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Violence de couple - Réseau PREVIOS

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<strong>PREVIOS</strong> .Réseau prévention violenceet orientation santéActualisé au 30 juillet 2012TRAVAUX SUR LE THEMEDE LA« VIOLENCE DE COUPLE »Remerciement aux auteurs ayant permis l’accès à leur travail.Pour faire connaître votre travail, contact : preventionviolence@yahoo.frSource bibliographique : site Sudoc : http://corail.sudoc.abes.fr/ onglet "recherche avancée" et choisir le type <strong>de</strong> publication.Recensement et rédaction : Dr THOMAS Agnès, mé<strong>de</strong>cin <strong>de</strong> santé publique, mé<strong>de</strong>cin légisteAttention sur l’usage <strong>de</strong>s documentsL’ensemble <strong>de</strong>s travaux est soumis à la propriété intellectuelle <strong>de</strong> l'auteur.Ceci implique une obligation <strong>de</strong> citation et <strong>de</strong> référencement lors <strong>de</strong> l’utilisation <strong>de</strong> ces documents.D'autre part, toute contrefaçon, plagiat, reproduction illicite encourt une poursuite pénale.Sources : Co<strong>de</strong> <strong>de</strong> la Propriété Intellectuelle (articles L 122. 4, L.335.2 & L 335.10)© Réseau <strong>PREVIOS</strong> – Mémoires et thèses sur la thématique « violences <strong>de</strong> <strong>couple</strong> », actualisation juillet. 20121


Méd. Gén.(Tours)Méd. Gén.(Paris 6)Méd. Gén.(Paris 7)<strong>Violence</strong>s conjugales : enquête enmé<strong>de</strong>cine générale : proposition d'un test<strong>de</strong> dépistage (sous la direction <strong>de</strong> Jean-Jacques Girard)HASSAN-ABDALLAH SaharModalités <strong>de</strong> repérage <strong>de</strong>s patientesvictimes <strong>de</strong> violences conjugales par lesmé<strong>de</strong>cins généralistes (sous la direction<strong>de</strong> Gilles Lazimi)WOIMANT MaguyDépistage <strong>de</strong>s violences conjugales :points <strong>de</strong> vue et pratiques <strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cinsgénéralistes européens (sous la direction<strong>de</strong> Isabelle AUBIN-AUGER)BUGDAY Deniz(pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2011(résumé thèse)Titre : Modalités <strong>de</strong> repérage <strong>de</strong>s patientes victimes <strong>de</strong> violences conjugales parles Mé<strong>de</strong>cins Généralistes.Objectifs : Étudier dans un premier temps les modalités <strong>de</strong> suivi <strong>de</strong> repérage <strong>de</strong>sfemmes victimes <strong>de</strong> violences par les mé<strong>de</strong>cins généralistes, et relever lestableaux cliniques <strong>de</strong> ces femmes qu’ils ont reçues en consultation. Dans unsecond temps il est <strong>de</strong> lister auprès <strong>de</strong>s femmes accueillies dans une associationspécialisée les motifs <strong>de</strong> consultations et les modalités <strong>de</strong> repérage <strong>de</strong> leurmé<strong>de</strong>cin traitant.Méthodologie : La première étu<strong>de</strong> est une étu<strong>de</strong> qualitative adressée auxmé<strong>de</strong>cins généralistes parisiens réalisés au moyen <strong>de</strong> 20 entretiens semi-dirigés.La secon<strong>de</strong> étu<strong>de</strong> est une étu<strong>de</strong> <strong>de</strong>scriptive adressée à 20 femmes victimes <strong>de</strong>violences. Le lieu <strong>de</strong> recrutement a été l’association « SOS femmes » dans ledépartement <strong>de</strong> Seine Saint Denis (93) à Bondy pendant le mois d’octobre 2010.Résultats : Bien que <strong>de</strong>ux tiers <strong>de</strong>s mé<strong>de</strong>cins interrogés n’aient pas rencontrés<strong>de</strong> femmes victimes <strong>de</strong> violences dans l’année qui a précédée l’enquête, ils ontune bonne connaissance <strong>de</strong>s situations cliniques rencontrées auprès <strong>de</strong>s femmesvictimes <strong>de</strong> violences. Les tableaux cliniques les plus souvent rencontrés sont<strong>de</strong>s syndromes dépressifs, <strong>de</strong>s troubles anxieux et <strong>de</strong>s troubles du sommeil. Ladifficulté se situe dans le lien entre la clinique et la violence, le repérage <strong>de</strong>sviolences se fait alors plus tardivement. On note une différence <strong>de</strong> repéragechez les mé<strong>de</strong>cins qui ont reçu une formation sur les violences et les autresmé<strong>de</strong>cins. Les femmes victimes sont quand à elles favorables au repéragesystématique et reconnaissant au praticien un rôle <strong>de</strong> soutien et d’ai<strong>de</strong>.Objectif : Le but <strong>de</strong> cette étu<strong>de</strong> était <strong>de</strong> préciser par une approche qualitative lespoints <strong>de</strong> vue et les pratiques <strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cins généralistes européens concernant ledépistage <strong>de</strong>s violences conjugales. Métho<strong>de</strong> : Dix sept mé<strong>de</strong>cins généralistesont été interrogés. Deux entretiens avec 2 mé<strong>de</strong>cins généralistes français ontpermis l’amélioration du gui<strong>de</strong> d’entretien au préalable. 14 mé<strong>de</strong>cinsgénéralistes provenant <strong>de</strong> Gran<strong>de</strong> Bretagne, <strong>de</strong>s Pays-Bas, d’Espagne, et <strong>de</strong> laTurquie ont été sollicités lors <strong>de</strong> la WONCA Europe 2007, à Paris. Un <strong>de</strong>rnierentretien avec un mé<strong>de</strong>cin croate a été ajouté lors du congrès. Ces entretiens ontété enregistrés, retranscrits puis analysés. Résultats : La durée moyenne <strong>de</strong>sentretiens a été <strong>de</strong> 30 minutes. Les mé<strong>de</strong>cins interrogés (9 femmes et 820112011© Réseau <strong>PREVIOS</strong> – Mémoires et thèses sur la thématique « violences <strong>de</strong> <strong>couple</strong> », actualisation juillet. 20123


Méd. Gén(Paris 6).Vulnérabilité <strong>de</strong>s femmes migrantes ensituation <strong>de</strong> précarité face aux violencesen FranceESTRADA Janina(Document disponible via <strong>PREVIOS</strong>)hommes), avaient <strong>de</strong> un an à 32 ans <strong>de</strong> pratique. L’ensemble <strong>de</strong>s mé<strong>de</strong>cinsconnaissait les violences conjugales surtout à travers les violences physiques etpsychologiques. 8 mé<strong>de</strong>cins connaissaient la prévalence <strong>de</strong>s violencesconjugales dans leur pays. 15 mé<strong>de</strong>cins effectuaient le repérage uniquement enprésence <strong>de</strong> facteurs <strong>de</strong> risque, et <strong>de</strong>ux ne l’effectuaient pas du tout. 12mé<strong>de</strong>cins n’ont pas été en faveur du dépistage systématique, et 5 mé<strong>de</strong>cins ontnuancé leur réponse. Seulement <strong>de</strong>ux mé<strong>de</strong>cins connaissaient les outils <strong>de</strong>dépistage. 2 mé<strong>de</strong>cins avaient bénéficié d’un enseignement sur les violencesconjugales lors <strong>de</strong> leurs étu<strong>de</strong>s, 6 lors <strong>de</strong> formations médicales continues et 5 enauto formation. L’ensemble <strong>de</strong>s 17 mé<strong>de</strong>cins a été favorable à cet enseignementlors <strong>de</strong>s étu<strong>de</strong>s médicales. Conclusion : Si le dépistage systématique n’est pasadmis à l’unanimité et encore moins mis en pratique, le questionnement actif,laissant le mé<strong>de</strong>cin plus libre dans son repérage est plus largementinconsciemment effectué. Une meilleure connaissance <strong>de</strong>s indicateurs <strong>de</strong>risques est néanmoins nécessaire, et ceci par l’amélioration et la généralisation<strong>de</strong> la formation <strong>de</strong>s mé<strong>de</strong>cins sur les violences conjugales.(résumé <strong>de</strong> la thèse)Titre : Vulnérabilité <strong>de</strong>s femmes migrantes en situation <strong>de</strong> précarité en Franceface aux violencesObjectifs : Estimer l’importance <strong>de</strong>s violences subies par les femmes migrantesen France en situation <strong>de</strong> précarité et vérifier si elles y sont plus vulnérables.Déterminer l'impact ressenti <strong>de</strong>s violences sur leur santé et analyser le rôle dansle repérage du mé<strong>de</strong>cin généraliste. Métho<strong>de</strong>: Etu<strong>de</strong> auprès <strong>de</strong> femmesmigrantes sans couverture sociale consultant un mé<strong>de</strong>cin <strong>de</strong> premier recours auxcentres <strong>de</strong> Mé<strong>de</strong>cin du Mon<strong>de</strong> à Paris et Saint-Denis. 128 femmes ont étéinterrogées sur les violences subies et 33 ont répondu à un questionnairecomplémentaire abordant les conséquences médicales ressenties et le dialogueavec les mé<strong>de</strong>cins consultés. Résultats: 84% <strong>de</strong>s femmes ont été victimes aumoins une fois durant leur vie <strong>de</strong> violences, 57% <strong>de</strong> type physique et 34% <strong>de</strong>type sexuel. Parmi celles ayant répondu au questionnaire complémentaire, 55%<strong>de</strong>s femmes victimes <strong>de</strong> violences ont rapporté <strong>de</strong>s conséquences sur leur santé:douleurs chroniques et symptômes anxio-dépressifs principalement. 73%d’entre elles avaient consulté un mé<strong>de</strong>cin pour ces symptômes, et seules 45%d’entre elles ont révélé alors les violences subies. Aucune n’aurait été choquéesi le mé<strong>de</strong>cin lui avait posé la question <strong>de</strong>s violences. Conclusion : Les femmesmigrantes en situation <strong>de</strong> précarité sont fortement exposées aux violences. Cesviolences ont un retentissement sur leur santé. Les patientes font un lien entreles violences subies et les symptômes ressentis. Ces violences ne sont pasrepérées par leur mé<strong>de</strong>cin. Ces femmes sont prêtes à répondre aux questions surles violences si elles leur sont posées.2011© Réseau <strong>PREVIOS</strong> – Mémoires et thèses sur la thématique « violences <strong>de</strong> <strong>couple</strong> », actualisation juillet. 20124


Psychiatrie(Poitiers)Méd. Légale(Paris)Méd. Gén.(AixMarseille)Homici<strong>de</strong> conjugal : Profil <strong>de</strong> l'auteur etfacteurs prédictifs <strong>de</strong> passage à l'acte. Apartir <strong>de</strong> 42 dossiers jugés par lesjuridictions <strong>de</strong> la Cour d'Appel <strong>de</strong>Poitiers (sous la direction <strong>de</strong> Jean-LouisSENON et Mélanie VOYER)DELBREIL AlexiaPublications découlant <strong>de</strong> la thèse :- Homici<strong>de</strong> conjugal: revue <strong>de</strong> lalittérature internationale, In<strong>Violence</strong> et Famille sous ladirection <strong>de</strong> R. COUTANCEAU,Ed Dunod, 2011, pp 156-166.- <strong>Violence</strong> et homici<strong>de</strong> au sein du<strong>couple</strong>, In Psychocriminologiesous la direction <strong>de</strong> JL. SENON,Ed Dunod, 2012, pp 283-293.Aspects médico-légaux <strong>de</strong>s violencespsychologiques dans le cadre conjugalMORVANT Cécile (capacité <strong>de</strong>mé<strong>de</strong>cine légale)(Document disponible via <strong>PREVIOS</strong>)Dépistage et prise en charge <strong>de</strong>sviolences conjugales par le mé<strong>de</strong>cingénéraliste : création d'une maquetteIntroduction : l’homici<strong>de</strong> conjugal est commis sur un partenaire ou ex partenaire<strong>de</strong> vie intime quel que soit le statut (mariage, concubinage, PACS ou unionlibre). Il représente environ 20% <strong>de</strong>s homici<strong>de</strong>s en France. D’originemultifactorielle, son repérage est plus complexe. Ce type <strong>de</strong> passage à l’acte estactuellement peu pris en compte par les programmes <strong>de</strong> prévention carconsidéré comme exceptionnel au regard <strong>de</strong> la violence conjugale.Objectifs : mettre en évi<strong>de</strong>nce <strong>de</strong>s facteurs prédictifs <strong>de</strong> passage à l’actehomici<strong>de</strong> au sein du <strong>couple</strong> par l’étu<strong>de</strong> du profil <strong>de</strong>s auteurs, <strong>de</strong> la dynamiqueconjugales et <strong>de</strong>s faits, afin d’améliorer la prévention.Métho<strong>de</strong> : nous avons réalisé une étu<strong>de</strong> <strong>de</strong>scriptive rétrospective sur 42 dossiersd’homici<strong>de</strong> conjugal jugés entre 1999 et 2010 dans les juridictions <strong>de</strong> la Courd’Appel <strong>de</strong> Poitiers. A la lecture <strong>de</strong> chaque dossier, un nombre important <strong>de</strong>caractéristiques concernant les auteurs, les victimes et le <strong>couple</strong> ont étérecherchés. Elles ont ensuite été recoupées pour établir <strong>de</strong>s profils et déterminer<strong>de</strong>s situations à risque.Résultats : Les homici<strong>de</strong>s conjugaux sont commis par <strong>de</strong>s hommes (88%), d’âgemoyen, chômeurs ou ouvriers et ayant peu <strong>de</strong> relations sociales. Nombre d’entreeux présentent <strong>de</strong>s traits <strong>de</strong> personnalité pathologiques (64,2%). Le gestecriminel est en général non prémédité, se produisant la nuit, au domicileconjugal ou <strong>de</strong> la victime, <strong>de</strong> manière impulsive. Il est motivé par la possessionet la jalousie (71,4%), lié en particulier chez l’homme avec la notion <strong>de</strong>séparation (p=0.00002) ; chez la femme les mobiles sont divers. La violenceconjugale (71,4%) plus ou moins associée à l’alcoolisme (45,2%), est uncontexte fréquemment rencontré dans ce type d’homici<strong>de</strong> (p=0.03). Laséparation (66,7%) est une pério<strong>de</strong> à haut risque, notamment dans les mois quila précè<strong>de</strong>nt et les trois à six mois qui la suivent.Conclusion : notre étu<strong>de</strong> a montré que l’homici<strong>de</strong> conjugal était principalementcommis par <strong>de</strong>s hommes <strong>de</strong>vant la difficulté à accepter la séparation et la perte<strong>de</strong> la compagne. Ce crime était souvent associé à la violence conjugale et à laconsommation chronique d’alcool. La mise en évi<strong>de</strong>nce <strong>de</strong> ces facteurs permet<strong>de</strong> proposer <strong>de</strong>s actes <strong>de</strong> prévention ciblée.(résumé <strong>PREVIOS</strong>)Après la <strong>de</strong>scription <strong>de</strong> la problématique et <strong>de</strong> ses conséquences sur la santé etla législation en cours, l’auteur abor<strong>de</strong> la difficulté <strong>de</strong> l’évaluation <strong>de</strong>s violencespsychologiques.20112010(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2010© Réseau <strong>PREVIOS</strong> – Mémoires et thèses sur la thématique « violences <strong>de</strong> <strong>couple</strong> », actualisation juillet. 20125


Méd. Gén.(Besançon)Méd. Gén.(Strasbourg)Méd. Gén.(Lyon 1)Méd. Gén.(Rennes 1)Méd. Gén.(Montpellier)d'informationDUVNJAK SandraRepérage <strong>de</strong>s violences conjugales enmé<strong>de</strong>cine générale : évaluation <strong>de</strong> <strong>de</strong>uxtypes d'interventions.BOLOT Anne-LiseLes femmes victimes <strong>de</strong> violencesconjugales face à leur mé<strong>de</strong>cin traitant :ententes et attentes. Etu<strong>de</strong> qualitative parentretiens semi-dirigés <strong>de</strong> douze femmes.BOUNOURE AlicePrévalence <strong>de</strong> la violence conjugale ensoins primaires : une enquête auprès <strong>de</strong>300 femmes en mé<strong>de</strong>cine générale dansla région Rhône-Alpes et <strong>de</strong> 103 femmesau Centre <strong>de</strong> Planification ou d'EducationFamiliale <strong>de</strong> Bourg-en-Bresse.DECHENAUD MarianneEtat <strong>de</strong>s lieux <strong>de</strong>s connaissances <strong>de</strong>mé<strong>de</strong>cins généralistes rennais sur la priseen charge <strong>de</strong> femmes victimes <strong>de</strong>violences conjugalesLE BAIL Anne-SophieDépistage et prise en charge <strong>de</strong>s femmesvictimes <strong>de</strong> violences conjugales :<strong>de</strong>scription <strong>de</strong>s pratiques professionnelles<strong>de</strong> 159 mé<strong>de</strong>cins généralistes <strong>de</strong> l'Au<strong>de</strong> et<strong>de</strong> l'Hérault : élaboration d'un gui<strong>de</strong> àl'usage <strong>de</strong>s professionnels <strong>de</strong> santé duLanguedoc-RoussillonLANDES Elise(Document disponible via <strong>PREVIOS</strong>)(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2010(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2010(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2010Introduction : L’objectif <strong>de</strong> mon étu<strong>de</strong> est <strong>de</strong> décrire les pratiques <strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cinsgénéralistes en matière <strong>de</strong> dépistage et <strong>de</strong> prise en charge <strong>de</strong>s femmes victimes<strong>de</strong> violences conjugales, et <strong>de</strong> réaliser un gui<strong>de</strong> afin <strong>de</strong> sensibiliser et d’ai<strong>de</strong>r lesprofessionnels du Languedoc-Roussillon.Métho<strong>de</strong> : Un questionnaire a été envoyé par email à 514 mé<strong>de</strong>cins généralistes.Le gui<strong>de</strong> a été réalisé à partir <strong>de</strong> la littérature.Résultats : Taux <strong>de</strong> participation : 31%. 71% <strong>de</strong>s mé<strong>de</strong>cins ont déclaré avoirreçu en consultation au cours <strong>de</strong> 12 <strong>de</strong>rniers mois <strong>de</strong>s femmes victimes <strong>de</strong>violences conjugales. 83% ont déclaré pratiquer un dépistage, principalement<strong>de</strong>s patientes qu’ils suspectent être violentée. Ils sont 95% a déclaré ne passuspecter une situation <strong>de</strong> violence <strong>de</strong>vant une mauvaise observance dutraitement par la patiente, 88% <strong>de</strong>vant <strong>de</strong>s troubles cognitifs, 75,5% <strong>de</strong>vant une20102009© Réseau <strong>PREVIOS</strong> – Mémoires et thèses sur la thématique « violences <strong>de</strong> <strong>couple</strong> », actualisation juillet. 20126


Méd. Gén.(Strasbourg)Méd. Gén.(Grenoble 1)Méd. Gén.(Brest)Le mé<strong>de</strong>cin généraliste face au dépistageet à la prise en charge <strong>de</strong>s femmesvictimes <strong>de</strong> violence conjugales : enquêteréalisée auprès <strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cins généralistesen AlsaceLAUGA PERROT AmélieParcours <strong>de</strong> soins <strong>de</strong>s victimes <strong>de</strong>violences : à propos <strong>de</strong>s dossiers <strong>de</strong> soins<strong>de</strong> la caisse primaire d’assurance maladie<strong>de</strong> la Loire <strong>de</strong> 117 victimes reçues auservice <strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cine légale <strong>de</strong> Saint-Étienne <strong>de</strong> janvier à novembre 2007.HERRY Caroline ÉliseEvaluation <strong>de</strong> la Conflict Tactics Scaleset <strong>de</strong> la Hopkins Symptom Checklist :mécanismes et somatisation <strong>de</strong>s violencesconjugales : analyse qualitative parentretien semi-dirigé auprès <strong>de</strong> femmesissues d'un centre d'hébergement à Brest.MORIZUR Célinepatiente pressée, 56,6% <strong>de</strong>vant une patiente qui consulte fréquemment, 53,5%<strong>de</strong>vant <strong>de</strong>s troubles gynécologiques, 45% <strong>de</strong>vant <strong>de</strong>s troublespsychosomatiques, 45% <strong>de</strong>vant <strong>de</strong>s abus <strong>de</strong> substances. 52,2% ne savaient passi la patiente subissait <strong>de</strong>s violences sexuelles, et 38,1% si elle subissait <strong>de</strong>sviolences économiques. 72,6% ont déclaré ne pas avoir donné <strong>de</strong> conseilspratiques à leur patiente, 65,5% les numéros <strong>de</strong> téléphone utiles, 54% <strong>de</strong>sinformations sur la loi et 39,8% <strong>de</strong>s informations sur les ai<strong>de</strong>s existantes. 61,9%ont orienté leur patiente vers la police, 34,5% vers les associations spécialisées,34,5% vers <strong>de</strong>s structures médicales, 31% vers <strong>de</strong>s travailleurs sociaux et 27,4%vers <strong>de</strong>s psychologues.Discussion : Les mé<strong>de</strong>cins, confrontés à la violence conjugale, dépistent lespatientes suspectées d’être violentées. Néanmoins le repérage est déficient et ledépistage systématique inexistant. Ils évaluent mal certaines violences,n’informent pas assez leurs patientes, les orientent peu vers les associationsspécialisées. Cependant, ils abor<strong>de</strong>nt plus le sujet, et orientent mieux leurspatientes qu’il y a 10 ans.(Pas <strong>de</strong> résumé disponible)General practitioners face with screening and caring for domestic violenceagainst women. Investigation conducted among general practitioners in Alsace,France.2009(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2009(résumé <strong>de</strong> la thèse)Après un rappel épidémiologique <strong>de</strong>s violences conjugales dans le mon<strong>de</strong> et enFrance, nous présentons l'évolution <strong>de</strong> la législation dans ce domaine ainsi quel'essor <strong>de</strong>s différentes structures d'ai<strong>de</strong>s aux victimes en soins primaires. Puisaprès avoir montré l'importance du rôle du mé<strong>de</strong>cin généraliste dans laprévention <strong>de</strong> ces violences, nous avons évalué <strong>de</strong>s outils <strong>de</strong> dépistage <strong>de</strong>smécanismes <strong>de</strong> ces violences et leurs conséquences sur la santé <strong>de</strong> femmesvictimes. Métho<strong>de</strong> : nous avons alors mené une enquête qualitative par <strong>de</strong>sentretiens semi-dirigés auprès <strong>de</strong> femmes issues d'un centre d'hébergement2009© Réseau <strong>PREVIOS</strong> – Mémoires et thèses sur la thématique « violences <strong>de</strong> <strong>couple</strong> », actualisation juillet. 20127


Mé<strong>de</strong>cine dutravail(Lille)Méd. Santépublique(Toulouse)<strong>Violence</strong>s exercées par un partenaireintime : étu<strong>de</strong> <strong>de</strong>scriptive <strong>de</strong> victimesmenée au sein <strong>de</strong> l'unité <strong>de</strong> consultationsmédico-judiciaires du CHRU <strong>de</strong> LilleCARTEGNIE Sandrine(Document disponible via <strong>PREVIOS</strong>)Conséquences <strong>de</strong>s violences chroniquessur l’état <strong>de</strong> santé <strong>de</strong>s femmes victimes<strong>de</strong> violences conjugales dans uneconsultation <strong>de</strong> coups et blessuresvolontairesd'urgence. Résultats : les items <strong>de</strong>s échelles utilisées sont retrouvés dans nosentretiens et ces outils nous ont permis <strong>de</strong> révéler <strong>de</strong>s phénomènes nouveauxintervenants dans ces violences tels que la violence économique ou lamaltraitance par négligence, entre autres. Conclusion : notre travail a montrél'importance du dépistage <strong>de</strong>s violences conjugales en soins primaires enutilisant <strong>de</strong>s outils intéressants. <strong>de</strong>s mesures supplémentaires pour ai<strong>de</strong>r lesmé<strong>de</strong>cins à améliorer la prévention sont à encourager. A l'avenir, unecollaboration entre les différents acteurs <strong>de</strong> santé semble nécessaire dans laprise en charge <strong>de</strong> ces victimes.(résumé <strong>de</strong> la thèse)Etu<strong>de</strong> : participer à l’évaluation <strong>de</strong>s violences exercées par un partenaire intimeet contribuer à améliorer la prise en charge <strong>de</strong>s sujets qui en sont victimes.Métho<strong>de</strong> : Etu<strong>de</strong> prospective <strong>de</strong>scriptive <strong>de</strong> victimes majeures consultant dansl’UMJ du CHRU <strong>de</strong> Lille. Les données socio-démographiques, le contexte <strong>de</strong>sviolences subies, le parcours médical et judiciaire <strong>de</strong>s victimes, les constatationsmédico-légales sont recueillis à l’ai<strong>de</strong> d’un questionnaire. Un contacttéléphonique est réalisé six mois après la consultation auprès <strong>de</strong>s sujetsacceptant le rappel.Résultats : Les victimes sont <strong>de</strong> sexe féminin dans 95,8% <strong>de</strong>s cas. Elles sont leplus souvent en <strong>couple</strong> et mères. Cinquante pourcents d’entre elles exercent unemploi. L4agression s’inscrirait dans un contexte répétitif <strong>de</strong> violences du faitdu conjoint. Dans 70% <strong>de</strong>s cas, les victimes ont recours à un mé<strong>de</strong>cin suite auxviolences. Les lésions traumatiques physiques constatées lors <strong>de</strong> l’examenclinique sont <strong>de</strong> faible gravité. Un retentissement psychologique est noté danstrois quart <strong>de</strong>s cas. Les enfants seraient témoins et victimes <strong>de</strong>s violencesphysiques dans respectivement 70,7% et 25% <strong>de</strong>s cas. La plupart <strong>de</strong>s victimesaffirment être dans une démarche <strong>de</strong> procédure juridique pénale et civile. Parmiles sujets contactés (66/135), les femmes auraient majoritairement porté plainteet seraient séparées <strong>de</strong> leur conjoint. Elles allèguent une réitération <strong>de</strong>sviolences une fois sur <strong>de</strong>ux.Conclusion : Une prise en charge optimale <strong>de</strong>s victimes <strong>de</strong> violences conjugaless’inscrit dans une démarche multidisciplinaire associant <strong>de</strong>s partenaires auxdomaines <strong>de</strong> compétences propres (santé, juridique, associatif,police/gendarmerie). Le mé<strong>de</strong>cin légiste en est un acteur primordial.(sbstract)Objectifs : décrire l’état <strong>de</strong> santé <strong>de</strong>s femmes victimes <strong>de</strong> violences conjugaleset comparer les victimes chroniques aux victimes non chroniques.Métho<strong>de</strong> : utilisation d’un questionnaire administré aux femmes consultant pourla constatation <strong>de</strong> violences conjugales au cours d’un entretien dirigé.Résultats : l’altération <strong>de</strong> l’état <strong>de</strong> santé <strong>de</strong>s femmes victimes <strong>de</strong> violences20082008© Réseau <strong>PREVIOS</strong> – Mémoires et thèses sur la thématique « violences <strong>de</strong> <strong>couple</strong> », actualisation juillet. 20128


Méd. Gén.(Caen)Méd. dutravail(Paris, LeKremlinBicêtre)Psychiatrie(Tours)FAURIE Cécile(Document disponible via <strong>PREVIOS</strong>)Prise en charge par le mé<strong>de</strong>cingénéraliste <strong>de</strong> la femme victime <strong>de</strong>violences conjugales, à partir d'entretiensréalisés auprès <strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cins généralistes<strong>de</strong> Basse-NormandieBELIN Isabelle & CANUET Hélène(Document disponible via<strong>PREVIOS</strong> : Prise en charge <strong>de</strong> la femmevictime <strong>de</strong> violences conjugales par lesmé<strong>de</strong>cins généralistes : une étu<strong>de</strong>qualitative Hélène Canuet H, Belin I,Henry G. Revue Exercer 2010;92:75-81)Les violences conjugales : Facteurs <strong>de</strong>protection et <strong>de</strong> vulnérabilité, étu<strong>de</strong> àpartir d'un échantillon <strong>de</strong> femmesconsultant dans un service <strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cinelégaleCOFFY CLOUPET Maud(Document disponible via <strong>PREVIOS</strong>)Profil clinique <strong>de</strong>s femmes victimes <strong>de</strong>violences conjugales psychologiquesLAMY Céline (Lire)(synthèse <strong>de</strong> la thèse dans l’article : profilclinique et psychopathologique <strong>de</strong>sfemmes victimes <strong>de</strong> violences conjugalespsychologiques LAMY C. et al. Revued’Epidémiologie et <strong>de</strong> Santé Publique 57(2009) 267–274)conjugales est le reflet <strong>de</strong> la situation délétère qui est à l’origine <strong>de</strong> l’émergence<strong>de</strong> la violence dans le <strong>couple</strong>. A la lumière <strong>de</strong> ces résultats, il sembleindispensable <strong>de</strong> développer <strong>de</strong>s actions <strong>de</strong> prévention primaire <strong>de</strong>s violencesconjugales.(résumé SUDOC)Prise en charge par le mé<strong>de</strong>cin généraliste <strong>de</strong> la femme victime <strong>de</strong> violencesconjugales, à partir d'entretiens réalisés auprès <strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cins généralistes <strong>de</strong>Basse-Normandie(résumé <strong>PREVIOS</strong>)Etu<strong>de</strong> prospective sur 6 mois réalisée à la consultation <strong>de</strong> constat <strong>de</strong> coups etblessures aux Urgences Médico-Judiciaires <strong>de</strong> l’Hôtel Dieu.(résumé <strong>de</strong> la thèse)L’analyse <strong>de</strong> la démarche <strong>de</strong> santé publique mise en oeuvre dans la région MidiPyrénées concernant la lutte contre les violences conjugales sert <strong>de</strong> support à cetravail. Les questionnements relatifs au positionnement <strong>de</strong> la démarche <strong>de</strong> santépublique dans un système d’acteurs complexe viennent y éclairer les rapportsdifficiles que cette discipline entretient avec d’autres disciplines. L’intérêt queporte un professionnel <strong>de</strong> santé, au sens large, sur la violence est parfois perçucomme peu légitime, voire même dangereux, car il tendrait à « médicaliser » lesujet, et à transformer les comportements violents en pathologies quijustifieraient <strong>de</strong>s traitements biomédicaux. Ce alors que la violence est avanttout une maladie sociale. Inversement, les professionnels <strong>de</strong> santé, qui occupentune place déterminante notamment comme clé d’entrée dans le dispositif <strong>de</strong>prise en charge pour les victimes <strong>de</strong> violences conjugales, sont souvent mal à200820082007© Réseau <strong>PREVIOS</strong> – Mémoires et thèses sur la thématique « violences <strong>de</strong> <strong>couple</strong> », actualisation juillet. 20129


Gynécologie(Nantes)Gynécologue(Nantes)Le gynécologue obstétricien face auxviolences conjugales", CHAUVET-BARON Agnès (mémoire <strong>de</strong> DES)(Lire)Le mé<strong>de</strong>cin généraliste face auxviolences conjugales", Arnaud POYET-PULLET Arnaud(Lire)l’aise ou démunis face à ces problématiques. Il faut donc retenir que l’approche<strong>de</strong> santé publique est un « regard » sur ce fléau qui ne s’abstrait pas d’autresregards, social, <strong>de</strong> réflexion sociale, ou encore répressif. La santé publique nepeut vouloir résoudre les questions <strong>de</strong> violences seule, mais propose un élément<strong>de</strong> coordination, sans pour autant vouloir y apporter une dominance. Sa bonneinsertion dans le dispositif <strong>de</strong> lutte contre les violences conjugales estdéterminante pour son bon fonctionnement. L’exemple midi pyrénéen estanalysé en ce sens.(résumé <strong>PREVIOS</strong>)Après une <strong>de</strong>scription <strong>de</strong> la problématique, il est abordé la question dudépistage et <strong>de</strong> l’initiation d’une prise en charge <strong>de</strong> qualité par lesgynécologues-obstétriciens(résumé <strong>de</strong> la thèse)La violence conjugale ou violence domestique est un processus au cours duquelun partenaire utilise la force pour perpétuer <strong>de</strong>s relations <strong>de</strong> domination. Il s’agit<strong>de</strong> violences physiques, morales, psychologiques, sexuelles ou économiques quisont presque toujours le fait <strong>de</strong> l’homme et s’exercent dans le cadre d’unerelation privilégiée. Ce phénomène concerne une femme sur cinq et a <strong>de</strong>nombreuses conséquences médicales. Les mé<strong>de</strong>cins ont le rôle <strong>de</strong> repérer ettraiter les victimes, d’organiser leur suivi et leur orientation vers d’autresprofessionnels. Une enquête menée auprès <strong>de</strong> 1000 mé<strong>de</strong>cins généralistes d’Ile<strong>de</strong>-France(235 réponses) a permis d’évaluer leurs pratiques en matière <strong>de</strong>repérage et <strong>de</strong> prise en charge <strong>de</strong>s femmes violentées.- 60 % ont reçu en consultation <strong>de</strong>s patientes violentées, dans 85 % <strong>de</strong>s cas c’estla femme qui signale elle-même la violence.- Deman<strong>de</strong> <strong>de</strong> certificat médical, lésions traumatiques, troubles psychologiqueset prescriptions <strong>de</strong> médicaments à visée antalgique ou psychique sont lesprincipaux motifs <strong>de</strong> consultation amenant patientes et mé<strong>de</strong>cins à parler <strong>de</strong> laviolence.- Les mé<strong>de</strong>cins ont peu <strong>de</strong> contact avec d’autres professionnels intervenantsauprès <strong>de</strong>s patientes et orientent celles-ci principalement vers la police et lespsychologues.- Dans 3/4 <strong>de</strong>s cas un certificat médical a été rédigé.- Les mé<strong>de</strong>cins se disent souvent gênés par certains comportements <strong>de</strong>spatientes (dissimulation, ambivalence).- S’ils n’estiment pas méconnaître le phénomène <strong>de</strong> la violence conjugale, ils nese sentent pas suffisamment formés pour la prendre en charge. Suite à l’enquête,nous avons analysé les différents facteurs entrant en jeu dans le dépistage <strong>de</strong> laviolence conjugale puis abordé les principaux aspects <strong>de</strong> l’intervention médicale20072006© Réseau <strong>PREVIOS</strong> – Mémoires et thèses sur la thématique « violences <strong>de</strong> <strong>couple</strong> », actualisation juillet. 201210


Méd. Gén.(Tours)Med. Gén.(Angers)Méd. Gén.(Paris 7)Méd. Gén.(Paris 6)Méd. Gén.(Tours)Méd. Gén.(Paris 7)Peut-on établir un lien entre <strong>de</strong>sallégations <strong>de</strong> maltraitance chez l'enfantet un conflit conjugal entre les parentsSAILLARD ChristellePlace du mé<strong>de</strong>cin généraliste dans lesviolences conjugales : à partir d'uneenquête auprès <strong>de</strong> femmes victimesPIAU CHARRUAU DelphineDépistage <strong>de</strong> la violence conjugale chezles femmes séropositives CAZENAVEDE LA ROCHE AnneDépistage systématique <strong>de</strong> la violenceconjugale par onze mé<strong>de</strong>cins généralistesavec le questionnaire RICPPSCOY ChristelLes agressions sexuelles au sein du<strong>couple</strong> : Expérience du centre d'accueil<strong>de</strong>s victimes d'agression sexuelle <strong>de</strong>Tours : Etu<strong>de</strong> rétrospective <strong>de</strong> 1999 à2003SEC Isabelle(bientôt disponible)<strong>Violence</strong> conjugale et grossesse : Etu<strong>de</strong>aux UMJ <strong>de</strong> Bondy (93) auprès <strong>de</strong>sfemmes consultant pour violenceconjugale du 1er mai au 31 juillet 2005BARTHES Agnès(évaluation <strong>de</strong> la situation, orientation, certificat médical). Ce travail soulignel’intérêt <strong>de</strong> sensibiliser et former les mé<strong>de</strong>cins afin d’améliorer les réponsesapportées aux femmes victimes <strong>de</strong> violence conjugale.(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2006(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2006(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2006(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2005(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2005But <strong>de</strong> l’étu<strong>de</strong> : déterminer l’intensité <strong>de</strong> la violence conjugale (VG) pendant lagrossesse et déterminer s’il existe un lien entre grossesse et l’apparition <strong>de</strong> laVG. Métho<strong>de</strong> : il s’agit d’une étu<strong>de</strong> <strong>de</strong>scriptive transversale. Les femmes seprésentant aux urgences médico-judiciaires du 1 ier mai au 31 juillet 2005 pourVG, lors <strong>de</strong> la présence d’un <strong>de</strong>s mé<strong>de</strong>cins participants, étaient interrogées. Lescritères <strong>de</strong> gravité étaient ceux <strong>de</strong> l’enquête nationale sur « les violences enversles femmes en France (ENVEFF) ». Résultats : 38 femmes ont été interrogées,une a refusé <strong>de</strong> répondre au questionnaire, une femme n’a pas eu <strong>de</strong> grossesse et2 femmes n’ont pas répondu aux 22 <strong>de</strong>rnières questions portant sur lesdifférents types <strong>de</strong> VG pendant leur grossesse. Une femme sur 34 a subi duharcèlement psychologique (niveau grave), les 33 autres cumulent <strong>de</strong>s faits <strong>de</strong>2005© Réseau <strong>PREVIOS</strong> – Mémoires et thèses sur la thématique « violences <strong>de</strong> <strong>couple</strong> », actualisation juillet. 201211


Psychiatrie(Nancy)Méd. Gén.(Bor<strong>de</strong>aux 2)Méd. Gén.(Paris 7)Gynécologie(Paris 5)NP(Paris 6)NP(Brest)Réflexions autour <strong>de</strong> l’alliancethérapeutique aux urgences : à propos <strong>de</strong>Sarah, victime <strong>de</strong> violences conjugalesPARRIAUX Laurence(Mémoire <strong>de</strong> DESC)La mé<strong>de</strong>cine légale au centre dudispositif <strong>de</strong> prise en charge <strong>de</strong> laviolence : approche multidisciplinaire ducentre d'accueil en urgences <strong>de</strong>s victimesd'agression (CAUVA) au CHU <strong>de</strong>Bor<strong>de</strong>aux : l'approche du CAUVA àtravers le programme européen DAPHNEComment gérer la prise en charge d'unefemme victime <strong>de</strong> violences conjugalesen mé<strong>de</strong>cine générale ?PELTIER-MARTIN Sandrinele dépistage <strong>de</strong> la violence conjugale enmaternitéLACAZE-ESLOUS SophieUxorici<strong>de</strong> : un crime passionnel ?FOULON TEYSSIER Marie-LaureEnquête-patient : à propos <strong>de</strong> la placeaccordée aux mé<strong>de</strong>cins généralistes dansla prise en charge <strong>de</strong>s violencesconjugalesRIO-LEBOUCQ Annaïckviolence élevés (niveau très grave). 32% <strong>de</strong>s femmes déclarent que la violence adébuté lors d’une grossesse et 5% lors d’une naissance. 47% <strong>de</strong>s femmes ontsubi au moins une fois une violence sexuelle pendant leur grossesse.Conclusion : dans cette étu<strong>de</strong>, les femmes interrogées pour VG ont subi unniveau <strong>de</strong> violence grave ou très grave pendant leur grossesse. Cette VG adébuté pendant une grossesse ou à la naissance pour plus d’un tiers d’entreelles. Notre étu<strong>de</strong> révèle également la fréquence considérable <strong>de</strong>s violencessexuelles par le partenaire pendant la grossesse. L’étu<strong>de</strong> continue actuellementafin d’en confirmer les résultats auprès d’un plus grand nombre.(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2005(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2005(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2004(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2003(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2003(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2003© Réseau <strong>PREVIOS</strong> – Mémoires et thèses sur la thématique « violences <strong>de</strong> <strong>couple</strong> », actualisation juillet. 201212


Psychiatrie(Bor<strong>de</strong>aux 2)Med. Gén.(Paris 13)Med. Gén.(Paris 6)Méd. LégaleMéd. Gén.(Paris 6)<strong>Violence</strong>s conjugales et état <strong>de</strong> stresspost-traumatique : à propos <strong>de</strong> 50 patientsFERROUL Denis<strong>Violence</strong>s conjugales pendant lagrossesse : enquête effectuée à lamaternité <strong>de</strong> l’hôpital Jean Verdier àBondyKHOUADHRIA SihamExpérience <strong>de</strong> repérage systématique <strong>de</strong>la violence intra familiale chez la femmeenceinteGABREAU Marie-AnneEvaluation <strong>de</strong>s pratiques en matière <strong>de</strong>repérage et <strong>de</strong> prise en charge <strong>de</strong> femmessubissant <strong>de</strong>s violences conjugales.Mémoire DEA d’Ethique Médicale etBiologiqueFRANÇOIS Irène(voir)Le mé<strong>de</strong>cin face aux violencesconjugales : analyse à partir d'une étu<strong>de</strong>effectuée auprès <strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cins généralistesMORVANT Cécile(Document disponible via <strong>PREVIOS</strong>)(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2002La violence conjugale est un processus évolutif où un partenaire exerce un 2002comportement agressif face à un autre partenaire. La violence conjugale pendantla grossesse est un réel problème <strong>de</strong> santé publique puisqu’il peut toucher à lafois l’intégrité <strong>de</strong> la femme mais aussi celle <strong>de</strong> l’enfant à naître. Une enquêteeffectuée auprès <strong>de</strong>s femmes en suite <strong>de</strong> couche a permis <strong>de</strong> recueillir 478questionnaires dont 364 répondantes. Parmi ces répondantes, 15 femmes ontdéclaré subir <strong>de</strong>s violences physiques conjugales au cours <strong>de</strong> leur précé<strong>de</strong>ntegrossesse soit 4,1%. Les implications que peuvent avoir les violencesconjugales pendant la grossesse sur la femme, à la fois sur le plan physique etpsychologique, mais aussi les comportements à risque causés par les violences,peuvent altérer le bon développement <strong>de</strong> l’enfant. Une formation spécifique estindispensable pour tous les professionnels <strong>de</strong> santé, pour une meilleurevigilance vis-à-vis <strong>de</strong>s violences. Le travail en réseau est nécessaire, pour unemeilleure prise en charge. La prévention primaire serait basée sur l’éducation<strong>de</strong>s enfants dans les établissements scolaires face à la violence, possible « issue<strong>de</strong> secours » pour dépister les enfants témoins <strong>de</strong> violences.(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2001(résumé <strong>de</strong> l’auteur)Ce travail a donc pour objectif d’évaluer les pratiques <strong>de</strong>s mé<strong>de</strong>cins <strong>de</strong> lapoliclinique et du réseau ASDES en matière <strong>de</strong> repérage et <strong>de</strong> prise en charge<strong>de</strong>s VIF, afin <strong>de</strong> préciser pourquoi il existe un sous repérage, et d’envisager lesmoyens d’y remédier.(résumé <strong>de</strong> la thèse)La violence conjugale ou violence domestique est un processus au cours duquelun partenaire utilise la force pour perpétuer <strong>de</strong>s relations <strong>de</strong> domination. Il s’agit<strong>de</strong> violences physiques, morales, psychologiques, sexuelles ou économiques quisont presque toujours le fait <strong>de</strong> l’homme et s’exercent dans le cadre d’unerelation privilégiée. Ce phénomène concerne une femme sur cinq et a <strong>de</strong>nombreuses conséquences médicales. Les mé<strong>de</strong>cins ont le rôle <strong>de</strong> repérer et20012000© Réseau <strong>PREVIOS</strong> – Mémoires et thèses sur la thématique « violences <strong>de</strong> <strong>couple</strong> », actualisation juillet. 201213


Méd. Gén.(Nantes)Méd. Gén.(Paris 5)Psychiatrie(Paris 12)Le mé<strong>de</strong>cin généraliste face auxviolences conjugales : revue <strong>de</strong> lalittérature et enquête auprès <strong>de</strong>s mé<strong>de</strong>cinsgénéralistes <strong>de</strong> Loire AtlantiqueDOUILLARD VéroniquePrévention <strong>de</strong>s violences conjugales :place du mé<strong>de</strong>cin généraliste ; moyens etlimitesHERVIER FlorenceMaltraitance ConjugaleGUERREIRO Maria-Madalena(Document disponible via <strong>PREVIOS</strong>)traiter les victimes, d’organiser leur suivi et leur orientation vers d’autresprofessionnels. Une enquête menée auprès <strong>de</strong> 1000 mé<strong>de</strong>cins généralistes d’Ile<strong>de</strong>-France(235 réponses) a permis d’évaluer leurs pratiques en matière <strong>de</strong>repérage et <strong>de</strong> prise en charge <strong>de</strong>s femmes violentées.- 60 % ont reçu en consultation <strong>de</strong>s patientes violentées, dans 85 % <strong>de</strong>s cas c’estla femme qui signale elle-même la violence.- Deman<strong>de</strong> <strong>de</strong> certificat médical, lésions traumatiques, troubles psychologiqueset prescriptions <strong>de</strong> médicaments à visée antalgique ou psychique sont lesprincipaux motifs <strong>de</strong> consultation amenant patientes et mé<strong>de</strong>cins à parler <strong>de</strong> laviolence.- Les mé<strong>de</strong>cins ont peu <strong>de</strong> contact avec d’autres professionnels intervenantsauprès <strong>de</strong>s patientes et orientent celles-ci principalement vers la police et lespsychologues.- Dans 3/4 <strong>de</strong>s cas un certificat médical a été rédigé.- Les mé<strong>de</strong>cins se disent souvent gênés par certains comportements <strong>de</strong>spatientes (dissimulation, ambivalence).- S’ils n’estiment pas méconnaître le phénomène <strong>de</strong> la violence conjugale, ils nese sentent pas suffisamment formés pour la prendre en charge.Suite à l’enquête, nous avons analysé les différents facteurs entrant en jeu dansle dépistage <strong>de</strong> la violence conjugale puis abordé les principaux aspects <strong>de</strong>l’intervention médicale (évaluation <strong>de</strong> la situation, orientation, certificatmédical).Ce travail souligne l’intérêt <strong>de</strong> sensibiliser et former les mé<strong>de</strong>cins afind’améliorer les réponses apportées aux femmes victimes <strong>de</strong> violence conjugale.(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 1998(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 1998(résumé <strong>de</strong> la thèse)L’étu<strong>de</strong> <strong>de</strong> l’observation clinique d’une femme victime à répétition <strong>de</strong>maltraitance conjugale associe celle-ci à la maltraitance subie dans son enfance.Au-<strong>de</strong>là <strong>de</strong>s facteurs sociaux maintenant la femme dans une dépendance parrapport à l’homme, la maltraitance subie aussi bien par l’agresseur, que par la1996© Réseau <strong>PREVIOS</strong> – Mémoires et thèses sur la thématique « violences <strong>de</strong> <strong>couple</strong> », actualisation juillet. 201214


Méd. Gén.(Paris 6)Méd. Gén.(Lyon 1)Méd. Gén.(Lyon 1)Méd. Gén.(Paris7,Lariboisière)Méd. Gén.(Rouen)Gyn. Obst.(Toulouse 3)Contribution à l'étu<strong>de</strong> <strong>de</strong>s violencesconjugales : a partir <strong>de</strong> 59 observationsréalisées au Centre Hospitalier Général<strong>de</strong> VersaillesPEYRE Corinne<strong>Violence</strong>s conjugales et séparation du<strong>couple</strong>BOUR DorothéeFemmes victimes <strong>de</strong> violences intrafamiliales: une prise en chargepluridisciplinaire pour un problème.CHAZALETTE FREVILLE IsabelleLes femmes victimes <strong>de</strong> coups etblessures volontaires : une étu<strong>de</strong> auxurgences médico-judiciaires <strong>de</strong> l’Hôtel-Dieu MARY LARRET ElisabethPour une meilleure prise en charge <strong>de</strong>svictimes <strong>de</strong> violences conjugales : àpropos <strong>de</strong> 56 dossiersVANDENBUSSCHE GaryFemmes et <strong>Violence</strong>DABAT Ericvictime, est un facteur favorisant par la dévalorisation <strong>de</strong> soi qu’elle entraîne. Lamaltraitance conjugale et <strong>de</strong> l’enfance existe dans tous les milieux économiqueset socioculturels d’après certaines étu<strong>de</strong>s, ce qui amène à envisager les facteurspsychiques, dont l’intégration <strong>de</strong> l’ « ombre » permettant un retrait <strong>de</strong>projections paraît importante.(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 1995(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 19941994(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 1994Les violences conjugales constituent un phénomène social connu <strong>de</strong>puis 1992longtemps mais souvent négligé par le corps médical, celui-ci hésitant às'immiscer au sein d'un conflit familial. Inciter le corps médical et para-médicalà intervenir <strong>de</strong> manière plus efficace <strong>de</strong>man<strong>de</strong> que le phénomène soit mieuxanalysé. A partir d'une étu<strong>de</strong> sur 56 dossiers <strong>de</strong> femmes battues s'étantprésentées à la consultation <strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cine légale, nous analysons différentsparamètres : la personnalité <strong>de</strong> l'homme violent et <strong>de</strong> la dfemme battue, lesfacteurs <strong>de</strong> passage à l'acte, les caractéristiques <strong>de</strong>s blessures. Lors <strong>de</strong> la prise encharge <strong>de</strong> la femme battue, le mé<strong>de</strong>cin généraliste va rédiger un certificatmédical <strong>de</strong>scriptif appréciant la gravité <strong>de</strong>s lésions et indiquant la duréeprévisible <strong>de</strong> l'incapacité totale <strong>de</strong> travail personnel. La femme battue est ensuiteorientée vers les autres structures d'ai<strong>de</strong>, ceci permettant d'assurer uneprévention <strong>de</strong>s récidives.(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 1989© Réseau <strong>PREVIOS</strong> – Mémoires et thèses sur la thématique « violences <strong>de</strong> <strong>couple</strong> », actualisation juillet. 201215


Méd. Gén. Contribution à l'étu<strong>de</strong> <strong>de</strong>s femmesbattues : à propos <strong>de</strong> 100 dossiersMIRLAND FrançoisMéd. Gén.(Bor<strong>de</strong>aux 2)Méd. Gén.(Reims)Med. Gén.(Lyon 1)Méd. Gén.(Nancy 1)Méd. Gén.(Tours)Méd. Gén.(Toulouse)"Sos femmes battues" : à proposd'observations du centre <strong>de</strong> constatationsmédico-légales et du laboratoire <strong>de</strong>mé<strong>de</strong>cine légale <strong>de</strong> l'Université <strong>de</strong>Bor<strong>de</strong>aux IILE ROUX Marie-LouiseLe mé<strong>de</strong>cin généraliste et la FemmeBattueDOUINE Hervé(Document disponible via <strong>PREVIOS</strong>)La violence dans le <strong>couple</strong>COLLOD DE CHANTEMERLE MarinaA propos <strong>de</strong>s femmes battues : réponsesapportées dans le département <strong>de</strong> laMoselleREHLINGER CarmenA propos <strong>de</strong>s femmes battuesBRAULT Michèle & BARRAUDChantalLa femme du mari qui bat sa femmeDANAN Albert (Toulouse)(Document disponible via <strong>PREVIOS</strong>)(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 1987(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 1985(sommaire)1984- Généralités- Evolution historique <strong>de</strong>s rapports <strong>de</strong> dominance et <strong>de</strong> violence dans le<strong>couple</strong>- Les aspects du <strong>couple</strong> mo<strong>de</strong>rne- La violence dans le <strong>couple</strong>- La femme battue, son <strong>couple</strong>, le mé<strong>de</strong>cin généraliste, <strong>de</strong>vant la loi- Les structures sociales au secours <strong>de</strong> la femme battue(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 1984(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 1983(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 1983Après avoir rappelé dans une première partie l’ampleur et la diversité <strong>de</strong>sviolences familiales, l’auteur passe en revue les différentes sources <strong>de</strong> recueil dumatériel <strong>de</strong> son étu<strong>de</strong> : 42 observations cliniques effectuées dans un serviced’urgence en un an, enquête auprès <strong>de</strong> 26 mé<strong>de</strong>cins, visite <strong>de</strong> 3 centresd’accueil, entretiens avec un commissaire, une avocate. Dans une troisièmepartie, il organise la discussion et explique l’importance du problème <strong>de</strong> lafemme battue dans l’optique <strong>de</strong> chacune <strong>de</strong> ces sources ; il dégage la notion <strong>de</strong>syndrome <strong>de</strong> la femme battue qu’il situe à un carrefour d’influences : influenceshistorico-sociales, influences individuelles et psychologiques engagenat l’auteuret la victime, influences liées à la dynamique <strong>de</strong>s relations au sein <strong>de</strong> la famille1982© Réseau <strong>PREVIOS</strong> – Mémoires et thèses sur la thématique « violences <strong>de</strong> <strong>couple</strong> », actualisation juillet. 201216


NP(Nantes)NP(Nice)Méd. Gén.NP(Strasbourg)NP(Lyon)Psychiatrie(Toulouse)Psychiatrie(Paris)Psychiatrie(Toulouse)Les femmes battuesPRIESTER M.Les femmes victimes <strong>de</strong> sévices corporels<strong>de</strong> la part <strong>de</strong> leur partenaire sentimentalou sexuel et ayant déposé une plainteBORGIA G.Le Problème <strong>de</strong> la femme battueCOURCELLES Jean-PaulLes femmes battuesOHLMANN M.Contribution à l’étu<strong>de</strong> <strong>de</strong>s femmesbattuesDENAYER JM.Contribution à l’étu<strong>de</strong> <strong>de</strong>s <strong>couple</strong>ssadomasochistesBALDO Alain(Document disponible via <strong>PREVIOS</strong>)Des Causes <strong>de</strong> l’Echec du CoupleConjugalPREVOST Françoise(Document disponible via <strong>PREVIOS</strong>)Contribution à l’étu<strong>de</strong> <strong>de</strong> la personnalité<strong>de</strong> la victime. RANJEVA Hélèneet du <strong>couple</strong> ; puis dans une approche crimino dynamique, il étudie les liensunissant l’auteur à la victime en un système insécable. Enfin dans une quatrièmepartie, l’auteur propose quelques éléments d’une prise en charge pratique <strong>de</strong> cesfemmes, dans une perspective prophylactique et préventive et soulignel’importance d’une information sur ce sujet.(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 1981(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 1981(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 1980(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 1977(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 1977(sommaire)1975IntroductionI. HistoriqueII. DéfinitionsIII. Onze observations cliniquesIV. Commentaires <strong>de</strong>s observationsV. Aperçus psychopathologiquesVI. TraitementVII. Remarques d’ordre prophylactiqueConclusion(sommaire)1967IntroductionGénéralitésObservationsEtu<strong>de</strong> analytiqueRôle <strong>de</strong> l’hôpitalConclusion(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 1964© Réseau <strong>PREVIOS</strong> – Mémoires et thèses sur la thématique « violences <strong>de</strong> <strong>couple</strong> », actualisation juillet. 201217


Psychiatrie(Toulouse)Méd. Gén.(Paris)Méd. Gén.(Lyon)(Document disponible via <strong>PREVIOS</strong>)Crimes passionnels amoureuxMARCOVITCH M.(Document disponible via <strong>PREVIOS</strong>)Jalousie homici<strong>de</strong>RUIN René(Document disponible via <strong>PREVIOS</strong>)De l’homici<strong>de</strong> ConjugalDORNIER Marcel(Document disponible via <strong>PREVIOS</strong>)(sommaire)IntroductionPartie I. Crimes passionnels amoureux et constitutionPartie II. Responsabilité médico-légale dans les crimes passionnels amoureuxConclusion(sommaire)Considérations sur la jalousieLa jalousie sénileJalousie <strong>de</strong>s paranoïaquesJalousie alcooliqueJalousie <strong>de</strong>s hyperémotifsJalousie passionnelleCaractère <strong>de</strong>s jaloux criminelsConclusions(sommaire)IntroductionPartie I. Définitions et historiquePartie II. StatistiquePartie III. Causes et mobilesPartie IV. Crimes et criminelsPartie V. Considérations médico-légalesPartie VI. Pénalité - divorceConclusions193719331904NP : non précisé© Réseau <strong>PREVIOS</strong> – Mémoires et thèses sur la thématique « violences <strong>de</strong> <strong>couple</strong> », actualisation juillet. 201218


AUTRES SPECIALITEESSpécialitéPsychologieThèse <strong>de</strong> DoctoratTitre / Auteur / accès lien siaccord auteurConséquences <strong>de</strong>s violencesconjugales sur la santépsychologique <strong>de</strong>s victimes, priseen charge par la thérapie EMDR(sous la direction <strong>de</strong> CyrilTARQUINIO)SCHMITT AliciaDétailsLes violences conjugales représentent un problème <strong>de</strong> santé publicmajeur. En 2011, en France, tous les 2,5 jours, une femme meurt sous lescoups <strong>de</strong> son compagnon. Les violences conjugales résultent <strong>de</strong> laconjonction <strong>de</strong> facteurs individuels, conjugaux, sociaux mais égalementculturels, qui seront détaillés dans cette recherche qui présenteraégalement l'état <strong>de</strong> l'art concernant les conséquences <strong>de</strong> ces violences,leurs possibilités <strong>de</strong> prise en charge et la thérapie EMDR. Quatre étu<strong>de</strong>sont été menées dans cette recherche. La première porte sur lesconséquences <strong>de</strong>s violences conjugales auprès d'un public <strong>de</strong> femmesbénéficiant d'un accompagnement social. Il s'agissait d'apporter unecontribution aux résultats déjà observés dans la littérature. La secon<strong>de</strong>étu<strong>de</strong> porte sur la prise en charge <strong>de</strong> 5 femmes ayant vécu un évènementtraumatique en <strong>couple</strong> et s'étant séparées <strong>de</strong> leur agresseur. La thérapieEMDR donne <strong>de</strong>s résultats véritablement encourageants, ce qui nousamène à la tester auprès d'un public plus lour<strong>de</strong>ment traumatisé, ayantvécu <strong>de</strong>s violences conjugales d'intensité et <strong>de</strong> nature variable, durant <strong>de</strong>nombreuses années (étu<strong>de</strong> 3). Les résultats <strong>de</strong> l'étu<strong>de</strong> 3 mettent enévi<strong>de</strong>nce l'importance <strong>de</strong> l'adaptation <strong>de</strong> l'outil thérapeutique à laproblématique <strong>de</strong> la victime et les limites <strong>de</strong> l'utilisation <strong>de</strong> l'EMDRauprès <strong>de</strong> certains types <strong>de</strong> publics, dont les victimes <strong>de</strong> violencesconjugales. Une analyse <strong>de</strong> contenu <strong>de</strong>s séances EMDR nous a permisd'affiner nos analyses grâce à une vignette clinique présentée dans l'étu<strong>de</strong>4. De plus, <strong>de</strong>s personnes n'ayant pas pu être intégrées dans le protocoleexpérimental ont malgré tout été suivies, ce qui permet une réflexionautour <strong>de</strong> l'adéquation <strong>de</strong> la métho<strong>de</strong> thérapeutique et du cadreexpérimental à la victime grâce à une étu<strong>de</strong> <strong>de</strong> cas, également présentéedans l'étu<strong>de</strong> 4. Toutes ces observations permettront l'émergence <strong>de</strong>suggestions concernant la prise en charge <strong>de</strong>s victimes <strong>de</strong> violencesconjugalesDomestic violence represents a major problem for public health. InFrance, every 2,5 days, a woman dies by the hands of her partner.Domestic violence is the result of the conjunction of individual,domestic, social and also cultural factors to be <strong>de</strong>tailed in this researchthat will also present the state of art, regarding the consequences of thisviolence, its means of management and EMDR therapy. Four studiesDate2011© Réseau <strong>PREVIOS</strong> – Mémoires et thèses sur la thématique « violences <strong>de</strong> <strong>couple</strong> », actualisation juillet. 201219


PsychologieToulouse Le MirailLe développement socio-affectif <strong>de</strong>l’enfant âgé <strong>de</strong> 4 à 6 ans exposé auxviolences conjugales. (Dir. : C.Zaouche-Gaudron)SAVARD Nathalie(Document disponible via<strong>PREVIOS</strong>)were led in this research. The first one is about the consequences ofdomestic violence for a group of women benefiting from social support.The i<strong>de</strong>a was to bring a contribution to the results already observed inliterature. The second study is about the caretaking of five women whoexperienced a traumatic event during their <strong>couple</strong> life, and then split upwith their molester. EMDR therapy gives really encouraging results, andit led us to test it with a public more heavily traumatized, who livedintensity and variable violence during many years (study 3). The resultsof the third study highlight the importance of the adaptation of thetherapeutic tools to the problematic of the victim, and the limits of theuse of EMDR with some public, inclu<strong>de</strong>d the victims of domesticviolence. An analysis of the EMDR sessions content allowed us to refineour analyses thanks to a clinical “vignette” showed in study 4. Moreover,people that could not be inclu<strong>de</strong>d in the experimental protocol were allthe same followed up, allowing a reflection around the appropriatenessof the therapeutic method and of the experimental frame to the victimthanks to a case study, also presented in study 4. All these observationswill allow the emergence of suggestions concerning the caretaking of thedomestic violence victimsDans le Nord <strong>de</strong> l’Amérique, <strong>de</strong>puis plus d’une trentaine d’années, lesactions <strong>de</strong>stinées aux enfants exposés aux violences conjugales ainsi queles recherches scientifiques relatives à leur développement n’ont cesséd’évoluer, alors que du coté Européen cette question émerge à peine. EnFrance, aucune étu<strong>de</strong> scientifique en psychologie du développement nes’intéresse, à ce jour et à notre connaissance, au développement <strong>de</strong>l’enfant d’âge préscolaire évoluant dans un tel contexte. Parallèlement,les actions envers ces enfants sont peu nombreuses et largementméconnues. L’objectif <strong>de</strong> cette recherche est d’étudier, dans uneperspective écosystémique inspirée du modèle <strong>de</strong> Bronfenbrenner(1986), l’influence spécifique et combinée du contexte <strong>de</strong> violenceconjugale et du stress maternel sur le développement socio-affectif dujeune enfant âgé <strong>de</strong> 5 à 6 ans. Ainsi, notre étu<strong>de</strong> se propose <strong>de</strong> répondreaux questions suivantes : comment l’enfant d’âge préscolaire sedéveloppe-t-il sur le plan socio-affectif lorsqu’il grandit dans un contexte<strong>de</strong> violence conjugale ? Quels sont les facteurs environnementaux quivont avoir <strong>de</strong>s répercussions sur la relation entre la mère et l’enfant ?Plus précisément, est-ce que le fait pour une mère d’avoir été victime <strong>de</strong>violence conjugale va engendrer chez elle plus <strong>de</strong> stress ? L’attachement<strong>de</strong> la mère et le soutien social qu’elle perçoit vont-ils constituer <strong>de</strong>sressources qui vont venir atténuer le stress maternel et par voie <strong>de</strong>2011© Réseau <strong>PREVIOS</strong> – Mémoires et thèses sur la thématique « violences <strong>de</strong> <strong>couple</strong> », actualisation juillet. 201220


conséquence contribuer au bon développement <strong>de</strong> l’enfant ? Existe-t-il<strong>de</strong>s différences entre les mères et les enfants qui ont quitté leur foyercomparativement à ceux qui vivent encore au domicile ? Enfin, quel estle rôle <strong>de</strong> la culture dans ces différents systèmes ? L’échantillon secompose <strong>de</strong> 38 enfants, 10 garçons et 28 filles, âgés <strong>de</strong> 5 à 6 ans et <strong>de</strong>leurs mères. Parmi ces dya<strong>de</strong>s mère-enfants, 19 ont été exposées à laviolence conjugale et sont hébergées en centre d’hébergement et <strong>de</strong>réinsertion sociale et 19 sont toujours en situation <strong>de</strong> violence. Les mèresont renseigné une série <strong>de</strong> questionnaires évaluant leur attachement parl’intermédiaire du « questionnaire d’attachement adulte » (Simpson,1990), le stress maternel à l’ai<strong>de</strong> <strong>de</strong> « l’indice <strong>de</strong> stress parental versionabrégée » (Lacharité, 1993), les violences subies grâce à la « Mesure <strong>de</strong>la violence vécue par la mère et l’enfant» (Cyr, Fortin et Chénier ,1997),le soutien social perçu par le « questionnaire <strong>de</strong> soutien social » (Rascle,Aguerre, Bruchon-Schweitzer, Nuissier, Cousson & Gilliard, 1997) et lesoutien relatif aux enfants par le questionnaire élaboré par Vecho (2005).En ce qui concerne le développement socio-affectif du jeune enfant, troisdimensions ont été considérées : <strong>de</strong>ux émanant <strong>de</strong> son propre point <strong>de</strong>vue ; la représentation <strong>de</strong> l’attachement, appréhendée à l’ai<strong>de</strong> duprotocole <strong>de</strong>s « Histoires à compléter » (Bretherton, Ridgeway &Cassidy, 1990) ainsi que la perception <strong>de</strong>s sentiments et <strong>de</strong>scomportements parentaux avec le « test <strong>de</strong> dépistage <strong>de</strong> la violenceparentale » (Palacio-Quintin, 1992), et une incluant la perception duréférent du centre <strong>de</strong> loisirs : l’adaptation socio-affective, étudiée parl’intermédiaire du questionnaire « Profil Socio-Affectif » (Dumas,LaFrenière, Capuano & Durning, 1997). Les principaux résultatsrévèlent que seulement 36,8% <strong>de</strong>s enfants constitutifs <strong>de</strong> l’échantillonprésentent une représentation d’attachement sécurisée. Ils manifestentégalement <strong>de</strong>s problèmes dans le domaine socio-affectif que ce soit auniveau <strong>de</strong> l’adaptation générale, <strong>de</strong>s compétences sociales, mais aussi<strong>de</strong>s problèmes intériorisés et extériorisés. De plus, la perception qu’ilspossè<strong>de</strong>nt <strong>de</strong> leurs propres comportements et sentiments vis-à-vis <strong>de</strong>leurs <strong>de</strong>ux parents est particulièrement altérée. En revanche, ces enfantsne semblent pas percevoir négativement les comportements et lessentiments parentaux à leur égard. Nos résultats indiquent aussi que lesdifficultés qu’ils rencontrent sont plus nombreuses lorsqu’ils évoluenttoujours dans un contexte <strong>de</strong> violence conjugale au sein <strong>de</strong> leur foyercomparativement à ceux qui sont hébergés en CHRS. D’autre part,73,3% <strong>de</strong>s mères <strong>de</strong> notre échantillon possè<strong>de</strong>nt <strong>de</strong>s représentationsd’attachement <strong>de</strong> type évitant alors que 21,05% d’entre elles présentent© Réseau <strong>PREVIOS</strong> – Mémoires et thèses sur la thématique « violences <strong>de</strong> <strong>couple</strong> », actualisation juillet. 201221


PsychologieDoctoratLyon 2Contribution à la connaissance <strong>de</strong>sauteurs <strong>de</strong> violences conjugales et<strong>de</strong> la prévention <strong>de</strong>s actes <strong>de</strong>violences [Ressource électronique] :les groupes d'auteurs <strong>de</strong> violencesconjugales (sous la direction <strong>de</strong>Annik Houel)LAPORTE Jacquesun attachement <strong>de</strong> type anxieux-ambivalent. Nous avons relevé, parailleurs, que leur perception du soutien social et du soutien relatif auxenfants quel que soit leur groupe d’appartenance est relativement peuélevée et que seule la perception du soutien social est en lien avec unediminution <strong>de</strong> leur stress. Les résultats précisent aussi que celles qui sontsorties du contexte <strong>de</strong> violence conjugale sont plus stressées que cellesqui n’ont pas quitté le domicile. Enfin, nous constatons quel’attachement et le stress maternel sont en lien avec les diversesdifficultés socio-affectives que l’enfant éprouve au niveau <strong>de</strong>s troisdimensions que nous avons évaluées alors que le soutien social lesaméliore. La culture d’origine apparaît importante dans ce contextepuisque la totalité <strong>de</strong>s mères <strong>de</strong> notre échantillon sont d’origineAfricaine. L’ensemble <strong>de</strong>s résultats obtenus nous permet d’élaborer <strong>de</strong>srecommandations à <strong>de</strong>stination <strong>de</strong>s professionnels afin <strong>de</strong> mieux ciblerles actions et les prises en charge pour ces enfants, ainsi que leur mère.(résumé mémoire)Les faits <strong>de</strong> violences conjugales constituent un phénomène sociald’importance. Les auteurs <strong>de</strong> ces faits ne sont la plupart du temps, ni <strong>de</strong>smonstres, ni <strong>de</strong>s pervers, ni même <strong>de</strong>s mala<strong>de</strong>s mentaux. Nous avonsconstaté que trois sortes <strong>de</strong> facteurs sont déterminants dans la populationétudiée, celle <strong>de</strong> 400 personnes mises en cause pour faits <strong>de</strong> violencesconjugales. Ces trois catégories <strong>de</strong> facteurs étaient les suivants : sociauxet culturels, les attentes et les attitu<strong>de</strong>s <strong>de</strong> chaque partenaire au sein du<strong>couple</strong> et enfin les facteurs intrapsychiques. Pour les facteurs sociaux etculturels, nous avons mis en évi<strong>de</strong>nce la notion <strong>de</strong> déprivationpsychosociale. Quant aux attitu<strong>de</strong>s du conjoint au sein du <strong>couple</strong>, elless’articulent autour d’une double tendance indépendance-dépendance.Pour les conjointes, nous avons mis en évi<strong>de</strong>nce <strong>de</strong>s attitu<strong>de</strong>s <strong>de</strong>maternalité. Enfin, l’ensemble <strong>de</strong>s processus psychiques <strong>de</strong>s auteurs <strong>de</strong>violences conjugales rencontrés, s’ordonnent dans une polariténarcissique-i<strong>de</strong>ntitaire. Face aux violences conjugales, la société met enœuvre un processus judiciaire obéissant à un arsenal juridique <strong>de</strong> plus enplus nourri. Depuis les années quatre-vingt-dix, sont nés <strong>de</strong>s dispositifs<strong>de</strong> prise en compte <strong>de</strong> ces auteurs. Le dispositif VIRAGE, né en 2002 àSaint-Etienne (Loire) par la volonté <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux structures, une associative etl’autre hospitalière, est un <strong>de</strong> ceux-là. Quels sont les effets et limites <strong>de</strong>sgroupes mis en place par ce dispositif ? Si les effets <strong>de</strong> tels groupes sur larécidive ne sont pas probants, par contre ils s’avèrent pertinents surl’expression, les représentations, la reconnaissance <strong>de</strong>s faits, lacompréhension <strong>de</strong> la sanction, le renouage <strong>de</strong>s liens notamment avec les2010© Réseau <strong>PREVIOS</strong> – Mémoires et thèses sur la thématique « violences <strong>de</strong> <strong>couple</strong> », actualisation juillet. 201222


<strong>Violence</strong>s au sein du <strong>couple</strong>,conséquences sur la santé mentaleet adaptative <strong>de</strong>s femmes victimesLIGNON Saba (bientôt disponible)enfants, l’ouverture à d’autres mo<strong>de</strong>s <strong>de</strong> communication.Les limites sontcelles d’un dispositif ayant pour intention <strong>de</strong>s changements. Ce dispositifque nous avons qualifié d’encadrement social, selon un modèle psychoéducatif,ne doit pas être assimilé à un processus judiciaire car ilchangerait fondamentalement <strong>de</strong> positionnement. Nous proposons à lafin <strong>de</strong> la thèse un programme <strong>de</strong> prévention tenant compte <strong>de</strong> ces acquis.Marital violence is one really important social phenomenon. Theperpetrators in these facts are most of the time, neither monsters, norperverts, nor mental patients. We had conclu<strong>de</strong>d that three kinds offactor are <strong>de</strong>terminative for the study population, which consists of 400persons accused for marital violence. These three categories of factorswere following: social and cultural expectations and attitu<strong>de</strong>s of eachpartner and finally intrapsychic factors. For the social and culturalfactors we have highlighted the concept of psychosocial <strong>de</strong>privation.Regarding the attitu<strong>de</strong>s of the spouse, they revolve around doubleten<strong>de</strong>ncy of in<strong>de</strong>pen<strong>de</strong>nce-<strong>de</strong>pen<strong>de</strong>nce. For the spouses, we havehighlighted attitu<strong>de</strong>s of “maternalité”. Finally, all psychic processes inthe perpetrators of the marital violence, which we had met, are organizedin a polarity narcissistic i<strong>de</strong>ntity. The society faced with marital violenceimplements a judicial system which follows and give more and moreresources to this legal arsenal. In the nineties, the programmes were bornconsi<strong>de</strong>ring the perpetrators of the marital violence. The programmeVIRAGE is among them, foun<strong>de</strong>d 2002 in Saint-Etienne (Loire),because of wish of two structures, one association and one hospital.What are the effects and the limits of the groups? The effects of suchgroups on the recidivism aren’t convincing, but it turns out that they arerelevant for the expression, for the representations, for thereconnaissance of the facts, for the un<strong>de</strong>rstanding of sanction, for therenewal of the relations with children, for the openness to the othermo<strong>de</strong>s of communication. Those limits are a programme with theintention of changing. This programme we have <strong>de</strong>scribed as socialsupport, according to a psycho-educational mo<strong>de</strong>l, should not becomparable to a judicial system as it will change fundamentallypositioning. We propose one program for prevention at the end of thethesis.2009© Réseau <strong>PREVIOS</strong> – Mémoires et thèses sur la thématique « violences <strong>de</strong> <strong>couple</strong> », actualisation juillet. 201223


Psychologie dutravailVers un processus <strong>de</strong> soin <strong>de</strong>sconjoints violents : étu<strong>de</strong> clinique<strong>de</strong> leur histoire, <strong>de</strong> leurfonctionnement psychique et <strong>de</strong>leur capacité <strong>de</strong> relationLABASQUE Marie-Véronique(Amiens)L'acceptabilité <strong>de</strong> la rupture dusecret médical dans le cas d'unpatient atteint <strong>de</strong> maladiesexuellement transmissible oupotentiellement violent envers sapartenaire chez le grand publicGUEDJ MyriamEtu<strong>de</strong> <strong>de</strong>s éléments du contexte <strong>de</strong>la violence conjugale et <strong>de</strong> lasituation du passage à l’acte en lienavec le stress post traumatiqueOUSTRAIN MagalieLes "femmes battues" dans le cadre<strong>de</strong> la violence conjugale NIGARERNART ViolaineLes femmes battues dans le cadre<strong>de</strong> la violence conjugale, thèse 3 ecycle, UER Psychologie, Paris 5NIGAR V.E.<strong>Violence</strong> et dévalorisation duféminin : analyse <strong>de</strong>s pratiques <strong>de</strong>stravailleuses sociales dans un foyerCette recherche se propose d’articuler la <strong>de</strong>scription et la compréhension 2006<strong>de</strong> la violence conjugale et l’approche clinique. Trois grands axesconstituent le fil rouge <strong>de</strong> cette thèse : l’étu<strong>de</strong> <strong>de</strong> la violence conjugale enelle-même, l’étu<strong>de</strong> <strong>de</strong>s conjoints violents et l’observation <strong>de</strong>s entretiensd’évaluation auxquels ils ont participé. A partir <strong>de</strong>s entretiens, nousavons constaté que la violence conjugale remplissait plusieurs fonctionsque ce soit au sein du <strong>couple</strong> ou dans le fonctionnement psychique <strong>de</strong>spatients. De même, parmi les traits <strong>de</strong> personnalité retrouvés chez unemajorité <strong>de</strong>s conjoints violents rencontrés, nous avons pu noter unecarence d’élaboration psychique, un besoin <strong>de</strong> contrôle et <strong>de</strong> domination,une faible estime <strong>de</strong> soi et une intolérance à la frustration. Les premièresconsultations permettent aux conjoints violents <strong>de</strong> sortir du déni <strong>de</strong> leursactes et constituent les premières pierres d’une relation thérapeutiquepropice au changement(pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2004(pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2004(pas <strong>de</strong> résumé disponible) 1986(pas <strong>de</strong> résumé disponible) 1985(pas <strong>de</strong> résumé disponible) 1999© Réseau <strong>PREVIOS</strong> – Mémoires et thèses sur la thématique « violences <strong>de</strong> <strong>couple</strong> », actualisation juillet. 201224


Droitpour femmes battuesSARANOVIC-KRIZAN LiljanaL'efficience <strong>de</strong>s procédures <strong>de</strong> luttecontre les violences conjugales dansla loi du 9 juillet 2010 (sous ladirection <strong>de</strong> Cécile Caseau-Roche)MIREK Tiffanie(pas <strong>de</strong> résumé disponible)Droit processuelMaster 2Dijon2011L'accompagnement <strong>de</strong>s femmesvictimes <strong>de</strong> violences : stageeffectué à l'ARAJUFA* du 4 au 30janvier 2010 (sous la direction <strong>de</strong>Cathy POMART)*Association réunionaise pourl'ai<strong>de</strong> juridique aux familles et auxvictimesLa loi du 9 juillet relative auxviolences conjugales : réel progrèsjuridique ou simple volontépolitique ?ETANG-SALE Aurélie(sous la direction <strong>de</strong> Cathy Pomart)Du conjuguici<strong>de</strong> aux violencesconjugales. Etu<strong>de</strong> du règlement <strong>de</strong>sconflits domestiques par la justicepénale, 1811-1900 : L'exemple <strong>de</strong>scours d'assises et <strong>de</strong>s tribunaux <strong>de</strong>police correctionnelle <strong>de</strong> Paris et <strong>de</strong>VersaillesVANNEAU VictoriaLe crime passionnel : étu<strong>de</strong> duprocessus <strong>de</strong> passage à l'acte et <strong>de</strong>sa répressionTOURE Habiba(pas <strong>de</strong> résumé disponible)Droit privéMémoire <strong>de</strong> master professionnel 1re année,La Réunion(pas <strong>de</strong> résumé disponible)Droit public(Master 2)La Réunion20112011(pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2007(pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2007© Réseau <strong>PREVIOS</strong> – Mémoires et thèses sur la thématique « violences <strong>de</strong> <strong>couple</strong> », actualisation juillet. 201225


Inspecteur <strong>de</strong>l’Action Sanitaire etSociale, EHESPSage FemmeLa violence domestiqueGHERSON EliseQuelle place pour une approche <strong>de</strong>santé publique dans la lutte contreles violences conjugales ?L’exemple <strong>de</strong> la région MidiPyrénéesGUILLEMOT Mathil<strong>de</strong>(Document disponible via<strong>PREVIOS</strong>)Traumatisme abdominal après 22semaines d’aménorrhée : prise encharge et complicationsSHAHVERDI Tenny<strong>Violence</strong> envers les femmesenceintes : dépistage, soutien etorientation par les sages-femmesLORENZO Marine(pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2005(Résumé du mémoire)2009L’analyse <strong>de</strong> la démarche <strong>de</strong> santé publique mise en oeuvre dans larégion Midi Pyrénées concernant la lutte contre les violences conjugalessert <strong>de</strong> support à ce travail. Les questionnements relatifs aupositionnement <strong>de</strong> la démarche <strong>de</strong> santé publique dans un systèmed’acteurs complexe viennent y éclairer les rapports difficiles que cettediscipline entretient avec d’autres disciplines. L’intérêt que porte unprofessionnel <strong>de</strong> santé, au sens large, sur la violence est parfois perçucomme peu légitime, voire même dangereux, car il tendrait à «médicaliser » le sujet, et à transformer les comportements violents enpathologies qui justifieraient <strong>de</strong>s traitements biomédicaux. Ce alors quela violence est avant tout une maladie sociale. Inversement, lesprofessionnels <strong>de</strong> santé, qui occupent une place déterminante notammentcomme clé d’entrée dans le dispositif <strong>de</strong> prise en charge pour lesvictimes <strong>de</strong> violences conjugales, sont souvent mal à l’aise ou démunisface à ces problématiques. Il faut donc retenir que l’approche <strong>de</strong> santépublique est un « regard » sur ce fléau qui ne s’abstrait pas d’autresregards, social, <strong>de</strong> réflexion sociale, ou encore répressif. La santépublique ne peut vouloir résoudre les questions <strong>de</strong> violences seule, maispropose un élément <strong>de</strong> coordination, sans pour autant vouloir y apporterune dominance. Sa bonne insertion dans le dispositif <strong>de</strong> lutte contre lesviolences conjugales est déterminante pour son bon fonctionnement.L’exemple midi pyrénéen est analysé en ce sens.(pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2012(Résumé SUDOC)Les violences envers les femmes sont <strong>de</strong> plus en plus souvent au coeur<strong>de</strong> l'actualité, d'où l'augmentation <strong>de</strong>s campagnes <strong>de</strong> prévention, <strong>de</strong>sannonces chocs à la télévision...Cependant les mentalités changentdifficilement surtout concernant les violences conjugales qui restentencore, pour certains, du domaine <strong>de</strong> l'intime. Il est avéré que lagrossesse est un facteur déclenchant ou aggravant <strong>de</strong>s violences enversles femmes. Ce qui place les sages-femmes et les gynécologuesobstétriciensen première ligne pour le dépistage et l'orientation <strong>de</strong> cespatientes qui ressentent souvent <strong>de</strong>s sentiments d'ambivalence, <strong>de</strong> peur,2010© Réseau <strong>PREVIOS</strong> – Mémoires et thèses sur la thématique « violences <strong>de</strong> <strong>couple</strong> », actualisation juillet. 201226


<strong>Violence</strong> conjugale et grossesseCOURATIN Nicolas<strong>Violence</strong>s conjugales pendant lagrossesse : quelles conséquencesobstétricalesJOLY Margaux<strong>Violence</strong>s conjugales : quellesformation pour les étudiants sagesfemmes?CRETIN AlexandraLe dépistage systématique <strong>de</strong>sviolences faites aux femmes dans lapratique <strong>de</strong>s sages-femmes : intérêtet faisabilité lors <strong>de</strong> la premièreconsultation prénatale ou <strong>de</strong>l'entretien du 4ème moisDELESPINE Mathil<strong>de</strong>Les sages-femmes face auxviolences conjugales pendant lagrossesseROUSSEAU Noémie(Document disponible via<strong>PREVIOS</strong>)Femmes enceintes victimes <strong>de</strong>violence conjugale : état <strong>de</strong>s lieux<strong>de</strong>s connaissances <strong>de</strong>sprofessionnels <strong>de</strong> l'obstétrique dansle Finistère<strong>de</strong> culpabilité... Par ailleurs, il existe <strong>de</strong> nombreux freins pour lesprofessionnels à la mise en place <strong>de</strong> ce dépistage (le personnel est peuformé, certains craignent <strong>de</strong>s retombées judiciaires et se sentent seulsface à ce problème...). Dans <strong>de</strong>s situations aussi complexes, il est trèsimportant <strong>de</strong> travailler en réseau et avec <strong>de</strong>s outils clairs et pratiques dontj'ai essayé <strong>de</strong> produire quelques exemples.2009(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2009(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2009(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2009(résumé <strong>PREVIOS</strong>)Enquête transversale qualitative menée auprès <strong>de</strong> vingt sages-femmeseffectuant <strong>de</strong>s consultations pré- et post-natal2008(pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2007© Réseau <strong>PREVIOS</strong> – Mémoires et thèses sur la thématique « violences <strong>de</strong> <strong>couple</strong> », actualisation juillet. 201227


GUILLOTO Julie<strong>Violence</strong> conjugale et grossesse.état <strong>de</strong>s lieux et réflexion sur unréseau <strong>de</strong> prise en charge àMarseilleTACIAK SophieQuand l’amour conjugal fait mal :la grossesse est-elle un momentprivilégié pour abor<strong>de</strong>r la violencedans le <strong>couple</strong> ?CABOT Sibille<strong>Violence</strong> conjugale : améliorer ledépistage et l’accompagnement <strong>de</strong>sfemmes au cours <strong>de</strong> leur grossesseSOLBIAC Patricia<strong>Violence</strong>s conjugales ? : queldépistage en maternité ?VALADE Isabelle(pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2007Longtemps les violences conjugales ont été niées ou tolérées. Depuis <strong>de</strong>s 2007années les mouvements féministes dénoncent cet état <strong>de</strong> fait. En 1979,l’ONU adopte sa première convention à ce sujet qui aboutira en 1993 àla Déclaration sur l’élimination <strong>de</strong> la violence contre les femmes. Apartir <strong>de</strong> cette déclaration, plusieurs conférences mondiales <strong>de</strong> la femmeont été mises en place, notamment celle <strong>de</strong> Pékin en 1995 qui rappelleque « la violence à l’égard <strong>de</strong>s femmes constitue une violation <strong>de</strong>s droitsfondamentaux et <strong>de</strong>s libertés fondamentales <strong>de</strong> la femme ». Aujourd’hui,la violence conjugale est encore un sujet tabou et pourtant le phénomèneest grave. Savez-vous que ce n’est ni à l’extérieur <strong>de</strong> chez soi, ni autravail, mais dans l’intimité <strong>de</strong> leur <strong>couple</strong> que les femmes subissent leplus <strong>de</strong> violences physiques, psychologiques et sexuelles ? Les femmessont plus souvent agressées par leur compagnon que par un inconnu. Unefemme sur dix est victime <strong>de</strong> violences conjugales en France (ENVEFF2000). Une femme meurt tous les trois jours sous les coups <strong>de</strong> soncompagnon (recensement national 2006). Ces victimes sont <strong>de</strong> tous lesâges et <strong>de</strong> tous les milieux. Mais qu’est ce que la violence conjugale ?Quelles sont ses différentes composantes ? Existe-t-il un portrait type <strong>de</strong>la victime et <strong>de</strong> l’agresseur ? Quels sont les recours légaux <strong>de</strong> la femmemaltraitée ? Quelle est la place <strong>de</strong>s professionnels <strong>de</strong> santé face à ceproblème ?La grossesse protège t-elle la femme <strong>de</strong>s violences ? Chacun<strong>de</strong> nous se doit <strong>de</strong> comprendre les tenants et aboutissants <strong>de</strong> cettemaltraitance pour que la souffrance <strong>de</strong> ces femmes et <strong>de</strong> leurs enfants nesoit plus honteusement subie dans l’enfer d’un huis clos conjugal.Beaucoup a été fait mais beaucoup reste à faire.(Pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2006(pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2006© Réseau <strong>PREVIOS</strong> – Mémoires et thèses sur la thématique « violences <strong>de</strong> <strong>couple</strong> », actualisation juillet. 201228


Etu<strong>de</strong>s Européennes<strong>Violence</strong>s conjugales et maternité :du dépistage vers un réseau <strong>de</strong> priseen chargeFEMEL ArianePrise en charge <strong>de</strong>s femmesenceintes victimes <strong>de</strong> violencesconjugalesGALLOT Emmanuelle<strong>Violence</strong>s conjugales pendant lagrossessePAILHAS Gaëlle<strong>Violence</strong>s conjugales : évaluation<strong>de</strong>s connaissances <strong>de</strong>s mé<strong>de</strong>cins,internes et sages-femmes <strong>de</strong>smaternités du CHU <strong>de</strong> Tours sur ledépistage et la prise en charge <strong>de</strong>sfemmes victimes <strong>de</strong> violencesconjugalesGAUSSERES Vanessa<strong>Violence</strong> conjugale et grossesse :rôle <strong>de</strong> la sage-femmePRUNIER Julie<strong>Violence</strong> conjugale et grossesseCHAMPENOUX CélineDépister et prévenir les risques <strong>de</strong>maltraitances au cours <strong>de</strong> lagrossesse et du séjour à la maternitéCHATELAIN SoniaLes violences conjugales à l'égard<strong>de</strong>s femmes en Europe : analysesocio-politique contemporaine etperspectives d'action dans l'UnionEuropéenne(pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2006(pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2005(pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2005(pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2004(pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2004(pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2003(pas <strong>de</strong> résumé disponible) 1999(pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2008© Réseau <strong>PREVIOS</strong> – Mémoires et thèses sur la thématique « violences <strong>de</strong> <strong>couple</strong> », actualisation juillet. 201229


Etu<strong>de</strong>s Nord-AméricainesSociologieSMEDSLUND KatjaLa Femme américaine victime <strong>de</strong> laviolenceELMALEH ElianeLa violence conjugale : unetransgression révélatrice <strong>de</strong>s normes<strong>de</strong> la conjugalité contemporaineSEVERAC NadègeLes violences conjugales :traitement juridique etindividualisation <strong>de</strong> la prise enchargeCADOR PetraL'intimité piégée : pouvoir masculinet violences envers les femmes dansle <strong>couple</strong>DE PUY JacquelineFemmes battues, scènes <strong>de</strong>ménages, une esquisse d'analyse <strong>de</strong>la violence conjugaleKACZMAREK SylvieDiscours sur les femmes battues :représentations <strong>de</strong> la violence surles femmes au rio Gran<strong>de</strong> Do SulGROSSI Miriam(pas <strong>de</strong> résumé disponible) 1983(pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2003(pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2001(pas <strong>de</strong> résumé disponible) 2000(pas <strong>de</strong> résumé disponible) 1988(pas <strong>de</strong> résumé disponible) 1988© Réseau <strong>PREVIOS</strong> – Mémoires et thèses sur la thématique « violences <strong>de</strong> <strong>couple</strong> », actualisation juillet. 201230

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