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sommaire (PDF) - Aix-Marseille I

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4,80 m 225° 7,60 mAlbiCastresMazametLimouxPrincipales occupationsen grottePrincipaux habitatsde plein airTombesAtelier de fabricationde haches en tourmaline ?Hachette-pendeloqueRodezCarcassonnePerpignanMillauGROUPE DES STATUES-MENHIRSDU ROUERGUEV A UCLUSESainte-AffriqueNarbonnenoiros brûléou nonPézenasLodèveBéziersAgdeMendeFloracMontpellierSèteshématiteocrebauxiteV A RGrandes haches en roche verteAubenasLes VansGROUPE DES DALLES ANTHROPOMORPHESDU LANGUEDOC AlèsNîmestalcblancArlesMontélimarOrange0 JALLOT 2008100 kmAvignonHaches ou herminettes<strong>Marseille</strong>Sisteron<strong>Aix</strong>-en-ProvenceToulonGapDALLES ANTHROPOMORPHESDU DIOISGROUPE DES STÈLES ANTHROPOMORPHESDE PROVENCEDigneHyèresENSEMBLE LACAUNE-RANCE-DOURDOUGROUPE DE L'AGOUTGROUPE DE L'ORBGROUPE DES CAUSSES DE L'HÉRAULTGROUPE GARDONNENQUE-UZÈGEBarcelonnetteCannesDraguignanFréjus1 2-5 29GrasseGROUPE DE L'ARDÈCHEGROUPE VENAISSINGROUPE DE LA DURANCEDIOISAUTRES54321Nice0 10 kmPOC DGR GRA ENCDRABTRBCRACSGC PTRLDT SGCL LD PD TRCBURSCB BSGL’homodynamisme évolutif de la production d’industries du Mésolithiquedans le Vaucluse, la Haute-Loire et les Pyrénées-Atlantiques................................................115-126Michel LivacheAux origines de la production dans la Corne de l’Afrique :un champ d’étude à reconquérir..............................................................................................127-151Xavier Gutherz100 µmTradition graphique et sites ornés au Néolithique..................................................................153-161Philippe HameauPréhistoire de la Crau (Bouches-du-Rhône)............................................................................163-174Otello Badan, Xavier Margarit, Clara Piatscheck et Pascale BarthèsLe plateau du Moulin à Vent à Saint-Michel-l’Observatoire (Alpes-de-Haute-Provence) :un habitat du Néolithique final...............................................................................................175-185Jean Gagnepain6,30 m 5,50 mLe dolmen de Villevieille à Demandolx (Alpes-de-Haute-Provence) :gestion d’une sépulture collective néolithique.........................................................................187-204Juliette MichelSaint-MaximinSanilhac-et-SagrièsColliasCougulVersLa « hachette-pendeloque » : révision de l’inventaire pour la France méditerranéenne.........205-214Castillon-du-GardRemoulinsMarc Bordreuil, Marie-Christine Bordreuil, Luc Jallot et Maxime RemicourtHaches-marteaux et statues-menhirs dans le sud de la France.De l’objet à la représentation...................................................................................................215-255Luc Jallot et Ingrid SénépartLa tête humaine dans les pratiques culturelles des Gaulois méditerranéens..........................257-284Patrice ArcelinLa maison de Gyptis................................................................................................................285-289Henri TrézinyOrganisation modulaire du site du Verduron à <strong>Marseille</strong> (Bouches-du-Rhône),habitat gaulois du III e siècle avant notre ère...........................................................................291-299Alain Badie et Loup BernardL’oppidum de la Vache d’Or à Viens (Vaucluse) : un nid d’aigle albiquedevenu problématique avec la romanisation ?.........................................................................301-330Philippe Boissinot et Dominique Peyric avec la collaboration de Pierre ProuillacLe sanctuaire et ”l’oppidum” de Saint-Michel-de-Valbonne (Hyères, Var)...........................331-340Jean-Pierre BrunLes occupations de l’âge du Fer de l’habitat de plaine des Contrasà Lapalud (Vaucluse)...............................................................................................................341-370Jean-Jacques Dufraigne, Gilles Escallon et Jean-Philippe SargianoF 1350V 1351La céramique modelée de l’âge du Fer dans le Var..................................................................371-398Jacques Bérato0 20 cm


Faune marine0,9Esp. non cons.1,8Esp. cons.7,6BovinsPorcs11,224,4Moutons / Chèvres13,327,33875,510 20 30 40 50 60 70 800Archéologies de Provence et d’ailleursMélanges offerts à Gaëtan Congès et Gérard SauzadeBAP. Supplément 5Éditions de l’APA, 2008, p . 425-430Il était difficile de trouver un sujet qui puisse êtrecommun à un préhistorien et à un “antiquisant”. Pourtant,à la réflexion, je me souviens de nos longues discussionsou souvent, in fine, nous nous interrogions surl’organisation de la société dans laquelle vivaient leshommes que nous tentions de retrouver à travers les témoignagesde leur vie quotidienne et de leur mort. Aussi,cette réflexion sur le statut du potier antique rappelleracertainement beaucoup de choses à Gaëtan dont l’Anti-P o tiers gallo-romains et artisanat :une réalité socio-économiqueJEAN - PA UL JA CO Btenace et ressurgit périodiquement en filigrane d’articleset d’ouvrages. Il faut pourtant y renoncer. Une telle renonciationn’a pu se faire qu’après une longue querelleengagée à la suite de l’ouvrage primitiviste de Bücher 3.Il ne faut pas se laisser abuser par l’emploi du mot industrielorsque l’on traite des productions antiques. Cemot se dégage mal de son sens ancien : travail, activité,habileté 4 pour acquérir, au XVIII e s. seulement, un sensspécifique, proche de celui que nous lui connaissons dequité est la période de prédilection, mais aussi à Gérard nos jours, en un domaine où art, manufacture et fabriquequi aimait tant partir aux quatre coins de l’univers et à le concurrencèrent longtemps (Harsin 1930). Triomphanttravers les siècles à la recherche de comparaisons. Que au XIX e s. seulement, le mot a tendance à désigner alorsces quelques lignes, écrites au début des années 1980 la grande industrie.mais jamais publiées, soient un témoignage d’amitié et Il faut donc parler, pour l’Antiquité, soit d’artisanat,de reconnaissance à deux collaborateurs avec qui j’ai eu soit de pré-industrie 5 . Lorsque nous nous permettronsbeaucoup de plaisir à travailler 1 .d’employer le mot industrie, aucune confusion n’estpossible, et c’est au sens initial de travail et d’activitéUn débat important s’est ouvert au XIX e s. en Allemagnequi opposait modernistes et primitivistes. Il s’agis-avant la machine à vapeur, bien avant le XIX e s. à partirqu’il faut l’entendre, puisque nous nous plaçons biensait, en effet, de qualifier l’économie antique. D’aucuns duquel « la grande industrie nous a entouré de toutesaffirmaient que, très tôt, l’Antiquité, et les Grecs en particulier,avaient connu une véritable industrie de type on parler, pour l’Antiquité, de manufactures, au sens oùparts » (Braudel 1980, p. 259). Mais peut-être pourrait-manufacturier, de structure capitaliste et produisant en l’entendent les historiens, à la suite de Marx, c’est-à-diregrandes quantités pour l’exportation 2 . Un tel mirage, qui d’une concentration de main-d’œuvre de type artisanal,ne repose sur rien de bien sérieux, a cependant la vie travaillant manuellement 6 . Le problème n’est pas simple1. Gérard et Gaëtan voudront bien, je l’espère, pardonner la non mise à jour d’une bibliographie qui, si elle a évolué depuis 1981, neremet pas en cause mes conclusions. Ma nomination juste avant les vacances d’été 2008 à la présidence de l’Inrap m’a privé de lapossibilité de le faire.2. Meyer 1985. Cette opinion a été reprise par Rostovtzeff 1957.3. Bücher 1919, p. 83 sq. ; Salvioli 1906. Sur cette querelle, voir Will 1954.4. Voir « industrie » dans Dauzat 1938.5. Le sociologue américain Mumford fait même une distinction plus poussée, puisqu’il appelle âge paléotechnique l’époque quicorrespond à la première révolution industrielle, fondée sur l’usage intensif du charbon de terre, du fer et de la vapeur. Cet âgedébutera en Angleterre à partir de la seconde moitié du XVIII e s., il s’épanouira en gros entre 1830 et 1930 (Charrier 1964, p. 61).6. Cependant, les mots fabrique (correspondant à l’industrie puisque impliquant un équipement de machines perfectionnées) etmanufacture sont employés couramment l’un pour l’autre jusqu’au XVIII e s. (Sombart 1922, p. 732).1 2 cm16 17 18425Archéologie et mise en valeur à Martigues (Bouches-du-Rhône). Des différentes façonsde restituer l’habitat des Gaulois du Midi...............................................................................399-423Jean Chausserie-LapréePotiers gallo-romains et artisanat : une réalité socio-économique..........................................425-430Jean-Paul JacobLa tannerie de l’agglomération gallo-romaine de Liberchies (Belgique).................................431-438Jean-Pierre Dewert et Fabienne VilvorderEntre le Rhône et le Var, de la conquête romaine à la fin de l’Antiquité.Promenades archéologiques.....................................................................................................439-460Michel PasqualiniLa villa antique des Bruns à Bédoin (Vaucluse).....................................................................461-495Françoise Trial, Jacques Buisson-Catil, David Lavergne,Pierre Prouillac et Catherine Richartéélevage et alimentation sur le site de la villa antique des Bruns à Bédoin (Vaucluse)..........497-503Martine LeguillouxLes sépultures du site de Richeaume XIII : premiers témoignages d’une nécropole domanialesur le piémont méridional de la Sainte-Victoire (Puyloubier, Bouches-du-Rhône) ?.............505-518Florence Mocci, Bérengère Perez et Vincent DumasDes carrières de La Couronne à la villa de Saint-Julien-les-Martigues (Martigues, Bouches-du-Rhône) :données complémentaires sur l’exploitation des carrières à l’époque romaine........................519-531Lucien RivetUn autre regard sur l’aqueduc romain de Sainte-Barbe à <strong>Marseille</strong> (Bouches-du-Rhône)....533-549Manuel MolinerUn chapiteau corinthien trouvé dans les Bouches-du-Rhône.................................................551-554Jean-Marc Féménias et Anne Roth CongèsL’intaille de La Javie (Alpes-de-Haute-Provence) : une scène dionysiaquesacro-idyllique d’époque romaine............................................................................................555-562Vincent MeyerForum Voconi identifié par une inscription latine sur plomb..............................................563-566Michel Bats et Frédéric MartosLes moules bivalves en terre cuite en Gaule romaine (territoire français) : état des lieux......567-580Pierre Excoffon et Yvon LemoineLe pied romain de Sainte-Croix (Fréjus, Var).........................................................................581-584Chérine GébaraAmphores africaines du musée d’Arles (Bouches-du-Rhône).................................................585-595Michel Bonifay et Jean Piton


Archéologies de Provence et d’ailleursMélanges offerts à Gaëtan Congès et Gérard SauzadeBAP. Supplément 5Éditions de l’APA, 2008, p . 809-819La redécouverte des archives d’un érudit provençal.Le fonds Eugène-Henri Duprat à la BM VR de l’AlcazarEn 1950, dans le premier tome de la nouvelle revueProvence historique (fascicule du dernier trimestre),Auguste Brun publie une bibliographie de son confrère etami, Eugène-Henri Duprat, décédé l’année précédente. Ilexplique que « pour avoir une idée juste de son labeur, ilconvient de feuilleter ces recueils 1 où il a généreusementsemé notes, aperçus, discussions critiques ». Il précisequ’il « faudra y ajouter ultérieurement un inventaire deses papiers qui ont été recueillis par la Bibliothèque de<strong>Marseille</strong>, mais dont le classement n’est pas terminé ».C’est en l’honneur de deux archéologues et historiensde la Provence, Gérard Sauzade et Gaëtan Congès, quenous nous proposons de publier l’inventaire de ces papiersdont le souvenir avait disparu jusqu’au sein mêmede l’institution qui les avait recueillis.1. Eugène-Henri Duprat1.1. Sa vie 2Né à Châteaurenard en 1872, Eugène Duprat commencesa carrière comme professeur de lycée à Avignon,jusqu’en 1914. Pendant cette période, il entreprend d’étudierl’histoire d’Avignon et du Comtat durant l’Antiquitéet le Moyen Âge. Les nombreux articles qu’il publie(dans les Annales d’Avignon et du Comtat, les Mémoires del’Académie de Vaucluse ou les Annales de la Société d’étudesprovençales) s’appuient, pour la période médiévale, surdes dépouillements et des transcriptions d’actes d’archivesqu’il réalise lui-même.Vers la fin de la première Guerre Mondiale, il s’installeintéressantà <strong>Marseille</strong> (en 1917). Reprenant les mêmes méthodes detravail que pour Avignon, il recherche dans les archivesde la ville ou dans celles du département les donnéesà <strong>Marseille</strong> (Bouches-du-Rhône )M ARC B O U IRO Nla topographie. En cela, il est un précurseurd’une démarche scientifique de recherche sur l’évolutionurbaine. Il se heurte souvent à ses collègues archéologueset historiens, et recherche de façon systématique despreuves de ses argumentaires dans les textes.Jusqu’à sa mort, il sera impliqué dans les sociétéshistoriques locales et régionales : secrétaire de la Sociétéde statistique de <strong>Marseille</strong>, puis de l’Institut historiquede Provence, où il publie de nombreux articles sur latopographie marseillaise. En 1933 paraissent dans l’Encyclopédiedépartementale des Bouches-du-Rhône deux importantescontributions sur la topographie de <strong>Marseille</strong> del’Antiquité à la fin du Moyen Âge (Duprat 1933) et surla Provence durant le haut Moyen Âge (Duprat 1924),suivies deux ans plus tard d’un ouvrage sur l’antiqueTauroentum.Les travaux d’Eugène Duprat, au moins pour sacomposante marseillaise que nous avons eu l’occasiond’analyser de façon très détaillée, ont pâti du manquede rigueur du travail des archéologues de la premièremoitié du XX e s. Même si de grandes études ont étéréalisées, comme celles de Michel Clerc, l’absence detoute stratigraphie et d’étude du mobilier archéologiquea conduit Eugène Duprat, en réaction aux déterminationsempiriques de tel ou tel vestige, à une hypercritique quia figé pour quelques décennies les recherches. Ainsien est-il du “Mur de Crinas”, daté par G. Vasseur del’époque hellénistique et identifié par Eugène Duprat,textes et comparaisons à l’appui, à des murs de cavesmodernes. Nous savons bien maintenant que ce rempartdate du II e s. avant notre ère.Néanmoins dans bien des cas, la base documentairesur laquelle s’appuie Eugène Duprat est tout à fait intéressanteet peut être revue à la lecture de nos connaissancesactuelles.1. A. Brun entend par là les articles et publications d’Eugène Duprat, dont il dresse la liste aux pages V-XII.2. Les informations sont issues de A. Brun, Bibliographie d’Eugène Duprat, Provence historique, I, fasc. 2, 1950, p. III-XII.Archéologies de Provence et d’ailleursMélanges offerts à Gaëtan Congès et Gérard SauzadeBAP. Supplément 5Éditions de l’APA, 2008, p . 821 -824Patrice Arcelin, CCJClaude Ayme, GACROtello Badan, Réserve naturelle de CamargueAlain Badie, IRAAPascale Barthès, SRA DRAC-PACAMichel Bats, ASMJacques Bérato, CAVLoup Bernard, UMB StrasbourgPhilippe Boissinot, EHESS Toulouse,Michel Bonifay, CCJMarc Bordreuil, AlèsMarie-Christine Bordreuil, AlèsPhilippe Borgard, CCJMarc Bouiron, PPH NiceMarc Brion, LAMMJacques Élie Brochier, LAMPEARégine Broecker, SRA DRAC-PACAJean-Pierre Brun, CJB NaplesJacques Buisson-Catil, SRA DRAC-PCPhilippe Chambon, ArScANJean Chausserie-Laprée, SA MartiguesYann Codou, UNSAÉvelyne Crégut-Bonnoure, MR AvignonJean-Marin Desprez, GACRJean-Pierre Dewert, MCAHMichel Dubar, CépamJean-Jacques Dufraigne, Inrap MéditerranéeVincent Dumas, CCJGilles Escalon, Inrap MéditerranéePierre Excoffon, SP FréjusJean-Marc Féménias, Lançon-ProvenceRémi Fixot, éducation nationaleDanièle Foy, LAMMJean Gagnepain, MPGVChérine Gébara, SDA FréjusJean-Louis Guendon, LAMPEAXavier Gutherz, ASMarcelin@club-internet.fraymefam@gmail.comcribadan@orange.frbadie@mmsh.univ-aix.frpascale.barthes@culture.gouv.frbatcha@club-internet.frjac.berato@orange.frLoup.Bernard@umb.u-strasbg.frphilippe.boissinot@free.frmbonifay@mmsh.univ-aix.frmc.bordreuil@wanadoo.frmc.bordreuil@wanadoo.frborgard@mmsh.univ-aix.frmarc.bouiron@ville-nice.frbrion@mmsh.univ-aix.frJacques.Brochier@univ-provence.frregine.broecker@culture.gouv.frberard@unina.itjacques.buisson-catil@culture.frchambon@mae.u-paris10.frjean.chausserie-lapree@ville-martigues.fryann.codou@unice.frevelyne.cregut@mairie-avignon.comarcheocomtat@gmail.comvilvorder@arke.ucl.ac.bedubar@cepam.cnrs.frjean-jacques.dufraigne@inrap.frvdumas@mmsh.univ-aix.frgilles.escalon@inrap.frservice.archeologie.frejus@wanadoo.frjean-marc.femenias@wanadoo.frrfixot@yahoo.frdfoy@mmsh.univ-aix.frjean.gagnepain@museeprehistoire.comcgebara@cg83.frguendon@mmsh.univ-aix.frxavier.gutherz@univ-montp3.frLes auteurs809821Glanures épigraphiques arlésiennes. Le dossier des inscriptions découvertesen 1951-1952 par Fernand Benoit aux Alyscamps (Arles, Bouches-du-Rhône)....................597-610Jean Guyon et Marc HeijmansLes officines de verriers de <strong>Marseille</strong> et d’Arles (Bouches-du-Rhône)à la fin de l’Antiquité...............................................................................................................611-625Danièle FoyLa réoccupation des monuments antiques : l’exemple du théâtred’<strong>Aix</strong>-en-Provence (Bouches-du-Rhône).................................................................................627-674Núria NinPetits objets antiques et médiévaux récemment découvertsdans le centre-ouest du Var.....................................................................................................675-696Yvon LemoineDu cimetière antique à l’église carolingienne : Sainte-Marie du Flayosquet(Draguignan, Var)..................................................................................................................697-707Yann CodouÉtude anthropologique des squelettes de l’église Sainte-Marie du Flayosquet(Draguignan, Var)..................................................................................................................709-722émilie PerezUne église à piscine baptismale du haut Moyen Âgeà Oppedette (Alpes-de-Haute-Provence).................................................................................723-733Lucas MartinÉtude de la crypte de l’église Sainte-Tulle (Sainte-Tulle, Alpes-de-Haute-Provence) :histoire du culte et de l’édifice.................................................................................................735-750Rémi Fixot et Caroline Michel d’AnnovilleLe castrum de Montpaon (Fontvieille, Bouches-du-Rhône).Observations préliminaires.....................................................................................................751-760Marie-Laure Laharie, Jean-Christophe Tréglia et Marc BrionLe Beausset-Vieux (Var). Quelques réflexions neuves sur le passé médiéval.........................761-765Régine BroeckerLe baptistère de Riez (Alpes-de-Haute-Provence), de Simon Bartel à Marcel Provence.Heurs et malheurs d’un “Panthéon” converti en musée lapidaire.........................................767-789Philippe BorgardNouveau regard sur les colonnes “carolingiennes”de Clumanc (Alpes-de-Haute-Provence).................................................................................791-798élisabeth SauzeLes marques compagnonniques de passage : trois exemplesen Provence occidentale (Vaucluse)........................................................................................799-808Jacques MouraretLa redécouverte des archives d’un érudit provençal. Le fonds Eugène-Henri Dupratà la BMVR de l’Alcazar à <strong>Marseille</strong> (Bouches-du-Rhône)......................................................809-819Marc BouironLes auteurs...............................................................................................................................821-824

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