Concours villes et villages fleuris 2017

Concours Villes et
Villages fleuris
2017

Edito
Malgré de plus en plus de restrictions budgétaires, la commune de St-Laurent
confirme ses projets, toujours dans le respect de l’environnement.
Le changement de chaudière fioul, en bois déchiqueté, alimentant la mairie et
la salle des fêtes, se concrétise et sera fonctionnelle dès l’automne prochain.
Une salle d’activité pour les associations locales sera reliée à la salle des fêtes,
par un préau pouvant servir aux manifestations extérieures.
Le 2 e projet à l’étude, est la construction d’une bibliothèque-ludothèque avec
intégration d’un espace dédié à l’agence postale communale. Ce bâtiment en
ossature bois, construit en surplomb du Parc HLM réaménagé, sera également
alimenté par une chaudière à bois déchiqueté. Cette dernière chauffera également
l’école élémentaire, située à proximité. Le fonctionnement sera pris en
charge par l’intercommunalité, signé par le biais d’un projet de Lecture Publique.
En sous-sol, le S.D.E.D. interviendra pour la pose de 2 prises de rechargement,
pour les voitures électriques.
Le fleurissement du village reste aussi une priorité. Depuis quelques années, la
commune participe au concours des villes et villages fleuris et sur les conseils
des membres du jury, que l’harmonisation des massifs s’est considérablement
améliorée.
Dès le début de l’année, nous travaillons les futurs massifs sur plans et commandons
à notre horticulteur local.
Cette année un thème « Les Fables de la Fontaine » a été choisi et c’est avec
les enfants et animateurs des NAP (nouvelles activités périscolaires), que la
création de motifs et d’animaux, viendra orner les massifs.
En associant, ses futurs jardiniers, au projet de fleurissement du village, nous souhaitons
qu’ils soient fiers et respectueux de leur travail et pourvoir ainsi, les faire
découvrir à leurs proches.
Mme BONNET
1ère Adjointe au Maire, responsable des espaces vert

Sommaire
La commune
Patrimoine Culturel & Paysager
La démarche de valorisation
Animations et promotion
Fleurissement
Paysage urbain
Cartes

Population : 1420 habitants
Surface du territoire Communal : 2739 hectares
Zones naturelles : 81,5 % de la surface communale dont 65 % de
la forêt et de bois
Zones agricoles : 14,8 % de la surface
Zones urbanisées : 3,7 % de la surface
Altitude : variant de 175m (confluence des rivières la Lyonne et la
Bourne) jusqu’à 1408m (roche des Arnauds).

La commune
Située dans le Parc Naturel Régional du
Vercors, dans le canton de Vercors-Montsdu-Matin,
Saint-Laurent-en-Royans est une
commune moyenne du Royans-Vercors.
La ville se trouve au coeur du Royans vallée
relativement enclavée.
L’histoire connue de Saint Laurent débute
au IIème siècle en pleine période Gallo-Romaine.
A l’entrée du cimetière de Saint-
Laurent-en-Royans se trouve un pilier quadrangulaire
portant des inscriptions latines.
Sous l’ancien régime, on ne note pas encore
de grande route traversant le territoire.
Au début du 19e sicèle, la commune est
traversée par une seule route, de Saint
Jean à Sainte Eulalie, au tracé encore peu
adapté. Un réseau de petits chemins relie
entre eux des petits hameaux et des fermes
isolées, sur la partie nord. Au même siècle, le
tracé de la route départementale modernisé
apparait à l’ouest du village pour une
traversée plus commode du torrent. La montée
sur le plateau se fait toujours par des
chemins escaprés et Combe Laval reste un
cul de sac.
Au début du 20e siècle, le territoire est marqué
par le tracé d’une petit train d’intérêt
local (dont un pont est encore visible entre
Saint Jean et Saint Laurent) entre Romans et
Sainte Eulalie. La ligne est ouverte le samedi
16 mars 1901 et dessert la plupart des
communes situées entre les deux extrémités.
Cette ligne, non éléctrifiée, est destinée
davantage à un traffic de marchandises
qu’aux voyageurs. Malgré son utilité, la ligne
est fermée le 10 juillet 1931.
Dernière aménagement de taille, la fameuse
route de Larps est achevée dans les années
70 pour aémliorer l’accessibilité du plateau.
A cette occasion, le coeur du village est
profondément transformé et modernisé par
des destruction et des rénovations.
L’histoire moderne est dominée par 3 activitées
principales qui ont modelé la commune
: les tissages, la tabletterie et l’agriculture.
La ville accueille un lieu d’exception : la reculée
de Combe-Laval.
Ce cirque d’une profondeur de 4 km est dominé
par près de 600m par les montagnes
de Larps et de l’Echarasson où serpente
une route pittoresque sur ses hauteurs
L’ours
Le symbole de la commune est l’ours dont
une statue est visible au centre village. L’histoire
raconte l’attaque de Louis XI par un
ours au cours d’une partie de chasse. Il ne
dû son salut qu’à l’intervention de deux bûcherons
de la commune. Ils ont été annoblis
à la suite de cet acte héroïque.

Patrimoine culturel
Un pilier quadrangulaire, gravé en
latin, est visible à l’entrée du cimetière.
Datant du IIe siècle, il fait
office de pierre tombale et d’autel
et constitue le premier indicateur
d’occupation humaine sur le territoire
communal.
La fresque, peinte sur le mur aveugle d’une
maison survivante des aménagements de
la route de Larps, rappele le paysage environnant
permettant d’ammener la nature
jusqu’au coeur de ville.
Le domaine du Cholet est une grande maison bourgeoise
du 19e siècle, en aval de la route départementale.
Dans la commune, tout le monde l’appele le «chateau»
du Cholet.
Actuellement privé, il sert de cadre d’exception pour un
gîte et des chambres d’hotes.
Il participe à la promotion du tourisme local et apporte
une touche de luxe.
Ile Monastère Saint Antoine Le Grand,
dépendance (un métochion) du monastère
de Simonos Petras, au mont
Athos (Grèce), est implanté à Combe
Laval
Il a été fondé en 1978, par le Révérend
Père Placide René Deseille.
Depuis, il a connu plusieurs extensions et
modernisations.
Il est visité par de nombreux pélerins qui
n’hésitent pas à prendre la route pour
visiter la majestueuse coupolle peinte.
Né en 1908 dans la Manche, Paul-
Jacques BONZON, institeur d’origine normande,
rejoint Saint Laurent en Royans
en 1949.
Son passage a largement marqué les esprits
de plusieurs générations d’habitants
qui s’en souviennent avec nostalgie.
Il est connu du grand public pour ses excellents
ouvrages destinés aux jeunes et
parlant d’aventure et d’enquête.
Contemporain de la seconde guerre, il
écrira notamment «mon Vercors en feu»
qui traitera de sujet dur comme l’occupation,
la perte et les choix de vie.

Patrimoine Paysager
La croix, est le second sommet de la commune et délivre un
point de vue remarquable sur la commune et la plaine du
Royans.
Le cirque de Combe Laval est considéré comme une reculée au point de vue géologique, et est caractérisé
par ses falaises vertigineuses. Couvert par plusieurs protections naturelles, le site accueille de nombreuses espèces
florales et fauniques. Vous pouvez y trouver, si vous regardez bien, l’Aigle Royal qui plane sur les hauteurs
ou niche sur les falaises et le Faucon Pélerin. On peut voir également de nombreuses colonies de Martinet à
ventre blanc et quelques Tichodrome Échelette. Ce site est aussi remarquable par la présence de 2 espèces
végétales protégées : la Doradille Pulvérulente, inscrite au « livre rouge » de la flore menacée en France, et la
Raiponce de Charmeil. Ces 2 espèces sont difficiles à trouver et à identifier. Le cirque est aussi l’abri du Sabot
de Vénus, de l’Orchis Pâle et de nombreuses orchidées.
La résurgence du Cholet représente la source de la rivière
du même nom à la pente irrégulière et aux visages multiples
(sert toujours de prise de force pour une scierie et était utilisé
anciennement par des forges et des moulins). Longue de 4
kilomètres elle finit par se jeter dans la Lyonne.
Claire d’appararence, son caractère cahotique l’empèche
d’abriter la vie sous-marine sur sa partie haute.
D’un débit soutenu, la cascade qui se forme de manière
exceptionnelle lors de forts orages est un évènement remarquable.
Lieu calme car difficile d’accès, aucun aménagement n’a été
réalisé pour ne pas mettre en péril son caractère sauvage et
sa diversité faunistique environnante.
Le pont dit «des Chartreux» est bâti en pierre de tufs,
facile à tailler et surtout disponible tout autour. Le pont
a servi à acheminer diverses marchandises et particulièrement
du vin provenant du Choranche. Le pont a
également été utilisé pour apporter minerai de fer et
charbon, provenant du col de la Machine, aux forges,
situées dans le quartier du même nom, à Saint Laurent
en Royans. Le pont a permis des échanges faciles et
toute l’année pour toute personne ou marchandise
voulant transiter entre Saint Laurent et Saint Jean
Vous pouvez retrouver une reproduction de ce pont
au rond-point de l’entrée ouest de Saint Laurent, réalisé
par les services techniques communaux.

La démarche de valorisation
Située dans un écrin de verdure, visible de tout point de
la commune, les forêts sont des élements incontournables.
Afin d’intégrer cet environnement naturel dans le coeur
du village, la commune se devait d’avoir un démarche
qualitative de fleurissement.
Depuis quelques années nous participons au concours
départemental des villes et villages fleuris. Les différents
jurys qui ont eu l’occasion de visiter le village ont pu nous
transmettre de bonnes pratiques et nous conseillers pour
l’amélioration de nos massifs.
Depuis deux années, le choix a été fait d’harmoniser les
couleurs au sein d’une même composition. De la hauteur
est apparue. Nous choisissons les plantes avec plus de
soins en fonction de leur resistance à l’ensoleillement et
à leur besoins.
Désormais, nous choisissons le fleurissement annuel selon
un thème précis fixé en concertation avec les élus, le personnel
et les volontaires associés au projets.
Cette année, le choix s’est porté sur les fables de La
Fontaine.
Afin de sensibiliser la population à notre démarche, et
plus généralement à l’orientation vers une ville plus verte
et écologique, les élus transmettent leur message par le
biais du petit journal communal et du site internet.
Les habitants sont invités à participer à des actions de
sensibilisation ou de découverte.
Avant même l’obligation légale, la commune avait déjà
entamé le choix de réduire drastiquement l’usage des
produits phyto sanitaires pour les remplacer par des
moyens plus doux et plus écologiques (arrachage manuel,
brûlage au gaz, débroussailleuse)
Dans la même idéologie, les élus avaient souhaité la limitation
des engrais chimiques.
Conscient de l’importance stratégique que l’eau revet,
une politique de limitation des usages a été mise en
place. Les massifs sont arrosées de manière raisonnée, à
l’aube (pour éviter le désechement et pour plus d’efficacité)
et par un système automatisé contrôlé afin de limiter
fortement la consommation d’eau.
Toutes ces actions servent à la fois a améliorer le cadre
de vie des habitants mais aussi à entretenir et valoriser
une image de tourisme vert.
En complément, et de manière plus globale, nous avons
sollicité les services de l’État et du département afin de
crééer, à Combe Laval, des zones ZNIEFF 1 & 2, un site
classé et une autre zone natura 2000, la première se
trouvant sur la Bourne. Nous retrouvons également sur la
commune 8 zones humides.
Articulation légale entre les volontés politique et l’application
concrète, le PLU tient compte de notre environnement
naturel d’exception en imposant des zones Ns et
As où les constructions et aménagements sont fortement
réglementés.
Conscients que l’environnement ne peut être que protégés
par le plus grand nombre, la commune a signé
plusieurs partenariats avec le Parc du Vercors, le CPIE,
la LPO, le CAUE et l’association « mille traces ». Pour
préserver le patrimoine culturel et paysagers, nous comptons
comme allié l’association « Royans d’hier et d’aujourd’hui
»
A titre individuel, la commune fait appel à des bureaux
d’études et des architectes paysagers pour les différents
projets qui ont pu modifier le visage du village. Les habitants
sont conviés à des réunions de concertation lors
de ces projets.

Gestion du fleurissement
Les services techniques communaux oeuvrent pour rendre la
commune fleurie. Cet objectif est rendu possible car il est le fruit
de la compétence et de la concertation entre les équipes et
les élus.
Les services techniques comptent 4 agents polyvalents dont
l’un est plus particulièrement dédié au fleurissement et à l’entretien
des espaces verts.
Pour concrétiser cette gestion les agents ont plantés plusieurs
espèces d’arbres et arbustes dans la commune. Le choix s’est
porté sur des arbustes avec feuillages persistants, comme les
fusains, le long des routes et des arbres à fleurissement précoces,
comme des prunus, et des cerisiers à fleurs sur la nouvelle
place de la Mairie afin d’apporter de la verdure pour adoucir
le béton.
Malgré des contraintes budgétaires importantes nous maintenons
un effort de fleurissement constant depuis plusieurs années
et favorisons le tissu économique local en nous fournissant auprès
d’un horticulteur local installé sur le territoire.
Pour parachever ces efforts, nous comptons sur la participation
efficace et volontaire des agents qui prennent une part active
aux décisions.
7 000 € sont dédiés chaque année
au fleurissement
800 plants sur la commune
37 200 m ² d’espaces verts

Animation et promotion
Notre démarche «villes et villages fleuris» fait l’objet de
plusieurs compte rendus sur le site communal et nous prévenons
la population en amont grâce au petit journal.
C’est sur ce dernier que nous invitons les habitants à
participer au concours des maisons fleuries. Cette année,
2 personnes se sont inscrites dans les catégories :
maisons fleuries et fermes fleuries.
En lien avec le thème choisi «Les fables de la Fontaine»
nous avons décidé de faire participer les enfants de
l’école élémentaire au travers des Nouvelles Activités
Pédagogiques. Les enfants ont pu fleurir 2 massifs, l’un
devant la cantine et l’autre à l’entrée nord du village.
Ils ont également construit des silhouettes d’animaux qui
Fête de la nature
Cette fête se déroule chaque année, à l’arboretum
avec la participation du Conseil Départemental pour la
communication.
En 2016, l’intitulé était « Ces arbres qui nous entourent ».
Riche en animations : balades naturalistes, ateliers peinture
pour enfants et adultes, jeux en bois, projection du
web documentaire «les engivaneurs », l’arboretum était
transformé en galerie de peinture avec les nombreux tableaux
de l’atelier pictural, quelques personnes ont peint
Jardins partagés
Sur un terrain mis à disposition par l’association La Providence,
porté par la Mairie qui a financé les travaux
initiaux et piloté par La Paz qui s’occupe d’animer les
jardins et leurs attributions ; les jardins partagés permettent
à des populations modestes, logées dans des
seront déposées au milieu des fleurs et un épouvantail
visible devant leur école.
Depuis 2 ans, avec le soutien de la commune, la bibliothèque
a mis en place une grainothèque dans ses locaux.
Cette diversité de graines regroupe des espèces
locales et/ou ancestrale qui ne sont plus trouvables
dans les commerces. Chaque année, une foire, limitée
localement, se déroule pour que chacun puisse échanger
des graines et faire découvrir des espèces en passe
de disparaître. Au travers de la grainothèque, la bibliothèque
participe également à la fête de la Nature.
sur place des arbres. Les belles réalisations des écoles
de St Laurent ont complété le décor. L’exposition de 31
photos sur les arbres a été inaugurée.
De nouvelles initiatives ont pu être découvertes par le
public : la Toolteck qui prête des outils et Bouge Tranquille
qui propose une réflexion sur les déplacements en
vélo et un atelier de réparation.
En 2017, cette fête a été remplacée par la fête de l’arboretum.
appartements, d’avoir la possibilité de faire leur jardin.
Outre un aspect économique non négligeable, cette
activité leur permet de créer du lien social et d’avoir
une activité en plein air.
Partenariats
Nous comptons parmi nos partenaires
les plus actifs : le foyer d’insertion
de la providence qui nous
aide à l’entretien des chemins et
à l’arrachage de l’ambroisie.
Les éco-gardes du PNRV et l’office
du tourisme qui entretiennent
les chemins de randonnées
L’ONF pour la gestion raisonnée
de la forêt communale
Et le SDED et ADN pour l’enfouissement
des réseaux secs
CAUE pour les aménagements
urbains et ADIL pour les rénovations
thermiques

L’arboretum
L’arboretum est un lieu important de la commune
et connu de la population. Crée en 1986 en partie
sur le lieu d’une ancienne décharge laissée à
l’abandon et le reste sur des landes, il a longtemps
été un lieu de rendez-vous calme pour les familles
et de découverte pour les écoles.
Depuis 2010, un collectif s’est créé et a dynamisé
le lieu avec le soutien de la Mairie. Ce partenariat
regroupe la LPO, le CPIE Vercors, un collectif d’habitants,
les écoles de la commune, et des élus.
Les différentes classes de la ville, et parfois celles
du canton, visitent régulièrement ce lieu afin de
découvrir les arbres identifiés (if, robinier, merisier,
cytise...)
Ce lieu a également été choisi pour la création
d’un salicetum entretenu par des habitants et le
collectif ; il a d’ailleurs pu réaliser une collecte fructueuse
ce qui lui a permis de construire un igloo en
osier.
Le collectif arboretum a installé un jardin en trou
de serrure (Keyhole garden). Il s’agit d’un jardin
circulaire, surélevé, le centre est constitué d’une
colonne de compostage accessible. Le compost
diffuse lentement son humidité et ses nutriments dans
le jardin sur le pourtour.
Toujours dans l’idée de l’environnement, des toilettes
sèches ont été bâties juste avant l’été 2015
et sont accessibles aux personnes à mobilité réduite,
signe de la volonté de faire de cet espace
un lieu d’accueil pour tous.
Dans ce lieu buccolique, où la convivialité est de
mise grâce au mobilier en bois brut, au point d’eau
potable et au barbecue, les familles aiment à passer
des journées et certains voyageurs itinérants en
profitent pour passer une nuit bivouac au calme.
Fort de cette énergie, l’arboretum est le centre de
différentes animations d’envergure :
• La fête de l’arboretum, remplaçant la fête de
la nature, rassemble différentes associations communales
mais également des animateurs extérieurs
comme des conteurs, des professionnels de la flore
et de la forêt ou des artistes. En 2017, de petits
groupes se sont répartis sur plusieurs activités disséminées
dans les lieux remarquables des environs.
• «Combe Laval fait son cirque» est une animation
intercommunale importante qui regroupe
presque toutes les communes du canton. La fête
principale est organisée sur le site de l’arboretum
et a réuni, en 2016, plus de 500 personnes venues
de toute la France.
Dans un esprit de respect de la faune, une fauche
raisonnée a été mise en place et des nichoirs et
deux abris à insectes ont été installés.

Fleurissement
Lythrum salicaria, massif de l’église
Cosmos bipinnatus, massif de la fresque
Silene Nutans, massif de l’entrée nord
Canna indica, massif de la fresque
Cynara scolymus, massif de la cantine

Paysage urbain
La place de la Mairie a été ré-aménagée en 2014. A cette occasion, un architecte-paysager
a été missioné pour l’organisations des différents espaces publics.
Chaque utilisateur a trouvé sa place dans cette nouvelle disposition avec une route
rétrécie, l’accessibilité aux PMR des commerces, des zones pietonnes accessibles et
des espaces verts mieux définis et arborés. Les modes de déplacement doux ont pu
être matérialisés.
La commune a mis à la disposition d’Energie SDED la toiture de la Mairie pour y
installer 80m² de panneaux photovoltaïque. Cette première étape marquait notre
volonté de participer à la transition énergétique
Cette année, la commune a lancé la construction d’une chaufferie bois pour le
bâtiment de la Mairie. Notre effort continue puisqu’un projet de chaufferie bois pour
l’ensemble bibliothèque-école élémentaire est en cours d’étude.
Dans la même démarche, en partenariat avec Energie SDED, la commune va installer
2 bornes de recharges pour les véhicules électriques.
Pour qu’elles soient aussi belles que nos massifs, la communauté de communes,
soutenue par la ville, assiste les particuliers dans leurs projets de rénovation des
façades. Plusieurs personnes ont pu bénéficier des services gratuits d’un architecte
conseil. Deux façades éclatantes sont d’ailleurs visibles route de L’Arps.
Pour ne pas gacher nos nouvelles façades, et notre visuel, les reseaux secs font
l’objet d’un enfouissement dès qu’il est possible. Le centre du village est complètement
enfoui sur la partie publique.
Dans une double optique économique et environnementale, la commune procède
au remplacement régulier, et définitif, des ballons fluo par des ampoules au sodium
permettant également une meilleure sécurité des usagers.
Pour lutter contre la pollution nocture, et pour respecter les hommes et les animaux,
la commune a adhéré au projet d’extinction de l’éclairage public la nuit.
Les quartiers se retrouvent endormis de 23h00 à 5h00 et le centre village reste
éveillé un peu plus longtemps jusqu’à minuit le week-end