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temps fort danse<br />
© Nathalie Guironnet<br />
© Paolo Porto<br />
De Laure Malécot - 2017 - 52 min. - Mediatik<br />
En présence de la réalisatrice.<br />
Le parcours de Germaine Acogny à travers son<br />
enseignement et ses créations, en parallèle avec<br />
la période charnière de ses 70 ans, âge à partir<br />
duquel elle s’est enfin consacrée entièrement à<br />
sa carrière personnelle (2014-2015). Des stages<br />
à l’Ecole des Sables de Toubab Dialaw qu’elle a<br />
fondée, aux master class qu’elle donne en Asie,<br />
en Europe, à ses chorégraphies, ce film lève le<br />
voile sur la personnalité, les motivations et le<br />
parcours de cette artiste hors du commun.<br />
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Lya tundé<br />
la mère est<br />
revenue<br />
(projection)<br />
Mercredi 17 mai | 20h30<br />
Salle de cinéma<br />
Vendredi 19 mai | 18h30<br />
Blaise Senghor<br />
entrée libre<br />
danses, à<br />
l'origine à<br />
l' infini<br />
(installation)<br />
claire lamarque<br />
Du 19 au 20 mai<br />
Jardins de l'Institut<br />
Cette installation propose un voyage aux<br />
sources de la danse africaine et du cinéma en<br />
s’inspirant de la technique « Acogny » de l’École<br />
des Sables. Deux danseurs enchaînent à l’infini<br />
les mouvements ancestraux de l'aigle et de<br />
l'épervier créant ainsi l’illusion du mouvement<br />
et de la danse. L’artiste utilise une mécanique<br />
subtile composée d’un axe rotatif et de miroirs<br />
appelée « praxinoscope » (jouet optique donnant<br />
l'illusion du mouvement inventé par Emile<br />
Reynaud en 1876). Déjà présentée au laboratoire<br />
Agit’Art lors du pARTcours 2017 et à la Galerie du<br />
Fleuve à l’Institut français de Saint-Louis, cette<br />
installation rend un hommage hypnotique à la<br />
grande Germaine Acogny.<br />
ceci n'est pas une<br />
femme blanche<br />
(danse solo - france) Compagnie Ma<br />
Samedi 20 mai | 18h30 | Centre culturel Blaise Senghor<br />
Chorégraphie<br />
et interprétation :<br />
Marion Alzieu<br />
Composition musicale :<br />
Michael Avron<br />
Création lumières :<br />
Jean-Pierre Nepost<br />
entrée libre<br />
"On est perdu dans la vie, dans ce que l’on écrit, dans ce que l’on crée,<br />
quand on veut s’interroger précisément sur la nature de l’identité de<br />
quelque chose... C’est peut être un état, quelque chose qui est tombé là,<br />
qui s’empare de vous et vous tient par les deux épaules fortement. Ça ne<br />
connaît pas de pause... Quand à l’origine ?! On ne sait finalement pas trop<br />
d’où ça vient, où ça va et qu’est ce que c’est. C’est juste ça... Ou peut être<br />
autre chose, quelqu’un d’autre..."<br />
Forte de son expérience auprès de chorégraphes tels que Salia Sanou, Serge<br />
Aimé Coulibaly, Amala Dianor, Marion Alzieu crée sa compagnie en 2014 et<br />
nous propose son premier solo « Ceci n'est pas une femme blanche ».<br />
Elle interroge à travers cette pièce la question de l'identité et du regard<br />
de l'autre sur sa place sur scène. S’inspirant de son expérience et de ses<br />
voyages dans différents continents, elle tente de briser les idées reçues et<br />
les clichés que notre société nous impose.<br />
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