télécharger le document - Eure

CANTONSEvreux-Sud et Beaumesnil p.7ENSEIGNEMENTL’enseignementsupérieurfermementsoutenu p.3EQUITATIONChampionen selle p.5SPORTl’eurecle magazine d’information du Département de l’Eure n°4 / Mai 2006Jérémy Clavault,3 ème au championnatde France de karaté p.4ENVIRONNEMENTOpérationgrandnettoyage surles bergesde Seine p.2Depuis 2001,entre Rouenet l’estuaire, laSeine fait l’objetd’une opérationde nettoyage deses bergessouillées parles déchets.L’Eure s’investitpleinement surcette action delutte contre une«macro-pollution»avérée.Tête d’afficheLe NeubourgL’artcontemporainau lycéeagricolep.5ET AUSSI…Le domaine d’Harcourt fête le bois p.4L’aide à domicile en forum p.4Festival Rock dans tousses états : des bus à 1 € p.5La coupe du monde de rugbyexposée au Conseil général p.5

cmoi qui le dis«De nouveauxsentiers depromenade à Aizieret Vieux-Port»« L’implication du Conseilgénéral de l’Eure sur l’opérationde nettoyage des berges de Seine s’inscrit dans unedémarche environnementale globale en faveur desespaces naturels sensibles. Au cours des 3 dernièresannées, la politique départementale en direction de cesespaces a privilégié la connaissance du patrimoinenaturel, défini les modalités de leur préservation et initiédes actions de sensibilisation du grand public auxenjeux naturalistes. En juin 2003, le schéma départementaldes espaces naturels sensibles avait identifié6 194 ha d’intervention. Moins de 3 ans plus tard, 2276 haont fait l’objet d’une intervention départementale. Dansle cadre de la campagne de nettoyage des berges deSeine, 2 km de berges et près de 4 hectares de maraisont pu être restaurés et rendus à la nature à Aizier etVieux-Port. Le dimanche 21 mai prochain, de nouveauxsentiers de promenade “Seine que j’aime” serontinaugurés sur cette zone. Le complément naturel del’invitation du Département à parcourir la natureeuroise sur ses sentiers de découvertes aménagés. »Lionel Prévost,Vice-président du Conseil généralPrésident de la commission “Economie,Agriculture, Environnement, Tourisme”Une équipe d’une dizaine depersonnes a été créée spécialementpour mener à bien ce projet.En 1839, Léopoldine écrivait à son père Victor Hugo :« Toutes les rives de la Seine sont si belles que pendant la traversée nous n’avons pas eu un instant d’ennui,nous regardions toujours, nous ne perdions aucun des magnifiques points de vue qui nous ont semblé, à nousqui n’avions rien vu, plus superbes qu’à ceux qui voyagent souvent ». Qu’écrirait-elle aujourd’hui ?...pleines pagesC’est une première en Europe pour un fleuve de cette ampleur. Depuis 2001, entre Rouen etl’estuaire, la Seine fait l’objet d’une opération de nettoyage de ses berges souillées par les déchets.L’Eure s’investit pleinement sur cette action de lutte contre une «macro-pollution» avérée.Opération grand nettoyagesur les berges de SeineBien plus qu’un nettoyage de printemps.L’opération initiée par le Parc cile que les sinuosités de son tracéen amont. Une tâche d’autant plus diffi-naturel régional des Boucles de la Seine constituent autant de pièges naturels oùNormande depuis 2001 a déjà permis les déchets s’accumulent aux grés desl’enlèvement de 4 000 tonnes de déchets, flux et reflux de l’eau. Sur un linéaire dela restauration de 12 ha de marais et de 58 km de berges, 68 sites de dépôts de8 km de berges. Un travail difficile, effectué «macro-déchets» ont été pointés par l’étude.jour après jour par une équipe d’unedizaine de personnes créée spécialement «Mouillez-vouspour mener à bien ce projet.pour la Seine»Il faut dire que le constat était saisissant.Une étude précise de la pollution des «Un travail considérable a déjà étéberges de Seine réalisée en 1997 faisait accompli», note Jean-Marc Bérépion,état de 29 000 m 3 , soit environ 9 000 directeur du Parc naturel régional destonnes, de déchets déversés sur une Boucles de la Seine Normande, premier àzone allant de l’estuaire de la Seine au avoir tiré le signal d’alarme sur la dénaturationdes berges de la vallée de Seine.barrage de Poses (à 50 km en amont deRouen). Tantôt sur le territoire de l’Eure, «Néanmoins, il reste encore des dépôtstantôt sur celui de la Seine-Maritime, la anciens à nettoyer et, chaque année, 800partie aval du fleuve a la lourde tâche de tonnes de déchets dérivent entre le barragede Poses et la mer.» Le projet digérer l’activité de la région parisiennedeé clairagePhilippe Paustian,Responsable du chantier de nettoyagedes berges de Seine au Parc naturel régionaldes Boucles de la Seine Normandenettoyage avait été établi et budgété parses partenaires pour une durée de 5 ans,entre 2001 et 2006. Difficile aujourd’huid’imaginer que la situation reste en l’état,que les efforts, humains et financiers,engagés autour de cette action disparaissentprogressivement sous le poids desdéchets encore à traiter.Une campagne d’information et de sensibilisationdes riverains des berges, del’amont à l’aval de la Seine, estaujourd’hui lancée. Elle invite les habitantset la usagers à adopter les bons gestespour maîtriser les rejets à leur source. Motd’ordre : «Mouillez-vous pour la Seine».Cette campagne baptisée «Seine quej’aime» et relayée par différents documentsde communication se double del’inauguration de sentiers de randonnéesur les berges nettoyées, en Seine-Maritime et dans l’Eure (lire articleci-dessus). En octobre prochain, une journéeréunira scientifiques, élus, acteursassociatifs et de terrain impliqués sur ceprojet afin d’élargir et prolonger la réflexionau-delà de l’opération de nettoyage.?Toujours des dépôts anciens à nettoyer.Que fait l’Eure“ Je suis optimiste de nature, mais je dois dire que la partie est encore loin d’être gagnée ”.Nous n’avons pu ramasser que la moitié des déchets. Avec les phénomènes de grandes marées, on voit toujours remonter des déchets trèsanciens. On continue aussi de trouver des décharges sauvages aux abords de la Seine. Ceci dit, les comportements commencent à changer.Les gens sont étonnés quand ils voient les quantités de déchets partir dans les camions. Nous avons droit à tous les compliments.Les randonneurs sont ravis. On espère maintenant que la campagne de communication «Seine que j’aime» aura un impact sur l’ensemblede la population. Une campagne de ce type manquait pour aider à changer les comportements.»Le Conseil général de l’Eure estengagé sur cette action aux côtésdu Parc naturel régional desBoucles de la Seine Normandeet des collectivités territorialespartenaires : la Région Haute-Normandie et le Départementde Seine-Maritime. Depuis 2001,l’opération bénéficie de fondsFEDER de l’Europe. Prévues pourune durée de 5 ans, ces aidesdevraient s’arrêter en 2006.• Le Conseil généralde l’Eure interpelle l’EtatLa Seine est un fleuve d’importancenationale. Il apparaît logiqueaujourd’hui que l’Etat s’engagefinancièrement sur cette action,a minima sur la base de l’aideapportée jusqu’alors par l’Europe.La moitié du travail a déjà étéréalisée. Le devenir de la secondemoitié est, pour une partdéterminante, soumis à lavolonté ou non de l’Etat d’apporterson soutien à cette action.c l’eureMAGAZINE DU DÉPARTEMENT DE L’EURE n°4 Mai 2006 p.2/3

La politique du Conseil général en faveur de l’enseignementsupérieur renforce l’offre de formation, améliore les conditionsd’accueil et de vie scolaire des étudiants, consolide les liens entreenseignement et recherche. Cette démarche volontariste favoriseaussi l'émergence d'un ensemble scientifique susceptible d’aiderles jeunes Eurois à poursuivre leurs études près de chez eux.L’enseignement supérieurfermement soutenuEn quelques années, l’offre en diants. Afin de rendre le territoire plusmatière de formations supérieures attractif, le Département finance les projetss’est affirmée dans le département del’Eure. Les jeunes ont désormais la possibilitéd’étudier et de vivre dans leurd'amélioration ou de création delocaux universitaires comme le restaurantuniversitaire, par exemple.département. L’antenne universitaireTilly à Évreux leur propose déjà deslicences générales juridiques et scientifiquesUn soutien accrude la rechercheet une licence professionnelled’activités juridiques, option “droit destransports et de la logistique”. L’IUP,orienté dans l’ingénierie de la santé, permetChaque année, le Conseil généralapporte une aide de 30 000 € à chacundes deux Centres Régionauxaux titulaires d’un Bac +2 d’obtenir d'Innovation et de Transfert deun diplôme de second cycle. L’offreconcerne également les filières courtesqui favorisent une insertion rapide dansle monde du travail. Ainsi, les différentsdépartements de l’IUT d’Évreux permettentde suivre des cursus en Génie biologique,Génie du conditionnement etde l'emballage, Gestion des entrepriseset des administrations, Mesures physiqueset Techniques de commercialisation.Des BTS en comptabilité, force devente, plasturgie, maintenance industrielle,informatique industrielle, productiquesont également proposés surÉvreux. L’IUFM et l’Institut en soins infirmierscomplètent l’offre. Au total, lesTechnologie (CRITT) du département.AgroHall, spécialisé dans le domaine del'hygiène et dans la conception de projetsliés à la chaîne alimentation – nutrition– santé, apporte aux entreprisesdes moyens humains, techniques ainsiqu'une expertise. ADIPpharm, chargédu transfert de technologie en pharmacieet cosmétologie, joue le rôle d'interfaceentre l'université et les entreprisesdu secteur. L'utilisation de techniquesde pointe lui confère une forte notoriététant au plan national qu'international,notamment dans le domaine de la lyophilisation.Afin de promouvoir l’innovationet le transfert de technologie, lesites d’enseignement supérieurs Conseil général a équipé le départementd’Évreux accueillent plus de 1 000 étu-en structures et plates-formes de hauteé clairageLa Plate-Forme Technologique d’Evreuxtechnologie (laboratoire de microbiologiedu froid, pilote de lumière pulsée,décontamination des surfaces...).Au moment où la Région engage sonSchéma Régional d'Aménagement DuTerritoire (SRADT), où les négociationspour le prochain contrat de projets État-Région se profilent, et alors que leprochain plan quadriennal de l’universitéva entrer en chantier, l’avenir du sited’Evreux se pose. Le Conseil général achoisi de favoriser la recherche ainsi quele rapprochement formation-entreprises,l’un des axes majeurs pour pérenniserl’enseignement supérieur dans ledépartement, au travers d’Agrohall etd’ADIPpharm et de la Plate-forme technologique.Contacts /• Antenne d'Evreux / Site Tilly1, rue du 7 e Chasseur - BP 28127002 EvreuxTél. : 02 32 39 90 70• IUT d’Évreux55, rue Saint-Germain - 27000 ÉvreuxTél. : 02 32 29 15 06• IUP Ingénierie de la Santé1, rue 7 e Chasseur27002 Évreux CedexTél. : 02 32 39 90 70Créée en 2001, et implantée sur le site de l'IUT, la Plate-Forme Technologique d'Évreux (PFT) «Microbiologie du froid et maîtrisede la qualité des produits agroalimentaires et bio-industriels» a pour mission de former (enseignants, étudiants, industriels),de favoriser le transfert de technologie aux PME-PMI régionales (agroalimentaires, pharmaceutiques et cosmétiques,emballages-plasturgie) ainsi que la promotion des technologies innovantes de décontamination des surfaces industrielles oude produits agroalimentaires, agricoles ou pharmaceutiques. La participation annuelle du Conseil général est de 35 000 €.Par ailleurs, le Conseil général a contribué à l'achat du pilote de lumière pulsée, un instrument quasi unique en France quiest utilisée par l’équipe du professeur Nicole Orange, directrice du laboratoire de Microbiologie du Froid-UPRES 2123.cmoi qui le dis«Sans la recherche,il n’y a pas de perspectivepour l’enseignementsupérieur dans l’Eure»Afin d’encourager le développement de l’enseignement supérieur dans l’Eure, il est indispensablede poursuivre les engagements en faveur des trois laboratoires de recherche (“microbiologie dufroid”, “analyse des matières complexes et organiques” et “biologie et biomatériaux”) implantésà Évreux. En effet, sans la recherche, il n’y a pas de perspective pour l’enseignement supérieurdans l’Eure. Il est donc important de soutenir ces laboratoires labellisés, seuls capables degarantir la qualité de la recherche, la création de postes et in fine l’enseignement supérieur.Favoriser les transferts de technologies est l’autre axe fort à soutenir, notamment en facilitantl’émergence de petites entreprises innovantes portées par des jeunes issus de ces équipes derecherches. Par ailleurs, et afin de permettre à des jeunes titulaires d’un baccalauréat non scientifiqued’accéder à ces filières scientifiques, un Diplôme Universitaire de Formation Initiale enSciences (DUFIS) a été mis en place. C’est une porte ouverte pour des jeunes du départementvers les formations scientifiques locales.Jean-Luc Nahel, Président de l’université de Rouen1, rue Thomas Becket • 76821 Mont-Saint-Aignan CedexTél. : 02 35 14 63 32 • Courriel : presidence@univ-rouen.fr • www.univ-rouen.fr/?Que fait l’EureDepuis 2002, le Conseil généralinvestit dans l’enseignementsupérieur. La subvention annuellede fonctionnement de 293 000 € estainsi attribuée au site universitaired'Evreux qui accueille plus de1 000 étudiants (IUT et antennede l'université de Rouen à Tilly).Cette aide a notamment permis laconstruction d'une nouvelle halletechnologique destinée au «Génie duconditionnement et de l'emballage».Ce cinquième département de l'IUTd’un coût de 1,6 millions d'euros aété cofinancé par l'État, la Région etle Conseil général qui en a été le maîtred'ouvrage. Dans le cadre du contratde plan État-Région, le Conseil généralparticipe à hauteur de 240 000 € àla construction d’un nouveau restaurantuniversitaire d'une surface de670 m 2 sur le site de Tilly.Par ailleurs, le Conseil général attribuedes aides directes «classiques» auxétudiants eurois, mais aussi depuis2002, des aides spécifiques «Boursesinternationales Aristide Briand» pour laréalisation de stage, ou la poursuited’études à l’étranger. Enfin, leDépartement envisage de participer auprojet d’extension de la faculté demédecine et de pharmacie de Rouen.Afin d’élargir encore les possibilités d’étudessupérieures accessibles aux Eurois.Contacts / La Plate-Forme Technologique55, rue Saint-Germain • 27000 ÉvreuxTél. : 02 32 29 15 45 • Email : pft.evreux@univ-rouen.fr

tour complet276ça rouleAfin de permettre au mouvement sportif de se doter de véhicules et de transporterleurs athlètes, le dispositif "276, ça roule" a été créé en 2005 par les Départementsde Seine-Maritime et de l’Eure avec la Région Haute-Normandie. Une trentaine devéhicules seront cofinancés sur 3 ans. La première remise de clés concernant11 véhicules réservés à des structures sportives de Seine-Maritime s’est dérouléeà la mi-mars. La commission d'attribution du 9 mars a sélectionné 10 autresvéhicules pour cette année. 3 véhicules seront attribués à des associations euroises.Sur cette opération, le plan de financement s'organise de la manière suivante : 1/3 Région (9 000€),1/3 Département concerné par l'association (9 000 €) et 1/3 à la charge de l’association. Le volume financierproposé par les trois collectivités est ainsi de 180 000 € par an.Impôts : 0%Les taux des impôts directs votés par les 96 conseilsgénéraux de métropole augmentent en moyenne cetteannée de 5 %. L’Eure a fait le choix de jouer la stabilitépar rapport à l’année dernière. Le taux des quatretaxes (TH, TFB, TFNB et TP) ne bougeront pas :augmentation 0 % en 2006. L’Eure avec 13,1 % estaujourd’hui dans les 20 départements ayant les plusfaibles évolutions des taux d’imposition des 4 taxesentre 2001 et 2006 (source Les Echos du 6 avril 2006).La plus forte hausse enregistrée est de 46,1 %.Àl'heure où la Région Haute-Normandie élabore sonSchéma Régional d'Aménagementdu Territoire, en réservant uneplace toute particulière aux deuxDépartements, à l'heure où l'Etatannonce la négociation des futurscontrats de projets pour la période2007-2013, l'Eure doit faire et feraétat de ses priorités majeures.Le département de l'Eure disposed'atouts incontestables : son socleindustriel; ses pôles d'excellence,notamment dans les domaines dela mécanique, de la chimie-biochimie,de la cosmétique ; une populationjeune; une proximité avecdes pôles de développementmajeurs (Paris et l'Ile de France, lesagglomérations de Rouen-Elbeuf,Port 2000).A eux seuls, ces atouts ne suffisentpas cependant à assurer le développementde notre territoire. Unepolitique volontariste est indispensable,pour conforter notre attractivité,pour promouvoir les solidaritésentre les habitants, entre les territoires,pour aménager notre cadrede vie. Compte tenu de ses compétenceset de son rôle majeurdans la structuration du territoiredépartemental, le Conseil généralentend être un acteur majeur pourproposer, impulser, accompagnerou réaliser des projets. Nous sauronsles faire valoir dans les moisqui viennent.Cordialement,Jean Louis Destanscl’eureAu rebondPar Jean Louis DestansPrésident duConseil Généralde l’EureLe Département de l'Eure qui financeplusieurs prestations permettant lamise en œuvre d'interventions à domicileet la Direction Départementale duTravail, de l'Emploi et de la formationProfessionnelle délivrant l'agrément qualitéaux services d'aide et d'accompagnementà domicile, se sont associéspour organiser un forum du métier spécifiqued'aide à domicile.Il se déroulera le 30 mai, de 14 à 18 heures,dans le hall de l'hôtel du Département.«L'objectif est de faire connaître et valoriserce métier si important pour nos aînés,souligne Jean Louis Destans, le présidentdu Conseil général. Ce métier, en pleineexpansion, est peu connu ; il requiert denombreuses compétences et offre un travailriche et varié, auprès de différentspublics. Lors de ce forum, nous allonsDimanche 14 mai, de 9 h 00 à 18 h 00,le domaine d’Harcourt participe àla semaine du Bois, rendez-vousincontournable entre le grand public etles professionnels de la filière forêtbois.L’occasion de profiter de cet événementpour découvrir les activités, lamodernité des entreprises et le potentield’emplois, connaître les formationset les métiers où la demande estconstante et vous intéresser à unefilière qui respecte l’environnement.Cette journée est organisée par leConseil général de l’Eure en partenariatavec ANORIBOIS, la FFBâtimentde l’Eure, la CAPEB, l’ONF, le CRPF,le Ceref BTP de Bourgtheroulde, leCFPPA de l’Eure et le lycée AugustinBoismard de Brionne.Dès 9 h 00, un rallye familial en forêt+ Sur www.cg27.frMAGAZINE DU DÉPARTEMENT DE L’EURE n°4 Mai 2006 p.4/5Le 30 mai à l’Hôtel du DépartementL’aide à domicile en forumprésenter toutes les facettes dumétier, les possibilités de formationet d'évolution mais aussi les différentsmodes d'intervention. Lepublic concerné : les personnesqui souhaitent en faire leur métier,celles qui souhaitent ou qui ontbesoin de se faire aider à domicile ettoutes les personnes qui désirent desinformations sur l'aide à domicile.»Ce forum, soutenu par le Fonds socialEuropéen, sera l'occasion de rencontrerdes employeurs, des aides à domicile,des professionnels de l'emploi et de laformation, de découvrir ou mieuxconnaître ce métier.Une table ronde se tiendra à 14 h 30 avecdes employeurs et des professionnelsdu secteur.Entrée libre et gratuite.Une filière à découvrirLe domaine d’Harcourtfête le boisd’Harcourt est organisé au traversd’épreuves. Tout au long de la journéeet à partir de 10 h 00, des visitesguidées de la forêt et de l’arboretumsont prévues. L’occasion d’approfondirle bûcheronnage et l’élagageaérien, de découvrir une scieriemobile, la présentation de différentstypes de chauffages au bois, desanimations autour des métiers dela charpente, de la menuiserie, de laconstruction, de l’ébénisterie, de lamarqueterie et de la sculpture. Desjeux et animations autour du bois,sont également prévus comme desconférences sur le thème des «maisonsen bois» et sur «le bois énergie».Avis aux amateurs. Entrée gratuite.Inscriptions au 02 32 46 29 70.Les stats du mois50Le Centre d’informationet d’orientation (CIO)d’Evreux a quitté la rueSt-Louis pour des locauxréhabilités et agrandispar le Conseil général au1 de la rue GeorgesBernard. En moyenne, 50 personnes fréquentent cettestructure chaque jour. Tél : 02.32.39.34.48.7La 7 ème édition «d'Immeubles en fête» se déroulerale 30 mai prochain. Plus de 6 millions de personnes seretrouveront cette année pour prendre un verre, dînersur les trottoirs, dans les cours, dans les jardins et cedans toute la France.La manifestation gagne l’Europe puisqu'unequinzaine de pays vont décliner cette opération.Dans l’Eure «Immeubles en fête» est organisé àPont-Audemer, Evreux, Gisors, Val-de-Reuil, Conches...3A Paris le 5 mars, latroisième marche dupodium du championnatde France karaté,catégorie minime- de 75kg, a étégravie par JérémyClavaud, 15 ans, demeurant à Caillouet et membre de lasection karaté de Gravigny. Bravo au jeune champion.127Le concours de scénarios de courts-métrages duConseil général a intéressé 236 candidats dont 8 del’Eure ayant retiré un dossier. Au 15 mars, 127 projetsont été déposés. 30 scénarios sont retenus en vuede la commission plénière qui se tiendra le 16 maiau lycée Léopold-Senghor d’Evreux.• A retrouver chaque mois l’édito de votre conseiller général accessible depuis la page d’ouverture du site • A découvrir les derniers communiqués de presse («276», lesdécisions de la commission permanente d’avril, …) • Vous pouvez interroger le Conseil Général, écrire au Président ou à ses services en faisant un clic sur «Messagerie»sur la page d’accueil. Ensuite il suffit de rentrer vos coordonnées avant d’écrire votre message.

cmoi qui le disen extérieur«Un mur entier de la salle des fêtes de Bezu-Saint-Eloi sera mis à disposition du public(enfants et adultes), pour la réalisation d’unefresque. Chacun pourra s’exprimer, selon soninspiration, autour du thème «le mouvement » .Cet exercice est ouvert à tous, initiés ou nonaux techniques picturales. Sur place, des artisteslocaux seront là pour guider les participants.Le but est de créer une œuvre collectivequi pourra évoluer tout au long de la journée.Du matériel, financé par la municipalité, sera àdisposition : crayons, peinture, pastel, collages...Dans le même temps, je ferai découvrir l’artthérapie, technique qui amène les personnes às’exprimer, à apprendre à communiquer engroupe par des moyens autres que la parole, defaire naître les émotions de chacun, de sedécouvrir dans le domaine de la création artistique,ce qui semble quelquefois inaccessiblepar manque de confiance en soi !»Colette DelagreeArtiste peintre à Bezu-Saint-Eloicl’eure« Un murpour unefresque »En 2000 la maternité de Verneuil-sur-Avre disparaissait, en 2003c’était celle de Pont-Audemer, en juin 2005 celle de Louviers fermaitses portes définitivement et si le site de Gisors est sauvé ça n’estque provisoirement ! Enfin avec la disparition de la cliniqueSainte-Marie à Vernon plus aucun établissement privé n’accueilleles naissances dans notre département.Il ne reste que quatre maternités «opérationnelles» dans l’Eure :Evreux, Vernon, Bernay, Gisors. Comment font les futures mamans ?Celles qui ne trouvent place chez nous vont tout simplement dans lesdépartements voisins. A commencer par Elbeuf pour tout le secteur deLouviers. De nombreuses mamans du nord-est vont à Pontoise, dontla maternité est toutefois saturée. Le centre hospitalier de Rouen et laInitiés, amateurs,barbouilleurs... à vos pinceaux !Evénement créé à l’initiative du Département de l’Eure, il est proposé à chacun, de l’initié àl’amateur, de peindre dans la rue. Une exposition aux regards des autres mais aussi uneinvitation à l’échange. 100 communes sont associées à cette journée.Paliss’art à HarcourtDans le cadre de cette grande Fête de la peinture, le Conseilgénéral vous invite également au Domaine d’Harcourtpour découvrir Paliss’art et ses artistes.Un coup de pouce aux artistes en voie de reconnaissance estorganisé autour d’un marathon haut en couleurs. 10 peintresde sensibilité «Art contemporain» se destinant à une carrièreprofessionnelle vont peindre, la journée durant, sur dessupports grand format, les uns à côté des autres…. Ilsformeront ainsi une palissade de 25m. Cette performanceartistique aura pour sujet «le mouvement», thème suggéréde la Fête de la peinture 2006. De la musique complèteral’ambiance conviviale et festive. L’entrée sera là aussi gratuite.Hardeure, des grapheursUne dizaine d’artistes vous invitent à une explosion créativeavec leurs bombes de peinture. Sur fond de musiquehip-hop, mixée par un DJ, ils réaliseront dans la journéeune fresque collective et bigarrée. Quand le graffitiprend toute sa dimension artistique !Venez nombreux de 11h00 à 18h00 dans les jardins del’Hôtel du Département, Bd. Georges-Chauvin à Evreux.« Sauvons nos maternités »MAGAZINE DU DÉPARTEMENT DE L’EURE n°4 Mai 2006 p.6/7ans le cadre de notre poli-culturelle, explique“DtiqueJean Louis Destans, Président duConseil général de l’Eure, nousavons souhaité initier une manifestationannuelle pour encourager le jaillissementcréatif, donner aux Euroisune occasion supplémentaire de serencontrer et favoriser ainsi leséchanges, autour d'un divertissementcollectif. C’est pourquoi, nousavons lancé l’an dernier, avec l'aidedes collectivités locales et d'associationsculturelles cette journée festivede la peinture, articulée autourde plusieurs animations.»Les journées longues et claires dumois de juin et l'éclat de la nature auprintemps, ont guidé le choix dupremier dimanche du mois de juin.Le 4 juin donc, les organisateurs etles associations culturelles, réunirontdans les communes les peintresvolontaires devant un public d'initiésFête de la Peinture, le 4 juinet de néophytes, de parents et d’enfantsinvités à partager et à célébrerune grande Fête de la peinture.Parallèlement de nombreuses autresinitiatives locales enrichissent cettejournée, selon les inspirations desorganisateurs dans chacune des100 communes associées à cettejournée.Initiés, amateurs, barbouilleurs, l'occasionvous est donnée de peindrecomme vous le souhaitez, en touteliberté. Au-delà de la pratique, c’estune belle occasion d’échanger, dese balader dans les communes etles sites participants. Ainsi, chacun,seul ou accompagné, avec ou sanspinceaux, peut participer à cettegrande Fête gratuite et unique enFrance.Programme complet sur www.cg27.frIl peut être retiré également dans les mairiesparticipantes et les offices de tourisme.Renseignements : 02 32 31 95 35clinique du Belvédère à Mont-Saint-Aignan absorbent de nombreusesnaissances euroises. Dans le nord-ouest, le Havre et la polycliniquede Deauville reçoivent de nombreuses mamans de l’Eure.Il faut malgré tout mettre un bémol à ce tableau noir. Une maternitéc’est neuf mois de grossesse et dix heures d’accouchement. Or,le suivi de la grossesse s’effectue toujours dans le centre périnatalde proximité de Verneuil, celui de Louviers et la maison périnatalede Pont-Audemer. Tous trois assument un suivi pré et post-natal,ce qui représente un réel service de proximité.Dans l’avenir, l’Eure est confronté à deux logiques. Le déficit deshôpitaux publics qui aurait quasiment doublé entre 2004 et 2003et qui incite à fermer les blocs opératoires ne réalisant pas suffisamment?Que fait l’Eure« Le Département a eu uneexcellente initiative en lançant laFête de la peinture l’an dernier.Ici, à Saint-Pierre, nous avons unatelier avec une quarantained’élèves et cette initiative a étéappréciée. Et cette année lesprésents ce week-end dePentecôte vont se joindre denouveau à l’opération. Je pensequ’il faut adjoindre à cette fêteune animation au plan local afind’attirer la population susceptiblede venir voir les peintres travaillermais pas seulement. L’an derniernous avions une yole surles bords de Seine et lespromeneurs ont pu à la foisvoir les peintres et admirerl’embarcation.Si, pour ma part, je me suis untemps testé devant une toileje me suis aujourd’hui tournévers la photographie ; le 4 juinje ferai des images. »Pierre CléroutMaire de Saint-Pierre-du-Vauvraytribune de l’oppositiond’interventions. Cette «préconisation» frapperait la chirurgie deGisors et par voie de conséquence sa maternité ! La seconde logiqueest bien sûr la nécessité d’assurer un service de proximité auxpatients et aux mamans. A ce sujet, le record de naissancesauxquelles on a assisté en 2005 à la maternité de Bernay (631 naissances)montre bien le rôle essentiel de ce service en zone rurale.Les mamans de l’Eure doivent trouver à une distance raisonnableun «service de proximité minimal» allant de la préparation à lanaissance aux soins aux mères et aux nouveaux-nés dans lesjours qui suivent l’accouchement.Ladislas Poniatowski et les Elus de l’Opposition

Evreux-Sud >Des campagnes urbainesLe canton d’Evreux-Sud s’étend des immeublesde la Madeleine, au nord, aux vallons vertsde Plessis-Grohan, au sud. Ces dernièresannées, l’urbanisation et le repeuplement descampagnes ont gommé les frontières.Depuis quelques années, le quartier de la Madeleine,à Evreux, fait l’objet d’une opération de renouvellement urbain. Des barresd’immeubles sont détruites pour reconstruire du neuf, d’autres sontréhabilitées. Le chantier du futur siège de la communauté d’agglomérations’achève. Progressivement, le quartier s’affranchit des clivagessocio-économiques et change de visage. «Cette politique volontariste avocation à redonner une deuxième vie au quartier», s’enthousiasmeMichel Champredon, conseiller général du canton et membre du conseilmunicipal d’Evreux, même si «le manque de dimension sociale et departicipation des habitants au projet est un frein à sa réussite».Séparées par la barrière périphérique, les communes rurales ont vuarriver massivement au milieu des années 80, des Ebroïciens en quête detranquillité, de vie à la campagne et d’accession à la propriété. En quittantla ville, ils n’ont pas complètement abandonné pour autant un modede vie urbain, avec les exigences de services qui y sont liés. Les nouveauxruraux au village veulent des garderies, des animations périscolaires, desactivités sportives, une vie associative. Leur présence a eu pour conséquencede repeupler et surtout d’urbaniser la campagne. Les élus ontrépondu à leurs attentes en montant des projets d’équipement, de soutienà la vie associative. Seul Plessis-Grohan a mis un point d’honneur àne rien changer à la vie communale, afin de conserver son authenticité.Ces aspirations communes aux urbains et «rurbains» contribuent à l’unitédu canton, d’autant que depuis cinq ans, les six communes sontmembres de la communauté d’agglomération d’Evreux. Ainsi leurshabitants sont intéressés, au même titre que ceux de la Madeleine, auxprojets de développement de leur territoire.Cartes postalesLe collègePablo Nérudadans le quartierde la Madeleine.Les Ventes.Le cantond’Evreux-SudLe canton est divisé de partet d’autre du boulevardpériphérique entre unquartier de renouvellementurbain et des communesrurales. Au nord, sur leterritoire d’Evreux, lequartier populaire dela Madeleine compte15 000 habitants. Au Sud,s’étendent les communesde Guichainville, Angerville-La-Campagne, Saint-Luc,Les Baux-Sainte-Croix, LesVentes et le Plessis-Grohan.Cet ensemble rural est habitépar d’anciens urbains, venuss’installer dans les années85-90 en accédant à lapropriété. L’urbanisationet la création d’une zonecommerciale permettentpeu à peu de gommer lafrontière physique entreces deux entités. Lapopulation du canton estde 21 424 habitants, soit4% de la populationdu département.Le Pays d’Oucheinspira l’auteurrégionaliste Jean dela Varende. Il attireaujourd’hui lesamoureux de lanature et dupatrimoine et denouveaux habitants,séduits par sadouceur de vivre.La vallée de la Risle.Le canton deBeaumesnilSitué dansl’arrondissement deBernay, le cantonde Beaumesnil estcomposé de 17communes, avecmoins de 24 habitantspar km 2 . Sa populations’élevait à 4 247habitants en 1999,dont 562 habitants àBeaumesnil. Lapopulation est en forteaugmentation depuisquelques années et laconstruction immobilièreévolue rapidement.Le cœur du Pays d’Ouche> BeaumesnilLe château de Beaumesnil.De grandes forêts, de verts herbages plantés de pommierset de haies vives, un plateau dénudé avec des champs battus parles vents et une riante vallée préservée, celle de la Risle, où secachent d’anciennes gentilhommières, comme savait lesdépeindre Jean de la Varende, le chantre du pays. C’est ainsi quese dévoile le canton de Beaumesnil, au coeur du Pays d’Ouche.Des 17 villages s’élèvent de multiples clochers, églises de styleroman ou gothique, propres à ravir et surprendre le voyageur audétour d’un chemin. Rien de tel que de se procurer la carte des(7) circuits de randonnées et de parcourir les 170 kilomètres desentiers balisés, à pied, à VTT ou à cheval. Nul doute que lamagie du Pays d’Ouche s’exprimera.Beaumesnil est le centre touristique de la contrée, avec sonchâteau assez exceptionnel et rare pour être considéré comme leplus beau bâti sous le règne de Louis XIII. Rebaptisé «le MesnilRoyal» dans le roman de La Varende, Nez de cuir, il est l’un desfleurons de l’architecture du XVII e en Normandie.Le canton recèle bien d’autres trésors d’architecture : Manoirs deSaint-Aubin sur Risle et du Bois-Baril, Pressoir des Jonquerets-de-Livet, Chambre de Charité à la Roussière, château fort de BlancBuisson à Saint-Pierre-du-Mesnil, Tour de Thevray… «Ce patrimoineest le cadre idéal pour un tourisme culturel», s’enthousiasmeMarc Vampa, conseiller général et maire de Beaumesnil, quisalue l’implication des acteurs cantonaux pour l’animer. Lesmanifestations, nombreuses chaque année - foires à tout,marché de noël, son et lumière, concerts, représentations théâtrales -contribuent à cet art de vivre qui sied si bien au canton.Michel Champredon, 42 ansMon ambition pour le canton« Nous devons tirer vers le haut une politique volontariste quiconsiste à donner une deuxième vie au quartier de la Madeleine.Néanmoins, je crains que le manque de dimension sociale et departicipation des habitants ne compromette son succès. Un autredossier me préoccupe : celui du chauffage urbain. Depuis janvier 2005, l’usine detraitement des déchets est en marche. Mais le réseau de chaleur qui devait permettre derécupérer l’énergie fournie par l’usine pour chauffer le quartier et la zone industriellen’a pas été construit. C’est un véritable gaspillage économique et écologique. »Marc Vampa, 60 ansMon ambition pour le canton« Le canton est fortement impliqué dans l’agriculture et le tourisme.Néanmoins, l’arrivée de l’autoroute A28 devrait permettre aux entreprisesde s’installer aux alentours de Bernay. Les familles pourraient alorstrouver dans notre canton un environnement agréable et calme. Nousdevons dès à présent nous préparer à accueillir ces nouveaux habitants,notamment par un large programme de construction pour gonfler l’offrede logement et d’hébergement. ».“ Le Préfet défend le Gouvernement... et nous les Eurois ! ”Sorti de sa réserve pour développer une communication contestableet à bien des égards "politique", le Préfet de l’Eure n’est pas, àproprement parler, resté dans son rôle de représentant impartial de l’Etat.Dans le numéro 2 de «C l’Eure», ce n’est pas le Préfet qui étaitattaqué, mais bien les décisions du Gouvernement.Nous ne sommes pas les seuls à dire que les compensations de l’Etatà la décentralisation sont bien inférieures aux dépenses réelles.L’ensemble des Départements de Gauche et de nombreuxConseils généraux de Droite le disent également.Sans entrer dans le détail, une estimation réalisée par les servicesdépartementaux fait apparaître un surcoût pour le Département destransferts de l’Etat, mal ou non compensés, qui se monte pour l’année2006, à 25 M€. Il est précisé que, s’agissant de l’A.P.A., le calcul est faiten tenant compte des engagements pris par le gouvernement de LionelJospin lors de sa création (prise en charge à 50 % par lesDépartements), engagement non tenu par le gouvernement de JeanPierre Raffarin. Faut-il cacher cette réalité aux Eurois?Nous nous étonnons que le Préfet de l’Eure trouve bon d’agrémenterses propos, lors d'une conférence de presse, d'une référence à SégolèneRoyal alors même que la réforme en question est connue pour avoirété défendue et proposée par la Ministre Paulette Guinchard-Kunstler.Cela voudrait-il dire que celui-ci souhaite s’investir dans le débattribune de la majoritépré-élection présidentielle ?Quand le Préfet, enfin, émet certains avis sur les choix politiquesdépartementaux, nous voulons rappeler, qu’en 2001, le départementde l’Eure était l’un de ceux où l’aide sociale par habitant était parmiles plus faibles et qu'en quelques années, un travail importantde créations de postes, de dotations de structures et de révision derégimes d’aides a été effectué. Cela doit permettre au Départementde rattraper le retard dû aux majorités de Droite qui lui ont précédé.Les conseillers généraux de la majoritédépartementale (PS, PC, PRG et Divers Gauche)

l’image du moisDestinées à favoriserla pratique du sporten milieu rural,des rencontres de massesont ouvertes à tous lesenfants de cycle III desécoles élémentaires.Ces rassemblements sportifssont l'aboutissement dutravail entrepris dans lesclasses et récompensent lesrésultats collectifs des écoles.Près de 1200 élèves dessecteurs de Verneuil,Damville et Evreux ontparticipé au cross deSaint-André-de-l’Eure lesamedi 1 er avril dernier.Du 9 au 14 mai participez à l’opération“Le sport ma santé”Nous le savons tous ! Notre façon de vivre ne favorise pas l’activité physique, on mange bien, voire «trop bien»puisque «trop riche» et, peu à peu, apparaissent les problèmes de santé, les problèmes de surpoids, de mal être…cl’eureMAGAZINEDU DÉPARTEMENT DE L’EURE n°4 Mai 2006 p.8’est pourquoi, afin de sensibiliserC aux bienfaits d’une activité physiquerégulière et d’une alimentationéquilibrée, la Direction Départementalede la Jeunesse et des Sports (DDJS) etle Comité Départemental Olympique etSportif de l’Eure reconduisent pour latroisième année l’opération «le Sport,ma Santé» en partenariat avec laDRASS, le Conseil général de l’Eure, laCAF, la Mutualité Française, l’InspectionAcadémique, l’USEP…Lors de la semaine du 9 au 14 mai,sur une vingtaine de sites eurois, parents,enfants, personnes âgées, handicapéspourront s’informer et participerà des ateliers sur les activitésphysiques et l’alimentation. Le tempsfort de cette opération aura lieu leweek-end des 12, 13 et 14 mai.(L’an passé ce sont plus de 10 000personnes qui se sont déplacées surles sites de l’opération !)Au programme : activités physiquesde type aérobic (marche, footing, vélo,fitness…), activités sportives dedécouverte permettant au public deconnaître les possibilités locales depratique d’une activité physique et«ateliers santé» ludiques avec desprofessionnels, tels que les gestes quisauvent, le sport après 40 ans,alimentation et santé, relaxation…Grâce au Conseil général, enfants etadultes se verront offrir un sac à dos àl’intérieur duquel ils pourront glisserune documentation «santé» (obtenueauprès du CERIN, de l’INPES et d’ImpactMédecin) ainsi qu’une bouteille d’eauet une pomme offertes par la DDJS afinque chaque participant puisse bénéficierd’une collation diététique.Un travail, en collaboration avec l’InspectionAcadémique, a permis d’élaborerdes outils pédagogiques (carnet desuivi pour chaque élève inscrit dans leprojet et feuillets pédagogiques à destinationdes enseignants). Ils ont étéréalisés par des professionnels de l’éducation,du sport, de la santé et de lanutrition, à destination des écolesprimaires et des centres de loisirs.Afin de connaître les sites eurois«Sport ma santé» vous pouvez contacterMme Hue au 02.32.24.86.12. mais aussi :www.drdjs-haute-normandie.jeunesse-sports.gouv.frContactDDJS 27Caroline CASTILLOProfesseur de Sport06.15.52.45.55.l’euren°3 / Avr. 2006cle magazine d’informationdu Département de l’EureDirection de la CommunicationDépartement de l’EureBd Georges-Chauvin - 27000 EvreuxDirecteur de la publication /Jean Louis DestansRédacteur en chef / Philippe LebaultConception éditoriale et graphique /aprim-caen.frRédaction / aprim-caen.fr, Directionde la communication du Conseil GénéralMise en page / aprim-caen.frCrédits photos / aprim-caen.fr et ConseilGénéral de l’Eure (sauf mention contraire)Photogravure et Impression /Dulac média partenaireTirage / 240 000 exemplairesDistribution / La PosteDépôt légal / à parution