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du ciel vient la lumiere - Patrice sur la Trace de la Chouette d'Or

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© <strong>Patrice</strong> Salvy - 2008420DU CIEL VIENT LA LUMIERE"MAX A DIT..."APOLLON RESTE "LA", COMPTE LES MESURES, LEVE SON ARC VERS LE CIEL ET DECOCHE SAFLECHE.IL NE TIRE PAS D'UNE HAUTEUR DE 1969,697 MESURES.C'EST BIEN APOLLON QUI COMPTE. C'EST IMPORTANT.APOLLON EST UN MONSIEUR QUI AIME L'EXACTITUDE. IL DESIRE DONC DEPOSER SON TRAITAVEC UNE GRANDE PRECISION. AUSSI, IL COMPTE LES 1969,697 MESURES AVANT DE DECOCHERSA FLECHE.L'ADVERBE "LA" DANS LA PREMIERE ET LA DIXIEME LIGNE DU TEXTE CONCERNE UN SEUL ETMEME LIEU (Fig-Mag)."Y" NE CONCERNE PAS CE LIEU.IL N'Y A QU'UNE SEULE FLECHE A L'ENDROIT OU IL "FAUT SE HATER DE LA TROUVER" (Fig-Mag).DANS LA 420, "TRAIT" ET "FLECHE" SONT SYNONYMES (Fig-Mag).IL S'AGIT LA D'UN PROBLEME DE BALISTIQUE, CONNU DES ARCHERS COMME DES ARTILLEURS !LA FLECHE SE DEPLACE DE MANIERE RECTILIGNE, SANS ZIGZAG (09/04/96).MAIS IL N'EST PAS QUESTION D'EFFECTUER DES CALCULS BALISTIQUES (26/06/97).LE TRAJET DE LA FLECHE EST RECTILIGNE TRACÉ "A PLAT" SUR LA CARTE.LES EVENTUELLES MONTAGNES SUR LE TRAJET DE LA FLECHE SONT A IGNORER.LA FLECHE D'APOLLON A UNE CERTAINE LONGUEUR, INFERIEURE AU TRAJET QU'ELLEEFFECTUE (26/02/99).OUI, IL S'AGIT DE TROUVER LE POINT DE CHUTE DE LA FLECHE... (04/04/96)LA FLECHE D'APOLLON VISE QUELQUE CHOSE DE CONCRET, DE MATERIEL. ELLE NE VISE PAS LECOEUR.


LE FAIT DE COMPTER SES MESURES VERS LE ZENITH EST UTILE POUR QUE SON TRAIT PUISSES'ABATTRE AU BON ENDROIT. A CET ENDROIT, ON NE TROUVERA QU'UNE FLECHE.LE MOT "ZENITH" N'A QU'UNE SEULE ACCEPTION DANS LE JEU (Fig-Mag).PRENEZ L'ACCEPTION HABITUELLE DE CE MOT (26/06/97).JE NE PEUX PAS PARLER D'"ALTITUDE" AU SENS OÙ VOUS L'ENTENDEZ. IL S'AGIT DE 1969,697MESURES VERS LE ZENITH.POUR RESUMER, ON PEUT DIRE QUE LA FLECHE D'APOLLON PART D'UN POINT "A" POURS'ABATTRE EN UN POINT "B" ET QUE, DANS CE CAS, LA FLECHE A UNE CERTAINE LONGUEUR "AC"TELLE QUE AC EST INFERIEURE A AB (24/02/99).CE QUI EST IMPORTANT, C'EST DE COMPTER LES MESURES, PAS VRAIMENT LA CHOSE PARRAPPORT A LAQUELLE ON LES COMPTE.LA FLECHE EST BIEN SUR UNE IMAGE. QU'ELLE SOIT OU NON PARFAITEMENT HORIZONTALEDEPEND DE L'ENDROIT VISE : S'IL EST FACE A VOUS, ELLE RESTE HORIZONTALE, S'IL EST ENHAUTEUR, C'EST DIFFERENT... A VOUS D'EN TIRER LES BONNES CONCLUSIONS.LA POSITION DE L'ENSEMBLE COMPAS ET LETTRE "N" DANS LE VISUEL A UNE IMPORTANCE.LE "N" DANS LEQUEL LE COMPAS EST PLANTE N'A QU'UNE SEULE SIGNIFICATION (13/01/96).LE "N" DANS LES 2 VISUELS - 780 ET 420 - NE REPRESENTENT PAS LA MEME CHOSE (07/11/97).LA MESURE DOIT ETRE CONNUE AVANT D'ATTAQUER CETTE ENIGME (Fig-Mag).LE FAIT QUE LE "N" ET LE "T" DE "CENT" N’AIENT PAS ETE CODÈS N’ETAIT QU’UN SIMPLE PETITCOUP DE POUCE.IL S'AGIT BIEN DE LA FRACTION DE JOUR SIDERAL TERRIEN.LE VISUEL NE REPRESENTE PAS UNE SORTE D'ECLIPSE (28/06/97).LORSQUE VOUS PRETEZ L'ARC A APOLLON, LE FAIT QU'IL VOUS LE RENDE N'A PAS VRAIMENTD'IMPORTANCE. METTONS QU'IL LE GARDE...Idées généralement admises par les ChercheursLes nombres apparaissant dans le texte <strong>de</strong> l'énigme sont les nombres <strong>de</strong> jours nécessaires à chaquep<strong>la</strong>nète pour effectuer sa révolution autour <strong>du</strong> soleil. Là aussi, les chiffres datent un peu et proviennentprobablement <strong>de</strong> l'Encyclopédie Bordas (Astronomie) <strong>de</strong> 1968 (rééditée en 1981).Terre................365Mars................687Jupiter...........4330Saturne........10752Uranus.........30667Neptune.......60140Pluton..........90677En remp<strong>la</strong>çant ces nombres par l'initiale <strong>de</strong> <strong>la</strong> p<strong>la</strong>nète à <strong>la</strong>quelle ils correspon<strong>de</strong>nt, on obtient :C'EST LA QUE L'AIGLE IMPRIMA LA MARQUE DE SES SERRES DANS LE SABLE,CENT JOURS AVANT DE SE CASSER LE BEC ET Y LAISSER SES PLUMES.Viennent immédiatement à l'esprit les Cent Jours <strong>de</strong> Napoléon qui, revenu <strong>de</strong> l'Ile d'Elbe, débarqua à Golfe-Juan.L'une <strong>de</strong>s indications supplémentaires semble d'ailleurs confirmer cette hypothèse :VENU DE L'ILE D'ELBE, IL Y DEBARQUA.Mais il con<strong>vient</strong> <strong>de</strong> bien saisir ce que sont les Cent Jours <strong>du</strong> point <strong>de</strong> vue historique :


Ainsi les Cent Jours ont-ils réellement débuté lorsque Napoléon est arrivé aux Tuileries, à Paris.Notons pour le fun qu'à <strong>la</strong> "moulinette" <strong>du</strong> co<strong>de</strong> "ALMISEFORU", le mot PLUME <strong>de</strong><strong>vient</strong> PARIS !Le trait d'Apollon, lui, s'abattra en une 46 241 860 ème fraction <strong>de</strong> jour sidéral. Or, <strong>la</strong> <strong>du</strong>rée <strong>de</strong> notre joursidéral est <strong>de</strong>23 h 56 min 4,09 s soit 86164 secon<strong>de</strong>sSi le trait d'Apollon est, comme on le suppose, un trait lumineux dont <strong>la</strong> vitesse est d'environ300 000 kilomètres par secon<strong>de</strong>, ce trait aura parcouru :86164 x 300 000 / 46 241 860 = 559 kmOr, à 559 km <strong>de</strong> Golfe-Juan (!) on retombe <strong>sur</strong> Dabo, ce qui ne dép<strong>la</strong>ît pas aux "daboïstes".Mais revenons à <strong>la</strong> flèche d'Apollon. On peut penser que si l'on <strong>de</strong>vait raisonner comme <strong>de</strong>s "artilleurs", ilfaudrait qu'Apollon effectue son tir à 45° <strong>de</strong> l'hor izontale afin que son projectile s'élève puis retombe commeil se doit le plus loin possible.Même dans ce cas, le débat subsiste ! Certains défen<strong>de</strong>nt <strong>la</strong> thèse que <strong>la</strong> flèche s'élève en ligne droitejusqu'à mi-parcours pour re<strong>de</strong>scendre toujours en ligne droite vers le point d'impact, comme si à mi-parcours<strong>la</strong> flèche heurtait un obstacle. Si l'on utilise les 559 km comme longueur <strong>du</strong> parcours et 45° comme ang le <strong>de</strong>départ et d'arrivée, <strong>la</strong> flèche s'élève jusqu'à 197km630. Au sol, <strong>la</strong> distance entre le point <strong>de</strong> départ et le pointd'arrivée est alors <strong>de</strong> 395km270.D'autres préfèrent un parcours en arc <strong>de</strong> cercle (d'où le prêt d'un arc à Apollon).Dans ce cas <strong>la</strong> "cor<strong>de</strong>" <strong>de</strong> l'arc - c'est-à-dire <strong>la</strong> distance au sol - est d'environ 503 km et <strong>la</strong> "flèche" <strong>de</strong> l'arcd'environ 104 km.Bien sûr, Max a précisé très c<strong>la</strong>irement qu'aucun calcul balistique n'était à effectuer. Mais peut-on vraimentconsidérer les calculs décrits ci-<strong>de</strong>ssus comme étant <strong>de</strong>s calculs "balistiques" ? Certainement pas. Il y a unmon<strong>de</strong> entre le calcul <strong>de</strong> <strong>la</strong> cor<strong>de</strong> d'un arc <strong>de</strong> cercle et celui d'une parabole !Enfin, si <strong>la</strong> me<strong>sur</strong>e est bien <strong>de</strong> 33 cm et si celle-ci ne doit pas être "coefficientée", les 1969,697 me<strong>sur</strong>esdonnent 650 m.Cette hauteur (vers le zénith) <strong>la</strong>isse perplexe et, là aussi, le débat reste ouvert.


QUESTIONS INCONTOURNABLESOù le "là" se situe-t-il ?Ce "là" dont il est question en début et fin d'énigme et à partir <strong>du</strong>quel Apollon décoche sa flèche se situe-t-illà où se termine l'énigme précé<strong>de</strong>nte c'est-à-dire où se trouve <strong>la</strong> Spirale à quatre centres ?Que signifie "compter 1969,697 me<strong>sur</strong>es vers le zénith" ?Il est important que ce soit Apollon qui compte 1969,697 me<strong>sur</strong>e vers le zénith avant <strong>de</strong> décocher sa flèchecar ce<strong>la</strong> garantit <strong>la</strong> précision avec <strong>la</strong>quelle sa flèche sera déposée. Il ne tire pas <strong>de</strong> cette hauteur et l'on nepeut par d'altitu<strong>de</strong> à propos <strong>de</strong> celle-ci.Que signifie donc dans ce cas "compter 1969,697 me<strong>sur</strong>es vers le zénith" où ce qui est important est le fait<strong>de</strong> les compter et non <strong>la</strong> chose par rapport à <strong>la</strong>quelle on les compte ?Où le trait d'Apollon s'abat-il ?Puisqu'il s'agit <strong>de</strong> trouver le point <strong>de</strong> chute <strong>de</strong> <strong>la</strong> flèche qui vise quelque chose <strong>de</strong> concret, <strong>de</strong> matériel (pasle cœur), situé en hauteur, en ignorant les éventuelles montagnes situées <strong>sur</strong> son trajet rectiligne, tout enrespectant les lois <strong>de</strong> <strong>la</strong> balistique, où ce point <strong>de</strong> chute se situe-t-il ?Quelle est cette flèche que l'on retrouve en fin d'énigme ?A l'endroit où se sera abattu le trait d'Apollon et où il faudra "se hâter <strong>de</strong> <strong>la</strong> trouver", on ne découvrira qu'uneflèche. La flèche est une image. Pourquoi est-il nécessaire <strong>de</strong> préciser que sa longueur est inférieure autrajet qu'elle aura effectué ? Qu'est cette flèche qui restera parfaitement horizontale si l'endroit visé est enface <strong>de</strong> soit et qui ne sera plus parfaitement horizontale si cet endroit est en hauteur ?

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