpe-pro<strong>du</strong>ctions.com/prochain_concert_paik.html9


LE MUSEE VIVANTDU CHEVALAfin d’assurer la rénovation des bâtiments, les trente-et-unesalles d’exposition <strong>du</strong> <strong>Musée</strong> <strong>Vivant</strong> <strong>du</strong> <strong>Cheval</strong> seront ferméesjusqu’en 2011. Il reste toutefois de nombreuses richesses àdécouvrir aux Grandes Écuries.Un chef-d’œuvre architecturalA commencer par son architecture extraordinaire, une commande unpeu folle de Louis Henri de Bourbon à l’architecte Jean Aubert en1719. Le 7 ème prince de Condé venait de s’enrichir grâce à un « délitd’initiés » dans l’affaire <strong>du</strong> papier monnaie <strong>du</strong> banquier John Law. Lebâtiment, même s’il n’est pas complètement achevé, car les travauxs’arrêtèrent en 1735 à la mort <strong>du</strong> prince, est majestueux. Il estconstruit autour d’un dôme de 28 mètres de hauteur dont le sommetest coiffé d’une statue de la Renommée. Il s’agit d’une copie reposéeen 1982 par Yves Bienaimé car l’original d’Antoine Coysevox (1640 -1720), directeur de l’Académie royale de peinture et de sculpture, avaitété abattu par les révolutionnaires en quête de plomb pour fondre desmunitions !De part et d’autre de cette coupole, les deux nefs de 70 mètresabritaient à l’origine 240 chevaux d’attelage et de chasse car le princeet ses descendants étaient de grands veneurs. Le <strong>du</strong>c d’Aumale, ledernier héritier <strong>du</strong> domaine, avait fait construire des boxes et desstalles plus spacieux pour ses propres chevaux dont on peut encorelire les noms sur les plaques apposées aux murs de la première nef.Les chevaux ont toujours plus ou moins occupé les Grandes Écuries.Dans les années de l’après-guerre, le cercle Hippique de Chantilly, oùenseignaient le champion olympique de dressage, le commandantAndré Jousseaume ainsi que l’écuyer-professeur Yves Bienaimé,occupait les lieux. C’est ce dernier qui a inauguré en 1982 le <strong>Musée</strong><strong>Vivant</strong> <strong>du</strong> <strong>Cheval</strong>.30 chevauxC’est ce même concept qui anime aujourd’hui ces Grandes Écuries et,après les spectacles, les visiteurs peuvent visiter les deux nefs. Lapremière, la plus importante, celle par laquelle rentre le public, estl’écurie <strong>du</strong> musée. Les trente pensionnaires à quatre membres (on nedit jamais « pattes » pour un cheval) occupent les boxes <strong>du</strong> <strong>du</strong>cd’Aumale rénovés par la Fondation. Sans être un conservatoire desraces équines, le musée propose quelques spécimens intéressants.Avec par exemple le seul cheval Marwari présent en Europe. Cecheval est celui des guerriers Rajputs et des maharadjas <strong>du</strong> Rajasthan.On le trouve également au Pendjab et il se caractérise par ses oreilles’’stylisées’’, très fines, courbées et dont les extrémités se rejoignent.Une curiosité, un cheval rare que l’on ne peut voir qu’aux GrandesÉcuries.10


Moins rare en Europe, mais peu connu en France, le SchwarwälderFederkiel est également un cheval spectaculaire avec sa robe alezanbrûlé (crème de marron) et ses crins « lavés » pratiquement blanc.C’est un petit cheval de trait râblais qui, en Allemagne, servait audébardage des troncs en Forêt Noir. La race a été sauvée par le harasd’État de Marbach à qui Federkiel a été acheté. Les visiteurs pourrontégalement découvrir des chevaux de sport allemand de l’Oldenbourgde la famille de quatre des cinq derniers vainqueurs de la Coupe <strong>du</strong>monde de Jumping. Mais l’essentiel de l’effectif des chevaux <strong>du</strong> muséeest composé des deux races ibériques, le Pure Race Espagnol et lepur-sang Lusituanien.Les enfants découvriront avec bonheur les poneys shetlands et minishetlandsdont la taille au garrot ne dépasse pas 76 cm, des poneysWelshs et un âne, sans doute de la « race des Amours de Fond deChamp », Séraphin, l’équidé le plus câlin des Grandes Écuries. Tousces chevaux, âne et poneys sont travaillés quotidiennement pourparticiper aux différents spectacles. Des fiches explicatives (en braille)sur la race avec des anecdotes sur chacun des pensionnaires desGrandes Écuries sont à la disposition des visiteurs devant chaqueboxe ou stalle.La seconde partie <strong>du</strong> vaisseau de pierre abrite la galerie des disciplines,une quarantaine de chevaux mannequins équipés des harnachementsutilisés pour chacune des pratiques équestres, traditionnelles ousportives. Cette salle est illustrée par le peintre russe AlexeiGloukanov qui, avec l’aide de sa femme, a réalisé quarante planches àla fois artistiques et didactiques.11


LES TRANSFORMATIONSDU DÔMEEn trois mois exactement (<strong>du</strong> 5 janvier au 5 avril), le dôme desGrandes Écuries a été modernisé pour devenir une véritablesalle de spectacle des plus confortables à la fois pour lesspectateurs et pour les « acteurs ». Une véritable prouesse.Confort des spectateurs :Les gradins <strong>du</strong> premier théâtre équestre (créé en 1984) avaient faitleur temps ! Un peu spartiates et franchement inconfortables, ilsont été remplacés par 640 véritables sièges de théâtre.Le démontage s’est effectué en moins d’une semaine et lemontage en dix semaines.Conçus de façon amovible : il n’y a pas d’ancrage dans les murs.Une visibilité parfaite : <strong>du</strong> premier au dernier rang, même les pluspetits ont une vue sans obstacle sur la piste.Un système de chauffage moderne et efficace permettrad’apprécier spectacles équestres et concerts en toutes saisons.Réouverture de la Porte sud qui mène sur l’hippodrome :Elle n’avait pas été ouverte depuis le tournage <strong>du</strong> chef-d’œuvre deMilos Forman, Valmont, il y a 20 ans exactement. Même si cetteopération a dû « déloger » quelques cent-cinquante chauve-souris( !), la porte s’est ouverte sans difficulté.Scénographie :Les éclairages de spectacle et celui de la fontaine ont été rénovéset la mise en lumière a été entièrement refon<strong>du</strong>e par Marie Bellot.La piste de 13 mètres dispose désormais de trois ouvertures : unedonnant sur chacune des deux nefs permettant l’entrée deschevaux par les deux côtés ; la troisième face à la porte sudpermettant la sortie des chevaux pour d’éventuels spectacles surl’hippodrome.Confort des chevaux et des écuyères :Les vestiaires ont été entièrement rénovés et munis de systèmespare-feu.Un nouveau sol équestre a été posé : un sable fibré, mélange desilice et des morceaux de géotextile. Ce type de sol, utilisé danstoutes les grandes compétitions équestres internationales, permetaux chevaux de travailler sur un terrain souple préservant leursmembres et articulations notamment dans les pressions verticales.CONTACT :steven.loveniers@fondationdechantilly.org (responsable des travaux)12


CALENDRIERDES SPECTACLESLES PRINCES DE CHANTILLYMai 2009 : 1, 2, 3, 8, 9, 10, 15, 17, 21, 22, 23, 31 à 15h30 et 14, 21 à 14h30Juin 2009 : 7, 14, 21 à 15h30 et 11 à 14h30Juillet 2009 : 5, 12, 13, 18, 19, 20, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 29, 30, 31 à 15h30Août 2009 : <strong>du</strong> 1 er au 23 à 15h30, tous les jours sauf le mardi.Septembre 2009 : 6, 13, 20 à 15h30 et 10 à 14h30Octobre 2009 : 4, 11, 18, 24, 25, 31 à 15h30 et 8 à 14h30Novembre 2009 : 1 er , 8, 11, 15 à 15h30 et 12 à 14h30CHEVAUX EN FETETous les jours, d’avril à novembre, sauf les mardis et jours <strong>du</strong>spectacle « Les Princes de Chantilly »A 14h30CONCERTS DE MUSIQUE CLASSIQUESous le dôme rénové :Le samedi 30 mai 2009 à 20h30NOËL, LE CHEVAL ET L’ENFANTDécembre 2009 :2, 7, 9, 10, 11, 14, 16, 17 à 14h305, 6, 12, 13, 19, 20, 21, 22, 23, 26, 27, 28, 29, 30 à 14h30 et 16h30Janvier 2010 :1 er à 15h2 et 3 à 14h30 et 16h3013


INFORMATIONSPRATIQUESHORAIRESOuvert tous les jours, sauf le mardiLe château de Chantilly – musée Condéde 10h00 à 18 heures, <strong>du</strong> 4 avril au 1er novembre 2009.de 10h30 à 17 heures, à partir <strong>du</strong> 2 novembre 2009.Le parc et les jardins <strong>du</strong> château de Chantillyde 10h00 à 20 heures, <strong>du</strong> 4 avril au 1er novembre 2009.de 10h30 à 18 heures, à partir <strong>du</strong> 2 novembre 2009.Grandes Écuries, le <strong>Musée</strong> <strong>Vivant</strong> <strong>du</strong> <strong>Cheval</strong>Ouvert à partir de 13h00Pavillon des animations « Chevaux en fête » de 14h30 à15h30Spectacle « Les Princes de Chantilly » de 15h30 à 16h30TARIFSEntrée château de Chantilly – musée Condé11 euros (a<strong>du</strong>ltes)gratuit pour tout enfant accompagné d’un a<strong>du</strong>lteEntrée Parc : 5 eurosEntrée <strong>Musée</strong> <strong>Vivant</strong> <strong>du</strong> <strong>Cheval</strong>Pavillons des animations « Chevaux en fête » 10 euros (a<strong>du</strong>ltes) 8 euros (enfants)Spectacle « Les Princes de Chantilly » 20 euros (a<strong>du</strong>ltes) 15,50 euros (enfants)Pass Domaine (Château – musée Condé – Parc – GrandesÉcuries) :19 euros (a<strong>du</strong>ltes)8 euros (enfants)Pass Spectacle (Château – musée Condé – Parc – GrandesÉcuries – Spectacle équestre)28,50 euros (a<strong>du</strong>ltes)15,50 euros (enfants)14


RENSEIGNEMENTSTél. : 03 44 27 31 80Site Internet : www.domainedechantilly.comPOUR SE RENDRE A CHANTILLYChantilly est à moins d’une heure de Paris ; et à une demi-heure del’aéroport Charles-De-Gaulle.Par l’autoroute :A1, sortie n°7 Chantilly en venant de ParisA1, sortie n°8 Senlis en venant de LilleA16, sortie Champagne-sur-OisePar le train et RER (arrêt Chantilly-Gouvieux):De gare <strong>du</strong> Nord SNCF Grandes lignes (25 minutes)De Châtelet les Halles RER ligne D (45 minutes)CONTACTS PRESSEFondation pour la sauvegarde et le développement <strong>du</strong> Domainede Chantilly, <strong>Musée</strong> <strong>Vivant</strong> <strong>du</strong> <strong>Cheval</strong> :Jessica Rodrigues – Pascal RenauldonR&B <strong>Presse</strong>Tél. : 03 44 620 621Courriel : domainedechantilly@rbpresse.comDes visuels libres de droit sont à disposition de la presse.15

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