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Chiffres clés Déchets 2012 - Ademe

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TraitementLes apports en stockage et incinération de déchets non dangereux (2)Figure 21 - Évolution des apports en stockage et incinération de déchets non dangereuxMt40 ■ Total■ Stockage■ Incinération3020100Ces apports comptabilisent l’ensemble des déchets entrant dansles installations de traitement des ordures ménagères, UIOM etISDND. Ils comprennent d’une part les déchets apportés parle service public (dont les destinations sont détaillées page 18),d’autre part les déchets d’entreprises collectés par d’autres circuits(apports directs, collectes privées) et acceptés dans ces installations.La baisse constatée entre 2004 et 2006 pour l’incinérations’explique notamment par les fermetures d’usines intervenues(2) Hors installations de stockage de déchets inertes (ISDI)2000 2002 2004 2006 2008Dans le graphique (figure 22) sont représentés les quatreprincipaux modes de traitement des déchets municipaux,mettant en évidence les orientations principales desLes méthodes de traitement diffèrent sensiblement entre lesétats membres. En 2007 selon Eurostat (Office statistique descommunautés européennes), dans l’UE27, 42 % des déchetsmunicipaux traités ont été mis en décharge, 20 % incinérés,22 % recy<strong>clés</strong> et 17 % compostés. Les plus fortes proportions(1) Les déchets municipaux sont constitués pour une large part des déchets générés parles ménages, mais ils peuvent également inclure les déchets similaires générés par despetites entreprises et des établissements publics et collectés par les services municipaux.Ils ne comprennent pas les déblais et les gravats. Cette proportion des déchetsmunicipaux peut varier d’une commune à l’autre et d’un pays à l’autre, en fonction dusystème local de gestion des déchets.en 2005, échéance de la mise en conformité avec la réglementationeuropéenne, voire des arrêts d’exploitation pour mise auxnormes, ce qui a pu dans certains cas conduire à diriger (parfoistemporairement pour des raisons techniques) des déchets versdes centres de stockage. La quantité de déchets traitée dans lesinstallations de stockage et d’incinération baisse régulièrementdepuis 2000. C’est le stockage qui connaît la plus forte baisse,alors que l’incinération maintient son niveau.La situation en EuropeLes méthodes de traitement des déchets municipaux (1) en Europe100908070605040302010BulgarieRoumanieMalteLituanieLettonieChypre0% Figure 22 - Méthodes de traitement en EuropeGrèceSlovaquiePologneEstonieHongrieIrlandePortugalSlovénieEspagneRép. TchèqueSource : Office statistique des communautés européennes - Eurostatdifférents pays constituant l’Union européenne, ainsi que lacombinaison des modes de traitement.Royaume-UniFinlandeItalieUE27FranceUE 27❰LuxembourgBelgiqueDanemarkPays-BasAutricheSuèdeAllemagne■ Recyclage■ Incinération■ Compostage■ Mise en déchargede déchets municipaux recy<strong>clés</strong> l’ont été en Allemagne, en Belgiqueet en Suède.Les cartes suivantes représentent par mode de traitement laquantité de déchets traités par habitant et par mode, permettantainsi de comparer les pays entre eux.<strong>Chiffres</strong> <strong>clés</strong> <strong>Déchets</strong> - ÉDITION <strong>2012</strong>21sommaire

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