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DIREN-plaquette ours:Mise en page 1 - DREAL Midi-Pyrénées

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Les <strong>Pyrénées</strong>avec l’<strong>ours</strong>


Carte d'id<strong>en</strong>titédu plus gros mammifèresauvage françaisNomNom commun : <strong>ours</strong> brunNoms usuels : Martin, Lou Pé Descaous(le va-nu-pieds), le Type ou Lou Moussu(le monsieur)Nom sci<strong>en</strong>tifique : Ursus arctos0,8 à 1,10 m1,70 à 2,20 m2


TailleL’<strong>ours</strong> brun mesure de 1,70 à 2,20 mètres deboutet 0,80 à 1,10 mètre au garrotPoidsLe poids de l’adulte varie considérablem<strong>en</strong>t <strong>en</strong> fonctiondu sexe. Le poids est de l’ordre de 90 kg pour une femelleet peut atteindre jusqu’à 300 kg pour un mâleCouleurBeige à brun foncéSilhouetteTête portée basseOreilles dressées et rondesBosse sur le dos au niveau des épaulesAspect général massifLongévité20 à 25 ans <strong>en</strong> milieu naturelComportem<strong>en</strong>tHabituellem<strong>en</strong>t solitaireActif principalem<strong>en</strong>t la nuitAire de répartition <strong>en</strong> FranceAutrefois prés<strong>en</strong>t dans toute la France, puis dans lesseuls massifs montagneux et depuis les années 1940uniquem<strong>en</strong>t dans les <strong>Pyrénées</strong>3


Biologiede l’<strong>ours</strong> brunCycle de reproductionchez l’<strong>ours</strong> brun d’EuropeRut et fécondationSortie de tanièreArrêt du développem<strong>en</strong>t de l'embryonDormance hivernaleReprise du développem<strong>en</strong>tde l'embryon ou avortem<strong>en</strong>tselon les réserves de graisseAnnée 1Développem<strong>en</strong>tde l'embryonDormancehivernaleNaissanceAnnée 3Année 2Sortie de tanièreRut et fécondationElevage des jeunes4Emancipationdes jeunesSortie de tanièreDormance hivernale


Régime alim<strong>en</strong>taireL’<strong>ours</strong> est un omnivore opportuniste.Il mange ce qu’il trouve facilem<strong>en</strong>t,<strong>en</strong> fonction des saisons : framboises,myrtilles, herbe, glands, faines, châtaignes,insectes, cadavres d’animaux,mammifères domestiques ou sauvages...soit <strong>en</strong> moy<strong>en</strong>ne 70 % de végétaux.Repos hivernalDe décembre à mars, l’<strong>ours</strong> dortd’un sommeil léger. Bi<strong>en</strong> que sesfonctions physiologiques soi<strong>en</strong>tral<strong>en</strong>ties, il n’hiberne pas comme lamarmotte. Il peut quitter sa tanière àcertains mom<strong>en</strong>ts pour profiter dequelques instants de soleil ou de laprés<strong>en</strong>ce de nourriture. La tanière, oùil se retire, se situe le plus souv<strong>en</strong>tdans une cavité rocheuse.ReproductionEn général, l’<strong>ours</strong> comm<strong>en</strong>ce à se reproduireà l’âge de 4 ans. L’accouplem<strong>en</strong>t alieu <strong>en</strong>tre mai et juin. La femelle donn<strong>en</strong>aissance à 1, 2 ou 3 <strong>ours</strong>ons p<strong>en</strong>dantl’hiver suivant. Elle les élève p<strong>en</strong>dantun an et demi. A sa naissance l’<strong>ours</strong>on nepèse que 200 à 300 grammes et est trèsvulnérable : près d’un <strong>ours</strong>on sur 2meurt dans sa première année !5


Au début du XX e siècle, on estime que 150 <strong>ours</strong> sontprés<strong>en</strong>ts sur l’<strong>en</strong>semble du massif pyréné<strong>en</strong>. Il <strong>en</strong> reste<strong>en</strong>viron 70 <strong>en</strong> 1954. La population se fragm<strong>en</strong>te <strong>en</strong>suite <strong>en</strong>deux noyaux : l’un à l’ouest (<strong>Pyrénées</strong>-Atlantiques etHautes-<strong>Pyrénées</strong>) et l’autre au c<strong>en</strong>tre (Ariège et sud de laHaute-Garonne).A partir des années 1970, les instances internationalespr<strong>en</strong>n<strong>en</strong>t consci<strong>en</strong>ce de la nécessité de protéger l’espèce.Un plan de sauvegarde est initié par le gouvernem<strong>en</strong>tfrançais au début des années 1980 mais il ne permetcep<strong>en</strong>dant pas d’<strong>en</strong>rayer la régression.Au début des années 1990, le dernier <strong>ours</strong> disparaît dunoyau c<strong>en</strong>tral. Il ne reste que 7 à 8 individus dans le noyauoccid<strong>en</strong>tal. A cette période, . la disparition de lapopulation d’<strong>ours</strong> bruns dans les <strong>Pyrénées</strong> apparaîtinéluctable.


Sous l’impulsion d’acteurs locaux, l’Etat,avec le souti<strong>en</strong> de l’Europe, décide alorsla mise <strong>en</strong> place d’un programme derestauration et de conservation de l'<strong>ours</strong>brun dans les <strong>Pyrénées</strong>. En 1996-1997,trois <strong>ours</strong> bruns, de la même espèceque les <strong>ours</strong> des <strong>Pyrénées</strong>, sont capturés<strong>en</strong> Slovénie et relâchés dans les <strong>Pyrénées</strong>Piège « lacet à patte » c<strong>en</strong>trales. Ils montr<strong>en</strong>t une bonne adaptationpour capturer les <strong>ours</strong> aux milieux pyréné<strong>en</strong>s. Plusieurs naissances ontlieu. Cep<strong>en</strong>dant, la population d’<strong>ours</strong> brunsdemeure non viable (1) <strong>en</strong> raison de nombreux facteurs :effectif <strong>en</strong>core faible, nombre de femellesinsuffisant, risque de consanguinité (2) , fragm<strong>en</strong>tationgéographique.Exam<strong>en</strong> vétérinaire88


Pesée et transportEn 2005, le gouvernem<strong>en</strong>t décide un nouveaur<strong>en</strong>forcem<strong>en</strong>t (3) et une large concertation est <strong>en</strong>gagéeavec les acteurs pyréné<strong>en</strong>s sur les modalités de sa mise<strong>en</strong> œuvre.En 2006, 4 femelles et un mâle, originaires deSlovénie, sont lâchés. Aujourd’hui, on dénombre unevingtaine d’<strong>ours</strong> sur l’<strong>en</strong>semble des <strong>Pyrénées</strong>.(1) Une population est considérée comme viable s’il est fort probable qu’ellesoit <strong>en</strong>core existante au bout d’une cinquantaine d’années.(2) Un individu est consanguin si ses deux par<strong>en</strong>ts ont au moins un ancêtrecommun.(3) Le r<strong>en</strong>forcem<strong>en</strong>t est l’action de rajouter au sein d’une populationexistante des individus de la même espèce que ceux prés<strong>en</strong>ts dans cettepopulation pour <strong>en</strong> augm<strong>en</strong>ter le nombre.Lâcher9


Les <strong>Pyrénées</strong>avec l’<strong>ours</strong>un territoire partagéL’<strong>ours</strong> utilise un vaste domaine :<strong>en</strong>viron une c<strong>en</strong>taine de km 2 pour unefemelle, et de 500 à 1 000 km 2 pour unmâle ! Pour répondre à ses besoins biologiques,il parcourt pelouses d’altitude,forêts et fonds de vallées, quisont des milieux égalem<strong>en</strong>tutilisés et gérés par l’homme.Zone de prés<strong>en</strong>ce des <strong>ours</strong> bruns dans le massif pyréné<strong>en</strong>10


Les <strong>Pyrénées</strong>avec l’<strong>ours</strong>un patrimoineLa préservation de l’<strong>ours</strong> participeau mainti<strong>en</strong> du patrimoin<strong>en</strong>aturel et culturel des <strong>Pyrénées</strong>.L’<strong>ours</strong> brun fait partie du patrimoine naturelpyréné<strong>en</strong>. Comm<strong>en</strong>t pourrait-on demander auxAfricains de conserver l’éléphant, si la préservationdes espèces m<strong>en</strong>acées sur notre territoire n’était pasassurée ? C’est pourquoi la France s’est <strong>en</strong>gagée, auniveau international et par une réglem<strong>en</strong>tationnationale cohér<strong>en</strong>te (4) , à maint<strong>en</strong>ir les élém<strong>en</strong>ts de sabiodiversité (5) et notamm<strong>en</strong>t l’<strong>ours</strong> brun.12


La protection de l’<strong>ours</strong> nécessitela préservation du milieu qu’ilutilise, milieu bénéfique àbeaucoup d’autres espèces.Cette action répond à une fortedemande <strong>en</strong> faveur d’un<strong>en</strong>vironnem<strong>en</strong>t préservé pourles générations actuelles etfutures.(4) La France s’est <strong>en</strong>gagée dans le cadrede conv<strong>en</strong>tions internationales à conserverl’<strong>ours</strong> brun sur son territoire. Une directiveeuropé<strong>en</strong>ne demande égalem<strong>en</strong>t sapréservation et son mainti<strong>en</strong>. La loifrançaise le protège, il est interdit de ledétruire.(5) La biodiversité est définie le plussouv<strong>en</strong>t comme la diversité des espècesanimales et végétales prés<strong>en</strong>tes dans unmilieu.L’<strong>ours</strong> fait partie de l’id<strong>en</strong>tité culturelle des <strong>Pyrénées</strong>.On le retrouve dans la littérature locale, les contes etlég<strong>en</strong>des, les fêtes de village, il fait l’objet de mythes. Latoponymie (6) (Coumeille de l’Ours, Pas de l’Ours, Tute del’Ours…) a conservé la mémoire de son passage. Avec lemainti<strong>en</strong> de l’<strong>ours</strong>, cet héritage culturel est <strong>en</strong>tret<strong>en</strong>u etavec lui, l’id<strong>en</strong>tité pyréné<strong>en</strong>ne dans cette singularité.(6) La toponymie des <strong>Pyrénées</strong> estl’<strong>en</strong>semble des noms des lieux Pyréné<strong>en</strong>s.Fête de l’<strong>ours</strong> à Arles sur TechFête de Pratsde Mollo la Preste13


Développer la coexist<strong>en</strong>ce de l’<strong>ours</strong>et du pastoralisme dans les <strong>Pyrénées</strong> :un objectif ess<strong>en</strong>tielSur le massif pyréné<strong>en</strong> versantfrançais, le cheptel ovin (7) compte621 300 têtes. Les pertes annuelleshabituelles que connaiss<strong>en</strong>t leséleveurs sont estimées <strong>en</strong>tre 10 000et 20 000 bêtes.(7) Le cheptel ovin des <strong>Pyrénées</strong> est l’<strong>en</strong>semble desmoutons prés<strong>en</strong>ts sur les <strong>Pyrénées</strong> p<strong>en</strong>dant l’été.Les dommages liés aux <strong>ours</strong> représ<strong>en</strong>t<strong>en</strong>tquant à eux 300 bêtes par an. Cep<strong>en</strong>dantles <strong>ours</strong>, par les attaques qu’ilsoccasionn<strong>en</strong>t, constitu<strong>en</strong>t unecontrainte réelle pour les éleveurs qui ysont confrontés.Expertise d’un dommage d’<strong>ours</strong>L’État apporte un souti<strong>en</strong> financier auxéleveurs dans cette situation. Les dommagesd’<strong>ours</strong> sont indemnisés et des mesures destinées àlimiter les attaques sur les troupeaux sontproposées. L’acc<strong>en</strong>t est mis sur la garde perman<strong>en</strong>tedes troupeaux par un berger, l’utilisation de chi<strong>en</strong>spatou et de parcs électrifiés pour protéger lesanimaux. Ces mesures permett<strong>en</strong>t de réduire voired’éliminer les attaques causées par les <strong>ours</strong>, chi<strong>en</strong>serrants, r<strong>en</strong>ards…14


Ces aides complèt<strong>en</strong>t celles mises <strong>en</strong> place pour conforterl’élevage montagnard. Le mainti<strong>en</strong> de cette activité estune des priorités de l’État. Outre la production de viande oude lait qu’il génère, les emplois qu’il crée, l’élevage <strong>en</strong>montagne préserve aussi la qualité des paysages.C’est grâce aux troupeaux qui les pâtur<strong>en</strong>t, que les estives (8)ne s’embroussaill<strong>en</strong>t pas.(8) Les estives sont les pâturages de haute montagne utilisés p<strong>en</strong>dant l’été par leséleveurs des vallées.Le chi<strong>en</strong> patou, chi<strong>en</strong> de protection,accompagne et veille sur le troupeaujour et nuit. Par sa corpul<strong>en</strong>ce et sesaboiem<strong>en</strong>ts, il dissuade tout intrusde s’approcher15


L’histoire des <strong>Pyrénées</strong> est marquée par uneactivité pastorale (9) vigoureusem<strong>en</strong>t <strong>en</strong>racinéecomme elle est fortem<strong>en</strong>t liée à la prés<strong>en</strong>cedes <strong>ours</strong>. Le défi est clair : l’élevage et l’<strong>ours</strong>sont à leur place dans les <strong>Pyrénées</strong> et ilconvi<strong>en</strong>t d’assurer leur cohabitation.(9) L’activité pastorale ou pastoralisme est la pratique de l’élevagetranshumant qui utilise les vastes espaces de montagne pour leursressources herbagères.L’État apporte égalem<strong>en</strong>t un souti<strong>en</strong> aux apiculteurspour la protection de leurs ruches contre les attaques d’<strong>ours</strong>La prés<strong>en</strong>ce de l’<strong>ours</strong> participe au développem<strong>en</strong>tde la vie économique des <strong>Pyrénées</strong>La prés<strong>en</strong>ce de l’<strong>ours</strong> dans les<strong>Pyrénées</strong> r<strong>en</strong>force l’id<strong>en</strong>tité de ceterritoire et peut être utilisée pourle développem<strong>en</strong>t économique dela région : écotourisme, produitslabellisés (auberges, artisanat, produitsde terroir…).16Fromage du Béarn marquépar une empreinte d’<strong>ours</strong>


Le programme de restauration et conservation del’<strong>ours</strong> dans les <strong>Pyrénées</strong> contribue à la créationd’emplois : personnels impliqués dans la conservationde l’<strong>ours</strong>, ag<strong>en</strong>ts de développem<strong>en</strong>t économique,acteurs du tourisme, acteurs du mondede l’élevage (bergers notamm<strong>en</strong>t)...Plus de 150 emplois ont été créésou confortés directem<strong>en</strong>t par ceprogramme.17


Traces d’<strong>ours</strong>dans les <strong>Pyrénées</strong>Une patte d’<strong>ours</strong> comporte 5 doigtsavec des griffes, contrairem<strong>en</strong>t à celle duchi<strong>en</strong> qui n’<strong>en</strong> a que 4. L’empreinte de lapatte avant est courte et large, la trace dutalon et des griffes est le plus souv<strong>en</strong>tinvisible. Celle de la patte arrière est plus longueet moins large. Elle ressemble à un pied humain carl’<strong>ours</strong>, comme l’homme, est un plantigrade, ilmarche sur la plante des pieds.RepèresTrace de chi<strong>en</strong>Traces d’<strong>ours</strong> : patte avant - patte arrièreTrace de pas18L’<strong>ours</strong> peut consommer des insectes,source de protéines. Ainsi on peuttrouver des pierres qu’il a retournées,des fourmilières et guêpiersév<strong>en</strong>trés…Il vous sera égalem<strong>en</strong>t possible detrouver des crottes d’<strong>ours</strong>. Leuraspect est variable selon la nourritureingérée.L’<strong>ours</strong> laisse aussi çà et là des poilsaccrochés aux branches des arbusteslors de ses déplacem<strong>en</strong>ts.


Recommandations<strong>en</strong> cas de r<strong>en</strong>contre avec un <strong>ours</strong>L’<strong>ours</strong> brun a peur de l’homme. Toutefois sa force physiquepeut le r<strong>en</strong>dre dangereux, comme tout animal sauvage degrande taille (cerf, sanglier…) lorsqu’il est surpris ou se s<strong>en</strong>tm<strong>en</strong>acé. Il faut donc faire att<strong>en</strong>tion.L’<strong>ours</strong> est par nature discret, surtout vis-à-vis de l’homme.Il a une bonne ouïe, un très bon odorat et une vue moy<strong>en</strong>ne.S’il vous <strong>en</strong>t<strong>en</strong>d ou détecte votre odeur, il cherchera à vouséviter. Pour l’aider à vous repérer, vous pouvez manifestervotre prés<strong>en</strong>ce <strong>en</strong> faisant un peu de bruit.Ne suivez jamais des traces d’<strong>ours</strong>. Ne cherchez pas àvous approcher d’un <strong>ours</strong> même si vous êtes à grandedistance, qu’il soit accompagné d’<strong>ours</strong>ons ou seul. Gardezvotre chi<strong>en</strong> à proximité, ne le laissez pas divaguer car ilpourrait provoquer l’<strong>ours</strong>.Si vous r<strong>en</strong>contrez un <strong>ours</strong> à courte distance(- de 50 m), aidez-le à vous id<strong>en</strong>tifier : manifestez-vous calmem<strong>en</strong>t <strong>en</strong> vous montrant,<strong>en</strong> bougeant et <strong>en</strong> parlant, éloignez-vous progressivem<strong>en</strong>t <strong>en</strong> vous écartantdu trajet qu’il pourrait emprunter dans sa fuite, ne courez pas.L’<strong>ours</strong> peut se dresser sur ses pattes arrières : ce n’estpas un signe d’agressivité. Il est curieux ; il cherche àreconnaître les odeurs et à mieux vous id<strong>en</strong>tifier.En cas d’observations, vos témoignages nous intéress<strong>en</strong>t.Merci de contacter :Équipe Technique OursTél. 05 62 00 81 08 - Fax. 05 62 00 81 09Courriel : stgaud<strong>en</strong>s@oncfs.gouv.frPour plus d’information,vous pouvez vous connecter au site Internetwww.<strong>ours</strong>.ecologie.gouv.frou téléphoner au : 05 62 00 81 10 (serveur vocal)19


Programme de restauration et conservationde l’<strong>ours</strong> brun dans les <strong>Pyrénées</strong>Ministère de l’écologie et du développem<strong>en</strong>t durablePréfet de région <strong>Midi</strong>-<strong>Pyrénées</strong>, préfet coordonnateur de massifPréfets de départem<strong>en</strong>ts de l’Ariège, de l’Aude, de la Haute-Garonne,des Hautes-<strong>Pyrénées</strong>, des <strong>Pyrénées</strong>-Atlantiques, des <strong>Pyrénées</strong>-Ori<strong>en</strong>talesDirections régionales de l’<strong>en</strong>vironnem<strong>en</strong>t d’Aquitaine,de Languedoc-Roussillon,de <strong>Midi</strong>-<strong>Pyrénées</strong>Directions régionales de l’agriculture et de la forêt d’Aquitaine,de Languedoc-Roussillon, de <strong>Midi</strong>-<strong>Pyrénées</strong>Directions départem<strong>en</strong>tales de l’agriculture et de la forêt de l’Ariège,de l’Aude,de la Haute-Garonne, des Hautes-<strong>Pyrénées</strong>,des <strong>Pyrénées</strong>-Atlantiques,des <strong>Pyrénées</strong>-Ori<strong>en</strong>talesDélégation à l’aménagem<strong>en</strong>t du territoire et à l’action régionale<strong>Pyrénées</strong>Office national de la chasse et de la faune sauvageOffice national des forêtsParc national des <strong>Pyrénées</strong>Crédits photos : Patrick Cabrol, Jean-Jacques Camara, Gérard Caussimont, Philippe Cluzel, Daniel Dubreuil, Equipe technique <strong>ours</strong>, Gilbert Guillet,Jean-François ITTEL, MEDD-Blizzard Productions, Pierre M<strong>en</strong>aut, Emmanuel Ménoni, Jérôme Morscheidt, Paul Palau, Gérard Rolland, Evelyne Sanchis, Michel Tonelli, Cypri<strong>en</strong> Zaïre

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