12.07.2015 Views

Date du bulletin : 4 janvier 2013 Numéro 1 - Le Souvenir Napoléonien

Date du bulletin : 4 janvier 2013 Numéro 1 - Le Souvenir Napoléonien

Date du bulletin : 4 janvier 2013 Numéro 1 - Le Souvenir Napoléonien

SHOW MORE
SHOW LESS
  • No tags were found...

You also want an ePaper? Increase the reach of your titles

YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.

éditions Grancher. Combattant de la guerre1914-1918, il reçoit la Croix de guerre et laLégion d’honneur. Devant la disparition de larevue « La Giberne » de Louis Fallou, il fonde,avec un groupe de passionnés à Strasbourg larevue <strong>Le</strong> Passepoil en 1920 qui <strong>du</strong>rerajusqu’en 1950. Nommé chef d’escadrons degendarmerie en 1928, il obtient sa retraite en1935 en étant officier de la Légion d’honneur.En 1935, à peine en retraite, il publie unouvrage intitulé « <strong>Le</strong>s uniformes de l’Arméefrançaise » de l’époque. Il participe ensuite auxcinq volumes <strong>du</strong> « Grand livre d’Or de laGendarmerie ». Il réalise ensuite l’ouvrageintitulé « Fanfares et musiques des troupes àcheval ». Sa notoriété et ses connaissances enfont un conférencier recherché.Enfin, en 1953, il signe son « Bréviaire <strong>du</strong>Collectionneur » qui offre une synthèse de savie de collectionneur et de passionné, livrantde nombreux conseils aux débutants et traçantun portrait de ses contemporains. <strong>Le</strong>spassionnés des uniformes le connaissent sousle nom de « Commandant Bucquoy ». Unarticle lui est consacré dans le Carnet de laSabretache 1958 p. 535. Décédé le 7 juin 1958à Nancy (54). Il est inhumé au cimetière dePréville à Nancy, numéro 391, 1re série.André CASTELOTNé le 23 <strong>janvier</strong> 1911 à Anvers(Belgique). De son vrai nom AndréStorms, qui est celui de son père ;Castelot étant celui de sa mère.Journaliste de formation etspécialiste des évocations <strong>du</strong> passé, à la radio,à la télévision et dans les spectacles. Il resteattaché à l’émission radiographique « LaTribune de l’histoire » avec son compliceAlain Decaux. De 1956 à 1966, il présente à latélévision l’émission « La Caméra explore letemps ». Il est l’auteur de nombreusesbiographies de vulgarisation et de romanshistoriques dont Marie-Antoinette et Joséphinequi connaîtront un large succès. Officier de laLégion d’honneur et commandeur de l’Ordrenational <strong>du</strong> Mérite. Il est inhumé à Port-Mort(27) avec son frère Jacques qui était acteur decinéma. Décédé le 18 juillet 2004 à Neuillysur-Seine. Voir S.N. n° 454/ 47.Robert CHÉNIERNé le 11 mai 1931 à Paris (14e). Ils’engage à dix-sept ans dansl’armée de l’Air puis fait carrièrechez IBM en qualité d’ingénieur.Président de l’Association pour laConservation des Monuments <strong>Napoléonien</strong>s àcompter <strong>du</strong> 9 octobre 1993 ; vice-président desAmis de Ligny et de l’Association européennede Waterloo. Colonel honoraire de l’Armée del’Air. Chevalier de la Légion d’honneur etofficier de l’Ordre national <strong>du</strong> Mérite. Il estl’auteur d’un ouvrage intitulé <strong>Le</strong>s officiersd’ordonnance de l’Empereur. Décédé le 25<strong>janvier</strong> 2010 aux Essarts le Roi (78). Il estinhumé aux Essarts le Roi.Christian COLMONTNé le 3 mars 1954 à Paris (19e).Maître-tailleur militaire, il exerced’abord ses fonctions à Ver<strong>du</strong>n-sur-Meuse, puis au 1er régimentd’infanterie à Sarrebourg et enfin àMetz. Passionné par son métier et par lesuniformes <strong>du</strong> Premier Empire, il se lance dansla reconstitution historique dès 1984 avec les «Grenadiers <strong>du</strong> 27e de Dijon ». Quelque tempsaprès il va créer, avec Vincent Bourgeot, le 1errégiment des chasseurs à pied de la Gardeimpériale (Voir Revue de détail dans Traditionnuméro 33 où il est représenté page 23). Il feraégalement partie <strong>du</strong> groupe des Chasseurs àcheval de la Garde, des Lanciers rouges et <strong>du</strong>4e régiment de hussards avec son ami JoëlDupas. Sa grande compétence professionnelleet sa passion font rapidement de lui uneréférence en matière de reconstitutiond’uniformes ; on dit de ses uniformes «Fabrication Colmont ». Compétent, généreux,jovial, mais également fragile et très sensible,il décide de mettre fin à ses jours, laissant unvide énorme parmi ses amis. Décédé dans lanuit <strong>du</strong>14 au 15 septembre 2005 à <strong>Le</strong>ssy (57). Il estinhumé au cimetière de <strong>Le</strong>ssy (57), où unepierre noire burinée à son image évoque sonsouvenir.4

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!