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Avis Technique 9/01-718 Calibel - Isover

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<strong>Avis</strong> <strong>Technique</strong> 9/<strong>01</strong>-<strong>718</strong>Annule et remplace l’<strong>Avis</strong> <strong>Technique</strong> 9/94-553Doublage de mur ethabillageWall liningVorsatzschalenNe peuvent se prévaloir du présent<strong>Avis</strong> <strong>Technique</strong> que les productionscertifiées, marque CSTBat, dont laliste à jour est consultable sur Internetà l’adresse :www.cstb.frrubrique :Produits de la ConstructionCertification<strong>Calibel</strong>Titulaire :Société SAINT GOBAIN ISOVERLes MiroirsCedex 27F-92096 Paris la Défense CedexTél : <strong>01</strong>.47.62.40.00Email : isover.fr@saint-gobain.comCommission chargée de formuler des <strong>Avis</strong> <strong>Technique</strong>s(arrêté du 2 décembre 1969)Groupe Spécialisé n° 9Cloisons et contre-murs en plâtreVu pour enregistrement le 17 janvier 2002Pour le CSTB : J.-D. Merlet, Directeur <strong>Technique</strong>Secrétariat de la commission des <strong>Avis</strong> <strong>Technique</strong>s CSTB, 4, avenue du Recteur-Poincaré, 75782 Paris Cedex 16Tél. : <strong>01</strong> 40 50 28 28 - Fax : <strong>01</strong> 45 25 61 51 - Internet : www.cstb.frLes <strong>Avis</strong> <strong>Technique</strong>s sont publiés par le Secrétariat des <strong>Avis</strong> <strong>Technique</strong>s, assuré par le CSTB. Les versions authentifiées sont disponibles gratuitement sur le site internet du CSTB (http://www.cstb.fr) CSTB 2002


Complexes et sandwiches CALIBEL avec pare-vapeur (marqués P3) :ils sont destinés aux murs en maçonnerie ou en béton situés en zonetrès froide (température de base inférieure à - 15°C ou altitude supérieureou égale à 600 m en zone H1), aux murs anciens ou lorsque ladestination des locaux rend nécessaire la présence d'un pare-vapeur,conformément aux règles prévues dans le préambule annexé à lanorme NF P 72-204, référence DTU n° 25-42 "Ouvrages de doublageet habillage en complexes et sandwiches plaque de parement enplâtre-isolant".5.2 PoseLes travaux préparatoires et la mise en œuvre proprement dites parcollage ou par fixation mécanique sont exécutés conformément à lanorme NF P 72-204 référence DTU n° 25-42 visée ci-avant.5.21 Mortier-adhésif :On se reportera aux prescriptions figurant sur les emballages.La mise en place des plots de mortier adhésif s’effectue en une seuleopération. Le nombre et la dimension des plots sont tels que la surfaceencollée après réglage et mise en place soit d’environ 15 % de lasurface du panneau (par exemple pour les mortiers adhésifs 8 à 9plots par m² de 15 cm de diamètre et de 10 à 15 mm d’épaisseur, plotsde 250 g environ).5.22 Colle AGO-ISOSTICL'application de cette colle est réalisée par cordons disposéshorizontalement à l’aide d’une spatule et à raison de 5 cordons de 1 mpar panneau. Pour ce faire, disposer de la colle AGO-ISOSTIC dans lapartie réservoir de la spatule et déplacer par translation et latéralementla spatule, de manière à former un cordon.Les cordons doivent être réguliers et homogènes.Les irrégularités du mur doivent être inférieures à 10 mm.5.23 Finitions Le traitement des joints entre plaques sera réalisé au moyen d'unsystème d’enduit associé à une bande visé à l’article 2.6 et faisantl’objet d’un Certificat CSTBat attaché à l’<strong>Avis</strong> <strong>Technique</strong> correspondant.On se reportera aux prescriptions de mise en œuvre définies dansl’<strong>Avis</strong> <strong>Technique</strong> concerné.5.3 Dispositions particulières en partie basse5.3.1 Cas des pièces classées EA (pose sur sol finiou avec revêtement de sol mince)Les complexes étant butés en tête, l'espace restant en pied doit êtrecalfeutré avant la pose de la plinthe, soit à la mise en œuvre du complexe,soit après mise en place de celui-ci (cf. art. 1.531 de la normeNF P 72-204 Réf. DTU 25-42).5.3.2 Cas des pièces classées EB et EB+ privatif(ou cas de pose avant exécution d'unechape ou revêtement de sol épais)(cf. art. 1.532 de la norme NF P 72-204 référence DTU 25-42)a) Mise en œuvre avant exécution d'une chapeUne protection des parements est nécessaire contre l'humidité etles sollicitations mécaniques.b) Pièces humides et/ou dans lesquelles le revêtement de sol estlavable à l'eauDans ces locaux, la partie basse des complexes doit être protégéecontre l'humidité sur une hauteur d'au moins 2 cm (*) au-dessus dusol fini.Il est rappelé que les complexes étant butés en tête, les dispositionsen pied sont :- soit arrêter la plaque à 2 cm au-dessus du sol fini,- soit disposer un relevé d'étanchéité dépassant le sol fini d'aumoins 2 cm.6. Cas particulier des locaux EB+ privatifsOuvrages verticaux destinés aux locaux classés « EB+ privatifs » ausens du document « Classement des locaux en fonction de l’expositionà l’humidité des parois » (cahier CSTB 3335 - avril 20<strong>01</strong>) dont la constitutionest la suivante (les joints entre plaques étant traités de façonclassique) : Toutes les parois du local « EB+ privatif » doivent être réaliséesavec des plaques hydrofugées de type H1 (cf. art. 2.2 du Dossier<strong>Technique</strong>). Dans le cas de finition par carrelage, une protection en périphérie dupied de la cloison ou du doublage de mur est réalisée par mise enplace d'une sous-couche de protection à l'eau sous carrelage associéeà une bande de renfort. La sous-couche de protection à la pénétrationd'eau doit être appliquée jusqu’à 10 cm minimum audessusdu sol fini (ou au moins jusqu’à la hauteur de la plinthe), dubac à douche ou de la baignoire.Cas des traversées de doublage :Les tubes ou tuyaux seront obligatoirement intégrés dans un fourreau,en PVC ou PER par exemple. Un cordon de mastic sera mis en placeentre le fourreau et le revêtement.Si l’étanchéité est détériorée au cours des percements ou de traversées,elle doit être rétablie.7. Câbles électriques, appareillageélectriqueOn se reportera aux prescriptions de la norme C1500 et en particulierau chapitre 5.Les câbles d’un diamètre de l’ordre de 10 à 12 mm peuvent être disposéssur le mur à doubler.L’emplacement des câbles sera pris dans l’épaisseur des plots de collede 10 à 15 mm.Les liaisons rigides (tuyauteries,…) entre le mur et le parement deCALIBEL sont proscrites.Les boîtiers électriques peuvent être encastrés dans les plaques deparement, après percement à l’aide d’une scie cloche.Dans le cas de saignée, les fonctions d’étanchéité à l’air et/oud’isolation thermique sont à reconstituer après intervention.8. Réparation éventuelle du parement8.1 Détérioration légèreLa réparation sera effectuée avec une ou plusieurs passes d'enduitsde finition.8.2 Détérioration plus importanteLa partie détériorée sera enlevée jusqu'au nu du primitif de laine minérale.Le bouchage se fait avec le mortier-adhésif. Le rattrapage desurface sera effectué par une ou plusieurs passes d'enduit de finition.9. Application des finitionsElle doit être effectuée conformément au règles de l’art et aux dispositionsdu DTU spécifique du mode de finition envisagé, en particulier :9.1 Finition par peintureLes dispositions sont celles définies par la norme NF P 74-2<strong>01</strong> RéférenceD.T.U. n° 59.1 d'octobre 1994.9.2 Finition par papier peints, tenture, etc...Les dispositions sont celles définies par la norme NF P 74-204 RéférenceD.T.U. 59.4 d'octobre 1994.Les travaux correspondants ne peuvent intervenir qu'après un délaisuffisant pour permettre un séchage convenable des ouvrages au droitdes joints.––––––––(*) La cote de 2 cm au-dessus du sol fini est à respecter au plus juste si l'on veutfixer la plinthe dans de bonnes conditions5 9/<strong>01</strong>-<strong>718</strong>


Ce délai, fonction des conditions ambiantes peut être variable, del'ordre de 48 heures dans des conditions favorables, plus long lorsquel'hygrométrie est très élevée ; une ventilation des locaux est nécessairedans ce cas.Les travaux préparatoires nécessaires seront exécutés en fonction dela nature du revêtement et de la qualité de l'ouvrage désiré.Dans le cas de revêtement collé et en vue des réfections ultérieures, ilconvient en particulier de procéder, avant encollage, à une impressionen milieu solvant.9.3 Revêtement en carreaux céramiques collésLa pose est effectuée à l'aide d'une colle faisant l'objet d'un <strong>Avis</strong> <strong>Technique</strong>pour cet usage et conformément aux indications de cet <strong>Avis</strong>(modalités du collage et limitations d'emploi).Dans le cas d'utilisation en local EB+ privatif au sens du document« Classement des locaux en fonction de l’exposition à l’humidité desparois » (Cahier du CSTB 3335 – Avril 20<strong>01</strong>), on choisira une colleparmi celles visées à l'article 2.7 du Dossier <strong>Technique</strong>.Les prescriptions prévues dans le CPT – revêtements muraux intérieursen carreaux céramiques ou analogues - cahier CSTB n° 3265 –octobre 2000 seront respectées.9.4 Points singuliers Les plinthes en bois sont fixées par clouage en biais ou collage ; lesplinthes en céramique sont collées avec les ciments-colles spéciaux. Les jonctions entre les parements des panneaux et les huisseries deporte ou de fenêtre s'effectuent de façon classique (encastrement,couvre-joint rapporté,...).10. Fixation d'objets(cf. art. 2.12 du Mémento de la norme NF P 72-204, réf. DTU 25.42). Les charges jusqu’à 10 kg peuvent être fixées directement dans lesplaques à l’aide de fixations du type crochets X ou similaire, ou dechevilles spécialement adaptées à cet usage. Les charges comprises entre 10 et 30 kg peuvent être fixées directementdans les plaques à l’aide de chevilles à expansion ou à basculeen respectant un espacement minimal entre points de fixationde 40 cm. Les charges supérieures à 30 kg doivent obligatoirement être fixéespar renvoi à la structure.Dans les deux derniers cas, il convient de limiter ces charges à desvaleurs égales à celles introduisant un moment de renversement de 30kg.m s’il s’agit de charge localisée (par exemple : lavabo) ou 15 kg.ms’il s’agit de charge filante (par exemple : étagère).11. Conditions particulières d'emploi enamélioration de l'isolation acoustiqued'une paroiLes complexes utilisés en doublage peuvent compléter l'isolementacoustique aux bruits aériens de murs suffisants à tout autre point devue, tant en aménagement de murs existants qu'en travaux neufs,moyennant une étude préalable.A ce sujet, il est rappelé que le niveau sonore perçu dans un local estfonction des puissances rayonnées par chacune des surfaces qui lelimitent. L'étude acoustique doit donc porter, non seulement sur laparoi concernée, mais sur les autres parois verticales et horizontales.11.1 Epaisseur minimale des parois supportsDans le cas de l’emploi d’un complexe de doublage sur une face d’unmur séparatif entre deux logements, la pose de ce complexe peut êtrefaite sur les épaisseurs de maçonneries suivantes (épaisseurs minimalesnécessaires pour répondre aux sollicitations mécaniques des chocsde corps mous en séparatif). briques pleines ou perforées : 10,5 cm briques creuses : 10 cm blocs en béton creux ou pleins : 10 cm carreaux de plâtre : 10 cm béton banché ou armé : 8 cmCes parois maçonnées devront, de par leur nature et leur épaisseur,faire l'objet d'une étude préalable pour répondre à une exigenceacoustique spécifique.En neuf, il faudra se conformer aux exigences de la réglementationacoustique.Le complexe de doublage peut être aussi utilisé en isolement acoustiquede cloisons distributives, de murs de façade et d’une manièregénérale, de toutes parois autoporteuses. Dans ce cas, les épaisseurminimales des parois sont celles généralement requises par les règlesapplicables à ces ouvrages.11.2 Etanchéité acoustique des murs àdoubler Dans le cas de murs constitués de blocs élémentaires jointoyés(type briques ou blocs en béton), on vérifiera préalablement quel'étanchéité à l’air sera assurée par la présence d'un enduit (plâtreou ciment) sur une face et d'un jointoyage soigné. Les traversées du mur et du doublage par des canalisations, sontinterdites.11.3 Mise en œuvre des complexes La mise en œuvre en acoustique sur les parois s'effectue de lamême façon que pour le doublage thermique. Sur mur intérieur, le collage peut être réalisé non seulement surmaçonneries brutes, mais aussi sur mur enduit au plâtre. Le joint sous plinthe ne doit pas avoir une largeur supérieure à 10mm ; il est, ultérieurement, masqué par la plinthe. Les cales éventuellesseront enlevées.11.4 Fixations d'objetsLes liaisons rigides (tuyauteries,...) entre le mur et le parement dudoublage seront proscrites.Seuls les objets légers pourront être fixés dans le parement du complexe.La fixation d'objets lourds côté maçonnerie ne pose pas de difficulté ;par contre, côté complexe, il faudra prévoir des accrochages indépendants(lavabos et radiateurs sur socles,...).B. Résultats expérimentaux1. Caractéristiques du primitifPrimitif CALIBEL faisant l’objet d’un certificat ACERMI validé à la datedes essais.Classement d’inflammabilité : M0 (PV CSTB RA 00592).Non hydrophile au sens du DTU 20-1 PV VERITAS N° LAB 7B 94 360(testé sur épaisseur 40 mm).2. Essais d’arrachementLes essais effectués sur les complexes CALIBEL ont fait l’objet d’unrapport d’étude du CSTB en 3 parties référencé ER 553 09 05 17 enoctobre 2000.Les résultats sont résumés ci-après :2.1 Essais sur éprouvettesDes essais de traction ont été réalisés sur éprouvettes 80 mm x 80 mmx 80 mm (étude CSTB).Dans lesens del’épaisseurDans lesensverticalPenteinitialeentre 0,5 et2 % (kPa)Penteinitialeentre 0 etlimiteélastique(kPa)Contraintemaximum(kPa)Déformationassociée %203 183 8,68 5,65795 540 18,10 3,746 9/<strong>01</strong>-<strong>718</strong>


2.2 Essais d'arrachement sur panneaux entiers10 + 80Traction répartie par l'intermédiaire d'une plaque de 0,90 m x 0,90 m,fixée par vis et chevilles au centre d'une maquette constituée de deuxpanneaux 10 + 80.Charge de ruine (daN) : 192 daN (charge moyenne obtenu à partir de3 essais réalisés).Deux autres essais ont été réalisés, les charges de rupture ont étéobtenues à 211 daN.La rupture se produit par décohésion du primitif au droit des plots demortier adhésif.2.3 Modélisation numériqueUne analyse numérique par la méthode des éléments finis a été effectuée.Cette analyse consistait à simuler explicitement les deux essaisd’arrachement réalisés en vrai grandeur au laboratoire sur des panneauxCALIBEL en utilisant les résultats des essais d’identification suréprouvettes comme paramètres d’entrée pour le modèle.2.31 Validation du modèleLe modèle a ensuite été validé en confrontant ces résultats avec ceuxissus des essais d’arrachement sur des panneaux entiers.2.32 Analyse des résultats et étude de sensibilitéLa validation du modèle ayant été effectuée, il a été ensuite procédé àl’analyse des résultats au travers d’une étude de sensibilité afind’étudier le mécanisme de déformation.2.33 ConclusionLes calculs menés montrent une bonne concordance avec les résultatsobtenus par l’expérimentation sur les deux aspects suivants : La déformation globale et locale de l’ouvrage. Le niveau des contraintes dans l’isolant au droit des plots de mortieradhésif qui, à rupture, équivaut à la contrainte limite d’arrachementde la laine de verre obtenue par les essais de cohésion. La valeur etla répartition de ces contraintes confirment le mode de rupture observéau cours des essais.La valeur expérimentale de la force d’arrachement pour le primaire aété confirmée par le modèle.3. Isolation acoustiqueIl convient de se reporter aux procès verbaux d’essais visés ci-aprèsen ce qui concerne l’aptitude à l’emploi, le descriptif des différentsmontages et les caractéristiques des produits testés.3.2 Essais acoustiques(1) (2)R rose 30 dB(A) 50 dB(A)R route 28 dB(A) 43 dB(A)RW 29 dB 52 dBRapport d’essais CSTB n° AC 97-212(3) (4)Rw (C ;Ctr) 55 (-1 ; -4) dB 68 (-3 ; - 11)Rapport essais CSTB n° AC 99-189/12C(1) Brique creuse de terre cuite (390 x 300 x 50 mm)Six rangées d’alvéole - montage au plâtreSur une face 1 enduit plâtre de 10 mm d’épaisseur.Désolidarisation en pied de cloison par une bande résiliente(RESIMAT) maintenue au sol par une colle néoprène.(2) : (1) + Collage du complexe CALIBEL 10 + 50 face non enduite.(3) Blocs de béton creux (20 x 20 x 50 cm)Deux rangées à 3 alvéolesEnduit ciment sur une face de 15 mm d’épaisseur(4) : (3) + CALIBEL 10 + 80. En périphérie du doublage, un joint decueillie d’environ 5 mm traité par un mastic souple en partiebasse, enduit et bande sur les 3 autres côtés.C. RéférencesDepuis plus de vingt ans plusieurs millions de m2 ont été posés.La pose de CALIBEL sans bande préimprégnation a fait l’objet d’unsuivi de chantiers depuis 1 an ; à ce jour aucun désordre n’a pu êtredécelé.Tableau du Dossier <strong>Technique</strong>Tableau 1 - Emploi des complexes et sandwiches dans les locaux courants (habitations, bureaux, etc...) (*)RéférenceCALIBELsanspare vapeurCALIBELavecpare vapeurEpaisseurisolant (mm)Marquage(**)30 e 100 P130 e 100 P3CALIBELsandwich sanspare vapeur 30 e 100 P1PoseMaçonnerieDTU 20-1Supports neufs possiblestypes de murs obtenusBéton e 15 cmDTU 23.1BétonpréfabriquéDTU 22.1PoseenzonetrèsfroideApplication surmurs ancienscollée sans cale oui type IIa oui type II nonsur tasseaux oucollée avec calesoui type IIboui type IIcollée sans cale oui type IIa oui type IIsur tasseaux oucollée avec calesen cloison dedoublageoui type IIboui type IIbou IIIoui type IIoui type IIou IIInon non oui surtasseauxuniquementoui oui ouinon non ouiCALIBELsandwich avecpare vapeur 30 e 100 P3en cloison dedoublageoui type IIbou IIIoui type IIou IIIoui oui oui pour les locaux à forte hygrométrie tels que certains locaux industriels, locaux sanitaires de collectivités, laveries, etc,... on se réfère aux règles définies dans leDTU 20.1** classe de perméance : au marquage figure, sous forme codée, l'indication de la nature de l'isolant.7 9/<strong>01</strong>-<strong>718</strong>

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