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Ville et médiation. Synthèse documentaire. Bibliographie.

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<strong>Ville</strong> <strong>et</strong> <strong>médiation</strong> : bibliographieBULLETIN DE LIAISON DU LABORATOIRE D’ANTHROPOLOGIE JURIDIQUE de l’Université Paris-Sorbonne, n°22, sept. 1997.- 9 p., bibliogr.BNF 4-JO-47198 ; http://www.reds.msh-paris.fr/communication/textes/stimec1.htmCAUNE JeanCulture <strong>et</strong> communication, convergences théoriques <strong>et</strong> lieux de <strong>médiation</strong>St-Martin d’Hères : Presses universitaires de Grenoble, 1995.- 136 p. (coll. La Communication enplus)A la conception instrumentale d’une communication destinée à la seule transmission de la culture,l’auteur oppose une conception différente dans laquelle communication <strong>et</strong> culture sont liées dans unrapport d’inclusion réciproque. Dans ce rapport complexe, le langage joue un rôle de <strong>médiation</strong>essentiel. Médiation, si l’on considère que c’est dans le champ du langage que sont élaborés <strong>et</strong> enmême temps transgressés les codes, les systèmes, les productions <strong>et</strong> les pratiques individuelles <strong>et</strong>sociales. D’où la nécessité de penser ce « couple étrange » selon une logique d’investigationtransdisciplinaire, se nourrissant de tous les apports des sciences de l’homme. L’ouvrage se présenteen deux parties : des points de vues théoriques relatifs au langage, au signe <strong>et</strong> à l’énonciation ; laculture comme <strong>médiation</strong> entre « l’individu, les manifestations qui l’expriment <strong>et</strong> le monde dans lequelil établit une relation avec les autres ».BPI 301.4 CAUGUILLAUME-HOFNUNG MichèleLa <strong>médiation</strong>Paris : PUF, 1995.- 128 p. (coll. Que sais-je ? n° 2930) ; rééd. 2000 corrigéeLe champ de la <strong>médiation</strong> n’a pas de limite : il englobe tous les secteurs de l’activité humaine, de lasphère la plus privée à la plus publique. La <strong>médiation</strong> concerne les personnes publiques aussi bienque les particuliers, les individus aussi bien que les groupes, les activités nationales, transnationales<strong>et</strong> internationales. La <strong>médiation</strong> est un phénomène qui dépasse la société française : on constate sondéveloppement aussi bien à l’étranger qu’en France ou au niveau international. Il ne s’agit pas d’unphénomène isolé. La « décennie de la <strong>médiation</strong> » est contemporaine du développement des modesnon juridictionnels de règlement de conflits dans les années 80. Ces phénomènes se serventmutuellement de contexte <strong>et</strong> ne se comprennent pas l’un sans l’autre, même si leur télescopage créeun flou terminologique. Largement utilisé, le terme de <strong>médiation</strong> demande en eff<strong>et</strong> à être précisé.C’est l’obj<strong>et</strong> de la deuxième partie, qui tente une définition théorique de la <strong>médiation</strong>, puis réfléchit àses références <strong>et</strong> à son régime juridique avant d’en exposer les dangers.CNDP-VEI ; BPI 0.3 QSJFILLIEULE Olivier (dir.)Sociologie de la protestation : les formes de l’action collective dans la France contemporaineParis : L’Harmattan, 1993.- 287 p. (coll. Dossiers)A l’heure où le thème de la désaffection des citoyens pour le politique est si prégnant, ce livre rappelleutilement que la France de ces dix dernières années a connu d’importants mouvements sociaux quiont vu des milliers de citoyens descendre dans la rue pour manifester leur colère <strong>et</strong> exprimer leursrevendications Pour mieux comprendre ce phénomène majeur de notre société, voici réunies pour lapremière fois une série d’études de cas qui toutes portent sur des mouvements récents : lemouvement des Finances en 1989, les coordinations infirmières, les mouvements de chômeurs <strong>et</strong>celui des déboutés du droit d’asile, la guerre du Golfe enfin, avec la mobilisation pacifiste <strong>et</strong> l’analysede ses difficiles rapports avec la télévision. Chaque essai plaide pour une théorie compréhensive desmouvements sociaux, perspective qu’explicite l’introduction de l’ouvrage : tout à la fois, l’individuconstruit activement <strong>et</strong> est fortement contraint par un univers de significations sociales dont ladétermination résulte notamment de son identité raciale, sexuelle, de classe <strong>et</strong> de nationalité.BPI 305.52 SOCFISCHER Gustave-NicolasLa dynamique du social. Violence, pouvoir, changementParis : Dunod, 1992.- 243 p., bibliogr.C<strong>et</strong> ouvrage est le 4ème vol<strong>et</strong> d'un traité de psychologie sociale. La notion de dynamique sociale quiest développée considère le social comme un tissu conflictuel. Sont donc analysés ici trois grandthèmes : 1. la violence, les concepts <strong>et</strong> théories, les facteurs d'influence <strong>et</strong> la violence au quotidien ; 2.le pouvoir, la nature, la dynamique <strong>et</strong> les eff<strong>et</strong>s du pouvoir ; 3. le changement, les perspectives


<strong>Ville</strong> <strong>et</strong> <strong>médiation</strong> : bibliographi<strong>et</strong>héoriques, les facteurs <strong>et</strong> les formes du changement. Ces thèmes sont illustrés par des exemplesconcr<strong>et</strong>s. La violence familiale, le phénomène du leader, le rapport majorité/minorité.CDU 26297LAMIZET BernardLes lieux de la communicationBruxelles : Ed. Pierre Mardaga, 1992.- 347 p. (coll. Philosophie <strong>et</strong> langage)L’auteur propose une démarche basée sur quelques hypothèses : ce qui fonde la communication,c’est la relation à l’autre ; le langage est au cœur de l’ensemble des activités symboliques ; lacommunication nous donne des repères <strong>et</strong> des structures.BPI 301.1 LAM1.2 Le contexte historique de la <strong>médiation</strong>ANSELME Michel ; SAMSON MichelDu bruit à la parole : la scène politique des citésLa Tour d'Aigues : Ed. de l'Aube, 2000. - 277 p., notes, phot. (coll. Monde en cours)Les écrits d'un sociologue, un des pionniers de la politique de la ville, témoignent de son expériencesur le P<strong>et</strong>it Séminaire à Marseille, sur les quartiers Nord de Marseille, sur les opérations de DSQ desquartiers dans les DOM-TOM, notamment à La Réunion.IA 41357 ; CDU 53129 ; MV B10085BARTHELEMY MartineAssociations : un nouvel âge de la participation ?Paris : Presses de Sciences po, 2000.- 286 p.Les associations sont-elles devenues le fer de lance de la démocratie ? A l’inverse des organisationspartisanes <strong>et</strong> syndicales, elles bénéficient d’une reconnaissance croissante depuis un quart de siècle.La gamme des formes <strong>et</strong> des objectifs de la vie associative s’est élargie. Mais cela ne s’est pas faitsans ambiguïté. Le «r<strong>et</strong>our » au local est, en partie, organisé par l’Etat. La prise en charge despréoccupations concrètes des citoyens renvoie les associations vers une gestion de l’urgence <strong>et</strong> leséloigne du proj<strong>et</strong> politique La défense de l’altérité du « mouvement » associatif masque son extrêmehétérogénéité <strong>et</strong> son implication dans des rapports de pouvoir. C<strong>et</strong> ouvrage dresse un état sociopolitiquede la vie associative en France : comment s’établit la rencontre entre la légitimitérépublicaine du suffrage universel <strong>et</strong> la légitimité « participative » des associations ? quelles évolutionsmajeures sont intervenues, depuis la loi de 1901, dans les relations entre puissance publique <strong>et</strong>associations ? pourquoi se dire bénévole plutôt que militant ? les traditions politiques <strong>et</strong> les clivagesidéologiques isolent-ils des catégories d’acteurs <strong>et</strong> d’associations ? Le propos bouscule certainesidées reçues : l’excellence du « modèle » américain, la « citoyenn<strong>et</strong>é » associative ou encorel’opposition entre le nouveau <strong>et</strong> l’ancien. Pour l’auteur, les associations peuvent contribuer à ce nouvelâge de la participation, à condition que soit réaffirmée la légitimité du politique.CNDP-VEI ; BPI 300.94 BARBOUBAULT Guy (coord.) ; LE MEUT ChristianPratiques de <strong>médiation</strong> : écoles, quartiers, familles, justice. Une voie pour gérer les conflitsParis : Ed. Charles Léopold Mayer ; Montargis : Non-violence Actualité, 2000.- 196 p.Le conflit fait partie des relations humaines. Cependant, il suppose, pour ne pas aboutir à des actesde violence, une solution positive fondée sur le respect de soi <strong>et</strong> d'autrui. Le médiateur aide lespersonnes confrontées à ce type de problème à analyser les différentes solutions possibles afin d'endégager la meilleure. A l'école, dans les familles, dans les quartiers ou dans le rapport avec la justice,il intervient pour clarifier malentendus <strong>et</strong> confusions. Afin de comprendre la portée <strong>et</strong> l'intérêt de tellesactions, ce livre rassemble de nombreux témoignages en France, Europe <strong>et</strong> Amérique du Nord.CDU 53644DELAUNAY BénédicteLe Médiateur de la RépubliqueParis : PUF, 1999.- 128 p. (coll. Que sais-je ? n°3422)


<strong>Ville</strong> <strong>et</strong> <strong>médiation</strong> : bibliographieéducation, particulièrement en pédagogie, en dépassant c<strong>et</strong>te dichotomie apparente dans laquelle elleest enfermée : <strong>médiation</strong> interpersonnelle (visant la construction de solutions face à des conflits entrepersonnes ou groupes humains dans les domaines judiciaire, social, familial, professionnel…) ou<strong>médiation</strong> intra-personnelle (visant au développement de l’enfant en tant qu’individu, la transmissionculturelle, <strong>médiation</strong>s utilisées en psychanalyse, psychologie, pédagogie…). L’auteur j<strong>et</strong>te des pontsentre les différentes formes <strong>et</strong> pratiques de <strong>médiation</strong> <strong>et</strong> fait des propositions, assorties d’exemplesconcr<strong>et</strong>s, aux enseignants se heurtant aux problématiques mêlées de difficultés d’apprentissage,d’incivilités <strong>et</strong> de violence dans les établissements scolaires.BPI 37.015 CARELOUARCHANI Naïma ; PASSY MacaireGuide de la <strong>médiation</strong> interculturelle : recueil des ressources, France 2000Paris : Ed. Cultures croisées, 2000. - 185 p.Ce guide est un outil de travail destiné aux travailleurs sociaux <strong>et</strong> professionnels oeuvrant dansl’interculturalité ; il indique quelques ressources disponibles, qui ne demandent qu’à être mobilisées :des espaces d’information, d’expression, d’accueil <strong>et</strong> d’accompagnement dans lesquels desanimateurs militent en faveur d’un monde uni <strong>et</strong> solidaire. Son objectif est d’inciter les institutions à seconnaître pour échanger, travailler ensemble dans le dessin de promouvoir la communication entre lescommunautés françaises <strong>et</strong> étrangères.CNDP-VEI ; BPI 0.94 ELOFAYMAN SoniaFEMMES INTER ASSOCIATIONS ; INTER SERVICE MIGRANTSL’expérience de la <strong>médiation</strong> sociale <strong>et</strong> culturelle : état des lieux dans quelques départementsParis : FIA/ISM, 2000.- 31 p.Le collectif pour la <strong>médiation</strong> sociale <strong>et</strong> culturelle animé par FIA-ISM a pris l’initiative d’un état deslieux de la <strong>médiation</strong> sociale <strong>et</strong> culturelle dans le souci de mieux connaître, <strong>et</strong> de faire connaître, lesconditions dans lesquelles exercent les médiatrices des associations de femmes. La nécessité d<strong>et</strong>elles précisions s’est imposée devant la multiplication de postes de médiateurs <strong>et</strong> médiatrices dansles mairies, les transports, les bureaux de poste… Ce rapport est composé de trois parties : lapratique de la <strong>médiation</strong> sociale <strong>et</strong> culturelle dans les associations ; la <strong>médiation</strong> sociale <strong>et</strong> culturelledans l’intervention sociale ; quelles perspectives pour les médiatrices.CNDP-VEIGLAESNER Daniel ; COLLET AliceUNION NATIONALE DES FEDERATIONS D'ORGANISMES D'HLM PARIS ; CENTRE DEREALISATIONS ET D'ETUDES POUR LA PLANIFICATION ET L'AMELIORATION DE L'HABITAT.PARISLe guide de la fonction <strong>médiation</strong> dans les organismes HLM. Repères <strong>et</strong> démarches d'actionParis : UNFOHLM, 2000.- 67 p., tabl., bibliogr. (Les collections d'Actualités HLM)Dans les quartiers d'habitat social, la responsabilité des services publics, des habitants maiségalement des bailleurs en matière de sécurité est aujourd'hui relayée par l'action quotidienne demédiateurs sociaux. Participant à la réflexion sur le rôle des bailleurs dans la gestion de proximité, ceguide s'adresse aux organismes HLM qui souhaitent élaborer un proj<strong>et</strong> de <strong>médiation</strong>. Il s'attache àpréciser les modalités de mise en oeuvre d'un tel proj<strong>et</strong> : définition des objectifs <strong>et</strong> de la stratégie,planification des étapes, évolution des compétences.CDU 53507BOUVEAU Patrick ; COUSIN Olivier ; FAVRE-PERROTON JoëlleL’école face aux parents : analyse d’une pratique de <strong>médiation</strong>Paris : Ed. ESF, 1999.- 183 p. (coll. Pédagogies)Entre les parents <strong>et</strong> l’école, le malentendu s’est installé. Dans les quartiers populaires, ce malentenduse nourrit de graves problèmes de communication : parents <strong>et</strong> enseignants n’habitent pas le mêmeunivers, ne parlent pas le même langage, n’ont pas les mêmes références. Pour sortir de ce face àface, on fait appel à des « médiateurs », personnes-ressources dont la mission est de rapprocher lesétablissements scolaires des parents d’élèves, de rechercher des solutions pour sortir des impasses<strong>et</strong> dépasser les conflits. En temps que « tiers » extérieurs, ils peuvent contribuer à renouer ledialogue. Mais c’est l’école qui sollicite les médiateurs <strong>et</strong> fixe leurs objectifs, en face des parents qui,une fois de plus, subissent c<strong>et</strong>te relation. Par ailleurs, en affectant à des personnes spécifiques lacharge du lien avec les familles, l’école ne se décharge-t-elle pas d’une de ses missions ? Quand le


<strong>Ville</strong> <strong>et</strong> <strong>médiation</strong> : bibliographierecrutement des médiateurs se fait sur une base « culturelle », ne risque-t-on pas de renforcer lesclivages <strong>et</strong>hniques ? C<strong>et</strong> ouvrage perm<strong>et</strong> d’entrer dans une question décisive qui concerne autant lesenseignants, les parents, les travailleurs sociaux que les responsables associatifs ou politiques.CNDP-VEI ; BPI 371 BOUDURU Marie-Chantal ; LECLAIRE OdileCOMITE DE LIAISON POUR LA PROMOTION DES MIGRANTS ET DES PUBLICS EN DIFFICULTED’INSERTIONLa <strong>médiation</strong> à l’emploiParis : CLP, 1997.- 76 p.C<strong>et</strong>te étude se centre sur les différentes démarches adoptées par les organismes de formation pourfaciliter l’accès direct à l’emploi des publics en difficulté d’insertion. L’originalité des expériencesprésentées réside dans le type d’intervention des formateurs : celle-ci ne porte plus uniquement surles demandeurs d’emploi, mais également <strong>et</strong> complémentairement sur ceux qui font l’offre du côté desentreprises. Partant de l’hypothèse que les obstacles à l’insertion professionnelle des personneséloignées de l’emploi, parmi lesquelles les publics issus de l’immigration, se situent aussi – <strong>et</strong> peutêtred’abord – sur le marché du travail, les organismes de formation impliqués dans une démarched’insertion directe dans l’emploi s’assignent une mission nouvelle de <strong>médiation</strong> en s’efforçant d’induiredes comportements nouveaux d’embauche dans les entreprises <strong>et</strong> chez les partenaires économiquesà l’égard de ces publics. C<strong>et</strong>te démarche d’intervention sur l’environnement est nullement exclusived’une approche centrée sur la personne. C<strong>et</strong>te étude apporte des éléments de réflexion <strong>et</strong> despropositions sur le nécessaire développement de nouvelles compétences que c<strong>et</strong>te démarcheimplique de la part des organismes de formation <strong>et</strong> de leurs « formateurs médiateurs ».CNDP-VEIMEKACHERA Hamlaoui ; GAEREMYNCK JeanMINISTERE DE L'AMENAGEMENT DU TERRITOIRE DE LA VILLE ET DE L'INTEGRATIONPour une relance de la politique de l’intégration. Rapport présenté à M. le ministre délégué à laville <strong>et</strong> à l’intégrationParis : La Documentation française, 1996.- 20 p.Le programme pour une relance de l'intégration s'articule autour de trois thèmes : 1. l'insertion :accueil systématique des familles arrivant en France par regroupement familial, accès à l'emploi,apprentissage du français, accès à l'éducation...; 2. la <strong>médiation</strong> : établissement d'une liste demédiateurs départementaux, de médiateurs nationaux, développement du dispositif des femmesrelais...3. la promotion : encouragement à promouvoir les réussites de l'intégration dans les médias,développement des aides aux radios associatives qui participent au processus d'intégration, accèsfacilité aux concours de la fonction publique, réduction des délais de naturalisation...CDU 54535 ; http://www.ladocumentationfrancaise.fr/brp/notices/974055400.shtmlLes réseaux de transport public, acteurs de la ville <strong>et</strong> de la paix urbaine. Actes de la journée du28 juin 1996, Maison de la Chimie, ParisParis : UTP, 1996.- 50 p. (colloque organisé par l'UTP, la RATP, la SNCF, le GART)Le rapport contient : les propositions des entreprises de transport public <strong>et</strong> des élus responsables destransports publics ; les réponses de l'Etat ; les réactions des élus <strong>et</strong> des pouvoirs publics auxpropositions des entreprises. Les propositions répondaient à trois préoccupations : le renforcement dela présence humaine dans les transports publics, par le biais de la création d'emplois de médiateurssociaux ; le développement d'une meilleure coordination avec les autorités publiques en matière deprévention de la délinquance ; la mise en oeuvre d'une réglementation adaptée pour lutterefficacement contre la fraude. L'Etat a répondu favorablement à ces demandes, en annonçant desmesures <strong>et</strong> des subventions.CDU 33795FREYNET Marie-FranceLes <strong>médiation</strong>s du travail social. Contre l’exclusion, (re)construire les liensLyon : Chronique sociale, 1995.- 304 p. (coll. <strong>Synthèse</strong>)Le travail social peut-il réellement jouer un rôle de médiateur entre la société <strong>et</strong> les exclus qu’elleengendre ? L’auteur, assistante sociale devenue universitaire, propose des méthodes d’analyse <strong>et</strong>d’intervention ; elle montre comment des <strong>médiation</strong>s perm<strong>et</strong>tent la restauration de l’identité, l’insertiondans des réseaux de proximité <strong>et</strong> l’intégration dans la société organisée. Pour développer ces<strong>médiation</strong>s, des outils sont proposés afin de mieux prendre en compte les potentialités des exclus <strong>et</strong>


<strong>Ville</strong> <strong>et</strong> <strong>médiation</strong> : bibliographiecelles du milieu. La <strong>médiation</strong> est alors une alternative à une action sociale trop souvent palliative <strong>et</strong>centrée sur l’assistance. Les intervenants sociaux deviennent ainsi des « frontaliers » du lien socialpour faire reculer l’exclusion.CNDP-VEI ; BPI 365.7 FREMINISTERE DU TRAVAIL, DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLELes institutions représentatives du personnelParis : La Documentation française, 1995.- 144 p. (coll. Transparences)Comment les représentants du personnel sont -ils choisis ? quel est leur rôle ? quels sont leursmoyens d’action ? Les représentants élus par le personnel <strong>et</strong> les représentants syndicaux sont lesacteurs du dialogue social dans les entreprises. Ce guide présente chacune des formes dereprésentation : comité d’entreprise, délégués du personnel, délégués syndicaux, CHSCT… Ausommaire : L’élection des représentants du personnel ; Les délégués du personnel ; Le comitéd’entreprise ; Le comité d’hygiène, de sécurité <strong>et</strong> des conditions de travail ; Le syndicat.BNF 16-FW-2593FRANCE. JUSTICE (MIN.) - DELEGATION INTERMINISTERIELLE A LA VILLELa justice au coeur de la citéParis : Min. Justice - Service de l'information <strong>et</strong> de la communication, 1992.- 16 p., ill., tabl.Présentation d'actions de modernisation des institutions relevant du ministère de la Justice. Trois axessont développés : 1. l'affirmation de la présence de la justice dans la ville, renforcement de sonefficacité <strong>et</strong> de la sécurité ; 2. expliquer l'organisation de la justice aux plus jeunes ; 3. faciliter lesrapports qu'entr<strong>et</strong>iennent les citoyens avec la justice au quotidien par le biais de problèmes plussimples <strong>et</strong> plus accessibles.CDU 27501JANKOWSKI BarbaraINSTITUT DES HAUTES ETUDES POUR LA SECURITE INTERIEURELa police de proximité. Regard de la recherche sur un nouveau style de policeParis : IHESI, 1992.- 24 p.Recherche sur le concept de police de proximité en France qui comprend un historique sur sonapparition à la lumière des politiques du ministère de l'Intérieur <strong>et</strong> un bilan des études conduites sur c<strong>et</strong>hème. Celle-ci m<strong>et</strong>tent en lumière quelques-uns des obstacles auxquels se heurte la mise en oeuvrede la police de proximité. A propos de l'îlotage, il est montré que le fait d'être à pied est déterminantdans la manière dont la police est perçue par le public. Enfin, si l'îlotage doit se généraliser, l'auteurpréconise de l'envisager sous l'angle de la diffusion d'une innovation organisationnelle plutôt que sousl'angle du débat répression/prévention.CDU 318561.4 Les lieux médiateursEspaces, plates-formes <strong>et</strong> maisons de services publics dans les quartiersSaint-Denis : Profession Banlieue, 1999. - 88 p., bibliogr. (Actes de la rencontre organisée parProfession Banlieue <strong>et</strong> la <strong>Ville</strong> de St-Denis le 25 mars 1999)La journée d'étude présente plusieurs approches de la réalité des plates-formes de services publicsaujourd'hui : les interrogations suscitées par ces initiatives, les enjeux <strong>et</strong> les éléments constitutifsd'une démarche qualité. Les interventions <strong>et</strong> débats <strong>et</strong> une synthèse des ateliers sont présentés. Unebibliographie <strong>et</strong> des textes comme la charte des services au public ou l'appel à proj<strong>et</strong> lancé par la DIVcomplètent la publication.IA 41339 ; CDU 51261INSTITUT DU COMMERCE ET DE LA CONSOMMATION. PARISQuel avenir pour le commerce dans les quartiers en difficulté?Paris : ICC, 1996.- 95 p. (coll. Connaissance du commerce <strong>et</strong> de la consommation)La prise en compte des intérêts du commerce, « acteur négligé de la politique de la ville », est unenécessité. Face à un échec urbanistique <strong>et</strong> architectural, à un mécanisme de peuplementproblématique <strong>et</strong> à une identité façonnée par la crise économique, la nécessité d'une politique


<strong>Ville</strong> <strong>et</strong> <strong>médiation</strong> : bibliographiepublique de la ville s'est imposée. Néanmoins, la politique de la ville, à l'issue d'un développementinauguré dans les années 1970 <strong>et</strong> dont la chronologie est r<strong>et</strong>racée, reste une réponse insuffisantepour le commerce. De ce fait, le commerce, cible privilégiée des délinquants, se r<strong>et</strong>rouve négligé. Ilest pourtant l'un des derniers acteurs privés présent dans les quartiers en difficulté, où son importanceest démontrée par des exemples locaux : Le Havre, Sartrouville, le quartier des Dervallières à Nantes,le quartier des Mingu<strong>et</strong>tes à Vénissieux. C'est pourquoi le commerce doit être au centre d'unecollaboration de tous les acteurs, comme on le constate dans les opérations de la Fondation Agircontre l'exclusion (FACE) <strong>et</strong> dans les actions de l'ANPE. Par ailleurs, les proj<strong>et</strong>s doivent égalements'appuyer sur d'autres secteurs de la vie économique, à savoir les transports, le bâtiment <strong>et</strong> lesservices.CDU 34363UNION NATIONALE DES FEDERATIONS D'ORGANISMES D'HLM. PARISDes pôles emploi-formation créés au coeur des quartiers d'habitat socialParis : UNFOHLM, 1996.- 67 p., ann., tabl.L'auteur de ce dossier thématique sur les « pôles emploi-formation » expose la politique d'insertionsociale par l'économique commencée en 1991. Les acteurs sociaux avaient pour objectifd'expérimenter toutes les solutions pouvant perm<strong>et</strong>tre de ralentir les processus de dégradationssociales <strong>et</strong> économiques constatés sur les quartiers d'habitat social en réduisant les handicaps despopulations (origine, niveau de qualification, comportement, âge...) pour perm<strong>et</strong>tre leur accès àl'emploi. Ils se sont ensuite investis dans la mise en oeuvre de pôle emploi-formation, restantrésolument dans une logique de maîtrise d'ouvrage <strong>et</strong> faisant appel au partenariat. Ce rapports'articule en cinq points : le rôle <strong>et</strong> le positionnement des organismes HLM, l'accueil <strong>et</strong> l'évaluation despopulations, la formation-emploi, l'insertion-emploi <strong>et</strong> enfin, l'analyse du partenariat avec les quartiersdes Tarterêts (Corbeil-Essonnes), de la Rose des Vents (Aulnay-sous-bois), des Indes (Sartrouville),du Bois de l'Etang (La Verrière), des Côteaux (Mulhouse), du quartier Nord (Amiens), de la Gauthière(Clermont-Ferrand).CDU 39969 ; IA 41452VIGNOBLE GérardLes Maisons de justice <strong>et</strong> du droitParis : Min. de la Justice, 1995.- 27 p.+ ann.Dans un rapport remis au Garde des Sceaux, G. Vignoble, député du Nord, dresse « un constatextrêmement positif des Maisons de justice. Celles -ci répondent à l’attente des victimes qui peuventrencontrer un interlocuteur <strong>et</strong> voient leur sort rapidement pris en compte ». Elles « constituent une desformes de c<strong>et</strong>te démarche de justice de proximité <strong>et</strong> contribuent efficacement au maintien de la paixsociale <strong>et</strong> de l’état de droit. Elles perm<strong>et</strong>tent, dans des locaux mis à disposition par les municipalités,l’exercice de l’action publique de manière déconcentrée <strong>et</strong> différenciée pour la p<strong>et</strong>ite délinquance <strong>et</strong>proposent, notamment, d’informer les justiciables <strong>et</strong> d’aider les victimes d’infractions pénales.L’accueil du public <strong>et</strong> son orientation sont assurés par un secrétariat. Une convention entre lesmembres fondateurs détermine les engagements de chacun ». En annexe : la liste des maisons dejustice ; la circulaire du ministre (02/10/1992) sur les réponses à la délinquance urbaine ; le texte de laconvention-type relative à la création <strong>et</strong> au fonctionnement de la maison de justice <strong>et</strong> du doit.CNDP-VEIBAROU Jacques ; BERTHET Jean-Marc ; MAGUER AnnieL’accueil à l’épreuve de l’intégration : bureaux d’accueil, usagers <strong>et</strong> services publicsLyon : ISM-Rhône-Alpes, 1994. - 109 p., tabl.Une démarche des organismes <strong>et</strong> associations subventionnés par le FAS a permis à la commissiond’évaluation de la CRIPI-Rhône-Alpes de démarrer une enquête sur les bureaux d’accueil. L’objectifde ce travail consistait à savoir si les services d’accueil <strong>et</strong> d’information des étrangers participent àune meilleure intégration des publics qui les utilisent ou si, au contraire, ils ont tendance à produireune clientèle captive. L’exercice de la fonction d’accueil semble soumis à quatre conditions : laclarification de l’identité des structures d’accueil ; la constitution de référents bien identifiés par lesdivers partenaires ; le choix de structures centrales, facilement accessibles physiquement <strong>et</strong>socialement ; la réorientation vers une fonction de re-<strong>médiation</strong> administrative indépendante <strong>et</strong> cofinancéepar des fonds multiples.CNDP-VEI


<strong>Ville</strong> <strong>et</strong> <strong>médiation</strong> : bibliographieJAMMARON Eric (dir.) ; ARBONA Marc (dir.)Télés <strong>et</strong> quartiersParis : Vivacités, 1993.- 71 p.C<strong>et</strong>te étude fait le tour des initiatives de télévisions de quartier : celles qui sont faites pour <strong>et</strong> avec leshabitants ; celles qui participent à la vie locale ; celles qui agissent sur le plan économique, social <strong>et</strong>culturel d’une région, d’une ville ou d’un quartier. C’est aussi un répertoire de près de 100 télévisionslocales en France, <strong>et</strong> des noms, des adresses, des contacts… Au sommaire : Télévisions deproximité, média de fin de siècle ; Pourquoi des télés de quartier ? ; Quels supports de diffusion pourles télévisions de proximité ? ; Les télévisions de quartier en fiches ; Un répertoire des télévisionslocales ; Une région : l’est de la France.CNDP-VEIBOISSET AnneASSOCIATION DE RECHERCHES D'INTERVENTIONS ET D'ETUDES SOCIOLOGIQUES ETETHNOLOGIQUES. BRON - FRANCE. URBANISME LOGEMENT ET TRANSPORTS (MIN.). PLANURBAINLes p<strong>et</strong>ites humanités <strong>et</strong> leur espace de parole. L'écoute téléphonique comme traitement dessituations de détresseLyon : ARIESE, 1991.- 71 p., ann., graph., bibliogr.L'assistance aux personnes en détresse au moyen de l'écoute téléphonique est analysée à partir del'exemple de l'association « SOS amitié », dont la particularité est de ne pas être spécialisée dans untype de détresse <strong>et</strong> de ne reposer que sur le bénévolat. L'étude s'appuie sur des enquêtes réaliséesdans différentes villes où existe l'association (Paris, Marseille, Strasbourg, Lille, Albi <strong>et</strong> Lyon) <strong>et</strong> surune expérience du travail d'écoute, menée durant trois ans dans un poste lyonnais. Elle s'organise entrois temps : la présentation de « SOS amitié » <strong>et</strong> l'analyse des moyens que se donne c<strong>et</strong>teassociation pour construire <strong>et</strong> maintenir son cadre d'écoute ; la présentation des bénévoles <strong>et</strong> desappelants par le biais des appels ; l'analyse du travail de l'écoutant, c'est à dire la manière dont ilélabore un diagnostic <strong>et</strong> traite les appels en aménageant un espace de parole, en travaillant saprésence <strong>et</strong> en occupant une place particulière dans l'échange.CDU 535201.5 Les médiateursROBERT YvonGROUPE DE TRAVAIL INTERMINISTERIEL SUR LES EMPLOIS DE MEDIATION SOCIALELes emplois dits de <strong>médiation</strong> socialeParis : Ministère de la ville, 2001.- 21 p.Suite au rapport Brévan-Picard, sur les nouveaux métiers dans les villes, un groupe de travail, présidépar Yvon Robert s'est attaché plus précisément à la réflexion sur les emplois dits de <strong>médiation</strong>sociale. Les conclusions de ce groupe de travail s'articulent autour de quatre questions majeurs : lastabilisation des ces nouveaux métiers <strong>et</strong> leur statut juridique, la question des emplois jeunes, lesquestions de financement des ces emplois <strong>et</strong> la mutualisation des moyens de la part des employeurs.Un proj<strong>et</strong> de charte est présenté <strong>et</strong> doit servir à bâtir les dispositions statutaires <strong>et</strong> les dispositifs deformation nécessaires à la mise en oeuvre de propositions dans la lignée du rapport de Brévan-Picard.CDU 55281 ; http://www.ladocumentationfrancaise.fr/brp/notices/014000634.shtmlMédiateurs culturels, scolaires, sociaux, judiciaires... Symptômes d’une société autiste ?TERRITOIRES. (FRA). n° 422, nov. 2001.- 52 p.Les articles de ce numéro traitent successivement du vocable qui entoure la <strong>médiation</strong> <strong>et</strong> de sessignifications (opposition <strong>médiation</strong> institutionnelle <strong>et</strong> <strong>médiation</strong> citoyenne), du problème de laprofessionnalisation de la <strong>médiation</strong> (évocation de l’échec dans l’éducation populaire), de l’expériencedes femmes-relais comme exemple de questionnement entre <strong>médiation</strong> interculturelle <strong>et</strong> <strong>médiation</strong>communautaire, de la légitimité accordée aux associations engagées dans la prévention de proximité,de la situation de l’accès au droit <strong>et</strong> des questions qu’il pose, de l’exemple des antennes juridiques <strong>et</strong>de <strong>médiation</strong> de Marseille, des boutiques de droit <strong>et</strong> des médiateurs dans l’agglomération lyonnaise,des enjeux de la professionnalisation de la <strong>médiation</strong>, de l’exemple de service public de proximité que


<strong>Ville</strong> <strong>et</strong> <strong>médiation</strong> : bibliographieconstitue la maison de Pessac, d’une expérience de rapprochement entre l’institution judiciaire <strong>et</strong> lesacteurs locaux dans un quartier de Strasbourg, des pratiques de <strong>médiation</strong> scolaire avec les exemplesde Lyon <strong>et</strong> de Saint-Etienne du Rouvray, <strong>et</strong> enfin des rapports administratifs concernant lesmédiateurs récemment publiésCDUBREVAN Claude ; PICARD PaulDELEGATION INTERMINISTÉRIELLE À LA VILLEUne nouvelle ambition pour les villes. De nouvelles frontières pour les métiersLa Plaine-St-Denis : DIV, 2000.- 177 P., ann.Depuis une vingtaine d'années, l'Etat <strong>et</strong> les collectivités locales ont encouragé de nouveaux modesd'intervention visant à lutter contre l'exclusion <strong>et</strong> l'insécurité croissantes. Ce rapport, demandé parClaude Bartolone, ministre délégué à la ville, vise à promouvoir les métiers spécifiques liés à lapolitique de la ville <strong>et</strong> au développement social urbain en participant à un effort de définition. Il choisitd'approfondir trois familles de métiers, abordées successivement : les métiers du développementsocial urbain, ceux de l'aménagement, les métiers de la <strong>médiation</strong> <strong>et</strong> les liens entre travail social <strong>et</strong>politique de la ville.CDU 52463 ; IA 42009HEURGON EdithAgents d'urbanité publique ? De nouveaux partenaires pour la villeLa Tour d'Aigues : Ed. de l'Aube, 2000.- 291 p., schémasRéunissant des témoignages de responsables d'entreprises ainsi que les résultats du programme derecherche commun à la RATP, la coopérative ACADIE <strong>et</strong> le CEREQ, c<strong>et</strong> ouvrage revient sur la notiond'urbanité à travers l'analyse de différentes opérations menées par les agents des associations« Partenaires pour la ville ». Ces initiatives locales ont été créées dans le souci d'améliorer la gestionurbaine <strong>et</strong> de moderniser le service public au sein du territoire. Elles emploient une majorité de jeunesqui, se sentant ainsi utiles, participent à la vie urbaine en devenant des agents d'urbanité publique.CDU 53036 ; IA 42448 ; CP 6968STASI BernardLe médiateur de la République : rapport au président de la République <strong>et</strong> au Parlement 1999Paris : Imprimerie nationale, 2000. - 264 p., tabl., graph., photo., ann., indexCe rapport dresse le bilan de l'activité générale de la Médiature, de l'activité des déléguésdépartementaux <strong>et</strong> de celle des secteurs d'instruction des réclamations <strong>et</strong> des secteurs transversaux.Des réflexions plus théoriques y sont également exposées en ce qui concerne : les agriculteurs ; lenotariat <strong>et</strong> la sécurité juridique ; la mobilité résidentielle <strong>et</strong> la fiscalité ; la mobilité géographique <strong>et</strong>professionnelle <strong>et</strong> la protection sociale ; l'association pour la gestion du régime des créances dessalariés (AGS).DRE 2561(27) ; (éd. 2001 : http://www.mediateur-de-la-republique.fr/actu/rapport/index.htm)Femmes-relais : quelle place dans l'intervention sociale ? Actes de la journée du 16 novembre1999St-Denis : Profession Banlieue, 2000. - 89-60 p., tabl., ann. (Journée organisée par ProfessionBanlieue avec l'IRTS de Paris <strong>et</strong> l'ARIFA)Après un compte-rendu des actions finalisées entre 1997 <strong>et</strong> 1999 <strong>et</strong> notamment de la rechercheactionauprès des habitants bénéficiaires de l'action des femmes -relais, de responsablesinstitutionnels <strong>et</strong> financiers, les interventions ont porté sur la place <strong>et</strong> le rôle des femmes -relais,nouveaux acteurs sociaux de proximité <strong>et</strong> sur l'évolution des métiers du travail social.IA 41688 ; CDU 51729JOHNSTON Elizab<strong>et</strong>h ; LACOMBE SylviaFORUM FRANCAIS POUR LA SECURITE URBAINEProfils, missions <strong>et</strong> perspectives des agents locaux de <strong>médiation</strong> sociale. Les ALMS sur le fildu rasoirParis : FESU, 1999.- 99 p., graph., tabl., bibliogr. (coll. Sécurité <strong>et</strong> démocratie)Recrutés dans le cadre du programme « nouveaux emplois - nouveaux services », ces ALMSreprésentent une opportunité pour lutter contre l’insécurité. Agents d’ambiance dans les transports encommun, agents de vie quotidienne, animateurs de proximité, agents de conciliation, ou encoreagents de citoyenn<strong>et</strong>é, tous contribuent à inventer de nouvelles formes d’intervention dans l’espace


<strong>Ville</strong> <strong>et</strong> <strong>médiation</strong> : bibliographiepublic. Ces nouveaux métiers de la rue s’adressent notamment pour partie à des catégories depopulation souvent oubliées dans la gestion de l’espace public : adolescents, sans domiciles fixes,toxicomanes, personnes âgées… parallèlement à ce réinvestissement de l’espace public, ils initient unrenouveau de la conception de la sécurité en perm<strong>et</strong>tant non seulement d’agir sur la délinquance oula violence sur la voie publique, mais surtout sur le sentiment d’insécurité. Ils modifient le rapport de lapopulation à ses institutions en contribuant à faire remonter la demande sociale comme à orienter lesplus démunis vers les services compétents. Le dispositif ALMS a permis la création de plus de 4000emplois de proximité ; il constitue un des moyens de mise en œuvre des contrats locaux de sécurité(CLS).CDU 51335PAQUIET Pierre ; BOURGEOIS FrédériquePROGRAMME DE RECHERCHE ET D'INNOVATION DANS LES TRANSPORTS TERRESTRES ;FRANCE. EQUIPEMENT (MIN.). RECHERCHE ET AFFAIRES SCIENTIFIQUES ET TECHNIQUES(DIR.)Agents d'ambiance dans les transports publics urbains : pratiques, eff<strong>et</strong>s <strong>et</strong> enjeux d'un métieren émergenceLyon : Economie <strong>et</strong> humanisme, 1999.- 162 p., graph., tabl., bibliogr.Les agents d'ambiance ont fait leur apparition à partir des années 1990. Ils constituent une tentativede réponse de la part des entreprises de transport urbain face à la montée de l'insécurité <strong>et</strong> auxdégradations qui perturbent leur bon fonctionnement. De telles initiatives ont pris naissance dans lesgrandes agglomérations, premières victimes de la violence urbaine, puis se sont étendues à tout l<strong>et</strong>erritoire. Après une décennie d'expérimentation, un bilan peut être rendu sur ces actions très variées,issues de divers contextes locaux mais faisant face aux mêmes enjeux économiques <strong>et</strong> sociaux.Après une introduction générale sur la situation sociale <strong>et</strong> les problèmes d'insécurité, le rapport fait lepoint sur le métier émergent d'agent d'ambiance, tant sur les conditions de sa création, le recrutement,la formation, la fonction des agents, leur rôle dans l'entreprise, l'impact de leur présence sur lefonctionnement des transports. Enfin il s'interroge sur ce nouveau métier en construction. Le bilanreste provisoire car la phase d'expérimentation se poursuit.CDU 51792MAGUER Annie ; BERTHET Jean-MarcLes agents des services publics dans les quartiers difficiles. Entre performance <strong>et</strong> justicesocialeParis : La Documentation française, 1997.- ann., tabl., bibliogr. (Rapport d'étude de la DGAFP)C<strong>et</strong>te étude est le fruit d'une enquête réalisée à la demande de la Direction générale del'administration <strong>et</strong> de la fonction publique, auprès des agents de service public travaillant dans desquartiers difficiles, de façon à ce qu'ils donnent leur point de vue sur leur métier <strong>et</strong> précisent leursattentes. Trois sites ont été sélectionnés : la Seine-Saint-Denis, les départements du Rhône <strong>et</strong> de laDrôme <strong>et</strong> le département des Bouches-du-Rhône. Ce rapport est organisé en trois chapitres : lepremier analyse la façon dont les services publics, au contact des publics défavorisés ou situés dansles quartiers en difficulté, parviennent à faire face à la demande sociale du public tout en répondantmalgré tout à l'obligation réglementaire <strong>et</strong> gestionnaire ; le second évalue les conditions de la mobilité<strong>et</strong> de la stabilité des agents en termes de stratégies professionnelles, de profils <strong>et</strong> de conditionsmatérielles de travail ; les modalités d'action des services publics sont envisagées dans le troisième,selon qu'elles peuvent apparaître comme de nouvelles missions, une réorganisation des services ouun redéploiement des compétences. Des mesures à m<strong>et</strong>tre en oeuvre de façon à valoriser lesnouveaux métiers qui se dessinent, sont proposées en conclusion.CDU 35329GAULLIER Jean-MichelCENTRE DE RENCONTRES ET D'INITIATIVES POUR LE DEVELOPPEMENT LOCAL. PARISAgents de développement local. Eléments de référence pour l'emploiParis : CRIDEL, 1991.- 21 p., ann.Etude sur le métier d'agent de développement. La 1ère partie est un recueil de référencesprofessionnelles donnant des indications sur : les contrats de travail, la convention collective, la durée<strong>et</strong> l'aménagement du temps de travail, la rémunération <strong>et</strong> les frais de déplacement, les jours fériés <strong>et</strong>congés, la protection sociale complémentaire <strong>et</strong> la formation professionnelle continue. La 2ème partieest une synthèse de textes (conventions collectives, contrats, <strong>et</strong>c.) <strong>et</strong> de pratiques fixant le rapport


<strong>Ville</strong> <strong>et</strong> <strong>médiation</strong> : bibliographiequalification/rémunération. En annexe sont donnés des interviews d'organismes employant desagents de développement.CDU 271811.6 ProjectionGOTMAN AnneLe sens de l'hospitalité. Essai sur les fondements sociaux de l'accueil de l'autreParis : PUF, 2001.- 507 p., bibliogr., (coll. Le lien social)L'hospitalité est une pratique sociale vertueuse. En son nom, on rend service, offre l'hébergement.S'appuyant sur une enquête auprès de personnes concernées par c<strong>et</strong> usage, c<strong>et</strong> ouvrage cherche àmontrer qu'elle est une pratique mêlant coopération, solidarité mais aussi prudence <strong>et</strong> distance. Ainsi,après avoir r<strong>et</strong>racé les contours socio-historiques de la notion, il analyse les pratiques hospitalièresenvers les proches ou les inconnus, à l'image des réfugiés de la guerre du Kosovo. Au coeur de laville, elle participe désormais au principe d'urbanité.CDU 53767LALLEMAND Dominique (collab.)ASSOCIATION NATIONALE DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL ;FEDERATION NATIONALEDES ASSOCIATIONS D’ACCUEIL ET DE READAPTATION SOCIALELes défis de l’innovation socialeParis : Ed. ESF, 2001.- 160 p. (coll. Actions sociales. Société)Comment définir le concept d’innovation dans l’action sociale ? Comment en tracer les frontières ? Quisont les promoteurs d’actions innovantes ? Sur quels critères considérer qu’un proj<strong>et</strong> relève del’innovation ? S’agit-il seulement de rompre avec la routine ? ou de redonner sens à des pratiquesanciennes ? mais alors où est la nouveauté ? L’innovation peut-elle être porteuse de valeurs pourl’action sociale ?… Le premier défi consistait déjà à oser aborder ce thème, peu traité dans le secteurde l’action sociale <strong>et</strong> médico-sociale. La Fédération nationale des associations de réinsertion sociale(FNARS) <strong>et</strong> l’Association nationale des assistants de service social (ANAS) l’ont relevé en organisantun forum - « Les défis de l’innovation sociale » en mars 2000 à Poitiers - auquel ont participé un millierd’acteurs sociaux. Le deuxième défi consistait à prouver que le travail social pouvait inventer <strong>et</strong>participer au changement.BPI 365.7 DEFGILLES MarcGROUPEMENT DES AUTORITES RESPONSABLES DES TRANSPORTS. PARISQuelle ville pour demain ? La demande urbaine : la ville, aujourd'hui <strong>et</strong> demain telle qu'elle estvue par ses habitantsParis : Marc Gilles <strong>et</strong> Associés, 1999.- 21 p., tabl. (Enquête réalisée pour le GART avec le concoursde l'ADEME, de la DRAST, d'EDF <strong>et</strong> de Renault dans les agglomérations de Clermont-Ferrand,Rennes <strong>et</strong> Toulouse)L'enquête menée auprès des habitants de trois agglomérations françaises (Clermont-Ferrand, Rennes<strong>et</strong> Toulouse), afin d'identifier la demande urbaine <strong>et</strong> son impact sur les modes de déplacements,montre que les citadins sont attachés à la ville <strong>et</strong> à ses attraits, qu'ils veulent moins de voitures, destransports en commun innovants <strong>et</strong> plus d'attention pour les piétons.IA 41735ROULLEAU-BERGER LaurenceLe travail en friche. Les mondes de la p<strong>et</strong>ite production urbaineLa Tour d'Aigues : Ed. de l'Aube, 1999.- 245 p., bibliogr. (Aide à l'édtion du Plan urbain)Le travail en friche n'est ni la fin du travail, ni la rar<strong>et</strong>é du travail. Il est le travail d'aujourd'hui, un travailqui ne fonctionne plus dans sa pratique ni même dans son principe unificateur social. C<strong>et</strong>te idée estillustrée dans c<strong>et</strong> ouvrage (issu de travaux de recherche) par de nombreux témoignages de jeunes ensituation précaire. On y voit comment s'enchevêtre, dans la ville d'aujourd'hui, une diversitéd'économies qui font apparaître ce que l'auteur appelle les mondes de la p<strong>et</strong>ite production urbaine. Lasociologie de ces mondes, ici présentée en une approche en termes d'économies, d'espaces <strong>et</strong> decultures, perm<strong>et</strong> de réfléchir sur les porosités <strong>et</strong> imperméabilités entre les différents mondes de la


<strong>Ville</strong> <strong>et</strong> <strong>médiation</strong> : bibliographieproduction, mais aussi sur la difficulté des acteurs à percevoir leurs places <strong>et</strong> leurs trajectoires <strong>et</strong> à lesraconter : premier boulot ? p<strong>et</strong>its boulots ? début d'une ascension sociale ? dérive vers l'exclusion ?C<strong>et</strong> essai renouvelle la réflexion sur la notion même de travail <strong>et</strong> son rôle socialisateur.CDU 50099 ; EPC NS23482DUPOIZAT Danièle ; JAMET Claude ; KHALAF-GIRARDON FrançoiseCENTRE DE LIAISON DE L’ENSEIGNEMENT ET DES MOYENS D’INFORMATIONApprendre la citoyenn<strong>et</strong>é avec la presse <strong>et</strong> la télévisionLyon : CRDP, 1997.- 88 p.Il s’agit d’une réflexion <strong>et</strong> de propositions de travail sur l’éducation civique au collège <strong>et</strong> au lycée àtravers l’utilisation pédagogique des médias. Le fonctionnement des institutions, la présentation d’unfait divers, le fonctionnement de la justice : autant d’éléments d’éducation à la citoyenn<strong>et</strong>é pourlesquels la presse <strong>et</strong> la télévision sont indispensables à la pratique pédagogique. Si l’apprentissagede la citoyenn<strong>et</strong>é fait de l’élève un acteur de sa vie future, un être curieux, ce travail sur l’éducationcivique à travers les médias lui perm<strong>et</strong>tra de porter sur le monde une pensée plus complexe, parcequ’il aura dépassé le rapport superficiel <strong>et</strong> émotionnel qu’il entr<strong>et</strong>ient souvent avec les médiasd’information, devenant alors un citoyen raisonnable <strong>et</strong> responsable. La morale exigeante de lacitoyenn<strong>et</strong>é n’est pas innée, elle est le résultat global d’une éducation à la quelle participe de façonparticulière la pratique de l’éducation civique au collège <strong>et</strong> au lycée.CNDP-VEIFRANCE. DIRECTION GENERALE DE L'ADMINISTRATION ET DE LA FONCTION PUBLIQUERéussir la relation avec l'usager ; réflexions, méthodes <strong>et</strong> expériences pour améliorer l'accueilParis : Direction générale de l'administration <strong>et</strong> de la fonction publique, 1997.- 66 p.Le contact avec l'usager (particulier, entreprise, élu local, association,...) est la vitrine du servicepublic. L'améliorer est un gage de son efficacité. Mais cela suppose d'y consacrer beaucoup d'efforts,en impliquant l'ensemble des acteurs de la « chaîne accueil ». Mieux comprendre les évolutions <strong>et</strong> lesenjeux de la relation avec l'usager, mobiliser ses collaborateurs, piloter une démarche globaled'amélioration des relations avec les usagers, améliorer l'accueil au guich<strong>et</strong>, organiser un accueiltéléphonique performant, traiter efficacement les courriers des usagers... sont des questions qui seposent quotidiennement. Ce document, avec des exemples concr<strong>et</strong>s <strong>et</strong> des outils pratiques, aidera lesservices administratifs à construire les réponses adaptées à leurs besoins.DCN 39-364 ; DRE T.2468INSTITUT DE LA MEDITERRANEE. MARSEILLEL'école de la deuxième chance. Actes du colloque organisé à Marseille les 9 <strong>et</strong> 10 décembre1996 « Le proj<strong>et</strong> d'école de la deuxième chance de Marseille à la lumière des expériencesinternationales »La Tour d'Aigues : Ed. de l'Aube, 1997.- 216 p.,cartes (Proj<strong>et</strong>s pilotes européens d'écoles de ladeuxième chance soutenus par la Commission européenne, DG XXII Education Formation <strong>et</strong>Jeunesse)Moyens de lutte contre l'exclusion pour les jeunes des quartiers défavorisés des grandes villeseuropéennes, contre leur marginalisation du fait qu'ils sont exclus du savoir <strong>et</strong> du travail : 1. lepartenariat avec tous les acteurs économiques, notamment territorialisés ; 2. les équipesenseignantes les plus qualifiées ; 3. une pédagogie reposant sur des méthodes <strong>et</strong> des rythmesadaptés, incluant notamment les nouvelles technologies ainsi que des activités sportives <strong>et</strong>culturelles ; 4. l'intégration des entreprises tout au long du parcours, sous la forme d'un parrainage leplus poussé possible ; 5. l'association des familles <strong>et</strong> de l'ensemble du tissu associatif.EPC NS23466HAMMOUCHE AbdelhafidMédiation <strong>et</strong> travail social. La gestion du bailleur <strong>et</strong> le travail social à l’épreuve de la proximité.in <strong>Ville</strong>s, sciences, professionsESPACES ET SOCIETES, n°84-85, 1996.- pp.137-151, réf. bibliogr.CDUINTER. ORGANISATION DE COOPERATION ET DE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUES. PARISRéconcilier l'économique <strong>et</strong> le social. L'économie plurielleParis : OCDE, 1996.- 237 p., bibliogr. (coll. OCDE poche)


<strong>Ville</strong> <strong>et</strong> <strong>médiation</strong> : bibliographieC<strong>et</strong> ouvrage regroupe des réflexions théoriques, des expériences concrètes <strong>et</strong> des propositionspolitiques sur le thème de l' « économie plurielle », qui vise à réintégrer l'économie dans un proj<strong>et</strong> desociété plus global. La première partie réfléchit sur les possibilités d' « élargir le paradigmeéconomique actuel ». Les deux suivantes présentent des éléments de cadrage théorique <strong>et</strong> desexemples relatifs à l'économie plurielle : les perspectives ouvertes par Fernand Braudel ; le secteurdes soins <strong>et</strong> des services sociaux aux personnes ; l'économie informelle au nord <strong>et</strong> au sud ; latransition économique <strong>et</strong> les activités informelles en Slovénie ; la relation entre entreprise, ville <strong>et</strong>qualité urbaine ; les services sociaux en Hongrie <strong>et</strong> au Royaume-Uni. La quatrième partie regroupediverses propositions pour soutenir <strong>et</strong> légitimer l'économie plurielle : l'émergence d'une nouvelleingénierie ; l' « économie jumelle » (fondée sur une monnaie parallèle) comme solution partielle auchômage ; les activités d'utilité écologique ; l'aide financière aux emplois hors marché ; l'économie <strong>et</strong>le lien social dans les quartiers.CDU 37710FRAISSE Robert (coord.)Citoyens <strong>et</strong> décision publiqueParis : Club Convaincre, 1995.- 55 p., bibliogr. (Revue Convaincre, suppl. n°94, avril 1995)Ce document propose tout d’abord un ensemble de textes axés autour d’un objectif consistant àr<strong>et</strong>rouver le sens de la citoyenn<strong>et</strong>é dans une société qui a changé, en cherchant à faire vivre le désird’être citoyen <strong>et</strong> à rendre confiance dans la République (rétablir le politique dans son autorité morale àpartir du constat de ses défaillances, r<strong>et</strong>rouver les chemins d’une légitimité politique <strong>et</strong> démocratiser ladécision publique). La seconde partie formule un ensemble de propositions pour créer les conditionsd’exercice d’une citoyenn<strong>et</strong>é renouvelée en faisant de l’Etat l’animateur d’un espace public ouvert <strong>et</strong>partagé (rapprocher la décision publique des gens, clarifier le rôle des décideurs publics, légitimer ladécision publique), en rendant les citoyens acteurs de la décision publique, en situant la citoyenn<strong>et</strong>éfrançaise dans une citoyenn<strong>et</strong>é européenne.CDU 54093Actes du colloque « Vieillir au pluriel ». Solidarité entre générations dans une société envieillissement ; 20-21 janvier 1995 à la Marlagne (Wépion)Bruxelles : Direction générale de la culture <strong>et</strong> de la communication, 1995.- 179 p., ann., ill., bibliogr.Présentation des communications effectuées au cours du colloque : métamorphose <strong>et</strong> nouvellessolidarités ; de la r<strong>et</strong>raite repos à la r<strong>et</strong>raite « utilité civique » ; enjeux sociaux <strong>et</strong> économiques de laseconde carrière ; solidarité entre les revenus des aînés <strong>et</strong> les emplois des jeunes ; les familles, lieuxmultiples d'apprentissage de la citoyenn<strong>et</strong>é ; pratiquer la réciprocité <strong>et</strong> la citoyenn<strong>et</strong>é ; la solidarité,affaire de famille ou affaire d'Etat ; la maturescence, crise de croissance : âge chronologique, âgesocial, âge psychologique ; l'alliance des âges, évolution du lien social entre les générations ; entre lesgh<strong>et</strong>tos de la jeunesse <strong>et</strong> ceux de la vieillesse, une trame sociale à remailler ; pratiquer laresponsabilité <strong>et</strong> la communication.CDU 38546

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