L’ACTUALITE
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[ n° 294 mai 2016 ] <strong>L’ACTUALITE</strong> DES CONCERTS ET DE L’OPERA<br />
© Gregor Hohenberg / SonyClassical<br />
Sonya Yoncheva<br />
soprano<br />
Duruflé<br />
& Fauré<br />
Requiem<br />
Daniele<br />
Gatti<br />
Momo Kodama<br />
Kate<br />
Aldrich
L’édito<br />
DE Philippe MaiLlard<br />
sommaire<br />
Certes riche, la vie musicale à Paris n’en<br />
est pas moins soumise à bien des aléas.<br />
Le vieillissement tout d'abord : fermés pour<br />
travaux, l’Opéra Comique, le Châtelet et<br />
le Théâtre de la Ville n’accueilleront que<br />
partiellement les mélomanes la saison<br />
prochaine. La forte concurrence ensuite :<br />
l'Opéra de Paris est doté de 2400 places<br />
(Bastille) et de 1900 places (Garnier), alors<br />
que le Théâtre des Champs-Élysées et la<br />
Philharmonie 1 proposent respectivement<br />
1900 et 2400 places. Soit 4 grands lieux (la<br />
Maison de Radio France occupe une position<br />
un peu à part) en mesure d’accueillir grands<br />
orchestres et grandes stars, en proie à une vive<br />
rivalité. Les grands navires offrent peu de place<br />
à la découverte et au risque, tant pour<br />
le répertoire que pour les artistes invités.<br />
Il faut donc regarder plutôt du côté<br />
des lieux plus modestes, musées (Orsay,<br />
Louvre, Jacquemart André, Cluny, Invalides)<br />
ou petits théâtres (Bouffes du Nord, Salle<br />
Cortot, Athénée) pour y trouver concerts<br />
intimes, œuvres rares ou artistes moins<br />
connus (jeunes ou moins médiatisés). Entre<br />
les salles de plus de 1800 places et celles<br />
de moins de 500 places, point de salut ?<br />
Paris ne manque-t-elle pas de lieux<br />
intermédiaires ? L’ouverture prochaine<br />
d’un auditorium à la Cité musicale de l’Ile<br />
Seguin apportera un début de réponse.<br />
Avec ses 1000 places, elle pourra briller<br />
dans la catégorie des poids moyens avec<br />
la Salle Gaveau et la Philharmonie 2<br />
(900 places). Bonne lecture !<br />
© Marco Borggreve<br />
© Pablo Faccinetto<br />
10<br />
© Fadil Berisha<br />
8<br />
14<br />
Le dossier<br />
Fauré, Duruflé, Leurs Requiem 2<br />
à Paris<br />
Portrait 4<br />
Sonya Yoncheva<br />
L’actualité des concerts 6<br />
Chef 8<br />
Daniele Gatti<br />
Piano 10<br />
Momo Kodama<br />
Contemporain 12<br />
Aribert Reimann, Lear<br />
Voix 14<br />
Kate Aldrich<br />
en famille 16<br />
CD 26<br />
Pratique 27<br />
Mémo 28<br />
mai 2016 cadences 1
dossier<br />
Gabriel Fauré : La noble pensée et<br />
l’absolue pureté de forme de ce très<br />
grand maître renouent avec le grand<br />
art grec du siècle de Périclès.<br />
© Médiathèque Gustav Mahler<br />
Fauré, Duruflé<br />
et leurs Requiem<br />
24 et 25 mai – Cathédrale Notre-Dame de Paris<br />
5 juin – Église Saint-Louis-en-l’Île – Fauré<br />
Orchestre de chambre de Paris, Maîtrise Notre-Dame<br />
de Paris, John Nelson (direction)<br />
Ensemble des Hauts-de-Seine & Sequana Voce. Laurent<br />
Brack (direction)<br />
7 juin – Cathédrale Notre-Dame de Paris – Duruflé<br />
Maîtrise Notre-Dame de Paris, Henri Chalet (direction)<br />
La réconfortante sérénité et la foi lumineuse<br />
de ces œuvres jumelles doivent beaucoup aux anciens<br />
modes grégoriens rénovés dans un esprit moderne.<br />
Le Requiem de Fauré et celui de<br />
Duruflé (qui en est le légataire<br />
le plus direct) contrastent avec<br />
les autres messes des morts<br />
ayant acquis une gloire comparable<br />
(Mozart, Berlioz, Brahms, Verdi). Leurs<br />
conceptions empreintes d’humilité, toute<br />
de tendresse, de pardon et d’espoir, s’opposent<br />
à l’impitoyable sévérité d’une justice<br />
divine faisant comparaître l’homme<br />
devant son créateur dans le décor grandiose<br />
d’un « jugement de Dieu » (au fond<br />
calqué sur le cérémonial pompeux et<br />
prudhommesque d’un tribunal humain).<br />
Quoi de plus antithétique en effet à la<br />
grandeur troublante de Mozart (dans<br />
une œuvre aux origines elles-mêmes<br />
entachées d’ambiguïté), aux cavaliers de<br />
l’apocalypse entrevus par Berlioz dans<br />
sa grandiose fresque babylonienne, à<br />
l’oratorio luthérien un brin compassé<br />
de Brahms, et à la bombastique tragédie<br />
à laquelle nous invite le tempérament<br />
théâtral de Verdi ? S’ils ont, chacun à<br />
sa manière, traduit magistralement la<br />
terreur de l’homme face à l’inconnu de<br />
l’au-delà et de l’issue du jugement, ils<br />
semblent avoir négligé la dimension d’indulgence,<br />
de pardon et d’apaisement qui<br />
est pourtant indissociable de la religion<br />
catholique. Fauré, et, dans son sillage,<br />
Duruflé, ont su capter cette perspective<br />
essentielle. La douce clarté dont est empreinte<br />
leur musique introduit une note<br />
d’espoir à l’horizon de la sombre réalité<br />
humaine : loin de nous plonger dans les<br />
abîmes d’un impitoyable Dies Iræ, ils<br />
nous laissent entrevoir la voie lumineuse<br />
gravissant la colline de Sion pour mener<br />
le pèlerin vers une rayonnante Cité céleste<br />
– une démarche proche de la voie<br />
suivie par cet autre grand prophète musical<br />
de la Cité de Dieu, le grand compositeur<br />
anglais Ralph Vaughan Williams (cf.<br />
sa Symphonie n°5). La remise à l’honneur<br />
des anciens modes (dont Vaughan Williams<br />
fut l’initiateur outre-Manche) est le<br />
commun dénominateur entre les visions<br />
de l’au-delà de l’Anglais et celles des deux<br />
Français. Le plain-chant grégorien, dans<br />
sa version stylisée et transfigurée par les<br />
munificentes conquêtes harmoniques du<br />
xix e siècle (et tout particulièrement de<br />
Wagner dans Parsifal), excelle, bien plus<br />
que le traditionnel régime tonal du majeur/mineur,<br />
à traduire les états méditatifs<br />
et de suave contemplation du cloître.<br />
Visions de<br />
la Cité céleste<br />
En la matière, Fauré joua le rôle d’un<br />
précurseur inspiré. Il avait été initié<br />
aux modes grégoriens lors de sa scolarité<br />
à l’École Niedermeyer, fondée par l’aristo-<br />
2 cadences mai 2016
paris<br />
crate belge éponyme, qui avait donné pour<br />
mission à cet établissement de préparer<br />
ses élèves aux fonctions d’organiste et de<br />
maître de chapelle et qui avait conféré à<br />
l’enseignement et à la pratique des anciens<br />
modes d’église une importance alors sans<br />
équivalent dans les autres établissements<br />
d’enseignement. Fauré fut d’ailleurs au<br />
départ un musicien d’église, maître de chapelle<br />
à la Madeleine (1877) puis titulaire de<br />
son grand orgue (1896). Était-il sceptique,<br />
ainsi que l’a affirmé son fils Philippe Fauré-Frémiet,<br />
ou agnostique-croyant ? Le<br />
propre du caractère mystique de l’auteur<br />
du Requiem a été remarquablement défini<br />
par Nadia Boulanger : « L’Église nous peut<br />
juger, condamner : cela, le Maître ne l’a<br />
jamais exprimé, pas plus qu’il ne s’est attaché<br />
à suivre l’esprit dogmatique du texte. La<br />
religion, on dirait qu’il la comprend plutôt à<br />
la manière des doux épisodes de l’Évangile<br />
selon Saint Jean, plutôt selon Saint François<br />
d’Assise que selon Saint Bernard ou<br />
selon Bossuet… Ses voix semblent s’interposer<br />
entre le ciel et les hommes ; – généralement<br />
paisibles, quiètes et ferventes, elles<br />
sont graves parfois, et tristes, menaçantes<br />
jamais, ni dramatiques. ». Cette conception<br />
s’accorde bien avec la nature indulgente,<br />
foncièrement bienveillante du musicien,<br />
qui l’a écarté de l’implacable dogme des<br />
Repères<br />
Gabriel fauré<br />
12 mai 1845 : naissance à Pamiers<br />
(Ariège)<br />
1888 : Requiem op.48<br />
1913 : Pénélope<br />
4 novembre 1924 : meurt à Paris<br />
Maurice Duruflé<br />
11 janvier 1902 : naissance à Louviers<br />
(Eure)<br />
1929 : organiste titulaire à Saint-<br />
Etienne-du-Mont<br />
1947 : Requiem op.9<br />
1975 : victime d’un grave accident<br />
de voiture, il cesse de jouer et reste<br />
reclus dans son appartement<br />
16 juin 1986 : meurt à Louveciennes<br />
© D.R.<br />
châtiments éternels. Son art répugnait à<br />
l’évocation détaillée et minutieuse d’un<br />
enfer qui inspirait à Berlioz de dantesques<br />
évocations ; le Requiescat in pace se fait<br />
avec lui de sereine douceur et d’espoir<br />
consolateur. Fauré n’était cependant pas<br />
incapable d’une noble grandeur volontiers<br />
empreinte d’un accent austère (cf. Thème et<br />
variations op.73). Ainsi sait-il donner aux<br />
paroles liturgiques l’accent austère qu’elles<br />
doivent prendre lorsqu’il s’agit d’exprimer<br />
ce qu’il y a de terrible dans la mort. Tel<br />
est ainsi le décor de deuil du Molto largo<br />
d’introduction, dans la sombre tonalité<br />
de ré mineur (le ton du requiem de Mozart).<br />
Comme l’écrit si bien Kœchlin, « un<br />
mystérieux effroi plane sur l’Offertoire »,<br />
et c’est comme un souvenir de Dante qui<br />
passe dans l’entrelacs des voix et les énigmatiques<br />
modulations. L’œuvre est une<br />
véritable « conduite des morts » : entamée<br />
dans l’ombre, elle s’éclaire peu à peu de la<br />
séraphique et bienheureuse lumière qui<br />
mènera l’In Paradisum sur des sommets<br />
d’émouvante grandeur, avec une simplicité<br />
et un naturel sans équivalents dans toute la<br />
musique religieuse – véritable équivalent<br />
sonore des fresques de Fra Angelico.<br />
Une cathédrale<br />
de lumière<br />
Fauré a composé son Requiem sous le<br />
choc de la mort de son père ; le Requiem<br />
de Duruflé est dédié « à la mémoire de mon<br />
père » : se réclamant du même esprit que<br />
son illustre aîné, il cherche à exprimer<br />
des sentiments « d’apaisement, de détachement<br />
vers l’au-delà, de foi, d’espérance. »<br />
Né à Louviers en 1903, l’auteur fut élève<br />
de la Maîtrise de Rouen et vint achever<br />
ses études musicales au Conservatoire de<br />
Paris avec Charles Tournemire, Eugène<br />
Maurice Duruflé : Sa profondeur<br />
d’inspiration et sa technique savante<br />
et érudite en font l’un de grands<br />
compositeurs religieux du xx e siècle.<br />
Gigout et Louis Vierne. Brillant élève dans<br />
la classe de composition de Paul Dukas, il<br />
fut, comme Fauré, un musicien d’église,<br />
titulaire du grand orgue de Saint-Étiennedu-Mont.<br />
Son inclination à la méditation et<br />
au recueillement trouva comme chez Fauré<br />
un stimulant essentiel dans la pratique<br />
du plain-chant : ainsi retrouva-t-il le secret<br />
de la fraîcheur des cantilènes primitives.<br />
Son Requiem (une commande de l’éditeur<br />
Durand), achevé au cours de l’été 1947,<br />
rencontra d’emblée un accueil triomphal.<br />
Il a depuis fait le tour du monde. Pour soli,<br />
chœurs, orchestre et orgue, cet ouvrage<br />
monumental se situe dans la descendance<br />
fauréenne, avec l’apport de l’enseignement<br />
du charpentier et architecte sonore<br />
qu’était son maître d’orgue Louis Vierne.<br />
Duruflé emprunte les thèmes grégoriens<br />
de la Messe des morts, tantôt intégralement,<br />
tantôt comme sujet d’inspiration.<br />
« Il a su habilement concilier les exigences<br />
de la rythmique du plain-chant et celle de la<br />
mesure, comme il a su suivre fidèlement la<br />
liturgie et donner pourtant à chacune des<br />
parties de sa messe une vie propre. L’orgue<br />
n’intervient que d’une manière épisodique,<br />
et toujours à propos. L’auteur lui assigne<br />
pour mission de faire oublier les sonorités<br />
trop humaines de l’orchestre symphonique<br />
et de rappeler l’idée de foi, d’espérance, de<br />
détachement vers l’au-delà » (René Dumesnil).<br />
Parti du plain-chant, il a su n’en<br />
conserver que les mélismes tout en affirmant<br />
une personnalité harmonique originale.<br />
Cette œuvre grandiose, aux nervures<br />
polyphoniques souples et élancées, animée<br />
d’une pulsation rythmique pleine d’exultation,<br />
transpose dans le domaine sonore les<br />
sveltes ogives d’une nef gothique baignée<br />
de l’harmonieuse clarté de ses vitraux.<br />
Retrouvant chacun à leur manière l’apaisante<br />
sérénité du cloître, ces deux chefsd’œuvre<br />
apportent en nos temps troublés<br />
un message de réconfort reflétant la pérennité<br />
et le caractère immuable de la prière.<br />
•<br />
Michel Fleury<br />
mai 2016 cadences 3
PORTRAIT<br />
© Gregor Hohenberg / SonyClassical<br />
Sonya Yoncheva<br />
incarne la Traviata<br />
Du 29 mai au 29 juin - Opéra Bastille<br />
Verdi, La Traviata<br />
Chœur & orchestre de l’Opéra de Paris, Michele<br />
Mariotti (direction), Benoît Jacquot (mise en scène).<br />
Avec Bryan Hymel, Placido Domingo…<br />
27 juin - Théâtre des Champs-Élysées<br />
Pergolesi, Stabat Mater<br />
Avec Karine Deshayes, mezzo, Ensemble Amarillis.<br />
Deux petites années auront suffi à Sonya Yoncheva pour asseoir<br />
définitivement son statut d'étoile, mettant à ses pieds les plus<br />
grandes maisons lyriques du monde. Paris est bienheureuse, qui<br />
figure parmi ses ports d'attache privilégiés.<br />
Après une Iolanta de Tchaïkovski<br />
triomphale le mois passé,<br />
l'Opéra Bastille s'apprête à<br />
recevoir sa Violetta Valery de<br />
La Traviata, le rôle des rôles, qu'elle est<br />
en passe de marquer durablement pour<br />
l'avoir successivement chanté, pour la<br />
seule année 2015, à New York, Zurich,<br />
Londres et Berlin.<br />
Autant dire que Sonya Yoncheva connaît<br />
intimement ce personnage, auquel la destinaient<br />
la pulpe incomparable du timbre,<br />
des possibilités techniques qui rendent<br />
tout aisé, et cette intensité scénique qui<br />
marque les esprits. Reste-t-il pour elle,<br />
dans cette partie pourtant redoutable,<br />
un défi particulier ? Nulle question ici de<br />
céder à la facilité : « La première difficulté,<br />
pour moi mais aussi, je pense, pour toutes<br />
mes collègues, réside dans l'endurance, car<br />
il faut maintenir jusqu'au bout un niveau<br />
vocal incroyable. Le premier acte est rempli<br />
d'embuches techniques, alors que le<br />
deuxième, qui est très long, demande à la<br />
fois une extrême fermeté et une grande fraîcheur.<br />
En revanche, dans le troisième acte,<br />
il faut montrer le dernier épisode de la vie<br />
de cette femme, sa mort certes, mais surtout<br />
son sentiment d'être abandonnée des dieux,<br />
contre lesquels elle exprime sa colère : pourquoi<br />
doit-elle mourir au moment où elle n'a<br />
jamais été aussi heureuse de sa vie ? Tout<br />
cela, musicalement et dramatiquement,<br />
engendre une intensité folle et ce rôle me<br />
demande non pas de produire des efforts<br />
mais plutôt d'être survitaminée, si je puis<br />
dire. » De là à conclure que Violetta Valery<br />
ne pose aucun problème particulier à Sonya<br />
Yoncheva, il n'y a qu'un pas que franchiront<br />
allègrement tous ceux qui ont pu<br />
constater une santé vocale phénoménale.<br />
Trois actrices<br />
pour Violetta<br />
Elle tord au passage le cou à la thèse<br />
selon laquelle il faudrait trois voix<br />
pour affronter le rôle, des coloratures du<br />
premier acte au dramatisme du dénouement<br />
: « Je dois dire que cela n'a jamais<br />
été la cas pour moi – je n'ai pas autant de<br />
cordes vocales que cela. Certes, Verdi a pu<br />
tenir ces propos au moment de la création<br />
de l'ouvrage, mais je pense qu'il signifiait<br />
plutôt qu'il fallait montrer les trois visages<br />
de Violetta : la courtisane charmante, puis<br />
l'insouciante qui prend la vie à la légère et,<br />
enfin, la femme profonde qui s'interroge sincèrement.<br />
Plus que trois voix, il faut trois<br />
actrices pour Violetta. »<br />
La sincérité de son attachement à la dévoyée<br />
ne souffre aucune contestation,<br />
tout comme son amour pour Paris, qu'elle<br />
proclame amplement dans un français<br />
limpide et qui s'est traduit par un premier<br />
album pour Sony Classical intitulé<br />
Paris mon amour : « Il s'agit de mon opéra<br />
fétiche et le chanter à Paris est une grande<br />
excitation, car Violetta a été inspirée par<br />
4 cadences mai 2016
couverture<br />
un personnage réel, Marie Duplessis, dont<br />
l'histoire s'est déroulée ici. On a parfois la<br />
tentation de donner à La Traviata un ton un<br />
peu plus vulgaire, mais je préfère penser – et<br />
il s'agit d'une vérité historique – qu'elle a été<br />
une femme très spéciale, noble de caractère,<br />
importante pour les hommes qui l'ont aimée.<br />
Elle a eu beaucoup de protecteurs qui<br />
l'ont aidée jusqu'à la fin de sa vie, au point<br />
qu'elle a même obtenu un titre de comtesse<br />
lui permettant d'être enterrée au cimetière<br />
de Montmartre. Je suis d'ailleurs surprise<br />
qu'aujourd'hui encore, plus de 150 ans après<br />
sa mort, on peut voir des fleurs posées sur<br />
sa tombe. Cela montre qu'elle a encore des<br />
admirateurs qui, d'une certaine manière, la<br />
suivent, c'est une chose incroyable. »<br />
Chaque chose<br />
a son prix<br />
Si, en octobre 2014, la naissance de son<br />
tant aimé Mateo a pu temporairement<br />
bouleverser l'ordre des choses, la montée<br />
au firmament de Sonya Yoncheva a repris<br />
3CD et DVD<br />
Monteverdi,<br />
L’Incoronazione di Poppea<br />
Avec Max Emanuel Cencic,<br />
Ann Hallenberg, Tim Mead,<br />
Amel Brahim-Djeloul…<br />
Le Concert d’Astrée,<br />
Emmanuelle Haïm<br />
(direction), Jean-François<br />
Sivadier (mise en scène)<br />
2 DVD Virgin Classics<br />
Händel, The Messiah<br />
Avec Tamara Mumford,<br />
Rolando Villazón, Bryn<br />
Terfel.<br />
The Mormon Tabernacle<br />
Choir & Orchestra, Mack<br />
Wilberg (direction)<br />
2 CD label Mis<br />
Paris mon amour<br />
Airs d’opéra de Massenet,<br />
Gounod, Offenbach,<br />
Messager, Puccini, Verdi.<br />
Orquestra de la Comunitat<br />
Valenciana, Frédéric<br />
Chaslin (direction)<br />
1 Cd Sony Classical<br />
son cours fulgurant, la maternité lui réussissant<br />
à plus d'un titre : « Ce qui est très<br />
intéressant, c'est qu'à ce moment-là, j'ai bien<br />
noté des changements dans la voix que je<br />
croyais définitifs. Or, petit à petit, ma voix<br />
s'est adaptée à mon nouveau corps, et elle<br />
est redevenue exactement ce qu'elle avait<br />
été, mais avec un supplément de chaleur,<br />
de couleurs. Surtout, dans le registre grave,<br />
certaines notes sont devenues beaucoup plus<br />
accessibles. Je me trouve donc beaucoup plus<br />
mature vocalement. » Et d'ajouter avec un<br />
amusement perceptible : « Depuis que<br />
je suis maman, je me prends à sourire<br />
quand je me rends compte que certains<br />
problèmes de la vie qui me semblaient<br />
insurmontables auparavant, ne sont<br />
finalement pas ceux dont je dois avoir<br />
peur. J'y gagne un courage bien plus<br />
grand, et je suis convaincue que cela s'entend<br />
et se voit dans mes interprétations. »<br />
Ce même courage lui permet sans doute<br />
de garder la tête froide face aux sollicitations<br />
émanant de toute la planète, notamment<br />
d'un Metropolitan Opera qui ne peut<br />
plus se passer d'elle – elle rivalise désormais,<br />
dans le cœur des New-Yorkais, avec<br />
la reine Netrebko : « Chaque chose a son<br />
prix. Si je délaisse trop ma famille pour me<br />
consacrer à mon travail, je le paie cher, et<br />
vice versa. Je considère que ma famille, mes<br />
parents, mon frère, ont extrêmement besoin<br />
de moi, et je me fais un devoir de leur consacrer<br />
toute l'énergie possible. Surtout, j'essaie<br />
de ne pas perdre mon inspiration car<br />
si elle disparaît, je ne peux plus rien faire. Je<br />
prends soin de ne pas me noyer dans trop de<br />
projets, de me concentrer sur l'essentiel tout<br />
simplement parce que je veux être totalement<br />
sincère avec mon public. Le chant est<br />
une inspiration, un état d'esprit, et j'essaie<br />
de donner le meilleur de moi-même. »<br />
Répétons-le : la France, qui lui a donné ses<br />
premières chances et qu'elle aime tant,<br />
devrait conserver son affection. Outre La<br />
Traviata à Bastille, on pourra l'entendre<br />
dans le Stabat Mater de Pergolesi en compagnie<br />
de Karine Deshayes au Théâtre des<br />
Champs-Élysées dans la série des Grandes<br />
Voix, puis au Festival de Radio France et<br />
Montpellier dans une rare Iris de Mascagni<br />
(26 juillet) ou encore dans un récital<br />
lyrique aux Chorégies d'Orange (5 août).<br />
Pourvu que cela dure.<br />
•<br />
Yutha Tep<br />
Questions<br />
1 Quel est votre bruit préféré ?<br />
Celui de l'avion. Grâce à lui, soit je<br />
dors profondément, soit j'étudie<br />
une partition et l'information entre<br />
beaucoup plus vite.<br />
2 Quel est votre compositeur préféré ?<br />
Verdi ! Mais j'adore Händel et l'un de<br />
mes nouveaux amours, c'est Berg.<br />
3 Votre œuvre pour une île déserte.<br />
Une Vie de Héros de Strauss.<br />
4 Quel est le compositeur qui, selon<br />
vous, n’est pas reconnu à sa juste<br />
valeur ?<br />
Carlotta Ferrari, la « Bellini en jupon ».<br />
5 Quelle profession auriez-vous<br />
épousée si vous n’étiez pas<br />
musicienne ?<br />
Peintre. Ou un métier demandant<br />
des qualités d'organisation, parce que<br />
je suis assez douée pour cela.<br />
6 Votre livre de chevet ?<br />
Un livre historique. En ce moment,<br />
je lis un ouvrage sur les Thraces.<br />
7 Qu’emportez-vous toujours<br />
en tournée ?<br />
Mon fils ! Je ne peux pas m'en séparer.<br />
mai 2016 cadences 5<br />
© Gregor Hohenberg / SonyClassical
Les concerts<br />
à paris…<br />
© D.R.<br />
Hector Berlioz<br />
le 12 mai (Cathédrale Saint-Louis des Invalides)<br />
La Symphonie Funèbre et Triomphale<br />
est l'un des chefs-d'œuvre de Berlioz.<br />
Commandée par le ministère de l'Intérieur<br />
pour célébrer le 10 e anniversaire<br />
de la Révolution de 1830, l'œuvre fut<br />
jouée en plein air accompagnée d'un<br />
grand cortège militaire de vingt-quatre<br />
chevaux. La légende veut que Berlioz<br />
l'ait dirigée lui-même en marchant à reculons ! Si la symphonie<br />
sera donnée ici à l'intérieur de la Cathédrale des Invalides, nul<br />
mieux que l'Orchestre de la Garde Républicaine dirigé par François<br />
Boulanger n'interprète une œuvre dont Wagner disait qu'elle<br />
était « grande de la première à la dernière note ».<br />
© Hanya Chlala / ArenaPAL<br />
Magnus Lindberg<br />
le 20 & 21 mai (Maison de la Radio)<br />
Chéri des grands orchestres internationaux,<br />
Magnus Lindberg est incontestablement<br />
l'un des compositeurs<br />
modernes les plus joués. Sa musique,<br />
brillante, rapide et supérieurement<br />
orchestrée, fait la joie d'un public<br />
qui excède de loin la seule sphère<br />
« contemporaine ». Pour sa résidence<br />
à l'Orchestre Philharmonique de Radio France, le compositeur<br />
finlandais offre deux de ses plus belles œuvres, le féérique<br />
Concerto pour violon et le somptueux Aura, qui n'a rien à envier<br />
à la musique de ses maîtres Sibelius et Lutoslawski. L'auditorium<br />
de la Maison de la Radio accueillera le lendemain une Carte<br />
Blanche dirigée par Lindberg, pleine d'Aventures et de surprises.<br />
© D.R.<br />
Ensemble Appassionato<br />
le 23 mai (Théâtre des Bouffes du Nord)<br />
On sentait bien que cela le démangeait...<br />
Matthieu Herzog, l'altiste du<br />
Quatuor Ebène durant quinze ans, a<br />
troqué son archet pour la baguette,<br />
et signe d'une ambition hors-normes,<br />
a fondé sa propre formation. L'Ensemble<br />
Appassionato s'est donné pour<br />
but d'interpréter des transcriptions<br />
de chefs-d'œuvre du répertoire symphonique dans un pur esprit<br />
de musique de chambre. Au programme de leur premier récital<br />
parisien, le sublime Prélude et Mort d'Isolde de Wagner ainsi que<br />
les Kindertotenlieder de Mahler (la mezzo Delphine Haidan en<br />
soliste). La brochette de musiciens réunis ici est superlative et<br />
augure d'un avenir radieux.<br />
6 cadences mai 2016
et en île-de-france<br />
Matthieu Salama<br />
le 28 mai (Temple du Luxembourg)<br />
La fortune sourit aux audacieux, dit<br />
le proverbe. Et nul doute qu'il en fallut<br />
de l'audace à Matthieu Salama<br />
pour quitter une carrière de chanteur<br />
de variété et apprendre le chant<br />
lyrique aux côtés de Nicole Fallien,<br />
la professeure de chant de Philippe<br />
Jaroussky. C'est que Matthieu Salama<br />
avait découvert à Venise sa voix de contre-ténor, et avec elle, la<br />
confirmation d'une passion du répertoire baroque qui culmine<br />
ce mois-ci par un récital exceptionnel aux côtés de l'Ensemble<br />
Arpeggio et la sortie d'un disque consacré aux cantates sacrées<br />
et profanes de Händel, Monteverdi, Purcell, Pergolesi et Vivaldi.<br />
Marco Borggreve © Molina Visuals © D.R.<br />
Sophie Karthäuser<br />
Versailles<br />
10 mai (Chapelle royale)<br />
Les Leçons de Ténèbres de Couperin<br />
tendent à reléguer dans l'ombre le<br />
reste d'une littérature pourtant prolifique.<br />
Fort heureusement, celles de<br />
Delalande attirent toujours davantage<br />
l'attention des interprètes comme du<br />
public. Bien plus virtuoses que celles<br />
de Couperin, plus amples dans l'étoffe<br />
vocale requise, ces pages confirment la présence de chanteurs<br />
d'opéra dans les offices d'alors, tout en conservant une ferveur indéniable.<br />
La lumineuse Sophie Karthäuser et l'ensemble Correspondances<br />
de Sébastien Daucé nous le rappelleront avec talent.<br />
Les Siècles<br />
Sénart<br />
27 mai (Théâtre)<br />
Force est de reconnaître que la programmation<br />
musicale du Théâtre de<br />
Sénart pour la saison en cours est<br />
fort alléchante. Citons l'Orchestre en<br />
résidence, qui n'est autre que celui des<br />
Siècles. Après le Concerto à la mémoire<br />
d'un ange de Berg en décembre dernier,<br />
la formation de François-Xavier<br />
Roth retrouve ses amours françaises avec Ma Mère l'Oye et Daphnis<br />
et Chloé de Ravel, dont ils sont des interprètes privilégiés. Rappelons<br />
les bénéfices en termes de transparence sonore liés aux<br />
instruments d'époque dans ce répertoire.<br />
mai 2016 cadences 7
Chef<br />
Très demandé dans Verdi, le chef<br />
italien Daniele Gatti est en passe<br />
de s’imposer comme une référence<br />
dans les opéras de Wagner.<br />
© Pablo Faccinetto<br />
Du 12 au 24 mai – Théâtre des Champs-Élysées<br />
Wagner, Tristan et Isolde<br />
Chœur de Radio France, Orchestre National de France<br />
Pierre Audi (mise en scène)<br />
Avec Torsten Kerl, Emily Magee, Michelle Breedt...<br />
Le répertoire opératique de<br />
Daniele Gatti se partage harmonieusement<br />
entre Verdi,<br />
incarnation de l'opéra italien,<br />
et Wagner, personnification même de<br />
l'opéra allemand. Le Directeur musical<br />
de l'Orchestre National de France, bientôt<br />
patron de l'Orchestre du Concertgebouw<br />
d'Amsterdam, triomphe aussi bien<br />
dans La Traviata ou Falstaff à La Scala<br />
de Milan que dans Les Maîtres-chanteurs<br />
de Nuremberg à Salzbourg, gravissant<br />
quatre années de suite la Colline de<br />
Daniele Gatti<br />
aborde Tristan<br />
Ce Tristan et Isolde à l'Avenue Montaigne constitue un événement<br />
d'autant plus attendu que dans la fosse, l'on retrouvera Daniele<br />
Gatti, wagnérien couronné par Bayreuth, Salzbourg ou New York.<br />
Bayreuth pour un Parsifal entré dans les<br />
annales.<br />
Si Verdi figure dans son arbre généalogique,<br />
Wagner est devenu, de son propre<br />
aveu, une véritable drogue, qu'il a abordé<br />
« par la tangente », à savoir la musique<br />
romantique allemande : « J'ajouterai qu'il<br />
y a aussi un peu d'école française, puisque<br />
Wagner a passé quelques années à Paris.<br />
Avec notamment Berlioz, l'influence de la<br />
musique française sur l'Europe était alors<br />
très forte – je suis moi-même très touché<br />
par l'expérience berliozienne que je vis<br />
depuis quelques années. Malgré une transcendance<br />
qui n'appartient qu'à lui, Wagner<br />
est bien un fils de l'Allemagne romantique,<br />
l'Allemagne saxonne de Leipzig, dont la<br />
tradition commence avec Bach et arrive<br />
jusqu'aux contemporains de Wagner, Mendelssohn,<br />
Schumann ou Weber. Dans l'analyse<br />
harmonique de ses opéras, on doit<br />
considérer qu'il reste toujours attaché à<br />
la tradition musicale. Dans Les Maîtres-<br />
Chanteurs, par exemple, il y a un lien direct<br />
avec les grandes pages chorales d'Elias ou<br />
de Paulus. Ajoutons que Wagner est avant<br />
tout un compositeur de théâtre et son geste,<br />
sa conception, sont toujours pensés pour le<br />
théâtre. C'est un élément très important. »<br />
Un opéra de la mort<br />
Après Lohengrin, Parsifal et Les Maîtreschanteurs,<br />
Daniele Gatti escalade enfin<br />
l'Everest qu'est Tristan et Isolde : « C'est<br />
évidemment une grande aventure, parce que<br />
Tristan a toujours figuré parmi mes rêves de<br />
chef, et ce, dès mes études. Mais j'ai laissé<br />
de côté cet ouvrage parce qu'il est nécessaire<br />
d'attendre qu'arrive le bon moment. Il y a<br />
bien sûr la question de la beauté musicale<br />
de cet opéra, de cet esprit qui insuffle tout le<br />
drame à l'intérieur de la partition. Certains<br />
moments de cette partition m'ont convaincu<br />
que Tristan est moins l'opéra d'une histoire<br />
d'amour que celui d'une histoire de mort. Il<br />
y a cette question philosophique de l'inéluctabilité,<br />
surtout dans le deuxième acte. Nous<br />
sommes face à des êtres qui sont prisonniers<br />
d'un cadre, d'un destin dont ils ne peuvent<br />
sortir. »<br />
La trajectoire dramatique du chef-d'œuvre<br />
wagnérien prend alors des allures de<br />
course vers l'abîme, dès ses premières<br />
notes : « Il faut considérer le Prélude comme<br />
la suite de ce qui s'est passé en Irlande. Au<br />
moment où le premier acte débute, nous<br />
sommes déjà confrontés à une situation<br />
dans laquelle personne ne peut gagner.<br />
Pour Tristan et pour Isolde, dans cet amour<br />
« si proche et si lointain », la vie est une tor-<br />
8 cadences mai 2016
paris<br />
ture telle qu'il vaut mieux la quitter. Quand<br />
à la fin de l'acte I, ils décident de boire la<br />
potion qu'ils croient être un poison, ils choisissent<br />
d'être libres de déclarer leur amour<br />
à la face du monde, du Roi Mark et même<br />
de Dieu. Que peut-on dès lors leur faire ?<br />
Les tuer une deuxième fois ? Devoir continuer<br />
à vivre après avoir décidé de mourir,<br />
poursuivre cette vie impossible, voilà la<br />
grande tragédie. Dès lors, les rendez-vous<br />
secrets deviennent non pas des moments de<br />
bonheur mais bien la continuation de leur<br />
souffrance. Quand commence le moment de<br />
plaisir, on pense déjà à la séparation, à la<br />
culpabilité. »<br />
Un opéra<br />
de la division<br />
L<br />
'érotisme légendaire de Tristan se pare,<br />
dans cette perspective, de couleurs<br />
sombres et de tensions insoupçonnées,<br />
avec une question évidemment primordiale<br />
: « Qu'est-ce que le chromatisme dans<br />
© Johannes Ifkovits<br />
Tristan ? Il peut être désir, mais peut tout<br />
autant incarner cette dimension différente<br />
dans laquelle sont placés Tristan et Isolde, et<br />
de ce fait, on peut considérer Tristan comme<br />
l'opéra de la division. Il me semble plus intéressant<br />
de lire le chromatisme dans cette<br />
perspective que d'en faire simplement une<br />
explosion de sensualité, d'érotisme car une<br />
telle lecture me semble trop réductrice. Le<br />
monde du chromatisme, celui de Tristan et<br />
Isolde, serait ainsi un monde pur, une sorte<br />
de bulle de savon que Brangäne, Kurwenal<br />
ou Mark, les personnages que je qualifierais<br />
de terrestres, essaient de toucher sans<br />
y parvenir parce qu'ils en sont séparés par<br />
La soprano<br />
américaine<br />
Emily Magee<br />
incarnera Isolde.<br />
une manière de voile. J'irai même plus loin :<br />
plus encore que le chromatisme, ce qui caractérise<br />
l'univers de Tristan et d'Isolde est<br />
l'absence de résolution. Il s'agit d'un monde<br />
sonore toujours changeant, qui se meut<br />
dans la modulation constante. Les personnages<br />
terrestres ont besoin de la cadence<br />
finale dans leurs phrases et, d'une certaine<br />
manière, ils vivent encore dans le souvenir<br />
de la musique de Lohengrin. La tragédie que<br />
vivent Tristan et Isolde, c'est d'être condamnés<br />
à avancer sans trouver de résolution. »<br />
La critique musicale a largement saluée<br />
le geste wagnérien ample et habité, voire<br />
mystique, de cet admirateur de Toscanini..<br />
Nouvelle preuve, au Théâtre des Champs-<br />
Élysées avec son Orchestre National de<br />
France.<br />
•<br />
Yutha Tep<br />
mai 2016 cadences 9
piano<br />
Née à Osaka, Momo Kodama<br />
étudie au Conservatoire de Paris<br />
avant de remporter le Concours<br />
de Munich à l'âge de 19 ans.<br />
© Marco Borggreve<br />
Momo Kodama<br />
entre Orient et Occident<br />
Le 17 mai – Théâtre des Champs-Élysées<br />
Chopin : Concerto pour piano n° 2 en fa mineur<br />
Orchestre de Chambre de Paris, Lawrence Foster (direction)<br />
Renommée pour ses interprétations de musique d’aujourd’hui,<br />
la pianiste Momo Kodama entretient avec Chopin une relation<br />
privilégiée. On la retrouve aux côtés de l’Orchestre de Chambre de<br />
Paris dans le juvénile Concerto N° 2 du compositeur polonais.<br />
De l’Empire du Soleil levant,<br />
Momo Kodama possède la<br />
finesse exquise et la politesse<br />
feutrée bien qu’elle ait<br />
dû quitter son pays natal à l’âge de un<br />
an pour venir en Occident eu égard à<br />
la profession de son père : « J’ai l’occasion<br />
de me produire souvent au Japon à<br />
la manière d’un échange entre l’Orient et<br />
l’Occident sans avoir l’intention d’y vivre<br />
en permanence. » Berlin, et surtout Paris<br />
– où elle habite aujourd’hui – ont été<br />
ses havres pianistiques : « J’ai appris le<br />
10 cadences mai 2016<br />
piano dès l’âge de trois ans et rencontré<br />
Germaine Mounier, immense pédagogue<br />
qui m’a aidée à intégrer le Conservatoire<br />
National Supérieur de Musique de Paris<br />
en 1985 à treize ans. Cela a représenté<br />
pour moi une expérience unique qui m’a<br />
permis de m’initier au grand répertoire<br />
mais également à la musique française à<br />
travers Debussy, Ravel, Messiaen pour qui<br />
j’ai une admiration sans bornes. » Familière<br />
des grands voyages messiaenesques<br />
(elle a enregistré les Vingt Regards sur<br />
l’Enfant Jésus, interprété le Catalogue<br />
d’oiseaux à La Meije en 2013), cette interprète<br />
aime traverser les continents sur le<br />
plan musical ; en 2013, un album intitulé<br />
La Vallée des Cloches (chez ECM) rassemblait<br />
des œuvres de Ravel, Takemitsu et<br />
Messiaen à la manière d’une profession<br />
de foi. Sensible à la création contemporaine<br />
(Jörg Widmann, son compatriote<br />
Toshio Hosokawa dont elle a créé un<br />
cycle d’Études pour piano), elle manifeste<br />
la même intimité avec le romantisme<br />
de Schumann et Chopin : « Adolescente,<br />
j’écoutais en boucle les Valses par Dinu<br />
Lipatti, mais je garde toujours la même<br />
admiration pour Alfred Cortot et surtout<br />
pour Samson François qui représente un<br />
exemple de liberté, d’improvisation, sans<br />
pour autant s’éloigner de l’authenticité<br />
de la partition. » De ses rencontres avec<br />
Murray Perahia, András Schiff ou Tatiana<br />
Nikolaïeva, elle garde un souvenir<br />
ému car ils ont contribué à affermir sa<br />
personnalité dans des registres très différents.<br />
Au TCE, elle renoue une collaboration<br />
avec le chef américain Lawrence<br />
Foster qu’elle connaît bien : « Je me suis<br />
déjà produite avec lui dans des concertos<br />
de Mozart ou de Martinu. J’apprécie son<br />
ouverture d’esprit, sa flexibilité et son<br />
instinct musical. Dans le Concerto en fa<br />
mineur de Chopin qui demande beaucoup<br />
de finesse, de transparence quasi mozartienne,<br />
il est le partenaire rêvé. » Avec sa<br />
sœur aînée Mari qui mène également<br />
une carrière de pianiste remarquée, elle<br />
pratique l’art de faire de la musique ensemble<br />
: « Mari vit aussi à Paris, ce qui<br />
facilite les contacts même si nous menons<br />
séparément notre vie professionnelle.<br />
Nous préparons actuellement un enregistrement<br />
de musique de ballet russe transcrite<br />
par Arensky, Rachmaninov… » Entretemps,<br />
elle se produira à Berlin pour une<br />
création de Christian Mason, et en juin,<br />
cerise sur le gâteau, l’Orangerie de Bagatelle<br />
l’accueillera au Festival Chopin.<br />
•<br />
Michel Le Naour
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l‘actualité des concerts classiques et de l‘opéra
Contemporain<br />
Auteur d'une vaste œuvre lyrique et<br />
orchestrale, Aribert Reimann a reçu en<br />
2011 le Prix Ernst von Siemens, parfois<br />
considéré comme le Nobel de la Musique.<br />
© Schott Promotion, Gaby Gerster<br />
Aribert Reimann<br />
Du 20 mai au 12 juin – Palais Garnier<br />
Reimann, Lear<br />
Orchestre & Chœur de l'Opéra. Fabio Luisi<br />
(direction), Calixto Bieto (mise en scène)<br />
Verdi ne dirait pas le contraire :<br />
King Lear est un excellent sujet<br />
d'opéra. Dès 1838, le compositeur<br />
italien envisagea un livret<br />
d'après la pièce de Shakespeare. Le projet<br />
faillit se concrétiser en 1853 avec le librettiste<br />
d'Un bal masqué, Antonio Somma.<br />
Les ressemblances entre Lear et d'autres<br />
personnages verdiens sont en effet frappantes<br />
: Lear, comme Macbeth ou Nabucco,<br />
est un roi fier qui, comme Nabucco encore,<br />
répudie ses enfants, ici la douce Cordelia.<br />
Lear<br />
Depuis sa création en 1978, Lear de Reimann s'est imposé comme l'un<br />
des sommets de l'expressionnisme allemand. Le Palais Garnier offre<br />
cette relecture moderne de la pièce de Shakespeare dans une mise<br />
en scène du sulfureux Calixto Bieto. Attention, opéra choc !<br />
Pourtant, Verdi ne parviendra jamais au<br />
bout de son Lear, la faute à la noirceur de<br />
la pièce de théâtre. Car King Lear, de toutes<br />
les pièces de Shakespeare, est probablement<br />
le drame le plus désespéré, la scène<br />
finale s'achevant sur un tableau d'absolu<br />
désenchantement. Sans doute, Verdi a-t-il<br />
préféré terminer sa carrière sur la note<br />
douce-amère de Falstaff plutôt que sur un<br />
certain nihilisme existentiel, ce qui fait<br />
dire à Etienne Barilier dans l'indispensable<br />
numéro que L'Avant Scène Opéra consacre<br />
au Lear de Reimann : « D'un désespoir qui<br />
sape jusqu'à l'idéal de justice, peut-être fallait-il<br />
attendre le xx e siècle pour parvenir à<br />
faire un opéra crédible. {...} Le désespoir du<br />
Lear de Reimann est celui d'un siècle où non<br />
seulement les espoirs des hommes ont été<br />
bafoués mais où l'idéal même de l'espoir a<br />
été traîné dans la boue et le sang ». Le Lear<br />
de Reimann apparaît donc comme la réalisation<br />
moderne d'une dérobade de Verdi.<br />
Orchestration massive<br />
On connaît peu en France Aribert Reimann.<br />
Certes, son Lear fut donné (en<br />
français) au Palais Garnier en 1983 mais<br />
ses sept autres opéras attendent toujours<br />
leurs créations dans notre pays. Fils d'une<br />
professeure de chant, Reimann grandit au<br />
contact des chanteurs, avant de devenir<br />
accompagnateur de solistes tels Brigitte<br />
Fassbaender, Ernst Haefliger ou Dietrich<br />
Fischer-Dieskau. C'est d'ailleurs ce dernier<br />
qui sera à l'origine de l'opéra à la fin<br />
des années 60. La relation entre les deux<br />
hommes passera d'abord par des mélodies<br />
sur des textes de Paul Celan avant de<br />
culminer lors de la première triomphale<br />
du 9 juillet 1978 à Munich. On estime à<br />
plus d'une cinquantaine de productions<br />
de Lear à ce jour, faisant de l'ouvrage l'un<br />
des opéras modernes les plus représentés.<br />
Pourtant, difficile de nier la difficulté musicale<br />
de l'œuvre. Le langage de Reimann est<br />
assurément moderne, avec de nombreux<br />
clusters, épisodes microtonaux et autres<br />
effets bruitistes. L'orchestration en particulier<br />
évoque les grandes fresques de Xenakis<br />
et Penderecki, et il faut toute l'expérience<br />
de chef de chant de Reimann pour<br />
que cet orchestre massif ne couvre de trop<br />
la voix des chanteurs. Au moment de la<br />
création, Fischer-Dieskau dira malicieusement<br />
: « Nnous avions l'impression de nous<br />
trouver devant un sommet inaccessible ».<br />
12 cadences mai 2016
• Laurent Vilarem mai 2016 cadences 13<br />
paris<br />
Bo Skovhus sera<br />
Lear, chanté<br />
jadis par Dietrich<br />
Fischer-Diskau.<br />
© Roland Unger<br />
La diabolique efficacité de Lear réside en partie dans l'habileté du<br />
livret de Claus H. Henneberg. Bien sûr, la pièce originelle de Shakespeare<br />
est en partie dénaturée puisque Henneberg renonce au<br />
burlesque et au grotesque pourtant consubstantiels à l'œuvre de<br />
Shakepeare pour accentuer la tonalité désespérée de l'ensemble.<br />
Le spectateur y gagne en clarté narrative ce qu'il perd en diversité.<br />
De la sorte, Lear devient un drame unifié, à la manière du long cri<br />
d'un tableau de Munch.<br />
Violence inouïe<br />
Jeudi<br />
19 mai<br />
20h<br />
Toutefois, Reimann ménage des plages de repos à l'intérieur<br />
du tumulte, et son langage frappe toujours par sa grande économie<br />
de moyens. Verdi – encore – écrivait dans une lettre à son<br />
librettiste : « Il me semble à ce jour que les morceaux clés de cet<br />
opéra sont : l'introduction avec l'air de Cordelia, la scène de la tempête<br />
et celle du jugement, le duo Lear et Cordelia et la scène finale ».<br />
Le génie de Reimann est de réussir précisément tous ces moments<br />
attendus. Au début de la deuxième partie, Lear fait ainsi entendre<br />
une scène d'une violence inouïe. Le duc de Cornouailles arrache<br />
les yeux de Gloucester, sous la pression de Regan. D'une sauvagerie<br />
qui n'a rien à envier à celle des Soldats de Zimmermann, Reimann<br />
contrôle un chaos sonore formidablement agencé. C'est d'ailleurs<br />
cette formidable épure expressive qui saisit régulièrement l'auditeur,<br />
autant pour les déchirantes retrouvailles entre Lear et Cordelia,<br />
que pour l'issue finale, dont le désespoir limpide s'achève dans<br />
une fin lumineuse et angoissée qui s'appelle le néant.<br />
En définitive, Lear est un opéra qui atteint la quintessence de la<br />
nature humaine. L'histoire universelle de Lear a trouvé en Reimann<br />
un peintre opiniâtre et pessimiste, bien décidé à plonger<br />
dans les tréfonds de l'âme humaine. Nulle place ici pour le divertissement<br />
ou la séduction, telle que l'entend parfois l'opéra italien.<br />
Ici, c'est à une réflexion philosophique « sur l'isolement de<br />
l'homme dans une solitude complète, exposé à la brutalité et aux dérèglements<br />
de la vie » que nous convie le compositeur. Sans aucun<br />
doute, la mise en scène de Calixto Bieto n'hésitera pas à creuser<br />
les béances existentielles de l'œuvre. Mais le jeu en vaut la partie.<br />
Une preuve ? Dietrich Fischer-Diskau écrivit au lendemain de la<br />
création : « C'est une œuvre d'art où tout est chargé de sens. On a<br />
rarement dépeint de façon aussi convaincante – sauf peut être dans<br />
le Wozzeck d'Alban Berg– la solitude de l'homme comme fruit de son<br />
incapacité à voir ceux qui l'entourent ».<br />
insertion Cadences - 19 mai.indd 1 20/04/2016 10:12:38<br />
-
Voix<br />
Née en 1973, Kate Aldrich mène<br />
une belle carrière soliste dans<br />
laquelle l'opéra français occupe<br />
une place prépondérante.<br />
© Fadil Berisha<br />
Le 3 juin – Théâtre des Champs-Élysées<br />
Spontini, Olympie<br />
Jérémie Rhorer (direction)<br />
Avec Karina Gauvin...<br />
Kate Aldrich<br />
la passion du théâtre<br />
Si l'on connait La Vestale grâce aux enregistrements de Maria<br />
Callas, l'œuvre de Gaspare Spontini (1774-1851) reste singulièrement<br />
méconnue. Rendons grâce au Palazzetto Bru Zane de nous offrir<br />
la rare Olympie, créée en 1819 à Paris.<br />
14 cadences mai 2016<br />
Triomphatrice du rôle sur les<br />
scènes du monde entier, du<br />
Théâtre Antique d'Orange au<br />
Metropolitan Opera de New<br />
York, Kate Aldrich est LA grande Carmen<br />
de sa génération. Bien sûr, il serait<br />
injuste de réduire la mezzo américaine<br />
au seul chef-d'œuvre de Bizet. Outre le<br />
grand opéra français, la séduisante Kate<br />
n'aime rien tant que varier les plaisirs<br />
comme en atteste son agenda des prochains<br />
mois. Après un opéra contemporain<br />
à San Diego, la mezzo enchainera<br />
avec le rôle de Statira de la rare Olympie<br />
de Spontini : « J'adore chanter Carmen et<br />
chaque nouvelle production amène toujours<br />
un enseignement nouveau pour moi.<br />
Mais il est agréable, c'est vrai, d'avoir la<br />
possibilité de jouer de nouveaux rôles !<br />
J'ai déjà eu l'occasion de travailler avec<br />
le Palazzetto Bru Zane, notamment pour<br />
Le Mage de Massenet. La Fondation fait<br />
un travail formidable en redonnant vie à<br />
des œuvres qui n'avaient plus été jouées<br />
depuis des décennies. C'est une opportunité<br />
formidable de ressusciter tout un<br />
patrimoine oublié, et à mon sens, un beau<br />
projet national ».<br />
Si la chanteuse n'en est encore qu'aux prémisses,<br />
elle connaît déjà l'auteur d'Olympie<br />
pour l'avoir étudié en Italie : « Ce que<br />
je sais de Spontini vient essentiellement de<br />
la période où j'habitais dans les Marches, la<br />
région dont il est originaire. C'est un compositeur<br />
très singulier, en terme de style,<br />
qui parvient à mélanger le style allemand et<br />
français de façon très harmonieuse. Je suis<br />
toujours en train de préparer le rôle, mais<br />
je ressens une forte empreinte du chromatisme<br />
allemand. C'est une combinaison vraiment<br />
originale ».<br />
Quant à son rôle, Kate Aldrich trouve en<br />
Statira, la veuve d'Alexandre Le Grand,<br />
un rôle dramatique comme elle les aime :<br />
« J'adore les personnages qui possèdent<br />
une réelle profondeur comme Giovanna<br />
Seymour d'Anna Bolena, Sesto dans La<br />
Clémence de Titus ou bien sûr Carmen. Un<br />
rôle comme Adalgisa dans Norma dispose<br />
certes d'une musique extrêmement stimulante<br />
mais le personnage en soi n'est théâtralement<br />
pas très intéressant. Statira, au<br />
contraire, est plus riche. Il y a tant de possibilités,<br />
tant de directions possibles avec de<br />
tels rôles. ».<br />
Quant à ses projets, Kate Aldrich évoque<br />
tour à tour les opéras de Händel, l'Octavian<br />
du Chevalier de la Rose (« l'un de mes meilleurs<br />
rôles alors que je ne l'ai chanté qu'une<br />
fois ! ») et bien sûr… Carmen. Pas moins de<br />
quatre nouvelles productions de l'opéra de<br />
Bizet attendent notre mezzo d'ici la fin de<br />
l'année. Mais que voulez-vous, avec son<br />
physique de rêve, son tempérament de feu<br />
et sa belle voix sombre, Kate Aldrich est<br />
une Carmen exceptionnelle. En attendant,<br />
précipitons-nous sur cette Olympie si prometteuse...<br />
•<br />
Laurent Vilarem
paris<br />
[ mai ]<br />
1 er dimanche<br />
Thomas Ospital, orgue<br />
Buxtehude, Böhm, Bruna, Mozart, Bach.<br />
12h30. Église Saint-Louis-en-l’Île.<br />
Entrée libre. Tél. : 01 40 20 09 32.<br />
Polyphonies géorgiennes et<br />
bulgares<br />
Ensemble Marani, Groupe Svoiki.<br />
Dir. : Tariel Vatchaze, Stefka Miteva.<br />
16h00. Église Saint-Louis-en-l’Île.<br />
14-23 €. Tél. : 01 44 62 00 55.<br />
2 LUNDI<br />
Verdi, Rigoletto<br />
Orchestre & Chœurs de l’Opéra.<br />
Dir. : Nicola Luisotti. Claus Guth, mise<br />
en scène. Avec Michael Fabiano, Quinn<br />
Kelsey, Olga Peretyatko, Rafal Siwek,<br />
Vesselina Kasarova…<br />
19h30. Opéra Bastille.<br />
5-189 €. Tél. : 08 92 89 90 90.<br />
Messiaen, Harawi<br />
Yumi Nara, soprano ; Jay Gottlieb,<br />
piano. Matsudaïra.<br />
20h30. Théâtre des Bouffes du Nord.<br />
18-25 €. Tél. : 01 46 07 34 50.<br />
3 MARDI<br />
Haret, Au fond du fleuve<br />
Création lyrique. Marie-Laure Garnier,<br />
soprano ; Richard Bousquet, ténor ;<br />
Shun Irakawa, Romain David, pianos.<br />
20h30. Cité internationaleæ des Arts.<br />
Entrée libre. Tél. : 06 27 89 55 48.<br />
Poulenc, Gloria<br />
The Parliament Choir, Southbank<br />
Sinfonia. Dir. : Simon Over. Poulenc,<br />
Howells, Vaughan Williams, O’Neill,<br />
Gounod.<br />
20h30. Cathédrale Notre-Dame de Paris.<br />
15-25 €. Tél. : 01 44 41 49 99.<br />
Thomas Enhco, piano<br />
Vassilena Serafimova, marimba et<br />
percussions. Bach, Mozart, Saint-Saëns,<br />
Piazzola etc…<br />
20h30. Théâtre des Bouffes du Nord.<br />
25 €. Tél. : 01 46 07 34 50.<br />
5 JEUDI<br />
Verdi, Rigoletto<br />
Voir au 2 mai.<br />
19h30. Opéra Bastille.<br />
Verdi, Requiem<br />
Orchestre Hélios. Dir. : Till Aly. Catherine<br />
Manandaza, soprano ; Catherine Cardin,<br />
alto ; Georges Wanis, ténor ; Jean-Louis<br />
Serre, baryton. Dvorák, Symphonie du<br />
Nouveau Monde.<br />
20h30. Église de la Madeleine.<br />
Tél. : 01 42 64 83 16.<br />
Vivaldi, Les Quatre Saisons,<br />
Pachelbel, Albinoni<br />
Orchestre Les Solistes Français. Violon<br />
et Dir. : Paul Rouger.<br />
21h00. Église Saint-Germain-des-Prés.<br />
16-30 €. Tél. : 01 42 77 65 65.<br />
6 VENDREDI<br />
Pergolèse, Stabat Mater, Vivaldi,<br />
Mozart<br />
Orchestre Les Solistes Français.<br />
Dir. : Paul Rouger. Fabienne Conrad,<br />
soprano ; Marie Kalinine, mezzo.<br />
20h30. Église Saint-Germain-des-Prés.<br />
16-30 €. Tél. : 01 42 77 65 65.<br />
7 SAMEDI<br />
Gautier Capuçon, violoncelle<br />
Classe d’excellence de violoncelle.<br />
Masterclasse publique.<br />
11h30. Fondation Louis Vuitton.<br />
10-14 €. Tél. : 01 40 69 96 00.<br />
Verdi, Rigoletto<br />
Orchestre & Chœurs de l’Opéra.<br />
Dir. : Nicola Luisotti. Claus Guth, mise<br />
en scène. Avec Francesco Demuro,<br />
Franco Vassallo, Irina Lungu, Andrea<br />
Mastroni, Vesselina Kasarova…<br />
19h30. Opéra Bastille.<br />
5-210 €. Tél. : 08 92 89 90 90.<br />
8 DIMANCHE<br />
Gautier Capuçon, violoncelle<br />
Voir au 7 mai.<br />
11h30. Fondation Louis Vuitton.<br />
Ensemble Palma Ocioso<br />
La grande clarté du Moyen-Âge, de l’Ars<br />
nova, à la chanson bourguignonne en<br />
passant par l’Ars subtilior.<br />
16h00. Musée du Moyen-Âge.<br />
4-6 €. Tél. : 01 53 73 78 00.<br />
Diapré en Trio<br />
Bach, Jadin.<br />
17h00. Cave du 38Riv’.<br />
15 €. Tél. : 01 48 87 56 30.<br />
Gautier Capuçon, violoncelle<br />
Classe d’excellence de violoncelle.<br />
Concerts des lauréats.<br />
17h00. Fondation Louis Vuitton.<br />
10-14 €. Tél. : 01 40 69 96 00.<br />
9 LUNDI<br />
Ensemble Palma Ocioso<br />
Voir au 8 mai.<br />
12h30. Musée du Moyen-Âge.<br />
Santa Maria !<br />
Ensemble Discantus. Dir. : Brigitte<br />
Lesne. Cantigas de Santa Maria<br />
(xiii e siècle).<br />
19h00. Musée du Moyen-Âge.<br />
13-16 €. Tél. : 01 53 73 78 00.<br />
Strauss, Der Rosenkavalier<br />
Orchestre & Chœurs de l’Opéra.<br />
Dir. : Philippe Jordan. Herbert<br />
Wernicke, mise en scène. Avec Anja<br />
Harteros, Peter Rose, Daniela Sindram,<br />
Martin Gantner, Erin Morley…<br />
19h00. Opéra Bastille.<br />
5-176 €. Tél. : 08 92 89 90 90.<br />
Mozart, Quatuors avec flûte<br />
Les Solistes Français. Charlotte Bletton,<br />
flûte.<br />
20h30. La Sainte Chapelle.<br />
16-30 €. Tél. : 01 42 77 65 65.<br />
Haydn, La Création<br />
Ensemble vocal Michel Piquemal,<br />
Solistes de l’Orchestre Pasdeloup.<br />
Dir. : Michel Piquemal. Sophie Marin-<br />
Degor, soprano ; Philippe Do, ténor ;<br />
Julien Véronèse, basse.<br />
20h30. Collège des Bernardins.<br />
12-20 €. Tél. : 01 53 10 74 44.<br />
10 MARDI<br />
Denys Rohrfritsch, shakuhachi<br />
Harumi Kinoshita, épinette. Taki, Miyaji.<br />
12h30. Église Saint-Roch.<br />
Entrée libre.<br />
Poulenc, Ravel, Reibel, Constant<br />
Ensemble Musicatreize. Dir. : Roland<br />
Hayrabédian. Pierre Charial, orgue de<br />
barbarie.<br />
12h30. Auditorium du Musée d’Orsay.<br />
8-14 €. Tél. : 01 53 63 04 63.<br />
Cavelleria Rusticana / Pagliacci<br />
Filmé à Salzbourg en 2015. Dir.:<br />
Christian Thielemann. Avec Jonas<br />
Kaufmann... .<br />
20h00. Cinéma Le Balzac.<br />
14-27 €. Tél. : 01 45 61 10 60.<br />
Alexei Volodin, piano<br />
Prokofiev, Mendelssohn, Medtner,<br />
Rachmaninov.<br />
20h30. Philharmonie 2.<br />
45-75 €. Tél. : 01 44 84 44 84.<br />
Haydn, La Création<br />
Voir au 9 mai.<br />
20h30. Collège des Bernardins.<br />
Mozart, Quatuors avec flûte<br />
Voir au 9 mai.<br />
20h30. La Sainte Chapelle.<br />
Musique au temps des papes<br />
d’Avignon<br />
Ensemble vocal de Notre-Dame de<br />
Paris. Dir. : Sylvain Dieudonné.<br />
20h30. Cathédrale Notre-Dame de Paris.<br />
15-25 €. Tél. : 01 44 41 49 99.<br />
Orch. de Chambre Nouvelle Europe<br />
Dir. : Nicolas Krauze. Irina Lankova,<br />
piano. Chopin, Concerto pour piano<br />
n°1 ; Tchaikovski, Sérénade pour cordes.<br />
20h30. Salle Gaveau.<br />
15-35 €. Tél. : 01 49 53 05 07.<br />
Verdi, Rigoletto<br />
Orchestre & Chœurs de l’Opéra.<br />
Dir. : Pier Giorgio Morandi. Claus Guth,<br />
mise en scène. Avec Francesco Demuro,<br />
Quinn Kelsey, Olga Peretyatko, Rafal<br />
Siwek, Vesselina Kasarova…<br />
20h30. Opéra Bastille.<br />
5-210 €. Tél. : 08 92 89 90 90.<br />
11 MERCREDI<br />
Haydn, Mozart<br />
Il Pomo d’Oro. Piano et Dir. : Maxim<br />
Emelyanychev. Katia & Marielle<br />
Labèque, pianos.<br />
20h00. Théâtre des Champs-Élysées.<br />
5-65 €. Tél. : 01 49 52 50 50.<br />
La Berceuse<br />
L’Oiseleur, baryton ; Clementine<br />
Decouture, soprano ; Nicolas<br />
Chevereau, piano. Saint-Saëns, De<br />
Falla, Revueltas, Britten, Loiseleur…<br />
20h00. Temple du Luxembourg.<br />
Libre participation. Tél. : 01 42 78 10 48.<br />
Monteverdi, L’Orfeo<br />
Dir. : Geoffroy Jourdain. Julie Bérès,<br />
mise en scène. Avec Pauline Texier,<br />
Tomasz Kumiega, Laure Poissonnier…<br />
20h00. Opéra Bastille, Amphithéâtre.<br />
25 €. Tél. : 08 92 89 90 90.<br />
De Bach à Piazzolla<br />
Quatuor Michalakakos.<br />
20h30. La Sainte Chapelle.<br />
16-30 €. Tél. : 01 42 77 65 65.<br />
Wagner, Brahms<br />
Orchestre de Paris. Dir. : Christoph<br />
Eschenbach. Matthias Goerne, baryton.<br />
20h30. Philharmonie 1.<br />
10-40 €. Tél. : 01 44 84 44 84.<br />
Mouvances musicales<br />
Pierre Bourduge, mise en scène.<br />
David Schavelzon, baryton ; Susanne<br />
Burstein, soprano ; Genaro Pereira,<br />
piano ; Lionel Milin, clarinette. Une<br />
escapade visuelle et musicale dans le<br />
début du xx e siècle.<br />
21h00. L’Auguste Théâtre (11 e ).<br />
15-20 €. Tél. : 06 63 20 65 68.<br />
12 JEUDI<br />
Alexandre Lory, piano<br />
Mozart, Chopin, Fauré, Dutilleux,<br />
Rachmaninov.<br />
12h30. Petit Palais.<br />
Entrée libre. Tél. : 01 40 20 09 32.<br />
Wagner, Tristan et Isolde<br />
Orchestre National de France, Chœur<br />
de Radio France. Dir. : Daniele Gatti.<br />
Pierre Audi, mise en scène. Avec<br />
Torsten Kerl, Emily Magee, Brett<br />
Polegato, Steven Humes…<br />
18h00. Théâtre des Champs-Élysées.<br />
5-140 €. Tél. : 01 49 52 50 50.<br />
Strauss, Der Rosenkavalier<br />
Voir au 9 mai.<br />
19h00. Opéra Bastille.<br />
Bach, Mozart, Beethoven<br />
Philharmonique de Radio France.<br />
Dir. : Ton Koopman. Francesco<br />
Piemontesi, piano.<br />
20h00. Maison de la Radio.<br />
17-45 €. Tél. : 01 56 40 15 16.<br />
Berlioz, Symphonie Funèbre et<br />
Triomphale<br />
Orchestre de la Garde Républicaine.<br />
Dir. : François Boulanger. Soliste :<br />
Romain Leleu, trompette. Saint-Saëns,<br />
Brandt, Arban.<br />
20h00. Musée de l’Armée, Cathédrale.<br />
9-15 €. Tél. : 01 44 42 54 66.<br />
Ensemble Elyma<br />
Dir. : Gabriel Garrido. Le Temple &<br />
le Désir: Mazzocchi, Monteverdi.<br />
20h30. Oratoire du Louvre.<br />
22-38 €. Tél. : 01 48 24 16 97.<br />
mai 2016 cadences 15
en famille<br />
La musique classique à découvrir en famille<br />
•<br />
La sélection de Paula Pichintini Chapotel<br />
Cosmique<br />
Dès 9 ans<br />
Fantastique<br />
Dès 6 ans<br />
© D.R. © D.R.<br />
Retour<br />
aux étoiles<br />
Encore une invitation au voyage. Cette fois, une déambulation<br />
dans le temps et l’espace comme le permet, seule, la musique. La<br />
chef d’orchestre Aurore Tillac assure ici la direction du Chœur<br />
de Radio France avec Pascale Rouet à l’orgue et Iris Torossian<br />
à la harpe qui joueront des extraits d’œuvres de Gustav Holst,<br />
Benjamin Britten, Thierry Machuel, Zoltán Kodály, Roland Manuel,<br />
entre autres. Ce concert est une promenade à travers des<br />
musiques cosmiques qui illumineront les oreilles des enfants et<br />
des adultes.<br />
Le 7 mai (17h) – Maison de la Radio<br />
Chœur de Radio France, Aurore Tillac (direction)<br />
Tél.: 01 56 40 15 16<br />
Folklorique<br />
Dès 4 ans<br />
Vassilissa<br />
Continuons le voyage et allons vers l’est, vers la Russie intemporelle<br />
où a lieu l’histoire de Vassilissa. C'est l'histoire d'une petite<br />
fille, qui va et vient. Elle court, vole, tombe et se relève. Toujours<br />
accompagnée de sa poupée, elle emprunte des chemins<br />
qui l’amènent vers l’ogresse Baba Yaga. À travers un univers<br />
minimaliste composé d’extraits des Tableaux d’une exposition<br />
de Modeste Moussorgsky, la compagnie étantdonné nous offre<br />
encore une fois un spectacle poétique fusionnant la communication<br />
gestuelle, visuelle et musicale pour raconter cette fantaisie.<br />
Du 26 au 28 mai – Opéra Bastille, Amphithéâtre<br />
Compagnie étantdonné. Frederike Unger & Jérôme Ferron<br />
(direction) — 5-16 €. Tél. : 08 92 89 90 90<br />
© Olivier Tallec<br />
Alice au pays des merveilles<br />
Et si nous accompagnions les musiciens de l’Orchestre National<br />
d’île-de-France dans le voyage musical qu’ils font tous les<br />
ans avec des élèves des écoles élémentaires et des collèges de la<br />
région ? Cette année le périple nous conduit vers le magnifique<br />
monde d’un classique de la littérature universelle, Alice au pays<br />
de merveilles de Lewis Caroll. Cette création a été pensée par le<br />
compositeur Matteo Franceschini et le metteur en scène Edouard<br />
Signolet. « Nous avons travaillé à deux la conception du livret et<br />
de la partition pour adapter ce classique en opéra pour les enfants<br />
mais aussi pour toute la famille », nous raconte Edouard Signolet.<br />
Ils nous proposent alors une création d’opéra contemporain avec<br />
voix lyriques qui accompagnent une histoire drôle et cruelle à la<br />
fois. Alice tombe dans un univers merveilleux qui est ici celui de<br />
la musique et de l’orchestre. C’est bien pour cela que la mise en<br />
scène a été conçue à l’intérieur de l’orchestre et sur le principe<br />
que tout est visible sur la scène de la Philharmonie de Paris. « Il<br />
y a une mécanique du transparent car tout sera vu. Tout le monde<br />
sera sur le plateau tout le temps, les chanteurs qui jouent le rôle<br />
des personnages qui se transforment sur scène ainsi que les musiciens<br />
de l’orchestre, bien évidemment. Ce sera comme une grande<br />
cour de récréation », nous confie encore E. Signolet. Il y a plus de<br />
200 enfants entre 7 et 13 ans qui préparent depuis le mois de septembre<br />
ce magnifique concert avec leurs professeurs et la chef de<br />
chœur Sophie Boucheron. Jean Deroyer est à la direction de cet<br />
orchestre et des six chanteuses et chanteurs lyriques. Alors, se<br />
faire trop grands ou très petits, tout est prévu pour aller écouter<br />
ce beau concert !<br />
Le 28 mai (11h) – Philharmonie 1<br />
Orchestre national d'Île-de-France, Jean Deroyer (direction)<br />
Tél. : 01 44 84 44 84<br />
16 cadences mai 2016
paris<br />
Haret, Au fond du fleuve<br />
Voir au 3 mai.<br />
20h30. Théâtre Adyar.<br />
Mozart, Quatuors avec flûte<br />
Voir au 9 mai.<br />
20h30. La Sainte Chapelle.<br />
13 VENDREDI<br />
Monteverdi, L’Orfeo<br />
Voir au 11 mai.<br />
20h00. Opéra Bastille, Amphithéâtre.<br />
De Bach à Piazzolla<br />
Voir au 11 mai.<br />
20h30. La Sainte Chapelle.<br />
Vivaldi, Les Quatre Saisons,<br />
Pachelbel, Albinoni<br />
Voir au 5 mai.<br />
20h30. Église Saint-Germain-des-Prés.<br />
Mouvances musicales<br />
Voir au 11 mai.<br />
21h00. L’Auguste Théâtre (11 e ).<br />
14 SAMEDI<br />
Cimarosa, Le Mariage Secret<br />
Musique filmée. Avec Carlos Feller,<br />
Georgine Resick… Enregistré en 2008.<br />
15h00. Auditorium du Louvre.<br />
5-15 €. Tél. : 01 40 20 55 00.<br />
Hommage aux castrats<br />
Mathieu Salama, contre-ténor ;<br />
Ghislaine Gignoux, clavecin ; Bruno<br />
Angé, viole de gambe ; Claire Helou,<br />
flûte. Airs de Vivaldi, Händel, Gluck,<br />
Purcell, Bach, Porpora…<br />
16h00. Paroisse S te -Elisabeth-de-Hongrie.<br />
Libre participation. Tél. : 06 11 68 22 95.<br />
La Cantate des Muses<br />
Ensemble Les Muses Galantes.<br />
Violoncelle et Dir. : Louise Audubert.<br />
Bach, Ouverture (Suite) BWV 1066,<br />
Cantate Am Abend aber desselbigen<br />
Sabbats BWV 42 ; Braye-Weppe ; Leclair.<br />
17h00. Église des Billettes.<br />
Libre participation. Tél. : 01 44 78 12 40.<br />
Pergolèse, LoFrate’nnamarato<br />
Musique filmée. Dir. : Fabio Biondi.<br />
Enregistré en 2011.<br />
19h00. Auditorium du Louvre.<br />
5-15 €. Tél. : 01 40 20 55 00.<br />
Verdi, Rigoletto<br />
Orchestre & Chœurs de l’Opéra.<br />
Dir. : Pier Giorgio Morandi. Claus<br />
Guth, mise en scène. Avec Francesco<br />
Demuro, Franco Vassallo, Irina Lungu,<br />
Andrea Mastroni, Vesselina Kasarova…<br />
19h30. Opéra Bastille.<br />
5-210 €. Tél. : 08 92 89 90 90.<br />
Vivaldi, Les Quatre Saisons,<br />
Pachelbel, Albinoni<br />
Voir au 5 mai.<br />
20h30. La Sainte Chapelle.<br />
15 DIMANCHE<br />
Strauss, Der Rosenkavalier<br />
Voir au 9 mai.<br />
14h30. Opéra Bastille.<br />
Haydn, Il Mondo della Luna<br />
Musique filmée. Dir. : Nikolaus<br />
Harnoncourt. Enregistré en 2010.<br />
15h00. Auditorium du Louvre.<br />
5-15 €. Tél. : 01 40 20 55 00.<br />
Wagner, Tristan et Isolde<br />
Voir au 12 mai.<br />
15h00. Théâtre des Champs-Élysées.<br />
La Cantate des Muses<br />
Ensemble Les Muses Galantes.<br />
Violoncelle et Dir. : Louise Audubert.<br />
Bach, Ouverture (Suite) BWV 1066,<br />
Cantate Am Abend aber desselbigen<br />
Sabbats BWV 42 ; Braye-Weppe ; Leclair.<br />
16h00. Église Saint-Ambroise.<br />
Libre participation. Tél. : 01 44 78 12 40.<br />
Stingo Music Club<br />
Musique baroque.<br />
17h00. Cave du 38Riv’.<br />
15 €. Tél. : 01 48 87 56 30.<br />
De Bach à Piazzolla<br />
Voir au 11 mai.<br />
20h30. La Sainte Chapelle.<br />
16 LUNDI<br />
Verdi, Rigoletto<br />
Voir au 10 mai.<br />
19h30. Opéra Bastille.<br />
D’après ‘Le journal d’un fou’ de<br />
Gogol<br />
Kotaro Fukuma, piano ; Mathieu Ganio,<br />
danseur étoile ; Orianne Moretti,<br />
adaptation et mise en scène ; Bruno<br />
Bouché, chorégraphie.<br />
20h00. Café de la Danse.<br />
Tél. : 01 48 87 10 90.<br />
17 MARDI<br />
La Dame des Steppes<br />
Domitille Vigneron, vielle à archets ;<br />
Bouzhimaa Santoro, vielle mongole.<br />
Chansons en langues d’Oc et mangoles.<br />
12h30. Église Saint-Roch.<br />
Entrée libre.<br />
Quatuor Küchl<br />
Debussy, Ravel.<br />
12h30. Auditorium du Musée d’Orsay.<br />
8-14 €. Tél. : 01 53 63 04 63.<br />
Monteverdi, L’Orfeo<br />
Voir au 11 mai.<br />
14h00. Opéra Bastille, Amphithéâtre.<br />
Maîtrise de Radio France<br />
Dir. : Marie-Noëlle Maerten. Corine<br />
Durous, piano. Aboulker, Chausson,<br />
Boulanger, Massenet, Franck.<br />
20h00. Maison de la Radio, Studio 104.<br />
15 €. Tél. : 01 56 40 15 16.<br />
Schubert, Chopin, Dvorák<br />
Orchestre de chambre de Paris.<br />
Dir. : Lawrence Foster. Momo Kodama,<br />
piano ; Deborah Nemtanu, violon.<br />
20h00. Théâtre des Champs-Élysées.<br />
5-55 €. Tél. : 01 49 52 50 50.<br />
Bach, Händel, Mendelssohn,<br />
Monteverdi<br />
Isabelle Savigny, soprano ; Clotilde Cantau,<br />
alto ; Damien Rivière, ténor ; Pierre de<br />
Bucy, basse ; Yves Castagnet, orgue.<br />
20h30. Cathédrale Notre-Dame de Paris.<br />
15-25 €. Tél. : 01 44 41 49 99.<br />
Brahms, Un Requiem allemand,<br />
Mendelssohn<br />
Chœur Asca, Schola Cantorum de<br />
Paris, Frohnauer Kantorei von Berlin-<br />
Reinickendorf. Dir. : Dominique Simmonet.<br />
20h30. Église Saint-Roch.<br />
18-26 €. Tél. : 06 59 15 53 60.<br />
Counter Phrases<br />
Orchestre symphonique de Mulhouse,<br />
Ensemble TM+. Dir. : Laurent Cuniot.<br />
Anne Teresa de Keersmaeker. Thierry de<br />
Mey, films. De Raaff, Harvey, Francesconi,<br />
De Mey, Reich, Romitelli, Sissoko.<br />
20h30. Philharmonie 2.<br />
32-41 €. Tél. : 01 44 84 44 84.<br />
Weber, Tchaikovski, Sibelius,<br />
Khatchaturian, Ravel<br />
Orchestre National d’Île-de-France.<br />
Dir. : Ainars Rubikis. Alexandra Soumm,<br />
violon.<br />
20h30. Philharmonie 1.<br />
10-30 €. Tél. : 01 44 84 44 84.<br />
18 MERCREDI<br />
Wagner, Tristan et Isolde<br />
Voir au 12 mai.<br />
18h00. Théâtre des Champs-Élysées.<br />
Strauss, Der Rosenkavalier<br />
Voir au 9 mai.<br />
19h00. Opéra Bastille.<br />
Concert Olivier Greif (1950-2000)<br />
L’Oiseleur des Longchamps, baryton ;<br />
Olivier Dekeister, orgue ; Philippe<br />
Hattat, piano. Greif, Symphonie n°1<br />
avec baryton (version grande orgue) ,<br />
Imago Mundi (création mondiale).<br />
20h00. Église St-Lambert de Vaugirard.<br />
Libre participation. Tél. : 01 42 78 10 48.<br />
Daniel Harding, direction<br />
Orchestre de Paris. Isabelle Faust,<br />
violon. Berg, Concerto pour violon<br />
« À la mémoire d’un ange » ; Mahler,<br />
Symphonie n°4.<br />
20h30. Philharmonie 1.<br />
10-40 €. Tél. : 01 44 84 44 84.<br />
Patricia Petibon, soprano<br />
Ensemble Amarillis. Charpentier,<br />
Marais, Leclair, Rameau.<br />
20h30. Philharmonie 2.<br />
35-60 €. Tél. : 01 44 84 44 84.<br />
19 JEUDI<br />
Jean-Christophe Lanièce, baryton<br />
Flore Merlin, piano. Vaughan Williams,<br />
Touchard, Britten.<br />
12h30. Petit Palais.<br />
Entrée libre. Tél. : 01 40 20 09 32.<br />
Dominique Preschez, orgue<br />
Preschez, Martines, Gangloff, Cornilleau.<br />
20h00. Église Saint-Eustache.<br />
5-10 €. Tél. : 06 07 58 16 85.<br />
François-René Duchâble, piano<br />
Alain Carré, comédien, adaptation et<br />
mise en scène. Beethoven, Liszt, Hugo,<br />
Corneille, Las Cases.<br />
20h00. Musée de l’Armée, Cathédrale.<br />
9-30 €. Tél. : 01 44 42 54 66.<br />
Jonas Kaufmann, ténor<br />
Orchestre National de France. Dir. : Daniele<br />
Gatti. Liszt, Orphée ; Wagner, Wesendonck<br />
Lieder ; Bruckner, Symphonie n°7.<br />
20h00. Théâtre des Champs-Élysées.<br />
5-125 €. Tél. : 01 49 52 50 50.<br />
Monteverdi, L’Orfeo<br />
Voir au 11 mai.<br />
20h00. Opéra Bastille, Amphithéâtre.<br />
Reed, Friedl<br />
Ensemble 2e2m, zeitkratzer.<br />
Dir. : Pierre Roullier.<br />
20h30. Église Saint-Merry.<br />
8-12 €. Tél. : 01 47 06 17 76.<br />
Daniel Harding, direction<br />
Voir au 18 mai.<br />
20h30. Philharmonie 1.<br />
Geoffroy Couteau, piano<br />
Beethoven, Brahms.<br />
20h30. Salle Gaveau.<br />
22-55 €. Tél. : 01 48 24 16 97.<br />
Les maîtres du motet français<br />
Chœur et musiciens des Arts<br />
Florissants. Dir. : Paul Agnew. Brossard,<br />
Bouteiller.<br />
20h30. Philharmonie 2.<br />
32-41 €. Tél. : 01 44 84 44 84.<br />
20 VENDREDI<br />
Reimann, Lear<br />
Orchestre & Chœurs de l’Opéra. Dir. : Fabio<br />
Luisi. Calixto Bieito, mise en scène. Avec Bo<br />
Skovhus, Gidon Saks, Andreas Scheibner,<br />
Michael Colvin, Kor-Jan Dusseljee…<br />
19h30. Palais Garnier.<br />
Jeunes : 10 €. Tél. : 08 92 89 90 90.<br />
Verdi, La Traviata<br />
Orchestre & Chœurs de l’Opéra.<br />
Dir. : Michele Mariottio. Benoît Jacquot,<br />
mise en scène. Avec Sonya Yoncheva,<br />
Antoinette Dennefeld, Elisabeth<br />
Moussous, Bryan Hymel…<br />
19h30. Opéra Bastille.<br />
5-205 €. Tél. : 08 92 89 90 90.<br />
Lindberg, Sibelius<br />
Philharmonique de Radio France.<br />
Dir. : Jukka-Pekka Saraste. Simone<br />
Lansma, violon.<br />
20h00. Maison de la Radio.<br />
17-45 €. Tél. : 01 56 40 15 16.<br />
Vivaldi, Les Quatre Saisons<br />
Eun-Joo Lee, Romuald Grimbert-Barré,<br />
Fedor Rudin, violons ; Jérémy Pasquier ;<br />
Vladimir Percevic, altos ; Julie Sévilla-<br />
Fraysse, Ivan Karizna, violoncelles ;<br />
Charlotte Coulaud, piano.<br />
20h00. Orangerie du Parc de Bagatelle.<br />
Musicales de Bagatelle.<br />
10 €. Tél. : 01 40 39 60 41.<br />
mai 2016 cadences 17
les concerts<br />
du mois<br />
Russian National Orchestra<br />
Piano et Dir. : Mikhail Pletnev. Gidon<br />
Kremer, violon. Schumann, Ouverture<br />
de Manfred, Concerto pour violon,<br />
Concerto pour piano.<br />
20h30. Philharmonie 1.<br />
10-70 €. Tél. : 01 44 84 44 84.<br />
Xavier Phillips, violoncelle<br />
François-Frédéric Guy, piano.<br />
Beethoven, Œuvres pour violoncelle<br />
et piano.<br />
20h30. Salle Gaveau.<br />
Tél. : 01 49 53 05 07.<br />
Bach, Händel, Mozart, Zelenka<br />
Chœur de chambre de la Cité. Dir. : Laurent<br />
Zaik. Tatiana Paholikova, soprano ; Marie-<br />
Pierre Laurent, alto ; Louis-Héol Castel,<br />
ténor ; Denis Duval, basse.<br />
20h45. Église Saint-Marcel.<br />
18-20 €. Tél. : 06 63 20 65 68.<br />
21 SAMEDI<br />
Beethoven, Brahms, Tchaikovski,<br />
Rossini, Brahms<br />
Bruno Philippe & Tanguy de<br />
Williencourt, violoncelle et piano ;<br />
Fanny Vicens et Vincent Lhermet,<br />
accordéons ; Thomas Lefort et Pierre-<br />
Yves Hodique, violon et piano.<br />
15h00. Orangerie du Parc de Bagatelle.<br />
Musicales de Bagatelle.<br />
10 €. Tél. : 01 40 39 60 41.<br />
Beethoven, Chopin, Biber,<br />
Prokofiev, Ravel<br />
Pavel Kolesnikov, piano ; Erno Kalai,<br />
violon ; Laurène Durantel, contrebasse.<br />
16h00. Théâtre de la Ville.<br />
19 €. Tél. : 01 42 74 22 77.<br />
Orchestre Pasdeloup<br />
Dir. : Jean-François Verdier, Bruno<br />
Rigutto, piano. Benzecry, Schubert,<br />
Schumann, Mozart.<br />
16h00. Salle Gaveau.<br />
10-45 €. Tél. : 01 49 53 05 07.<br />
Wagner, Tristan et Isolde<br />
Voir au 12 mai.<br />
18h00. Théâtre des Champs-Élysées.<br />
Un petit cabaret…<br />
Vanessa Hidden, chant ; Stéphanie<br />
Fontanarosa, piano ; Sasha Boldachev,<br />
harpe ; Pierre Génisson, clarinette…<br />
Bernstein, Gershwin, Piazzolla…<br />
19h00. Orangerie du Parc de Bagatelle.<br />
Musicales de Bagatelle.<br />
10 €. Tél. : 01 40 39 60 41.<br />
Verdi, Rigoletto<br />
Voir au 14 mai.<br />
19h30. Opéra Bastille.<br />
Carte blanche à Magnus Lindberg<br />
Philharmonique de Radio France.<br />
Dir. : Magnus Lindberg.<br />
20h00. Maison de la Radio.<br />
15 €. Tél. : 01 56 40 15 16.<br />
Monteverdi, L’Orfeo<br />
Voir au 11 mai.<br />
20h00. Opéra Bastille, Amphithéâtre.<br />
22 DIMANCHE<br />
Roussel, Ravel<br />
Orchestre Colonne. Présentation et<br />
Dir. : Laurent Petitgirard.<br />
10h45. Cirque d’hiver.<br />
8-10 €. Tél. : 01 42 33 72 89.<br />
Opéra en 1 acte<br />
Offenbach, Monsieur Choufleuri.<br />
Compagnie Opéra du Jour.<br />
11h30. Théâtre Ranelagh.<br />
15-25 €. Tél. : 01 42 88 64 44.<br />
Ravel, Saint-Saëns<br />
Musiciens de l’Orchestre de l’Opéra.<br />
12h00. Palais Garnier.<br />
10-30 €. Tél. : 08 92 89 90 90.<br />
Benjamin Alard, clavecin<br />
Œuvres de Bach.<br />
12h30. Hôtel de Soubise.<br />
8-14 €. Tél. : 01 40 20 09 32.<br />
Strauss, Der Rosenkavalier<br />
Orchestre & Chœurs de l’Opéra.<br />
Dir. : Philippe Jordan. Herbert<br />
Wernicke, mise en scène. Avec<br />
Michaela Kaune, Peter Rose, Daniela<br />
Sindram, Martin Gantner, Erin Morley…<br />
14h30. Opéra Bastille.<br />
5-195 €. Tél. : 08 92 89 90 90.<br />
Janequin, Vieuxtemps, Quenel,<br />
Massenet, Brahms<br />
Jétémy Pasquier, alto ; Aurélien Pascal,<br />
violoncelle ; Yannaël Quenel, piano ;<br />
Vincent de Lavenère, jongleur.<br />
15h00. Orangerie du Parc de Bagatelle.<br />
Musicales de Bagatelle.<br />
10 €. Tél. : 01 40 39 60 41.<br />
Lavandier, Bobba (Grand-Mère)<br />
Solistes de l’Ensemble Le Balcon.<br />
Manuel Nunez Camelino, ténor. Photos<br />
de Julien Taylor.<br />
15h00. Musée d’art et d’histoire du<br />
Judaïsme .<br />
20-25 €. Tél. : 01 53 01 86 48.<br />
La Ménestrandise<br />
Schenck, Kühnel.<br />
17h00. Cave du 38Riv’.<br />
15 €. Tél. : 01 48 87 56 30.<br />
Bach, Händel, Mozart, Zelenka<br />
Voir au 20 mai.<br />
19h45. Église Saint-Marcel.<br />
23 LUNDI<br />
Reimann, Lear<br />
Voir au 20 mai.<br />
19h30. Palais Garnier.<br />
Verdi, La Traviata<br />
Voir au 20 mai.<br />
19h30. Opéra Bastille.<br />
Nicholas Angelich, piano<br />
Chopin, Ballade n°2 ; Schumann,<br />
Kreilseriana ; Liszt, Sonate en si mineur.<br />
20h00. Théâtre des Champs-Élysées.<br />
5-65 €. Tél. : 01 49 52 50 50.<br />
Delphine Haidan, mezzo<br />
Ensemble Appassionato. Dir. : Matthieu<br />
Herzog. Wagner, Mahler, Strauss.<br />
20h30. Théâtre des Bouffes du Nord.<br />
25 €. Tél. : 01 46 07 34 50.<br />
Radu Lupu, piano<br />
Brahms, Beethoven, Mozart, Schubert.<br />
20h30. Philharmonie 1.<br />
10-90 €. Tél. : 01 44 84 44 84.<br />
Yulianna Avdeeva, piano<br />
Chopin, Schumann.<br />
20h30. Salle Gaveau.<br />
15-35 €. Tél. : 01 49 53 05 07.<br />
24 MARDI<br />
Jonathan McGovern, baryton<br />
James Baillieu, piano. Poulenc,<br />
Honegger, Durey, Auric.<br />
12h30. Auditorium du Musée d’Orsay.<br />
8-14 €. Tél. : 01 53 63 04 63.<br />
Michael Riedler, violon<br />
Bach, Gliere, Vitali.<br />
12h30. Église Saint-Roch.<br />
Entrée libre.<br />
Wagner, Tristan et Isolde<br />
Voir au 12 mai.<br />
18h00. Théâtre des Champs-Élysées.<br />
Wagner, Parsifal<br />
Filmé à Berlin en 2015. Dir.: Daniel<br />
Barenboim. Dimitri Tcherniakov, mise<br />
en scène. Avec René Pap, Sophie Koch...<br />
18h30. Cinéma Le Balzac.<br />
14-27 €. Tél. : 01 45 61 10 60.<br />
Verdi, Rigoletto<br />
Voir au 10 mai.<br />
19h30. Opéra Bastille.<br />
Fauré, Requiem, MacMillan<br />
Orchestre de chambre de Paris,<br />
Maîtrise de Notre-Dame de Paris.<br />
Dir. : John Nelson. Matthew Brook,<br />
baryton-basse.<br />
20h00. Cathédrale Notre-Dame de Paris.<br />
12-50 €. Tél. : 01 44 41 49 99.<br />
Olivier Charlier, violon<br />
Emmanuelle Jaspart, piano. L’âme russe:<br />
Stravinsky, Tchaikovsky, Prokofiev...<br />
20h30. Salle Gaveau.<br />
15-35 €. Tél. : 01 49 53 05 07.<br />
Opéra en 1 acte<br />
Viardot, Cendrillon. Compagnie Opéra<br />
du Jour. Piano et Dir. : Françoise Tillard.<br />
20h30. Théâtre Ranelagh.<br />
15-25 €. Tél. : 01 42 88 64 44.<br />
25 MERCREDI<br />
Clérambault, Couperin, Marais<br />
Elèves du Conservatoire du 7 e .<br />
12h30. Hôtel de Soubise.<br />
Entrée libre. Tél. : 01 40 20 09 32.<br />
Strauss, Der Rosenkavalier<br />
Voir au 22 mai.<br />
19h00. Opéra Bastille.<br />
Fauré, Requiem, MacMillan<br />
Voir au 24 mai.<br />
20h00. Cathédrale Notre-Dame de Paris.<br />
Leonidas Kavakos, violon<br />
Orchestre de Paris. Dir. : Paavo Järvi.<br />
Dubugnon, Bartók, Chostakovitch.<br />
20h30. Philharmonie 1.<br />
10-40 €. Tél. : 01 44 84 44 84.<br />
26 JEUDI<br />
Vella, Kraft, Jarvis, Beach<br />
Musiciens de l’Orchestre de l’Opéra.<br />
13h00. Opéra Bastille, Studio.<br />
5 €. Tél. : 08 92 89 90 90.<br />
Reimann, Lear<br />
Voir au 20 mai.<br />
19h30. Palais Garnier.<br />
Orchestre Colonne<br />
Dir. : Laurent Petitgirard. Sung-Won<br />
Yang, violoncelle. Dutilleux, Tout un<br />
monde lointain ; Roussel, Suite n°2 de<br />
Bacchus et Ariane ; Ravel, La Valse.<br />
20h00. Théâtre des Champs-Élysées.<br />
5-30 €. Tél. : 01 49 52 50 50.<br />
Ensemble Ecce Cantus<br />
Dir. : Olivier Kontogom. Mozart, Messe<br />
en ut.<br />
20h30. Église Saint-Roch.<br />
27 €. Tél. : 0892 68 36 22.<br />
La Cantate des Muses<br />
Ensemble Les Muses Galantes,<br />
Chœur de S t Ferdinand. Violoncelle et<br />
Dir. : Louise Audubert. Mozart, Motet,<br />
Symphonie n°23 KV181, Messe du<br />
Couronnement.<br />
20h30. Église Saint-Ferdinand.<br />
Libre participation. Tél. : 06 77 58 30 40.<br />
Mozart, Requiem<br />
Ensemble vocal de l’École<br />
polytechnique. Orchestre-atelier<br />
Ostinato. Dir. : Patrice Holiner. Avec<br />
Vincent Jugé, Florian Weyer, Katryn<br />
Werner, Ève Coquart.<br />
20h30. Église Saint-Etienne-du-Mont.<br />
20-30 €. Tél. : 06 76 04 33 66.<br />
Mozart, Schubert<br />
Academy of St Martin in the fields.<br />
Piano et Dir. : Murray Perahia.<br />
20h30. Philharmonie 1.<br />
10-90 €. Tél. : 01 44 84 44 84.<br />
Stéphanie-Marie Degand, violon<br />
Marie-Josèphe Jude, piano. Mozart,<br />
Brahms, Franck, Ravel.<br />
20h30. Salle Gaveau.<br />
22-55 €. Tél. : 01 48 24 16 97.<br />
Verdi, La Traviata<br />
Voir au 20 mai.<br />
20h30. Opéra Bastille.<br />
18 cadences mai 2016
paris<br />
27 VENDREDI<br />
29 DIMANCHE<br />
31 MARDI<br />
Quatuor Akilone<br />
Mozart, Boutry, Mendelssohn.<br />
12h15. Musée de l’Armée, Grand Salon.<br />
5 €. Tél. : 01 44 42 54 66.<br />
Florent Boffard, piano<br />
Debussy, Messiaen.<br />
19h00. Musée de l’Orangerie.<br />
Entrée libre. Tél. : 01 44 50 43 01.<br />
Verdi, Rigoletto<br />
Voir au 14 mai.<br />
19h30. Opéra Bastille.<br />
Donizetti, Lucia di Lammermoor<br />
Orchestre & Chœur du Teatro Regio<br />
Torino. Dir. : Gianandrea Noseda.<br />
Avec Diana Damrau, Giorgio Berrugi,<br />
Gabriele Viviani, Nicolas Testé…<br />
20h00. Théâtre des Champs-Élysées.<br />
5-140 €. Tél. : 01 49 52 50 50.<br />
Légende Napoléonienne. I<br />
Déborah Nemtanu, violon ; Antoine<br />
Pierlot, violoncelle ; Tristan Raës, piano<br />
et Didier Sandre, récitant. Schubert,<br />
Fauré, Paganini, Massenet, Schubert...<br />
20h00. Musée de l’Armée, Grand Salon.<br />
9-15 €. Tél. : 01 44 42 54 66.<br />
Benjamin Grosvenor, piano<br />
Mendelssohn, Chopin, Ravel, Liszt<br />
20h30. Fondation Louis Vuitton.<br />
15-25 €. Tél. : 01 40 69 96 00.<br />
Scènes pour un roi fou<br />
Ensemble intercontemporain.<br />
Dir. : Pablo Heras-Casados. Georg Nigl,<br />
baryton, mise en scène. Frédérique<br />
Cambreling, harpe. Jarrell, Hudry,<br />
Rihm, Maxwell Davies.<br />
20h30. Philharmonie 2.<br />
18 €. Tél. : 01 44 84 44 84.<br />
28 SAMEDI<br />
Léo Marillier, violon<br />
SoYoung Sarah Yang, piano. Ravel,<br />
Schubert, Satie, Forrest, Franck.<br />
19h00. Hôtel de Soubise.<br />
8-14 €. Tél. : 01 40 20 09 32.<br />
Strauss, Der Rosenkavalier<br />
Voir au 22 mai.<br />
19h00. Opéra Bastille.<br />
David Garrett, violon<br />
Julien Quentin, piano. Franck,<br />
Wienawski, Prokofiev, Monti, Kreisler…<br />
20h00. Théâtre des Champs-Élysées.<br />
5-75 €. Tél. : 01 49 52 50 50.<br />
Hommage aux castrats<br />
Mathieu Salama, contre-ténor ;<br />
Ghislaine Gignoux, clavecin ; Jenneviève<br />
L’Hostis, viole de gambe. Airs de Vivaldi,<br />
Händel, Gluck, Purcell, Bach, Porpora…<br />
20h30. Temple du Luxembourg.<br />
Libre participation. Tél. : 06 11 68 22 95.<br />
Orchestre National du Capitole<br />
de Toulouse<br />
Dir. : Tugan Sokhiev. Gautier Capuçon,<br />
violoncelle. Dvorák, Berlioz.<br />
20h30. Philharmonie 1.<br />
10-50 €. Tél. : 01 44 84 44 84.<br />
Chants de l’aube<br />
Soo Park, piano Gebauhr 1855 ;<br />
Christophe Coin, violoncelle.<br />
Schumann.<br />
14h30. Philharmonie 2, Amphithéâtre.<br />
18 €. Tél. : 01 44 84 44 84.<br />
Reimann, Lear<br />
Voir au 20 mai.<br />
14h30. Palais Garnier.<br />
Verdi, La Traviata<br />
Voir au 20 mai.<br />
14h30. Opéra Bastille.<br />
La Cantate des Muses<br />
Ensemble Les Muses Galantes,<br />
Chœur de S t Ferdinand. Violoncelle et<br />
Dir. : Louise Audubert. Mozart, Motet,<br />
Symphonie n°23 KV181, Messe du<br />
Couronnement.<br />
16h00. Église Saint-Ambroise.<br />
Libre participation. Tél. : 06 77 58 30 40.<br />
Le rayonnement de l’école de<br />
Notre-Dame<br />
Centre de musique médiévale de Paris.<br />
Dir. : Brigitte Lesne. Musique du xiii e et<br />
xiv e siècles.<br />
16h00. Musée du Moyen-Âge.<br />
10-12 €. Tél. : 01 53 73 78 00.<br />
Ravel, Ma mère l’Oye, Daphnis et Chloé<br />
Les Siècles. Dir. : François-Xavier Roth.<br />
Grégoire Pont, images live.<br />
16h30. Philharmonie 1.<br />
10-30 €. Tél. : 01 44 84 44 84.<br />
Marais, Nicolaï<br />
3 élèves de Jean-Louis Charbonnier.<br />
17h00. Cave du 38Riv’.<br />
15 €. Tél. : 01 48 87 56 30.<br />
30 LUNDI<br />
Le rayonnement de l’école de<br />
Notre-Dame<br />
Voir au 29 mai.<br />
12h30. Musée du Moyen-Âge.<br />
Verdi, Rigoletto<br />
Voir au 14 mai.<br />
19h30. Opéra Bastille.<br />
Brahms, Intégrale des quatuors<br />
pour piano et cordes<br />
Christian Tetzlaff, violon ; Tabea<br />
Zimmermann, alto ; Clemens Hagen,<br />
violoncelle ; Leif Ove Andsnes, piano.<br />
20h00. Théâtre des Champs-Élysées.<br />
5-65 €. Tél. : 01 49 52 50 50.<br />
Récital Richard Strauss<br />
Solistes de l’Atelier Lyrique de<br />
l’Académie de l’Opéra.<br />
20h00. Opéra Bastille, Amphithéâtre.<br />
25 €. Tél. : 08 92 89 90 90.<br />
Miroslav Kultyshev, piano<br />
Ravel, Gaspard de la Nuit, Valses nobles<br />
et sentimentales.<br />
20h30. Salle Gaveau.<br />
15-50 €. Tél. : 01 49 53 05 07.<br />
Verdi, Tchaikovski<br />
Les Dissonances. Violon et Dir. : David<br />
Grimal.<br />
20h30. Philharmonie 2.<br />
18 €. Tél. : 01 44 84 44 84.<br />
Octuor de clarinette K622<br />
Händel, Graupner, Zelenka.<br />
12h30. Église Saint-Roch.<br />
Entrée libre.<br />
Ravel, Delibes, Strauss, Puccini,<br />
Mendelssohn<br />
Sarah-Jane Brandon, soprano ; Rosie<br />
Aldridge, mezzo ; Christopher Glynn,<br />
piano.<br />
12h30. Auditorium du Musée d’Orsay.<br />
8-14 €. Tél. : 01 53 63 04 63.<br />
Strauss, Der Rosenkavalier<br />
Voir au 22 mai.<br />
19h00. Opéra Bastille.<br />
Clare Pierard, soprano<br />
David Harper, piano. Mendelssohn,<br />
Berg, Duparc, Granados.<br />
19h30. Auditorium Bernanos (9 e ).<br />
Libre participation. Tél. : 06 40 22 98 17.<br />
Mendelssohn, Berlioz, Cherubini<br />
Orchestre et Chœur des Universités<br />
de Paris, chef de choeur : Guillaume<br />
Connesson. Dir. : Carlos Dourthé.<br />
20h00. Musée de l’Armée, Cathédrale.<br />
9-30 €. Tél. : 01 44 42 54 66.<br />
D’un commun accord<br />
Solistes de l’Ensemble<br />
intercontemporain, Solistes des Arts<br />
florissants. Jarrell, Huber, Ohana, Bach,<br />
Graun, Vivaldi.<br />
20h30. Philharmonie 2, Amphithéâtre.<br />
32 €. Tél. : 01 44 84 44 84.<br />
[ juin ]<br />
1 er mercredi<br />
Verdi, La Traviata<br />
Voir au 20 mai.<br />
19h30. Opéra Bastille.<br />
Lars Vogt, piano<br />
Bach, Variations Goldberg ; Beethoven,<br />
Sonate en ut mineur op.111.<br />
20h00. Auditorium du Louvre.<br />
15-35 €. Tél. : 01 40 20 55 00.<br />
Famille Arties<br />
Quatuor Volta. Emmanuel Christien,<br />
piano. Mozart, Fantaisie en ut mineur,<br />
Sonate n°32...<br />
20h30. Salle Gaveau.<br />
12-45 €. Tél. : 01 49 53 05 07.<br />
Reimann, Lear<br />
Voir au 20 mai.<br />
20h30. Palais Garnier.<br />
Zelenka, Bach<br />
Chœur Varenne, Orchestre d’harmonie<br />
de l’Armée de l’air. Dir. : Caroline de<br />
Beaudrap.<br />
20h30. Église Saint-Roch.<br />
12-25 €. Tél. : 0 892 68 36 22.<br />
Musique à l’écran<br />
et accueil “Balzac” !<br />
Mardi 10 mai à 20h<br />
Cavalleria Rusticana / Pagliacci,<br />
de Mascagni / Leoncavallo<br />
Dir. C. Thielemann. Avec J. Kaufmann<br />
Salzbourg 2015<br />
Mardi 24 mai à 18h30<br />
Parsifal, de Wagner<br />
Dir. D. Barenboim. M.e.s. D. Tcherniakov<br />
Avec W. Koch, R. Pape. Berlin 2015<br />
Jeudi 2 juin à 20h<br />
Lucia di Lamermoor, de Donizetti<br />
Dir. M. Armiliato. Avec J.-D. Florez<br />
Liceu de Barcelone 2013<br />
1 rue Balzac, Paris 8 e www.cinemabalzac.com<br />
www.le-balzac-tout-ouie.com<br />
mai 2016 cadences 19
les concerts<br />
du mois<br />
2 JEUDI<br />
Bravo Maestro !<br />
Orchestre National de France.<br />
Dir. : Daniele Gatti. Programme surprise.<br />
20h00. Maison de la Radio.<br />
25-60 €. Tél. : 01 56 40 15 16.<br />
Donizetti, Lucia di Lammermoor<br />
Filmé à Barcelone en 2013. Dir.: Marco<br />
Armiliato. Avec Juan Diego Florez...<br />
20h00. Cinéma Le Balzac.<br />
14-27 €. Tél. : 01 45 61 10 60.<br />
De Mey, Simplexity La Beauté du Geste<br />
Solistes de l’Ensemble<br />
intercontemporain. Thierry de Mey,<br />
concept, musique et chorégraphie.<br />
20h30. Centre Pompidou.<br />
ManiFeste.<br />
10-18 €. Tél. : 01 44 78 12 40.<br />
Grieg, Nielsen, Messiaen, Ruders,<br />
Lauridsen<br />
Chœur de la Chapelle Royale de<br />
Copenhague. Dir. : Ebbe Munk. Hanne<br />
Kuhlmann, orgue.<br />
20h30. Cathédrale Notre-Dame de Paris.<br />
15-25 €. Tél. : 01 44 41 49 99.<br />
Zelenka, Bach<br />
Voir au 1 er juin.<br />
20h30. Église Saint-Roch.<br />
3 VENDREDI<br />
Spontini, Olympie<br />
Le Cercle de l’Harmonie, Vlaams Radio<br />
Koor. Dir. : Jérémie Rhorer. Avec Karina<br />
Gauvin, Kate Aldrich, Charles Castronovo…<br />
20h00. Théâtre des Champs-Élysées.<br />
5-85 €. Tél. : 01 49 52 50 50.<br />
Chœur Marietta Alboni<br />
Dir. : Marcello Marini. Françoise Levechin,<br />
orgue. Kodaly, Perdini, Nafilyan (création).<br />
20h30. Église Saint-Roch.<br />
Entrée libre. Tél. : 01 46 34 27 00.<br />
De Mey, Simplexity La Beauté du Geste<br />
Voir au 2 juin.<br />
20h30. Centre Pompidou.<br />
Vivaldi, Les Quatre Saisons,<br />
Pachelbel, Albinoni<br />
Voir au 5 mai.<br />
20h30. Église Saint-Germain-des-Prés.<br />
Gershwin, Lanza<br />
Concept, chorégraphie et Dir. : Thomas<br />
Hauert.<br />
21h00. Théâtre de l’Aquarium (12 e ).<br />
ManiFeste.<br />
10-20 €. Tél. : 01 44 78 12 40.<br />
4 SAMEDI<br />
Bruckner, Dvorák<br />
Orchestre & Chœur Lamoureux.<br />
Dir. : Patrick Marco.<br />
18h00. Église de la Trinité.<br />
17-27,5 €. Tél. : 01 58 39 30 30.<br />
De la langueur à la fureur<br />
Alice Lestang, soprano ; Eric Tinkerhess,<br />
viole de gambe ; Benoit Bératto,<br />
violone ; Takahisa Aida, clavecin.<br />
19h00. Hôtel de Soubise.<br />
8-14 €. Tél. : 01 40 20 09 32.<br />
Verdi, La Traviata<br />
Voir au 20 mai.<br />
19h30. Opéra Bastille.<br />
Maresz, Kyburz, Sakai<br />
Philharmonique de Radio France.<br />
Julien Leroy. Nicolas Tulliez, harpe.<br />
Technologie Ircam.<br />
20h00. Maison de la Radio.<br />
Festival Manifeste.<br />
18 €. Tél. : 01 56 40 15 16.<br />
Boris Giltburg, piano<br />
Bach/Busoni, Chopin, Chostakovitch,<br />
Rachmaninov, Prokofiev.<br />
20h30. Salle Gaveau.<br />
15-50 €. Tél. : 01 49 53 05 07.<br />
Jodie Devos, soprano<br />
Isabelle Druet, mezzo. Il était une fois…<br />
Spectacle lyrique autour des contes<br />
de fées à l’époque romantique. Airs et<br />
duos de Massenet, Offenbach, Isouard,<br />
Silver, Serpette, Lecocq, Viardot…<br />
Quatuor Giardini.<br />
20h30. Théâtre des Bouffes du Nord.<br />
Festival Palazzetto Bru Zane.<br />
25 €. Tél. : 01 46 07 34 50.<br />
Berlioz et l’art choral français<br />
Chœur d’Oratorio de Paris. Dir. : Jean<br />
Sourisse. Sandra Collet, soprano ; Lucie<br />
Seillet, piano. Bizet, Gounod, Chausson,<br />
Fauré, Saint-Saëns, Boulanger…<br />
20h45. Église S t -Etienne-du-Mont.<br />
10-25 €. Tél. : 01 60 10 58 19.<br />
Gershwin, Lanza<br />
Voir au 3 juin.<br />
21h00. Théâtre de l’Aquarium (12 e ).<br />
5 DIMANCHE<br />
Il était une fois…<br />
Les Quatre Ages. Avec Jodie Devos,<br />
soprano, Isabelle Druet, mezzo,<br />
Quatuor Giardini.<br />
11h00. Théâtre des Bouffes du Nord.<br />
Festival Palazzetto Bru Zane.<br />
10 €. Tél. : 01 46 07 34 50.<br />
Berlioz et l’art choral français<br />
Voir au 4 juin.<br />
15h00. Église S t -Etienne-du-Mont.<br />
Dvorák, Mozart<br />
Musiciens de l’Orchestre Colonne.<br />
16h00. Salle Colonne.<br />
14-20 €. Tél. : 01 42 33 72 89.<br />
Fauré, Requiem<br />
Ensemble vocal Sequana Voce,<br />
Ensemble instrumental des Hauts-de-<br />
Seine. Dir. : Laurent Brack. Bach.<br />
16h00. Église Saint-Louis-en-l’Île.<br />
16-25 €. Tél. : 01 44 62 00 55.<br />
Pascal Amoyel, piano<br />
Les Quatre Ages. Alkan, Chopin,<br />
Godard, Liszt.<br />
17h00. Théâtre des Bouffes du Nord.<br />
Festival Palazzetto Bru Zane.<br />
25 €. Tél. : 01 46 07 34 50.<br />
6 LUNDI<br />
Reimann, Lear<br />
Voir au 20 mai.<br />
19h30. Palais Garnier.<br />
Légende Napoléonienne. II<br />
Emmanuel Rossfelder, guitare ; Svetlin<br />
Roussev, violon ; François Salques,<br />
violoncelle ; Marie-Christine Barrault,<br />
récitante. Giuliani, Mertz, Dortzauer,<br />
Schubert...<br />
20h00. Musée de l’Armée, Grand Salon.<br />
9-15 €. Tél. : 01 44 42 54 66.<br />
Anne Queffelec, piano<br />
Sonates de Scarlatti et Schubert.<br />
20h30. Salle Gaveau.<br />
22-55 €. Tél. : 01 49 53 05 07.<br />
Marie-Nicole Lemieux, contralto<br />
Daniel Blumenthal, piano. Fauré, Lekeu,<br />
Hahn, Koechlin, Debussy, Duparc.<br />
20h30. Théâtre des Bouffes du Nord.<br />
Festival Palazzetto Bru Zane.<br />
25 €. Tél. : 01 46 07 34 50.<br />
7 MARDI<br />
Hasse, Vivaldi, Mozart<br />
Harumi Kinoshita, orgue ; Valentine<br />
Kitaine, alto.<br />
12h30. Église Saint-Roch.<br />
Entrée libre.<br />
Verdi, La Traviata<br />
Voir au 20 mai.<br />
19h30. Opéra Bastille.<br />
Ermonela Jaho, soprano<br />
Charles Castronovo, ténor. Orchestre<br />
National d’Île-de-France. Dir. : Marco<br />
Zambelli.<br />
20h00. Théâtre des Champs-Élysées.<br />
5-95 €. Tél. : 01 49 52 50 50.<br />
Klein, Schulhoff, Janacek<br />
Musiciens de l’Orchestre de Paris.<br />
20h00. Musée Gustave Moreau.<br />
15 €. Tél. : 01 48 74 38 50.<br />
Brahms, Tchaikovski<br />
Nikolaï Lugansky, piano ; Leonidas Kavakos,<br />
violon ; Gautier Capuçon, violoncelle.<br />
20h30. Philharmonie 1.<br />
10-40 €. Tél. : 01 44 84 44 84.<br />
Gandrille, Duruflé, Requiem<br />
Maîtrise Notre-Dame de Paris.<br />
Dir. : Henri Chalet. Yves Castagnet,<br />
grand orgue.<br />
20h30. Cathédrale Notre-Dame de Paris.<br />
15-25 €. Tél. : 01 44 41 49 99.<br />
Gary Hoffman, violoncelle<br />
David Selig, piano. Strohl, Saint-Saëns,<br />
Debussy, Fauré.<br />
20h30. Théâtre des Bouffes du Nord.<br />
Festival Palazzetto Bru Zane.<br />
25 €. Tél. : 01 46 07 34 50.<br />
8 MERCREDI<br />
Rossini, L’Italienne à Alger<br />
La Grande Ecurie et la Chambre du<br />
Roy. Dir. : Jean-Claude Malgoire.<br />
Christian Schiaretti, mise en scène.<br />
Avec Anna Reinhold, Artavazd Sargsyan<br />
Domenico Balzani…<br />
19h30. Théâtre des Champs-Élysées.<br />
5-110 €. Tél. : 01 49 52 50 50.<br />
Orchestre Symphonique Paris<br />
Sciences & Lettres<br />
Dir. : Johan Farjot. Geneviève<br />
Laurenceau, violon ; Tristan Cornut,<br />
violoncelle. Brahms, Double concerto.<br />
20h00. Sorbonne, Grand Amphithéâtre.<br />
Tél. : 01 42 62 71 71.<br />
Claire-Marie Le Guay, piano<br />
Schubert, Impromptus.<br />
20h30. Salle Gaveau.<br />
18-45 €. Tél. : 01 49 53 05 07.<br />
Henri Demarquette, violoncelle<br />
Jean-François Heisser, piano ; lauréats<br />
de l’Académie internationale de<br />
musique Maurice Ravel 2015. Lalo,<br />
Saint-Saëns, Fauré.<br />
20h30. Théâtre des Bouffes du Nord.<br />
Festival Palazzetto Bru Zane.<br />
25 €. Tél. : 01 46 07 34 50.<br />
Richard Goode, piano<br />
Orchestre de Paris. Dir. : Herbert<br />
Blomstedt. Beethoven, Concerto<br />
pour piano n°5 Empereur ; Mahler,<br />
Symphonie n°1 Titan.<br />
20h30. Philharmonie 1.<br />
10-40 €. Tél. : 01 44 84 44 84.<br />
Sciarrino, Furrer<br />
Klangforum Wien, Neue Vocalsolisten<br />
Stuttgart, Matteo Cesari, flûte.<br />
20h30. Centre Pompidou.<br />
ManiFeste.<br />
10-18 €. Tél. : 01 44 78 12 40.<br />
9 JEUDI<br />
Julien Blanc, piano<br />
Franck, Fauré, Murail, Messiaen.<br />
12h30. Petit Palais.<br />
Entrée libre. Tél. : 01 40 20 09 32.<br />
Reimann, Lear<br />
Voir au 20 mai.<br />
19h30. Palais Garnier.<br />
Bravo Maestro !<br />
Voir au 2 juin.<br />
20h00. Maison de la Radio.<br />
Lebrun, Mozart, Boieldieu<br />
Orchestre de chambre de Paris.<br />
Hautbois et Dir. : François Leleux.<br />
Isabelle Moretti, harpe.<br />
20h00. Théâtre des Champs-Élysées.<br />
5-55 €. Tél. : 01 49 52 50 50.<br />
Orchestre Colonne<br />
Dir. : Hun-Young Liml, Mathieu Dufour,<br />
flûte. Waksman, Ibert, Beethoven.<br />
20h00. Salle Gaveau.<br />
10-30 €. Tél. : 01 49 53 05 07.<br />
Les Solistes Français<br />
Adagios et pièces célèbres pour<br />
quatuor : Albinoni, Bach, Barber,<br />
Borodine, Schubert.<br />
20h30. La Sainte Chapelle.<br />
16-30 €. Tél. : 01 42 77 65 65.<br />
Quatuor Mosaïques<br />
Godard, Gounod, Debussy.<br />
20h30. Théâtre des Bouffes du Nord.<br />
Festival Palazzetto Bru Zane.<br />
25 €. Tél. : 01 46 07 34 50.<br />
Richard Goode, piano<br />
Voir au 8 juin.<br />
20h30. Philharmonie 1.<br />
20 cadences mai 2016
paris<br />
Tedi Papavrami, violon<br />
Ysaÿe, Paganini.<br />
20h30. Fondation Louis Vuitton.<br />
Tél. : 01 40 69 96 00.<br />
10 VENDREDI<br />
Rossini, L’Italienne à Alger<br />
Voir au 8 juin.<br />
19h30. Théâtre des Champs-Élysées.<br />
Prokofiev, Bartók<br />
Philharmonique de Radio France.<br />
Dir. : Mikko Franck. Truls Mork, violoncelle.<br />
20h00. Maison de la Radio.<br />
25-60 €. Tél. : 01 56 40 15 16.<br />
Anne-Sophie Mutter, violon<br />
Lambert Okris, piano. Ravel, Poulenc,<br />
Currier, Gershwin, Williams, Debussy,<br />
Benjamin, Saint-Saëns.<br />
20h30. Philharmonie 1.<br />
10-70 €. Tél. : 01 44 84 44 84.<br />
Bach, Suites pour violoncelle seul<br />
David Harlé, violoncelle.<br />
20h30. La Sainte Chapelle.<br />
16-30 €. Tél. : 01 42 77 65 65.<br />
Cattaneo, Ferneyhough, Furrer,<br />
Maresz<br />
Ensemble intercontemporain.<br />
Dir. : Matthias Pintscher. Sébastien<br />
Vichard, piano.<br />
20h30. Philharmonie 2.<br />
18 €. Tél. : 01 44 84 44 84.<br />
11 SAMEDI<br />
Entrez dans la danse<br />
Ensemble intercontemporain.<br />
Musiciens amateurs des Conservatoires<br />
d’Île-de-France. Berio, Xenakis, Bartók.<br />
11h00. Philharmonie 1, Salle de répétition.<br />
Entrée libre. Tél. : 01 44 84 44 84.<br />
Fanfares<br />
Fanfares amateurs de Seine-S t -Denis.<br />
14h30. Philharmonie 1, Hall 0.<br />
Entrée libre. Tél. : 01 44 84 44 84.<br />
Colour Strings<br />
Orchestre Pasdeloup. Gilles Apap,<br />
violon. Violonistes amateurs.<br />
15h00. Philharmonie 1, Hall 0.<br />
Entrée libre. Tél. : 01 44 84 44 84.<br />
100 pianistes<br />
Steelbands de la région d’Île-de-France.<br />
15h30. Philharmonie 1, Hall 0.<br />
Entrée libre. Tél. : 01 44 84 44 84.<br />
Orchestre Pasdeloup<br />
Dir. : Christoph Altstaedt. Gilles<br />
Apap, violon. Mendelssohn, Sarasate,<br />
Benzecry, Bartók, De Falla, Bizet, Ravel.<br />
16h00. Philharmonie 1.<br />
10-40 €. Tél. : 01 44 84 44 84.<br />
Maria-Joao Pires, piano<br />
Antonio Meneses, violoncelle.<br />
Beethoven, De Falla, Debussy.<br />
17h00. Théâtre de la Ville.<br />
27-30 €. Tél. : 01 42 74 22 77.<br />
Haydn, Gaubert, Matton, Weber<br />
Mathilde Caldérini, flûte ; Charles Hervet,<br />
violoncelle ; Aurèle Marthan, piano.<br />
19h00. Hôtel de Soubise.<br />
8-14 €. Tél. : 01 40 20 09 32.<br />
Monteverdi, Sciarrino<br />
Concept, chorégraphie et Dir. : Thomas<br />
Hauert.<br />
19h00. Centre Pompidou.<br />
ManiFeste.<br />
Entrée libre. Tél. : 01 44 78 12 40.<br />
Verdi, La Traviata<br />
Orchestre & Chœurs de l’Opéra.<br />
Dir. : Michele Mariottio. Benoît Jacquot,<br />
mise en scène. Avec Maria Agresta,<br />
Antoinette Dennefeld, Elisabeth<br />
Moussous, Bryan Hymel…<br />
19h30. Opéra Bastille.<br />
5-226 €. Tél. : 08 92 89 90 90.<br />
Mendelssohn, Mozart, Tchaikovski<br />
Philharmonique de Radio France.<br />
Violon et Dir. : Amaury Coeytaux. Paul<br />
Lewis, piano.<br />
20h00. Maison de la Radio.<br />
17-45 €. Tél. : 01 56 40 15 16.<br />
Pesson, Cantate Egale Pays<br />
L’Instant Donné, Ensemble vocal<br />
Exaudi.<br />
20h30. Centre Pompidou.<br />
ManiFeste.<br />
10-18 €. Tél. : 01 44 78 12 40.<br />
Vivaldi, Les Quatre Saisons,<br />
Pachelbel, Albinoni<br />
Voir au 5 mai.<br />
20h30. La Sainte Chapelle.<br />
12 DIMANCHE<br />
Paris en chansons<br />
Chœur d’enfants Sotto Voce. Dir. : Scott<br />
Alan Prouty. Richard Davis, piano.<br />
11h00. Théâtre du Châtelet.<br />
5-10 €. Tél. : 01 40 28 28 40.<br />
Lais féériques et amoureux<br />
Ensemble Diabolus in musica. Julia<br />
Gaudin, chant ; Antoine Guerber, harpe<br />
médiévale.<br />
16h00. Musée du Moyen-Âge.<br />
4-6 €. Tél. : 01 53 73 78 00.<br />
Monteverdi, Sciarrino<br />
Voir au 11 juin.<br />
16h00. Centre Pompidou.<br />
Reimann, Lear<br />
Voir au 20 mai.<br />
19h30. Palais Garnier.<br />
Orch. Philharmonique de l’Oural<br />
Dir. : Dmitry Liss. Denis Matsuev, piano.<br />
Rachmaninov, Concerto pour piano<br />
n°3, Symphonie n°2.<br />
20h00. Théâtre des Champs-Élysées.<br />
5-65 €. Tél. : 01 49 52 50 50.<br />
Les Solistes Français<br />
Voir au 9 juin.<br />
20h30. La Sainte Chapelle.<br />
Découvrez<br />
les stars de demain<br />
avec Gaëlle Le Gallic<br />
lundi 16 mai 2016 à 19h<br />
Claire Dassesse, violon et Deborah Lee, piano<br />
Dorothée Voisine, mezzo-soprano,<br />
et Clara Brenier, piano<br />
Marie van Rhijn, clavecin<br />
Émission Génération jeunes interprètes<br />
Réservations : maisondelaradio.fr<br />
www.ensembleetcreation.com Présente :<br />
Dominique PRESCHEZ au Grand Orgue de ST EUSTACHE<br />
Jeudi 19 mai à 20 H.<br />
SYMPHONIE DE LA PENTECÔTE<br />
improvisée par Dominique PRESCHEZ | Prélude. Choral . Scherzo. Fugue. Toccata.<br />
• CRÉATIONS : Pascal MARTINES | Françoise GANGLOFF | Hector CORNILLEAU<br />
• SYMPHONIE MARIALE : Dominique PRESCHEZ sur AVE MARIS STELLA<br />
Eglise ST EUSTACHE | 2, impasse ST Eustache | 75001 PARIS<br />
Tarifs : 10€ | Etudiants et séniors : 5€<br />
Contact : ensemble et création : 06 07 58 16 85<br />
Sous le patronage de la Commission<br />
nationale française pour l’UNESCO<br />
le concert de D. Preschez qui aura lieu le<br />
jeudi 19 mai 2016 à St Eustache s’inscrit<br />
dans le cadre du Festival international<br />
de la diversité culturelle dans le 1er.<br />
mai 2016 cadences 21
les concerts<br />
du mois<br />
[ mai ]<br />
8 DIMANCHE<br />
11 MERCREDI<br />
15 DIMANCHE<br />
2 lundi<br />
Mozart, Lucio Silla<br />
Insula Orchestra, Jeune Chœur de<br />
Paris. Dir. : Laurence Equilbey. Avec<br />
Franco Fagioli, Olga Pudova, Paolo<br />
Fanale, Chiara Skerath…<br />
20h00. Opéra royal, Versailles • 78.<br />
35-85 €. Tél. : 01 30 83 78 89.<br />
4 MERCREDI<br />
Jean-Philippe Collard, piano<br />
Moussorgski, Les Tableaux d’une<br />
Exposition ; Chopin, Sonate funèbre.<br />
20h30. Salle Picasso, La Norville • 91.<br />
4-8 €. Tél. : 01 64 90 93 72.<br />
6 VENDREDI<br />
Vassilis Varvaresos, piano<br />
Chopin, Liszt, Rachmaninov, Scriabine.<br />
20h45. Théâtre Dumas, S t -Germain-en-Laye • 78.<br />
12-25 €. Tél. : 01 30 87 07 07.<br />
Duruflé, Requiem, Caillebotte<br />
Orchestre du CRR de Paris, Chœur<br />
régional Vittoria d’Île-de-France.<br />
Dir. : Boris Mychajlizsyn. Ayako<br />
Yukawa, mezzo; Viviane Loriaut, orgue.<br />
18h00. Opéra, Massy • 91.<br />
Entrée libre. Tél. : 01 60 13 13 13.<br />
10 MARDI<br />
Delalande, Ténèbres & Miserere<br />
Ensemble Correspondances.<br />
Dir. : Sébastien Daucé. Avec Sophie<br />
Karthäuser.<br />
20h00. Chapelle Royale, Versailles • 78.<br />
45-85 €. Tél. : 01 30 83 78 89.<br />
Bacri, Cosi Fanciulli<br />
Opera Fuoco. Dir. : David Stern. Jean-<br />
Yves Ruf, mise en scène. Livret d’Eric-<br />
Emmanuel Schmitt.<br />
20h30. Théâtre Malraux, Rueil-Malmaison • 78.<br />
13-25 €. Tél. : 01 47 32 24 42.<br />
Beethoven, Concerto n°5 Empereur<br />
Orchestre Symphonique Alphonse<br />
Daudet. Dir. : François Feuillette.<br />
Jacques Dor, piano.<br />
20h45. Théâtre Daudet, Coignières • 78.<br />
17-20 €. Tél. : 01 30 62 36 00.<br />
Autour d’Erik Satie<br />
Ensemble Furians. Dir. : Pierre<br />
Dumoussaud. Debussy, Ravel, Poulenc,<br />
Honegger, Roussel, Satie.<br />
20h30. La Grange, Rungis • 94.<br />
Tél. : 01 45 60 79 05.<br />
12 JEUDI<br />
Trois contes<br />
Les Percussions Claviers de Lyon.<br />
Dir. : Gérard Lecointe. Emmanuelle<br />
Prager, mise en scène. Avec Véronique<br />
Bettencourt, Elisa Bremeersch, Renaud<br />
Golo…<br />
19h30. Théâtre, S t -Quentin-en-Yvelines • 78.<br />
11-21 €. Tél. : 01 30 96 99 00 .<br />
Pachelbel, Buxtehude, Durante,<br />
Mozart, Schubert<br />
Chœur Les Voix de Rocquencourt,<br />
Orchestre Ostinato. Dir. : Alain Pfohl.<br />
20h30. Église S t -Germain, Le Chesnay • 78.<br />
15 €. Tél. : 0892 68 36 22.<br />
Schumann, Rachmaninov,<br />
Tchaïkovski<br />
Anna Fedorova, piano ; Anastasia<br />
Kobekina, violoncelle.<br />
20h30. Conservatoire, Puteaux • 92.<br />
Entrée libre. Tél. : 01 30 36 77 77.<br />
13 VENDREDI<br />
Schumann, Dvorák<br />
Quatuor à cordes de l’Orchestre de<br />
l’Opéra de Massy. Fang Yi Lee, piano.<br />
20h00. Théâtre, Longjumeau • 91.<br />
17-25 €. Tél. : 01 69 09 09 09.<br />
Quatuor Anches Hantées<br />
Debussy, Ravel, Grieg, Bernstein…<br />
20h30. Palais des Rencontres, Champagne/<br />
Seine • 77.<br />
5-9 €. Tél. : 01 60 71 69 35.<br />
Invitation à la valse<br />
Orchestre National d’Île-de-France.<br />
Dir. : Ainars Rubikis. Alexandra<br />
Soumm, violon. Weber/Berlioz,<br />
Tchaikovski, Sibelius, Khatchaturian,<br />
Ravel…<br />
15h00. Théâtre Vilar, Vitry-sur-Seine • 94.<br />
8-24 €. Tél. : 01 55 53 10 60.<br />
17 MARDI<br />
Haydn, Bartók, Beethoven<br />
Quatuor Les Dissonances.<br />
20h30. Théâtre La Piscine, Châtenay-<br />
Malabry • 92.<br />
18 €. Tél. : 01 41 87 20 84.<br />
18 MERCREDI<br />
Invitation à la valse<br />
Voir au 15 mai.<br />
20h45. Théâtre Debussy, Maisons-Alfort • 94.<br />
17-27 €. Tél. : 01 41 79 17 20.<br />
19 JEUDI<br />
Paris Brass Band<br />
Éleves du Conservatoire de Paris.<br />
12h30. Théâtre La Piscine, Châtenay-Malabry • 92.<br />
18 €. Tél. : 01 41 87 20 84.<br />
Invitation à la valse<br />
Voir au 15 mai.<br />
20h45. Atrium, Chaville • 92.<br />
18-36 €. Tél. : 01 41 14 32 34.<br />
20 VENDREDI<br />
Invitation à la valse<br />
Voir au 15 mai.<br />
20h30. L’Onde, Vélizy-Villacoublay • 78.<br />
Tél. : 01 78 74 38 60.<br />
Trois contes<br />
Voir au 12 mai.<br />
20h30. Théâtre, S t -Quentin-en-Yvelines • 78.<br />
14 SAMEDI<br />
Trio Atanassov<br />
Mozart, Tulve, Dvorak.<br />
18h00. Église S t -Amand, Thomery • 77.<br />
13-16 €. Tél. : 01 44 61 83 68.<br />
Brahms, Un Requiem allemand,<br />
Mendelssohn<br />
Chœur Asca, Schola Cantorum<br />
de Paris, Frohnauer Kantorei von<br />
Berlin-Reinickendorf. Dir. : Dominique<br />
Simmonet.<br />
20h00. Espace Vasarely, Antony • 92.<br />
18-26 €. Tél. : 06 59 15 53 60.<br />
Kagel, Le Tribun<br />
Ensemble 2e2m. Dir. : Pierre Roullier.<br />
Jean Lacornerie, mise en scène.<br />
Bernard Bloch, comédien.<br />
20h00. Théâtre, Rungis • 94.<br />
Tél. : 01 45 60 79 05.<br />
Quatuor van Kuijk<br />
Mozart, Kurtag, Smetana.<br />
20h30. Église S t -Amand, Thomery • 77.<br />
13-16 €. Tél. : 01 44 61 83 68.<br />
Mozart, Beethoven, Schubert<br />
Marina Chamot-Leguay, flûte ; Florent<br />
Pujuila, clarinette ; Henri Roman,<br />
basson.<br />
20h30. Salle Bonin, Angerville • 91.<br />
5-9 €. Tél. : 01 60 71 69 35.<br />
Une soirée chez les Caillebotte<br />
Chœur régional Vittoria d’Île-de-<br />
France. Dir. : Boris Mychajliszyn.<br />
20h30. Théâtre Pierre Fresnay, Ermont • 95.<br />
Tél. : 01 42 65 08 02.<br />
21 SAMEDI<br />
Beethoven, Intégrale des Trios à<br />
cordes<br />
Pierre Fouchenneret, violon ; Nicolas<br />
Bône, alto ; Eric Picard, violoncelle.<br />
19h30. Théâtre 71, Malakoff • 92.<br />
Tél. : 01 55 48 91 00.<br />
22 DIMANCHE<br />
Toccata<br />
Keyvan Chemirani, zarb, percussions ;<br />
Thomas Dunford, luth.<br />
10h30. Vieille Église, Puteaux • 92.<br />
Tél. : 01 46 92 94 77.<br />
22 cadences mai 2016
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les concerts<br />
du mois<br />
Ensemble Hélios<br />
Vivaldi, Bacri, Boccherini, Slbiati, Rossini.<br />
16h00. Église S t -Martin, Fontaine-le-Port • 77.<br />
13-16 €. Tél. : 01 44 61 83 68.<br />
Invitation à la valse<br />
Voir au 15 mai.<br />
16h00. CEC, Yerres • 91.<br />
7-25 €. Tél. : 01 41 79 17 20.<br />
Schubert, Rosamunde, Symphonie n°9<br />
Orchestre-Atelier Ostinato. Dir. : Jean-<br />
Luc Tingaud. Jean-Paul Gasparian, piano.<br />
17h00. Théâtre Vilar, Suresnes • 92.<br />
10-22 €. Tél. : 01 46 97 98 10.<br />
François Chaplin, piano<br />
Schubert, Chopin, Brahms.<br />
20h30. Conservatoire Fauré, Sénart • 77.<br />
15-20 €. Tél. : 01 60 34 53 60.<br />
24 MARDI<br />
Entre chou et loup<br />
Noémi Boutin, Sylvaine Hélary, conception.<br />
Laurence Garcia, mise en scène.<br />
19h30. Scène Watteau, Nogent/Marne • 94.<br />
8-22 €. Tél. : 01 48 72 94 94.<br />
Rameau, Bach<br />
Ensemble Amarillis. Dir. : Héloïse<br />
Gaillard. Maïlys de Villoutreys,<br />
soprano ; Mathias Vidal, ténor.<br />
20h30. Théâtre, Poissy • 78.<br />
12-40 €. Tél. : 01 39 22 55 92.<br />
25 MERCREDI<br />
Mozart, Chostakovitch, Franck<br />
Famille Arties.<br />
20h30. Théâtre La Piscine, Châtenay-Malabry • 92.<br />
18 €. Tél. : 01 41 87 20 84.<br />
26 JEUDI<br />
Mahler, Symphonie n°3<br />
Philharmonique, Maîtrise et Chœur<br />
de Radio France. Dir. : Mikko Franck.<br />
Mihoko Fujimura, mezzo.<br />
20h30. Basilique, Saint-Denis • 93.<br />
Festival de Saint-Denis.<br />
34-60 €. Tél. : 01 56 40 15 16.<br />
27 VENDREDI<br />
Mahler, Symphonie n°3<br />
Voir au 26 mai.<br />
20h30. Basilique, Saint-Denis • 93.<br />
䰀 攀 猀 䘀 氀 渀 攀 爀 椀 攀 猀 䴀 甀 猀 椀 挀 愀 氀 攀 猀 猀 漀 渀 琀 搀 椀 猀 瀀 漀 渀 椀 戀 氀 攀 猀 猀 甀 爀 㨀<br />
Orchestre Les Siècles<br />
Dir. : François-Xavier Roth. Ravel,<br />
Daphnis et Chloé, Ma mère l’Oye.<br />
20h30. Scène nationale de Sénart • 77.<br />
Tél. : 01 43 24 54 28.<br />
Un Carnaval, des animaux<br />
Conte musical improvisé sur des musiques<br />
de Saint-Saëns, Enhco, Braye-Weppe.<br />
20h30. Salle, Fontenay-Trésigny • 77.<br />
5-9 €. Tél. : 01 60 71 69 35.<br />
28 SAMEDI<br />
Quartetto Lyksamm<br />
Stravinski, Casale, Beethoven.<br />
19h00. Musée de la Préhistoire, Nemours • 77.<br />
13-16 €. Tél. : 01 44 61 83 68.<br />
Depardieu/Berling, concert-lecture<br />
Secession Orchestra. Dir. : Clément<br />
Mao-Takacs. Brahms, Wagner, Liszt,<br />
Schumann, Mahler…<br />
20h30. Légion d’honneur, Saint-Denis • 93.<br />
Festival de Saint-Denis.<br />
24-30 €. Tél. : 01 48 13 06 07.<br />
Mozart, Messe du Couronnement<br />
Orchestre de l’Opéra de Massy.<br />
Chœurs. Dir. : Dominique Spagnolo.<br />
Avec Fanny Crouet, Violette Polchi,<br />
Romain Barboni, Maxime Cohen.<br />
20h30. Théâtre, Yerres • 91.<br />
15-25 €. Tél. : 01 69 48 23 24.<br />
Mozart, Schumann, Stroppa<br />
Trio Cérès.<br />
20h30. Scène Watteau, Nogent/Marne • 94.<br />
8-22 €. Tél. : 01 48 72 94 94.<br />
29 DIMANCHE<br />
Sylvain Blassel, harpe<br />
Bach, Haydn, Liszt, Debussy…<br />
15h30. Château de Blandy-les-Tours • 77.<br />
4-6 €. Tél. : 01 60 59 17 80.<br />
Mozart, Exultate Jubilate, Messe du<br />
Couronnement<br />
Orchestre de l’Opéra de Massy.<br />
Dir. : Dominique Spagnolo. Avec<br />
Fanny Crouet, Violette Polchi, Romain<br />
Barboni, Maxime Cohen. Chœurs :<br />
L’Atelier de Massy, Accord, Les Villains,<br />
Chorale de Saint-Vrain, Conservatoire<br />
du Val d’Yerres, Cadenza de Yerres.<br />
16h00. Opéra de Massy • 91.<br />
16-26,5 €. Tél. : 01 60 13 13 13.<br />
Aimez-vous Brahms ?<br />
Karine Deshayes, mezzo ; Renaud<br />
Capuçon, alto et violon ; Nicholas<br />
Angelich, piano. Brahms.<br />
17h00. Légion d’honneur, Saint-Denis • 93.<br />
Festival de Saint-Denis.<br />
29-35 €. Tél. : 01 48 13 06 07.<br />
Mozart, Exultate Jubilate, Messe du<br />
Couronnement<br />
Voir au 29 mai à 16h.<br />
19h00. Opéra de Massy • 91.<br />
31 MARDI<br />
Franceschini, Alice au pays des<br />
merveilles<br />
Orchestre National d’Île-de-France.<br />
Dir. : Jean Deroyer. Edouard Signolet,<br />
mise en espace. Guillaume Marquet,<br />
récitant.<br />
19h00. L’Onde, Vélizy-Villacoublay • 78.<br />
Tél. : 01 78 74 38 60.<br />
Cecilia Bartoli, mezzo<br />
Airs baroques composés pour les<br />
grandes Tsarines de Russie.<br />
20h00. Opéra Royal, Versailles • 78.<br />
85-200 €. Tél. : 01 30 83 78 89.<br />
Bach, Magnificat<br />
Ensemble Pygmalion. Dir. : Raphaël<br />
Pichon. Avec Dorothée Mields, Sophie<br />
Harmsen, Damien Guillon…<br />
20h30. Basilique, Saint-Denis • 93.<br />
Festival de Saint-Denis.<br />
17-45 €. Tél. : 01 48 13 06 07.<br />
Monteverdi, Verdi, Villa-Lobos<br />
L’Orchestre de Violoncelles.<br />
Dir. : François Salque.<br />
20h30. Théâtre La Piscine, Châtenay-Malabry • 92.<br />
18 €. Tél. : 01 41 87 20 84.<br />
2 JEUDI<br />
[ juin ]<br />
Franceschini, Alice au pays des<br />
merveilles<br />
Voir au 31 mai.<br />
19h00. Espace Lino Ventura, Garges • 95.<br />
Tél. : 01 34 53 31 00.<br />
Alina Ibragimova, violon<br />
Orchestre de chambre de Paris.<br />
Dir. : Lahav Shani. Beethoven, Concerto<br />
pour violon, Symphonie n°6 Pastorale.<br />
20h30. Basilique, Saint-Denis • 93.<br />
Festival de Saint-Denis.<br />
17-45 €. Tél. : 01 48 13 06 07.<br />
3 VENDREDI<br />
Lully/Molière, Le bourgeois<br />
gentilhomme<br />
Ensemble La Révérence.<br />
Dir. : Christophe Coin. Denis<br />
Podalydès, mise en scène. Avec Pascal<br />
Rénéric, Isabelle Candelier, Manuel Le<br />
Lièvre.<br />
20h00. Opéra Royal, Versailles • 78.<br />
25-70 €. Tél. : 01 30 83 78 89.<br />
Hommage à Vivaldi<br />
Orchestre de chambre d’Île-de-<br />
France Walter Audoli, Ensemble vocal<br />
Delalande. Dir. : Stéphane Laberdure.<br />
20h45. Église S t -Nicolas, Maisons-Laffitte • 78.<br />
14,5-19,5 €. Tél. : 01 34 93 12 84.<br />
4 SAMEDI<br />
Lully/Molière, Le bourgeois<br />
gentilhomme<br />
Voir au 3 juin.<br />
19h30. Opéra Royal, Versailles • 78.<br />
Händel, Bach<br />
Gabrieli Consort and Players. Dir. : Paul<br />
McCreesh.<br />
20h00. Chapelle Royale, Versailles • 78.<br />
40-100 €. Tél. : 01 30 83 78 89.<br />
Chœurs de France et<br />
d’Angleterre<br />
Ensemble vocal Sequenza 9.3.<br />
Dir. : Catherine Simonpietri. Jonas<br />
Vitaud, piano. Fauré, Vaughan Williams,<br />
Poulenc, Britten, Adès, Hersant.<br />
20h30. Légion d’Honneur, Saint-Denis • 93.<br />
Festival de Saint-Denis.<br />
15-20 €. Tél. : 01 48 13 06 07.<br />
Quatuor Modigliani<br />
Beethoven, Dvorák.<br />
20h30. Salle R. Fache, Perthes-en-<br />
Gâtinais • 77.<br />
5-9 €. Tél. : 01 60 66 12 53.<br />
5 DIMANCHE<br />
Lully/Molière, Le bourgeois<br />
gentilhomme<br />
Voir au 3 juin.<br />
15h00. Opéra Royal, Versailles • 78.<br />
Belenus Quartett<br />
Haydn, Schnyder, Schubert.<br />
16h00. Église S t -Etienne, Montcourt-<br />
Fromonville • 77.<br />
13-16 €. Tél. : 01 44 61 83 68.<br />
Eliane Lejeune, Sept miniatures,<br />
Structures<br />
Pascal Mantin, Lully Sakaguchi,<br />
piano ; Hugo Clédat, clarinette ;<br />
Elizabeth Lê, flûte ; Thierry Bouchet,<br />
accordéon, Catherine Faure, chant.<br />
Chœur d’enfants du conservatoire de<br />
Sartrouville. Dir. : Patricia Clédat.<br />
16h00. Église Saint-Joseph, Sartrouville • 78.<br />
Libre partcipation. Tél. : 01 42 09 70 06.<br />
Tormenti d’amore<br />
Sandrine Piau, soprano ; Thomas<br />
Dunford, luth ; Jean Rondeau,<br />
clavecin ; Josh Cheatham, viole de<br />
gambe. Lambert, Charpentier, Rossi,<br />
Monteverdi, Purcell…<br />
17h00. Légion d’Honneur, Saint-Denis • 93.<br />
Festival de Saint-Denis.<br />
24-30 €. Tél. : 01 48 13 06 07.<br />
Voyage à Vienne<br />
Trio Hermarque. Mozart, Schubert,<br />
Beethoven.<br />
17h00. Église S t -Pierre S t -Paul, Orgeval • 78.<br />
15-20 €. Tél. : 06 60 90 17 23.<br />
24 cadences mai 2016
disques<br />
[ NOUVEL ALBUM ]<br />
Alexander Paley, piano<br />
Medtner, Rachmaninov<br />
L’Ophicléide virtuose<br />
Œuvres de Demersseman, Corbin,<br />
Caussinus.<br />
Patrick Wibart (ophicléide), Adrien<br />
Ramon (cornet), Lucie Sansen (piano)<br />
1 CD Ricercar<br />
Inventé en 1817, ce cuivre grave muni<br />
de clefs, ressemblant à un gros contrebasson,<br />
constitua la basse fondamentale<br />
des fanfares et des orchestres<br />
symphoniques (il était affectionné par Berlioz et Meyerbeer) avant<br />
de céder la place à son rival le tuba. Son timbre rond et chaleureux<br />
mérite que l’on y revienne ! Patrick Wibart et ses comparses savent<br />
nous en persuader avec d’étonnantes pièces romantiques d’époque,<br />
comme celle du professeur Caussinus, incontestable spécialiste de<br />
l’instrument.<br />
MF<br />
Honegger (1892-1955) & Ibert (1890-1962)<br />
MEDTNER<br />
RACHMANINOV<br />
ALEXANDER PALEY, piano<br />
L’Aiglon<br />
Orchestre Symphonique de Montréal.<br />
Kent Nagano (direction).<br />
Avec Anne-Catherine Gillet…<br />
Coffret de 2 CD Decca<br />
Créé en 1937, L’Aiglon, opéra bicéphale<br />
d’Honegger et Ibert en cinq<br />
actes, renaît de ses cendres grâce à<br />
l’enregistrement réalisé à Montréal<br />
par Kent Nagano qui rend avec bonheur les atmosphères contrastées<br />
de l’œuvre. D’un plateau vocal de haut vol se détache l’émouvante<br />
Anne-Catherine Gillet dans le rôle travesti du Roi de Rome<br />
mourant. À son côté Marc Barrard, grognard héroïque, fait revivre<br />
avec flamme l’épopée du Premier Empire, tandis que Marie-Nicole<br />
Lemieux incarne somptueusement l’Impératrice Marie-Louise. Un<br />
événement discographique.<br />
MLN<br />
« À chaque fois qu’Alexander Paley<br />
se met au clavier, une irrésistible force<br />
narrative anime le discours musical.<br />
Riche d’une palette de couleurs<br />
incroyablement diversifiée, son jeu<br />
parvient à saisir les atmosphères et<br />
stimule constamment l’imaginaire<br />
de l’auditeur. »<br />
ALAIN COCHARD | À NOUS PARIS<br />
www.lamusica.fr<br />
Qigang Chen (1951)<br />
Enchantements oubliés<br />
Orchestre Philharmonique de Taiwan.<br />
Shao-Chia Lü (direction).<br />
Chun-Chieh Yen (piano), Jiemin Yan<br />
(erhu)<br />
1 CD Naxos<br />
De son professeur Olivier Messiaen,<br />
Qigang Chen a hérité d'une formidable<br />
tendresse orchestrale, qui<br />
culmine dans les très attachants et fragiles Enchantements oubliés.<br />
Passons rapidement sur Er Huang pour piano, qui bascule dans le<br />
kitsch, pour revenir à Un temps disparu, concerto pour erhu qui<br />
laisse à une large place à son envoûtant instrument soliste. Solide<br />
interprétation du Taiwan Philharmonic pour une musique appelée<br />
à être rejouée souvent au cours de ce siècle.<br />
LV<br />
26 cadences mai 2016
pratique<br />
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75009 Paris<br />
Tél. 01 48 24 40 63 - Fax 01 48 24 16 29<br />
Siret 44156960500013<br />
Directeur de la publication : Philippe Maillard • Publicité : Claire Vachon,<br />
tél. 01 48 24 40 63, cvachon@cadences.fr • Rédacteur en chef : Yutha Tep,<br />
ytep@cadences.fr • Chef de rubrique : Laurent Vilarem • Ont participé à ce numéro :<br />
Michel Fleury, Michel Le Naour, Albina Belabiod, Paula Pichintini Chapotel •<br />
Conception graphique : Fujiyama, tél. 01 42 01 00 73 • Diffusion : Sophie Borgès<br />
sborges@cadences.fr • Impression : RPN. Livry-Gargan •<br />
Tirage : 50 000 exemplaires • Abonnement : 10 n os 40 €<br />
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mai 2016 cadences 27
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28 cadences mai 2016
mai 2016 cadences 3