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Mirella Carbonatto Présidente Nice, le 6 octobre 2010 A l'attention ...

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<strong>Mirella</strong> <strong>Carbonatto</strong><strong>Présidente</strong><strong>Nice</strong>, <strong>le</strong> 6 <strong>octobre</strong> <strong>2010</strong>A l’attention deMmes & Mrs <strong>le</strong>s JournalistesMmes & Mrs Les Députés etSénateursCOMMUNIQUE DE PRESSEMaître Philippe FORTABAT-LABATUTAvocat de l’association Sos Justice & Droits de l’HommeChef de fi<strong>le</strong> d’une organisation terroriste ou tentative d’intimidation ?*******************Au Pays basque, <strong>le</strong> 16 septembre <strong>2010</strong>, à 7 heures et 10 minutes, au 34 rue de Parme, à Biarritz, audomici<strong>le</strong> privé d’un avocat, de ses six enfants, un majeur, cinq mineurs dont un bébé de neuf mois,avait lieu une perquisition pour <strong>le</strong> moins douteuse et tout simp<strong>le</strong>ment scanda<strong>le</strong>use.Ce domici<strong>le</strong> privé est éga<strong>le</strong>ment <strong>le</strong> domici<strong>le</strong> de deux associations Camp Pujo Real del Sarte etGouvernement Provisoire de la Monarchie Française, une perquisition dite visite domiciliaire, quirassemb<strong>le</strong> :- deux bâtonniers qui se relayent dans la journée,- deux policiers en poste à la Direction Nationa<strong>le</strong> du Renseignement DNRED,- trois inspecteurs de la Direction Nationa<strong>le</strong> d’Enquête Fisca<strong>le</strong>s, autorisés par une ordonnancerendue par <strong>le</strong> juge de la LIBERTE ET DE LA DETENTION du tribunal de grande instance deBayonne. Ordonnance de Perquisition : ICI.La perquisition-visite domiciliaire durait 9 HEURES.Tout est passé au crib<strong>le</strong>, de la cave au grenier, maison, bureau, garage, buffets à vaissel<strong>le</strong>, boîte àchocolats des enfants, cabane, etc...Plusieurs documents sont saisis ainsi que l’ordinateur de la mère de famil<strong>le</strong>, copié. Le PV deperquisition : ICI.9 heures se perquisition devant une famil<strong>le</strong> éberluée et ce, sans savoir ce que l’on recherche !Pour finir par apprendre que Maître Philippe FORTABAT-LABATUT – Avocat est soupçonné de détenirdes documents fraudu<strong>le</strong>ux ! Rien que ça !Maître Philippe FORTABAT-LABATUT – avocat de l’association Sos Justice & Droits de l’Homme,soupçonné d’être <strong>le</strong> chef de fi<strong>le</strong> d’une cellu<strong>le</strong> terroriste ?1


De quoi s’agit-il ?L’administration fisca<strong>le</strong> reproche à Mme Sabine Christiane Marie Josèphe DE LA ROQUE nomd’usage LABATUT, de ne pas avoir déclaré <strong>le</strong>s revenus de la Sté FALCONI WHOLESALE NUTRITION SL,qui n’existe que depuis <strong>le</strong> 16 février <strong>2010</strong>, soit depuis 6 mois et qui est en règ<strong>le</strong>.La société demeure à Poligono Industrial Alkaiaga N° 4 Oficina 10 31770 LESAKA – NAVARRA – enEspagne. Société qui ne relève pas du Droit Français, ni de l’administration fisca<strong>le</strong> française, desurcroît !Déjà, à la demande du Procureur de Bayonne, une association que Maître Philippe FORTABATLABATUT avait créée avec sa femme au Pays Basque avait été dissoute, avec expulsion des locaux etinterdiction de se rencontrer avec sa femme, ce qui avait valu un artic<strong>le</strong> au vitriol dans <strong>le</strong> journalLIBERATION, outré d’une tel<strong>le</strong> violation des droits de l’homme !Subsidiairement, on recherche des documents d’autres sociétés, espagno<strong>le</strong> et française, appartenantou ayant appartenu à Mme Annie ROGER LEGRAND épouse CRUSSOL. Mme Annie CRUSSOL étantpoursuivie pour une supposée fraude fisca<strong>le</strong>, qu’el<strong>le</strong> n’a jamais commise, et dont Maître PhilippeFortabat-Labatut assure la défense.Une affaire rocambo<strong>le</strong>sque, digne des meil<strong>le</strong>urs films de science-fiction, qui oppose la JusticeEspagno<strong>le</strong> à la Justice Française, quitte à créer un incident diplomatique, et dans laquel<strong>le</strong> il estquestion d’extradition et d’intervention d’Interpol pour faire extrader une mamie de 75 ans qui estparfaitement en règ<strong>le</strong>, tant de ses impôts que de ses déclarations. Les frais inuti<strong>le</strong>s d’extraditionont été supportés bien évidemment par <strong>le</strong>s contribuab<strong>le</strong>s français outre <strong>le</strong>s persécutions judiciairesque Mme CRUSSOL subit de la part de l’Etat Français.La perquisition du 16 <strong>octobre</strong> <strong>2010</strong>, est menée simultanément à Biarritz comme en 2 autres endroitsà Paris, dans des appartements appartenant à Mme CRUSSOL (75 ans) et à son mari (76 ans), en <strong>le</strong>urabsence car ils habitent en Espagne tout à fait officiel<strong>le</strong>ment depuis des années ! Avec, donc, àParis, 4 policiers de la Direction du Renseignement (Dnred) et 6 inspecteurs des Impôts.Mais que pourraient cacher de tel<strong>le</strong>s manœuvres organisées à l’encontre de Maître PhilippeFORTABAT-LABATUT et de Mme CRUSSOL ?1 – Mme Crussol vend des complémentaires alimentaires. Ceci ne serait-il pas du goût desLaboratoires pharmaceutiques ? On peut de se demander lorsque l’on connaît <strong>le</strong>s directivesEuropéennes qui tendent à supprimer non seu<strong>le</strong>ment <strong>le</strong>s compléments alimentaires et <strong>le</strong>s vitamines,en imposant <strong>le</strong> Codex Alimentarius, mais aussi à réprimer très bientôt la vente de comp<strong>le</strong>xes deplantes naturel<strong>le</strong>s, à interdire la profession d’herboriste et <strong>le</strong>s prescriptions de plantes faites par<strong>le</strong>s herboristes.Nous avons bien compris que nous devons être privés de tout ce qui est naturel et bon pour nourrircorrectement nos cellu<strong>le</strong>s et pour notre la santé, au profit de tout ce qui nous intoxique, mais enfaveur des lobbies pharmaceutiques !2 – Des recours sont exercés en Justice par Maître Philippe FORTABAT-LABATUT, <strong>le</strong>s membres de safamil<strong>le</strong>, <strong>le</strong>s Sociétés et associations visées par la perquisition et <strong>le</strong>s saisies, contre :2


A - L’ordonnance de perquisition <strong>le</strong>13/09/<strong>2010</strong>, rendue par <strong>le</strong> Juge de la Liberté et de la détentionprès <strong>le</strong> TGI de Bayonne auprès de Monsieur <strong>le</strong> Premier Président - Cour d’appel de Pau - Place de laLibération - 64000 PAUB - Les conditions de visite domiciliaire et de saisie, auprès de Monsieur <strong>le</strong> Premier Président -Cour d’Appel de Pau - Place de la Libération - 64000 PAU, à l’encontre : DU DIRECTEUR GENERAL DES FINANCES PUBLIQUES DE LA DIRECTION NATIONALE DES ENQUETES FISCALES DE LA DIRECTION NATIONALE DU RENSEIGNEMENT ET DES ENQUETES DOUANIERES DE LA DIRECTION GENERALE DE LA POLICE NATIONALE ;Voyons à présent, <strong>le</strong>s moyens de Droit et de défense invoqués par Maître Philippe FORTABAT-LABATUT, <strong>le</strong>s membres de sa famil<strong>le</strong> et <strong>le</strong>s entités visées par cette perquisition illéga<strong>le</strong> !Outre <strong>le</strong>s nullités relatives à l’ordonnance de perquisition du 13/09/<strong>2010</strong>, et des conditions devisite domiciliaire et de saisie, la Violation des Droits de la Défense, la Violation des Droits del’Homme, sont dénoncés : l’absence de bases léga<strong>le</strong>s du Code Général des Impôts et du Livre desProcédures Fisca<strong>le</strong>s.Ce qui revient à dire en clair, que <strong>le</strong> Code Général des Impôts et <strong>le</strong> Livre des Procédures Fisca<strong>le</strong>s,n’existent pas ! Ce qui signe « La fin de l’impunité de l’administration Fisca<strong>le</strong> », <strong>le</strong>s lois visant àofficialiser <strong>le</strong>ur existence, n’ayant jamais été promulguées au Journal Officiel par l’Etat Français.Un moyen supplémentaire d’escroquer et de ruiner <strong>le</strong>s français, sur la base de lois qui n’existentpas ! Pas étonnant que Maître Philippe FORTABAT-LABATUT soit persécuté !************Les motivations juridiques invoquées par Maître Philippe FORTABAT-LABATUT sur la légalité duCode Général des Impôts et sur <strong>le</strong> Livre des Procédures Fisca<strong>le</strong>s :Début de citation :« Il est incontesté et incontestab<strong>le</strong> que <strong>le</strong> code général des impôts et <strong>le</strong> livre des procédures fisca<strong>le</strong>s(artic<strong>le</strong>s 1 à 2027 CGI et artic<strong>le</strong>s L1 à L285 du LPF ont été adoptés par voie rég<strong>le</strong>mentaire et nonlégislative, en violation absolue :- des principes fondamentaux de la séparation des pouvoirs et des artic<strong>le</strong>s des constitutions de1946 sous laquel<strong>le</strong> a été pris <strong>le</strong> décret du 6 avril 1950 créant <strong>le</strong> Code général des impôts, (artic<strong>le</strong>s1 à 2027 CGI et artic<strong>le</strong>s L1 à L285 du LPF1 qui a été adopté par voie rég<strong>le</strong>mentaire et nonlégislative ;- des principes fondamentaux de la séparation des pouvoirs et de L'ARTICLE 34 de laConstitutions de 1958 sous laquel<strong>le</strong> l'administration fisca<strong>le</strong> demande actuel<strong>le</strong>ment l'applicationdes artic<strong>le</strong>s litigieux du CGI et du LPF, ARTICLE 34 qui expose que :« La loi est votée par <strong>le</strong> Par<strong>le</strong>ment. La loi fixe <strong>le</strong>s règ<strong>le</strong>s concernant :- <strong>le</strong>s droits civiques et <strong>le</strong>s garanties fondamenta<strong>le</strong>s accordées aux citoyens pour l'exercice deslibertés publiques ; <strong>le</strong>s sujétions imposées par la Défense Nationa<strong>le</strong> aux citoyens en <strong>le</strong>ur personne eten <strong>le</strong>urs biens ;3


- la nationalité, l'état et la capacité des personnes, <strong>le</strong>s régimes matrimoniaux, <strong>le</strong>s successions etlibéralités ;- la détermination des crimes et délits ainsi que <strong>le</strong>s peines qui <strong>le</strong>ur sont applicab<strong>le</strong>s ; la procédurepéna<strong>le</strong> ; l'amnistie ; la création de nouveaux ordres de juridiction et <strong>le</strong> statut des magistrats ;- l'assiette, <strong>le</strong> taux et <strong>le</strong>s modalités de recouvrement des impositions de toutes natures ; <strong>le</strong> régimed'émission de la monnaie. »On a bien lu : « La loi est votée par <strong>le</strong> Par<strong>le</strong>ment. La loi fixe <strong>le</strong>s règ<strong>le</strong>s concernant :- l'assiette, <strong>le</strong> taux et <strong>le</strong>s modalités de recouvrement des impositions de toutes natures ; <strong>le</strong>régime d'émission de la monnaie.»Il est donc clair que la Constitution de 1958 s'oppose tota<strong>le</strong>ment et absolument et explicitementaux actuels textes des CGI et LPFCar il n'y a formel<strong>le</strong>ment aucun texte législatif créant <strong>le</strong>s artic<strong>le</strong>s 1 à 2027 CGI et <strong>le</strong>s artic<strong>le</strong>s LI àL285 du LPF du décret du 06 avril 1950 adopté par voie rég<strong>le</strong>mentaire et non législative, enviolation absolue des principes du droit et de la constitution.La Question prioritaire de constitutionnalité ne peut être posée puisque <strong>le</strong> texte est un Décret du6 avril 1950.En effet, <strong>le</strong> 6 avril 1950, avait lieu la codification de textes fiscaux épars.Mais cette codification, faite par ordonnance, n'a pas fait l'objet d'une ratification par <strong>le</strong>Par<strong>le</strong>ment.De plus, <strong>le</strong> 5 février 2003 <strong>le</strong> bureau de la législation fisca<strong>le</strong>, Monsieur IANNUCCI reconnaissaitpubliquement, par courrier que <strong>le</strong> décret du 9 décembre 1948 (auquel fait référence <strong>le</strong> décretdu 6 avril 1950) n'avait pas été publié.On sait qu'il y a deux types de codes :- Les codes rassemblant <strong>le</strong>s actes rég<strong>le</strong>mentaires du pouvoir exécutif- Les codes rassemblant <strong>le</strong>s dispositions législatives du pouvoir législatif- Le pouvoir exécutif a compétence pour codifier <strong>le</strong>s actes qui émanent de son autorité.La codification se fait par voie d'arrêtés ou décrets en Conseil d'Etat.Or il y a une tradition qui a perduré <strong>le</strong> début du XX ème sièc<strong>le</strong> : des codifications ont été faites par <strong>le</strong>pouvoir exécutif qui intégrait dans <strong>le</strong> corps du code des dispositions législatives. Il y a eu plusieursméthodes, dont la méthode des voies d'habilitation (autorisation) du Par<strong>le</strong>ment, mais il fallaitensuite la ratification par <strong>le</strong> Par<strong>le</strong>ment qui donnait force de loi au texte. Qu'en est-il alors descodifications où il y a bien eu une habilitation (autorisation) du Par<strong>le</strong>ment mais sans ratification.Or <strong>le</strong> Code Général des Impôts rassemb<strong>le</strong> des dispositions rég<strong>le</strong>mentaires et législatives. Ce CodeGénéral des Impôts s'est fait par voie rég<strong>le</strong>mentaire car il y a un ancien décret qui autorisaitl'administration des impôts à codifier <strong>le</strong>s mesures fisca<strong>le</strong>s. Mais l'autorité législatives n'est pasintervenue alors qu'el<strong>le</strong> seu<strong>le</strong> avait <strong>le</strong> pouvoir de codifier des mesures législatives. Il y avait doncincompétence du pouvoir exécutif à codifier des mesures législatives. Le Code des impôts estcodifié par règ<strong>le</strong>ment. Or 1e gouvernement n'a pas compétence généra<strong>le</strong> de codifier des textes4


législatifsOr. il existe un principe de sécurité juridique, principe général du droit qui a une autorité supérieureaux lois et aux règ<strong>le</strong>ments. Le principe de sécurité juridique prime sur l ' autorité des lois etrèg<strong>le</strong>ments. Il en est de même avec <strong>le</strong> droit communautaire, pour <strong>le</strong>quel existe aussi un principe desécurité juridique. L'œuvre prétorienne a dégagé des principes généraux du droit communautaire.Or <strong>le</strong> principe général du droit communautaire est supérieur aux normes édictées par <strong>le</strong> pouvoircommunautaire (directives-règ<strong>le</strong>ments et décisions de la Cour ou du Conseil). Or on constate que<strong>le</strong> Code Général des Impôts n'a pas fait l'objet d'une ratification par <strong>le</strong> Par<strong>le</strong>ment et il reste doncinapplicab<strong>le</strong>. Il faut savoir qu'en raison du Préambu<strong>le</strong> de la Constitution de 1946, repris dans cel<strong>le</strong>de 1958, on fait référence aux principes fondamentaux de la Déclaration des Droits de l'Hommede 1789, principes d'ail<strong>le</strong>urs supra constitutionnels. C'est ainsi que <strong>le</strong> principe fondamental de laséparation des pouvoirs doit être respecté. La codification par ordonnances est une autorisationexceptionnel<strong>le</strong> donnée par <strong>le</strong> Par<strong>le</strong>ment au pouvoir exécutif, <strong>le</strong> contrô<strong>le</strong> se fait par l'obligation deratification par <strong>le</strong> Par<strong>le</strong>ment à peine de caducité de l'ordonnance de codification. C'est <strong>le</strong> cas en cequi concerne la codification du CGI, qui n'a pas fait l'objet d'une ratification par <strong>le</strong> Par<strong>le</strong>ment, etpour cause, puisque, de plus, c'est un acte rég<strong>le</strong>mentaire.LE JUGE DOIT ECARTER UN TEXTE ILLEGAL.C'est donc que toute juridiction a <strong>le</strong> DROIT mais aussi LE DEVOIR de déclarer inapplicab<strong>le</strong> ouinopposab<strong>le</strong> un texte contraire aux textes internationaux.Rappelons que <strong>le</strong> Conseil Constitutionnel n'existe que depuis 1958 mais n'a pas été applicab<strong>le</strong>tout de suite et que d'autre part <strong>le</strong>s textes du CGI et LPF litigieux n'auraient jamais pu être soumisau Conseil Constitutionnel puisque précisément il s'agit de Décret et non de loi.C'est donc au pouvoir judiciaire de sanctionner cette grave violation des principes fondamentauxdu droit et de la Constitution.Question à Madame la Garde des Sceaux - 44501« Le juge national est tenu d'écarter toute loi contraire sans même attendre l'adaptationcomplète de la législation nationa<strong>le</strong>.« Les juridictions nationa<strong>le</strong>s ne peuvent et ne doivent rester à l'écart de lacomplémentarité et de la synergie entre Luxembourg et Strasbourg évoquée à l'occasion du25 ème anniversaire de la ratification de la Convention en mai dernier. »Dans sa question écrite au Ministre de la justice, <strong>le</strong> Par<strong>le</strong>mentaire cite l'arrêt Simmenthal :« Le juge national chargé d'appliquer, dans <strong>le</strong> cadre de sa compétence, <strong>le</strong>s dispositions dudroit communautaire, a l'obligation d'assurer <strong>le</strong> p<strong>le</strong>in effet de ces normes, en laissant aubesoin inappliquée, de sa propre autorité, toute disposition contraire de la législationnationa<strong>le</strong>, même postérieure, sans qu'il ait à se demander ou même à attendre l'éliminationde cel<strong>le</strong>-ci par voie législative ou par tout autre procédé constitutionnel ».On sait <strong>le</strong> grand nombre de condamnations de la république française par <strong>le</strong>s juridictionsinternationa<strong>le</strong>s : CJCE et CEDH, en particulier sur des procédures fisca<strong>le</strong>s. Mais il est pourtantpossib<strong>le</strong> d'opérer à postériori un contrô<strong>le</strong> indirect de la constitutionnalité de la loi par <strong>le</strong> biais del'artic<strong>le</strong> 6-1 de la CEDH (droit à un procès équitab<strong>le</strong>). Dans un avis d'Assemblée du 5 décembre1997, ministre de l'Education nationa<strong>le</strong>. et un arrêt d'Assemblée du mème jour. M. Lambert, <strong>le</strong>5


Conseil d'État a posé en principe, s'agissant de contestations portant sur des droits et obligationsde caractère civil, qu'il ressort des stipulations de l'artic<strong>le</strong> 6-1 que : « l'État ne peut, sans <strong>le</strong>sméconnaître, porter atteinte au droit de toute personne à un procès équitab<strong>le</strong> en prenant desmesures législatives àportée rétroactive dont la conséquence est une modification des règ<strong>le</strong>s que<strong>le</strong> juge doit appliquer pour statuer sur des litiges dans <strong>le</strong>squels l ' État est partie sauf lorsquel'intervention de ces mesures est justifiée par des motifs d'intérêt général » (AJDA 1998, p. 167 etp. 149, concl. Mme Bergeal, chron. Girardot et Raymond ; Petites arches, 15 juin 1998, n° 71, noteJ. Le Gars; Dr. adin. 1998, comm. 103.Le Conseil d'État s'est reconnu ainsi <strong>le</strong> pouvoir d'écarter l'application d'une loi rétroactive lorsquel'intervention de cette loi ne lui paraît pas justifiée par des motifs d'intérêt général. Ce contrô<strong>le</strong> luipermet ainsi, par <strong>le</strong> biais de l'artic<strong>le</strong> 6-1 de la CEDH, d'apprécier en réalité la constitutionnalité d'uneloi de validation, contrô<strong>le</strong> qui ne pouvait être assuré jusqu'ici que par <strong>le</strong> Conseil constitutionnel. LaCour administrative d'appel de Paris a fait application de ce principe en matière fisca<strong>le</strong> dans unarrêt de plénière du 30 mars 1999 (SA Synedics, req. n° 96-1858: Dr. fisc. 1999, comm. 561, concl.M"" Martel, note VH : JCP G 1999. 11. 10169, note D.E ; RJF 1999, n° 611 ; BDCF 1999, n° 57, avecconcl. ; D. 1999, in£ rap. p. 163). La cour a jugé « que, dans ce cas particulier où <strong>le</strong>s sommes encause sont devenues exigib<strong>le</strong>s par l'Etat, non sur <strong>le</strong> fondement de la législation initia<strong>le</strong>, mais surcelui d'une législation nouvel<strong>le</strong> rétroactivement applicab<strong>le</strong>, <strong>le</strong> juge de l'impôt, qui tranche descontestations portant en règ<strong>le</strong> généra<strong>le</strong> sur une obligation dépourvue de caractère civil, doit enrevanche être regardé, dès lors que <strong>le</strong> contribuab<strong>le</strong> invoque la privation de la possibilité de fairevaloir devant <strong>le</strong> juge une créance à l'encontre de l'État qui, en l'absence de l'intervention de cettelégislation nouvel<strong>le</strong>, était certaine dans son principe et dans son montant, comme se prononçantsur une contestation relative à un droit de caractère civil au sens de l'artic<strong>le</strong> 6-1... ». El<strong>le</strong> aconsidéré que <strong>le</strong> droit au procès équitab<strong>le</strong>, garanti par ce texte, peut être invoqué par <strong>le</strong>contribuab<strong>le</strong>. Par l'arrêt Nicolo, <strong>le</strong> Conseil d'État a accepté de contrô<strong>le</strong>r la compatibilité d'une loiavec <strong>le</strong>s stipulations d'un traité, même lorsque la loi est postérieure à l'acte international encause, en application de l'artic<strong>le</strong> 55 de la Constitution, abandonnant ainsi la théorie de la loiécran.La juridiction quel<strong>le</strong> qu'el<strong>le</strong> soit doit écarter tout texte inapplicab<strong>le</strong>, ainsi <strong>le</strong> CGI et <strong>le</strong> LPF serontécartés.Ici l’affaire est plus grave encore, puisqu’el<strong>le</strong> met en cause l'absence de base léga<strong>le</strong> des textes àpartir desquels l’administration fisca<strong>le</strong> a fait sa requête au JLD.En tout état de cause <strong>le</strong> CGI et <strong>le</strong> LPF ne sont pas applicab<strong>le</strong>s, car créés par <strong>le</strong> pouvoir exécutif,et prétendre qu'ils incorporent des dispositions législatives antérieures amène au même constatd'inapplicabilité car <strong>le</strong>s auteurs du décret du 6 avril 1950 n'ont pas expressément listé cesdispositions législatives antérieures qu'ils devaient abroger explicitement afin, que ne subsistepas deux textes équiva<strong>le</strong>nts sous deux formes différentes et dans des cadres juridiquesdifférents.C'est ce qu'ont fait <strong>le</strong>s auteurs du texte créant <strong>le</strong> Code de l'Organisation Judiciaire de 1978 qui ontlisté et visé expressément <strong>le</strong>s dispositions législatives antérieures qui ont été abrogées.En 1950, il n'a pas été fait pour <strong>le</strong> CGI et <strong>le</strong> LPF ce qui était obligatoire et qui a été fait en 1978, ilsubsiste donc toujours actuel<strong>le</strong>ment <strong>le</strong>s anciennes dispositions législatives de nature fisca<strong>le</strong>santérieures au décret du 6 avril 1950.Or ni <strong>le</strong> Juge de la Liberté et de la Détention n’ont visé <strong>le</strong>s dispositions législatives antérieures au6 avril 1950 rendant donc dépourvues de toute base léga<strong>le</strong> <strong>le</strong>s textes dont il a été fait usage pour6


prendre l’ordonnance du 13 09 <strong>2010</strong> du JLD du Tribunal de Grande Instance de Bayonne. » Fin decitation.************Nous comprenons mieux désormais pour quel<strong>le</strong>s raisons légitimes, Maître Philippe FORTABAT-LABATUT est harcelé par la Justice Française et l’administration fisca<strong>le</strong>, dans ce que l’on a encore <strong>le</strong>toupet d’appe<strong>le</strong>r, <strong>le</strong> pays des Droits de l’Homme, l’Etat de Droit et de démocratie.Il faut à tout prix réduire au si<strong>le</strong>nce, un Avocat qui s’est toujours démarqué par <strong>le</strong> passé, dans desaffaires sensib<strong>le</strong>s, dont cel<strong>le</strong>s de dénoncer avec nous, notamment, l’illégalité de la Justice Française,la campagne criminel<strong>le</strong> de vaccination contre <strong>le</strong> virus imaginaire de la Grippe A/H1N1, avec unvaccin qui n’a pas été suffisamment testé et dangereux pour la santé.Ce qui a permis de participer à rendre malades certains français, à ruiner <strong>le</strong> peup<strong>le</strong> français, à vider<strong>le</strong>s caisses de la Sécurité Socia<strong>le</strong> au profit des laboratoires pharmaceutiques. Ce, sans qu’aucundéputé, ni sénateur, n’ait pris l’initiative d’enquêter sur <strong>le</strong> contenu exact de tous <strong>le</strong>s vaccins, <strong>le</strong>ursobligations et sur la dangerosité de <strong>le</strong>urs composants. Et notamment, lorsque l’on sait, qu’il n’existeaucune base scientifique attestant du bien fondé de la vaccination. Ce qui existe en revanche, cesont des preuves multip<strong>le</strong>s, des effets secondaires graves connus des vaccinations, que l’ons’acharne à ignorer.Nombre de scientifiques ont déjà sou<strong>le</strong>vé l’escroquerie Pasteurienne, ce que <strong>le</strong>s politiquescontinuent d’ignorer. Il va falloir en finir avec Pasteur ! Un sièc<strong>le</strong> de mystification scientifique !Pour qui travail<strong>le</strong>nt <strong>le</strong>s élus ?Ensuite l’Etat mettra en œuvre des moyens pour soigner, notamment, la maladie d’Alzheimer quisemb<strong>le</strong> être une conséquence directe de la vaccination proposée annuel<strong>le</strong>ment contre la grippe. Etgrippe dont on ne nous a jamais fait la démonstration scientifique qu’il s’agissait d’une maladie, etdont <strong>le</strong> vaccin contient des dérivés mercuriels et d’aluminium. Le mercure et l’aluminium : deuxmétaux lourds répertoriés comme étant des métaux toxiques pour <strong>le</strong>s cellu<strong>le</strong>s nerveuses etcérébra<strong>le</strong>s.Tout <strong>le</strong> monde <strong>le</strong> sait, sauf, <strong>le</strong>s élus, <strong>le</strong>s grands experts de l’OMS et <strong>le</strong>s laboratoirespharmaceutiques ! Et ce, bien que <strong>le</strong> Sénat ait répertorié sur son site, <strong>le</strong>s effets <strong>le</strong>s métaux lourdssur l’environnement et <strong>le</strong>urs dangers sur la santé.On se moque de qui ?On enlève <strong>le</strong> mercure des thermomètres car considéré comme dangereux, et on l’injectedirectement dans <strong>le</strong> sang par <strong>le</strong> biais des vaccins tueurs ?Ensuite on s’étonnera que nous accusions <strong>le</strong>s vaccins, d’être des armes biologiques dirigées par <strong>le</strong>sgouvernements contre <strong>le</strong>s populations, sous couvert de faire de la santé, et que nous ayons dénoncéla campagne de vaccination criminel<strong>le</strong>, comme étant un génocide programmé contre <strong>le</strong>s populationsmondia<strong>le</strong>s. Ce, en faveur des promoteurs du Nouvel Ordre Mondial, dont l’unique but est celui deréduire la population mondia<strong>le</strong> des 2/3, au prétexte fallacieux que nous serions trop nombreux et7


esponsab<strong>le</strong>s du réchauffement dit planétaire dû aux émissions de CO2. Ce fameux C02, un gaznaturel, que l’on retrouve dans tout l’Univers, ce que tous <strong>le</strong>s scientifiques savent pertinemment !Mais il faut bien continuer à entretenir <strong>le</strong>s mensonges, <strong>le</strong>s diverses escroqueries dirigées contre <strong>le</strong>speup<strong>le</strong>s, <strong>le</strong> système de la maladie et continuer à enrichir <strong>le</strong>s laboratoires pharmaceutiques, n’est-cepas ?Il faut donc persécuter ceux qui œuvrent réel<strong>le</strong>ment dans l’intérêt général des Français et qui ont <strong>le</strong>courage de dénoncer, tous <strong>le</strong>s génocides organisés à l’encontre du Peup<strong>le</strong> Français, et <strong>le</strong>s traiter delobbies anti-vaccinaux, à la tête de cellu<strong>le</strong>s terroristes ou de sectes, n’est-ce pas ?Sur <strong>le</strong> génocide financier organisé, depuis 37 ans, à l’encontre du Peup<strong>le</strong> Français, au profit desbanques privées françaises et européennes, dont <strong>le</strong>s banques appartenant à la Famil<strong>le</strong> Rothschild.Famil<strong>le</strong> amie, de Monsieur Nicolas Sarkozy, actuel Président de la République et de sesprédécesseurs depuis Pompidou, qui semb<strong>le</strong>nt tous souffrir d’amnésie et qui insistent pourréformer <strong>le</strong>s retraites, au prétexte fallacieux, que <strong>le</strong>s français ne pourraient pas payer <strong>le</strong>s retraitesdes <strong>le</strong>urs.QUESTIONS AU CONSEIL CONSTITUTIONNELIl va falloir que <strong>le</strong> Conseil Constitutionnel réponde :1 - Sur la légalité des supposées Lois relatives au Code Général des Impôts et au Livre desProcédures Fisca<strong>le</strong>s, qu’il nous communique la date de <strong>le</strong>ur parution au Journal Officiel, soit la datede <strong>le</strong>ur promulgation par <strong>le</strong> Par<strong>le</strong>ment,2 – Qu’il abroge la Loi anticonstitutionnel<strong>le</strong>, Pompidou-Giscard : Loi n°73-7 du 3 janvier 1973 sur laBanque de France, qui a réduit l’Etat Français à l’état d’un simp<strong>le</strong> citoyen, qui s'endette auprès desbanques privées, et qui a fait que <strong>le</strong> Trésor public ne puisse plus être présentateur de ses propreseffets à l'escompte de la Banque de France.3 – Que <strong>le</strong>s banques privées remboursent tout l’argent volé aux français depuis 37 ans, ce qui <strong>le</strong>urpermettra de payer <strong>le</strong>s retraites des <strong>le</strong>urs, sans avoir à se battre ni à rougir de <strong>le</strong>ur travail !Une loi votée grâce aux bons et loyaux services, des promoteurs de l’Union Européenne et agents duNouvel Ordre Mondial, à savoir : Pompidou, Va<strong>le</strong>ry Giscard d'Estaing, Mitterrand, Chirac et Sarkozyqui devront nous dire aussi pour qui ils travail<strong>le</strong>nt ? Le Peup<strong>le</strong> Français ou <strong>le</strong>s promoteurs du NouvelOrdre Mondial, qui organisent savamment <strong>le</strong> génocide financier de la France et des Pays Européens,au profit des banquiers privés, des organisations obscures internationa<strong>le</strong>s, des laboratoirespharmaceutiques et des Multinationa<strong>le</strong>s ?4 – Qu’il nous dise, si <strong>le</strong>s accords passés par la France avec l’ONU et toutes ses branches, ditesorganisations internationa<strong>le</strong>s, dont l’OMS, l’OTAN, <strong>le</strong>s banques privées internationa<strong>le</strong>s, etc … <strong>le</strong> 21novembre 1947, sont anticonstitutionnels ou pas, ou si la France a été placée sous tutel<strong>le</strong> dès <strong>le</strong> 21novembre 1947, des USA, de l’ONU et de ses organisations internationa<strong>le</strong>s obscures, en prévisionde l’instauration du Nouvel Ordre Mondial, et ce à l’insu des Français ?Pour quel<strong>le</strong>s raisons légitimes, ces officines internationa<strong>le</strong>s obscures, dont nous ne connaissons pas<strong>le</strong>s identités de <strong>le</strong>urs véritab<strong>le</strong>s promoteurs, qui demeurent dans l’ombre :A - bénéficient de PRIVILEGES et d’IMMUNITÉS INTERNATIONALES : UN PRINCIPE LARGEMENTRECONNU PAR LA FRANCE8


B - font ingérence dans notre pays, en temps de paix, en contrevenance à la Charte des Nationsunies, ratifiée <strong>le</strong> 26 juin 1945 qui prévoit, « <strong>le</strong> Droit de tous <strong>le</strong>s peup<strong>le</strong>s à l’autodétermination et àdisposer d’eux-mêmes », mais…. uniquement pour ce qui concerne <strong>le</strong> droit de déterminer <strong>le</strong>urpropre forme de gouvernement, indépendamment de toute influence étrangère.Dès lors, la question qui se pose est cel<strong>le</strong> de savoir si l’adhésion de la France à l’ONU et à sesorganisations internationa<strong>le</strong>s, en 1947, ne correspond pas à sa mise sous tutel<strong>le</strong>. Ce qui supposeraitque nous soyons déjà sous la tutel<strong>le</strong> des USA et de l’ONU ou de l’Unique Gouvernement Mondial dedictature ou encore du Nouvel Ordre Mondial, depuis 1947 ?5 – Qu’il abroge <strong>le</strong> Traité anticonstitutionnel et liberticide de Lisbonne, qui rétablit la peine de mort,autorise <strong>le</strong>s interpellations illéga<strong>le</strong>s et l’instauration de la Loi martia<strong>le</strong>, en cas d’insurrection despeup<strong>le</strong>s européens, et qui autorise <strong>le</strong> clonage. Traité liberticide qui n’a pas été voté par <strong>le</strong> Peup<strong>le</strong>Français souverain. Monsieur Sarkozy et son Gouvernement illégitime, ayant violé la Constitutionpour <strong>le</strong> lui imposer par la force. C’est ce que l’on appel<strong>le</strong> <strong>le</strong> respect des Droits de l’Homme, de laConstitution, et de la démocratie.En effet, selon la Constitution :Art. 3. - La souveraineté nationa<strong>le</strong> appartient au peup<strong>le</strong> qui l'exerce par ses représentants et par lavoie du référendum.Aucune section du peup<strong>le</strong> ni aucun individu ne peut s'en attribuer l'exercice.Le suffrage peut être direct ou indirect dans <strong>le</strong>s conditions prévues par la Constitution. Il esttoujours universel, égal et secret.Sont é<strong>le</strong>cteurs, dans <strong>le</strong>s conditions déterminées par la loi, tous <strong>le</strong>s nationaux français majeurs desdeux sexes, jouissant de <strong>le</strong>urs droits civils et politiques.Artic<strong>le</strong> 5.Le Président de la République veil<strong>le</strong> au respect de la Constitution. Il assure, par son arbitrage, <strong>le</strong>fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l'État.Il est <strong>le</strong> garant de l'indépendance nationa<strong>le</strong>, de l'intégrité du territoire et du respect des traités.6 – Qu’il nous explique comment la crise financière peut exister, dans la mesure où l’argent estvirtuel, dématérialisé et qu’il n’est plus garantit par <strong>le</strong>s réserves en or, depuis 1913. Date de laCréation de la FED aux USA. Dès lors que l’argent qui circu<strong>le</strong> dans <strong>le</strong> monde, n’est autre que <strong>le</strong>sdettes que nous contractons et cel<strong>le</strong>s que l’état nous imposent en nous endettant auprès desBanques privées.7 – Qu’il nous explique comment un Président de l’Europe, Monsieur Van Rompuy pour <strong>le</strong>quelnous n’avons pas voté, peut-il être élu à « huis clos » par <strong>le</strong>s membres du Club privé du BildenbergGroup, et si cette é<strong>le</strong>ction n’est pas anticonstitutionnel<strong>le</strong> ?9


8 – Qu’il invalide <strong>le</strong>s é<strong>le</strong>ctions présidentiel<strong>le</strong>s de 2007 qui ont porté illéga<strong>le</strong>ment, « UN SANSPAPIER », Monsieur Nicolas SARKOZY à la Présidence de la République Française que <strong>le</strong> Peup<strong>le</strong>Français ne peut pas reconnaître.Un « SANS PAPIER » ne pouvant pas être élu Président de la République, son nom de famil<strong>le</strong> étantun FAUX !Comme quoi, plus c’est gros et plus ça marche et <strong>le</strong> Peup<strong>le</strong> n’y voit que du feu !Un « SANS PAPIER » qui a <strong>le</strong> pouvoir quand même de déc<strong>le</strong>ncher une guerre atomique en décidantd’appuyer uniquement sur un simp<strong>le</strong> bouton !Un « SANS PAPIER » qui représente la France, en France et à l’étranger !Le Peup<strong>le</strong> Français la risée du Monde !En effet, <strong>le</strong> C O D E P É N A L (Partie Législative) prévoit dans <strong>le</strong> :LIVRE IV – portant sur Les crimes et délits contre la nation, l'État et la paix publique.TITRE I - Des atteintes aux intérêts fondamentaux de la nationIl est clairement noté : Artic<strong>le</strong> 433-19Modifié par Ordonnance n°2000-916 du 19 septembre 2000 - art. 3 (V) JORF 22 septembre 2000 envigueur <strong>le</strong> 1er janvier 2002Est puni de six mois d'emprisonnement et de 7500 euros d'amende <strong>le</strong> fait, dans un acte public ouauthentique ou dans un document administratif destiné à l'autorité publique et hors <strong>le</strong>s cas où larég<strong>le</strong>mentation en vigueur autorise à souscrire ces actes ou documents sous un état civild'emprunt :1° De prendre un nom ou un accessoire du nom autre que celui assigné par l'état civil ;2° De changer, altérer ou modifier <strong>le</strong> nom ou l'accessoire du nom assigné par l'état civil.http://<strong>le</strong>droitcriminel.free.fr/la_<strong>le</strong>gislation_criminel<strong>le</strong>/code_penal/partie_<strong>le</strong>gislative_4.htmLe nom porté à l’état Civil étant celui de SARKÖZY de NAGY-BOCSA - Nicolas, Paul, Stéphane, etnom pas Nicolas Sarkozy qui est nom d’emprunt.Selon <strong>le</strong> journal officiel du 1er janvier 2005 texte 3/146, il s'appel<strong>le</strong> réel<strong>le</strong>ment : Nicolas SARKÖZY deNAGY BOCSA et non pas Nicolas SARKOZY.Quel<strong>le</strong> importance ? Serait-on tenter de répondre, qu'il se fasse appe<strong>le</strong>r de manière réductriceNicolas SARKOZY et non de son véritab<strong>le</strong> nom inscrit sur son état civil ?Il faut savoir que <strong>le</strong>s noms et prénoms de famil<strong>le</strong> sont encadrés par une loi qui date de la révolutionet qui est toujours en vigueur actuel<strong>le</strong>ment. Il s'agit de la loi du 6 fructidor de l'an II (6 février 1793)10


Cette loi a créé <strong>le</strong> principe d'immutabilité du nom de famil<strong>le</strong>. El<strong>le</strong> dit ceci :Art. 1er. Aucun citoyen ne pourra porter de nom ni de prénom autres que ceux exprimés dans sonacte de naissance : ceux qui <strong>le</strong>s auraient quittés seront tenus de <strong>le</strong>s reprendre2. Il est éga<strong>le</strong>ment défendu d'ajouter aucun surnom à son nom propre, à moins qu'il n'ait servijusqu'ici à distinguer <strong>le</strong>s membres d'une même famil<strong>le</strong>, sans rappe<strong>le</strong>r <strong>le</strong>s qualifications féoda<strong>le</strong>s etnobiliaires.3. Ceux qui enfreindraient <strong>le</strong>s dispositions des deux artic<strong>le</strong>s précédents seront condamnés à six moisd'emprisonnement et à une amende éga<strong>le</strong> au quart de <strong>le</strong>ur revenu. La récidive sera punie de ladégradation civique.4. Il est expressément défendu à tous fonctionnaires publics de désigner <strong>le</strong>s citoyens dans <strong>le</strong>s actesautrement que par <strong>le</strong> nom de famil<strong>le</strong>, <strong>le</strong>s prénoms portés en l'acte de naissance, ou <strong>le</strong>s surnomsmaintenus par l'artic<strong>le</strong> 2, ni d'en exprimer d'autres dans <strong>le</strong>s expéditions et extraits qu'ils délivrerontà l'avenir.5. Les fonctionnaires qui contreviendraient aux dispositions de l'artic<strong>le</strong> précédent seront destitués,déclarés incapab<strong>le</strong>s d'exercer aucune fonction publique, et condamnés à une amende éga<strong>le</strong> auquart de <strong>le</strong>ur revenu.6. Tout citoyen pourra dénoncer <strong>le</strong>s contraventions à la présente loi à l'officier de police dans <strong>le</strong>sformes ordinaires.7. Les accusés seront jugés pour la première fois par <strong>le</strong> tribunal de police correctionnel et, en cas derécidive, par <strong>le</strong> tribunal criminel du département.Conséquences : Ainsi Monsieur Nicolas SARKÖZY de NAGY BOCSA est-il en complète violation de laloi et tombe-t-il sous <strong>le</strong> coup du code pénal ! (artic<strong>le</strong>s 433-19 et 433-22)En effet, SARKOZY aurait du se présenter à la présidentiel<strong>le</strong> sous ses véritab<strong>le</strong>s prénom et nom defamil<strong>le</strong> tels qu'ils sont confirmés dans <strong>le</strong> registre d'état civil et dans <strong>le</strong> Journal officiel du 1er janvier2005 visant sa décoration à la légion d'honneur (officier)Ceci est pour <strong>le</strong> moins curieux de la part d'un avocat qui par essence se doit de connaître etrespecter la loi. Ainsi que pour <strong>le</strong> Conseil Constitutionnel, ni n’est pas censé ignoré la Loi et laConstitution."En l’espèce, dans <strong>le</strong> cas de la pseudo é<strong>le</strong>ction de Monsieur Sarkozy, <strong>le</strong> code é<strong>le</strong>ctoral s’applique.(Code é<strong>le</strong>ctoral, artic<strong>le</strong>s L. 11,L. 12 et L. 14)Il précise bien que seul <strong>le</strong> nom patronymique (nom inscrit sur l’état civil) doit être consigné. (voirjurisprudences tribunal administratif notamment sur www.rajf.org)Quant au code civil, il ne s’oppose pas à la loi du 6 fructidor de l’an II. Il permet simp<strong>le</strong>ment l’usagecourant d’un pseudonyme sans que ce dernier puisse se prévaloir d’une quelconque va<strong>le</strong>urjuridique.11


Les conséquences de cette é<strong>le</strong>ction illéga<strong>le</strong>, virtuel<strong>le</strong> et parfaitement orchestrée sont cel<strong>le</strong>s quedepuis l’é<strong>le</strong>ction Présidentiel<strong>le</strong> de 6 mai 2007, la République est en danger, car el<strong>le</strong> bénéficie d’unPrésident Virtuel, et el<strong>le</strong> n’est pas représentée léga<strong>le</strong>ment par un Président de la République, élurégulièrement par <strong>le</strong> Peup<strong>le</strong> Français, sous son vrai nom. Celui-ci pouvant user alternativement del’un ou l’autre nom, au gré de sa fantaisie, ce bien que <strong>le</strong> changement d’une seu<strong>le</strong> <strong>le</strong>ttre du nom oudu prénom d’une personne, nécessite l’intervention d’un Procureur de la République.Qu’aucune loi, décret, ordonnance, retouche ou refonte de la Constitution, n’est valide et est nonapplicab<strong>le</strong> depuis <strong>le</strong> 7 mai 2007. Le Président de la République, élu régulièrement, étant <strong>le</strong> garant durespect de la Constitution, des Lois, et des Armées. Les textes officiels qui s’appliquent sont doncessentiel<strong>le</strong>ment et exclusivement, ceux qui existaient avant l’é<strong>le</strong>ction présidentiel<strong>le</strong> de MonsieurSarkozy, <strong>le</strong> 6 mai 2007, et toutes <strong>le</strong>s dispositions législatives prises après la date du 6 mai 2007, sontcaduques et doivent être invalidées par <strong>le</strong> Conseil Constitutionnel.Que la composition actuel<strong>le</strong> du Gouvernement actuel est invalide et virtuel<strong>le</strong>, et que <strong>le</strong> Peup<strong>le</strong>Français souverain, peut disposer librement de lui-même, en refusant de se plier à toute loi oudirective imposée depuis l’é<strong>le</strong>ction illéga<strong>le</strong> de Monsieur Sarkozy à la Présidence de la RépubliqueFrançaise ou par cel<strong>le</strong>s éditées par l’ONU et ses organisations internationa<strong>le</strong>s occultes !La désobéissance civique s’impose à tous <strong>le</strong>s niveaux de la République !Que dans ces conditions nous réclamons :A – l’arrestation et la destitution du « SANS PAPIER » Nicolas Sarkozy qui usurpe indûment <strong>le</strong> titreet la fonction de Président de la République, depuis <strong>le</strong> 6 mai 2007. Le fait re<strong>le</strong>vant des crimes etdélits commis contre la nation, l'État et la paix publique, au titre des atteintes aux intérêtsfondamentaux de la nation,B – la destitution immédiate du Gouvernement actuel, parfaitement illégitime,C - la déchéance de la nationalité française, qui se mérite et accordée à Monsieur Nicolas SARKOZY,pour avoir mis la République en danger depuis <strong>le</strong> 6 mai 2007, en ayant violé la Constitution, prisdes décisions anticonstitutionnel<strong>le</strong>s et préjudiciab<strong>le</strong>s aux intérêts du Peup<strong>le</strong> Français,D – qu’il soit jugé pour ses crimes et délits, commis contre la Nation, et reconduit à la frontière,comme il sait si bien <strong>le</strong> faire pour <strong>le</strong>s Roms,E – la dissolution de toutes <strong>le</strong>s lois, réformes, ordonnances, arrêts pris sous sa Présidence Virtuel<strong>le</strong>,qui ont mis et mettent encore <strong>le</strong>s Français en danger,F – l’organisation immédiate, d’un référendum anticipé pour que <strong>le</strong> Peup<strong>le</strong> français Souverain,puisse élire un nouveau Président de la République, léga<strong>le</strong>ment élu.G - que <strong>le</strong> Conseil Constitutionnel, s’explique sur ses carences, à ne pas avoir sou<strong>le</strong>véprécédemment tous ces crimes commis contre la Nation France, dans l’intérêt supérieur desFrançais !Tant que <strong>le</strong> Conseil Constitutionnel n’aura pas répondu à toutes ces questions fondamenta<strong>le</strong>s, <strong>le</strong>Peup<strong>le</strong> Français n’est pas tenu de se plier à <strong>le</strong>urs directives abusives et infondées !12


9 – Qu’il nous dise subsidiairement, à quel niveau il situe <strong>le</strong> QI des Français ? Ce afin que <strong>le</strong>s élusou <strong>le</strong>s va<strong>le</strong>ts de <strong>le</strong>urs maîtres Illuminati-Reptiliens, cessent de prendre tous <strong>le</strong>s français pour designorant et des imbéci<strong>le</strong>s !Lorsque <strong>le</strong> Conseil Constitutionnel (s’il existe encore !) aura répondu à toutes ces questions, nousverrons si Maître Philippe FORTABAT-LABATUT et son épouse, 6 enfants dont 5 mineurs et un bébéde 9 mois, sont des escrocs qui sont en règ<strong>le</strong> et s’ils grugent <strong>le</strong> fisc qui n’existe pas ! Alors que lasociété espagno<strong>le</strong>, prétexte de la perquisition, paye sa TVA en Espagne … à 8% au lieu de 5,5% enFrance ! Donc la TVA est payée en Espagne et où serait <strong>le</strong> préjudice pour la France puisqu’el<strong>le</strong> estmoins chère en France !!!Tout cela pour justifier une tel<strong>le</strong> perquisition de 9 heures ! Permettez-nous d’en douter !!Nous verrons, si Maître Philippe FORTABAT-LABATUT et l’association Sos Justice & Droits del’Homme sont des lobbies anti-vaccinaux ou <strong>le</strong>s chefs de fi<strong>le</strong> de cellu<strong>le</strong>s terroristes ou de sectes !Pour l’heure la seu<strong>le</strong> véritab<strong>le</strong> définition du terrorisme que nous retenions est cel<strong>le</strong>-ci :Ce sont <strong>le</strong>s gouvernements qui font peur à <strong>le</strong>urs propres populations pour qu’el<strong>le</strong>s se tiennent biendans la fi<strong>le</strong>.A chaque fois <strong>le</strong>s gens paient de <strong>le</strong>ur vie, et <strong>le</strong>s gouvernements, et <strong>le</strong>s banques et <strong>le</strong>s machines deguerre ne font que grandir et prospérer. Les gens ne veu<strong>le</strong>nt pas de terrorisme parce que cela ne<strong>le</strong>ur apporte aucun avantage. Cela ne bénéficie qu'aux structures de pouvoir existantes.La vérité sur <strong>le</strong> terrorisme - James Corbett 23-09-10http://www.youtube.com/watch?v=oT_JpD_ZX4o&feature=player_embeddedPour joindre Maître Philippe FORTABAT-LABATUT, merci de noter <strong>le</strong>s coordonnées suivantes :Maître Philippe FORTABAT LABATUTDocteur en DroitDocteur ès-LettresAvocat près la Cour d'Appel de Paris6, Villa Belliard - 75018 PARISMobi<strong>le</strong> : 06 41 72 40 44Tél.: 01 42 62 22 40Fax : 01 75 43 18 96Mail : fortabat-labatut@wanadoo.frAvocat en DéfenseMaître Bernard MERY186, Avenue de Versail<strong>le</strong>s - 75016 PARISCes affaires re<strong>le</strong>vant de l’intérêt général des personnes et des Français. Nous vous remercions pourvotre attention et comptons sur votre intégrité et votre solidarité avec <strong>le</strong> Peup<strong>le</strong> Français, pourmédiatiser ces affaires scanda<strong>le</strong>uses.13


Pour une France libre et indépendante !Bien cordia<strong>le</strong>ment<strong>Mirella</strong> <strong>Carbonatto</strong><strong>Présidente</strong> de Sos Justice & Droits de l’HommeLes pièces à télécharger :***********************************Dossier de Maître Philippe FORTABAT-LABATUTAvocat de l'association Sos Justice & Droits de l'HommeOrdonnance du Tribunal de Grande Instance de Bayonne :ordonnance bayonne.pdfPV de Perquisitionpv perquisition et saisie bayonne.pdfRecours contre l'Ordonnance du Juge de la Liberté et de la détentionCour d'Appel de Pau : Le Code des Impôts n'existe pas !Recours ordonnance de perquisition.pdfRecours contre la Perquisition et la SaisieRecours contre la visite et saisie.pdf------------------------------AssociationsCampo Pujo Real SarteRécépissé de déclaration de l'association Camp pujo real sarte.pdfEnregistrement au JO de l'association CAMPO-PUJO.pdfGouvernement Provisoire de la Monarchie FrançaiseDéclaration sous-préfecture GPMF.pdf------------------------------Dossier Madame Roger-Legrand CRUSSOLAffaire CRUSSOL : ICIMandat d'arrêt d'Evry 2007.pdfMandat d arrêt européen d'Evry 2007.pdf14


La traque recherche internationa<strong>le</strong>.pdfLe jugement espagnol de libération.pdfLe transfert de force à Bayonne après extradition.pdfDossier Crussol - Nullité de la procédure péna<strong>le</strong> concernant Mme Roger Legrand Crussol.pdfRegistre du commerce de la Société Falconi Who<strong>le</strong>sa<strong>le</strong>.pdfExtrait Kbis de la Société Falconi Who<strong>le</strong>sa<strong>le</strong>15

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