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cluster sécurité alimentaire et développement rural bulletin ... - FAO

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Les aspects transversaux tels que la nutrition <strong>et</strong> la santé humaine, la dynamique entre les sexes, l’atténuationdu VIH, la gestion des conflits sont autant d’aspects importants intégrés au programme d'apprentissage. Envue d’assurer la pérennité de l’intervention, les activités génératrices de revenu <strong>et</strong> les compétences en affairessont introduites peu à peu. Le rôle de la <strong>FAO</strong> en ce qui a trait à la phase de démarrage des CEAP est defaciliter les activités de formation initiale <strong>et</strong> le mentorat quant à la qualité méthodologique de l'approche ens'appuyant sur son réseau régional d'expertise Champs-École.Le rôle de la <strong>FAO</strong> en ce qui a trait à la phasede démarrage des CEAP est de faciliter lesactivités de formation initiale <strong>et</strong> le mentoratquant à la qualité méthodologique del'approche en s'appuyant sur son réseaurégional d'expertise Champs-École.Techniquement, l'intervention sera soutenuepar les ministères techniques concernés dugouvernement djiboutien en particulier lesministères de l'agriculture <strong>et</strong> de l'éducation <strong>et</strong>la Direction de l'eau, ainsi que le centre deformation professionnel de Damerjog.Session de sensibilisation sur le CEAP à Djibouti le 8 mai2012Les enquêteurs sur le terrain pour la collecte de données EFSAPar PAMDans le cadre de la sécheresse qui sévit laRépublique de Djibouti, le ProgrammeAlimentaire Mondiale (PAM) a débuté sonenquête sur la <strong>sécurité</strong> <strong>alimentaire</strong> en situationd’urgence (EFSA) le 5 mai 2012. C<strong>et</strong>te enquête,qui se produit annuellement, a pour objectifsd’évaluer l’in<strong>sécurité</strong> <strong>alimentaire</strong> en milieu <strong>rural</strong>en identifiant les zones <strong>et</strong> population en in<strong>sécurité</strong><strong>alimentaire</strong> <strong>et</strong> en appréhendant le statutnutritionnel des enfants de 6 à 59 mois ainsi quedes femmes enceintes ou allaitant . C<strong>et</strong>te enquêteva aider à répondre aux questions suivantes : estceque la crise a un impact sur la <strong>sécurité</strong><strong>alimentaire</strong> de la population <strong>et</strong> leurs moyens desubsistance ? Quelle est la gravité de la situation ?Est-ce que le niveau de malnutrition a étéexacerbée par la crise ? Comment les genss’adaptent ? Combien de personnes souffrentd’in<strong>sécurité</strong> <strong>alimentaire</strong> <strong>et</strong> où sont-ils ?L’enquête prend place dans les zones <strong>rural</strong>es ausein des 5 districts de Djibouti à savoir : Arta,Dikhil, Tadjourah, Obock <strong>et</strong> Ali-Sabieh.L’étude se produit sous le contour d’uneenquête perpétré dans les districts avec lacollaboration de plusieurs institutions nationalesnotamment l’ONARS (Office Nationald’Assistance aux Refugiés <strong>et</strong> aux Sinistrés),l’association Al Birri, la DISED (Direction desStatistiques <strong>et</strong> des Etudes Démographiques),Promes-GDT, le Programme national denutrition (PNN), le Ministère de l’Agriculture,le Ministère de la santé, le Ministère de laPromotion de la Femmes mais aussi quelquesorganisations des Nations Unies à savoirl’OMS, la <strong>FAO</strong> <strong>et</strong> l’UNICEF. Pour c<strong>et</strong>teenquête, des consultations <strong>et</strong> réunions depréparation ont eu lieu.


Un membre du comité de pilotageinterviewant des informateurs clésDes enquêteurs interviewant unménageLes enquêteurs, en provenance des cinqrégions de Djibouti qui ont été sélectionnés ontreçu une formation de trois jours où ils ont puse familiariser avec la méthodologie <strong>et</strong> lequestionnaire. C<strong>et</strong>te formation a été donnéepar Madame Rosella Bottone. En plus desenquêteurs, un comité de pilotage a été mis surpied composé essentiellement de personnelsvenant de différentes institutions (à savoir leMinistère de l’Agriculture, la <strong>FAO</strong>, le DISED,l’UNICEF, le PNUD <strong>et</strong>c.). Le rôle de cecomité de pilotage est de faire une enquête surles informateurs clés <strong>et</strong> d’appuyer lesenquêteurs . L’échantillonnage est aléatoire <strong>et</strong>couvre les cinq régions de Djibouti. On parlealors de 74 localités <strong>et</strong> 861 ménages qui ont étévisités.Les enquêteurs ont été divisé en 6 équipes dont une parrégion <strong>et</strong> deux à Tadjourah. La durée de c<strong>et</strong>te collecte dedonnées par les enquêteurs a duré de 9 à 10 jours. Afin d<strong>et</strong>ester <strong>et</strong> renforcer la compréhension des enquêteurs <strong>et</strong>celui du comité de pilotage sur la méthodologie desquestionnaires, des enquêtes ont eu lieu dans deuxlocalités d’Arta.Par la suite, les enquêteurs, les membres du comité depilotage ainsi que le personnel de PAM se sont dispersésdans les cinq régions le 5 mai 2012 pour débuter l’enquêteEFSA. L’étape suivante après l’enquête sur le terrain est lasaisie <strong>et</strong> le n<strong>et</strong>toyage des données prévue pour le 15 mai,suivie de l’analyse des données <strong>et</strong> finalement laprésentation du rapport final qui est prévue pour le 24 juin.--Brèves-- Une formation sur le MIRA a été organisée par le bureau régional de l’OCHA du 22 au 23 mai 2012 à la sallede conférence du PAM. C<strong>et</strong>te formation était au profit des points focaux des <strong>cluster</strong>s des agences des Nations-Unies, des partenaires du gouvernement de Djibouti <strong>et</strong> des ONG. Le but de la formation était de perm<strong>et</strong>treaux participants de se familiariser avec les directives du IASC puisque celles-ci sont nécessaires dans lesévaluations qui , elles, font parties du processus classique dans les urgences humanitaires. Le Secrétariat <strong>cluster</strong> <strong>sécurité</strong> <strong>alimentaire</strong> a participé à la réunion inter <strong>cluster</strong> organisée par le bureau régionalde l’OCHA le 29 mai 2012. C<strong>et</strong>te réunion inter <strong>cluster</strong> avait pour objectif de s’accorder sur les élémentsessentiels <strong>et</strong> généraux en vue de l’atelier du CAP qui était prévu pour le 31 mai 2012. Le Secrétariat <strong>cluster</strong> <strong>sécurité</strong> <strong>alimentaire</strong> a participé à l’atelier du CAP le 31 mai 2012 dans la salle deconférence du Ministère des affaires étrangères. L’objectif de c<strong>et</strong> atelier était de m<strong>et</strong>tre à jour le contextehumanitaire général à Djibouti qui a évolué depuis le lancement du CAP de l’année dernière, <strong>et</strong> de perm<strong>et</strong>treaux <strong>cluster</strong>s/secteurs de réviser leurs planifications.

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